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28.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Anne du Bourg, né à Riom en 1521, mort à Paris le 23 décembre 1559, est un magistrat français protestant, condamné à mort pour fait de religion.
Neveu du chancelier Antoine du Bourg, étudiant à l'université d'Orléans, Anne du Bourg y fut aussi professeur avec Étienne de La Boétie ou Louis Le Caron pour élèves. Il devint conseiller au Parlement de Paris en 1557. En juin 1559, au cours d'une mercuriale (séance plénière du parlement), il attaque la politique royale de répression contre « ceux que l'on nomme hérétiques ». Ne faisant pas mystère de ses opinions calvinistes, il parle au roi Henri II avec une grande hardiesse en faveur des nouvelles opinions. Henri II le fait arrêter sur le champ et embastiller.
À la mort accidentelle d'Henri II, les Guise monopolisent alors le pouvoir au détriment des princes du sang. Après un procès, au cours duquel Anne du Bourg utilisera tous les recours du droit et malgré la mort du roi Henri II, il est condamné, en 1559, comme hérétique, à être pendu en place de Grève et son corps brûlé sur le bûcher. Son procès et son exécution marquent l'énonciation d'un droit de résistance au pouvoir du roi, notamment parce que le conseiller tente d'impliquer le Parlement, la première cour du royaume. Il meurt supplicié le 23 décembre 1559, après avoir déclaré à la foule : « Mes amis, je ne suis pas ici comme un larron ou un meurtrier, mais c'est pour l'Évangile. »
Ce supplice amena par représailles la conjuration d'Amboise. L'Électeur Palatin du Rhin réclama sa grâce au roi pour le nommer professeur de droit à Heidelberg, mais en vain.
Son frère, Claude, fut ambassadeur près de la Sublime Porte pendant quelques années, avant d’être arrêté à son tour pour protestantisme et embastillé. Libéré, il rejoint ses terres auvergnates et notamment son neveu, Jacques, lieutenant général de police à Issoire et Riom.
Sa famille, originaire du Vivarais, s’était installée en Auvergne, dans le Livradois, à la suite du marquis de Canillac. Possessionnée au Vernet-la-Varenne ainsi qu’à Riom (Jacques du Bourg fit construire la Maison des consuls), cette famille fut alliée à de nobles familles (de Sereys, de Marillac, Arches …) et une branche resta installée au Vernet-la-Varenne avant de s’éteindre dans la famille de Lespinasse du Passage.
En littérature
Dans son roman inachevé, L'Horoscope (1858), Alexandre Dumas rappelle avec sa verve les événements qui ont condamné Anne Du Bourg par la voix du président Minard (Les Romans de la Renaissance, éd. Claude Schopp, Paris, Robert Laffont, coll. "Bouquins", p. 1090 et suiv.)
Maître Minard venait de faire condamner à mort un des hommes, à bon droit, les plus estimés de Paris, son confrère au parlement, son frère enDieu, le vertueux conseiller Anne Dubourg. – Quel crime avait commis Dubourg ? Le même que l’Athénien Aristide. On l’appelait le Juste.
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Issu d’une dynastie d’acteurs, le comédien a joué dans une centaine de films, dont les comédies populaires « Camping » et « La Boum », ainsi que dans de nombreuses pièces de théâtre. L’acteur, qui a reçu deux Césars, est mort ce mardi à l’âge de 84 ans.
Plus de cent films à son actif, et le souci perpétuel de s’effacer derrière ses rôles. « Je n’aime pas parler de moi, disait-il. Ce n’est pas un sujet passionnant. Le travail d’une vie consiste à préciser la marge entre ce que l’on veut et ce que l’on peut. » Modeste, pudique, considérant son métier comme un jeu plutôt qu’un labeur, déterminé à se penser comme « un artisan qui appartient à un collectif », le comédien Claude Brasseur est décédé mardi 22 décembre à l’âge de 84 ans, a annoncé son agent à l’AFP.
« Claude Brasseur est décédé ce jour dans la paix et la sérénité entouré des siens. Il n’a pas été victime du Covid. Il sera inhumé à Paris dans le respect des règles sanitaires et reposera aux côtés de son père, au cimetière du Père-Lachaise à Paris », a annoncé Elisabeth Tanner, à la tête de l’agence Time Art.
« Brasseur Père et Fils, Maison fondée en 1820 » : le sous-titre du livre de mémoires qu’il publie en 2014 (Merci !, Flammarion) souligne l’importance à ses yeux d’avoir appartenu à une dynastie. De son vrai nom Claude Espinasse, celui qui devient populaire en incarnant Vidocq pour la télévision au début des années 1970 aura donc hérité d’un pseudonyme familial.
