Date de création : 09.04.2012
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07.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
La Peugeot 304 est une voiture moyenne de catégorie 7 CV, elle est produite par le constructeur automobile Peugeot de 1969 à 1980.
La 304 est une variante allongée et modernisée de la 204, elle est lancée en 1969, en même temps que la Renault 12, sa principale concurrente française. La face avant, équipée de phares trapézoïdaux, est inspirée par celle de la 504 sortie un an plus tôt en 1968. À l'arrière, le porte-à-faux est plus long.
Il s'agit d'une conduite intérieure à 4 portes et malle arrière (carrosserie tricorps), qui peut transporter 5 passagers. La coque est semblable à celle de la 204 à l'exception de l'arrière où la malle de coffre est plus importante et de forme plus carrée ; en ouvrant le coffre, on voit aisément les pièces de tôlerie qui sont greffées sur la structure de la 204, la forme arrondie de l'arrière de celle-ci est prolongée par une pièce soudée et jointoyée, ce qui permet de rallonger la voiture sans gros investissement, cet allongement bénéficiant directement à la contenance du coffre à bagages qui totalise 326 dm3, soit beaucoup plus que celui de la 204, souvent critiquée sur ce point précis. La coque restera inchangée jusqu'en 1973 où l'arrière du pavillon sera redessiné, permettant une meilleure garde au toit à l'intérieur, et donnant une ligne plus « carrée » au véhicule.
La gamme de carrosseries de la Peugeot 304 est calquée sur celle de son aînée : on trouve ainsi une berline, un coupé, un cabriolet, un break et un break utilitaire tôlé. La caisse en tôle d'acier est du type monocoque, les dix ouvrants étant, eux, démontables et fixés par vis et écrous dont le diamètre varie de six à dix millimètres : capot, ailes avant, portières, malle de coffre, ailes arrière. La carrosserie est protégée par des pare-chocs à lames en inox massif — insensibles à la corrosion — revêtus de bourrelets en caoutchouc.
L'ensemble mécanique avant repose sur un berceau démontable dont le dessin évolue peu au fil de la carrière du véhicule ; il est boulonné à la caisse en dix points : six sur la traverse à l'extrême avant du véhicule, et quatre autres situés sous le plancher avant.
La suspension avant du véhicule est du type pseudo MacPherson. Elle est constituée de triangles inférieurs fixés sur le berceau par l'intermédiaire de silentblocs, lesquels reçoivent, côté roue, un porte-fusée sur lequel est ancré l'ensemble ressort-amortisseur, ce dernier étant fixé sur la caisse par boulons, visibles depuis le compartiment moteur. Au niveau réglages, seuls l'ouverture et le pincement sont ajustables par les biellettes de la crémaillère. Durant les deux dernières années de production, la 304 reçoit le train avant de la nouvelle 305, qui est, cette fois, de type MacPherson, un bras et une barre anti-roulis forment le triangle inférieur sur lequel est fixé le porte-fusée.
La suspension arrière est constituée de bras en tôle d'acier ancrés sur un tube transversal de forte section, lui-même fixé par articulations élastiques sur des paliers vissés sur la coque. Ces bras reçoivent, comme à l'avant, un combiné ressort-amortisseur fixé à la coque ; durant les premières années de production, les bras sont du type « non traversés » : le combiné ressort-amortisseur est fixé sur une chape, elle-même vissée sur le dessus du bras. En 1973, les bras sont modifiés et deviennent du type « traversés » : la chape est, cette fois, fixée sous le bras, au travers duquel passe le combiné ressort-amortisseur, cette nouvelle installation permet un bras plus solide car renforcé, une meilleure répartition des efforts sur celui-ci, mais également l'emploi d'un combiné ressort-amortisseur plus long.
Le freinage de la voiture est à commande hydraulique. Il est constitué d'un maître-cylindre avec assistance par mastervac, agissant sur les roues par l'intermédiaire de conduites hydrauliques de 4,75 mm de diamètre. Les freins avant sont à disques, et ceux de l'arrière à tambours. Le circuit de freinage est du type « simple circuit » : un tuyau dessert chaque roue avant, et un troisième part vers l'arrière où il est renvoyé à chaque roue par l'intermédiaire d'un répartiteur fixé sur plancher, en avant du train arrière.
