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Monde : France

Journée des barricades (1648)

Publié à 22:55 par dessinsagogo55 Tags : center paris histoire photo saint centerblog sur merci france maison
Journée des barricades (1648)

 

 

La Journée des barricades, qui eut lieu le 26 août 1648, au début de la guerre civile de la Fronde, est une rébellion du peuple de Paris décidé à défendre les lois et leurs représentants au parlement de Paris contre la reine de France Anne d'Autriche et le cardinal Mazarin.

 

En 1648, au début de la guerre civile de la Fronde, une émeute fut causée par l'arrestation de deux conseillers au parlement de Paris, René Potier de Blancmesnil et Pierre Broussel, qui s'étaient fait remarquer par leur courage à défendre les lois, en résistant aux empiétements du cardinal Mazarin

 

Irritée de l'opposition de ces magistrats, dont l'influence entraînait la majorité de leur compagnie, la reine de France Anne d'Autriche, par les conseils de son ministre, eut l'imprudence de les faire arrêter, le 26 août 1648.

Dès que le peuple de Paris connut l'emprisonnement des deux conseillers, des attroupements se formèrent. Louis Charton, qui devait aussi être arrêté, réussit à s'échapper.

 

La sévérité dont on usa pour les dissiper, le sang qui fut versé, augmentèrent à tel point l'animosité, qu'on vit alors presque tous les habitants de Paris s'armer pour en tirer vengeance. Dans toutes les rues, des chaînes sont tendues. De deux cents à plus de six cents barricades, ornées de drapeaux, sont dressées et fortifiées aux cris de « vive le Roi! point de Mazarin! ».

 

Le parlement vint en corps au Palais-Royal demander la liberté des prisonniers. Le premier président Mathieu Molé porta la parole. Il représenta à la régente que cette concession était le seul moyen de calmer le mécontentement général, en dissipant à l'instant le feu de la rébellion. Anne d'Autriche refusa avec beaucoup d'aigreur, en disant « Que les membres du parlement étaient les vrais auteurs de la sédition par leur désobéissance aux ordres de la cour ». Une seconde tentative de la part du premier président n'eut pas un meilleur résultat.

 

Les membres du parlement, ainsi congédiés, s'en retournent à pied à leur palais. Ils parviennent sans peine jusqu'à la troisième barricade qui se trouvait à la Croix du Trahoir où ils sont arrêtés. Un marchand armurier de la rue Saint-Honoré, nommé Raguenet, capitaine de la garde bourgeoise de ce quartier, saisit le premier président par le bras et appuyant un pistolet sur le visage de Mathieu Molé lui dit : « Tourne, traître, si tu ne veux être massacré toi et les tiens; ramène-nous Broussel, ou le Mazarin et le chancelier en otages! ».
Molé, sans se déconcerter écarte le pistolet, et, conservant toute la dignité de la magistrature, rallie les membres effrayés de sa compagnie, et retourne au Palais-Royal à petits pas au milieu des injures et des blasphèmes de ce peuple en colère.

 

Pour la troisième fois, il expose à la régente l'irritation des esprits et la résistance que sa compagnie vient d'éprouver dans la rue de l'Arbre-Sec. La reine fait encore des difficultés. Le parlement, pour délibérer sur ce nouveau refus, tint séance dans la galerie du Palais-Royal. Le duc d'Orléans, Gaston de France, et le cardinal Mazarin assistèrent à cette conférence.

 

Il fut décidé que les conseillers arrêtés seraient rendus à la liberté. La régente y consentit enfin. L'ordre en est expédié sur-le-champ. Cette décision fut aussitôt signifiée au peuple mais les Parisiens, peu confiants en la sincérité de la cour, déclarèrent qu'ils resteraient armés jusqu'à ce qu'ils vissent Broussel en liberté.

 

Ce conseiller parut le lendemain matin alors, des salves d'artillerie se firent entendre. La joie publique se manifesta par de bruyantes acclamations. Le peuple porta ce magistrat en triomphe jusqu'à sa maison.

 

Le retour au calme dans la ville ne s'effectuera que le 29 août.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_des_barricades_(1648)

 
     
     
     
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Gendarmerie nationale : Histoire

Publié à 22:50 par dessinsagogo55 Tags : center place centerblog sur mer merci france maison
Gendarmerie nationale : Histoire

 

 

La Gendarmerie nationale est une des plus anciennes institutions françaises. En effet, elle est l'héritière de la Maréchaussée, corps de militaires qui, chargé de la police et de la justice aux armées depuis le Moyen Âge, devient progressivement une force de police compétente pour l'ensemble de la population sur la quasi-totalité du territoire français. Elle conserve des attributions de justice extraordinaire (dite « prévôtale ») jusqu'à la Révolution.

 

En 1720, la Maréchaussée est symboliquement placée sous l'autorité administrative de la Gendarmerie de France, corps de cavalerie lourde assimilé à la maison militaire du roi, qui sera dissous le 1er avril 1788, et en 1791 l'Assemblée Nationale, qui ne souhaite pas conserver le nom de Maréchaussée, trop lié à l'Ancien Régime, lui donne le nom de « Gendarmerie nationale ».

 

Force de police à statut militaire, chargée principalement de la sécurité dans les zones rurales et les zones périurbaines, elle est déployée sur tous les territoires de métropole et d'outre mer. Au XXIe siècle, sa zone de responsabilité couvre 95 % du territoire national et 55 % de la population française. Elle est également engagée aux côtés des armées françaises depuis les guerres de la Révolution jusqu'aux crises du XXIe siècle.

 

En 1941, un monument national est édifié à Versailles, Place de la Loi, pour rendre hommage à la Gendarmerie nationale.

