Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
06.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le Peuple est un journal français publié entre novembre 1848 et juin 1849.
Histoire
Le journal socialiste Le Représentant du peuple, qui compte Pierre-Joseph Proudhon parmi ses collaborateurs, est suspendu par les autorités le 21 août 1848. Pour le remplacer, Proudhon fonde Le Peuple. Ce titre est libre depuis le 18 juin précédent, quand Le Peuple, journal rédigé par Adèle et Alphonse Esquiros, a été rebaptisé L'Accusateur public.
Un premier numéro spécimen paraît le 2 septembre, mais sans cautionnement légal. Le gérant du Peuple, Georges Duchêne, est par conséquent condamné à 200 francs d'amende et un mois de prison. Il faut donc attendre le mois de novembre pour que la parution du journal devienne régulière, tout d'abord hebdomadaire puis quotidienne.
Proudhon est le directeur du journal, qui a pour administrateur Charles Fauvety, ancien directeur du Représentant du peuple. La continuité avec de dernier titre est manifestée par la reprise de sa devise, qui pastichait Qu'est-ce que le Tiers-État ? : « Qu'est-ce que le producteur ? Rien. Que doit-il être ? Tout. - Qu'est-ce que le capitaliste ? Tout. Que doit-il être ? Rien ».
De nombreuses poursuites et condamnations frappent bientôt Le Peuple et son gérant : douze procès entraînent 80 000 francs d'amende et, surtout, trente-trois années de peine d'emprisonnement. Duchêne sera finalement libéré grâce à l'amnistie du 2 décembre 1852.
Organe « montagnard », Le Peuple soutient la candidature de François-Vincent Raspail lors de l'élection présidentielle de décembre 1848 et publie la déclaration de la Montagne au peuple français à la veille de la Journée du 13 juin 1849. Compromis dans cet épisode insurrectionnel, Le Peuple est contraint de cesser sa publication.
Il faut attendre le 1er octobre suivant pour voir le lancement du successeur du journal défunt. Il s'agit de La Voix du peuple, qui sera remplacée à son tour l'année suivante par Le Peuple de 1850.
Collaborateurs
Ch. Cheyé
A. Crétin
Alfred Darimon
Taxile Delord
Georges Duchêne
Pierre Dupont
Félix Élie
Philippe Faure
Charles Fauvety
Arnould Frémy
Pierre Lachambeaudie
Amédée Jérôme Langlois
A.-D. Laumondays
Alfred Madier de Montjau
Louis Ménard
Gabriel de Mortillet
Pierre-Joseph Proudhon
François-Vincent Raspail
Pauline Roland
Ramón de la Sagra
A. Tabole
Louis Vasbenter
Jean Verlot
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Le National est un quotidien français fondé en janvier 1830 par Adolphe Thiers, Armand Carrel, François-Auguste Mignet et le libraire éditeur Auguste Sautelet qui en sera le premier gérant, pour combattre la Seconde Restauration.
Le nouveau journal, dont le premier numéro paraît le 3 janvier 1830, bénéficie du soutien financier du banquier Jacques Laffitte et du patronage de Talleyrand et du Duc de Dalberg. On a prétendu que le duc d'Orléans a donné sa caution politique, mais il semble peu probable qu'il se soit directement compromis : rien ne l'atteste en tout cas.
Le titre renvoie à la devise de 1789 : « la Nation, la Loi, le Roi », l'ordre des facteurs n'ayant naturellement rien d'innocent. Le journal milite pour l'établissement d'un régime parlementaire sous forme d'une monarchie constitutionnelle et conteste l'interprétation donnée par Charles X de la Charte de 1814 en frappant des formules dont plusieurs sont restées célèbres :
Le National, en fait défend la Charte de 1814 : mais il se borne à rappeler au gouvernement que la volonté du peuple est souveraine et que les institutions d’un pays ne sont pas immuables.
Lorsque Thiers passe à l’offensive, l’un de ses éditoriaux est interprété par le gouvernement de Charles X comme une menace contre le système gouvernemental et contre les personnes qui l’incarnent, c'est-à-dire le roi et les ministres. Le pouvoir décide alors de poursuivre Sautelet en correctionnelle puisqu’il est le gérant responsable, et Thiers l’auteur de l’article. Tous deux sont condamnés à 1 000 francs d’amende (que Thiers paiera grâce à une souscription auprès des lecteurs du journal) et singulièrement Auguste Sautelet à une peine de trois mois de prison.