Le moteur est du type 4 cylindres en ligne transversal à arbre à cames en tête (inédit pour ce niveau de modèle) et la boîte de vitesses est située sous le bloc moteur ; l'ensemble possède un carter commun et est lubrifié par la même huile. Le circuit de refroidissement ne possède pas de vase d'expansion, le radiateur est placé à l'avant juste derrière la calandre ; le ventilateur est à enclenchement électrique, l'accouplement étant assurée par un électro-aimant. La commande de changement de vitesses est au volant ou au plancher selon les modèles. La direction est à crémaillère et l'embrayage est du type monodisque à sec, la commande de ce dernier n'étant pas assurée par câble mais par un cylindre spécifique utilisant le même liquide que le circuit de freinage.
Moteurs essence :
XL3 1 288 cm3, puissance 65 ch. Monté sur les premiers modèles.
XL3S 1 288 cm3, puissance 74,5 ch. Monté sur les versions S.
XL5 1 290 cm3, puissance 65 ch, bridé à 59,5 ch sur fourgonnette depuis les modèles 1979.
XL5S 1 290 cm3, puissance 74,5 ch. Monté sur la version SLS.
XK5 1 127 cm3, puissance 59 ch. Monté sur le break GL et la fourgonnette jusqu'aux modèles 1978.
Moteurs Diesel :
XL4D 1 357 cm3, puissance 45 ch.
XID 1 548 cm3, puissance 47 ch.
Historique
La voiture est présentée octobre 1969, équipée du moteur XL3 1 288 cm3 de 65 ch DIN, la 304 atteint 150 km/h.
En mars 1970, les coupé et cabriolet 304 font leur apparition. Le cabriolet, qui garde une ligne tricorps, possède une capote en toile ou un hardtop (en option), le coupé présente, quant à lui, une carrosserie de type hatchback avec un hayon permettant un chargement plus pratique. Ces modèles reçoivent un levier de vitesse au plancher et sont légèrement plus rapides que la berline, avec des vitesses de pointe de 150 et 152 km/h (selon le constructeur).
Le break est lancé en 1971, identique au break 204, il reprend la face avant 304 et se dote d'un intérieur mieux fini, en particulier d'un habillage en faux bois dans le coffre et sur la face arrière de la banquette.
En avril 1972, les versions S apparaissent pour les coupé et cabriolet. Elles reçoivent le moteur XL3S 1 288 cm3 à carburateur double corps et délivrant 74,5 ch ; la vitesse maximale est cette fois de 160 km/h selon le constructeur. Face à l'augmentation des performances, les suspensions sont revues. L'équipement progresse avec, entre autres, un compte-tours - pièce rapportée en haut à gauche du tableau de bord, des appuis-tête, des jantes « 20 trous » et une calandre noir mat à lion doré.
Pour les modèles 1973, le tableau de bord reçoit trois cadrans ronds sur le modèle standard, une horloge prenant la place du compte-tours des versions S (celles-ci recevant une montre rectangulaire au centre de la planche de bord). Le toit de la berline est rehaussé et l'arrière du pavillon est de forme plus carrée, le haut des portières arrière est de ce fait redessiné, distinguant cette fois plus nettement la voiture de la 204. On trouve également des extracteurs d'air en plastique noir sur les panneaux de custode et des feux arrière rectangulaires sur les berlines. La berline 304 S est lancée et possède la même mécanique et les mêmes équipements que les coupé et cabriolet S.
En juillet 1975, les coupé et cabriolet disparaissent de la gamme, la berline reçoit un accoudoir arrière central, la calandre noir mat est généralisée et les blocs clignotant-veilleuse avant sont entièrement blancs.
Pour les modèles 1977, à la suite de la disparition de la 204, on note l'arrivée de nouvelles versions simplifiées de la 304, le break GL 1 127 cm3 59 ch DIN, un moteur Diesel 1 357 cm3 45 ch DIN (puis 1 548 cm3 47 ch DIN avec capot à bossage pour le millésime 1980) et une fourgonnette, cette dernière étant proposée, comme les berlines et breaks de base, en version essence ou Diesel. Les moteurs essence évoluent avec les nouveaux XL5 et XL5S, ils ont une cylindrée de 1 290 cm3 et développent 65 et 74,5 ch DIN.
Les modèles 1978-80 reçoivent un nouveau train avant élargi type MacPherson, de nouvelles roues (suppression des enjoliveurs chromés, remplacés par un cache plastique noir sur le moyeu et sur chaque écrou de roue) et un nouveau Lion de calandre chromé et creux.
La voiture disparaît de la gamme à l'été 1979 pour les berlines et au printemps 1980 pour les breaks et fourgonnettes, elle est remplacée par la 305.
La Peugeot 304 de nos jours
La Peugeot 304 sous toutes ses formes a, depuis de nombreuses années, disparu du marché de l'occasion, les derniers exemplaires ayant été fabriqués en 1980, la rouille endémique sur ce modèle, les divers dispositifs d'aide à l'acquisition des véhicules propres créés depuis les années 1990, sont autant de raisons à sa disparition prématurée.
