Date de création : 09.04.2012
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21.06.2024
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Fabienne Carat, née le 24 août 1979 à Pau, est une actrice et chanteuse française. Elle est notamment connue pour son rôle dans la série Plus belle la vie, dans laquelle elle interprète le rôle de Samia Nassri de juillet 2005 à janvier 2021, mais aussi pour son woman-show L'amour est dans le prêt.
Biographie
Fabienne Carat commence le théâtre à l'âge de onze ans, puis quitte sa famille à quinze ans pour effectuer cinq années d'études hôtelières à Biarritz. Son BTS en poche, elle s'installe à Paris en mars 2000.
Elle obtient son premier rôle au cinéma en faisant une apparition dans La Vérité si je mens !. Elle suit ensuite les cours de l'École de l'Acteur Côté Cour pendant trois ans, tout en continuant à jouer au théâtre ou à tourner.
En 2004, elle joue dans la série Bin'o Bine. L'année suivante, elle obtient le rôle de Samia, une jeune franco-algérienne de 17 ans, dans Plus belle la vie. Dans le même temps, elle entreprend une carrière de chanteuse et sort Écoute-toi et Juste Besoin de toi, deux titres écrits pour sa mère.
En 2011, Fabienne Carat sort Darkpink, premier album, né de sa rencontre avec le compositeur Maurice Ouazana.
Entre 2015 et 2017, elle se produit sur scène dans un one-woman show qu'elle a écrit : L'amour est dans le prêt ?.
À l'automne 2015, elle participe à la sixième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1 aux côtés du danseur Julien Brugel et termine sixième de la compétition. Puis elle tourne le « prime time » Infiltration réalisé par Christophe Barbier.
Début 2017, elle tourne le téléfilm Le Secret de l'abbaye, réalisé par Alfred Lot, dans lequel elle tient le rôle principal féminin.
En 2019, elle joue pour la première fois au Festival d’Avignon. Elle sort le single Wake Up.
En octobre 2020, elle annonce quitter la série Plus belle la vie. Elle intègre le casting de la série Section de recherches.
En août 2021, elle annonce être enceinte de son premier enfant.
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Jean-Michel Jarre, né le 24 août 1948 dans le 4e arrondissement de Lyon, est un auteur-compositeur-interprète français, surtout connu pour son travail dans la musique électronique. Il a vendu plus de 85 millions de disques au cours de sa carrière
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Nom | Début du règne | Fin du règne | Notes |
Clovis Ier (vers 466 – 27 novembre 511) | 481 | 511 | Fils de Childéric Ier, il conquiert la majeure partie de la Gaule et se convertit au christianisme. Son royaume est partagé entre ses quatre fils à sa mort. |
Clodomir (vers 495 – 25 juin 524) | 511 | 524 | Aîné des fils survivants de Clovis Ier et Clotilde, il hérite du royaume d'Orléans. Tué à la bataille de Vézeronce. Ses deux premiers fils sont exécutés sur l'ordre de ses frères Childebert Ier et Clotaire Ier, mais le troisième, Clodoald, en réchappe et entre dans les ordres. |
Thierry Ier (vers 485/490 – 534) | 511 | 534 | Fils aîné de Clovis Ier (mais pas de Clotilde) il hérite du royaume de Reims. |
Thibert Ier (vers 504 – 548) | 534 | 548 | Également appelé « Théodebert Ier ». Fils et successeur de Thierry Ier à Reims. |
Thibaut (vers 535 – 555) | 548 | 555 | Également appelé « Théodebald ». Fils et successeur de Thibert Ier à Reims. Il meurt sans descendance masculine et son royaume revient à son grand-oncle Clotaire Ier. |
Childebert Ier (vers 497 – 13 décembre 558) | 511 | 558 | Cadet des fils survivants de Clovis Ier et Clotilde, il hérite du royaume de Paris. Il meurt sans fils en 558 et son royaume revient à son frère Clotaire Ier. |
Clotaire Ier « le Vieux » (vers 498 – 29 novembre 561) | 511 | 561 | Benjamin des fils survivants de Clovis Ier et Clotilde, il hérite du royaume de Soissons. Il réunifie le royaume franc à la mort de son frère Childebert Ier en 558. Son royaume est partagé entre ses quatre fils à sa mort. |
Caribert Ier (vers 521 – 5 mars 567) | 561 | 567 | Aîné des fils survivants de Clotaire Ier, il hérite du royaume de Paris. Mort sans descendance mâle. Son royaume est partagé entre ses frères à sa mort. |
Sigebert Ier (535 – décembre 575) | 561 | 575 | Benjamin des fils survivants de Clotaire Ier, il hérite du royaume de Reims. Il est assassiné à l'instigation de Frédégonde, la femme de son frère Chilpéric Ier. Son fils Childebert II lui succède. |
Chilpéric Ier (vers 526 – septembre 584) | 561 | 584 | Deuxième des fils survivants de Clotaire Ier, il hérite du royaume de Soissons. Mort assassiné. Son fils Clotaire II lui succède. |
Gontran (vers 533 – 28 mars 592) | 561 | 592 | Troisième des fils survivants de Clotaire Ier, il hérite du royaume d'Orléans. Mort sans descendance mâle, il lègue son royaume à son neveu Childebert II. Reconnu comme saint. |
Childebert II (6 avril 570 – mars 596) | 575 | 596 | Fils de Sigebert Ier et Brunehaut. Roi d'Austrasie, puis également de Bourgogne et de Paris à partir de 592. Son royaume est partagé entre ses fils Thibert II et Thierry II. |
Thibert II (585 – 612) | 595 | 612 | Également appelé « Théodebert II ». Fils de Childebert II. Roi d'Austrasie. Trahi par son frère Thierry II, il est vaincu à Tolbiac en 612, puis assassiné. Son royaume revient à son frère. |
