Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
27.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Le Tamarin-lion doré, Singe-lion doré ou Petit singe-lion (Leontopithecus rosalia) est une espèce de primate de la famille des Callitrichidae.
Autres noms
Golden lion tamarind. Mico-leão-dourado au Brésil.
Distribution
On le trouve dans l'est du Brésil, au centre et au sud du littoral de l’État de Rio de Janeiro. Sur une aire totale à peine supérieure à 100 km2 recouvrant seulement quelques municipalités [essentiellement Saquarema, Araruama (Macaé de Cima), São Pedro da Aldeia et Cabo Frio sur le littoral, et juste au nord Silva Jardim, Aldea Velha, Casimiro de Abreu et Rio das Ostras dans le bassin du Rio São João. En 2006, il a été trouvé dans le PM de Taquara (municipalité de Duque de Caxias), qui constitue à ce jour la limite australe de l’espèce. Au xixe siècle, cette espèce occupait aussi l’état d’Espírito Santo (au sud du Rio Doce) sur une aire totale de 14 000 km2.
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L'autour des palombes (Accipiter gentilis) est une espèce de rapaces de taille moyenne de la famille des Accipitridae (qui comprend aussi les aigles et les busards). C'est une espèce proche de l'épervier d'Europe.
Il porte de nombreux autres noms vernaculaires, qui le désignent sous les termes d'autour, d'épervier ou encore d'émouchet : autour commun, épervier autour, gros épervier, épervier bleu, émouchet des pigeons, aigle chasseur, gros ratier...
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L'Avocette élégante (Recurvirostra avosetta) est une espèce d'oiseaux de la famille des Recurvirostridae, la seule espèce du genre Recurvirostra vivant en Europe.
Limicole caractéristique des lagunes et marais côtiers, elle se reconnaît aisément avec son long bec recourbé vers le haut, ses grandes pattes et son plumage bicolore. Pouvant mesurer 40 centimètres de longueur et 70 centimètres d'envergure, c'est une espèce d'assez grande taille, qui se nourrit de divers invertébrés présents dans l'eau et la vase, qu'elle capture grâce à son bec caractéristique. Elle niche le plus souvent en colonie de 10 à 70 couples sur des îlots ou des digues à proximité immédiate de l'eau et pond généralement quatre œufs au sol, dans une coupelle simple creusée dans le sable. Très territoriale lorsqu'elle défend ses poussins, que ce soit contre d'autres individus de la même espèce ou contre ses prédateurs — divers rapaces, corvidés et mammifères —, l'avocette a une longévité d'environ 20 ans (record à 27 ans).
L'espèce couvre un vaste territoire, de l'Europe occidentale aux plaines du centre de l'Asie, en passant par la péninsule indienne et l'Afrique. Une partie de sa population est migratrice et effectue chaque année de longs voyages vers le sud de son aire de répartition, tandis qu'une autre partie est sédentaire. En France, l'espèce est présente sur le littoral de la Manche, sur la côte atlantique et en Méditerranée et reçoit en hiver le renfort de populations plus nordiques, tandis que certains individus hivernent en Europe du Sud ou en Afrique.
Décrite par Carl von Linné en 1758, l'avocette est l'une des quatre représentantes de son genre, les trois autres espèces occupant des continents différents. Considérée comme préoccupation mineure (LC) par l'UICN en raison de sa large répartition et de ses effectifs relativement importants, elle n'en est pas moins menacée par de nombreux facteurs anthropiques, tels que la destruction de son habitat, le réchauffement climatique ou la pollution. De nombreux programmes scientifiques tentent de mieux comprendre sa biologie, en particulier ses voies migratoires, pour mieux la protéger.
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Marina Mikhaïlovna Raskova (russe : Раско́ва Мари́на Миха́йловна) née à Moscou le 28 mars 1912 et morte le 4 janvier 1943 à Saratov, est une pilote, figure de l'aviation soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle fait partie des 800 000 femmes engagées dans l'Armée rouge, et est la fondatrice de trois régiments d'aviation entièrement féminins durant la guerre face à l'Allemagne.