Elle souffre également de son statut de n'être qu'une évolution de la Peugeot 204 qui, elle, a ouvert la voie du modernisme à Peugeot en 1965, avec des choix techniques jusqu'alors inédits chez Peugeot, et faisant preuve d'une grande audace à l'époque : suspension de véhicule, moteur transversal en alliage léger, etc. La 304, arrivée cinq ans après son aînée, a mis plus de temps à intéresser les collectionneurs, situation due au fait qu'elle n'est pas un modèle créé à partir d'une feuille blanche.
Entretien et restauration
La Peugeot 304 fut construite pendant une période ou les traitements anticorrosion n'étaient pas aussi efficients qu'aujourd'hui, il est de ce fait assez difficile de trouver un exemplaire en bon état au niveau de sa carrosserie.
Dans le cas où la voiture est en bon état d'origine, la maintenir en état peut se faire à l'aide d'un traitement des corps creux de façon préventive, voire curative, avec des produits adaptés : cire corps creux lorsqu'ils sont sains, ou Rustol quand la corrosion est déjà présente : longerons, traverses, intérieur d'ailes, puits d'amortisseurs, passages de roues...
Les points les plus délicats au niveau de la carrosserie de la Peugeot 304 sont nombreux ; ils se situent au niveau des planchers, l'humidité stagnant sous les insonorisants, ceux-ci se gorgent d'eau et accélèrent le phénomène. Les supports d'amortisseurs avant et arrière, souvent négligés lors du lavage du véhicule, peuvent à la longue être attaqués par la corrosion et se dégrader rapidement, rendant le véhicule dangereux. Le plancher de coffre, de même que la jointure des doublures d'ailes arrière (où l'on reconnaît la forme initiale de l'arrière de la 204) sont également sensibles à la corrosion, l'humidité se nichant dans les interstices entre les différentes tôles composant la caisse.
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Henri Beyle, plus connu sous le pseudonyme de Stendhal, né le 23 janvier 1783 à Grenoble et mort d'apoplexie le 23 mars 1842 dans le 2e arrondissement de Paris, est un écrivain français, connu en particulier pour ses romans Le Rouge et le Noir et La Chartreuse de Parme.
Stendhal aurait voulu consacrer sa vie à la rêverie, à la « chasse au bonheur », aux arts et à l'amour ; bien malgré lui, il a eu une vie mouvementée. Après la mort d'une mère trop aimée, il souffre d'une enfance étouffante à Grenoble auprès d'un père qu'il méprise et d'un grand-père qu'il adore. Il trouve refuge dans la littérature avant de partir de Grenoble, en 1799, pour aller étudier à Paris. En réalité, il s'est découvert une vocation, et abandonne ses études : il veut être comic bard, il rêve d'écrire des comédies. Ses cousins Daru le forcent à entrer au ministère de la Guerre. C'est ainsi qu'il est envoyé à Milan en mai 1800. Il découvre, émerveillé, en même temps la guerre, l'Italie, l'opéra, l'amour et le bonheur. Il ne cessera de retourner en Italie entre ses missions administratives. De tempérament timide et romanesque, souffrant de l'hypocrisie de la société de son temps, il invente pour lui-même une « méthode pratique du bonheur », le beylisme.
Perdant son emploi au moment de la chute de l'Empire, il se consacre à ses passions : l'Italie, la musique, la peinture. Il écrit un ouvrage dont on résume le titre en Vie de Haydn, Mozart et Métastase, puis il écrit Histoire de la peinture en Italie, dont il perd le premier manuscrit dans la Retraite de Russie, et Rome, Naples et Florence, journal de sensations plutôt que guide touristique. En 1819, son chagrin d'amour pour Matilde Dembowski lui fait écrire un traité, De l'amour, tentative d’analyse du sentiment amoureux, paru en 1822, dont à peine quarante exemplaires seront vendus. C'est à partir de 1827, à l'âge de quarante-quatre ans, qu'il se lance dans le roman, avec Armance, mal compris de ses contemporains ; puis c'est Le Rouge et le Noir, paru juste après la Révolution de Juillet 1830, qui lui confère une certaine notoriété, dont il ne profite pas, ayant été nommé consul à Civitavecchia par le gouvernement de Juillet. Malgré l'ennui dans lequel le plongent ses nouvelles fonctions, Stendhal ne cesse d'écrire : il commence des autobiographies (Souvenir d'égotisme, Vie de Henry Brulard) et des romans (Lucien Leuwen, Lamiel), qu'il n'achève pas. Lors de l'un de ses congés à Paris, il écrit La Chartreuse de Parme, qui suscite l'admiration d'Honoré de Balzac. Il meurt à Paris le 23 mars 1842, à la suite d'une crise d'apoplexie survenue en pleine rue quelques heures auparavant.