Thierry II (587 – 613) | 595 | 613 | Fils de Childebert II. Roi de Bourgogne, puis également d'Austrasie à partir de 612. Son fils Sigebert II lui succède. |
Sigebert II (vers 601 – 10 octobre 613) | 613 | 613 | Fils de Thierry II. Roi d'Austrasie et de Bourgogne. Il est exécuté par le roi de Neustrie Clotaire II, qui s'empare ainsi de son royaume. |
Clotaire II « le Jeune » (mai 584 – 18 octobre 629) | 584 | 629 | Fils de Chilpéric Ier et de Frédégonde. Roi de Neustrie, il réunifie le royaume franc en 613. Son royaume est partagé entre ses deux fils à sa mort. |
Dagobert Ier (vers 602/605 – 19 janvier 639) | 623 | 639 | Fils aîné de Clotaire II. Roi associé d'Austrasie jusqu'à la mort de son père, puis roi des Francs excepté l'Aquitaine, et enfin seul roi des Francs à la mort de son frère cadet Caribert II en 632. Son royaume est partagé entre ses deux fils à sa mort. |
Caribert II (vers 606/610 – 8 avril 632) | 629 | 632 | Fils cadet de Clotaire II. Roi d'Aquitaine. Son royaume revient à son frère Dagobert Ier à sa mort. |
Sigebert III (631 – 1er février 656) | 639 | 656 | Fils de Dagobert Ier. Roi d'Austrasie. |
Clovis II « le Fainéant » (633 – 31 octobre 657) | 639 | 657 | Fils de Dagobert Ier. Roi de Neustrie et de Bourgogne. |
Childebert III « l'Adopté » (vers 650 - 18 octobre 662) | 656 | 662 | Fils adoptif de Sigebert III. Roi d'Austrasie. |
Clotaire III (vers 652 – 673) | 657 | 673 | Fils de Clovis II. Roi de Neustrie. |
Childéric II (vers 655 – 675) | 662 | 675 | Fils de Clovis II. Roi d'Austrasie, puis de tout le royaume franc à partir de 673. |
Thierry III (vers 657 – 691) | 675 | 691 | Fils de Clovis II. Roi de Neustrie en 673, puis de 675 à 679, et du royaume franc tout entier à partir de 679. |
Clovis III (vers 670 – 676) | 675 | 676 | Fils prétendu de Clotaire III, placé sur le trône d'Austrasie par le maire du palais Ébroïn. |
Dagobert II (vers 652 – 23 décembre 679) | 676 | 679 | Fils de Sigebert III. Roi d'Austrasie. Canonisé le 10 septembre 872. |
Clovis IV (vers 680 – 695) | 691 | 695 | Fils ainé de Thierry III. |
Childebert IV (vers 683 – 711) | 695 | 711 | Fils de Thierry III. |
Dagobert III (vers 699 – 715) | 711 | 715 | Fils de Childebert IV. |
Chilpéric II (vers 670 – 721) | 715 | 721 | Fils probable de Childéric II. Élu roi de Neustrie en 715, sous l'égide du maire du palais Rainfroi. Il devient roi de tous les Francs après la mort de son concurrent Clotaire IV, en 719. |
Clotaire IV (vers 685 – 719) | 717 | 719 | Fils probable de Thierry III, placé sur le trône d'Austrasie par le maire du palais Charles Martel, en lutte contre les Neustriens Chilpéric II et Rainfroi. |
Thierry IV (vers 713 - 737) | 721 | 737 | Fils de Dagobert III. Il est placé sur le trône par Charles Martel après la mort de Chilpéric II. |
Childéric III « le Fainéant » (vers 714 – vers 754/755) | 743 | 751 | D'ascendance incertaine. Placé sur le trône par le maire du palais Pépin le Bref, il est déposé par ce même Pépin en novembre 751 et finit cloîtré dans un monastère. |
Pépin III « le Bref » (vers 715 – 24 septembre 768) | novembre 751 | 24 septembre 768 | Devient maire du palais de Neustrie à la mort de son père Charles Martel, en 741, puis d'Austrasie après le retrait de son frère Carloman. Il dépose Childéric III et est élu roi des Francs en novembre 751. Sacré en novembre 751 à Soissons par les évêques, puis à nouveau en 754 par le pape Étienne II à Saint-Denis. |
Carloman Ier (vers 751 – 4 décembre 771) | 24 septembre 768 | 4 décembre 771 | Fils cadet de Pépin le Bref et de Bertrade de Laon. Sacré avec son père et son frère aîné Charles en 754. Le royaume franc est partagé entre les deux frères à la mort de Pépin, Carloman obtenant l'Austrasie, l'Alémanie, la Thuringe, et les pays tributaires. Sa mort prématurée permet à Charles de réunifier le royaume. |
Charlemagne (Charles Ier « le Grand ») (2 avril 742 – 28 janvier 814) | 24 septembre 768 | 28 janvier 814 | Fils aîné de Pépin le Bref et de Bertrade de Laon. Sacré avec son père et son frère cadet Carloman en 754. Il obtient la Neustrie, la Bourgogne et l'Aquitaine à la mort de son père, puis le reste du royaume franc à la mort de son frère. Il est sacré empereur d'Occident par le pape Léon III le 25 décembre 800 à Rome. Il meurt d'une pneumonie le 28 janvier 814. |
Louis Ier « le Pieux » ou « le Débonnaire » (778 – 20 juin 840) | 28 janvier 814 | 20 juin 840 | Fils de Charlemagne et d'Hildegarde de Vintzgau. Couronné empereur d'Occident associé par son père le 11 septembre 813, sacré par le pape Étienne IV à Reims le 5 octobre 816. Déposé le 7 octobre 833 par son fils Lothaire, restauré le 15 février 835. |
Charles II « le Chauve » (13 juin 823 – 6 octobre 877) | août 843 | 6 octobre 877 | Benjamin des fils de Louis le Pieux, le seul par sa deuxième femme Judith de Bavière. En 843, il reçoit la Francie occidentale par le traité de Verdun qui divise l'Empire franc. Sacré à Orléans le 8 juin 848. Après la mort de son neveu Louis II le Jeune, il est sacré empereur d'Occident par le pape Jean VIII à Rome le 25 décembre 875. |
Louis II « le Bègue » (1er novembre 846 – 11 avril 879) | 6 octobre 877 | 11 avril 879 | Fils aîné de Charles II et d'Ermentrude d'Orléans. Sacré à Compiègne le 8 décembre 877. |
Louis III (vers 864 – 5 août 882) | 11 avril 879 | 5 août 882 | Fils de Louis II et d'Ansgarde de Bourgogne, ils sont élus pour succéder conjointement à leur père. Sacrés à Ferrières en septembre 879. Louis III meurt sans descendance, et Carloman II devient seul roi jusqu'à sa propre mort, également sans descendance. |
