Date de création : 09.04.2012
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26.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Willy Brandt , né Herbert Ernst Karl Frahm le 18 décembre 1913 à Lübeck et mort le 8 octobre 1992 à Unkel, est un homme politique ouest-allemand.
Membre du Parti social-démocrate (SPD), il est président de la Chambre des députés de Berlin de 1955 à 1957, bourgmestre-gouverneur de Berlin de 1957 à 1966, président du SPD de 1964 à 1987, vice-chancelier et ministre fédéral des Affaires étrangères de 1966 à 1969.
De 1969 à 1974, il est chancelier fédéral, à la tête d’une coalition sociale-libérale. Il est le premier social-démocrate à diriger le gouvernement depuis 1930. Son Ostpolitik a ouvert une nouvelle phase de relations avec la République démocratique allemande, la Pologne, la Tchécoslovaquie et lui vaut le prix Nobel de la paix en 1971.
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Julien Duvivier, né le 8 octobre 1896 à Lille et mort le 29 octobre 1967 à Paris, est un réalisateurfrançais. Il a marqué le cinéma français de la période 1930-1960. Parmi ses films les plus originaux, figurent notamment Pépé le Moko, Panique et Voici le temps des assassins. Célèbre pour sa noirceur et son pessimisme, il connut cependant l'un de ses plus grands succès publics avec son Don Camillo.
Julien Duvivier a fait ses débuts en tant qu'acteur de théâtre en 1916 à l'Odéon, sous la direction d'André Antoine
En 1918, il entre dans le domaine du cinéma chez Gaumont en tant que scénariste ou assistant réalisateur, aux côtés de Louis Feuillade, d'André Antoine, et de Marcel L'Herbier. L'année suivante, en 1919, Duvivier réalisera son premier film, Haceldama ou le prix du sang, qui ne connaîtra cependant pas un grand succès.
Parmi les films qu’il tourne dans les années 1920, plusieurs traitent de sujets religieux, notamment Credo ou la Tragédie de Lourdes (scénario Georges d'Esparbès), L'Abbé Constantin, ou encore La Vie miraculeuse de Thérèse Martin… Sa filmographie ne restera jamais cantonnée cependant à une thématique ni même à un style particulier et en 1926, il tourne L'Homme à l'Hispano avec Georges Galli.
Dans les années 1930, il est engagé par de la société de production Film d'Art fondée par Marcel Vandal et Charles Delac où il pratique le travail d'équipe. Duvivier y restera neuf ans.
C’est avec David Golder, réalisé en 1930, que Duvivier connaît un premier succès. C’est aussi son premier film parlant, et la première expérience du parlant pour l’acteur Harry Baur.
1934 marque la première collaboration de Julien Duvivier avec l’acteur Jean Gabin, qu’il dirige dans Maria Chapdelaine.
En 1935, pour La Bandera, Julien Duvivier s’attache pour l’écriture les talents de Charles Spaak, qui avait jusque-là collaboré avec Feyder, Grémillon, Allégret et L'Herbier. Ils travailleront par la suite souvent ensemble.
Après le tournage du Golem (1936), film fantastique, Duvivier entreprend La Belle Équipe avec Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos, une œuvre qui restera un titre phare du réalisateur. Dans ce film, cinq traîne-savates décrochent le gros lot à la loterie et décident d’acheter en commun une guinguette au bord de l’eau ; mais les imprévus se succèdent, et quand la femme s’en mêle, il n’y a plus grand-chose à sauver. La fin originale du film étant jugée trop pessimiste, les producteurs imposent à Duvivier, à son grand dam, de réaliser un dénouement plus heureux. Si ces deux fins existent toujours, c'est la version optimiste qui a été exploitée en salle.
Trois films s’enchaînent ensuite : L'Homme du jour (1936), Pépé le Moko et Un carnet de bal (1937). Tandis que le premier, avec Maurice Chevalier dans le rôle principal, est un film mineur dans la carrière du réalisateur, les deux autres sont d'incontestables sommets. Pépé le Moko, qui nous plonge dans le milieu de la pègre, et qui a pour décor exotique la ville d’Alger, est par ailleurs le film qui véritablement propulse Gabin au rang de vedette internationale.
En 1938, Duvivier signe un contrat avec la MGM et va tourner aux États-Unis un premier film, une biographie de Johann Strauss, The Great Waltz.