Le premier Brasseur fut Jules Dumont, commis gantier à la Chaussée d’Antin reconverti aux planches, acteur comique et fondateur du Théâtre des Nouveautés. Son fils Albert lui succède, porté sur l’opérette, qui épouse une certaine Germaine, bientôt vedette du Théâtre du Palais-Royal, et si complice avec un certain Georges Espinasse, hallebardier de la troupe de Sarah Bernhardt, qu’elle donne naissance à Pierre, l’inoubliable prince des histrions à verve truculente, le séducteur sûr de lui qui aborde Arletty au début des Enfants du paradis de Marcel Carné : « Ah, vous avez souri ! Ne dites pas non, vous avez souri… »
Claude Brasseur était le fils de Pierre (et de cette autre star que fut Odette Joyeux, l’héroïne boudeuse du Mariage de Chiffon et de Douce, de Claude Autant-Lara). Il était aussi le père d’Alexandre, avec lequel il est monté sur scène en 2007 dans Mon père avait raison, de Sacha Guitry, et qui a évoqué son grand-père en 2016 sur la scène du Petit-Saint-Martin, dans Brasseur et les Enfants du paradis.
L’enfance, un souvenir douloureux
Né à Neuilly-sur-Seine le 15 juin 1936, il grandit entouré de têtes couronnées, Malraux, Jouvet, Sartre, Casarès… parmi lesquelles un ami de son père nommé Ernest Hemingway, qui est son parrain. Mais l’évocation de son enfance sera toujours douloureuse : ses parents ne s’occupent pas de lui. « Je n’ai aucun souvenir de ma vie avec eux et je dois dire que je m’en fous. » Ces parents égocentriques vont se séparer très vite, Odette Joyeux conservant un tel mauvais souvenir de Pierre Brasseur qu’elle en voudra à son fils d’adopter son pseudo.
« Tu ne peux pas rester journaliste avec un nom pareil, il faut que tu sois acteur ! » la comédienne Elvire Popesco
En pension, Claude Brasseur côtoie Philippe Noiret, Jean-Jacques Debout, et Jacques Mesrine. Peu porté sur les études, qu’il abandonne en classe de 2de, le gamin n’ose pas avouer qu’il a envie d’être acteur. Grâce à son père, le voilà journaliste à Paris Match, assistant du photographe Walter Carone. C’est en allant interviewer Elvire Popesco, reine du boulevard, qu’il voit son destin basculer : « Tu ne peux pas rester journaliste avec un nom pareil, lui dit la comédienne. Il faut que tu sois acteur ! » Et celle qui vient d’acheter le Théâtre de Paris lui signe illico un contrat, pour qu’il interprète, en 1955, trois rôles dans le Judas de Marcel Pagnol qu’elle s’apprête à monter : charpentier, apôtre et frère de Judas, avec fausse barbe. Après cela, Claude Brasseur entre au Conservatoire, tout en commençant à jouer au cinéma. En 1959, dans Rue des prairies, de Denys de La Patellière, il est le fils de Jean Gabin et coureur cycliste sur piste.
Fidèle lecteur de L’Equipe, Claude Brasseur aurait pu embrasser une carrière de sportif. Tenté par le vélo au point de s’entraîner avec le futur vainqueur du Tour de France Stephen Roche, il a été deux fois champion de France de bobsleigh (victime en 1963 d’un grave accident un avant les Jeux olympiques d’Innsbruck), il remporte le Paris-Dakar en 1983 comme copilote de Jacky Ickx, et joue au football dans l’équipe folklorique des Polymusclés. Mais la tradition familiale va éloigner ce grand bourru des terrains sportifs.
Pierre et Claude se côtoient sur le plateau des Yeux sans visage, de Georges Franju, de Lucky Jo, de Michel Deville (1964), où le vrai père joue un père fictif. Séquence émotion post mortem dans Les Acteurs, de Bertrand Blier (2000), où Claude Brasseur joue le rôle de… Claude Brasseur : son téléphone sonne dans la rue, c’est Pierre Brasseur qui l’appelle, puis qui lui passe Bernard Blier… ; Claude refile son portable à son metteur en scène, Bertrand. Sur le plan affectif, les deux hommes se sont ratés, mais Claude respectera toujours la carrière de son géniteur : « Mon père est mort ? Je ne sais pas, je l’ai vu hier soir à la télé ! »
Personnages emblématiques
« Si tu cherches à me ressembler ou à ne pas me ressembler, tu risques de fuir ta véritable nature et de devenir un acteur bâtard », lui avait dit ce père disparu. Message reçu. Claude sera lui-même, avec son accent de titi parisien, et s’il ne peut renier cette voix rauque, le timbre vibrant si légendaire de l’ogre paternel, il prêtera plutôt son visage à des personnages emblématiques (Rouletabille dans Le Mystère de la chambre jaune, de Jean Kerchbron, Vidocq pour 13 aventures orchestrées par Marcel Bluwal, Sganarelle pour le Don Juan avec Michel Piccoli à la télévision, Maupassant, le Georges Dandin de Molière ou le Leopold Trepper de L’Orchestre rouge au cinéma, Joseph Fouché dans Le Souper et Clemenceau dans La Colère du Tigre au théâtre). Ou bien il s’effacera derrière ses personnages, privilégiant l’attrait des rencontres humaines et professionnelles au critère de l’importance du rôle.