 

Fortement implantée dans les territoires grâce à un maillage étroit, réalisé à partir de brigades identiques, elle évolue à partir du XXe siècle en se dotant d'unités spécialisées dans de nombreux domaines : maintien de l'ordre, police judiciaire, police scientifique, protection des mineurs, lutte contre les formes modernes de criminalité, sécurité-protection, intervention, aviation, police de la route et secours en montagne ou en mer, tout en restant solidement implantée dans les territoires ruraux et péri-urbains. Elle se féminise à partir de 1972. Vers la même période, elle s'ouvre également aux appelés du contingent puis, après la disparition du service militaire, aux gendarmes adjoints volontaires (GAV).

 

En 2009, la Gendarmerie nationale est rattachée pour emploi au ministère de l'Intérieur aux côtés de la Police nationale, qui est chargée des zones urbaines. Elle passe sous l'autorité budgétaire et opérationnelle de ce ministère tout en conservant son statut militaire.

 

Le ministère de la Défense, depuis 2017 le ministère des Armées, reste consulté pour ce qui concerne les ressources humaines, l'organisation de la formation initiale mais également promotionnelle et, pour partie, continue tandis que ses missions militaires (5 % de l'activité générale en temps de paix pour la gendarmerie départementale), les gendarmeries spécialisées, le département Gendarmerie du service historique de la Défense et la gestion des opérations extérieures (« Opex » dans le jargon militaire) sont placés "pour emploi" auprès du ministère des Armées, tout comme les effectifs servant auprès de formations militaires autres que la Gendarmerie.

 

La Gendarmerie nationale est dirigée par un directeur Général (DGGN). Depuis le 1er novembre 2019, il s'agit du général d'armée Christian Rodriguez. Il est le septième officier général de la Gendarmerie à occuper cette fonction depuis 1947. Leurs prédécesseurs civils étaient traditionnellement issus soit de la magistrature soit du corps préfectoral.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gendarmerie_nationale_(France)

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Panhard & Levassor type x5 1911

Publié à 22:30 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog sur background france monde blogs
Panhard & Levassor type x5 1911

 

   
   
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Notes et références                                                    
RUBRIQUE   Monde : France
DESCRIPTION   Panhard
   
   
   
   
    Panhard Dyna Z
    Panhard : la production de véhicules militaires
   
   
    Panhard & Levassor type x5 1911
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
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Renault 2715 Limousine 1912

Publié à 22:25 par dessinsagogo55 Tags : air histoire soi chevaux sur film centerblog merci bleu divers
Renault 2715 Limousine 1912

 

1912 Renault Victoria Limousine

 

L'ère du laiton est un terme américain désignant les débuts de la fabrication automobile, du nom des raccords en laiton de premier plan utilisés à cette époque pour des éléments tels que les lumières et les radiateurs. Il est généralement considéré comme englobant 1896 à 1915, une époque où ces véhicules étaient souvent appelés voitures sans chevaux. Vers la fin de la période, les voitures prenaient une forme qui est familière à ce que nous considérerions comme la voiture moderne en soi avec un compartiment moteur à capuchon avant, un habitacle fermé et des équipements de luxe tels qu'un volant, divers engrenages, un plancher des pédales et des moteurs de plus en plus puissants.

 

Commandé à l'origine à l'usine de fabrication des frères Renault, par une Madame Frances Alda, qui était chanteuse pour l'opéra métropolitain, et a couru dans les cercles sociaux avec le ténor Jim McCormack, le philanthrope `` Diamond '' Jim Brady et A Mrs. Ray Dennis de Convent Station, New Jersey entre les mains de qui la voiture finirait par se retrouver. Notre acheteur actuel a acheté la voiture en 1961 et l'a gardée jusqu'au moment de janvier 1992, date à laquelle une restauration complète a commencé. Ce consignateur possédait une entreprise de garages et de stations-service, et a restauré plusieurs voitures auparavant, dont cette Renault serait sa Magnum Opus, aboutissant à la voiture que nous voyons aujourd'hui. Environ 1 200 heures ont été consacrées à la restauration.

 

Extérieur


Dans le vrai style de l'époque du laiton, cette limousine personnalisée commence avec 2 phares suspendus alimentés au kérosène, en laiton complet, revient à un capot de style mansardé qui est également en laiton et est soutenu par un radiateur en laiton. Cette partie de la voiture est sauvegardée avec le compartiment du chauffeur. Une note sur le corne de l'ampoule à compression enroulée (en laiton) qui émet un son qui résonne pour que tout trafic sur son chemin s'écarte immédiatement du chemin! En se déplaçant vers l'arrière, nous avons l'habitacle qui est un mélange de métal peint en bleu royal et de garnitures en chêne qui ont une coloration vieillie et montrent une légère usure, mais en excellent état général. Tout au-dessus de l'habitacle et de l'habitacle se trouve un toit en toile qui peut être retiré pour la conduite en plein air. Les ailes métalliques flottant au-dessus des roues à rayons en bois vont de l'avant vers l'arrière, et avoir un long marchepied qui facilite l'accès à l'un ou l'autre des compartiments, et abrite des accessoires en laiton tels qu'une cartouche pour alimenter les lampes extérieures. À l'arrière de la voiture se trouve un grand coffre recouvert de cuir noir qui contient un vieil huileur, un graisseur et diverses pièces supplémentaires à l'intérieur.