Biographie
Née dans une famille de la classe moyenne, son père était le chanteur d'opéra et professeur de chant Mikhail Malinine et sa mère était professeure. Une sœur de sa mère, Anna Spiridonova née Lioubatovitch, était la célèbre chanteuse russe Tatiana Lioubatovitch, son demi-frère (du côté paternel) était le constructeur de sous-marins Boris Malinine (en).
Enfant, elle voulait faire comme son père : chanter à l'opéra1. Mais ce dernier meurt tragiquement des suites d'un accident de la route en 19191. Marina s'oriente alors vers des études de chimie et commence à travailler dans une usine de colorant comme chimiste.
En 1934 elle est navigatrice diplômée, en 1935 pilote diplômée. En 1937, elle devient pilote d'essais et entre au NKVD en 1939.
En 1938, elle devient célèbre en établissant le record féminin de vol longue distance (5 900 km) entre Moscou et Komsomolsk... vol interrompu sur la fin, elle dut s'éjecter et survécut 10 jours dans la neige avec seulement deux barres chocolatées. Pour ces exploits elle est faite héros de l'union soviétique le 2 novembre 1938. Elle reçoit aussi l'ordre de Lénine et l'Étoile d'or (no 104). Elle devient une intime de Staline. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des femmes intègrent déjà les forces armées, notamment l'aviation, mais Staline lui demande de former des escadrons constitués exclusivement de femmes en 1941.
Elle forme ainsi trois régiments à Engels :
le 586e de chasseurs ;
le 587e de bombardiers (dont elle était commandant) ;
le 588e qui a servi à Stalingrad et est connu sous le surnom des « sorcières de la nuit » (donné par les Allemands à celles qui les attaquaient la nuit) et sera promu en septembre 1943 le 125e de la Garde. Il est le plus décoré de tous les régiments de l'aviation soviétique
Elle meurt durant la bataille de Stalingrad. Elle convoyait des bombardiers vers le front lorsqu'une tempête de neige l'a surprise près de Saratov et son appareil a heurté une falaise, le 4 janvier 1943.
Staline lui organise des obsèques nationales et fait placer ses cendres dans la nécropole du mur du Kremlin, un honneur réservé aux plus hautes personnalités de l'Union soviétique. En juin 1943, un navire est baptisé en son honneur Marina Raskova. Son nom est également donné à des rues, des bâtiments et des places à Moscou et dans de nombreuses autres villes soviétiques.
Régiments
Le 586e régiment de chasse de l'armée de l'air soviétique. Il devint mixte quelque temps après la mort de Marina Raskova et fut dissous à la fin de la guerre.
Le 588e régiment de bombardiers de nuit de l'armée de l'air soviétique, renommé plus tard Gv 46 NBAP "Taman".
Le 125e régiment de bombardiers de l'armée de l'air soviétique.
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Marina Vlady, au civil Catherine Marina de Poliakoff-Baïdaroff, est une actrice, chanteuse et écrivain française née le 10 mai 1938 à Clichy (Clichy-la-Garenne), dans la banlieue de Paris
Émigrés de Russie après la Révolution de 1917, ses parents se réfugient en France. Son père Vladimir de Poliakoff était chanteur d'opéra et sa mère Militza Envald, danseuse étoile. Ils ont eu quatre filles toutes vouées au spectacle : Olga (1928-2009) dite Olga Varen, réalisatrice à la télévision ; Tania (1930-1980) dite Odile Versois, actrice ; Militza (1932-1988) dite Hélène Vallier, actrice ; et Marina.