Claude Brasseur est tout sauf vaniteux. Ce n’est pas sans émotion qu’il endosse le personnage d’avocat véreux et maître chanteur dans Une belle fille comme moi, en 1972, parce que François Truffaut lui demande de revêtir un smoking, le même que celui porté par son père dans Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Ou qu’il se fait grimer comme le fut Pierre Brasseur interprétant Othello dans Josepha, de Christopher Frank, en 1981, jouant un acteur de théâtre dans la dèche et la déconfiture conjugale.
Ses rôles, il les choisit au feeling, sans jamais se poser « la question de la reconnaissance »
Il remporte ses deux Césars avec humour (« Depuis le temps qu’on me dit de me faire un prénom ! ») et humilité (« La popularité n’est pas un critère de qualité »). Le premier, en 1977, honore son interprétation de l’un des quatre copains d’Un éléphant ça trompe énormément, d’Yves Robert : il n’a accepté le rôle qu’à condition de donner à cet homosexuel l’allure d’un hétérosexuel, de ne « pas jouer les grandes folles ». Le second, en 1980, consacre le succès de La Guerre des polices, de Robin Davis, où il est un commissaire traquant un ennemi public.
Aucun plan de carrière
A cette époque, il oscille volontiers du flic (Une affaire d’hommes, de Nicolas Ribowski, La Crime, de Philippe Labro, Dancing Machine, de Gilles Béhat) au bandit (Un cave, de Gilles Grangier, Une robe noire pour un tueur, de José Giovanni), voire au détective privé (Il faut vivre dangereusement, de Claude Makovski), ou au juge (La Banquière, de Francis Girod) : « Un jour je suis le gendarme, un jour je suis le voleur. » On se souvient de lui aussi en prisonnier d’un stalag (Le Caporal épinglé, de Jean Renoir, 1962), écrivain impliqué dans un meurtre (Les Seins de glace, de Georges Lautner, 1974), écrivain alcoolique (Descente aux enfers, de Francis Girod, 1986), trafiquant raciste (L’Etat sauvage, de Francis Girod, 1978), amant dont s’éloigne Romy Schneider (Une histoire simple, de Claude Sautet, 1978), vétérinaire harcelé par une inspectrice des impôts (Signes extérieurs de richesse, de Jacques Monnet, 1983), flic macho tiraillé par le désir (Sale comme un ange, de Catherine Breillat, 1991), industriel pied-noir (L’Autre côté de la mer, de Dominique Cabrera, 1996), sans oublier le personnage de Jacky Pic, le beauf retraité de Melun, amateur de pastis en tongs, abonné à l’emplacement 17 aux Flots Bleus de Pyla-sur-mer (Camping, de Fabien Onteniente, 2006).
Ses rôles, il les choisit au feeling, sans jamais se poser « la question de la reconnaissance », et sans aucun plan de carrière. Il refusera ainsi le rôle porteur, finalement tenu par Philippe Léotard, dans La Balance, de Bob Swaim, parce qu’il vient de faire La Guerre des polices et ne veut pas se spécialiser dans le polar. Il arrête aussi de jouer Le Dîner de cons au théâtre en plein triomphe, afin d’honorer ses contrats de cinémas ; Francis Veber lui en voudra tellement qu’il s’opposera à ce qu’il reprenne son rôle dans le film (Thierry Lhermitte en héritera). S’il joue le père de Vic/Sophie Marceau, l’ado dans La Boum, de Claude Pinoteau, en 1980, c’est parce qu’il pense qu’il aimerait être le spectateur d’une telle comédie, et que s’il avait eu une fille, il l’aurait élevée de la même manière que celle que professe son personnage fictif dans le film.
Humilié et blessé
Au summum de ses prestations figurent sans doute Daniel, le vendeur de voitures d’Un éléphant ça trompe énormément et de Nous irons tous au paradis, aux côtés de Jean Rochefort, Guy Bedos et Victor Lanoux, avec cette scène réellement vécue au temps du Conservatoire, Belmondo, Marielle et Rochefort en complices : avec ses potes, il fait semblant d’être aveugle dans une brasserie, canne blanche brandie en arme de destruction prétendument passive (Brasseur aime la déconnade, bien bouffer, lever le coude…).