 

Intérieur


La voiture est essentiellement à 2 compartiments, le siège du chauffeur à droite est en plein air et dispose d'un banc en cuir, d'un simple tableau de bord en bois et de divers leviers et pédales pour contrôler le mouvement de cette voiture. Un volant en bois fait face au tableau de bord sans instrument, et un pare-brise fait face à ce tableau de bord et un revêtement de sol en caoutchouc. Un habitacle fermé avec écran mobile en verre de confidentialité, entièrement recouvert de moquette et doté d'un siège de saut rembourré, ainsi que d'un banc capitonné et boutonné entièrement recouvert de tissu pour le (s) passager (s) conduit (s). On remarque le système d'actionnement de la fenêtre à ceinture, où une ceinture en cuir s'enroule autour du bas de l'habitacle et des fenêtres d'intimité et est tirée pour lever et abaisser les fenêtres! La garniture de toit est également en tissu et se montre aussi jolie et serrée.

 

Transmission


Cette Renault particulière est équipée d'un moteur 4 cylindres en ligne «tête en T» de 2,6 litres qui a donné à la voiture une vitesse de croisière de 30 à 35 mi / h. Contrairement à beaucoup de ses contemporains, la Renault montre un nez élégant et incliné avec le radiateur placé derrière le moteur. De plus, et contrairement à de nombreuses voitures de cette époque, la Renault est équipée d'une transmission par arbre (pas d'une transmission par chaîne), ce qui était utile sur les routes moins qu'idéales de la journée. Ce moteur a un démarreur à manivelle; Cependant, nous n'avons pas tout rempli de liquides et ne l'avons pas fait fonctionner. Il a cependant été déclaré par notre mécanicien, qu'il avait une compression suffisante lorsque la manivelle était tournée, mais au risque de perdre un bras, ou de perdre la capacité d'utiliser une épaule, nous n'avons pas osé l'essayer.

 

Train de roulement


Simplicité dans sa forme complexe, entièrement restauré, ce train de roulement montre les fondements de l'automobile précoce. On peut passer beaucoup de temps à admirer les composants mécaniques de cette voiture à la fois pour leurs curiosités d'ingénierie et la qualité de fabrication qui a servi à la construction de ces voitures.

 

Il y a une histoire où un monsieur de Bryn Mawr, Pennsylvanie, et sa famille qui étaient des survivants du désastre du Titanic, avaient également une voiture similaire de cette année 1912, sur le navire qui est tombé. Il y avait une réclamation d'assurance qui lui a été payée par la Lloyds of London pour la somme de 4 000 $. La voiture qui était dans le film réel était une coque Ford Model A modifiée pour ressembler à la Renault pour la scène torride, et cette voiture a été inondée pendant les scènes de naufrage et n'existe plus ... mais celle-ci existe et n'a pas dégâts d'eau!

 

Classic Auto Mall est une salle d'exposition automobile classique et spéciale de 336 000 pieds carrés, avec plus de 300 véhicules à vendre avec une salle d'exposition pouvant accueillir jusqu'à 1 000 véhicules. En outre, une collection de trouvailles de grange de 400 véhicules est exposée.


Ce véhicule est situé dans notre salle d'exposition à Morgantown, en Pennsylvanie, idéalement situé à seulement 1 heure à l'ouest de Philadelphie sur l'I-76 Pennsylvania Turnpike. Le site Web est www.classicautomall.com et notre numéro de téléphone est le (888) 227-0914. Veuillez nous contacter à tout moment pour plus d'informations ou pour venir voir le véhicule en personne.

 

 


Liens externes                                                  
  https://www.hemmings.com/classifieds/cars-for-sale/renault/2715/2285835.html  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Paris-Brest

Publié à 22:20 par dessinsagogo55 Tags : paris histoire center maison centerblog course sur merci création nature
Paris-Brest

 

 

Le paris-brest est une pâtisserie traditionnelle d'origine française, en forme de couronne, elle est composée d'une pâte à choux fourrée d'une crème mousseline pralinée, parsemée d'amandes effilées.

 

La création de cette pâtisserie est attribuée à Louis Durand, un pâtissier de Maisons-Laffitte, qui a conçu un jour d'été de 1909 ce gâteau en forme de roue de bicyclette, pour célébrer la course cycliste Paris-Brest-Paris

 

La forme du paris-brest est censée représenter une roue, mais d’une dizaine de centimètres, en référence à la course cycliste du même nom. Le Paris-Brest en pâtisserie individuel, quant à lui devrait être traditionnellement poché en forme de selle de vélo. Quelques pâtissiers perpétuent la tradition des grands paris-brest. Vendus à la coupe ou comme gâteau familial, ils peuvent atteindre des dimensions de 20 centimètres de diamètre, ou plus

 

La réalisation de ce dessert utilise une pâte à choux cuite avec des amandes effilées parsemées en surface, dans laquelle on introduit, après cuisson de la pâte, une torsade de crème pralinée. Les variantes usuellement rencontrées portent sur la nature de la crème utilisée. La maison Durand à Maisons-Laffitte, qui se veut la maison où cette pâtisserie aurait été créée, utilise une crème praliné dont elle garde soigneusement le secret. Chaque pâtissier utilise aujourd'hui des crèmes plus différentes les unes que les autres. La crème la plus classiquement utilisée est la crème mousseline (crème pâtissière que l'on émulsionne par l'ajout de beurre pommade ou de crème au beurre). D'autres utilisent une crème au beurre pour des raisons de conservation. Les ouvrages de cuisine citent également une crème intitulée tout simplement crème à paris-brest, et qui est généralement une crème mousseline pralinée parfumée au rhum

 

 


Liens externes                                                  
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Auguste Bartholdi

Auguste Bartholdi

 

 

Frédéric Auguste Bartholdi, né le 2 août 1834 à Colmar et mort le 4 octobre 1904 à Paris, est un sculpteur, un peintre français et, à ses débuts, un photographe amateur de la photographie de voyage.