Ses romans de formation Le Rouge et le Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) et Lucien Leuwen (inachevé) ont fait de lui, aux côtés de Balzac, Hugo, Flaubert ou Zola, un des grands représentants du roman français au XIXe siècle. Dans ses romans, caractérisés par un style économe et resserré, Stendhal cherche « la vérité, l'âpre vérité » dans le domaine psychologique, et campe essentiellement des jeunes gens aux aspirations romantiques de vitalité, de force du sentiment et de rêve de gloire.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Stendhal | |||||||||||||||||||||||||||
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Paul Meurisse, né le 21 décembre 1912 à Dunkerque et mort le 19 janvier 1979 à Neuilly-sur-Seine, est un comédien français.
Issu d'une famille de la petite bourgeoisie, il passe son enfance en Corse puis à Dijon. Après des études de droit à Aix-en-Provence, il devient clerc de notaire. Mais, attiré par le spectacle et doté d'une très belle voix, il monte à Paris participer à un radio-crochet qu'il gagne en 1936. Cela lui permet de débuter dans une revue au Trianon comme danseur et d'entamer un tour de chant dans des cabarets, interprétant de façon lugubre des chansons gaies. Pierre Dac le remarque et l'emmène en tournée. On peut voir un court extrait de son tour de chant dans 24 heures de perm', son premier film tourné en 1940, mais sorti en 1945.
Après avoir été mobilisé en 1939, il retourne sur scène et côtoie Maurice Chevalier. En avril 1940, il crée aux côtés d'Édith Piaf, qui devient sa compagne jusqu'en 1942, Le Bel Indifférent de Jean Cocteau au théâtre des Bouffes-Parisiens. Par la suite, il se mariera successivement avec trois actrices : Michèle Alfa de 1942 à 1946, Micheline Cheirel de 1951 à 1955, et Micheline Gary de 1960 à sa mort en 1979.
Après quelques rôles secondaires, sa carrière cinématographique démarre véritablement en 1946 avec Macadam dans le rôle d'un voyou.
Acteur prolifique au cinéma, il est également un comédien de premier plan au théâtre. Il est pensionnaire de la Comédie-Française à partir de 1956, mais refusera de signer un contrat de sociétaire.
Il interprète la plupart de ses rôles avec la même élégance et le même flegme, tour à tour ironique ou inquiétant. De même que Jean Gabin ou Lino Ventura, il ne compose pas ses rôles, restant lui-même avec une affectation touchant parfois à l’autodérision comme dans L'Œil du Monocle.
L'un de ses meilleurs rôles, pour ne pas dire le meilleur, est celui du commissaire Blot dans Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville, débutant par un quasi-monologue époustouflant. On n'oubliera pas non plus sa brillante plaidoirie d'avocat faussement cynique, face aux non moins époustouflants Brigitte Bardot et son défenseur Charles Vanel, dans La Vérité, de Henri-Georges Clouzot... ni son « statut de Commandeur » humaniste et secret, à l'autorité naturelle, du rôle de Luc Jardie, sorte de Jean Moulin de L'Armée des ombres, de nouveau dirigé par Melville...
Paul Meurisse meurt d'une crise cardiaque le 19 janvier 1979 à sa sortie de scène où il jouait Mon père avait raison de Sacha Guitry. Il est inhumé au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine.
Ses mémoires, Les Éperons de la liberté, paraissent peu de temps après sa mort.