Restent aussi, sans aucun doute, ses deux collaborations avec Jean-Luc Godard : dans Bande à part d’abord, en 1964, l’histoire de deux voyous (lui et Sami Frey) amoureux d’Anna Karina, avec la fameuse visite record de la Grande Galerie du Musée du Louvre parcourue en courant en 9 minutes 43 secondes. Et la danse madison scandée dans un café, devant un juke-box. Godard disait alors de lui : « Claude Brasseur a l’innocence et la folie des enfants lorsqu’ils jouent aux billes ou à la guerre. C’est-à-dire à la fois la brutalité nécessaire et la candeur suffisante. »
En 1985, Brasseur est pilote de ligne, en passe de séparation avec Nathalie Baye qui en pince pour Johnny Hallyday, dans Détective. Peut-être son rôle le plus touchant, intériorisé, blessé. Une épreuve. Car durant le tournage, Godard se conduit mal avec lui, l’humilie : « Mon pauvre Claude, lui dit-il, il y a vingt ans tu avais encore quelques qualités, maintenant t’as tout perdu. Il ne te reste plus rien du tout. » Godard enfonce le clou dans les Cahiers du cinéma : « Claude est un bon acteur mais surévalué, qui ne sait plus ce qu’il doit faire, qui ne fait que de mauvais films… » (n° 373, juin 1985). L’acteur a la dignité de réagir positivement : « Quand on se fait traîner dans la merde, on est secoué et ça nettoie. »
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Attaque de l'agence de la Société Générale à Chantilly.
Cette page présente les membres de la Bande à Bonnot, qui était un groupe anarchiste criminel français qui a opéré en France et en Belgique durant la Belle Époque, de 1911 à 1912.
Ce gang a utilisé une technologie de pointe, dont les automobiles et les fusils à répétition, qui n'étaient pas encore à la disposition de la police française
Initialement appelé par la presse simplement « Les Auto Bandits », il est ensuite appelé « La Bande à Bonnot » après que Jules Bonnot eut accordé une interview au Petit Parisien. La notoriété perçue de Jules Bonnot au sein du groupe a ensuite été renforcée par sa mort très médiatisée lors d'une fusillade avec la police française à Choisy-le-Roi.
Les derniers membres, en liberté, de la bande à Bonnot René Valet et Octave Garnier, traqués par la police, sont assiégés et tués à Nogent-sur-Marne
Sur l'ensemble de la bande, vingt et un membres survivants sont jugés du 3 au 27 février 1913
Membres
Émile Bachelet
Barthélémy Baraille
David Bélonie
Kléber Bénard
Frères Bill
Jules Bonnot
Sophie Burdet
Raymond Callemin
Édouard Carouy
Henri Crozat de Fleury
Jean de Boë
Jean Dettweiller
Eugène Dieudonné
Anna Dondon
Jean Dubois
Octave Garnier
Antoine Gauzy
Bernard Gorodesky
Boniface Grau
Louise Hutteaux
Pierre Jourdan
Victor Kilbaltchiche
Barbe Le Clerc'h
Rirette Maitrejean
Marius Metge
Étienne Monier
Jean-Baptiste Pancrazi
Joseph Platano
Jean-Marcel Poyer
Charles Reinert
Louis Rimbault
Léon Rodriguez
André Soudy
Judith Thollon
René Valet
Marie Vuillemin
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Amandine Petit, Miss Normandie, a été élue Miss France 2021 ce samedi soir lors d'une émission qui marquait le centenaire des concours de beauté en France et s'est déroulée en l'absence de public au Puy-du-Fou en Vendée.
C’est sous des nuages de paillettes que le concours Miss France a fêté ce samedi 19 décembre au soir son centenaire en désignant Amandine Petit, originaire de Normandie, Miss France 2021, en direct sur TF1. La jeune femme de 23 ans est étudiante en Master 1 Management des structures sociales.
Sa première dauphine est April Benayoum, Miss Provence. Miss Midi-Pyrénées, Emma Arrebot-Natou, a elle été éliminée dès le premier tour et n'a donc même pas fait partie des 15 sélectionnées lors du premier choix du jury.
Dans un show d’autocélébration orchestré par l’indétrônable Jean-Pierre Foucault en veste lamée, devant un jury composé d’anciennes miss et sur les tubes de Mika ou Blondie, les candidates au titre suprême ont défilé et dansé en décochant des clins d’œil aux beautés et artistes du passé, Joséphine Baker, ou Zizi Jeanmaire récemment disparue.
Sous des mesures sanitaires drastiques, 29 candidates de 18 à 24 ans étaient en lice pour succéder à Clémence Botino, 23 ans, Miss France 2020 et Miss Guadeloupe 2019. Diffusée depuis le Grand Carrousel du Puy-du-Fou en Vendée, l’élection se déroulait avec seulement 400 personnes, candidates, techniciens et employés préalablement testés négatifs au coronavirus.
Le jury 2021 était entièrement féminin et composé uniquement d'ex-Miss, comme Muguette Fabris, 80 ans, professeur de mathématiques à la retraite et Miss France 1963. Geneviève de Fontenay a au contraire décidé de boycotter la cérémonie alors que TF1 et Endemol souhaitaient l'y associer après un long conflit judiciaire réglé en 2013.
