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Monde : France

Jacques Villeret

Jacques Villeret



Jacques Villeret, de son nom de naissance Jacky Boufroura, est un acteur français, né le 6 février 1951 à Loches (Indre-et-Loire) et mort le 28 janvier 2005 à Évreux (Eure) des suites d'une hémorragie interne hépatique.
Ses rôles les plus célèbres sont ceux de l'autiste Mo dans L'Été en pente douce, de l'extra-terrestre dans La Soupe aux choux, du maréchal Ludwig von Apfelstrudel dans Papy fait de la résistance et de François Pignon dans le Dîner de cons.
Jacky Boufroura est né à Loches (Indre-et-Loire) le 6 février 1951, d'un père kabyle (Algérie française), Ahmed Boufroura, et d'une mère tourangelle, Annette Bonin. Le couple divorcera alors que Jacques avait neuf mois. Il vécut une partie de son enfance à Loches, pays de son beau-père Raymond Villeret.
Sa carrière d'acteur débute d'abord sur les planches au Conservatoire de Tours, puis celui de Paris, où il a pour professeur Louis Seigner, suivi de pièces de théâtres.
Au cinéma, c'est le réalisateur Yves Boisset qui lui confie son premier rôle au cinéma, celui d'un soldat durant la Guerre d'Algérie dans R.A.S., en 1973. Il retournera sous la direction de Boisset l'année suivante dans Dupont Lajoie.
Dans les années 1970, celui qui avait une forte ressemblance avec Maurice Risch, incarne le Français moyen, gentil personnage rondouillard assez naïf, le plus souvent souffre-douleur. Il tourne sous la direction des plus grands tels que Jean-Claude Brialy (Un amour de pluie), Elie Chouraqui (Mon premier amour) et Jacques Rozier (Les Naufragés de l'île de la Tortue).
Mais c'est durant cette période qu'il va obtenir ses premiers rôles importants grâce à Claude Lelouch, avec qui il tournera huit films au total dans sa carrière, dont Le Bon et les Méchants et Robert et Robert, qui lui vaut le César du meilleur acteur dans un second rôle.
Bien qu'ayant obtenu le premier rôle de la comédie Bête mais discipliné, en 1979, la célébrité lui viendra en 1981 avec son rôle de l'extra-terrestre l'Oxien (La Denrée) dans La Soupe aux choux de Jean Girault. Autre second rôle fameux : dans le film Papy fait de la résistance (1983), il interprète lui-même la chanson «Je n'ai pas changé», reprise parodique (avec un fort accent allemand) de la chanson de Julio Iglesias. En 1999, il interprète le fameux François Pignon dans Le Dîner de cons, rôle pour lequel il remporte un César du meilleur acteur.


Il épousera Irina Tarassov, comédienne et auteur, le 26 décembre 1979, après deux ans de vie commune, et élèvera Alexandre, le fils de sa femme, comme son propre enfant. Alexandre est, en 2006, musicien et réalisateur. Jacques Villeret et Irina se séparent en 1998. Il rencontre Seny, une veuve africaine, qui s'apprêtait à quitter Lille pour vivre avec lui à Paris, quand une hémorragie interne l'emporte le 28 janvier 2005, peu avant ses 54 ans, à l'hôpital d'Évreux. Il sera enterré à Perrusson, auprès de sa grand-mère maternelle qui fut, pour lui, la personne de sa famille la plus proche.
Irina, son épouse, relate leur parcours, son accompagnement dans la carrière de son mari et leur combat face à la maladie qui emporta Jacques, dans un livre édité par Flammarion Un jour tout ira bien (Irina Tarassov-Villeret 2005).

Filmographie


1973 : RAS d'Yves Boisset : Le soldat Girot
1973 : Max l'indien court métrage de Tony Gatlif
1974 : Un amour de pluie de Jean-Claude Brialy : Guillaume
1974 : La Gueule ouverte (scènes supprimées) de Maurice Pialat
1974 : Toute une vie de Claude Lelouch
1974 : La Choisie court métrage de Gérard Mordillat : le beau-frère
1975 : Sérieux comme le plaisir de Robert Benayoun : Le gendarme à la télévision
1975 : Dupont Lajoie d'Yves Boisset : Gérald, l'assistant
1976 : Le Bon et les méchants de Claude Lelouch : Simon, petit truand associé à Jacques
1976 : Si c'était à refaire de Claude Lelouch : l'agent immobilier
1976 : Les Naufragés de l'île de la Tortue de Jacques Rozier : Petit Nono, l'accompagnateur
1976 : Nono Nénesse court métrage tourné en vidéo, resté inédit de Jacques Rozier et Pascal Thomas : Nono
1977 : Un autre homme, une autre chance de Claude Lelouch : un client
1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : le héros (Robert Villiers), garçon timide et gauche
1978 : Mon premier amour d' Elie Chouraqui : Jacques Labrousse
1978 : Molière ou La vie d'un honnête homme (scènes supprimées) d'Ariane Mnouchkine : un bateleur
1978 : Passe montagne de Jean-François Stévenin : Georges, un architecte parisien
1979 : Confidences pour confidences de Pascal Thomas : l'étudiant qui cherche du travail
1979 : Un balcon en forêt de Michel Mitrani : Gourcuff
1979 : Mais où est donc Ornicar de Bertrand Van Effenterre : Scènes coupées au montage
1979 : À nous deux de Claude Lelouch : tonton Musique
1979 : Bête mais discipliné de Claude Zidi : Jacques Cardot, un appelé dans la marine
1979 : Rien ne va plus -Suite de sketches - de Jean-Michel Ribes : Henri Fisserman dans Prégénérique, Paul Flantier dans Urgence, Bouli dans Night in tube, docteur Delomien dans Thérapie, Jacques du Breuil dans Retour aux sources, Robert Valier dans Brave Dupin, Florence dans Tout s'arrange, commissaire Blandin dans Propreté, le patron de La Grenade dans Café la Grenade, M. Fremelin dans Qui...qui...qui
1981 : Malevil de Christian de Chalonge : Momo
1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch : Jacques
1981 : La Soupe aux choux (film) de Jean Girault: l'Oxien (La Denrée)
1982 : Le Grand Frère de Francis Girod : L'inspecteur Coleau
1983 : Danton d' Andrzej Wajda: le général Westermann
1983 : Effraction de Daniel Duval : Valentin Tralande, dit Val
1983 : Édith et Marcel de Claude Lelouch : Jacques Barbier
1983 : Circulez y a rien à voir de Patrice Leconte : L'inspecteur Pelissier
1983 : Prénom Carmen de Jean-Luc Godard : l'homme qui mange des yaourts dans les toilettes de la station-service
1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré : maréchal (Reichsminister) Ludwig von Apfelstrudel
1983 : Garçon! de Claude Sautet : Gilbert, un garçon de café
1984 : Les Morfalous de Henri Verneuil : Béral
1985 : Drôle de samedi de Bay Okan: Maurice, le boucher
1985 : Hold-up d' Alexandre Arcady : Jérémie Planchet (chauffeur de taxi)
1985 : Dialogue de sourds - court métrage de Bernard Nauer : L'aveugle
1986 : La Galette du roi de Jean-Michel Ribes : Utte de Danemark
1986 : Les Folles Années du twist de Mahmoud Zemmouri: M'sieur John Wayne
1986 : Black Mic-Mac de Thomas Gilou : Michel Le Gorgues, inspecteur des services d'hygiène
1986 : Les Frères Pétard de Hervé Palud : Momo, le pote de Manu
1987 : Dernier été à Tanger d' Alexandre Arcady : Marcus
1987 : L'Été en pente douce de Gérard Krawczyk : Maurice Leheurt dit Mo
1987 : Soigne ta droite de Jean-Luc Godard : l'individu
1987 : Sale Temps court métrage d'Alain Pigeaux : Le chômeur de 40 ans, déprimé
1988 : La Petite Amie de Luc Béraud : Guillaume Bertin, l'urbaniste
1988 : La fête à Louisette court métrage d' Alain Pigeaux
1988 : Mangeclous de Moshé Mizrahi : Salomon
1990 : Trois années de Fabrice Cazeneuve : Alexandre Guillermen
1991 : Les Secrets professionnels du Dr Apfelglück d'Hervé Palud, Alessandro Capone, Mathias Ledoux, Stéphane Clavier, Thierry Lhermitte : Martineau
1991 : La Montre, la croix et la bannière (The favour, the watch and the very big fish) de Ben Lewin: Charles, l'homme de la lingerie
1991 : Le Fils du Mékong de François Leterrier : Durieux
1992 : Le Bal des casse-pieds d'Yves Robert : Jérôme
1992 : Le Batteur du boléro de Patrice Leconte : Drummer
1992 : Piège de feu court métrage d'Olivier Chavarot
1993 : Mayrig d'Henri Verneuil: Alexandre
1993 : 588, rue Paradis d'Henri Verneuil: Alexandre
1994 : Parano de Yann Piquer : Le pompiste dans le sketch : Nuit d'essence
1996 : Golden Boy de Jean-Pierre Vergne : Antoine, le mari de Sandrine, ouvrier et délégué
1998 : Le Dîner de cons de Francis Veber : François Pignon
1998 : Mookie d'Hervé Palud : frère Benoît
1999 : Les Enfants du marais de Jean Becker : Henri Pignol dit : Riton, le copain de garris
2000 : Les Acteurs de Bertrand Blier : Jacques Villeret
2001 : Un crime au paradis de Jean Becker: Jojo Braconnier
2001 : Un aller simple de Laurent Heynemann : Jean-Pierre, fonctionnaire au ministère
2001 : Rencontre avec Jacques Rozier - Documentaire - de Christian Argentino : Témoignage
2003 : Effroyables jardins de Jean Becker : Jacques Pouzay
2003 : Le Furet de Jean-Pierre Mocky : Le furet - Egalement co-producteur.
2004 : Malabar Princess de Gilles Legrand : Gaspard
2004 : Vipère au poing de Philippe de Broca : Monsieur Rézeau
2005 : Iznogoud de Patrick Braoudé : le calife Haround El Poussah
2005 : L'Antidote de Vincent de Brus : André Morin
2005 : Les Âmes grises d'Yves Angelo : Le juge Mierck
2005 : Les Parrains de Frédéric Forestier : Lucien
2005 : De qui me moque-Je ? (court métrage) de Matthieu Maunier-Rossi: le Paysan asiatique