 

Il est notamment l'auteur de la célèbre statue de la Liberté (dont le titre exact est La Liberté éclairant le monde), offerte par la France aux États-Unis et érigée en 1886 sur Bedloe's Island, à l'entrée du port de New York ainsi que du monumental Lion de Belfort, qui célèbre la résistance héroïque de la ville lors du siège de 1870-1871. Ses rares peintures sont généralement signées du pseudonyme d'« Amilcar Hase ».

 

Biographie

 

Né à Colmar le 2 août 1834, Frédéric Auguste Bartholdi est le fils de Jean Charles Bartholdi (1791-1836), conseiller de préfecture, et d’Augusta Charlotte, née Beysser (1801-1891), fille d'un maire de Ribeauvillé. Quatre enfants, dont seuls l'aîné, Jean-Charles (avocat-éditeur, puis interné pour maladie), et le cadet, Auguste, survivront. À la mort de son père en 1836, la mère, de condition aisée, décide d'aller vivre à Paris, tout en conservant la maison familiale du 30, rue des Marchands, qui abrite, depuis 1922, le musée Bartholdi, après avoir été léguée à la Ville en 1907.

 

De 1843 à 1851, il étudie au lycée Louis-le-Grand à Paris. Parallèlement, sa mère l'inscrit comme élève dans l'atelier du sculpteur Antoine Étex et du peintre Ary Scheffer, rue Chaptal (aujourd'hui musée de la Vie romantique, qui y conserve deux bronzes, La Gravure et L’Orfèvrerie). Ce dernier décèle chez Bartholdi que sa vocation est dans la sculpture. Auguste Bartholdi obtient son baccalauréat en 1852 et un an plus tard, afin qu'il s'installe, sa mère lui achète un atelier, rue Vavin, qu'il occupera pendant quarante ans.

 

De 1855 à 1856, il voyage avec ses amis Édouard-Auguste Imer et Jean-Léon Gérôme en Égypte, où il découvre la sculpture monumentale, puis en Arabie heureuse. Il en rapporte des dessins et photographies orientalistes qui l'influenceront.

 

Son premier monument, une sculpture en bronze dédiée au général Rapp, est inauguré au Champ-de-Mars de Colmar le 31 août 1856.

 

Pendant la guerre franco-allemande de 1870, chef d'escadron des gardes nationales, il est aide de camp du général Giuseppe Garibaldi et agent de liaison du gouvernement, particulièrement chargé de s'occuper des besoins de l'armée des Vosges. C'est au cours de cet engagement patriotique que Garibaldi et Gambetta le confortent dans son amour de la république et de la démocratie. Très marqué par l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine par l'Empire allemand, il veut dès lors exalter les valeurs de la liberté.

 

En 1871, à la demande d'Édouard Lefebvre de Laboulaye — dont Bartholdi a réalisé un buste en 1866 — et de l'union franco-américaine, il effectue son premier voyage aux États-Unis pour sélectionner en personne le site où sera installée la statue de la Liberté. Le projet ressemblera d'ailleurs beaucoup à un projet semblable (L'Égypte éclairant l'Orient), qui aurait dû être installé à l'entrée du canal de Suez, si Ismaïl Pacha l'avait accepté en 1869.

 

Sa carrière prend dès lors une ampleur internationale. Il devient un des sculpteurs les plus célèbres du xixe siècle en Europe et en Amérique du Nord.

 

Il réalise de 1875 à 1879, le Lion de Belfort, sculpture monumentale en haut-relief située à Belfort en France au pied de la falaise de la citadelle. L'œuvre représente un lion couché sur un piédestal en rocaillage, la patte posée sur une flèche qu'il vient d'arrêter. Cet animal symbolise la résistance de la ville assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870, et à l'issue de laquelle la zone, correspondant à l'actuel Territoire de Belfort, sera la seule partie de l'Alsace à rester française.

 

Voulant exalter la portée universelle du message républicain, il est franc-maçon depuis 1875, adhérent à la loge Alsace-Lorraine à Paris. C'est à partir de cette date qu'il commence la construction de la statue de la Liberté dans ses ateliers parisiens, rue Vavin. La pose de la première pierre du piédestal le 5 août 1884, est d'ailleurs une cérémonie maçonnique : c'est le grand-maître de la Grande Loge de l’État de New York, William A. Brodie (en), qui la pose, rappelant que les loges l'ont aidé dans son projet.

 

La même année, le 20 décembre, il conclut à l'hôtel de ville de Newport (Rhode Island) aux États-Unis un mariage « rocambolesque » avec Jeanne-Émilie Baheux de Puysieux, simple modiste mais descendante d'une grande famille alsacienne, posant pour lui, qui se serait rajeunie de 13 ans aux yeux de son mari. Lors de son séjour chez son ami John LaFarge, ce dernier le convainc en effet de l'épouser afin de se conformer aux valeurs morales des hommes d'affaires américains qui financent sa statue de la Liberté. LaFarge fait ainsi venir chez lui le pasteur Charles T. Brooks pour célébrer dans la précipitation un mariage improvisé. Leur mariage sera cependant heureux mais le couple n'aura pas d'enfant.

À Rouen au mois de mai 1885, il surveille le chargement des caisses, de la statue démontée, sur la frégate de transport Isère. À l'invitation du commandant Gabriel Lespinasse de Saune il embarque, avec son épouse, sur le navire pour la descente de la Seine, les époux débarquent à Caudebec-en-Caux, avant que le bateau entreprenne la traversée de l'Atlantique.

 

Il effectuera un autre voyage aux États-Unis sur La Bretagne (CGT) pour l'inauguration, le 28 octobre 1886, de la statue de la Liberté à New York.