Dans une bulle sanitaire
A l'issue de l'élection et pour respecter le couvre-feu, tous les participants, y compris la nouvelle reine de beauté, seront logés dans les hôtels du parc de loisirs transformé en bulle sanitaire. Un même dispositif étanche avait été mis en place début décembre dans un grand hôtel de Versailles où les prétendantes ont suivi des leçons de maintien et passé un test de culture générale.
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Candidates 2021
Région | Nom | Âge | Taille | Résidence | Élue le | Groupe | Classement final |
Miss Alsace | Aurélie Roux | 24 ans | 1,72 m | Spechbach-le-Bas | 4 septembre 2020 à Eschau | 1 | |
Miss Aquitaine | Leïla Veslard | 18 ans | 1,74 m | Saint-Mesmin | 29 août 2020 à Anglet | 3 | |
Miss Auvergne | Géromine Prique | 21 ans | 1,71 m | Clermont-Ferrand | 17 octobre 2020 au Puy-en-Velay | 3 | |
Miss Bourgogne | Lou-Anne Lorphelin | 23 ans | 1,71 m | Charnay-lès-Mâcon | 3 octobre 2020 à Châlon-sur-Saône | 1 | |
Miss Bretagne | Julie Foricher | 23 ans | 1,77 m | Relecq-Kerhuon | 27 septembre 2020 à Ploemeur | 1 | |
Miss Centre-Val-de-Loire | Cloé Delavalle | 23 ans | 1,72 m | Chartres | 19 octobre 2020 à Dreux | 2 | |
Miss Champagne-Ardenne | Gwenegann Saillard | 21 ans | 1,70 m | Sainte-Savine | 6 septembre 2020 à Sedan | 2 | |
Miss Corse | Noémie Leca | 20 ans | 1,75 m | Cargèse | 29 juillet 2020 à Porticcio | 3 | |
Miss Côte d'Azur | Lara Gautier | 22 ans | 1,73 m | Mandelieu-la-Napoule | 23 octobre 2020 à Mandelieu-la-Napoule | 1 | |
Miss Franche-Comté | Coralie Gandelin | 23 ans | 1,72 m | La Chailleuse | 4 octobre 2020 à Morteau | 3 | |
Miss Guadeloupe | Kenza Andreze-Louison | 20 ans | 1,76 m | Baie-Mahault | 21 août 2020 au Gosier | 1 | |
Miss Guyane | Héléneschka Horth | 23 ans | 1,73 m | Awala-Yalimapo | 31 octobre 2020 à Cayenne | 1 | |
Miss Île-de-France | Lara Lourenço | 19 ans | 1,71 m | Saint-Maur-des-Fossés | 19 septembre 2020 à Dammarie-les-Lys | 1 | |
Miss Languedoc-Roussillon | Illana Barry | 19 ans | 1,76 m | Aigues-Mortes | 1er août 2020 à Beaucaire | 3 | |
Miss Limousin | Léa Graniou | 20 ans | 1,72 m | Limoges | 12 septembre 2020 à Aubusson | 1 | |
Miss Lorraine | Diane Febvay | 19 ans | 1,78 m | Piblange | 5 septembre 2020 à Remiremont | 2 | |
Miss Martinique | Séphorah Azur | 23 ans | 1,78 m | Schoelcher | 24 octobre 2020 à Fort-de-France | 3 | |
Miss Mayotte | Anlia Charifa | 23 ans | 1,77 m | Dzaoudzi | 7 novembre 2020 à Mamoudzou | 2 | |
Miss Midi-Pyrénées | Emma Arrebot-Natou | 19 ans | 1,77 m | Tournefeuille | 11 septembre 2020 à Mazamet | 3 | |
Miss Nord-Pas-de-Calais | Laura Cornillot | 24 ans | 1,78 m | Ennevelin | 10 octobre 2020 à Orchies | 2 | |
Miss Normandie | Amandine Petit | 23 ans | 1,75 m | Bourguebus | 26 septembre 2020 à Coutances | 2 | |
Miss Nouvelle-Calédonie | Louisa Salvan | 19 ans | 1,74 m | Robinson | 31 octobre 2020 à Païta | 3 | |
Miss Pays de la Loire | Julie Tagliavacca | 24 ans | 1,73 m | Maulévrier | 25 septembre 2020 à Château-Gontier | 1 | |
Miss Picardie | Tara de Mets | 22 ans | 1,79 m | Clermont | 11 octobre 2020 à Beauvais | 2 | |
Miss Poitou-Charentes | Justine Dubois | 24 ans | 1,74 m | Angoulême | 29 août 2020 à Anglet | 2 | |
Miss Provence | April Benayoum | 21 ans | 1,76 m | Éguilles | 24 octobre 2020 à Cogolin | 3 | |
Miss Réunion | Lyna Boyer | 21 ans | 1,73 m | La Possession | 31 octobre 2020 à Saint-Denis | 2 | |
Miss Rhône-Alpes | Anaïs Roux | 23 ans | 1,74 m | Lyon | 7 novembre 2020 à Ambérieu-en-Bugey | 3 | |
Miss Wallis-et-Futuna | Mylène Halemai | 19 ans | 1,73 m | Fineveke (en) | 26 septembre 2020 à Kafika (en) | 2 |
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Jury
Membre | Notes |
Iris Mittenaere (présidente du jury) | Miss France 2016, Miss Univers 2016 et animatrice de télévision |
Muguette Fabris | Miss France 1963 et enseignante |
Patricia Barzyk | Miss France 1980 et actrice |
Nathalie Marquay | Miss France 1987 et comédienne |
Mareva Georges | Miss France 1991 et mannequin |
Linda Hardy | Miss France 1992 et actrice |
Sonia Rolland | Miss France 2000 et actrice |
Élodie Gossuin | Miss France 2001, Miss Europe 2001 et animatrice de télévision et de radio |
Flora Coquerel | Miss France 2014 et influenceuse |
C'est la 1re fois qu'un jury est composé exclusivement d'anciennes Miss France.