Télévision


1972 : Histoire de détective - "Au théâtre ce soir" - de Pierre Sabbagh : Le photographe
1973 : Fantasio de Roger Kahane : Spark
1975 : Humour international de Paul Planchin
1978 : Le rabat-joie de Jean Larriage : Léon
1979 : Profession comédien de Catherine Barma et Jean-Claude Longin : Lui même
1979 : Un coup de rasoir de Pascal Thomas : Le domestique
1981 : Gaston Lapouge de Franck Apprederis : Gaston Lapouge
1982 : L'épreuve de Claude Santelli : Blaise
1982 : Jacques Dutronc : La nuit d'un rêveur de Pierre Desfons : Le gardien de la S.F.P
1982 : Merci Bernard -Séries - de Jean-Michel Ribes
1984 : Sacré Lucien de Bernard Bouthier : Lucien Leroy
1985 : La dernière chance de Gérard Jourd'hui
1986 : Les millionnaires du Jeudi de Claude Grinberg
1989 : C'est encore mieux l'après-midi de Georges Folgoas
1996 : Georges Dandin de Molière de Jean-Claude Brialy : Georges Dandin
1997 : Le dernier été de Claude Goretta : Georges Mandel
1997 : Les beaux jours de ?
1998 : Volpone de Christian de Chalonge
2001 : Désobéissance de Fabrice Cazeneuve
2003 : Louis de Funès, La comédie humaine - Documentaire - de Philippe Azoulay : Témoignage

Théâtre


1970 : La Locandiera de Carlo Goldoni, mise en scène Jacques Ardouin, Théâtre Hébertot
1970 : J'ai régné cette nuit de Pierre Sabatier, mise en scène Jacques Ardouin, Théâtre Hébertot
1971 : Des frites, des frites, mise en scène Gérard Vergez, TNP
1972 : Occupe-toi d'Amélie de Georges Feydeau, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins
1972 : Le Testament du chien d'Ariano Suassuna, mise en scène Guy Lauzin, Festival d'Avignon
1973 : Viendra-t-il un autre été ? de Jean-Jacques Varoujean, mise en scène Jacques Spiesser, Petit Odéon
1973 : Les Fourberies de Scapin de Molière, théâtre de Reims-Robert Hossein
1973 : Dom Juan de Molière, mise en scène Régis Anders, Festival d'Orge
1974 : Gomina, mise en scène François Wertheimer, L'Européen
1975-1983 : One-man show
1987 : C'est encore mieux l'après-midi de Ray Cooney, mise en scène de Pierre Mondy, Théâtre des Variétés
1989 : Un fil à la patte de Georges Feydeau, mise en scène de Pierre Mondy, au Théâtre du Palais-Royal
1991 : La Contrebasse de Patrick Süskind, mise en scène Philippe Ferran, Théâtre Hébertot
1991 : Reprise au Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
1993 :Le Dîner de cons de Francis Veber, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés
1998 : La Contrebasse de Patrick Süskind, Théâtre Marigny
2000 : Jeffrey Bernard est souffrant de Keith Waterhouse, mise en scène Jean-Michel Ribes, Théâtre Fontaine

Récompenses
César du cinéma


1979 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Robert et Robert.
1984 : Nomination pour le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Garçon !
1999 : César du meilleur acteur pour Le Dîner de cons.
Molières
1991 : Nomination pour le Molière du comédien pour La Contrebasse de Patrick Suskind adapté par Bernard Lortholary et Jean Poiret, Théâtre Hébertot,direction Félix Ascot.
1994 : Nomination pour le Molière du comédien pour Le Dîner de cons de Francis Veber, Théâtre des Variétés, direction Jean-Paul Belmondo.
2001 : Nomination pour le Molière du comédien pour Jeffrey Bernard est souffrant
1999 : Prix Lumière du meilleur acteur pour Le Dîner de cons.
Minerve du meilleur acteur pour le film publicitaire Petits Cœurs de Belin.
Chevalier des Arts et Lettres.

Légion d'honneur.

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Villeret

 
     
Notes et références                                                    
    Cinéma : Acteur - actrice J 
   
   
   
   
   
Film   Hold-up (film, 1985)
    La Soupe aux choux (film) 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Guy Marchand

Guy Marchand

 

Guy Marchand est un acteur, chanteur et musicien français, né le 22 mai 1937 dans le 20e arrondissement de Paris. À la fois pianiste, saxophoniste et clarinettiste, il joue du jazz, du blues et du tango.

Doté d'une belle voix de crooner, son premier succès lui vient de la chanson avec La Passionata, tube de l'été 1965. Il est notamment connu pour avoir interprété la chanson Destinée, bande originale du film Les Sous-doués en vacances et également présente dans la bande originale du film Le Père Noël est une ordure. Guy Marchand ne considère cependant pas Destinée, de même que Avec le PMU on joue comme on aime, comme sa principale contribution au patrimoine culturel.

Sa carrière sur grand écran a été marquée par de nombreux seconds rôles, en particulier celui de l'inspecteur adjoint de Lino Ventura, dans Garde à vue de Claude Miller, qui lui vaudra le César du meilleur acteur dans un second rôle, en 1982. La même année, toujours aux côtés de Michel Serrault, on peut le voir dans Nestor Burma, détective de choc. C'est alors Michel Serrault qui interprète Nestor Burma. Clin d'œil du destin : il se glissera, près de dix ans plus tard et pour de nombreuses années, dans le costume du personnage pour la série télévisée Nestor Burma.

On peut également noter ses interprétations particulièrement réussies dans les films Coup de torchon, où Philippe Noiret tient le rôle principal, ainsi que dans L'Été en pente douce qui lui offre le rôle d'un cynique garagiste de province.

Guy Marchand aime le tango, l'équitation et le polo. Il a pratiqué la boxe, le sport automobile au volant de Simca 1000 rallye avec le Star Racing Team, ainsi que le parachutisme. En effet, au cours de son service militaire comme EOR à la BETAP de Pau, il est affecté comme sous-lieutenant — breveté parachutiste — dans un régiment d'infanterie parachutiste, (une compagnie de livraison par air) ce qui lui vaudra d'être mis en subsistance pendant quelque temps au sein du 3e régiment étranger d'infanterie (3e REI) en Algérie, comme officier de liaison.