Carloman II (vers 867 – 6 décembre 884) | 11 avril 879 | 6 décembre 884 | |
Charles III « le Gros » (839 – 13 janvier 888) | juin 885 | novembre 887 | Troisième fils de Louis le Germanique, lui-même fils cadet de Louis le Pieux. Il est élu par les grands du royaume à la place du jeune Charles le Simple, dernier fils de Louis II. Incapable de faire face aux Normands, il est déposé en novembre 887. |
Eudes Ier (852 – 3 janvier 898) | 29 février 888 | 3 janvier 898 | De la dynastie des Robertiens, il est titré comte de Paris au moment de son élection, en 888, à la mort de Charles le Gros. Sacré à Compiègne le 29 février 888, puis à Reims plus tard la même l'année. |
Charles III « le Simple » (17 septembre 879 – 7 octobre 929) | 3 janvier 898 | 29 juin 922 | Troisième fils de Louis II, le seul par sa deuxième femme Adélaïde de Frioul. Il est écarté de la succession de son frère Carloman II en 884 en raison de son jeune âge. Sacré à Reims le 28 janvier 893 (alors qu'Eudes règne encore), il ne devient réellement roi qu'à la mort de celui-ci en 898. Les grands du royaume le déposent en 922 et élisent le duc Robert pour le remplacer. Il est capturé après la bataille de Soissons en 923 et meurt en captivité. |
Robert Ier (860 – 15 juin 923) | 29 juin 922 | 15 juin 923 | De la dynastie des Robertiens, frère d'Eudes. Sacré à Reims le 30 juin 922. Tué à la bataille de Soissons l'année suivante. |
Raoul (vers 890 – 15 janvier 936) | 15 juin 923 | 15 janvier 936 | De la dynastie des Bivinides, époux d'Emma, fille de Robert Ier. Il est élu roi à la mort de celui-ci par les grands du royaume, qui refusent de rendre la couronne à Charles III le Simple. Sacré à Soissons le 13 juillet 923. Mort de pédiculose corporelle sans laisser d'enfant mâle. |
Louis IV « d'Outremer » (920 ou 921 – 10 septembre 954) | 19 juin 936 | 10 septembre 954 | Seul fils de Charles III le Simple et d'Edwige de Wessex, il ne devient roi qu'à la mort de Raoul. Sacré à Laon le 19 juin 936. Mort des suites d'une chute de cheval. |
Lothaire (941 – 2 mars 986) | 10 septembre 954 | 2 mars 986 | Fils de Louis IV et de Gerberge de Saxe, il succède à son père sous la régence de son oncle Brunon de Cologne jusqu'en 961. Sacré à Reims le 12 novembre 954. |
Louis V « le Fainéant » (vers 967 – 21 mai 987) | 2 mars 986 | 21 mai 987 | Fils de Lothaire et d'Emma d'Italie. Sacré à Compiègne le 8 juin 979 comme roi associé. Mort sans descendance des suites d'une chute de cheval. |
Hugues Ier « Capet » (vers 940 – 24 octobre 996) | 3 juin 987 | 24 octobre 996 | Fils d'Hugues le Grand et petit-fils de Robert Ier. Duc des Francs depuis 960, il est élu roi des Francs après la mort de Louis V au détriment du Carolingien Charles de Basse-Lotharingie. Sacré en 987, peut-être le 3 juillet à Noyon. |
Robert II « le Pieux » (27 mars 972 – 20 juillet 1031) | 24 octobre 996 | 20 juillet 1031 | Fils d'Hugues Capet et d'Adélaïde d'Aquitaine. Sacré à Orléans le 25 décembre 987 comme roi associé. Son fils aîné, Hugues, est roi associé de 1017 à sa mort en 1025. |
Hugues (1007 – 17 septembre 1025) | 19 juin 1017 | 17 septembre 1025 | Fils de Robert II le Pieux et de Constance d'Arles. Sacré à Compiègne, il règne conjointement avec son père, mais meurt avant lui. |
Henri Ier (4 mai 1008 – 4 août 1060) | 20 juillet 1031 | 4 août 1060 | Deuxième fils de Robert II et de Constance d'Arles. Sacré à Reims le 14 mai 1027 comme roi associé. |
Philippe Ier (23 mai 1052 – 29 juillet 1108) | 4 août 1060 | 29 juillet 1108 | Fils aîné d'Henri Ier et d'Anne de Kiev. Sacré à Reims le 23 mai 1059 comme roi associé. Il succède à son père sous la régence de son oncle Baudouin V de Flandre jusqu'à sa majorité, en 1066. |
Louis VI « le Gros » ou « le Batailleur » (1er décembre 1081 – 1er août 1137) | 29 juillet 1108 | 1er août 1137 | Fils aîné de Philippe Ier et de Berthe de Hollande. Sacré à Orléans le 3 août 1108. |
Philippe (29 août 1116 - 14 octobre 1131) | 14 avril 1129 | 14 octobre 1131 | Premier fils de Louis VI et Adélaïde de Savoie. Sacré en 1129, il règne conjointement avec son père avant de mourir prématurément en 1131. |
Louis VII « le Jeune » ou « le Pieux » (1120 – 18 septembre 1180) | 1er août 1137 | 18 septembre 1180 | Deuxième fils de Louis VI et d'Adélaïde de Savoie. Sacré à Reims le 25 octobre 1131 comme roi associé. |
Philippe II « Auguste » (21 août 1165 – 14 juillet 1223) | 18 septembre 1180 | 14 juillet 1223 | Seul fils de Louis VII et d'Adèle de Champagne. Sacré à Reims le 1er novembre 1179 comme roi associé. Premier roi à utiliser le titre de « roi de France ». |
Louis VIII « le Lion » (5 septembre 1187 – 8 novembre 1226) | 14 juillet 1223 | 8 novembre 1226 | Fils aîné de Philippe II et d'Isabelle de Hainaut. Sacré à Reims le 6 août 1223. |
Louis IX « le Prudhomme » ou « Saint Louis » (25 avril 1214 – 25 août 1270) | 8 novembre 1226 | 25 août 1270 | Quatrième fils de Louis VIII et de Blanche de Castille, il succède à son père sous la régence de sa mère jusqu'à sa majorité, en 1235. Sacré à Reims le 29 novembre 1226. Mort de dysenterie devant Tunis durant la huitième croisade. Canonisé en 1297. |
Philippe III « le Hardi » (30 avril 1245 – 5 octobre 1285) | 25 août 1270 | 5 octobre 1285 | Deuxième fils de Louis IX et de Marguerite de Provence. Sacré à Reims le 30 août 1271. |