C'est la 2de fois que le jury est exclusivement féminin (2019).
C'est la 2de fois qu'Iris Mittenaere préside le jury de Miss France, après l'élection de Miss France 2018.
Muguette Fabris, Patricia Barzyk et Flora Coquerel sont membres du jury pour la 1re fois.
Linda Hardy est membre du jury pour la 3e fois (2007 et 2012).
Nathalie Marquay est membre du jury pour la 5e fois (1992, 1993, 1997 et 2014).
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Préparation
2 septembre : Sylvie Tellier, directrice générale de l’organisation Miss France, annonce à travers un communiqué le lieu de la cérémonie Miss France 2021, au Puy du Fou, dans le département de la Vendée, dans les Pays de la Loire. C’est la deuxième fois que le parc à thèmes accueille la cérémonie, après 2009, qui avait vu le sacre de Chloé Mortaud. La date avait été annoncée lors de l’élection de Miss Languedoc-Roussillon 2020.
9 novembre : Suite à l'instauration d'un deuxième confinement en France, il est annoncé que l'élection qui devait se tenir le 12 décembre, est décalée d'une semaine et aura finalement lieu le 19 décembre.
11 novembre : Le dessin de la couronne de Miss France 2021 est officiellement dévoilé.
17 novembre : L’Organisation Miss France publie un communiqué de presse indiquant que les 29 candidates feront leur voyage d’intégration aux alentours du château de Versailles à la fin du mois en raison de la pandémie de Covid-19. Les candidates séjourneront au sein de l’hôtel 5 étoiles « Waldorf Astoria Versailles - Trianon Palace » avant de rejoindre le Puy du Fou pour débuter la préparation de l’élection.
26-27 novembre : Les 29 candidates arrivent à Paris pour le début de l'aventure Miss France 2021. Les candidates effectuent un test de dépistage COVID-19 et sont isolées pendant 24 heures en attendant les résultats virologiques. Elles séjournent à l'hôtel « L’Échiquier Opéra de Paris ».
28 novembre : Les 29 candidates sont invitées chez le coiffeur-visagiste Saint-Algue à Paris pour se faire chouchouter et recevoir des conseils capillaires. Les premiers essayages costumes pour le soir de l’élection commencent dans l'atelier d'Amandine Catala. Le soir, un dîner est organisé, c'est à cet événement que Clémence Botino rencontre l'ensemble des candidates à sa succession.
29 novembre : Les candidates réalisent leur portrait officiel dans un studio parisien. L'après-midi les candidates arrivent à Versailles et rejoignent l’hôtel « Waldorf Astoria Versailles - Trianon Palace ».
30 novembre : Les photos officielles des 29 candidates sont dévoilées. Durant la matinée, les candidates accompagnées de Clémence Botino et Sylvie Tellier effectuent une visite du château de Versailles. Ces dernières sont en duplex au JT de 13 heures de Jean-Pierre Pernault, où Sylvie Tellier confirme que l'anniversaire historique du concours Miss France sera un thème phare le soir de l'élection, que l'ouverture de l'élection sera effectuée par une trentaine d'anciennes Miss France, et que les candidates ne seront pas masquées lors du show final. La conférence de presse contrairement à son habitude, s'est déroulée en visioconférence. Il est confirmé que seulement 400 spectateurs seront présents dans la salle des Mousquetaires. Les tableaux de cette édition 2021 mettront à l'honneur la gastronomie française, le 14 juillet, le Lido, le Moulin Rouge, Brigitte Bardot et Catherine Deneuve7. L'après-midi était consacré à la réalisation de shooting photos. Cette journée se conclut par une soirée chic à laquelle toutes les candidates sont conviées.