En 2007, il publie son autobiographie Le Guignol des Buttes-Chaumont (chez Michel Lafon) et il épouse une jeune femme sibérienne du prénom d'Adelina.
En 2011, il publie son deuxième roman "Le soleil des enfants perdus"(chez Ginkgo éditeur)


Filmographie

Cinéma

• 1970 : Boulevard du rhum : Ronald / L'acteur
• 1972 : Une belle fille comme moi : Roger, dit Sam Golden
• 1975 : Attention les yeux ! : Bob Panzani
• 1975 : Cousin, cousine : Pascal
• 1975 : L'Acrobate : Ramon
• 1975 : Le Voyage de noces
• 1976 : Le Grand Escogriffe : Marcel
• 1977 : Tendre Poulet : Beretti
• 1977 : L'Hôtel de la plage : Hubert Delambre
• 1978 : Vas-y maman : Le journaliste
• 1978 : Le Maître nageur : Marcel Potier
• 1979 : Loulou : André
• 1980 : Plein Sud : Max Moineau
• 1980 : Au-delà de la gloire
• 1980 : Rends-moi la clé : Charlie
• 1981 : Nestor Burma, détective de choc : Marc Covet
• 1981 : Garde à vue : Inspecteur Marcel Belmont
• 1981 : Coup de torchon : Marcel Chavasson
• 1982 : Les Sous-doués en vacances : Paul Memphis
• 1983 : Mortelle randonnée : L'homme pâle
• 1983 : Coup de foudre : Michel
• 1984 : La Tête dans le sac : Romain
• 1984 : Stress : Alex
• 1984 : P'tit con : Bob Choupon
• 1985 : Hold-up : Georges
• 1986 : Je hais les acteurs : Egelhofer
• 1986 : Vaudeville : Gaston
• 1986 : Conseil de famille : Maximilien Faucon
• 1987 : La_Rumba : Ma Pomme
• 1987 : Charlie Dingo : Charlie Dingo
• 1987 : Grand Guignol : Baptiste
• 1987 : L'Été en pente douce : André Voke
• 1987 : Noyade interdite : Inspecteur Leroyer
• 1987 : Châteauroux district, film de Philippe Charigot : Marc dit Bebop
• 1988 : Bonjour l'angoisse : Lambert
• 1989 : Un père et passe : Jacques Levasseur
• 1990 : Ripoux contre ripoux : Guy Brisson
• 1995 : Le Nouveau Monde : Dr. Carrion
• 1996 : Le Plus Beau Métier du monde : Gauthier
• 1996 : Beaumarchais, l'insolent : Un membre de la cour
• 2001 : La Boîte : Pierre
• 2002 : Ma femme s'appelle Maurice : Boisdain
• 2002 : Tangos Volés : Lamblin / Bastiani
• 2006 : Dans Paris : Mirko, le père
• 2006 : Paid : Giuseppe
• 2007 : Après lui : François
• 2008 : Passe-passe : Pierre Delage
• 2010 : L'Arbre et la Forêt : Frédérick Muller


Télévision

• 1974 : Le Pain noir : Darbois
• 1980 : Opération Trafics : Inspecteur Mathieu
• 1981 : La Voie Jackson : Charlot
• 1983 : Trois morts à zéro : Luc Vachet
• 1984 : L'Homme de Suez : Ferdinand De Lesseps
• 1984 : Le tueur triste : Simon
• 1988 : Sueurs froides (1 épisode) : Fernand
• 1989 : Passez une bonne nuit
• 1990 : Le denier du colt
• 1990 : Les belles Américaines
• 1990 : La mémoire
• 1991-2003 : Nestor Burma (Série TV de 39 épisodes) : Nestor Burma
• 1998 : Fugue en ré
• 1999 : Trois saisons
• 2000 : Les jours heureux
• 2000 : Toute la ville en parle
• 2000 : Suite en ré : Loulou
• 2002 : L'été rouge (Feuilleton télévisé) : Capitaine Martin Le Brec
• 2003-2007 : Fargas (Série TV de 5 épisodes) : Fargas
• 2004 : Pardon : Philippe
• 2005 : Trois jours en juin : Edmond Valadon
• 2005 : Trois femmes... un soir d'été (Feuilleton télévisé) : Lucien Sauveterre
• 2006 : La Fille du chef : Edmond Martin
• 2007 : Un crime très populaire : Mario Venturi
• 2010 : Un bébé pour mes 40 ans de Pierre Joassin : le père de Béatrice
• 2011 : Le Grand Restaurant II de Gérard Pullicino
• 2011 : La Résidence de Laurent Jaoui : Francis


Récompenses

• César du meilleur acteur dans un second rôle :
o 1982 : Garde à vue
• Nominations au César du meilleur acteur dans un second rôle :
o 1981 : Loulou
o 1984 : Coup de foudre
o 1988 : Noyade interdite
o 2007 : Dans Paris


Discographie

Albums

• "Je cherche une femme" (mars 1969)
• "Guy Marchand chante Fragson" (janvier 1970)
• "Guy Marchand" (juillet 1979)
• "Le disque d'or de Guy Marchand" (1980 ?) Compilation
• "Guy Marchand : 16 grands succès" (1982 ?) Compilation
• "Master Serie : Guy Marchand" (1987) Compilation
• "Claude Bolling & Guy Marchand" (1988)
• "Buenos Aires" (fin 1995)
• "Marchand de rêves : Le meilleur de Guy Marchand" (avril 1998) Compilation
• "NostalGitan" (1998)
• "L'homme qui murmurait à l'oreille des femmes" (2000)
• "Demain j'arrête" (2002)
• "CD Story : Guy Marchand" (novembre 2003) Compilation
• "Emilio" (avril 2005)
• "Dernière vague" (octobre 2006)
• "A Guy in blue" (mai 2008)


Singles, SP et EP

• EP "La passionnata / Ça vous laisse perplexe / Le chanteur de charme / La rue Saint-Benoît" (juin 1965)
• SP "La Passionata / Le chanteur de charme" (juillet 1965)
• EP "L'amoureux transi / Casanova / Tout en dansant la rumba / Ba-Baby" (novembre 1965)
• SP "L'amoureux transi / Tout en dansant la rumba" (novembre 1965)
• SP "Si j'arrêtais la pendule / Ba-Baby" (janvier 1966)
• EP "Signor Caruso / Monsieur Al Capone / Ich Liebe Dich Marlene / Pardonne-moi Germaine" (mai 1966)
• SP "Signor Caruso / Monsieur Al Capone" (mai 1966)
• SP "Ich Liebe Dich Marlene / Pardonne-moi Germaine" (mai 1966)
• EP "Sentimental / Le Knack / Dancing / Vous" (février 1967)
• SP "Sentimental / Dancing" (février 1967)
• EP "Attendez-moi les gars / Mon amour a trop d'amour / Le gentleman de Monte-Carlo / Un garçon bien" (juin 1967)
• SP "Attendez-moi les gars / Mon amour a trop d'amour" (juin 1967)
• EP "Broadway / Frappe au foie / 1930 / Di Di Dui Da" (février 1968)
• SP "Broadway / Noir et blanc" (avril 1968)
• EP "Ben v'la aut'chose / J'aime les aventures / Sans moi / J'entends des pas" (septembre 1968)
• SP "Ben v'la aut'chose / Sans moi" (octobre 1968)
• SP "C'est une chanson d'amour / Je cherche une femme" (mars 1969)
• EP "Bye Bye les Girls / Baby Milady / Au fait mais je t'aime / La chanson est finie" (mai 1970)
• SP "Côté cour, côté jardin / C'est là que je descends" (novembre 1970)
• SP B.O. du film "Boulevard du Rhum" "Plaisir d'amour (en duo avec Brigitte Bardot) / Chanson de Ronald" (1971)
• SP "Que tes roses sont rouges Maria / L'Amerloque" (juin 1971)
• SP "Les filles on n'sait jamais / Me voilà seul encore une fois" (juin 1972)
• SP "Plein les bottes, les bottines et les boots / Danse à la belle étoile" (mars 1973)
• SP "Oh! Love / Lily Darling" (décembre 1973)
• SP "Lucille / Elle a 16 ans et c'est charmant" (mai 1974)
• SP "Moi je suis tango / Mister Tango" (avril 1975)
• SP B.O. du film "Attention les yeux" "Attention les yeux / Qu'on est con" (janvier 1976)
• SP "L'époque du mambo / Ma mère était gitane" (mai 1976)
• SP "Hey Crooner / Peggy" (juin 1977)
• SP "Relax / Las Vegas sur Marne" (mai 1978)
• SP B.O. du film "Le maître-nageur" "On s'reverra" (mars 1979)
• SP "Taxi de nuit / Dingue de blues" (novembre 1981)
• SP B.O. du film "Les sous-doués en vacances" "Destinée" (1982)
• SP B.O. du film "Le Père Noël est une ordure" "Destinée" (1982)
• SP "Au Flamingo / Dites-moi (de quel côté vous vous endormez)" (avril 1983)
• SP B.O. du film "La tête dans le sac" "Romantic Romance" (1984)
• SP "Bleu dur / Encore une cigarette de plus" (1986)
• LP B.O. du film "La Rumba" "Le chapeau de Zozo / J'ai deux amours (en duo avec Viviane Reed)" (1987)
• SP B.O. du film "Chateauroux District" "So Near So Far" (1987)
• Single "Hôtel des Solitudes / Sois tendre" (1995)
• Single "Ci-gît le gitan / I've Got You Under My Skin" (fin 1998)
• Single "Ragazza / Besame Mucho" (fin 1998)
• Single "Ouvrier de l'amour / Encore" (2000)