Philippe IV « le Bel » (1268 – 29 novembre 1314) | 5 octobre 1285 | 29 novembre 1314 | Deuxième fils de Philippe III et d'Isabelle d'Aragon. Sacré à Reims le 6 janvier 1286. Également roi de Navarre (Philippe Ier) par son mariage avec Jeanne de Navarre. |
Louis X « le Hutin » (4 octobre 1289 – 5 juin 1316) | 29 novembre 1314 | 5 juin 1316 | Fils aîné de Philippe IV et de Jeanne de Navarre. Sacré à Reims le 24 août 1315. Également roi de Navarre (Louis Ier). Mort en laissant un enfant à naître ; son frère cadet Philippe assure la régence. |
Jean Ier « le Posthume » (15 novembre 1316 – 19 novembre 1316) | 15 novembre 1316 | 19 novembre 1316 | Fils de Louis X et de Clémence de Hongrie, il meurt après quelques jours de vie et de règne. Également roi de Navarre. Il est le seul roi de France à avoir régné de sa naissance à sa mort. |
Philippe V « le Long » (1293 – 3 janvier 1322) | 19 novembre 1316 | 3 janvier 1322 | Deuxième fils de Philippe IV et de Jeanne de Navarre. Les états généraux de 1317 évincent de la succession sa nièce Jeanne, la fille de Louis X. Sacré à Reims le 9 janvier 1317. Également roi de Navarre (Philippe II). Mort sans descendance mâle. |
Charles IV « le Bel » (18 juin 1294 – 1er février 1328) | 3 janvier 1322 | 1er février 1328 | Troisième fils de Philippe IV et de Jeanne de Navarre. Sacré à Reims le 21 février 1322. Également roi de Navarre (Charles Ier). Mort sans descendance mâle. |
Philippe VI (1293 – 22 août 1350) | 1er avril 1328 | 22 août 1350 | Neveu de Philippe IV, il devient roi de France à la naissance de la fille posthume de Charles IV, Blanche. La Navarre est laissée à Jeanne de Navarre, la fille de Louis X, en échange de sa renonciation au trône de France. Sacré à Reims le 29 mai 1328. |
Jean II « le Bon » (26 avril 1319 – 8 avril 1364) | 22 août 1350 | 8 avril 1364 | Fils aîné de Philippe VI et de Jeanne de Bourgogne. Sacré à Reims le 26 septembre 1350. Mort en captivité à Londres. |
Charles V « le Sage » (21 janvier 1338 – 16 septembre 1380) | 8 avril 1364 | 16 septembre 1380 | Fils aîné de Jean II et de Bonne de Luxembourg, il assure la régence durant les captivités de son père en Angleterre. Sacré à Reims le 19 mai 1364. |
Charles VI « le Bien-Aimé » ou « le Fol » (3 décembre 1368 – 22 octobre 1422) | 16 septembre 1380 | 22 octobre 1422 | Aîné des fils survivants de Charles V et de Jeanne de Bourbon. Sacré à Reims le 4 novembre 1380, il succède à son père sous la régence de ses oncles Louis d'Anjou, Jean de Berry, Philippe de Bourgogne et Louis de Bourbon jusqu'à ses vingt ans. La folie qui le frappe à partir de 1392 permet à ses oncles et à son frère de reprendre le pouvoir. |
Charles VII « le Victorieux » ou « le Bien Servi » (22 février 1403 – 22 juillet 1461) | 22 octobre 1422 | 22 juillet 1461 | Dernier fils survivant de Charles VI et d'Isabeau de Bavière, il refuse d'entériner le traité de Troyes, qui le déshérite au profit d'Henri V d'Angleterre. Son règne est indissociable de l'épopée de Jeanne d'Arc, qui après avoir levé le siège d'Orléans, le conduisit se faire sacrer à Reims le 17 juillet 1429. |
Louis XI « le Prudent » ou « Universelle Aragne » (3 juillet 1423 – 30 août 1483) | 22 juillet 1461 | 30 août 1483 | Fils aîné de Charles VII et de Marie d'Anjou. Sacré à Reims le 15 août 1461. |
Charles VIII « l'Affable » (30 juin 1470 – 7 avril 1498) | 30 août 1483 | 7 avril 1498 | Seul fils de Louis XI et de Charlotte de Savoie, il succède à son père sous la régence de sa sœur aînée Anne de France jusqu'en 1491. Sacré à Reims le 30 mai 1484. Mort sans descendance mâle des suites d'un accident au château d'Amboise à l'âge de 27 ans. |
Louis XII « le Père du Peuple » (27 juin 1462 – 1er janvier 1515) | 7 avril 1498 | 1er janvier 1515 | Descendant de Charles V et cousin éloigné de Charles VIII dont il épouse la veuve Anne de Bretagne, il est le seul représentant de la branche de Valois-Orléans à régner. Sacré à Reims le 27 mai 1498. Mort sans descendance mâle. |
François Ier « le Père et Restaurateur des Lettres » (12 septembre 1494 – 31 mars 1547) | 1er janvier 1515 | 31 mars 1547 | Descendant de Charles V, cousin de Louis XII dont il a épousé la fille Claude de France, il inaugure la branche de Valois-Angoulême. Sacré à Reims le 25 janvier 1515. Mort de septicémie à l'âge de 52 ans. |
Henri II (31 mars 1519 – 10 juillet 1559) | 31 mars 1547 | 10 juillet 1559 | Deuxième fils de François Ier et de Claude de France. Sacré à Reims le 26 juillet 1547. Meurt des suites d'un accident de tournoi. |
François II (19 janvier 1544 – 5 décembre 1560) | 10 juillet 1559 | 5 décembre 1560 | Fils aîné d'Henri II et de Catherine de Médicis. Sacré à Reims le 18 septembre 1559. Également roi consort d'Écosse après son mariage avec la reine Marie Stuart, le 24 avril 1558. Mort sans descendance d'une mastoïdite aiguë ou d'une méningite à l'âge de 16 ans. |
Charles IX (27 juin 1550 – 30 mai 1574) | 5 décembre 1560 | 30 mai 1574 | Troisième fils d'Henri II et de Catherine de Médicis, il succède à son frère à l'âge de dix ans, sous la régence de sa mère jusqu'à sa majorité, en 1564. Sacré à Reims le 15 mai 1561. Mort sans descendance mâle de pleurésie à l'âge de 23 ans. |