Théâtre
1940 : Le Bel Indifférent de Jean Cocteau, théâtre des Bouffes-Parisiens
1941 : Trois jeunes filles nues, opérette en 3 actes, livret de Yves Mirande et Albert Willemetz, musique de Raoul Moretti, Théâtre Marigny2
1952 : La neige était sale de Georges Simenon, adaptation Frédéric Dard, mise en scène Raymond Rouleau, théâtre des Célestins
1953 : Le Coup de grâce de Joseph Kessel et Maurice Druon, mise en scène Jean Wall, théâtre du Gymnase
1954 : Un nommé Judas de Pierre Bost et Claude-André Puget, mise en scène Jean Mercure, Comédie-Caumartin
1955 : Un nommé Judas de Pierre Bost et Claude-André Puget, mise en scène [Jean Mercure, théâtre des Célestins
1955 : Orvet de et mise en scène Jean Renoir, théâtre de la Renaissance
1956 : Coriolan de William Shakespeare, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française
1958 : Domino de Marcel Achard, mise en scène Jean Meyer, Comédie-Française
1959 : L'Hurluberlu de Jean Anouilh, mise en scène Roland Piétri, Comédie des Champs-Élysées
1961 : L'Hurluberlu de Jean Anouilh, mise en scène Roland Piétri, théâtre des Célestins
1962 : La Foire d'empoigne de Jean Anouilh, mise en scène de l'auteur et Roland Piétri, Comédie des Champs-Élysées
1966 : Don Juan aux enfers de George Bernard Shaw, mise en scène Raymond Gérôme, théâtre de la Madeleine
1967 : L'Escalier de Charles Dyer, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées, aux côtés de Daniel Ivernel (pièce qui inspirera La Cage aux Folles à Jean Poiret, dans une tournure plus... "gay")
1970 : Un sale égoïste de Françoise Dorin, mise en scène Michel Roux, théâtre Antoine
1972 : Un sale égoïste de Françoise Dorin, mise en scène Michel Roux, théâtre des Célestins
1972 : Le Directeur de l'Opéra de Jean Anouilh, mise en scène de l'auteur et Roland Piétri, Comédie des Champs-Élysées
1975 : Cher menteur de Jérôme Kilty, mise en scène de l'auteur, théâtre du Gymnase
1975 : L'Autre Valse de Françoise Dorin, mise en scène Michel Roux, théâtre des Variétés
1978 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Laurent Cochet, théâtre Hébertot
Cinéma
1941 : Ne bougez plus de Pierre Caron : Hector
1941 : Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe : Paul
1942 : Défense d'aimer de Richard Pottier : Maxime Gavard
1942 : Mariage d'amour d'Henri Decoin : Robert
1943 : La Ferme aux loups de Richard Pottier : Furet
1945 : Vingt-quatre heures de perm' de Maurice Cloche
1945 : Marie la Misère de Jacques de Baroncelli : Édouard
1946 : L'Insaisissable Frédéric de Richard Pottier : Richard Fernay
1946 : Macadam de Marcel Blistène : Victor Ménard
1947 : La Fleur de l'âge de Marcel Carné (inachevé)
1947 : Inspecteur Sergil de Jacques Daroy : l'inspecteur Sergil
1947 : Monsieur Chasse de Willy Rozier : Moricet
1947 : Bethsabée de Léonide Moguy : le capitaine Lucien Sommerville
1948 : La Dame d'onze heures de Jean-Devaivre : Stanislas Octave Seminario, dit SOS
1948 : Le Colonel Durand de René Chanas : Le colonel Durand
1948 : Le Dessous des cartes d'André Cayatte : l'inspecteur Nansen
1948 : Manù il contrabbandiere de Lucio De Caro (version italienne du Dessous des cartes) : l'inspecteur Nansen
1948 : Sergil et le Dictateur de Jacques Daroy : l'inspecteur Sergil
1948 : Impasse des Deux-Anges de Maurice Tourneur : Jean, le malfaiteur
1948 : Scandale de René Le Hénaff : Steve Richardson
1949 : L'Ange rouge de Jacques Daniel-Norman : Pierre Ravignac
1949 : Dernière heure, édition spéciale de Maurice de Canonge : Dominique Coche
1950 : Agnès de rien de Pierre Billon : Carlos
1951 : Maria du bout du monde de Jean Stelli : Mathias
1951 : Ma femme est formidable d'André Hunebelle : lui-même
1951 : Vedettes sans maquillage, court métrage de Jacques Guillon : lui-même
1952 : Sérénade au bourreau de Jean Stelli : William A. Schomberg
1952 : Sergil chez les filles de Jacques Daroy : l'inspecteur Sergil
1953 : Je suis un mouchard de René Chanas : Bob Torquella
1955 : Les Diaboliques de Henri-Georges Clouzot : Michel Delasalle
1955 : Fortune carrée de Bernard Borderie : Mordhom
1955 : La Castiglione (La Contessa di Castiglione) de Georges Combret : Napoléon III
1955 : L'Affaire des poisons de Henri Decoin : l'abbé Guibourg