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Marchand

 
     
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Film   Hold-up (film, 1985)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Hold-up (film, 1985)

Hold-up (film, 1985)

 

 

 

Hold-up est un film franco-canadien réalisé par Alexandre Arcady, sorti en 1985.

 

Synopsis

 

À Montréal, Grimm (Jean-Paul Belmondo), un voyou au grand cœur, et son vieil ami Georges (Guy Marchand) effectuent après une longue préparation un hold-up à la Banque Intercontinentale du Canada.

 

Grimm se déguise en clown et Georges se fond parmi les otages. Le plan se déroule comme prévu : Grimm, avec beaucoup de malice, arrive à faire libérer ses deux complices et à sortir de la banque déguisé en grand-père au nez et à la barbe du commissaire Simon Labrosse (Jean-Pierre Marielle) et de la police cernant les lieux. La deuxième complice est Lise (Kim Cattrall), la petite amie de Georges qui a réussi à dissimuler le butin dans un faux ventre de femme enceinte. Alors qu'ils sont en route pour l'aéroport, Lasky, un encombrant « ami » de Grimm et de Georges, mais aussi la police, informée de la supercherie de Grimm, compromettent le départ du petit groupe vers Paris…

 

Fiche technique

 

Titre : Hold-up

Réalisation : Alexandre Arcady

Scénario : Alexandre Arcady, Daniel Saint-Hamont et Francis Veber d'après le roman Quick Change (publié en français sous le titre La Java des loquedus) de Jay Cronley

Producteur : Alain Belmondo et Bernard Bolzinger

Société de production : Cerito Films, France - Cinévidéo, Canada - Les Films Ariane, France

Musique : Serge Franklin

Générique interprétée par : Rena scott

Photographie : Richard Ciupka

Montage : Joële van Effenterre

Décors : Jean-Louis Povéda

Pays d'origine :  France -  Canada

Format : Couleur Dolby - 1.85:1 - 35 mm

Genre : comédie policière

Durée : 110 minutes

Date de sortie : 23 octobre 1985 (France)

 

Distribution

Jean Paul Belmondo : dessinsagogo55

Jean-Paul Belmondo : Grimm

Ceci contient une image de : Jean-Pierre Marielle

Jean-Pierre Marielle : Simon Labrosse

Kim Cattrall : Lise Lefèvre

Ceci contient une image de : Guy Marchand

  Guy Marchand : Georges

Ceci contient une image de : Jacques Villeret

Jacques Villeret : Jeremie Blanchet le chauffeur de taxi

Jean-Claude de Goros : Inspecteur Fox

Tex Konig : Lasky

Raymond Aquilon : Frankie le gardien

Georges Carrère : Directeur de la banque

Yvan Ponton : Tremplin

Guy Provost : Le maire

Guillaume Lemay-Thivierge : Enfant au lapin

Richard Niquette : Otage (4 enfants)

Yves Jacques : Otage 400 dollars

Sophie Stanké : Infirmière

Karen Racicot : Journaliste

Marguerite Corriveau : Journaliste U.S.A

Sébastien Dufort : Le scout

Michel Daigle : Policier pizza

Marie-Chantal Labelle : L'amoureuse

Francis Reddy : L'amoureux

Claude Sandoz : Publicité Banque

Louis-Georges Girard : Le journaliste T.V.

Eddie Constantine apparaît dans le film dans une scène avec Jacques Villeret

 

Autour du film

 

Le film a été tourné à Montréal, Paris et Rome.

Jean-Paul Belmondo est à ce moment-là le numéro un du cinéma français au box-office. Cependant, l'année précédente, ses deux derniers films (Les Morfalous et Joyeuses Pâques) n'ont pas connu le succès du Professionnel ou de L’As des as, même s'ils eurent des scores très enviables.

Les cascades ont été supervisées par Rémy Julienne, et les scènes de pilotage de la voiture ont été réalisées par Jean-Paul Belmondo avec pour passager Guy Marchand.

Hold-up fera 540 000 entrées dans Paris et sa périphérie, ce qui est un score honnête en cette année de crise de fréquentation du cinéma, mais on sent qu'une page se tourne et que le personnage « Belmondo justicier cascadeur » commence à lasser son public. Ce phénomène s’accentuera lors du prochain film de la star, Le Solitaire, qui sera clairement un échec.

Il a enregistré 2 367 294 entrées au box-office France 1985.

Lors du tournage de la cascade avec la dépanneuse finissant sa course dans un tas de sel, Belmondo s'est blessé, ce qui nécessita quelques points de suture. Après cet incident, Bébel décida de limiter ses grandes cascades au cinéma.

 

Une version américaine intitulée Quick Change a été réalisée en 1990 avec Bill Murray, Geena Davis et Randy Quaid dans les rôles principaux. Quick Change est d'ailleurs le titre du livre dont Hold-up est l'adaptation cinématographique.

 

Le réalisateur Alexandre Arcady apparaît en caméo ; il précède Grimm (Jean-Paul Belmondo) et Georges (Guy Marchand) lorsque ces derniers pénètrent dans le hall de l'hôtel Royal Monceau.

 
   
   
   
   
 
   
 
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Notes et références                                                    
    Cinéma : Film français
    Musique : De film 
   
   
   
Film    Hold-up (film, 1985)
   
   
Musique   Rena Scott : Hold-Up
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Champagne (AOC)

Publié à 23:46 par dessinsagogo55 Tags : center saint blogs centerblog sur plat merci france monde 2010 nature
Champagne (AOC)

 

 

Le champagne, également appelé vin de Champagne, est un vin effervescent français protégé par une appellation d'origine contrôlée dont la réglementation a nécessité plusieurs siècles de gestation. Son nom vient de la Champagne, une région du nord-est de la France. La délimitation géographique, les cépages, les rendements et l'ensemble de l'élaboration du champagne sont les principales spécificités de l'appellation.

 

L'origine du mot « champagne » provient de l’ancien terme français « canpayne ». Datant du XIe siècle, ce mot signifie « grande étendue de terrain plat ». Ce sont alors les nombreux champs ouverts sur des plateaux pâles qui ont inspiré le nom que porte la région même de Champagne.

 

Historiquement, dès le Moyen Âge, cette province a commencé par produire des vins tranquilles, non effervescents. Des vins clairs appelés aussi « nature », dont la renommée commence à dépasser leur région d'origine au XVIe siècle, par l'entremise d'un ambassadeur de renom, le roi Henri IV, puis au XVIIe siècle, grâce aux talents de dom Pérignon (1638-1715), un moine cellérier de l'abbaye bénédictine d’Hautvillers, notamment avec l'assemblage de différents crus et le contrôle de la prise de mousse lors de la deuxième fermentation. Le succès de l'appellation est ensuite allé croissant, passant de 8 millions de bouteilles expédiées en 1850, à 28 millions en 1900, 100 millions en 1970, 200 millions en 1986, 300 millions en 2010 et 312 millions en 2015, le marché ayant atteint 4,74 milliards d'euros, avec près de la moitié du chiffre d'affaires réalisée à l'export marqué par une forte progression en valeur et en volume.