Elle a été mariée au comédien et metteur en scène Robert Hossein avec qui elle a eu deux enfants : Pierre et Igor ; puis à Jean-Claude Brouillet, aviateur, ancien résistant et entrepreneur dans le transport aérien dont elle a un enfant : Vladimir. Elle se marie ensuite avec Vladimir Vissotsky, poète, acteur et chanteur russe avec lequel elle vivra douze années en URSS jusqu'à la mort prématurée de celui-ci en 1980 à l'âge de 42 ans. Elle vit ensuite pendant vingt-trois ans avec le cancérologue Léon Schwartzenberg.
En 2006, Marina Vlady chante son amour pour Vladimir Vissotsky au théâtre des Bouffes du Nord, récital intitulé Vladimir ou le vol arrêté, titre éponyme de son livre paru en 1987. En 1973, Marina Vlady avait enregistré quelques chansons, notamment Le Voleur de chevaux qui connut un succès radio.
Engagée à gauche et dans le féminisme, le 5 avril 1971, elle est l'une des 343 signataires du manifeste dit « des 343 salopes » paru dans le journal Le Nouvel Observateur.
Selon Paris-Match du 11 juin 1955, l'initiale V, commune aux quatre pseudonymes choisis avec ses sœurs Varen, Versois, Vallier et Vlady, serait le V de la victoire.
Marina Vlady débute au cinéma en 1949 (dans le rôle de « Marie-Tempête » !) et perce dès 1954 dans Avant le déluge d'André Cayatte, remarquée notamment pour sa beauté spectaculaire. Elle devient aussitôt une des principales jeunes premières du cinéma français, aussi à l'aise dans la comédie (Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit) que dans le drame et le film noir, même si La Sorcière d'André Michel (l'un des films dont elle demeure très fière) ne rencontre pas un grand succès public. Elle tourne ensuite plusieurs films diversement accueillis sous la direction de Robert Hossein, avec qui elle forme l'un des couples les plus séduisants de l'hexagone, notamment Toi, le venin (1959, où Marina a pour partenaire sa sœur Odile Versois). Selon le Dictionnaire du cinéma français paru chez Références Larousse (sous la direction de Jean-Loup Passek), le premier de ces films, Les Salauds vont en enfer, écrit par Frédéric Dard, « a au moins le mérite de la nouveauté » et un « climat étrange, violent, érotique » qui le caractérise. Le couple se retrouve aussi dans Crime et Châtiment de Georges Lampin, La Sentence de Jean Valère et Les Canailles de Maurice Labro d'après James Hadley Chase.
Selon le Dictionnaire du cinéma français, les quatre films de Hossein « permettent [à Marina] de relancer une image de marque qui avait beaucoup de mal à convaincre le public. »
Toujours selon cet ouvrage, La Princesse de Clèves met en évidence la « distinction » de Marina Vlady jusque-là plutôt considérée comme une sorte de bombe érotique dotée d'un tempérament dramatique.
En 1960, La Princesse de Clèves de Jean Delannoy, adaptation luxueuse de l'œuvre de Madame de La Fayette, mais qu'une certaine critique française jugea « trop académique », réaffirme avec éclat son statut de star capable de porter un film sur ses seules épaules. Suivront Adorable Menteuse et On a volé la Joconde de Michel Deville, et le très cynique Les Bonnes Causes du vétéran Christian-Jaque. En Italie, la star s'illustre dans La Fille dans la vitrine de Luciano Emmer et surtout, avec Ugo Tognazzi, dans Le Lit conjugal de Marco Ferreri (sa composition dans ce dernier film lui vaut une large reconnaissance critique et un prix d'interprétation à Cannes), sous la direction de Steno dans Casanova et, plus tard, aux côtés d'Alberto Sordi dans Contestation générale de Luigi Zampa (1970) et dans Le Malade imaginaire de Tonino Cervi (1979) ; enfin son ami Orson Welles lui offre une apparition digne d'un ange dans Falstaff en 1965. L'année suivante, Atout cœur à Tokyo de Michel Boisrond fait déjà figure d'exception dans une carrière essentiellement vouée aux films d'auteur.