 

Il est élevé au grade de commandeur de la Légion d'honneur en 1886, 22 ans après avoir été nommé chevalier.

 

Auguste Bartholdi meurt de maladie le 4 octobre 1904 en son domicile au no 82, rue d'Assas dans le 6e arrondissement de Paris. Il est inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse (28e division). Le service funèbre, comme celui en 1914 de sa veuve, a été présidé par leur ami le pasteur Jules-Émile Roberty, du temple protestant de l'Oratoire du Louvre.

 

L'année suivante en 1905, sa veuve lègue la statue de Champollion en plâtre réalisée par son mari pour l'Exposition universelle de 1867 au musée de Grenoble. Cette statue consignée dans le musée ne sera finalement installée dans la cour d'honneur du lycée Champollion qu'en 1926. Elle est aujourd'hui exposée dans la salle 17 du musée.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Bartholdi
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CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) 1 X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Téléphone rose

Téléphone rose

 

Un service de téléphone érotique, ou familièrement de téléphone rose (en raison de la connotation sexuelle de la couleur rose), est une plate-forme téléphonique offrant aux appelants la possibilité d'avoir des conversations à caractère érotique, éventuellement pour se masturber, souvent par le biais d'un serveur vocal interactif.

 

Coût

 

La plupart de ces services sont payants. La transaction peut s'effectuer de deux manières :

par le biais d'un numéro surtaxé, dont le tarif est prélevé directement sur la facture téléphonique du client par l'opérateur, qui partage ensuite ces revenus avec l'éditeur du service en lui en reversant une partie ;

par le biais d'un numéro à tarif normal, mais le client est invité à communiquer son numéro de carte bancaire, le montant étant alors prélevé sur son compte.

Une pratique courante quoiqu'illégale est de séparer l'accès des hommes et celui des femmes, dans le but d'octroyer à ces dernières des tarifs plus avantageux, voire la gratuité. En effet, les hommes étant plus nombreux que les femmes, il s'agit de les inciter à participer davantage.

 

Types de contacts

 

Les clients peuvent être mis en relation avec :

d'autres clients, auquel cas l'objectif peut également être un contact à l'extérieur du service ;

des salariés de l'entreprise éditant le service, le client n'étant alors pas nécessairement informé du fait que son interlocuteur n'est pas un autre client, mais qu'au contraire il est rémunéré pour ces dialogues.

Les contacts peuvent se présenter sous la forme :

d'écoutes de récits pré-enregistrés par des comédiens,

de boîtes aux lettres vocales,

d'échanges de messages en temps réel,

de conversations en direct, éventuellement sur le mode de la mise en relation aléatoire, s'apparentant alors au speed dating,

voire de conférences à plusieurs.

Il est parfois possible de procéder à une sélection des interlocuteurs par critère (région géographique, sexe, âge).

Certains services proposent d'assister, sur le mode du voyeurisme, aux dialogues des autres clients sans participer (ceux-ci étant bien entendu informés qu'ils peuvent être écoutés).

Les services sont parfois spécialisés par orientation sexuelle (hétérosexualité, homosexualité masculine ou féminine), ou par pratique (sado-masochisme, sexualité de groupe, fétichisme).

 

Conditions de travail

 

Les employés peuvent soit travailler depuis leur domicile, sur leur ligne personnelle, soit dans un centre d'appel.

Tout comme d'autres services téléphoniques à bas coûts salariaux (voyance par téléphone), le téléphone rose n'échappe pas à l'externalisation des appels. C'est-à-dire qu'une hôtesse française peut également prendre des appels passés par des clients belges ou suisses romands.

Les employés assument parfois en parallèle la fonction de surveiller les dialogues entre clients, afin de s'assurer de leur légalité et ils sont considérés comme des travailleurs du sexe. Sauf dans le cas de services à caractère homosexuel, il s'agit généralement de femmes : les clients étant essentiellement des hommes.

 

Publicité

 

La promotion de ces services se fait généralement par le biais de petites annonces ou d'encarts publicitaires, dans la presse masculine ou pornographique, à la télévision ou la radio tard dans la soirée et la nuit, sur Internet, ou encore par affichage.

 

Éthique et déontologie

France

 

En France, les entreprises éditrices de services télématiques s'engagent à suivre les Recommandations déontologiques émises par l'AFMM (Association Française du Multimédia Mobile).

 

Le téléphone rose dans la culture populaire

 

En 1980, la chanteuse française Sheila, dans sa chanson L'amour au téléphone, adaptation par son producteur Claude Carrère et l'auteur Jean Schmitt de la chanson Love on the phone de Suzanne Fellini, joue le rôle humoristique d'une femme choquée par les personnes qui selon elle utilisent le téléphone rose, tout en avouant pourtant s'y adonner elle-même.

Sex over the phone, chanson des Village People (1985).

En 1991, le clip de la chanson Sweet Emotion d'Aerosmith met en scène une conversation de téléphone rose ; la fin du clip révèle que l'hôtesse ne correspond pas à l'image jeune et sexy que le personnage s'en faisait dans ses rêves, puisqu'il s'agit en fait d'une vieille femme obèse ayant un bébé.

En 1993, dans le film américain Short Cuts de Robert Altman, Jennifer Jason Leigh gagne sa vie à travers le téléphone rose. Elle excite ses clients au téléphone en lisant divers mini-scénarios.

En 1994, dans le clip de sa chanson Confide in Me, la chanteuse australienne Kylie Minogue incarne une hôtesse de téléphone rose invitant le téléspectateur à l'appeler et à se confier à elle.

En 1996, dans le film américain Girl 6 de Spike Lee, Theresa Randle incarne Judy alias Girl 6, une hôtesse de téléphone rose.