1957 : Jusqu'au dernier de Pierre Billon : Fredo Ricioni
1957 : L'inspecteur aime la bagarre de Jean-Devaivre : l'inspecteur Morice
1958 : Les Violents de Henri Calef : l'inspecteur Malouvier
1958 : Échec au porteur de Gilles Grangier : le commissaire divisionnaire Varzeilles
1958 : Le Septième Ciel de Raymond Bernard : Manuel Vila
1959 : Simenon, court-métrage de Jean-François Hauduroy : récitant
1959 : Guinguette de Jean Delannoy : le vicomte
1959 : La Tête contre les murs de Georges Franju : le docteur Emery
1959 : Marie-Octobre de Julien Duvivier : François-Renaud Picart
1959 : Le Déjeuner sur l'herbe de Jean Renoir : Étienne Alexis
1960 : La Française et l'Amour, sketch L'Adultère de Henri Verneuil : Jean-Claude Perret
1960 : La Vérité de Henri-Georges Clouzot : maître Eparvier
1961 : Le Jeu de la vérité de Robert Hossein : M. Portland
1961 : Les Nouveaux Aristocrates de Francis Rigaud : le père de Maubrun
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner : le commandant Théobald Dromard dit « Le Monocle »
1962 : Du mouron pour les petits oiseaux de Marcel Carné : M. Armand
1962 : Carillons sans joie de Charles Brabant : le capitaine de Lambérieux
1962 : L'Œil du Monocle de Georges Lautner : le commandant Théobald Dromard dit « Le Monocle »
1963 : Méfiez-vous, mesdames d'André Hunebelle : Charles Rouvier
1963 : L'assassin connaît la musique... de Pierre Chenal : Lionel Fribourg
1963 : Les tontons flingueurs de Georges Lautner : le commandant Théobald Dromard dit « Le Monocle » (apparition finale, allusive mais distinguée, devant l'église Saint-Germain-de-Charonne, comme une citation de Lautner d'un de ses films aux autres)
1964 : Le Monocle rit jaune de Georges Lautner : le commandant Théobald Dromard dit « Le Monocle »
1965 : Quand passent les faisans d'Édouard Molinaro : Alexandre Larsan-Bellac
1965 : La Grosse Caisse d'Alex Joffé : M. Filippi
1965 : Le Majordome de Jean Delannoy : Léopold
1966 : Le congrès s'amuse (Der Kongreß amüsiert sich), de Géza von Radványi : le comte de Talleyrand
1966 : Moi et les hommes de quarante ans de Jacques Pinoteau : Alexandre Dumourier
1966 : Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville : le commissaire Blot
1969 : L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville : Luc Jardie
1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques de Michel Audiard : M. Kruger
1971 : Doucement les basses de Jacques Deray : l'évêque
1973 : Les Voraces de Sergio Gobbi : l'inspecteur Martino
1974 : Les Suspects de Michel Wyn : Laurent Kirchner
1975 : Le Gitan de José Giovanni : Yan-Kug
1976 : L'Éducation amoureuse de Valentin de Jean L'Hôte : Julien Blaise
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Georges Brassens est né le 22 octobre 1921 dans un quartier populaire du port de Cette (le nom de la ville n'est orthographié Sète qu’en 1928, un changement de graphie qu'il évoque dans la chanson Jeanne Martin). Dans la maison familiale, il est entouré de sa mère, Elvira (née Dagrosa, 1887-1962), de son père, Jean-Louis (1881-1965, maçon, comme ses parents l'étaient avant lui), de sa demi-sœur Simone Comte (1912-1994), née du premier mariage de sa mère, et de ses grands-parents paternels, Jules et Marguerite (née Josserand), natifs de Castelnaudary.
Sa mère, dont les parents sont originaires de Marsico Nuovo dans la région de Basilicate en Italie du Sud, est une catholique d'une grande dévotion. Veuve de guerre d'Alphonse Comte, tonnelier tué au front (27 août 1881-28 octobre 1914), père de Simone, la demi-sœur de Georges, Elvira épouse, en 1919, Jean-Louis Brassens, un entrepreneur de maçonnerie. Le père de Georges est un homme paisible, généreux, libre-penseur, anticlérical (il refusera d'assister à la communion de son fils) et doté d'une grande indépendance d'esprit. Deux caractères très différents qu'une chose réunit : le goût de la chanson. D’ailleurs, tout le monde chante à la maison. Sur le phonographe : les disques de Mireille, Jean Nohain, Tino Rossi ou Ray Ventura et ses Collégiens.
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Claudine Cassereau, élue Miss Poitou en 1971, était devenue Miss France en 1972. Elle est décédée le 5 août dernier à l’hôpital de Fréjus à l’âge de 66 ans.