Au cours de sa carrière de star à l'écran, Marina Vlady interprétera notamment Caroline Esterhazy dans Symphonie inachevée (1954) et Marie-Antoinette dans La Nuit de l'été de Jean-Claude Brialy à la télévision en 1979.
Au milieu des années 1960, Marina Vlady apparaît en tête d'affiche du film de Jean-Luc Godard, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, et fait montre d'une exigence rare en privilégiant des œuvres confidentielles : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi, Le Temps de vivre de Bernard Paul, Lika, le grand amour de Tchekhov de Serguei Youtkhevitch, Sirocco d'hiver de Miklós Jancsó, La Nuit bulgare de Michel Mitrani...
Dans les années 1970 et 1980, Marina alterne comédies populaires (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne, Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré) et films d'auteur au succès moindre (Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas).
En 1976, elle joue la maîtresse du Régent (Philippe Noiret) dans Que la fête commence de Bertrand Tavernier et en 1989 donne la réplique à Marcello Mastroianni (25 ans après Jours d'amour de Giuseppe De Santis) dans Splendor d'Ettore Scola.
Son éclectisme la pousse aussi vers des entreprises atypiques à caution littéraire telles que Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz de Catherine Binet (d'après Bram Stoker et Jules Verne) et l'adaptation libre du roman érotique d'Apollinaire, Les Exploits d'un jeune Don Juan, ou vers des films plus politiques — Le Complot de René Gainville ou Follow Me de Maria Knilli — , travaillant aussi bien en Russie qu'au Japon ou en Grèce...
Le Dictionnaire du cinéma français évoque « les traits réguliers et lumineux, le visage botticellien, la grâce naturelle » de Marina Vlady, en s'interrogeant sur la responsabilité de sa beauté dans le déroulement d'une carrière en deçà des promesses. Peu de comédiennes se maintiennent dans les hauteurs atteintes par Vlady dans les années 1960, démontrant l'étendue de son talent aussi bien dans la gravité que dans la légèreté, dans des films souvent rares et à découvrir.
Marina Vlady n'est plus apparue au cinéma depuis 1998 et a considérablement ralenti son activité sur le petit écran qui lui a offert, depuis Les Petites Demoiselles de Michel Deville (1964), de très nombreuses opportunités. Ici encore l'actrice privilégie l'exigence, à travers la littérature et l'histoire. Elle paraît ainsi dans Le Roman du samedi : L'Agent secret de Marcel Camus (1981) d'après Joseph Conrad, Lorelei de Jacques Doniol-Valcroze (1982) d'après Maurice Genevoix, Les Secrets de la princesse de Cadignan de Jacques Deray, adaptation d'Honoré de Balzac par Jean-Claude Carrière, Fort comme la mort d'après Guy de Maupassant, La Chambre des dames de Yannick Andréi adapté du roman de Jeanne Bourin qui remporte un triomphe, Les Beaux Quartiers adapté de Louis Aragon, Condorcet écrit par Élisabeth Badinter, Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant, Résurrection de Paolo et Vittorio Taviani (2001) d'après Léon Tolstoï — à ce jour sa dernière apparition à l'écran.
Ces dernières années, la comédienne se consacre à la scène et à l'écriture.