Quand Charles X promulgue les Ordonnances de Juillet suspendant la liberté de la presse, c’est au siège du National que se réuniront les journalistes pour signer la protestation de 1830, prémices de la Révolution de 1830, dite des Trois Glorieuses.
Après les journées de juillet 1830, Armand Carrel prend le contrôle du journal.
À sa mort, en 1836 Le National passe aux mains de MM. Thomas, Trélat, Bastide, Duclerc qui en font l'organe de l'opinion républicaine.
En 1846, Armand Marrast devient rédacteur en chef.
Le National continuera à servir de tribune et publiera l'appel d'Armand Marrast invitant les Parisiens à manifester le 22 février 1848, à la suite de l'interdiction par le Préfet de Paris d'une réunion publique (Campagne des Banquets), et des centaines d'étudiants se rassemblent place du Panthéon, puis se rendent à la Madeleine où ils se mêlent aux ouvriers. La Révolution de 1848 est en marche.
Par la suite, Le National deviendra l'organe de presse de la majorité républicaine modérée (les « Républicains bourgeois ») issue des urnes aux législatives de 1848 et qui forma la Constituante de la Deuxième République. Le nouveau gouvernement fut dirigé par le général Louis-Eugène Cavaignac. Les parlementaires républicains modérés furent qualifiés de membres du Parti du National en référence à leur journal. Le directeur du National, Charles Thomas, et son rédacteur en chef, Léopold Duras, sont alors membres de l'Association démocratique des amis de la Constitution. Lors de l’'élection présidentielle de décembre 1848, le National défend la constitution républicaine et est partisan de la candidature présidentielle du général Cavaignac, qui arrive en seconde position derrière Louis-Napoléon Bonaparte .
Interdit après le coup d’État du 2 décembre 1851, il disparaît le 31 décembre de cette même année. Le dernier propriétaire, directeur-gérant, l'ancien préfet Jean Baptiste Ernest Caylus s'enfuit à New York, mais le personnel du Nation est emprisonné : environ 60 personnes, pères de familles. Les Archives nationales conservent le dossier de dissolution et liquidation de la société.
Le National, reparaît le 18 janvier 1869 sous la direction d’Ildefonse Rousset (1817-1878) avec des journalistes qui quittent Le Siècle comme Émile de La Bédollière.
Le journal combat l'Empire et s’oppose vivement à l'ultramontanisme. Pendant le siège de Paris, il soutient la politique du gouvernement de la Défense nationale puis celle d’Adolphe Thiers, chef du pouvoir exécutif. Il tire à plus de 150 000 exemplaires
À compter de mai 1873, Le National représente les idées de la gauche républicaine. Parmi ses principaux rédacteurs, on compte Émile de La Bédollière, Horace Ayraud-Degeorge, Charles Sauvestre, Émile Deschanel, Paul Féval, Alfred Assollant, Théodore de Banville, Paul Foucher, etc.
Ildefonse Rousset étant décédé en mars 1878, Hector Pessard devient directeur du journal. Il aura pour successeur le député Adolphe Maujan (1853-1914).
Le site Gallica de la Bibliothèque nationale de France présente une collection couvrant les années 1830 à 1836 provenant d'Armand Carrel où il a ajouté à la main le nom des auteurs des articles, puis les années 1869 à 1911 ; la collection des années 1912 à 1914 est incomplète ; quelques numéros datés de 1923 et 1924 sont également en ligne.
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Le Vélocipède Illustré est un bimensuel français dans sa première période de publication français spécialisé dans le cyclisme, fondé en 1869 par Richard Lesclide dit « Le Grand Jacques », et disparut vers 1901.
Édité à Paris, il fut fondé par Richard Lesclide, pionnier du journalisme sportif et futur secrétaire de Victor Hugo. Son premier numéro date du 1er avril 1869, soit un mois à peine après l'apparition, le 1er mars précédent, du tout premier journal consacré au cyclisme, Le Vélocipède, fondé à Voiron par A. Favre, fabricant de vélocipèdes et géré par L. Fillet, mais qui cesse sa parution dès le 15 mai.
Cette publication disparaît en 1872, et reparaît en 1890.
Elle reparaît en 1890, sous l'égide de son fondateur âgé de 67 ans, Richard Lesclide, sa femme Juana Richard Lesclide en est rédacteur en chef sous le pseudonyme de « Jean de Champeaux », et en prendra la direction à la mort de son mari en 1892.