La famille Miss France est en deuil. Le 5 août dernier, Claudine Cassereau, Miss France 1972, s'est éteinte à l'âge de 66 ans. C'est à l'hôpital de Fréjus que l'ancienne reine de beauté est décédée, ont annoncé ce vendredi 14 août 2020 nos confrères de La Nouvelle République. La défunte a été inhumée au cimetière de Loudun (Nouvelle-Aquitaine) lundi 10 août selon ses dernières volontés. Claudine Cassereau était mère de deux filles et avait trois petits-enfants.
Le fabuleux destin d'une apprentie coiffeuseNée en 1953 à Loudun dans la Vienne, Claudine Cassereau a vu sa vie bouleversée en 1971 alors qu'elle s'apprêtait à terminer des études de coiffure. Cette année-là, à 18 ans seulement, elle est élue Miss Poitou 1971. Quelques mois plus tard, elle finit 3e dauphine au concours de Miss France 1972 mais obtient tout de même le prix de Miss Élégance. C'est Chantal Bouvier de Lamotte qui remporte l'édition 1972 ce soir-là à Airvault (dans les Deux-Sèvres). Mais quelques semaines après son sacre, l'histoire raconte que la reine de beauté se blesse lors d'une sortie à cheval et cède son trône à Claudine Cassereau. "On a raconté que Miss France avait été victime d’une chute de cheval et qu’elle ne pouvait plus assumer les représentations qui incombaient à son statut, semble douter Claudine Cassereau. En fait, elle faisait la tête car cela ne lui plaisait pas trop d’aller dans les villages faire les galas. Moi, j’avais beaucoup de succès à chacune de ces occasions" avait-elle révélé lors d'une interview en 2017.
Une couronne qui va faire voyager la jeune femme aux quatre coins de la planète. Au Portugal pour Miss Europe (elle terminera sixième du concours), à Porto-Rico pour Miss Univers, ou encore à Londres pour l’élection de Miss Monde au célèbre Royal Albert Hall en présence du prince Philip. "J’étais confrontée à des filles magnifiques, je m’achetais moi-même mes robes, fallait pas rêver" se remémorait avec bonheur Claudine Cassereau lors d'un entretien à la Nouvelle République en 2017.
Passionnée de peinture et de chevaux"Claudine Cassereau a fait carrière dans un restaurant à Tours. Puis elle s’est installée à Cogolin dans le Var pour s’adonner à sa passion, la peinture, qu’elle pratiquait depuis l’âge de 8 ans" écrivent nos confrères de La Nouvelle République. Ses premiers modèles furent les chevaux, l'une de ses autres passions.
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Ilona est serveuse dans un restaurant au bord du Lac d'Annecy où elle vit. Mannequin amateur, elle se retrouve en Une de la version française de Playboy qui ressort en kiosque.
Ilona Gachet - Capture Instagram Ilona Gachet
Playboy, le magazine de charme, effectue un nouveau retour en kiosque - il avait disparu depuis cinq ans - avec en figure de proue une playmate moderne, inconnue, Ilona Gachet, qui vit et travaille en Haute-Savoie depuis neuf ans.
Ilona est mannequin amateur depuis ses 16 ans, "par plaisir, quand j'en ai envie". C'est la première fois qu'elle pose nue. Elle ne se serait jamais imaginée égérie de la firme au lapin.
La couverture de Playboy est donc un "pur hasard" : "Ma première série de nus. Un shoot sympa avec mon ami Lionel Daviet (photographe d'Annecy) au bord d'une piscine. La très belle série a plu au directeur de Playboy. C'était assez incroyable comme proposition. Je me suis dit : "Pourquoi pas ?"
Ilona Gachet : l'aventure de la couv'
Avant parution, Ilona a juste vu la photo choisie pour la couverture. Elle s'est réservée la surprise des pages intérieures en feuilletant le produit fini. "Ah, elles sont sympas, finalement !" fut en résumé sa réaction, car la jeune femme n'est pas une habituée du nu.
"Pour la mode, on peut jouer avec le vêtement. Là, on est seule face à l'objectif. Je ne me trouvais pas à mon avantage sur les photos. Puis à force de les voir, je les ai trouvées jolies. C'est compliqué de se trouver jolie en se voyant nue."
"C'est compliqué de se trouver jolie en se voyant nue. A force de voir les photos, je les ai trouvées jolies." - Ilona Gachet
Ce premier shooting dénudé est donc naturel, sans prétention et finalement c'est ce qui a sans doute plu. "Quand on n'est pas une professionnelle du nu, on se cache un peu, on ne fait rien de "vulgaire", on est moins à l'aise. Et certains photographes recherchent cela."
Loin de la playmate sexualisée
Affranchie des canons plantureux, l'Annécienne paraît aux antipodes d'une Pamela Anderson. On est en 2020, loin des plastiques plastifiées artificielles.