L'année suivante, déjà de retour en France, Duvivier met en scène La Fin du jour, dans lequel des acteurs de théâtre à la retraite luttent pour que la maison de repos créée pour les accueillir eux seuls ne ferme pas ses portes ; on retrouve dans ce film Michel Simon en vieil acteur cabotin, et Louis Jouvet en vieux jeune premier psychotique qui croit encore en son pouvoir de séduction. C’est sans doute le film le plus émouvant du réalisateur et il a souvent déclaré que, de tous ses films, celui-ci était son préféré. Duvivier enchaîne ensuite avec La Charrette fantôme, film fantastique adapté d’un roman de Selma Lagerlöf.
Duvivier tourne en 1940 Untel père et fils, avec Raimu, Michèle Morgan, et Louis Jouvet ; le film, une chronique familiale, ne pourra, à cause de la tournure prise par les événements politiques, être projeté qu’à la fin de guerre, du moins en France. Ce film, en dépit d'une distribution excellente, est généralement considéré comme un film mineur, voire raté, de Duvivier.
Durant la Seconde Guerre mondiale, contrairement à Marcel Carné notamment, qui malgré les circonstances poursuit sa carrière en France, Julien Duvivier part de nouveau travailler aux États-Unis, où il réalise cinq films : Lydia (1941), 2 films à sketches : Six destins, avec Charles Boyer, Rita Hayworth entre autres stars (1942) et Obsessions, avec Edward G. Robinson, Charles Boyer et Barbara Stanwyck (1943), ensuite L'Imposteur, avec Gabin (1943) et Destiny (1944).
À son retour en France, Duvivier éprouve quelques difficultés à renouer avec son succès des années 1930. En 1946, sort Panique. Condensé exhaustif des instincts les plus vils et les plus bas de la nature humaine, l’œuvre, adaptée du roman Les Fiançailles de monsieur Hire de Georges Simenon, reste le film le plus personnel, le plus noir et le plus nihiliste de son auteur. Ce sera un échec cuisant, tant critique que public. La critique lui reprocha une volonté de retour au réalisme poétique d’avant-guerre. Duvivier continuera cependant, après un court détour en Grande-Bretagne en 1948 pour le tournage d'Anna Karénine et un tournage en Espagne pour Black Jack en 1950, à travailler en France jusqu’à la fin de sa vie.
En 1951, il réalise Sous le ciel de Paris, un film d’une très grande originalité d’un point de vue du découpage scénaristique : au cours d’une journée à Paris, on suit des gens dont les destins vont finir par se croiser. La même année, Duvivier tourne le premier volet des Don Camillo : Le Petit Monde de don Camillo qui rencontre un succès populaire immédiat et auquel il donne lui-même une suite Le Retour de don Camillo, qui sort en 1953. La série se prolongera sous la direction d’autres réalisateurs. En 1952 il tourne La Fête à Henriette film racontant un film en train de se construire au niveau du scénario, dans lequel il s'autoparodie en compagnie d'Henri Jeanson
Dans Voici le temps des assassins (1956), on retrouve Jean Gabin dans le rôle d’un brave restaurateur qui se fait gruger par une jeune femme cynique et sans scrupules, jouée par Danièle Delorme. Un film très noir, et un portrait de femme démoniaque marquant. Duvivier tourne un autre grand film en 1958 : Marie-Octobre, avec Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Serge Reggiani et Bernard Blier, entre autres. Un exercice de style : 11 personnages (neuf hommes, deux femmes — la reine et l'ouvrière pourrait-on dire —), unité de lieu, de temps, d'action, et une mise en scène omniprésente, inquisitrice, presque menaçante, avec un souci constant et presque maniaque du cadrage et de la composition de l'image. La même année, le metteur en scène est invité à faire partie du jury au Festival de Cannes.
En 1962, il se livre une dernière fois à l’exercice du film à sketches, avec Le Diable et les Dix Commandements. L’année suivante, sort Chair de poule, dont le scénario est l'adaptation du roman Tirez la chevillette (Come Easy, Go Easy, 1960) de James Hadley Chase et dont l'intrigue présente bien des similitudes avec celle du Facteur sonne toujours deux fois. Une fois de plus Duvivier présente un personnage de garce sans scrupules.