Henri III (19 septembre 1551 – 2 août 1589) | 30 mai 1574 | 2 août 1589 | Quatrième fils d'Henri II et de Catherine de Médicis, il est élu roi de Pologne le 11 mai 1573. À la mort de son frère aîné, il rentre en France le 6 septembre 1574 et est sacré à Reims le 13 février 1575. Mort sans descendance, assassiné par Jacques Clément. |
Henri IV « le Grand » ou « le Vert-Galant » (13 décembre 1553 – 14 mai 1610) | 2 août 1589 | 14 mai 1610 | Descendant de Robert de Clermont, le dernier fils de Louis IX. Roi de Navarre depuis 1572, il devient roi de France le 2 août 1589 à la mort de son beau-frère et cousin issu de germain Henri III, qui l'a désigné comme successeur. Il abjure le protestantisme pour être sacré à Chartres le 27 février 1594. Il est assassiné par François Ravaillac le 14 mai 1610. |
Louis XIII « le Juste » (27 septembre 1601 – 14 mai 1643) | 14 mai 1610 | 14 mai 1643 | Fils aîné d'Henri IV et de Marie de Médicis, il succède à son père à l'âge de neuf ans. Placé sous la régence de sa mère jusqu'à sa majorité, il est sacré à Reims le 17 octobre 1610. Mort de la maladie de Crohn. |
Louis XIV « le Grand » ou « le Roi-Soleil » (5 septembre 1638 – 1er septembre 1715) | 14 mai 1643 | 1er septembre 1715 | Fils aîné de Louis XIII et d'Anne d'Autriche, il succède à son père sous la régence de sa mère jusqu'à sa majorité, en 1651. Sacré à Reims le 7 juin 1654. Mort de la gangrène. |
Louis XV « le Bien-Aimé » (15 février 1710 – 10 mai 1774) | 1er septembre 1715 | 10 mai 1774 | Arrière-petit-fils de Louis XIV, il lui succède sous la régence de Philippe d'Orléans, neveu du roi défunt, jusqu'à sa majorité en 1723. Sacré à Reims le 25 octobre 1722. Mort de la variole. |
Louis XVI (23 août 1754 – 21 janvier 1793) | 10 mai 1774 | 21 septembre 1792 | Petit-fils de Louis XV, il est sacré à Reims le 11 juin 1775. Devenu roi des Français par la constitution de 1791, il est suspendu par l'Assemblée nationale le 10 août 1792, puis déchu le 21 septembre par abolition de la monarchie, et guillotiné le 21 janvier 1793. Les royalistes reconnaissent son fils comme son successeur sous le nom de Louis XVII, mais celui-ci n'est jamais sacré et meurt en prison le 8 juin 1795. |
Napoléon Ier (15 août 1769 – 5 mai 1821) | 2 décembre 1804 | 6 avril 1814 | Premier consul depuis 1799, il devient empereur des Français par la constitution du 18 mai 1804, approuvée par plébiscite le 6 novembre. Il est sacré à Notre-Dame-de-Paris le 2 décembre. Déchu par le Sénat le 3 avril 1814, il abdique le lendemain en faveur de son fils Napoléon II, puis le 6 sans conditions. |
Louis XVIII (17 novembre 1755 – 16 septembre 1824) | 6 avril 1814 | 20 mars 1815 | Frère cadet de Louis XVI, il se proclame roi le jour de la mort de son neveu Louis XVII, le 8 juin 1795. Il ne le devient effectivement que le 6 avril 1814, après l'abdication de Napoléon Ier. À l'annonce du retour de ce dernier, il s'enfuit de Paris dans la nuit du 20 mars 1815. |
Napoléon Ier (15 août 1769 – 5 mai 1821) | 20 mars 1815 | 22 juin 1815 | Rentre à Paris le 20 mars 1815. Il abdique pour la deuxième fois le 22 juin, quatre jours après la défaite de Waterloo, en faveur de son fils Napoléon II, mais ce dernier n'est jamais proclamé ni reconnu. |
Napoléon II (20 mars 1811 - 22 juillet 1832) | 22 juin 1815 | 7 juillet 1815 | Durant l'intervalle qui sépare l'abdication de Napoléon Ier du retour de Louis XVIII, la France est dirigée par une commission de gouvernement, appelée commission Napoléon II, présidée par Joseph Fouché. |
Louis XVIII (17 novembre 1755 – 16 septembre 1824) | 8 juillet 1815 | 16 septembre 1824 | Rentre à Paris le 8 juillet 1815, le lendemain de la dissolution de la commission de gouvernement. Jamais sacré et mort sans descendance, il est le dernier monarque de France mort au pouvoir. |
Charles X (9 octobre 1757 – 6 novembre 1836) | 16 septembre 1824 | 2 août 1830 | Frère cadet de Louis XVIII, il est sacré à Reims le 29 mai 1825. Confronté aux Trois Glorieuses, il abdique en faveur de son petit-fils Henri « V », mais ce dernier n'a jamais été proclamé. |
Louis-Philippe Ier le « Roi-Citoyen » ou le « Roi bourgeois » ou le « Roi des barricades » (6 octobre 1773 – 26 août 1850) | 9 août 1830 | 24 février 1848 | Descendant de Louis XIII, cousin éloigné de Charles X, il est proclamé roi des Français après les Trois Glorieuses. Confronté à la révolution de 1848, il abdique en faveur de son petit-fils Philippe d'Orléans, comte de Paris, mais l'Assemblée refuse de le reconnaître et proclame la Deuxième République. |
Napoléon III (20 avril 1808 – 9 janvier 1873) | 2 décembre 1852 | 4 septembre 1870 | Neveu de Napoléon Ier. Élu président de la République en 1848, il mène le coup d'État du 2 décembre 1851 mettant en place une présidence décennale autoritaire. L'année suivante, il rétablit la dignité impériale après un plébiscite conduisant à la proclamation du Second Empire le 2 décembre 1852, devenant empereur des Français. La République est proclamée deux jours après sa capture à la bataille de Sedan mais Napoléon III n'est déchu officiellement que le 1er mars 1871. |
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Portrait de Louis XIII,
par Philippe de Champaigne (1635)
musée du Prado.
Louis XIII, dit « le Juste », fils d'Henri IV et de Marie de Médicis, né le 27 septembre 1601 au château de Fontainebleau et mort le 14 mai 1643 au château neuf de Saint-Germain-en-Laye, est roi de France et de Navarre de 1610 à 1643.