Ce qu'elle traduit ainsi : "Je n'ai pas de formes opulentes. Je n'ai pas de gros seins. Contrairement à celles qu'on a pu voir dans les anciens numéros de Playboy qui étaient des femmes emblématiques, très belles, très connues. Moi, je débarque d'Annecy, alors que personne ne me connaît et je fais la couv' de Playboy ! Et c'est ça qui est bien justement. Ces photos cassent l'image des Playboy qui montrent la femme vraiment sexualisée, alors que ma série de photo ne l'est pas du tout."
Ilona Gachet playmate moderne qui casse l'image sexualisée de la femme
Depuis la publication du magazine, mis à part quelques balourdises entendues les premiers jours, Ilona a surtout eu des réactions très positives. Elle a été très discrète sur sa publication. Son père lui a juste dit que c'était super, mais s'est refusé à voir les photos - "c'est normal." Sa petite sœur a fait "une tête bizarre" à la vue des clichés publiés.
"Je n'ai pas de formes opulentes. Ces photos cassent l'image des Playboy qui montrent une image de la femme sexualisée." - ilona plamayte et jeune femme moderne
La Haut-Savoyarde commence à répondre à quelques interviews ces jours-ci. Avec humilité, humour et détachement. Elle n'est pas non plus une passionnaria des réseaux sociaux, même si elle y est présente. "Il y aura sans doute des portes qui vont s'ouvrir. Je ne fais pas cela pour la gloire, mais pour le plaisir. D'ailleurs, je ne réponds qu'aux sollicitations qui me plaisent. C'est la raison pour laquelle j'ai un emploi fixe à côté, loin du mannequinat. Je ne me vois pas vivre ailleurs qu'à Annecy. Je n'ai jamais voulu aller à Paris pour en vivre pleinement. C'est juste du plaisir."
Tiré à 100 000 exemplaires, le nouveau Playboy trimestriel est paru mi juillet, 212 pages, version classieuse avec un quart de photos dénudées. On y trouve des articles sur le Darknet, l'exorcisme ou encore une interview de Bill Gates.
Depuis mars dernier, aux Etats-Unis, le magazine créé par Hugh Hefner n'est plus disponible que sur internet.
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Sabine Paturel, née le 19 septembre 1965 à Toulon (Var), est une chanteuse et actrice française.
Née d'un père sicilien violent, elle connaît une enfance difficile. Elle a trois sœurs et n'a aucun lien de parenté avec le comédien Dominique Paturel. Son premier single Les Bêtises, composé par Sylvain Lebel et Dominique Pankratoff, est sorti en fin d'année 1985. Chanson racontant le caractère incontrôlable d'un cœur délaissé et interprétée de façon espiègle, elle est restée pendant trente-six semaines au Top 50, de mars à octobre 1986, atteignant la deuxième place en mai 1986. En novembre 1986, elle sort son second single P'tit Bouchon qui s'est également classé dans les meilleures ventes. L’album Cœur bébé sort en 1987 en CD et vinyle 33 tours ; il obtient le Laser d'or de l'Académie du disque.
En 1990, à la suite d'un conflit avec sa production, elle décide d'abandonner la chanson pour ne se consacrer qu'au théâtre. Elle y reviendra en 2009, à l'occasion de la tournée RFM Party 80 .
Parallèlement, ses cours de comédie chez Jean-Laurent Cochet lui ont permis de percer dans le théâtre : dès 1988 elle triomphe au théâtre Marigny dans La Menteuse, pièce qui lui vaut une nomination aux Molières. Elle poursuit dans La Mégère apprivoisée, Jeanne d'Arc, Le Barbier de Séville puis dans la comédie musicale Dédé de Willemetz, La Reine Margot, Une heure sans télévision. En 2010, elle remonte sur les planches pour le one-woman-show musical J'ai deux mots à vous dire de Jean-Pierre Delage. En 2014, elle sort un album intitulé Atmosphères qui contient toutes les chansons du show.
Elle quitte ensuite le théâtre, monte un concert avec Xavier Barboteu, et en 2015 sort un nouveau single intitulé Je me fous de tout.
En tant qu'actrice, elle a tourné dans des séries télévisées comme Les Enquêtes caméléon (avec Roger Carel), Les Cordier, juge et flic ou L'Instit et dans des films comme Prends ton passe-montagne, on va à la plage ou En cas de guerre mondiale, je file à l'étranger et dans La Chambre des dames de Yannick Andréi.
En 1995 elle a créé son propre cours d'art dramatique qu'elle continuera jusqu'en 2002.
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