En 1967, alors que la production de Diaboliquement vôtre vient de s’achever, film dans lequel il est question d’un homme rendu amnésique à la suite d’un accident de voiture, Duvivier est lui-même victime d’un accident de la circulation, provoqué par une crise cardiaque qui lui coûte la vie. Il est âgé de 71 ans et laisse derrière lui une filmographie riche de près de 70 titres, parmi lesquels on compte d’incontournables classiques du cinéma mondial.
Il est enterré au cimetière ancien de Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine. Son épouse Olga est décédée en 1955.
Thèmes récurrents
La bande, le groupe, la microsociété et la façon dont les individus peuvent évoluer ou pas au sein de leur environnement humain est un thème fréquent : La Belle Équipe qui donne son titre au film, la petite ville de Panique, le village italien des Don Camillo, le groupe d'acteurs retraités de La Fin du jour, le groupe d'anciens résistants dans Marie-Octobre, la gigantesque microsociété qu'est Paris dépeinte de façon impressionniste dans Sous le ciel…, les films de Duvivier sont comme des bouts de vie tissés. À côté de cela on y trouve des personnages à la solitude d'autant plus pesante, déchirante, qu'un monde grouille de vie autour d'eux : le Saint-Clair de La Fin du jour, le Monsieur Hire de Panique, l'assassin et la vieille dame aux chats de Sous le ciel…, le traître aux abois une fois dévoilé dans Marie-Octobre…
On trouve des portraits de femmes particulièrement cyniques dans La Belle Équipe, Panique, Voici le temps des assassins, Chair de poule…
On trouve des scènes se passant sur ou sous les toits dans La Belle Équipe, Panique (extraordinaire scène finale). Sous le ciel de Paris commence, après quelques vues aériennes de Paris, par un plan où l'on voit un chat de gouttière marcher sur un toit ; et l'assassin du film s'est aménagé un atelier de sculpteur dans une mansarde. C'est dans une mansarde également qu'habite le jeune homme de Boulevard — à qui il arrive de temps à autre de fuguer par la lucarne —, ainsi que le cambrioleur, joué par de Funès, du sketch Tu ne déroberas point dans Le Diable et les Dix Commandements…
La voix off : de celle de Dieu (Jean Debucourt) dans les Don Camillo à celle du diable (Claude Rich) dans Le Diable et les Dix Commandements. Une voix off (François Périer) est omniprésente dans Sous le ciel de Paris.
Héritage
Jean Renoir a dit au sujet de Duvivier : « Si j'étais architecte et devais construire un monument du cinéma, je placerais une statue de Duvivier au-dessus de l'entrée. Ce grand technicien, ce rigoriste, était un poète. » Outre Jean Renoir, notamment Ingmar Bergman et Orson Welles tenaient Duvivier en haute estime
Duvivier est l'inventeur d’un univers d’images où le réalisme le plus cru et souvent très noir est pénétré d’une fantaisie insolite. Après la Seconde Guerre mondiale, il donne une représentation tout aussi pessimiste de la société française, qu'il montre dominée par l'hypocrisie, le cléricalisme étroit, la mesquinerie et la rouerie féminine.
Anecdotes
Julien Duvivier a écrit ou collaboré aux scénarios de pratiquement tous ses films.
Julien Duvivier avait la réputation d’être un véritable despote sur les tournages, surtout avec les techniciens.