Paul Faussier, journaliste sportif, membre de la Société vélocipédique métropolitaine et qui organisa la première course de « voitures sans chevaux » le 28 avril 1887 entre Neuilly et Versailles en deviendra le rédacteur en chef.
Elle cessera de paraître vers 1901.
Le périodique de 4 pages au grand format est en majorité consacré à la vélocipédie sous tous ses aspects, circulation, voyages, courses et innovations. Il comprend, par ailleurs, des rubriques sur les spectacles et des articles scientifiques n’ayant qu’un rapport lointain avec la vélocipédie, par exemple sur les moteurs électriques.
Nous suivons l’évolution technique très rapide du vélocipède primitif de 1868 à roues en bois cerclées de fer au véloce (diminutif courant) de 1870 aux roues à rayons métalliques en tension à bandages en caoutchouc et le foisonnement d’inventions. Le tour du monde à vélocipède publié en feuilleton est un récit, quelque peu délirant, de Richard Lesclide qui nous emmène de Paris à la Sibérie jusqu’au Kamtchatka.
Des publicités de constructeurs de vélocipèdes et d’accessoires (roues, bandages en caoutchouc, compteurs, lanternes) figurent en dernière page.
Le Vélocipède Illustré organisa notamment la première course cycliste ville à ville de l'histoire : le fameux Paris-Rouen du 7 novembre 1869.
En 1871 et 1872, l’élan était brisé : le journal avait perdu ses correspondants étrangers et une partie de ses abonnés tués au combat ou éloignés de la vélocipédie par les circonstances. La disparition d’une partie des constructeurs entraîna le déclin de la publicité.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Évolution de la bicyclette depuis la draisienne de 1818 | |||||||||||||||||||||||||||
Le Vélocipède Illustré | |||||||||||||||||||||||||||
Vélo | |||||||||||||||||||||||||||
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Début 2005, PSA Peugeot Citroën vend la société Panhard aux automobiles Auverland, fondée vingt ans plus tôt par François Servanin, mais conserve le nom prestigieux de « Panhard » pour une éventuelle utilisation civile future. Déjà en 1979, Peugeot avait envisagé de ressusciter le nom de Panhard pour l'appliquer aux modèles de Chrysler-Europe, avant de choisir finalement Talbot. Le nouvel ensemble prend le nom de « Panhard general defense » sous la direction de Christian Mons.
En 2010, « Panhard » déploie une activité de production de véhicules militaires, avec un chiffre d'affaires de 70 millions d'euros en 2007, dix fois plus petit que celui de son concurrent GIAT. Ses véhicules sont en première ligne en Afghanistan, au Kosovo et chaque année lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Son catalogue propose une quinzaine de véhicules légers et sa production se monte annuellement à 9 500 véhicules.
En 2012, « Panhard general defense » est racheté par Renault Trucks qui appartient au groupe Volvo et devient « Panhard Defense ». En 2016, Volvo avait souhaité vendre ses activités de défense dont Panhard, mais en octobre 2017, le groupe suédois a finalement décidé de retirer son offre car il n’était pas satisfait des propositions de rachats.
Poursuite de la production de véhicules militaires
La société Panhard conclut des accords avec Citroën, puis Peugeot, et s'oriente vers la construction d'engins blindés sous la dénomination de Société de constructions mécaniques Panhard-Levassor. Alors que Panhard fusionne avec Citroën en 1965, la société en est détachée en 1975 pour devenir une filiale de Peugeot S.A, sous la dénomination de SCMPL, Société de construction mécaniques Panhard-Levassor, avec un siège au 18 avenue d'Ivry à Paris. Jean Panhard en est le président de 1965 à 1981.
À partir de 1967, Panhard ne va plus construire de véhicules civils mais la firme poursuit la production des véhicules militaires blindés dans son usine de Marolles-en-Hurepoix, l'engin blindé de reconnaissance.
Début 2005, PSA Peugeot Citroën vend la société Panhard aux automobiles Auverland, fondée vingt ans plus tôt par François Servanin, mais conserve le nom prestigieux de « Panhard » pour une éventuelle utilisation civile future. Déjà en 1979, Peugeot avait envisagé de ressusciter le nom de Panhard pour l'appliquer aux modèles de Chrysler-Europe, avant de choisir finalement Talbot. Le nouvel ensemble prend le nom de « Panhard general defense » sous la direction de Christian Mons.