Son règne, dominé par la personnalité du cardinal de Richelieu, principal ministre d'État, est marqué par l'affaiblissement des grands et des protestants, la lutte contre la maison d'Autriche et l'affirmation de la domination militaire française en Europe pendant la guerre de Trente Ans. De son mariage avec l'infante Anne d'Autriche, il a tardivement deux fils : le futur Louis XIV, et Philippe, duc d'Anjou fondateur de la maison Orléans. La naissance tardive de son premier fils est considérée par le couple comme « un don du Ciel », et amène le roi à signer le Vœu de Louis XIII (consacrant le royaume de France à la Vierge Marie), avant même la naissance de l'enfant.
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Peintre | Philippe de Champaigne | ||||||||||||||||||||||||||
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Junie Astor, de son nom civil Rolande Jeanne Risterucci, née à Marseille le 21 décembre 1911 et morte le 22 août 1967 à Sainte-Magnance, est une comédienne française.
En 1937, elle reçoit le prix Suzanne-Bianchetti qui couronne le plus prometteur talent féminin de l'année. Elle fut l'épouse du réalisateur Bernard de Latour pendant six ans et exerça des activités de productrice auprès de son époux dans leur société Astor-Films.
Biographie
Junie Astor commence sa carrière cinématographique en 1933.
Elle tient son premier rôle important en 1934 lorsqu'elle paraît dans Adémaï aviateur de Jean Tarride aux côtés de Noël-Noël et Fernandel.
On la remarque également en 1936 au milieu d'une myriade d'autres artistes, Danielle Darrieux, Valentine Tessier, Eve Francis, Betty Stockfeld..., dans le Club de femmes de Jacques Deval.
Jean Renoir lui fait confiance et lui offre le second rôle féminin des Bas-fonds.
Sa prestation en 1937 dans Le Coupable de Raymond Bernard lui vaut le prix Suzanne-Bianchetti.
Junie apparaît encore en tête d'affiche dans Battement de cœur de Henri Decoin (1940) avec Claude Dauphin, Adrienne Lecouvreur de Marcel L'Herbier (1938) et dans trois films italiens. Mais elle doit se contenter de rôles secondaires dans des œuvres plus importantes : Noix de coco avec Raimu, L'Éternel Retour avec Jean Marais et Madeleine Sologne.
En 1942, elle fait partie du groupe d'acteurs qui, à l'invitation du docteur Dietrich chef des services de la Propaganda Abteilung de Paris, visitent les studios cinématographiques de Berlin aux côtés de Viviane Romance, René Dary, Suzy Delair, Danielle Darrieux et Albert Préjean.
Elle retrouve un dernier grand rôle grâce à Bernard de Latour dans Du Guesclin en 1948.
Sa carrière comme actrice se termine dans les années 1960 avec des films alimentaires de série B comme Business, Interpol Contre X, l'Homme de l'Interpol ou sous les caméras de José Bénazéraf dans Joë Caligula - Du suif chez les dabes.
Elle se retire de l'interprétation pour diriger deux cinémas sur les Grands-Boulevards parisiens, une activité à laquelle elle se consacre pleinement lorsque son métier d'actrice ne lui donne plus la même satisfaction. Le premier se nommait « l'Astor » et le second le « Rio Opéra ».
Junie Astor est morte dans un accident de voiture à Sainte-Magnance. Elle est inhumée au cimetière de Bagneux, dans la trente-sixième division
Filmographie
1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra
1933 : Étienne de Jean Tarride : Henriette
1934 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Marguerite
1935 : Tovaritch de Jacques Deval, Jean Tarride, Germain Fried et Victor Trivas : La bonne
1935 : Stradivarius de Géza von Bolváryet Albert Valentin
1935 : Joli Monde de René Le Hénaff : Clara Soleil
1936 : Mayerling d'Anatole Litvak
1936 : La Garçonne de Jean de Limur
1936 : Train de plaisir de Léo Joannon : La fleuriste
1936 : Club de femmes de Jacques Deval : Hélène
1936 : Au service du tsar de Pierre Billon : Lucie Leroy, une chanteuse
1936 : 27, rue de la Paix de Richard Pottier : Olly
1936 : Toi, c'est moi de René Guissart : Viviane
1936 : Les Bas-fonds de Jean Renoir : Natacha
1937 : Le Coupable de Raymond Bernard : Louise Donadieu
1937 : La Bête aux sept manteaux de Jean de Limur
1937 : Police mondaine de Michel Bernheim et Christian Chamborant
1937 : Passeurs d'hommes de René Jayet : Elisabeth Nelissen
1937 : Monsieur Breloque a disparu de Robert Péguy : Francine
1938 : Adrienne Lecouvreur de Marcel L'Herbier : La duchesse de Bouillon
1938 : Noix de coco de Jean Boyer : Colette Ventadour
1938 : Petite Peste de Jean de Limur : Georgette Rousson
1939 : Un mare di guai de Carlo Ludovico Bragaglia : Adriana
1939 : Deuxième Bureau contre Kommandantur de René Jayet et Robert Bibal : Mme Lecœur
1939 : Quartier Latin de Pierre Colombier et Christian Chamborant : Flossie
1939 : Entente cordiale de Marcel L'Herbier : Une actrice
1939 : Carnaval de Venise (Il carnevale de Venezia) de Giuseppe Adami et Giacomo Gentilomo : Tonina
1940 : Battement de cœur d'Henri Decoin : la femme de l'ambassadeur
1940 : Tutto per la donna de Mario Soldati : Elsa Ducro
1941 : Fromont jeune et Risler aîné de Léon Mathot : Claire Fromont
1941 : Patrouille blanche de Christian Chamborant : Sandra
1943 : L'Éternel Retour de Jean Delannoy : Nathalie, la brune
1945 : L'Invité de la onzième heure de Maurice Cloche : Isabelle
1946 : Les Beaux Jours de roi Murat de Théophile Pathé : La reine Caroline
1946 : L'Homme de la nuit de René Jayet : Rosemonde
1946 : Triple enquête de Claude Orval
1947 : Cargaison clandestine de Alfred Rode
1947 : La Dame d'onze heures de Jean Devaivre : Hélène Tassin
1948 : Du Guesclin de Bernard de Latour : Tiphaine Raguenel, celle qui épouse Du Guesclin
1948 : L'échafaud peut attendre de Albert Valentin : Maître Fontanie, avocate
1948 : Piège à hommes de Jean Loubignac
1949 : Un certain monsieur de Yves Ciampi : Edmée Lamour / Augustine
1949 : La Souricière de Henri Calef : Simone Lesourd
1950 : La Belle Image de Claude Heymann : La Sarrazine
1950 : Coupable ? de Yvan Noé : Suzanne
1951 : Boîte de nuit de Alfred Rode : Evelyne
1954 : Escalier de service de Carlo Rim, dans le sketch Les Béchard : Aline Béchard
1956 : Les Truands de Carlo Rim : Mlle Puc, la couturière
1957 : Les Violents de Henri Calef : Irène Raalten
1957 : Isabelle a peur des hommes de Jean Gourguet : Béatrice, la mère d'Isabelle
1957 : La Peau de l'ours de Claude Boissol : Mme Terrasse
1957 : Mademoiselle Strip-tease de Pierre Foucaud : La directrice du cabaret
1959 : Business de Maurice Boutel : L'avocate