En 1997, dans le film japonais Eat the Schoolgirl, un jeune yakusa noue une relation avec une hôtesse de téléphone rose.

L'agent spécial Larry B. Max de la série BD IR$ (1999), noue une relation ambigu avec une Gloria Paradise hôtesse de téléphone rose.

En 2001, dans l'épisode 13 de la saison 7 de la série télévisée américaine Friends, le personnage de Phoebe avoue avoir travaillé pour un service de téléphone rose3.

En 2002, dans le film américain Spun de Jonas Akerlung, Spider Mike appelle un service de téléphone rose dont l'hôtesse est Debbie Harry.

En 2002, dans son sketch Le Téléphone rose, l'humoriste français Jean-François Dérec interprète le rôle de Gérard Bouchard, client d'un serveur vocal de téléphone rose.

En 2005, dans l'épisode 20 de la saison 6 de la série télévisée américaine Malcolm, Hal découvre une facture pour un téléphone rose, les appelle pour se plaindre mais raccroche mal le combiné ce qui conduit à un appel à huit cents dollars.

En 2006, dans le premier épisode de la quatrième saison de la série télévisée américaine Nip/Tuck, Kathleen Turner incarne le personnage d'une hôtesse de téléphone rose de 50 ans qui souhaite une opération de chirurgie esthétique pour rajeunir sa voix.

En 2009, dans la saison 5 de la série télévisée française Plus belle la vie, le personnage de Wanda Legendre travaille comme hôtesse de service téléphonique à caractère sado-masochiste pour survivre.

En 2012, dans le film américain American Sexy Phone de Jamie Travis, où deux colocataires décident de monter une entreprise de téléphone rose.

 

Indicatifs téléphoniques

 

Ci-après la liste des indicatifs téléphoniques par pays identifiant ce type de services :

 France : 08 95 (à compter du 1er janvier 2017, l'ensemble des services téléphoniques surtaxés et destinés à un public adulte doivent obligatoirement être proposés sur la tranche de numérotation 08 95 - Décision ARCEP N° 2012-0856)

 Royaume-Uni : 0909

 Suisse : 0906

 

 
 
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Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Des chiffres et des lettres

Publié à 21:50 par dessinsagogo55 Tags : center sur france monde divers merci centerblog sport
Des chiffres et des lettres

 

Des chiffres et des lettres est un jeu télévisé français diffusé sur France 3 du lundi au vendredi à 16 h 10.

 

Apparu le 19 septembre 1965, il sera diffusé sous le nom Le Mot le plus long jusqu'au 29 septembre 1970. Il est devenu ensuite Des chiffres et des lettres le 4 janvier 1972.

 

Ce jeu, créé par Armand Jammot et reposant sur les compétences en calcul et sur la connaissance du vocabulaire des candidats, a été diffusé successivement sur la deuxième chaîne de l'ORTF, sur Antenne 2, sur France 2 puis sur France 3 depuis la rentrée scolaire 2006.

 

C'est le plus ancien jeu télévisé quotidien toujours diffusé de la télévision française, et l’émission télévisée est la deuxième plus ancienne émission encore présente dans le PAF, après Le Jour du Seigneur (en dehors du journal télévisé).

 

Le jeu est actuellement présenté par Laurent Romejko avec Arielle Boulin-Prat pour Le Mot le plus long et Bertrand Renard pour Le Compte est bon, ces deux derniers contrôlant la validité des solutions proposées par les candidats.

 

Au Québec, l'émission est diffusée depuis le 28 octobre 1979 sur TVFQ 99 puis TV5 Québec Canada et dans les autres parties du monde, sur tous les continents, via le réseau TV5 Monde.

 

Naissance de l'émission Le Mot le plus long

 

1965 : Armand Jammot crée le dimanche 19 septembre 1965 l'émission Le Mot le plus long, alors restreinte aux lettres (tirages de 7 lettres), animée par Christine Fabréga et diffusée toutes les deux semaines le dimanche midi, après le repas dominical. Au tout début, les lettres non utilisées restaient en jeu, aussi avait-on intérêt à jouer les mots sans lettre chère pour plomber le tour du concurrent. Le jeu fait également appel à la culture générale : chaque candidat dont le total des points est impair doit répondre à une question sur un sujet divers. Le premier mot joué fut le pronom personnel ME et le second le nom MÉE (« auge à saler les harengs »), à partir du tirage EGBMEOE. Le mot le plus long de ce tirage était en fait de 5 lettres (GOBÉE)

 

1968 : l'émission devient hebdomadaire.

1970 : le 29 septembre, arrêt de l'émission Le Mot le plus long.

 

 
 
Liens externes                                                  
     
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Tunnel du Mont-Blanc

Tunnel du Mont-Blanc

 

 

Le tunnel du Mont-Blanc est un tunnel routier qui relie Chamonix-Mont-Blanc, en Haute-Savoie, France, à Courmayeur, en Vallée d'Aoste, Italie. Lors de l'inauguration en 1965, c'était le plus long tunnel routier du monde. Le tunnel du Mont-Blanc est constitué d'une galerie unique à double sens de circulation, le doublement du tunnel projeté n'ayant jamais été réalisé pour des raisons d'abord de financement, puis d'opposition farouche des riverains côté français, en raison des nuisances dues à la circulation intense des poids lourds. Il a permis une réduction de parcours de Chamonix vers Aoste de 60 km et surtout de ne plus dépendre de la fermeture hivernale des cols alpins facilitant ainsi les déplacements entre la France et l'Italie.