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Filmographie
Cinéma
1949 : Orage d'été de Jean Gehret : Marie-Tempête
1952 : Dans la vie tout s'arrange de Marcel Cravenne : Jacqueline
1954 : Avant le déluge d'André Cayatte : Liliane
1955 : Le Crâneur de Dimitri Kirsanoff : Juliette
1955 : Sophie et le Crime de Pierre Gaspard-Huit : Sophie
1955 : Symphonie inachevée (Sinfonia d'amore) de Glauco Pellegrini : la comtesse Caroline Esterhazy
1956 : La Sorcière d'André Michel : Ina
1956 : Les salauds vont en enfer de Robert Hossein : Éva
1956 : Pardonnez nos offenses de Robert Hossein : Dédée
1956 : Crime et châtiment de Georges Lampin : Lili Marcellin
1958 : La Liberté surveillée d'Henri Aisner et Vladimír Vlcek : Éva
1959 : Toi, le venin de Robert Hossein : Éva Lecain
1959 : La Sentence de Jean Valère : Catherine
1959 : La Nuit des espions de Robert Hossein : Elle
1960 : Les Canailles de Maurice Labro : Hélène Chalmers
1961 : La Princesse de Clèves de Jean Delannoy : La princesse de Clèves
1961 : La Fille dans la vitrine (La Ragazza in vetrina) de Luciano Emmer : Else
1962 : Adorable Menteuse de Michel Deville : Juliette
1962 : Climats de Stellio Lorenzi : Odile Marcenat
1962 : Les Bonnes Causes de Christian-Jaque : Catherine Dupré
1962 : Les Sept Péchés capitaux (film)
1963 : Le Meurtrier de Claude Autant-Lara : Ellie
1963 : Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri : Regina
1965 : Falstaff (Campanadas a medianoche) d'Orson Welles : Kate Percy
1966 : On a volé la Joconde (Il Ladro della Gioconda) de Michel Deville : Nicole
1966 : Atout cœur à Tokyo de Michel Boisrond : Eva Wilson
1967 : 2 ou 3 choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard : Juliette Jeanson
1967 : Mona, l'étoile sans nom d'Henri Colpi : Mona
1969 : Le Temps de vivre de Bernard Paul : Marie
1969 : Lika, le grand amour de Tchekhov (Syuzhet dlya nebolshogo rasskaza) de Serguei Youtkhevitch : Lika
1969 : Sirocco d'hiver (Sirokkó) de Miklós Jancsó : Maria
1970 : Pour un sourire, de François Dupont-Midi
1971 : Sapho ou la Fureur d'aimer de Georges Farrel : Françoise Legrand dite « Sapho »
1972 : La Nuit bulgare de Michel Mitrani : Marthe Tarset
1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne : Madame Thulle
1973 : Le Complot de René Gainville : Christiane
1975 : Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio : Muriel Losseray
1976 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier : Madame de Parabère
1977 : Elles deux (Ök ketten) de Márta Mészáros : Mari
1980 : L'Œil du maître de Stéphane Kurc : Isabelle de Brabant
1982 : Les Jeux de la comtesse Dolingen de Gratz, de Catherine Binet : La mère de la fillette
1984 : Bordelo de Níkos Koúndouros
1985 : Tangos, l'exil de Gardel de Fernando E. Solanas : Florence
1985 : Un'isola de Carlo Lizzani
1986 : Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré : Natacha Tataïev
1987 : Les Exploits d'un jeune Don Juan (L'Iniziazione) de Gianfranco Mingozzi : Madame Muller
1989 : Splendor d'Ettore Scola : Chantal
1989 : Follow Me de Maria Knilli : Ljuba
1991 : Pyushchye krovy de Yevgeni Tatarsky
1992 : O-Roshiya-koku suimu-dan (The Dream of Russia) de Junya Sato : La princesse Ekaterina
1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier : Elle-même
1996 : Anemos stin poli de Petros Sevastikoglou : Simone
1997 : Jeunesse de Noël Alpi : Miss Alice
2011 : Quelques jours de répit de d'Amor Hakkar
Télévision
1974 : Les charmes de l'été
1978 : Les Deux Berges de Patrick Antoine : Marcelline Dorval
1982 : Fort comme la mort, téléfilm de Gérard Chouchan : Any de Gilleroy
1982 : Les Secrets de la princesse de Cadignan téléfilm de Jacques Deray d'après Honoré de Balzac : la marquise d'Espard
1998 : Tous les papas ne font pas pipi debout de Dominique Baron : Grany
2000 : Victoire, ou la douleur des femmes de Nadine Trintignant : Victoire
Théâtre