En 2010, « Panhard » déploie une activité de production de véhicules militaires, avec un chiffre d'affaires de 70 millions d'euros en 2007, dix fois plus petit que celui de son concurrent GIAT. Ses véhicules sont en première ligne en Afghanistan, au Kosovo et chaque année lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées. Son catalogue propose une quinzaine de véhicules légers et sa production se monte annuellement à 9 500 véhicules.
Panhard développe et produit des véhicules militaires depuis 1906. Détenu par le groupe PSA Peugeot Citroën, Panhard a été cédé en février 2005 à son concurrent Auverland et la nouvelle entité a pris le nom de « Panhard General Defense ». Panhard comptait un effectif de 350 personnes à la fin 2010 et réalisait plus de 100 millions d'euros de chiffre d'affaires. En octobre 2012, alors qu'elle employait 330 personnes et avait un chiffre d'affaires de 81 millions, elle est rachetée par Renault Trucks Defense et devient « Panhard Defense ».
Liste (non exhaustive) des véhicules militaires Panhard
1906 à 1911 : Panhard-Genty 24 HP (1906) et Panhard 24 HP (1911), voitures de reconnaissance armée
1911 / 1913-1914 : Châtillon-Panhard, utilitaire lourd pour du transport militaire.
1914 : Panhard 103, automitrailleuse partiellement blindée
1913 : Panhard 105, automobile de guerre blindée
1926 : Panhard 138, automitrailleuse de cavalerie dont dérive le type 165, transformée en voiture de commandement blindée.
1926 : Panhard 16 cv X46, automitrailleuse
1930 : Panhard 165/175 TOE, automitrailleuse de découverte
1932 : Panhard 179 (Camion Blindé Panhard)
1935 : Panhard AMD-178 ou AMD 35
1940 : Panhard 201 (prototype) qui donne naissance à l'Engin Blindé de Reconnaissance (EBR, 1951)
1956 : Panhard ETT
1966 : Panhard AML 60/90
1969 : M3 Panhard
1977 : Panhard VCR
1977 : Panhard ERC-90 Sagaie
1985 : production de la Peugeot P4 (1981) sous le nom de Panhard PL 30
1990 : Panhard Véhicule blindé léger (VBL)
2002 : Panhard Petit Véhicule Protégé (PVP)
2005 : Panhard VPS (Véhicule Patrouille Spéciale) dérivée de la Peugeot P4
2010 : prototype Panhard SPHINX Engin blindé de reconnaissance et de combat
2011 : prototype CRAB (Combat Reconnaissance Armoured Buggy)
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Monde : France | ||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | Panhard | ||||||||||||||||||||||||||
Panhard Dyna Z | |||||||||||||||||||||||||||
Panhard : la production de véhicules militaires | |||||||||||||||||||||||||||
Panhard & Levassor type x5 1911 | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
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MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
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La FIFA est fondée le 21 mai 1904 à Paris au 229, rue Saint-Honoré dans les locaux de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), sous l'impulsion de Robert Guérin, secrétaire du comité football de l’USFSA. Les membres fondateurs sont : les Pays-Bas, la Belgique, la Suède, le Danemark, la Suisse, l'Espagne et la France.
Un an plus tard, l'Allemagne , l'Italie, l'Autriche et la Hongrie rejoignent la FIFA. Les Britanniques refusent d'abord d'être membres mais rejoignent finalement la FIFA quelques mois plus tard. S'engage alors un bras de fer entre l’USFSA française et la Football Association anglaise. La première est fondatrice de la FIFA et violemment hostile au professionnalisme. La seconde a donné son feu vert aux professionnels dès 1885. Le débat ne se fait pas sur cette question, mais sur l'interprétation des textes fondateurs de la FIFA, qui n'acceptent qu'une fédération et une seule, par nation. C'est la stratégie voulue par l’USFSA afin d'éliminer les ligues concurrentes françaises. N'étant pas reconnues par la FIFA, ces fédérations sont interdites de matchs internationaux. Ainsi, l'USFSA demanda à la FA de ne présenter qu'une seule fédération à la candidature à la FIFA pour représenter tout le Royaume-Uni, et non les quatre fédérations (Angleterre, Écosse, Pays de Galles et Irlande du Nord) qui demandent leur adhésion à la FIFA au même moment. Un vote des membres fondateurs tranche la question ; la France est mise en minorité. Vexés, les Français claquent la porte et l’USFSA quitte la FIFA. La France ne reste pas longtemps hors du giron de la FIFA et c'est le Comité français interfédéral, principal concurrent de l’USFSA, qui la rejoint. L’USFSA se retrouve alors dans la situation d'arroseur arrosé, car sa position hors de l'organisation l'a marginalisée.