1960 : Interpol contre X de Maurice Boutel : Magda
1961 : Cadavres en vacances de Jacqueline Audry : Mme Lever
1961 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Cherchez la femme de Claude Loursais série TV
1965 : L'Homme de l'Interpol de Maurice Boutel : Wanda
1966 : Joë Caligula, du suif chez les dabes de José Bénazéraf : La femme du gangster
Théâtre
1933 : Lundi 8 heures de George S. Kaufman et Edna Ferber, mise en scène Jacques Baumer, théâtre des Ambassadeurs
1951 : Ombre chère de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur, théâtre Édouard VII
1953 : La Garce et l'ange de Frédéric Dard, mise en scène Michel de Ré, théâtre du Grand Guignol
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
21 décembre 1911 | |||||||||||||||||||||||||||
22 août : Décès | |||||||||||||||||||||||||||
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En 1947, il fonde un mouvement politique, le Rassemblement du peuple français (RPF), afin de transformer la scène politique française, de lutter contre le régime « exclusif » des partis, de s'opposer à l'avancée du communisme et de promouvoir une nouvelle réforme constitutionnelle privilégiant le pouvoir exécutif. Il propose également une troisième voie économique (l'association capital-travail). Le RPF reprend également les thèmes de la droite la plus traditionnelle : ultra-conservatisme colonial (il critique jusqu'à la construction de lycées d'enseignement général à Madagascar), anticommunisme virulent (exploitant les inquiétudes sur l'avancée du communisme dans l'Union française et en Indochine) et même, au moins jusqu'en 1950, la clémence à l'égard de Philippe Pétain. Toutefois, les déclarations du colonel Rémy réhabilitant le rôle de Pétain seront immédiatement désavouées par le général de Gaulle, mais pas l'initiative de Terrenoire, demandant son amnistie. Il est vrai, comme le rappelle l'historien René Rémond (dans Les Droites en France), que c'est au nom de la réconciliation nationale qu'en 1949 et 1950, le même général de Gaulle plaidait pour l'élargissement du « vieillard de quatre-vingt-quinze ans ».
Le parti rallie des résistants (dont Jacques Chaban-Delmas) mais aussi des notables comme Édouard Frédéric-Dupont ou Edmond Barrachin (qui fut, dans les années 1930, directeur du comité central du Parti social français). D'anciens pétainistes et même d'anciens collaborateurs parviennent à s'y faire admettre, notamment dans les sections d'Indochine et d'Algérie, dans le service d'ordre, dans les rangs des syndicats ouvriers proches du R.P.F. et parmi les maires élus en 1947. Certains polémistes du parti, notamment Jean Nocher, déploient une extrême agressivité verbale. Pour ces raisons, l'historien Henry Rousso (dans Le Syndrome de Vichy) discerne au RPF « des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et du boulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ».
Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales de 1947, 42 % des sénateurs élus en 1948), le RPF décline de 1949 à 1951. La gestion efficace des événements sociaux de l'automne 1947 par le gouvernement de la troisième force a affaibli le mouvement gaulliste. Le recours à de Gaulle semble alors moins nécessaire pour les conservateurs, les modérés et le patronat. Dans l'opposition, le RPF est frappé d'un véritable ostracisme de la part des autres partis politiques, entretenu par le refus du général de Gaulle de se compromettre avec les autres partis. En 1951, le RPF obtient encore plus de 4 millions de voix (22,3 % des suffrages et 16,8 % des inscrits) et 117 députés.
Le RPF est irrémédiablement affaibli par la défection de vingt-sept députés : ainsi, contre les consignes du Général, Édouard Frédéric-Dupont et Edmond Barrachin votent la confiance au gouvernement d'Antoine Pinay en 1952. En juillet, quarante-cinq autres font défection. Les gaullistes se divisent alors entre les loyalistes, qui fondent l'Union des républicains d'action sociale (URAS), et les autres, qui rejoignent l'Action républicaine et sociale (ARS).
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Gaulle#Fondation_du_RPF | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Charles de Gaulle | |||||||||||||||||||||||||||
Charles de Gaulle : Fondation du RPF | |||||||||||||||||||||||||||
Appel du 21 mai 1940 : Charles de Gaulle | |||||||||||||||||||||||||||
Gouvernements Charles de Gaulle I et II | |||||||||||||||||||||||||||
Brigitte Bardot : Charles de Gaulle déclare | |||||||||||||||||||||||||||
22 novembre 1890 | |||||||||||||||||||||||||||
9 novembre 1970 | |||||||||||||||||||||||||||
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Place centrale de Falaise, le 16 août 1944.
Contre-attaque allemande et encerclement de la poche de Falaise
Au lieu de se replier, la Wehrmacht, sur ordre d'Hitler et contre l'avis de son état-major, lance une contre-attaque baptisée opération Lüttich (du 6 au 13 août 1944) dans la région de Mortain vers Avranches (7e armée et 5e armée blindée), dans le but de couper les lignes américaines. Dès le début, cette offensive allemande est un échec. Le bocage, qui a entravé l'avance des troupes motorisées alliées, gêne aussi la contre-attaque allemande. L'état-major américain n'a pas été surpris, car informé des intentions allemandes, et a pu préparer la réaction. Mais la contre-attaque était surtout vouée à l'échec par sa quasi-absence de couverture aérienne, alors que les bombardiers alliés faisaient 2 000 à 3 000 sorties par jour, pilonnant les Allemands contraints de se découvrir pour attaquer. Les troupes américaines et françaises prennent alors les Allemands à revers par le sud tandis que les Britanniques, les Canadiens et les Polonais de la 1re division blindée du général Maczek ferment la tenaille qu'ils ont formée par le nord en prenant la cote 262 située dans la commune de Mont-Ormel. Encerclés dans la poche de Falaise, les Allemands tentent de maintenir un corridor d'évacuation surnommé "le couloir de la mort" avec l'appui du 2e SS-Panzer-korps sur la cote 262 nord. Des éléments du SS-Panzer-korps réussissent à échapper à l'encerclement mais la détermination des Polonais déjoue tous les efforts ennemis. Les Allemands ne parviennent pas à évacuer les troupes encore présentes, ce qui correspond à 50 000 hommes laissés dans la poche et qui se rendront rapidement aux Alliés, en plus des 10 000 tués en trois jours, soit les deux tiers de leur effectif encore engagé en Normandie (21 août 1944).