1er décembre : Des olympiades sportives sont organisées, les Miss s'affrontent dans des épreuves de natation, de course à pieds et de fitness. L'après-midi, les candidates sont réparties en trois groupes : un groupe reçoit des cours de catwalk, supervisés par Arnaud Sol Dourdin ; le second des cours de bonnes manières par Jérôme Come, et le troisième réalise un shooting photos en tenue balnéaire. Le soir, les Miss effectuent le test de culture générale.
2 décembre : Les photos officielles en tenue balnéaire sont dévoilées. Les cours de catwalk, de bonnes manières et les shootings photos se poursuivent pour les groupes n'ayant pas effectué ses activités la veille. Clémence Botino effectue les essayages de ses tenues pour le prime. Cette dernière accompagnée de certaines Miss régionales suivent un atelier pâtisserie, dans les cuisines du palace dans lequel elles sont logées.
À partir du 3 décembre : La promotion 2021 commence les répétitions du prime, de 9 heures à 19 heures, supervisées par Stéphane Jarny et Mehdi Kerkouche.
7 décembre : Les Miss sont réparties en deux groupes pour découvrir les activités proposées au Puy-du-Fou : le premier groupe assiste à un spectacle de voltige et le second à des combats de gladiateur.
8 décembre : Les Miss ont rendez-vous à la cité médiévale du Puy-du-Fou pour découvrir les fauconniers. Les résultats du test de culture générale sont officiellement dévoilés : Miss Bourgogne arrive en première position avec 17,5/20 et remporte le prix de la culture générale, Miss Côte d'Azur et Miss Champagne-Ardenne occupent la seconde place ex æquo (15/20). La couronne est dévoilée, elle a été confectionnée par le joaillier Mauboussin. Ce diadème à dominante bleue représentant l'harmonie, est paré de pierres précieuses et d’étoiles, symbole du joaillier.
9 décembre : Les candidates découvrent le dressage de chevaux, et découvrent la couronne que l'une d'entre elles aura la chance de recevoir.
16 décembre : Entretien de présélection. Le jury choisit les 15 finalistes.
17 décembre : Découverte du plateau et premières répétitions sur scène pour les candidates.
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Miss France 2021 est la 91e élection de Miss France . L'élection a lieu le 19 décembre 2020 au Grand Carrousel du Puy du Fou, dans les Pays de la Loire. C’est la deuxième fois que l’élection aura lieu dans le parc à thèmes vendéen, après 2009.
L'élection est retransmise à partir de 21 h 10 sur TF1, présentée par Jean-Pierre Foucault (pour la 26e année consécutive) et Sylvie Tellier (pour la 13e fois), Miss France 2002 et directrice générale de l'organisation Miss France. Ils sont accompagnés de Thierry Baumann pour le rappel des consignes de vote pour la 10e année consécutive.
Cette édition est marquée par le centenaire du concours Miss France. Cependant, l’émission se tiendra sans l'iconique « dame au chapeau », Geneviève de Fontenay qui a refusé de participer, suite à un différend avec Sylvie Tellier
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Jean-Patrick Capdevielle est un auteur-compositeur-interprète français né le 19 décembre 1945 à Levallois-Perret.
Quand t'es dans le désert
Avant d'être chanteur, Jean-Patrick Capdevielle a été journaliste à SuperHebdo, Salut les copains (le magazine), Mademoiselle Age Tendre, Actuel, puis directeur artistique. Dans les années 1960, il voyage aux États-Unis, puis vit à Londres, où il côtoie le "Swinging London" (notamment dans des clubs live tels que le Speakeasy et le Blaise's où il rencontre les Beatles, les Rolling Stones, Jimi Hendrix et d'autres rockers anglais), et il devient un ami proche d'Eric Clapton.
En 1970, il part s'établir aux Baléares, à Ibiza, où il s'adonne à la peinture et la composition musicale. En 1978, il adresse à une maison de disques ses premières maquettes. Le 45 tours Solitude, qualifié de « reggae en français » et produit par Ketchup Music (label appartenant à William Sheller), rencontre alors un succès certain. Il signe ensuite un contrat chez CBS.
Quand t'es dans le Désert, énorme tube sorti en 1979, devient vite « l'hymne d'une génération », mais est aussi considéré comme une critique au vitriol du giscardisme. En effet, les paroles « Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre plongent vers moi sur la musique d'un piètre accordéoniste » semblent désigner le Premier ministre et le président de la République en cette fin des années 1970 : Raymond Barre (le « gros clown sinistre ») et Valéry Giscard d'Estaing, connu pour sa pratique de l'accordéon (le « piètre accordéoniste »).
Pour l'anecdote, il faut savoir que Quand t'es dans le Désert est sorti en 45 tours... comme face B d'une autre chanson (Tout au bout de la ville), excellente elle aussi, mais qui n'a pas connu la même renommée : plus de 30 ans après, Capdevielle est toujours "poursuivi" par Quand t'es dans le Désert...