La Coupe du monde, trophée majeur de la FIFA, est créée par Jules Rimet, alors président de la fédération internationale. Enchanté par le spectacle donné par l'équipe d'Uruguay aux Jeux olympiques de 1924 et 1928, Rimet lance la machine Coupe du monde en 1930. L'Uruguay qui fête alors son centenaire en 1930 est un candidat idéal pour l'organisation du premier rendez-vous mondial. Le trophée de la Coupe du monde est baptisé du nom de Jules Rimet. La Coupe Rimet prend définitivement la route du Brésil après son troisième succès dans l'épreuve en 1970, comme le prévoit le règlement. Un nouveau trophée est donc forgé pour l'édition 1974. L'expression « FIFA World Cup » est plus récente. Jusqu'en 1990, la Coupe du monde s'intitula Weltmeisterschaft en Allemagne (1974), Mundial en Argentine (1978), Espagne (1982) et Mexique (1986) puis Mondiale en Italie en 1990. Le crochet par les États-Unis est fatal à cette tradition linguistique, et la Coupe est désormais baptisée « FIFA World Cup », qui est une marque déposée. Le français est la langue officielle de la FIFA au même rang que l'anglais (comme l'allemand et l'espagnol). La terminologie « Coupe du monde FIFA » est également acceptée.
La FIFA déménage à Zurich en 1932 en raison du statut de la Suisse et des graves soucis financiers de la Fédération depuis le krach boursier d’octobre 1929. Avec l'augmentation importante des sources de revenus (droits TV, publicités et produits sous licence principalement), la situation financière est aujourd'hui excellente.
Ainsi, la FIFA annonçait en avril 2004 qu'elle prévoit un bénéfice de 144 millions de dollars pour 1,64 milliard de dollars de revenus sur la période 2003-2006 (cycle de quatre ans incluant la Coupe du monde 2006). Elle a réalisé un bénéfice de 631 millions de dollars sur la période 2007-2010 (cycle incluant la coupe du monde en Afrique du Sud). En 2013, à l'orée de la coupe du monde au Brésil, les réserves de trésorerie de la FIFA se montaient à 1,4 milliard de dollar
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L'Humanité est un journal français — socialiste jusqu'en 1920, puis communiste — fondé en 1904 par le dirigeant socialiste Jean Jaurès. Organe central du Parti communiste français de 1920 à 1994, il en reste très proche après l’ouverture de ses pages à d'autres composantes de la gauche. Comme de nombreux titres de la presse écrite, il bénéficie de subventions de l'État.
Le premier numéro de L'Humanité paraît le lundi 18 avril 1904. Journal de quatre pages vendu cinq centimes et tiré à 130 000 exemplaires, son fondateur Jean Jaurès, explique que ce nouveau quotidien socialiste (qui a alors comme sous-titre de la manchette « Journal socialiste quotidien ») doit être dans un premier temps un outil pour l'unification du mouvement socialiste français et, par la suite, un des leviers de la lutte révolutionnaire contre le capitalisme. La rédaction s'installe 110, rue de Richelieu dans le quartier de la presse, puis, en raison du loyer excessif, 27, rue du Croissant à partir du premier mai 1909 et, le 24 juillet 1913, lors du passage aux six pages, au 142, rue Montmartre.