 

Le champagne est élaboré essentiellement à partir de trois cépages : le pinot noir N, le meunier N et le chardonnay B. Le vignoble de Champagne produit surtout des vins blancs mousseux, avec un large éventail de cuvées (spéciales ou non), de millésimes et de flaconnages variés.

 

Le champagne est une boisson devenue synonyme de fête ou de célébration. Il bénéficie d'un prestige reconnu dans le monde entier, grâce à la protection et à la défense très actives de l'appellation, notamment assurées par le CIVC (Comité interprofessionnel du vin de Champagne)

 

 

Geneviève de Fontenay est morte

Publié à 11:20 par dessinsagogo55 Tags : center blogs centerblog sur merci france saint monde photo article 2010 annonce
Geneviève de Fontenay est morte

L'ancienne fondatrice française et présidente du comité Miss France, Geneviève de Fontenay, pose lors d'une séance photo dans son appartement de Saint-Cloud, à l'ouest de Paris, le 27 octobre 2020

 

 

.    Geneviève de Fontenay, ancienne dirigeante du Comité Miss France, est morte à l'âge de 90 ans, annonce son fils

La "Dame au Chapeau" a succombé mardi soir à un arrêt cardiaque à Saint-Cloud, a précisé son fils à TF1/LCI.
 
 
Article rédigé parfranceinfo
France Télévisions
 
Publié  11:09



Geneviève de Fontenay est morte à l'âge de 90 ans, a annoncé, mercredi 2 août, son fils Xavier à TF1/LCI. Elle s'est éteinte à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) à 23 heures mardi, d'un arrêt cardiaque dans son sommeil, précise-t-il à la chaîne. La "Dame au Chapeau" a été présidente du Comité Miss France de 1981 à 2009, puis du Comité Miss Prestige National de 2010 à 2016. 

 

 

 
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Liens externes                                                  
 

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Louis Dominique Cartouche

Louis Dominique Cartouche

Louis Dominique Garthausen, dit Cartouche (aussi appelé Bourguignon, Petit ou Lamarre), né en 1693 et mort exécuté le 28 novembre 1721, est un brigand puis un chef de bande ayant surtout sévi à Paris, durant la Régence de Philippe d'Orléans.

 

Arrêté et condamné à mort, à la suite de sa dénonciation par l'un de ses comparses, il est soumis à la question, mais garde alors le silence. Il meurt roué en Place de Grève, en ayant pu bénéficier d'un retentum. Cette exécution sera suivie de l'arrestation de quelques centaines de complices supposés, dont plus de soixante-dix seront condamnés à mort — par le moyen de la roue ou par pendaison —, de la fin de l'année 1721 et jusqu'en 1723 au moins ; d'autres seront condamnés aux galères, au bannissement ou à l'internement.

 

Le personnage de Cartouche, autour duquel sont venues, avant même son arrestation, se broder des légendes, souvent bienveillantes à son égard au point de faire de lui un héros, est évoqué dans différentes œuvres.

 

Biographie

Débuts d'un brigand

 

Né en 1693 à Paris, rue du Pont-aux-Choux, fils de Jean Garthauzsien, un ancien mercenaire allemand originaire de Hambourg, devenu tonnelier dans le quartier de la Courtille après avoir été valet chez le marquis de Beuzeville de la Luzerne (Normandie), Louis Dominique est appelé « Cartouche » par francisation de son patronyme. Enfant, il est élève au collège de Clermont, chez les Jésuites, avant d'en être rapidement chassé. Il s'entraîne alors à couper quelques bourses et, jeune amoureux, dérobe pour sa belle des présents qu'il lui offre : tabatières, mouchoirs, bonbonnières, boîtes à mouches, gardes d'épée… À l'âge de onze ans, à la suite d'une sévère réprimande de la part de son père très pointilleux sur l'honnêteté — après un vol, celui-ci aurait obtenu une lettre de cachet pour le faire interner dans une maison de redressement —, le jeune Cartouche quitte le domicile parental.

 

Il est recueilli par une bande de tziganes qui lui enseignent tours de cartes, bonne aventure et technique des petits larcins. Avec un certain Galichon — qui sera bien vite arrêté —, il vole flacons de vins et d'eau-de-vie et s'entraîne à l'épée. Un temps laquais chez monsieur de La Cropte, marquis de Saint-Acre et lieutenant général des armées du roi, il brille par sa dextérité au jeu. Le tricheur est néanmoins congédié. Ces petits « exploits » le rendent localement célèbre, et il prend la tête d'une petite bande en Normandie. Repéré par les autorités, il exerce un temps le rôle d'informateur pour le lieutenant de police d'Argenson, avant de partir pour l'armée. Après avoir servi quelque temps, notamment en tant que racoleur militaire, il s'entoure d'anciens soldats qui forment le noyau de sa nouvelle bande lors de son retour à Paris. Il prend alors la tête d'une centaine de bandits, hommes et femmes, qui commettent quotidiennement des vols et des assassinats dans la capitale.

 

Chef de bande

 

image

Portrait de Cartouche et différents épisodes de son existence et au-dessous une vue de Paris,
burin anonyme, Paris, BnF, département des estampes et de la photographie, xviiie siècle.
 

Voulant donner à sa bande une bonne organisation inspirée de l'armée, avec hiérarchie et discipline, Cartouche se fait élire chef après une remarquable harangue de ses troupes. Pourtant, avec ses longs cheveux bruns, son visage fin, ses grands yeux noirs et sa petite taille, il est surnommé « L'Enfant » ou « Le Petit ». Deux groupes criminels bien distincts officient alors : l'un, sous son autorité directe, et le second, sous les ordres de Gruthus du Châtelet, dit « Le Lorrain », petit noble, ancien soldat des gardes-françaises. Ces bandes de « cartouchiens » rassemblent des individus d'horizons divers : on y trouve même Balagny, dit « Le Capucin », un membre de la famille du premier valet de chambre du Régent. D'ailleurs, certains historiens se demandent, au vu de la qualité de certains de ses complices, si le bandit n'est pas manipulé par le pouvoir. À l'époque, des ragots rapportent même que le Régent l'aurait rencontré et qu'intimidé, il aurait hésité à ordonner son arrestation… En tout cas, il possède de nombreux indicateurs, notamment parmi les oublieurs, et crée un réseau efficace de receleurs et d’armuriers.

 

Intelligent, acrobate et spirituel, Cartouche gagne vite une certaine estime parmi une population exaspérée par les corruptions de l'époque. Un jour, il sauve du suicide un marchand ruiné en payant des créanciers, qu'il vole ensuite ! Une nuit, il s'empare d'une épée que le Régent comptait offrir. S'apercevant qu'elle est factice, il la rend avec le commentaire suivant : « Au premier voleur du royaume, qui a tenté de faire tort à Cartouche, son confrère. » Ses acolytes ne sont pas en reste dans l'espièglerie. Lors d'un carnaval, ils promènent une charrette de mannequins représentant les forces de l'ordre afin de permettre aux badauds de les fouetter à volonté. Sa bande se rend célèbre, parmi d’autres faits, pour ses attaques des carrosses faisant le trajet de Versailles à Paris, ainsi que pour ses pillages de bijouteries ou ses incursions dans des hôtels particuliers. Mais le coup de maître reste la prise d'un million trois cent mille livres d'actions du système de Law, rue Quincampoix, en 1720.

 

Cartouche est également un séducteur : plusieurs anecdotes le laissent entendre. Un soir, il pénètre dans l'appartement d'une duchesse. Celle-ci s'attend à être cambriolée, mais le bandit lui demande simplement de commander un souper arrosé de champagne. Le repas terminé, l'hôtesse est complimentée sur la qualité des mets, mais il lui est reproché le mauvais breuvage. Quelques jours après, la duchesse reçoit une caisse de champagne de bonne qualité. Un autre soir, c'est Hélène de Courtenay, marquise de Bauffremont, qui voit arriver le célèbre voleur par sa cheminée. Ce dernier lui demande de lui indiquer la sortie avec la plus grande des corrections. Il prend même soin de remettre cendres et tisons dans la cheminée pour ne pas gâter le tapis. En compensation du dérangement occasionné, l'intrus fait ensuite porter à madame de Courtenay une lettre d'excuses, un diamant « estimé à deux mille écus » et … « un laissez-passer pour exhiber aux voleurs la nuit ». Le 30 mars 1720, Cartouche épouse son ancienne complice, Marie-Antoinette Néron (l'acte est passé devant notaire). Pourtant, il conserve son succès auprès des femmes et a plusieurs maîtresses, comme il le révélera lors de ses interrogatoires en citant « sa sœur grise », la « sultane régnante », une poissonnière de la halle…

 

Dans les derniers temps, on estime que la bande de Cartouche compte près de deux mille membres. Le bandit est alors autant craint qu'adulé. Un complice, voulant un jour le dénoncer, est injurié devant les autres, puis égorgé sur son ordre. Cartouche aurait lui-même tué par quatre fois, parfois de sang-froid, notamment dans le cas d'un archer à ses trousses.