1957 : Vous qui nous jugez de Robert Hossein, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'Œuvre
1957 : Jupiter de Robert Boissy, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins
1966 : Les Trois Sœurs d'Anton Tchekov, mise en scène André Barsacq, Théâtre Hébertot
1983 : Erendira et la grand-mère diabolique de Gabriel García Márquez, mise en scène Augusto Boal, Théâtre de l'Est parisien
1992 : Sarcophagus de Vladimir Gubariev, adaptation Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Maison de la Culture de Loire-Atlantique Nantes
1994 : La Source bleue de Pierre Laville, mise en scène Jean-Claude Brialy, Théâtre Daunou
1999 : La Cerisaie d'Anton Tchekov, mise en scène Georges Wilson, Espace Pierre Cardin
2006 et 2007 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre des Bouffes du Nord
2009 : Vladimir Vissotsky ou le vol arrêté, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Théâtre Meyerhold (Moscou), invité par le Théâtre de la Nation
2009 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Centre national de création d'Orléans
2010 : Les Dames du jeudi de Loleh Bellon, mise en scène Christophe Lidon, Théâtre de l'Œuvre
Discographie
1973 : Il est à moi, Le Voleur de chevaux, 45 tours (S 2 titres) CBS
1974 : Vlady Vissotsky, 33 tours 12 titres chantés avec Vladimir Vissotsky, réédité en 2007 CD Le Chant du Monde
1981 : Berceuse cosaque, La jeune fille se promenait dans les bois, Berceuse pour endormir l'orage, Petite berceuse, chantées en russe, Le Chant du Monde, réédition sur compilation Éternelle Russie, 3 CD Sélection du Reader's Digest 3058 (1995)
Bibliographie
Babouchka, récit, coécrit avec Hélène Vallier, Odile Versois et Olga Varen, Éditions Fayard, Paris, 1979
Vladimir ou le vol arrêté, récit, Éditions Fayard, Paris, 1987
Les Jeunes filles, roman de Vladimir Vissotsky, avant-propos de Marina Vlady, Éditions Alinea, 1989
Récits pour Militza, récit, Éditions Fayard, Paris, 1989
Le Collectionneur de Venise, roman, Éditions Fayard, Paris, 1990
Le Voyage de Sergueï Ivanovitch, roman, Éditions Fayard, Paris, 1993
Du cœur au ventre, essai, Éditions Fayard, Paris, 1996
Ma Ceriseraie, roman, Éditions Fayard, Paris, 2001
Ballades, poésies, de Vladimir Vissotsky, préface de Marina Vlady, Les Éditions de Janus, Paris, 2003
24 images/seconde, mémoires, Éditions Fayard, Paris, 2005
Sur la plage, un homme en noir, roman, Éditions Fayard, Paris, 2006
Le Fol Enfant, récit, Éditions Fayard, Paris, 2009
Distinctions
1954 : Prix « Suzanne Bianchetti » pour Avant le déluge d'André Cayatte
1963 : Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes pour Le Lit conjugal (Una storia moderna: l'ape regina) de Marco Ferreri
2008 : Prix « Reconnaissance des cinéphiles » pour l'ensemble de sa carrière remis par l'association « Souvenance de cinéphiles » à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes)
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Pâques est la fête la plus importante du christianisme. Elle commémore la résurrection de Jésus, que le Nouveau Testament situe le surlendemain de la Passion, c'est-à-dire « le troisième jour ». La solennité, précédée par la Semaine sainte, dernière partie du carême, commence le dimanche de Pâques.
La date de Pâques est fixée au premier dimanche après la première pleine lune qui suit le 21 mars, donc au plus tôt le 22 mars, si la pleine lune tombe le soir du 21, et au plus tard le 25 avril. Il ne s'agit pas de la lune observée, mais d'une lune dite ecclésiastique, méthode de calcul traditionnelle approchée. Les Églises occidentales, ayant adopté à la fois la réforme grégorienne du calendrier et une correction concomitante pour le cycle lunaire, ont souvent un jour de célébration différent de celui des Églises orthodoxes, le décalage pouvant être de 0, 1 ou 5 semaines, selon les années (exceptionnellement 4, si la lune est nouvelle à Rome, mais pas à Constantinople).