 

Longueur du tunnel : 11,6 km de Chamonix à Courmayeur. Altitude de l'entrée côté français : 1 274 mètres ; de l'entrée côté italien : 1 381 mètres (le tunnel n'est pas horizontal, mais en forme de V inversé pour faciliter l'écoulement des eaux). Il passe à l'aplomb exact de l'aiguille du Midi. La hauteur intérieure du tunnel est de 4,35 m et sa largeur de 8 m (deux voies de 3,5 m et deux accotements de 0,5 m).

 

Après de longues années nécessaires à son percement, le tunnel est mis en service le 19 juillet 1965.

 

Lors de l'ouverture, la gestion du tunnel était séparée en deux parties et deux sociétés concessionnaires qui géraient chacune une moitié de tunnel :

côté français : l'ATMB (Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc), créée le 30 avril 1958

côté italien : la SITMB S.p.A. (Società Italiana per il Traforo del Monte Bianco), créée le 1er septembre 1957 (et qui appartient à 51 % à Atlantia).

 

 

Historique

 
 
L'intérieur du tunnel, avec un emplacement d'arrêt à droite.
 
 
 
 
 

1946 : Côté italien, forage d'une galerie d'une centaine de mètres qui marque le début du projet.

1949 : Signature d'une convention franco-italienne prévoyant le percement d’un tunnel routier sous le mont Blanc.

1953 : Signature d'une charte nationale de la construction du tunnel qui sera ratifiée par les parlements français (en 1954, par 544 voix contre 32) et italiens (en 1957).

1957 : Création de la STMB (Société du tunnel du Mont-Blanc), qui deviendra en 1996 Autoroutes et Tunnel du Mont-Blanc (ATMB).

1959 : En mai, les ministres français et italien des Travaux publics lancent officiellement les travaux de percement. Le 30 mai, à Chamonix, grande manifestation pour l’ouverture des travaux de la perforation du tunnel du Mont-Blanc en présence du ministre des Travaux publics. On annonce qu'un tunnelier (surnommé "jumbo") de 75 tonnes permettra de percer le tunnel en moins de 30 mois.

14 août 1962 : Jonction des équipes de forage françaises et italiennes. La percée a été réussie, l’écart d’axe étant inférieur à 13 cm.

16 juillet 1965 : Le président de la République française Charles de Gaulle et le président de la République italienne Giuseppe Saragat inaugurent « le tunnel routier le plus long du monde qui, sous les montagnes les plus hautes d'Europe, relie deux nations déjà fraternellement unies. »

19 juillet 1965 : ouverture du tunnel à la circulation touristique.

20 octobre 1965 : ouverture du tunnel à la circulation des poids lourds.

1968 : Édouard Balladur devient président de la Société pour la construction et l'exploitation du Tunnel du Mont-Blanc.

1973 : Ouverture de la première section de l’autoroute blanche.

1978 : Un réseau de caméras de surveillance est installé, soit une a tous les 300 mètres, et la capacité totale d’alimentation en air frais du tunnel est portée à 900 m3/s.

1980 : Pour éviter le rejet sur la plate-forme de l’air vicié par la tête française du tunnel, un puits vertical de 7 m de diamètre est créé au droit de la courbe d’entrée du tunnel.

1990 : Dans le cadre d'un plan pluriannuel de modernisation, sont mis en œuvre :

Une troisième génération de vidéosurveillance avec transmission des données par fibres optiques,

La création d’un réseau de 18 abris pressurisés, soit un a tous les 600 mètres.

La création d’une conduite d'incendie sous pression,

Le remplacement des éléments de sécurité : bornes d’appel, extincteurs, groupes électrogènes.

1997 : Mise en service d’un système de détection incendie et lancement d’études pour une détection automatique d’incident, une gestion technique centralisée des équipements de sécurité et une nouvelle signalisation par panneaux à messages variables.

 

Accident du 24 mars 1999

Chronologie

 

10 h 47 : Le camion belge qui prendra feu entre dans le tunnel.

10 h 51 : L'alarme d'opacité se déclenche.

10 h 53 : Le camion s'immobilise.

10 h 54 : L'alerte est donnée par un automobiliste à une borne d'appel. La fumée progresse à 4 mètres par seconde (16 km/h), l'asphyxie est inévitable. Les personnes sortant de leur véhicule pour rejoindre un abri de secours ont été intoxiquées en quelques secondes à cause du monoxyde de carbone rejeté par l'incendie.

10 h 55 : Le péage français est fermé, la signalisation passe au rouge.

10 h 56 : Le péage est fermé du côté italien.

10 h 58 : Les secours sont alertés.

11 h 09 : Arrivée des premiers pompiers à l'entrée du tunnel, soit 23 minutes après l'entrée du camion dans le tunnel.

11 h 11 : Des pompiers italiens sont pris au piège et arrivent à sortir par une galerie d'aération.

11 h 30 : Arrêt des interventions des pompiers, la fumée bloque tout le tunnel.

Le chargement du camion (de la farine et de la margarine) a provoqué un incendie aussi violent qu'un pétrolier de trente tonnes. Le mélange margarine / isolant du camion (polystyrène) fut découvert comme extrêmement inflammable après enquête.

 

Conséquences

 

Après ce drame qui a fait 39 morts, le tunnel reste fermé pendant trois ans et réouvre à la circulation le 9 mars 2002, après de longs travaux de réparation (réfection de la voûte fortement endommagée) et de sécurité. Ces derniers ont consisté en la création :

de niches tous les 100 mètres,

d'un poste de secours au centre du tunnel, avec un véhicule lourd et plusieurs pompiers présents en permanence dans ce local,

d'abris reliés à une galerie d'évacuation indépendante (sous la chaussée),

d'une salle de commande unique (côté français, avec une salle de secours du côté italien).