Il eut des acteurs fétiches : Harry Baur, Jean Gabin — et des collaborateurs fidèles, comme Charles Spaak, Henri Jeanson, René Barjavel, pour l’écriture
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Période 1919-1930 : les films muets |
Année | Film | Acteurs principaux | |
1919 | Haceldama ou le Prix du sang | ||
1920 | L'Agonie des aigles | Gaby Morlay | |
La Réincarnation de Serge Renaudier | |||
1921 | Crépuscule d’épouvante | ||
1922 | Les Roquevillard | ||
L'Ouragan sur la montagne | |||
Der Unheimliche Gast | Jeanne Helbling | ||
1923 | Le Reflet de Claude Mercœur | ||
1924 | Credo ou la Tragédie de Lourdes | ||
Cœurs farouches | |||
La Machine à refaire la vie | |||
L'Œuvre immortelle | |||
1925 | L'Abbé Constantin | ||
La Nuit de la revanche | |||
Poil de carotte | |||
1926 | L'Homme à l'Hispano | ||
1927 | L'Agonie de Jérusalem | ||
Le Mariage de mademoiselle Beulemans | |||
1928 | Le Tourbillon de Paris | ||
Le Mystère de la Tour Eiffel | |||
1929 | La Divine Croisière | ||
La Vie miraculeuse de Thérèse Martin | Janine Borelli | ||
Maman Colibri | Jeanne Dax | ||
1930 | Au Bonheur des Dames | Dita Parlo | |
Période 1931-1940 : les parlants d'avant-guerre | |||
Année | Film | Acteurs principaux | |
1931 | David Golder | Harry Baur | |
Les Cinq Gentlemen maudits | Harry Baur, Robert Le Vigan | ||
Die Fünf verfluchten Gentlemen | Anton Walbrook | ||
1932 | Poil de carotte | Harry Baur, Robert Lynen | |
La Vénus du collège | |||
Allô Berlin ? Ici Paris ! | Josette Day | ||
1933 | La Tête d'un homme | Harry Baur | |
Le Petit Roi | Robert Lynen | ||
La Machine à refaire la vie | |||
1934 | Le Paquebot Tenacity | Albert Préjean | |
Maria Chapdelaine | Madeleine Renaud, Jean Gabin, Jean-Pierre Aumont | ||
1935 | Golgotha | Robert Le Vigan, Harry Baur, Jean Gabin, Edwige Feuillère | |
La Bandera | Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan, Raymond Aimos, Pierre Renoir, Gaston Modot | ||
Bout de chou | |||
1936 | La Belle Équipe | Jean Gabin, Charles Vanel, Viviane Romance, Raymond Aimos | |
Le Golem | Harry Baur, Charles Dorat | ||
1937 | L'Homme du jour | Maurice Chevalier, Elvire Popesco | |
Pépé le Moko | Jean Gabin, Mireille Balin, Marcel Dalio, Fernand Charpin, Gabriel Gabrio, Saturnin Fabre, Gaston Modot | ||
Un carnet de bal | Marie Bell, Pierre Richard-Willm, Louis Jouvet, Raimu, Fernandel, Pierre Blanchar, Harry Baur | ||
1938 | Toute la ville danse (The Great Waltz) | Fernand Gravey, Luise Rainer, Miliza Korjus | |
1939 | La Fin du jour | Victor Francen, Louis Jouvet, Michel Simon, Madeleine Ozeray | |
La Charrette fantôme | Pierre Fresnay, Louis Jouvet, Marie Bell | ||
1940 | Untel père et fils | Raimu, Michèle Morgan, Louis Jouvet | |
Période 1941-1944 : l'intermède américain | |||
Année | Film | Acteurs principaux | |
1941 | Lydia | Merle Oberon, Joseph Cotten | |
1942 | Tales of Manhattan | Charles Boyer, Rita Hayworth, Ginger Rogers, Henry Fonda, Charles Laughton, Edward G. Robinson | |
1943 | Flesh and Fantasy | Edward G. Robinson, Charles Boyer, Barbara Stanwyck | |
1944 | L'Imposteur | Jean Gabin | |
Destiny | Alan Curtis | ||
Période 1946-1959 : les films d'après-guerre
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Année | Film | Acteurs principaux | |
1947 | Panique | Michel Simon, Viviane Romance, Paul Bernard | |
1948 | Anna Karénine | Vivien Leigh, Ralph Richardson | |
1949 | Au royaume des cieux | Serge Reggiani, Jean Davy | |
1950 | Black Jack | George Sanders, Agnes Moorehead | |
1951 | Sous le ciel de Paris | Paul Frankeur, Sylvie, François Périer, Brigitte Auber | |
1952 | Fernandel, Gino Cervi | ||
La Fête à Henriette | Dany Robin, Michel Auclair | ||
1953 | Le Retour de don Camillo | Fernandel, Gino Cervi | |
1954 | L'Affaire Maurizius | Madeleine Robinson, Daniel Gélin, Charles Vanel, Anton Walbrook, Eleonora Rossi Drago | |
1955 | Marianne de ma jeunesse | Marianne Hold, Pierre Vaneck | |
Marianne | Marianne Hold, Horst Buchholz | ||
1956 | Voici le temps des assassins | Jean Gabin, Danièle Delorme | |
1957 | Pot-Bouille | Gérard Philipe, Danielle Darrieux, Dany Carrel | |
L'Homme à l'imperméable | Fernandel, Bernard Blier | ||
1959 | La Femme et le Pantin | Brigitte Bardot, Antonio Vilar, Lila Kedrova | |