Les deux premiers albums, Les Enfants des ténèbres et les Anges de la rue (août 1979, sacré album de platine et vendu à 450 000 exemplaires en peu de temps), et Deux (1980), régénèrent le paysage rock français et sont toujours classés parmi les « 100 disques essentiels du rock français » (respectivement 27e et 55e place du classement du mensuel Rolling Stone, en février 2010).
À la croisée des influences américaines et anglaises, Capdevielle construit à travers ses premiers albums une œuvre singulière, portée par une voix rauque aux accents faubouriens, et des textes aux images sombres et poétiques, à la fois anar et visionnaires. Le tout sur des rythmiques inspirées, dont les guitares enlevées et les touches de saxo nous promènent de la scène londonienne des années 1960 aux clubs new-yorkais de la fin des années 1970. Ce style unique influencera la scène française, même si personne à ce jour ne peut réellement se réclamer son héritier.
Le premier album (réédité en CD fac-similé en novembre 2009 par Culture Factory) est suivi d'une tournée de concerts au printemps 1980, avec un passage à l'Olympia. Capdevielle enchaîne deux autres tournées : début 1981, avec un passage au Palais des Sports de Paris, puis à l'automne 1982, de nouveau avec un passage à l'Olympia.
Suivent, de 1982 à 2007, une série d'albums studio, où Jean-Patrick Capdevielle explore différents styles musicaux, dans une veine plus pop, parfois new-wave, mais également blues-rock (l'excellent Vertigo, 1992, enregistré à Nashville).
Parallèlement, en 1985-1986, il anime sur FR3 une émission de variétés, Les Totems du Bataclan. En 1986 toujours, il tourne en tant que comédien aux côtés de Marie-Christine Barrault dans un téléfilm de Philippe Vallois, L'Enigme des Sables. Puis il monte avec Paco Rabanne une maison de production, « Cadrages », qui produit notamment le long-métrage de la réalisatrice indienne Mira Nair Salaam Bombay ! (Caméra d'Or au 41e Festival de Cannes en 1988).
Il est également l'auteur du tube de Linda William' : Traces (1988), et la même année il participe à la chanson collective Liban. En 1993, et pour deux ans, il part vivre aux Etats-Unis, où il étudie le cinéma à UCLA (Californie) ; quand il revient, il réalise plusieurs clips, dont celui de Renaud Hantson (Si tu te bats, 1995). En 1995 sort également la compilation Politiquement correct signée sur le label Sony Music, avec quatre titres nouveaux (en cours de réédition en 2010).
En 1997, changeant résolument de style musical, il écrit et réalise pour la soprano Emma Shapplin Carmine Meo, un album d'opéra chanté en italien du xive siècle, qui s'avère un succès international vendu à plus de deux millions d'exemplaires et obtenant pas moins de 39 disques d'or et 17 de platine. Les musiques sont construites sur le modèle des grands compositeurs italiens du xixe siècle, de Donizetti à Vincenzo Bellini. Les textes sont pour l'essentiel écrits directement en italien du XIVe siècle par Capdevielle. Poursuivant dans cette voie, Jean-Patrick Capdevielle écrit et compose en 2001 un opéra néo-romantique, toujours en italien du xive siècle : Atylantos... une légende de l'Atlantide, avec Chiara Zeffirelli (soprano), Elena Cojocaru (soprano), Jade Laura d'Angelis (soprano) et Nikola Todorovitch (ténor). Il est toujours en projet de le monter sur scène.
À côté de cela, revenant à ses premières amours et au pop-rock, il co-produit avec Philippe Deyrieu l'album Pop Tasty du groupe Montparnasse (2005), puis en 2007, il écrit six textes sur les onze chansons de l'album 2007 de David Hallyday.
L'année 2006 voit entre temps son retour dans les studios, où il enregistre l'album Hérétique #13, sorti en mars 2007 (signé O+ Music), avec un nouveau single et un clip (Miss Démocratie). Cet album remporte un succès d'estime : chacun en dit du bien, mais personne ne l'écoute. Il a en effet été boycotté par les radios.
En janvier 2008, Jean Patrick soutient Sweet Air en interprétant le projet Baltimore. Rejoignant ainsi Jacques Higelin, Maurane et Riké de Sinsemilia en soutien aux otages du monde...
Depuis 2009, tout en continuant à écrire des textes pour d'autres (Ray Daxman, Philippe Deyrieu, etc.) et composer des morceaux pour lui-même, Jean-Patrick Capdevielle travaille sur un projet innovant de webradio, Maradioamoi
Plus qu'une webradio, il s'agit d'un outil permettant à chaque auditeur de créer des webradios sur mesure (avec programmation musicale, infos, sujets magazines, etc.), pour lui ou pour offrir. Depuis mars 2010, les internautes peuvent tester en ligne la version bêta de Maradioamoi, donner leur opinion et participer à travers un forum à l'élaboration de ce projet communautaire, actuellement en plein développement.
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On apprend que cette année.
Brigitte devra manger seule la bûche dans la cuisine...
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