 

Une anecdote de 1719 illustre bien sa malice. Croisant un pauvre commerçant ruiné sur un pont allant lâcher prise pour se suicider, il l'arrête et lui promet les sommes nécessaires pour rembourser les créances. Il lui demande de convoquer ses hommes d'affaires tous le même jour. Ce commerçant reçoit les quittances de règlement. Les hommes-de-mains cartouchiens détroussent immédiatement tous ces affairistes.

 

L'étau finit cependant par se resserrer et la police est sur ses traces. En septembre 1719, trois compères sont arrêtés et sommés de dénoncer leur chef. On arrête aussi des provinciaux en liaison avec lui. Ses frères sont pris et torturés. Lui-même est arrêté une première fois en décembre 1720, mais il parvient à s'évader. Le 16 mai 1721, le Régent ordonne son arrestation. Cartouche échappe avec tant d'adresse aux recherches — il prend alors l'identité de « Jean Bourguignon » — que, le 19 juillet 1721, une récompense est promise à ceux qui le mettront entre les mains de la justice. Sous l'action du commissaire Bizoton, la bande commence alors à se mettre en déroute, et les trahisons se multiplient.

 

Arrestation et exécution

 

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Trahi par Gruthus, son complice, qui sauve ainsi sa peau, Cartouche et trois de ses comparses sont arrêtés au petit matin dans le cabaret « Au Pistolet », à la Basse-Courtille, le 14 octobre 1721. Emprisonné au For-l'Évêque, il tente de s'évader avec l'aide de deux codétenus, Paul Jomas et Étienne Petit ; ils sont sur le point d'y parvenir quand les hurlements d'un chien donnent l'alerte. Repris, il est conduit pieds nus au Châtelet, où il est retenu enchaîné dans une cage afin de prévenir toute autre tentative. Il fait alors l'objet de la curiosité du Paris mondain : des comédiens du Théâtre-Français l'examinent pour mieux le jouer, et des dames de première distinction, dont la maréchale de Boufflers, ainsi que le Régent lui-même, lui rendent visite. Le 21 octobre, il est écroué à la Conciergerie sur décision du Parlement, qui veut mettre un frein à l'intérêt qu'il suscite auprès du public. Il subit la procédure judiciaire dirigée par le conseiller Arnaud de Bouëx, maître des requêtes, dont le père avait été assassiné sur la route de Bordeaux. Cartouche nie tout, y compris son état civil, refuse de reconnaître sa mère, et affirme ne savoir ni lire, ni écrire. Le 26 novembre, il est condamné à mort en même temps que six complices et, au préalable, à être soumis à la question ordinaire et extraordinaire. Malgré les brodequins, il ne révèle rien.

 

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Le supplice de la roue (28 novembre 1721).

Le lendemain, jour pluvieux du supplice, entouré de deux cents archers, ne voyant qu'une seule roue et ne voyant pas arriver ses compagnons qui avaient pourtant fait le serment de le libérer, Cartouche, sans doute par dépit ou par fureur, déclare vouloir faire des aveux. Ramené devant ses juges, il révèle beaucoup de choses et livre ses complices — en tout quatre-vingt-dix — durant dix-huit heures.

 

Cartouche est roué vif en place de Grève, à Paris, le 28 novembre 1721. Juste avant le supplice, infligé par Charles Sanson fils, il crie : « Je suis un malheureux. Mon père et ma mère sont d'honnêtes gens. » Les jours suivants, son cadavre est exposé dans une baraque et les curieux paient pour voir sa dépouille. Balagny le suit sur l'échafaud, ainsi que d'autres complices.

 

Des procès auront lieu jusqu'en 1723 : plus de trois cent cinquante personnes seront arrêtées pour leurs liens avec ce chef de bande, dont du personnel de la suite de mademoiselle Louise-Élisabeth, fille du Régent. Les acolytes les plus chanceux de Cartouche seront condamnés aux galères, comme ses frères : Francis Antoine et Louis, dit Louison. Cependant, ce dernier, le frère cadet de Cartouche, âgé de quinze ans environ, condamné aux galères et, au préalable, à être pendu par les aisselles deux heures durant, soumis à cette épreuve, n'y résiste pas, et meurt peu de temps après avoir été dépendu et conduit à l'hôtel de ville.

 

« C'est la mode à présent de pendre les voleurs aux flambeaux ; en voilà deux qui passent devant ma porte à dix heures du soir ; il y avoit à chacun deux douzaines de flambeaux. »

 

— Edmond Jean François Barbier, Journal, janvier 1722.

« […] on ne parle plus à Paris que de rompus et de pendus ; tous les jours, il y en a de la suite de Cartouche. »

— Barbier, Journal, juillet 1722.

Le régime respire : c'est que certains noms proches de Cartouche sont des habitués des allées du pouvoir. Pourtant, assez rapidement après l'annonce de son arrestation puis de sa disparition, la légende de Cartouche commence. Sa mort à vingt-huit ans en fait un héros martyr du pouvoir royal et des riches. Son histoire est reproduite sous diverses formes : poèmes, chansons populaires – la Complainte de Cartouche – et même pièces de théâtre de la Comédie-Française et de la Comédie-Italienne. En 1725, Nicolas Grandval publie un poème intitulé Cartouche ou le Vice puni. Par la suite, sa biographie, souvent romancée, sera maintes fois rééditée tout au long du xixe siècle ; elle sera même complétée par des images d'Épinal. Son masque mortuaire est aujourd'hui conservé au musée municipal de Saint-Germain-en-Laye.

 

Cartouche dans la culture populaire

Chanson

La Complainte de Cartouche

Enfin Cartouche est pris
Avecque sa maîtresse
On dit qu'il s'est enfui
Par un tour de souplesse
Un chien l'a fait r'pincer
Dès le matin !
On l'a mis au cachot
Avec un fort bon drille,
Sans couteau ni ciseau
Ni marteau ni faucille
Leurs mains ont fait un trou
Chez le voisin !
Il dit à la question
« Je ne suis pas Cartouche
Je suis Jean Bourguignon
Je ne crains point vos douches
Je suis Lorrain de nation
Je suis Lorrain »
On le mena Jeudi
En place de Grève
Tout était si rempli
Que tout le monde y crève.
Puis on l'a fait sortir
De sa prison
En montant l'escalier
De l'Hôtel de Ville
Il dit au gonfalier
« Ami je suis débile
Donne moi un verre de vin
Mon cher ami »
On dit qu'il accusa
Grand nombre de personnes
Des pays étrangers
Des femmes, aussi des hommes
Il fut exécuté
Le vendredi.
 

Littérature et théâtre

 

Alexandre Dumas, Chroniques de la Régence, Paris, C. Schopp, 1849 ; rééd. Paris, Vuibert, 2013, p. – Évocation de l'arrestation et la mise à mort en place de Grève de Cartouche.

Adolphe d'Ennery et Ferdinand Dugué, Cartouche, Paris, Michel Lévy, 1863, lire en ligne sur Gallica.

Jules de Grandpré (Jules Beaujoint), Cartouche, roi des voleurs, crimes et scènes de mœurs sous la Régence, aventures et exploits de sa bande, Paris, Fayard, 1883, lire en ligne sur Gallica.

Nicolas Racot de Grandval, Le Vice puni, ou Cartouche, 1725. – Autre éd. : Le Vice puni, ou Cartouche, poëme, Nouvelle édition, plus belle, plus correcte, & augmentée par l'auteur…, figures en taille-douce de Jean-Baptiste Scotin d'après Robert Bonnart, Paris, Pierre Prault, 1726, lire en ligne sur Gallica.