Marie-Octobre | Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Bernard Blier, Serge Reggiani, Lino Ventura, Paul Frankeur, Paul Guers, Daniel Ivernel, Robert Dalban | ||
Période 1960-1967 : derniers films
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Année | Film | Acteurs principaux | |
1960 | La Grande Vie | Giulietta Masina, Gert Fröbe | |
Boulevard | Jean-Pierre Léaud, Pierre Mondy | ||
1962 | La Chambre ardente | Jean-Claude Brialy, Édith Scob, Claude Rich | |
Le Diable et les Dix Commandements | Michel Simon, Micheline Presle, Françoise Arnoul, Mel Ferrer, Claude Dauphin, Charles Aznavour, Lino Ventura , Fernandel, Alain Delon, Danielle Darrieux, Madeleine Robinson, Louis de Funès, Jean-Claude Brialy | ||
1963 | Chair de poule | Robert Hossein, Jean Sorel, Catherine Rouvel | |
1967 | Diaboliquement vôtre | Alain Delon, Senta Berger | |
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Gustave Flourens
Le 8 octobre 1870 le Comité central républicain des Vingt arrondissements appelle les Parisiens à manifester contre la politique du Gouvernement de la Défense nationale.
Déjà le 5 octobre, Gustave Flourens a fait défiler près de 10 000 hommes en armes (surtout des Bellevillois), devant l'hôtel de ville, où siège le Gouvernement qu'ils pensent ainsi impressionner. Le 7, Théodore Sapia, commandant du 146e bataillon de la Garde mobile essaie en vain d'entraîner ses troupes contre le gouvernement. Il est arrêté.
Le 8 octobre, le Comité central républicain des Vingt arrondissements organise une manifestation pour imposer au gouvernement de fixer une date rapide pour les élections municipales (les maires ont été nommés le 7 septembre 1870 par le gouvernement qui pense ainsi contrôler les quartiers de la capitale). S'y ajoute la volonté de contraindre le gouvernement à renoncer à son intention de supprimer les caisses des compagnies de la Garde nationale. Également la Garde nationale veut conserver le droit d'élire et de révoquer ses officiers, droit que le gouvernement veut lui retirer.
Au lieu des milliers de Gardes nationaux attendus, les manifestants sont peu nombreux. C'est un échec pour le Comité. Le gouvernement est provisoirement vainqueur par forfait. Peu désireux d'envenimer les choses, le gouvernement renonce à poursuivre les meneurs, ce qui entraîne la démission le 11 octobre du préfet de police Émile de Kératry, partisan de la manière forte.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Manifestation_du_8_octobre_1870 | |||||||||||||||||||||||||||
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La bataille de Perryville, aussi connue sous le nom de bataille des Chaplin Hills est une bataille de la guerre de Sécession qui s'est déroulée le 8 octobre 1862, dans les Chaplin Hills, à l'ouest de Perryville, dans le Kentucky. Elle est le point d'orgue de la grande offensive confédérée, aussi appelée campagne du Kentucky.
Description
L'armée du Mississippi du général confédéré Braxton Bragg remporta d'abord une victoire tactique contre le simple corps de l'armée de l'Ohio du major général unioniste Don Carlos Buell. Mais la bataille est considérée comme une victoire stratégique de l'Union car Bragg se retira vers le Tennessee juste après, laissant la frontière du Kentucky aux mains de l'Union pour le restant de la guerre.
Le 7 octobre, l'armée de Buell, dans la poursuite de Bragg, convergea en trois colonnes vers la croisée de routes que constituait la petite ville de Perryville. Les forces de l'Union firent d'abord face à des combats d'escarmouche avec la cavalerie confédérée sur la route de Springfield (Springfield Pike) avant que le combat ne devienne plus général, sur Peters Hill, avec l'arrivée de l'infanterie confédérée. Les combattants désespérèrent d'atteindre Perryville, en raison de la chaleur et du manque d'eau potable dans les alentours. Le jour suivant, à l'aube, les combats reprirent autour de Peters Hill avec l'avancée d'une division de l'Union vers le pic, s'arrêtant juste avant la ligne confédérée. Dans l'après-midi, une division confédérée se heurta avec le flanc droit unioniste, le premier corps du major général Alexander M. McCook, et le força à reculer. Quand d'autres divisions confédérées rejoignirent la bataille, la ligne de l'Union opposa une résistance farouche, contre-attaqua, mais dut finalement reculer, certaines de ses troupes étant mises en déroute.