Les règles d'exploitation ont été changées :

unification des deux sociétés exploitantes sous forme d'un groupement européen d'intérêt économique (GEIE) ; des équipes communes franco-italiennes sont constituées pour assurer la sécurité dans la gestion courante du tunnel ;

interdiction des camions transportant des matières dangereuses et des véhicules de transport polluants (norme Euro 0), limitations de vitesse strictes, intervalles entre véhicules (150 m en circulation, 100 m à l'arrêt).

 

Quelques chiffres relatifs à la construction du tunnel

 

Personnel : ont travaillé à la réalisation du projet 5 ingénieurs, 350 ouvriers, le tout pour un total cumulé de 4 600 000 heures de travail (estimation). 23 morts lors d'accidents du travail.

Machines : une perforatrice Jumbo de 75 tonnes pouvant percer 16 trous à la fois pour placer les explosifs côté français. Et 2 pelles électriques de 23 tonnes et 10 locomotives également électriques et 90 wagons pour évacuer les roches. Côté italien, le travail est réalisé par des perforatrices montées sur une plate-forme roulante. Les déblais sont évacués par des camions automobiles nécessitant une forte ventilation de la galerie.

Explosifs : 711 tonnes d'explosifs ont été nécessaires pour faire sauter 550 000 m3 de roches.

Consommation : 37 millions de kWh et 2 700 000 litres de carburants pour les camions et les engins.

Divers : ont été utilisés 771 240 boulons, 6 900 fleurets, 300 tonnes de fer pour soutenir la voûte, 5 000 m3 pour le coffrage de 60 000 tonnes de ciment (mélangé à 280 000 m3 d'agrégats et à 10 000 tonnes de produits d'injection).

 

Péage

 

 
Quittance pour traversée du tunnel le 28 juillet 1969.
 

La traversée du tunnel est soumise à un péage, dont le tarif est augmenté au 1er janvier de chaque année en fonction des taux d'inflation en Italie et en France durant l'année précédente. Le tarif au 25 janvier 2013 pour une voiture est de 40,90 € (41,40 € côté italien) pour une traversée simple, et de 51 € pour un aller-retour valable durant 7 jours (51,60 € côté italien). Le tarif (le 25 août 2016) pour une traversée simple (Italie → France) en voiture est de 44,20 €. A compter du 1er janvier 2021 pour un véhicule particulier, le tarif est de 46,60 pour un aller, et de 58,20 pour un aller-retour valable durant 7 jours.

 

Art

 

Le peintre Jean Aujame a accroché au Salon des peintres témoins de leur temps de 1963 une toile représentant le perçage du tunnel du Mont-Blanc.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tunnel_du_Mont-Blanc

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Tunnel du Mont-Blanc
    Tunnel sous la Manche
    TELT : 3 milliards d’Euro pour le tunnel du Lyon-Turin
    3 milliards d'euros attribués pour le tunnel Lyon-Turin
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Peugeot 404

Publié à 21:41 par dessinsagogo55 Tags : france centerblog sommaire center sur merci sport
Peugeot 404

 

 

La Peugeot 404 est une automobile du constructeur automobile français Peugeot, produite à partir du 10 mai 1960. Ce sera, en mai 1962, la première berline française de série (tout comme le premier coupé/cabriolet) équipée d'un moteur à injection.

 

La 404 a été retirée du catalogue français en octobre 1975, à l'exception de la camionnette qui fut commercialisée en France jusqu'en 1979. La production s'est prolongée pendant plusieurs années à l'étranger : les dernières 404 étaient des utilitaires assemblés en 1989 à l'usine de Mombassa (Kenya).

 

Lorsqu'en 1955, la firme de Sochaux présente la 403, peu de temps après, Citroën lance la DS. La clientèle traditionnelle n'a pas vraiment succombé à la suspension hydraulique, d'autant que les premiers ennuis techniques sont vite apparus, mais le directoire de Peugeot a réagi très rapidement, chose très inhabituelle pour le constructeur. Dès la fin de l'année 1955, la décision de lancer en urgence l'étude de la remplaçante de la 403 était prise; elle s'appellerait 404.

 

Un premier projet avec une motorisation V8 et une suspension hydraulique est envisagé mais très vite abandonné. Les déboires du concurrent ont précipité cette décision. En pleine période de guerre de Suez, Peugeot parie sur une berline familiale traditionnelle mais d'aspect moderne. Très satisfait de sa première collaboration avec le carrossier italien Pininfarina qui fut l'auteur de la 403, la direction de Peugeot lui confia l'étude de la 404 mais avec une contrainte de poids, la réduction du temps d'étude, avec la possibilité de trouver, dans les cartons du maître en design, un projet déjà prêt. Pininfarina proposa l'étude réalisée pour Fiat (qui donnera la Fiat 1800/2100) et pour le britannique Austin. Après quelques savantes retouches pour faire accepter à ces deux constructeurs que Peugeot commercialise une carrosserie semblable, la 404 est conçue en à peine 3 mois. La production de la Peugeot 404 est lancée le 10 mai 1960

 

La partie propulsion reprenait très partiellement celle de la 403 (bloc moteur en fonte, 4 cylindres en ligne, trois paliers, culasse en alliage léger Alpax) mais dont la cylindrée était portée à 1,6 litre en augmentant l'alésage de 4 mm, et surtout en inclinant ce bloc à 45° ("couché" sur la droite). La puissance obtenue était alors de 65 ch DIN. En 1963, afin de procurer au coupé/cabriolet et à la berline des performances de grande routière, ce groupe moteur (avec un rapport volumétrique augmenté à 8,8) sera doté de l'injection (indirecte) portant la puissance à 80 ch DIN.

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Peugeot_404

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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