Marc-Antoine Legrand, Cartouche, ou Les Voleurs. – Pièce en trois actes jouée par la Comédie-Française le 20 octobre 1721.

Gaston Leroux, La Double Vie de Théophraste Longuet, 1903. – Premier roman-feuilleton de Leroux, d'abord paru dans Le Matin, du 5 octobre au 22 novembre 1903, sous le titre Le Chercheur de trésors, dans lequel il fait intervenir le bandit Cartouche dans la vie d'un petit bourgeois de la Belle Époque.

Luigi Riccoboni, Arlequin Cartouche. – Pièce jouée par la Comédie-Italienne fin 1721.

La Vie mémorable et tragique du fameux scélérat Louis-Dominique Cartouche… (complainte, air de La Belle Judith), [S.l.], [s.d.]

« Peuples de France et de Paris,

Venez entendre de ma bouche,

Les cruautés et perfidies,

Commises par moi cruel Cartouche.

Je ne crois pas sous le soleil,

Qu'on pourrait trouver mon pareil. »

Cinéma et télévision

 

Le personnage de Cartouche a fait l’objet de plusieurs adaptations cinématographiques ou télévisuelles :

 

1909 : Cartouche, roi des voleurs, Pathé Frères.

1911 : Cartouche, film de Gérard Bourgeois.

1934 : Cartouche, film de Jacques Daroy.

1950 : Cartouche, roi de Paris, film de Guillaume Radot.

1955 : Le avventure di Cartouche, film de Steve Sekely, avec Richard Basehart et Akim Tamiroff.

1956 : Cartouche, téléfilm avec Serge Reggiani.

1962 : Cartouche, film de Philippe de Broca, avec Jean-Paul Belmondo.

2001 : Cartouche, prince des faubourgs, série animée en 26 épisodes destiné à la télévision française.

2009 : Cartouche, le brigand magnifique, téléfilm d'Henri Helman, avec Frédéric Diefenthal.

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Dominique_Cartouche

 
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 1693
   
   
    Louis Dominique Cartouche
   
   
   
   
Film   Cartouche (1962)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Voltaire

Publié à 21:39 par dessinsagogo55 Tags : center blogs centerblog sur merci vie france place amour monde mort société histoire
Voltaire

 

 

Voltaire, de son vrai nom François-Marie Arouet, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain, notamment dramaturge et poète, et un philosophe  et encyclopédiste français, figure majeure de la philosophie des Lumières, jouissant de son vivant d'une célébrité internationale.

 

Voltaire marque son époque par sa production littéraire et ses engagements politiques. Son influence sur les classes éduquées est considérable dans les décennies qui précèdent la Révolution française et au début du xixe siècle, mais diminue par la suite du fait du triomphe du mouvement romantique, plus religieux et sérieux, dont Jean-Jacques Rousseau est plus proche.

 

Anglomane, féru d'arts et de sciences, anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de toutes les époques, tant en France que dans d'autres pays. Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : les affaires Calas, Sirven, et celles du chevalier de La Barre et du comte de Lally-Tollendal.

 

Sur le plan politique, il est partisan d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il a d'abord pour modèle le système britannique de gouvernement, issu de la révolution de 1688, mais croit aussi un moment trouver dans les « despotes éclairés » (Frédéric de Prusse et Catherine de Russie) des princes modèles. Il n'est en revanche pas favorable au régime républicain, à la différence de Rousseau, citoyen de la république de Genève. Lors du premier partage de la Pologne (la république des Deux Nations) en 1772, Rousseau soutient les Polonais, Voltaire les princes partageurs.

 

Sa production théâtrale, ses poèmes épiques, comme La Henriade, ses œuvres historiques et surtout ses pamphlets font de lui un des écrivains français les plus connus au XVIIIe siècle. Son œuvre comprend aussi des contes, notamment Candide ou l'Optimisme, les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une correspondance monumentale estimée à quarante mille lettres, dont nous connaissons plus de quinze mille.

 

Titulaire pendant quelques années d'une charge officielle d'historiographe du roi, il a publié Le Siècle de Louis XIVLe Siècle de Louis XV et l'Essai sur les mœurs, ouvrages considérés comme les premiers essais historiques modernes. Sa Philosophie de l'histoire fait de lui le précurseur du déterminisme historique du XIXe siècle et de l'histoire culturelle au XXe siècle.

 

Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les grands de ce monde et les monarques, a une attitude très ambivalente envers les classes populaires, mais il est aussi en butte en France aux interventions des autorités politiques, ce qui l'amène à la Bastille et le pousse un moment à l’exil en Angleterre, puis, en 1759, à s'installer à Ferney, à la frontière entre le royaume de France et la république de Genève.

 

En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais, déçu dans ses espoirs d'influencer Frédéric II, il se brouille avec lui au bout de trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie alors aux Délices, près de Genève, puis acquiert en 1759 le domaine à Ferney. Revenu à Paris en 1778, après une absence de près de vingt-huit ans, il y est ovationné par ses admirateurs et y meurt quelques semaines plus tard à 83 ans.

 

Voltaire aime le confort, les plaisirs de la table et de la conversation qu’il considère, avec le théâtre, comme l’une des formes les plus abouties de la vie en société. Il acquiert une fortune considérable dans des opérations spéculatives, surtout la vente d'armes, et dans la vente de ses ouvrages, ce qui lui permet de s’installer en 1759 au château de Ferney et d'y vivre sur un grand pied, tenant table et porte ouvertes. Le pèlerinage à Ferney fait partie en 1770-1775 du périple de formation des classes supérieures européennes sympathisant avec le parti philosophique. Investissant ses capitaux, il fait du village misérable de Ferney une petite ville prospère. Généreux, d'humeur gaie, il est néanmoins chicanier et parfois féroce et mesquin avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau, Crébillon ou Lefranc de Pompignan.

 

 

Les révolutionnaires de 1789, partisans de la monarchie constitutionnelle, voient en lui un précurseur, plus qu'en Rousseau, de sorte qu'il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. À l'initiative du marquis de Villette qui l'a hébergé durant son séjour à Paris, le « quai des Théatins » où l'écrivain est mort est rebaptisé « quai Voltaire ». Sa popularité est moindre auprès du gouvernement montagnard de 1793-1794 : Robespierre étant un admirateur de Rousseau.

 

Il est célébré par la IIIe République : dès 1870, à Paris, un boulevard, une impasse et une place portent son nom, il a nourri, au XIXe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire

     
Notes et références                                                    
   
   
   
Biographie   Voltaire
   
   
   
   
Citations   Voltaire : C'est l'amour de nous-mêmes
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Lazar Meyer

Publié à 18:10 par dessinsagogo55 Tags : monde france center blogs centerblog sur merci saint enfants mort histoire art
Lazar Meyer

Lazar Meyer, Autoportrait (1868), collection privée.

 

 

Lazar Meyer, né le 20 janvier 1847 à Fegersheim et mort le 28 janvier 1935 à Paris 10e, est un artiste-peintre français.

 

Biographie

 

Lazar Meyer est né le 20 janvier 1847 d'Israël Meyer et de Charlotte Metzger, une famille juive établie à Fegersheim (Bas-Rhin), près de Strasbourg. Il a trois frères (Abraham, David et Léopold) et deux sœurs (Marie et Babette).

À la suite de la guerre franco-prussienne de 1870 et de l'occupation de l'Alsace-Lorraine par l'empire allemand, il part, pour raison politique et religieuse, s'établir à Paris avec son frère aîné Léopold. Il s'installe au 3 rue Cauchois, dans le 18e arrondissement. Il participe à la Commune, où il est secrétaire d'une section (à compléter). À la suite de l'écrasement des Communards, il est arrêté et emprisonné en face de l'île de Ré (Fort Boyard?), d'où il devait être déporté. Comme il n'a jamais pris les armes, le tribunal finalement l'acquitte et il rentre à Paris. Il se marie en 1880 à Paris avec Louise Albertine Macé, avec qui il a trois enfants: Éva (1879), Léa (1882) et Israël Maurice (1885).