Buell, quelques kilomètres en arrière de l'action, n'était pas informé que la bataille se déroulait et n'envoya des réserves sur le front que tard dans l'après-midi. Les troupes de l'Union, sur leur flanc droit, renforcées par deux brigades, stabilisèrent leur ligne et l'attaque confédérée, hésitante, fut stoppée. Plus tard, trois régiments confédérés attaquèrent la division unioniste sur la route de Springfield, mais furent repoussés et reculèrent dans Perryville. Les troupes unionistes les poursuivirent et des combats d'escarmouche se produisirent dans les rues, alors gagnées par la pénombre du soir tombant. Les renforts de l'Union menaçaient alors le flanc gauche confédéré. Bragg, à court d'hommes et de ravitaillement, se retira durant la nuit, et poursuivit la retraite confédérée par le Cumberland Gap jusqu'à l'est du Tennessee.
En considérant les pertes par rapport aux forces engagées des deux côtés, la bataille de Perryville fut l'une des plus sanglantes de la guerre de Sécession et la plus importante disputée dans l'État du Kentucky.
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Rinso est une marque de savon et de détergent à lessive commercialisée par Unilever . La marque a été créée par Robert S Hudson et à l'origine appelée Hudson's Soap, qui a été vendue à Lever Brothers de Port Sunlight , en Angleterre , en 1908. Elle a été introduite aux États-Unis par Lever Brothers Company en 1918.
Rinso a été l'une des premières poudres de savon commercialisées en masse. Il a été annoncé largement sur Etats-Unis la radio , étant le commanditaire de plusieurs programmes de radio tels que le populaire jour soap opera Big Sister 1936-1946, l'anthologie dramatique Grand Central Station de 1940 à 1942, les programmes de nuit Big Town à partir de 1937 1942, maire de la ville de 1942 à 1943, et notamment le Amos « n » Andy Montrer de 1943 à 1950. Pendant ce temps , heureusement scandé les annonces du produit le slogan « Rinso blanc, Rinso brillant » et se vantait que Rinso contenu " Le solium, l'ingrédient du soleil ". En 1936, le spectacle sponsoriséLe Rinso Music Hall a été enregistré à Londres et diffusé sur Radio Luxembourg et Radio Normandie , suivi de 1937 à 1939 par la populaire Rinso Radio Revue .
La prétention du produit à un meilleur rinçage était due à son incorporation de silicate de sodium comme adjuvant plutôt que, ou en plus du carbonate de sodium le plus couramment utilisé. Le précipité calcique de l' eau dure formé de métasilicate a tendance à être plus fin et donc moins susceptible d'être piégé dans un tissu que le carbonate de calcium crayeux .
Dans les années 1950, les ventes ont chuté lorsqu'un nouveau détergent , Tide , fabriqué par son rival Procter & Gamble , s'est révélé beaucoup plus populaire. Rinso a été remanié au début des années 1950 en tant que détergent avec un agent de bleuissement ajouté, et a été marqué et conditionné de manière distincte comme Rinso Blue, pour le différencier de la poudre de savon Rinso White toujours disponible. Au milieu des années 1960, le produit de savon a été abandonné. Le détergent a de nouveau été reformulé et a reçu un nouveau nom, Sunshine Rinso. La justification du changement de nom était que le nouveau Rinso amélioré avait désormais des "blanchisseurs de soleil". Il y avait beaucoup de soutien publicitaire (par exemple, une publicité très jouée pendant cette période était une version pop d'un jingle Sunshine Rinso, réglé sur You Are My Sunshine). Les ventes ne se sont pas sensiblement améliorées et Rinso a finalement disparu des étagères des magasins au milieu des années 1970, bien que le détergent liquide Rinso Blue soit encore visible sur les étagères américaines aussi récemment qu'à la fin des années 1980.
En 1953, c'était la première marque de savon à lessive introduite au Brésil . Bien qu'il ne soit plus produit dans le pays depuis des décennies, "Rinso" est encore de l'argot pour "savon à lessive" dans certaines régions du sud du Brésil.