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Portrait de Madame du Barry par Élisabeth Vigée Le Brun, 1782,
Corcoran Gallery of Art (Washington).
Jeanne Bécu, dite aussi Mademoiselle de Vaubernier ou Mademoiselle Lange, devenue par mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs et morte guillotinée le 8 décembre 1793 à Paris, fut de 1768 à 1774 la dernière favorite de Louis XV, roi de France.
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Jean-Luc Mélenchon, né le 19 août 1951 à Tanger (Maroc), est un homme politique français.
Membre du Parti socialiste (PS) à partir de 1976, il est successivement élu conseiller municipal de Massy en 1983, conseiller général de l'Essonne en 1985 et sénateur en 1986. Il est également ministre délégué à l'Enseignement professionnel de 2000 à 2002, dans le gouvernement Lionel Jospin. Il fait partie de l'aile gauche du PS jusqu'au congrès de Reims de 2008, à l'issue duquel il quitte le parti pour fonder le Parti de gauche (PG), dont il devient d'abord président du bureau national, puis coprésident, fonction qu'il conserve jusqu'en 2014.
Sous les couleurs du Front de gauche, coalition qui réunit notamment le PG et le Parti communiste français (PCF), il est élu député européen en 2009 et réélu en 2014. Il est le candidat de cette coalition à l'élection présidentielle de 2012, à l'issue de laquelle il arrive en quatrième position au premier tour, avec 11,10 % des voix. En 2016, il fonde le mouvement La France insoumise (LFI) et se présente sous cette étiquette à l'élection présidentielle de 2017, à laquelle il termine à nouveau en quatrième position, avec 19,58 % des suffrages exprimés. Il est ensuite élu député dans la quatrième circonscription des Bouches-du-Rhône et préside le groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale.
En novembre 2020, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2022.
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Les justices de paix étaient des juridictions de proximité, mises en place en France en 1790 et supprimées en 1958. Il y en avait alors une par canton ; chacune était sous la responsabilité du juge de paix.
Historique, attributions
C'est la Constituante qui instaure en France les justices de paix par la loi des 16 et 24 août 1790. L'objectif de cette création est de mettre au service des citoyens une justice plus proche et efficace, en parallèle à la justice classique : c'est la volonté d'une justice de proximité simple, rapide, gratuite et équitable, héritière de la justice seigneuriale de l'Ancien Régime mais l'exemple anglais était connu.
Dans la loi de 1790, le juge de paix doit être âgé de 30 ans accomplis. Il est élu par les citoyens actifs du canton, réuni en assemblée primaire. La présence de deux assesseurs est obligatoire pour qu'il puisse rendre un jugement.
La loi du 9 ventôse an IX (28 février 1801) remplace les deux assesseurs par deux suppléants et permet au juge de statuer seul.
Le senatus-consulte du 16 thermidor an X (4 août 1802) réduit la fonction de vote des citoyens à celui de présentation de deux candidats parmi lesquels le Premier consul choisit le juge.
En 1830, les juges de paix et leurs suppléant sont nommés par le roi, sur une liste de trois candidats présentés par le procureur-général du ressort.
Les juges de paix avaient pour principale mission de régler les litiges de la vie quotidienne par une démarche conciliatrice : petites affaires personnelles et mobilières, reconnaissances en paternité, conflits bénins entre particuliers, litiges entre voisins, conflits entre locataires et propriétaires (les propriétaires se plaignant qu'ils n'ont pas reçu leur loyer, les locataires se plaignant de charges trop élevées par exemple), contraventions de simple police, levée ou maintien de scellés (lors des règlements de successions en cas d'héritages).
Accessible gratuitement, le juge de paix était présent dans chaque canton. L'accès à la fonction ne nécessitait aucune qualification particulière en droit, ni diplômes, mais résultait d'un vote, puis d'une nomination. Dès lors, on retrouve principalement des personnes dotées d'une autorité morale et d'une situation sociale établies. Il était également chargé de tâches administratives, notamment la présidence de diverses commissions locales. Le juge de Paix devait avoir du bon sens, connaître parfaitement les mœurs en vigueur et juger de manière raisonnable. Les affaires traitées par les juges de paix sont aujourd'hui versées aux archives départementales et peuvent y être consultées dans chaque département.
À partir de 1919, existent en Alsace-Moselle l'équivalent des juges de paix : les juges cantonaux.
La professionnalisation des juges de paix et le regroupement des justices de paix (nouveau maillage face à l'urbanisation croissante), débutés en 1929, ont constitué les prémices de la disparition de ces juridictions originales, liées initialement à la déprise des campagnes.
De plus la judiciarisation de la société a nécessité des institutions plus qualifiées. Supprimées en 1958, les justices de paix sont remplacées par les tribunaux d'instance, les médiateurs et les conciliateurs, dont le point de vue sur l'efficacité est relatif à la compétence des intervenants et de la formation de ces professionnels, alors que le besoin d'une justice de proximité s'accroît.
En 2002, le législateur a créé les juridictions de proximité, dont le rôle peut s'apparenter à celui des juges de paix, mais qui sont des professionnels du droit. Une loi de 2011 revient sur cette création, mais la suppression des juges de proximité est repoussée au 1er janvier 2015; puis au 1er janvier 2017, avant d'être effectivement supprimé le 1er juillet 2017.
En juillet 2020, à l'occasion de son discours de politique générale, le premier ministre a annoncé la création d'une juridiction de proximité chargée de réprimer les délits et incivilités de la vie quotidienne. Le ministère de la justice a toutefois précisé qu'il ne s'agissait pas de recréer ce qui avait été supprimé en 2017
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