Il montre très tôt un goût et un talent confirmé pour l'art et la peinture. Il est d'abord l'élève d'Alexandre Laemlein (1813-1871) et s'affirme comme peintre de genre et de portrait. À l'École des beaux-arts de Paris il est l'élève d'Alexandre Cabanel (1823-1889) et d'Émile Lévy (1826-1890). Il devient professeur de dessin au lycée Condorcet à Paris. En collaboration avec le faïencier Jules Paul Loebnitz, il réalise, d'après des dessins d'Émile Lévy, trois vastes panneaux en céramique destinés à orner le porche monumental du pavillon de la section française des beaux-arts de l'exposition universelle de 1878 de Paris. Ils figurent l'Architecture, la Peinture et la Sculpture. Complétés par un quatrième panneau, ils ont été remontés plus tard à Paris sur la façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz, construite en 1884 par l'architecte Paul Sédille.

Il est l'un des premiers peintres de Montmartre et considéré comme précurseur de l'École de Paris. Il fut un proche du peintre et portraitiste Albert Besnard (1849-1934).

Lazar Meyer a exposé au Salon de Paris de 1870 à 1882. Plusieurs de ses œuvres ont été détruites ou vandalisées pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

Œuvres

 

De ses œuvres, on retiendra particulièrement :

Autoportrait (1868), publié en 1869 dans le Catalogue des Arts

Portrait d'une jeune dame (1879), (48,5 × 61,4), huile sur toile, Salon de 1879

Kaddish pour les morts (1878, 1879, 1880)

Putti musiciens (1887), (60 × 1,10), huile sur panneau

Scène familiale (1874), (68 × 54), huile sur toile

Dans la campagne (In campagna), (26,4 × 35)

Paysage orageux (A stormy landing), (24,2 × 29,2)

La prison Saint-Lazare (1908), (23 × 15,3), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 958-1

La prison Saint-Lazare (1908), (13,7 × 26,3), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 958-2

Le maquis de Montmartre (octobre 1903), (55 × 38), Musée Carnavalet - Histoire de Paris, inventaire P 550

L'ArchitectureLa PeintureLa Sculpture (1878, panneaux en céramique), façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz, 4 rue de la Pierre-Levée, Paris 11e

Panneaux en céramique (1878), Paris, façade de l'ancienne faïencerie Loebnitz

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lazar_Meyer

 
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Tour de France 2023 : Équipes

Publié à 21:23 par dessinsagogo55 Tags : center image png monde blogs centerblog sur merci france
Tour de France 2023 : Équipes

 

 

Équipes

 

WorldTeams

 

AG2R Citroën Team

Alpecin-Deceuninck

Arkéa-Samsic Astana Qazaqstan Team

 Bahrain Victorious

 Bora-Hansgrohe

 Team Jayco AlUla

 Cofidis

 Team DSM-Firmenich

 EF Education-EasyPost

 Groupama-FDJ

 Ineos Grenadiers

 Intermarché-Circus-Wanty

 Jumbo-Visma

 Movistar Team

 Soudal Quick-Step

 Lidl-Trek

 UAE Team Emirates

 

 

ProTeams

 

 Israel-Premier Tech

 Lotto Dstny

 TotalEnergies

 Uno-X Pro Cycling Team

 

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_France_2023

 
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 2023 
    Dissipline sportive
   
   
   
    Tour de France 2023
    Tour de France 2023 : Grand départ au Pays basque
    Tour de France 2023 : Équipes
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Tour de France 2023 : Grand départ au Pays basque

Publié à 21:08 par dessinsagogo55 Tags : cadre monde saint place france sur course centerblog merci center blogs
Tour de France 2023 : Grand départ au Pays basque

 

 

Grand départ au Pays basque

 

Les deux premiers jours et la première partie de la 3e étape se déroulent dans la région espagnole du Pays basque. La 1re étape effectue une boucle autour de Bilbao et se termine devant le Musée Guggenheim, l'itinéraire longe d'abord les côtes du Golfe de Gascogne avant de revenir vers la capitale économique basque avec un final accidenté (dont la côte de Vivero et celle de Pike, le sommet de cette dernière est située à 9 600 mètres de l'arrivée). La 2e étape relie Vitoria-Gasteiz, capitale administrative basque, à Saint-Sébastien, capitale touristique basque ; elle comprend un final accidenté, qui n'est autre qu'une partie du parcours de la classique de Saint-Sébastien dont sa principale difficulté, le Jaizkibel3, dont le sommet est situé à 16 500 mètres de l'arrivée. La 3e étape commence dans la municipalité espagnole d'Amorebieta-Etxano, longe la côte atlantique, quitte l'Espagne par Irun et entre dans la partie française du Pays basque par Hendaye, vers une arrivée pour les sprinteurs à Bayonne.

 

 

Première semaine : des Landes au Puy de Dôme

 

La 4e étape mène de Dax à Nogaro, où l'arrivée prend place sur le circuit Paul Armagnac. Le parcours passe deux journées dans les Pyrénées. La 5e étape relie Pau à Laruns, par le col du Soudet (1540 m) et le col de Marie-Blanque (1035 m). La 6e étape se déroule entre Tarbes et Cauterets-Cambasque, pour la première arrivée en altitude à 1 355 mètres d'altitude, par le col d'Aspin (1 493 m) et le col du Tourmalet (2 115 m), où est décerné le souvenir Jacques Goddet. La 7e étape quitte le terrain accidenté pour rejoindre Bordeaux depuis Mont-de-Marsan. La 8e étape mène de Libourne à Limoges, avec un final vallonné. La première semaine de course se termine par la 9e étape, marquée par le grand retour du Puy de Dôme (1 415 m), dont la dernière ascension remonte à 1988. Cette longue absence s'explique par la réduction de la largeur de la chaussée avec la réalisation du panoramique des Dômes et l'inscription de la chaîne des Puys au patrimoine naturel mondial de l'UNESCO.

 

 

Deuxième semaine : de Vulcania aux Alpes

 

 

À l'ombre du Puy de Dôme, la deuxième semaine commence après la première journée de repos. De Vulcania, l'itinéraire de la 10e étape guide les coureurs sur un parcours vallonné à travers le Massif central jusqu'à Issoire. Le lendemain, la 11e étape relie Clermont-Ferrand à Moulins sur des routes relativement plates. La 12e étape traverse le vignoble du Beaujolais avant que l'étape vallonnée ne se termine à Belleville-en-Beaujolais. La troisième arrivée au sommet est atteinte dans le cadre de la 13e étape sur le col du Grand Colombier (1 501 m) dans le Massif du Jura. La montée de 17,4 km part de Culoz et présente une pente moyenne de plus de 7 %. La 14e étape passe du Jura aux Alpes, traversant le col de la Ramaz (1 619 m) et le col de Joux Plane (1 712 m) avant de conclure l'étape à Morzine. La dernière véritable arrivée au sommet se passe un jour plus tard à Saint-Gervais-les-Bains (Le Bettex) à 1 372 m d'altitude en conclusion de la 15e étape.

 

 

Troisième semaine : des Alpes à Paris

 

 

La troisième et dernière semaine commence après le deuxième jour de repos avec le seul contre-la-montre individuel du tour. L'itinéraire de 22 km de Passy à Combloux de cette 16e étape comprend deux ascensions. Le lendemain, la 17e étape peut être qualifiée d'étape reine de ce Tour. Celui-ci part de Saint-Gervais-les-Bains via les ascensions du Col des Saisies (1 650 m), du Cormet de Roselend (1 967 m) et de la côte de Longefoy (1 174 m), avant de grimper le col de la Loze (2 304 m) où le point culminant de la 110e édition est atteint. Après le souvenir Henri Desgrange situé au sommet de la montée de 28,4 km, une courte descente mène à Courchevel, où l'arrivée se situe à l'Altiport. Avec la 18e étape, le Tour de France quitte les Alpes en menant les coureurs de Moûtiers à Bourg-en-Bresse sur des routes plates. La 19e étape entre Moirans-en-Montagne et Poligny ne présente pas non plus de difficultés majeures. La 20e étape, qui franchit plusieurs cols du Massif des Vosges, offre la dernière chance dans la lutte pour le maillot jaune. Le final de l'étape grimpe le Petit Ballon (1 163 m) et le col du Platzerwasel (1 193 m) avant de rejoindre l'arrivée au bout d'un court plateau au Markstein. La 21e étape finale mène traditionnellement à Paris, où le Tour de France se termine sur l'avenue des Champs Élysées.

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_France_2023

 
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 2023 
    Dissipline sportive
   
   
   
    Tour de France 2023
    Tour de France 2023 : Grand départ au Pays basque
    Tour de France 2023 : Équipes
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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