En 1992, 99 Cents Only Stores, basée en Californie du Sud, a acheté les droits du nom «Rinso» à Unilever pour une utilisation aux États-Unis. Les produits de nettoyage de marque Rinso sont désormais bien en vue dans leurs magasins.
Rinso a été remplacé par une autre marque de détergent Unilever, Surf , sur ses quatre principaux marchés. Cependant, Rinso est toujours fabriqué par Unilever pour les marchés turc , asiatique et d'Amérique centrale . Rinso a été lancé en Indonésie en tant que première marque de détergent du pays. Depuis 2013, Rinso est leader sur le marché indonésien des détergents
Dans la culture populaire
Dans la comédie musicale Hair , il est mentionné dans la chanson "I'm Black / Ain't Got No".
Dans le film cinématographique de 1970, Watermelon Man , "Rinso white" est mentionné alors que Jeff Gerber tente de lui enlever la "noirceur".
"Rinso White" est chanté, ou plutôt crié, dans la version Spike Jones de Liebesträume .
Rinso était le sponsor de la série télévisée australienne de 1957, Leave It to the Girls
Dans Agent Carter saison 2 épisode 10, Howard Stark complimente l'un des agents SSR sur son parfum, et on lui dit que c'est Rinso
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Frank Morris
1960-1962
11 juin 1962 - Rendue célèbre par le film L'Évadé d'Alcatraz avec Clint Eastwood, l'évasion de Frank Morris et des frères John et Clarence Anglin reste un mystère. Disparus de leur cellule dans la nuit et de la prison via les bouches d'aération, on ne put jamais les retrouver. C'est seulement au petit matin que les gardes s'aperçoivent de leur évasion ; leurs cellules sont vides et leur absence dissimulée par des têtes de mannequins fabriqués en papier mâché. Le FBI lance alors l'une des plus grandes chasses à l'homme jamais entreprises — sans succès. Des effets personnels (vestes, lettres et photos) sont par la suite retrouvés dans la baie de San Francisco et plusieurs semaines plus tard, un corps en tenue bleue comme celui des détenus d'Alcatraz est repêché. Mais son état de détérioration est tel qu'il ne put jamais être identifié. Frank Morris, John et Clarence Anglin ont été officiellement portés disparus et présumés noyés. La cellule des évadés est reconstituée lorsque l'on visite la prison, notamment les trois cellules avec les mannequins et les bouches d'aération forcées. En 2009, on voit encore un avis de recherche des trois évadés, avec leurs visages vieillis informatiquement, qui semble destiné surtout à entretenir un mythe folklorique.
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Eliot Ness, né le 19 avril 1903 à Chicago, mort le 16 mai 1957 à Coudersport, est un agent du trésor américain.
Sa grande détermination à faire respecter la prohibition à Chicago l'a placé à la tête de l'équipe des Incorruptibles, qui livra une guerre sans merci à Al Capone, parrain de la mafia de Chicago (Chicago Outfit), de 1925 à 1932.
Né de parents protestants norvégiens, Peter et Emma Ness, il fit ses études à l'université de Chicago, dont il sortit en 1925 diplômé de droit et d'économie. Ness commença sa carrière comme enquêteur pour la Retail Credit Co. (compagnie de crédit) d'Atlanta. Nommé dans le secteur de Chicago, il fut chargé d'un travail de second plan. Il retourna alors à l'université, où il se consacra à la criminologie.
En 1926, son beau-frère, Alexander Jamie, un agent du FBI, réussit à le convaincre d'entrer dans les forces de l'ordre. En 1927, Eliot Ness rejoignit donc le département du Trésor, travaillant conjointement avec le bureau de la prohibition de Chicago. À la suite de l'élection de Herbert Hoover comme président, Andrew Mellon fut chargé de faire tomber Al Capone. Le gouvernement fédéral envisageait le problème sous deux angles : la lutte contre l'évasion fiscale, et le respect du Volstead Act (interdiction de vendre de l'alcool). Ness fut chargé de ce dernier aspect, en devant démanteler les distilleries clandestines et les routes d'approvisionnement de Capone.
Permis d'Eliot Ness.
Face à la corruption des forces de l'ordre, Ness monta un groupe d'hommes de confiance issu des services du Trésor. D'abord de cinquante, celui-ci fut réduit à quinze, puis à neuf membres. Les raids contre les distilleries et les brasseries commencèrent immédiatement; en six mois, Ness déclara avoir détruit pour 1 million de dollars de produits illégaux.