Certaines Églises chrétiennes choisissent de pratiquer la Pâque quartodécimaine en concordance avec la Pâque juive.
Étymologie
Les mots « Pâque » ou « Pâques » viennent du latin pascha emprunté au grec πάσχα, lui-même, par l'intermédiaire de l'araméen pasḥa, issu de l'hébreu biblique pesaḥ, dérivé du verbe pasaḣ qui signifie « passer au-dessus » car, selon la Bible les juifs avaient reçu l'ordre de sacrifier un agneau indemne de toute tare et d'en badigeonner le sang sur les montants des portes afin que les puissances qui viendraient détruire les premiers nés égyptiens lors de la dixième plaie, passent au-dessus de ces portes sans s'arrêter. Chaque année les juifs commémorent cet événement lors de la fête de Pessa'h. La Passion du Christ s'étant déroulée, selon les évangiles, durant ces célébrations, le christianisme a investi cette fête et sa symbolique, le Christ devenant l'agneau immolé pour sauver l'humanité de ses péchés.
Le pluriel de Pâques ne fait pas référence à une pluralité de dates. La langue française distingue en effet la Pâque originelle juive (ou Pessa'h) et la fête chrétienne de Pâques. La première commémore la sortie d'Égypte et la liberté retrouvée des enfants d'Israël. La fête chrétienne est multiple. Elle commémore à la fois la dernière Cène instituant l'eucharistie, la Passion du Christ et sa résurrection. C'est seulement après le xve siècle que la distinction sémantique a été marquée par la graphie entre Pasque (ou Pâque) désignant la fête juive et Pasques (ou Pâques) désignant la fête chrétienne
Date de Pâques
Dates de Pâques
2000-2040
Année | Occident | Orient |
---|---|---|
2000 | 23 avril | 30 avril |
2001 | 15 avril | |
2002 | 31 mars | 5 mai |
2003 | 20 avril | 27 avril |
2004 | 11 avril | |
2005 | 27 mars | 1er mai |
2006 | 16 avril | 23 avril |
2007 | 8 avril | |
2008 | 23 mars | 27 avril |
2009 | 12 avril | 19 avril |
2010 | 4 avril | |
2011 | 24 avril | |
2012 | 8 avril | 15 avril |
2013 | 31 mars | 5 mai |
2014 | 20 avril | |
2015 | 5 avril | 12 avril |
2016 | 27 mars | 1er mai |
2017 | 16 avril | |
2018 | 1er avril | 8 avril |
2019 | 21 avril | 28 avril |
2020 | 12 avril | 19 avril |
2021 | 4 avril | 2 mai |
2022 | 17 avril | 24 avril |
2023 | 9 avril | 16 avril |
2024 | 31 mars | 5 mai |
2025 | 20 avril | |
2026 | 5 avril | 12 avril |
2027 | 28 mars | 2 mai |
2028 | 16 avril | |
2029 | 1er avril | 8 avril |
2030 | 21 avril | 28 avril |
2031 | 13 avril | |
2032 | 28 mars | 2 mai |
2033 | 17 avril | 24 avril |
2034 | 9 avril | |
2035 | 25 mars | 29 avril |
2036 | 13 avril | 20 avril |
2037 | 5 avril | |
2038 | 25 avril | |
2039 | 10 avril | 17 avril |
2040 | 1er avril | 6 mai |
Le jour de Pâques est un dimanche situé à des dates variables du calendrier grégorien comprises entre le 22 mars et le 25 avril. Des dates de jours fériés et de fêtes dépendent de ce jour de Pâques, comme le lundi de Pâques, l'Ascension, la Pentecôte, le lundi de Pentecôte.
À titre d'exemple, les dates contemporaines de Pâques sont les dimanches :
31 mars 2024
Ces dates sont celles du calendrier grégorien, qui suit le mouvement du Soleil et les saisons.
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