Une tentative de Capone pour acheter les agents de Ness fut utilisée par celui-ci à des fins de publicité, la presse faisant ses titres de ces Untouchables (incorruptibles). Il fut alors la cible de nombreuses tentatives de meurtre, l'un de ses amis étant même abattu.
Les efforts de son équipe eurent une sérieuse influence sur le déclin des affaires de Capone, bien que ce furent ses fraudes fiscales qui le trahirent. Dans un certain nombre de grands procès fédéraux en 1931, Capone fut accusé de vingt-deux cas de fraudes fiscales et d'environ 5 000 violations du Volstead Act. Le 17 octobre 1931, il fut condamné à onze années de prison, qu'il purgea dès 1932, à la suite de son appel.
Ness fut promu chef du bureau de la prohibition de l'Ohio en 1934. En 1935, avec la fin de la prohibition, il devint directeur de la sécurité publique de Cleveland. Il y mena une campagne de lutte contre la corruption dans les services de police et de secours, ainsi que contre le jeu. Il échoua cependant à arrêter le Cleveland Torso Murderer, tueur en série qui fit trembler la région au milieu des années trente, ce qui lui fut vivement reproché par le député Martin L. Sweeney (en), adversaire du maire de Cleveland (Ness suspecta fortement le cousin de ce député, le Dr. Francis E. Sweeney, d'être le tueur en série mais ne réussit pas à réunir les preuves nécessaires) et contribua à la fin d'une carrière honorable à Cleveland. Il dut quitter ses fonctions en 1942, à la suite d'un accident de circulation dû à l'alcool.
Ness partit alors pour Washington DC où il travailla pour le gouvernement fédéral. Il démissionna en 1944 pour devenir président d'une société de sécurité, Diebold Corporation, basée dans l'Ohio. Il tenta sans succès de devenir maire de Cleveland en 1947, et dut quitter ses fonctions à Diebold la même année. Il en vint finalement à travailler pour la North Ridge Industrial, à Coudersport en Pennsylvanie.
Son livre, The Untouchables, fut publié en 1957, peu après sa mort, due à une crise cardiaque.
Eliot Ness fut marié trois fois, divorcé deux, il eut un enfant, par adoption. Il est enterré dans le cimetière de Lakeview à Cleveland.
De nombreuses adaptations de sa vie ont fleuri, tant au cinéma qu'à la télévision, centrées sur ses activités durant la prohibition. La première célèbre fut la série télévisée Les incorruptibles avec Robert Stack.
Le film de Brian de Palma, Les Incorruptibles, avec Kevin Costner dans le rôle de Ness, fut même oscarisé. Eliot Ness fut également le personnage du Torso de Brian Michael Bendis.
Il a aussi inspiré le personnage de Rex Banner dans l'épisode Homer, le baron de la bière (saison 8) des Simpson.
Ness est le sujet d'une série de nouvelles par Max Allan Collins et apparaît également comme petit rôle dans la nouvelle de Collins « La route de la perdition »
Dr. Dre évoque Eliot Ness dans la chanson California Love avec 2Pac, ainsi que Lil' Wayne dans son rap Too comfortable, Lauryn Hill des Fugees le souligne également dans le morceau Ready or not, Eric B & Rakim dans leur rap Juice et Mc Solaar dans le morceau Gangster moderne ainsi que les Svinkels dans la chanson « Prohibition » et Fitzroy dans « En Manque de héros ». Le groupe de rap Ministère A.M.E.R. et notamment Stomy Bugsy le cite dans le titre Les rates aiment les lascars dans les années 1990.
Il y a également un magasin de sandwich dans le Fort Collins, Colorado, juste en dehors du campus de l'université du Colorado nommé Eliot Mess en son honneur.
Un jeu vidéo pour le parc de divertissements de Nintendo basé sur le film Les Incorruptibles a été commercialisé en 1990 sous le même nom. Il fait également une apparition comme personnages non jouable dans le jeu vidéo Shadow Hearts : From the New World.
Nicholas Lea prend les traits d'Eliot Ness dans l'épisode 12 de la saison 7 de Supernatural, lorsque Dean se retrouve en 1944 et fait sa rencontre. Dans cet épisode, Eliot Ness est un chasseur, tout comme les frères Winchester.
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