Dans son premier éditorial intitulé « Notre but », Jaurès souhaite fixer deux règles de fonctionnement à son nouveau journal : la recherche d'information étendue et exacte pour donner « à toutes les intelligences libres le moyen de comprendre et de juger elles-mêmes les événements du monde », et l'indépendance financière
Repères
1904-1914 : Jean Jaurès
1914-1918 : Pierre Renaudel
1918-1958 : Marcel Cachin
1958-1974 : Étienne Fajon (adjoint de 1948 à 1958)
1974-1994 : Roland Leroy
1994-2000 : Pierre Zarka (adjoint de 1992 à 1994)
2000 : Patrick Le Hyaric
1926-1929 : Paul Vaillant-Couturier
1929-1932 : Florimond Bonte
1932-1934 : André Ferrat
1934-1937 : Paul Vaillant-Couturier
1937-1950 : Georges Cogniot
1950-1958 : André Stil
1958-1984 : René Andrieu
1984-2001 : Claude Cabanes (directeur de la rédaction)
1988-1998 : Martine Bulard (rédactrice en chef de L'Humanité Dimanche, transformé en L'Humanité-Hebdo)
2001-2008 : Pierre Laurent (directeur des rédactions de L'Humanité et de L'Humanité Dimanche)
2008 : Patrick Apel-Muller (directeur de la rédaction)
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Vue à travers un Hypergonar : l'autre extrémité apparaît ovale
L'Hypergonar est un dispositif anamorphoseur inventé par Henri Chrétien en 1926. Le procédé a été utilisé par la 20th Century Fox en 1953 et commercialisé sous le nom CinemaScope.
Le brevet de l'Hypergonar, brevet n° 638.542, fut déposé le 9 décembre 1926. Il était conçu à l'origine pour le cinéma en couleur et le cinéma en relief :
à l'époque, on ne disposait que de films noir et blanc, il fallait donc trois pellicules distinctes pour créer la couleur, chaque image étant colorée par un filtre (voir l'article Synthèse additive) ; l'Hypergonar permettait de placer ces trois images sur le même photogramme, en utilisant une anamorphose de rapport 3 ; cela résolvait les problèmes de synchronisation des trois pellicules ;
le film en relief consiste à avoir deux images distinctes (voir l'article Stéréographie) ; en utilisant une anamorphose de rapport 2, cela permet de mettre les deux images sur la même pellicule.
L'un des premiers cinéastes à avoir utilisé le procédé de l'Hypergonar est Claude Autant-Lara en 1929, dans son film Construire un feu Son utilisation reste toutefois une exception pour l'époque.
En 1952, l'industrie cinéma est en crise en raison du développement de la télévision, et une des pistes pour faire revenir les foules dans les salles est de miser sur le « grand spectacle » (par opposition au « petit écran »), et notamment au grand format. Herbert Bragg, assistant directeur du département recherche et développement de la Fox, assiste à un essai avec un projecteur 70 mm, et se souvient alors de l'invention d'Henri Chrétien, alors âgé de 73 ans. Le 12 janvier 1953, la Fox passe commande pour 100 Hypergonars de rapport 2. Les brevets étant déjà dans le domaine public, la Fox acheta des Hypergonars fabriqués avant la guerre, et profita du savoir-faire du professeur Chrétien, ce qui lui permit de prendre de l'avance sur ses concurrents.
L'Hypergonar est composé de deux lentilles cylindriques, dont les génératrices sont parallèles :
une lentille divergente biconcave ;
une lentille convergente plan-convexe.
L'Hypergonar ne dévie pas les rayons situés dans un plan parallèle aux génératrices. Pour les rayons se propageant dans un plan perpendiculaire aux génératrices, il se comporte comme l'association d'une lentille convergente et d'une lentille divergente.
Pour la prise de vue, le dispositif fournit une image virtuelle, l'Hypergonar est donc placé entre l'objectif de la caméra et le sujet.
Le dispositif a ensuite été amélioré pour résoudre les défauts induits : anamorphose dépendant de la distance de prise de vue et problèmes de résolution aux extrémités de l'image.
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Charlie Hebdo est un journal hebdomadaire satirique français fondé en 1970 par François Cavanna et le professeur Choron. Il fait une large place aux illustrations, notamment aux caricatures politiques, et il pratique aussi le journalisme d'investigation en publiant des reportages à l'étranger ou sur les domaines les plus divers : les sectes, les religions, l'extrême droite, l'islamisme, la politique, la culture. Le journal paraît tous les mercredis. Il a publié également des hors-séries à périodicité variable.
Créé en 1970 pour remplacer la version hebdomadaire d'Hara-Kiri, édité par la même équipe et qui venait d'être interdite, il est publié régulièrement jusqu'en 1981. Défenseur acharné de la liberté de la presse, son positionnement politique est celui d'un journal de gauche critique, dans une société profondément marquée par Mai 68. Après un unique numéro en 1982, la parution cesse jusqu'en 1992, date à laquelle une partie des membres de l'ancienne équipe se retrouvent pour relancer Charlie Hebdo avec de nouveaux talents.
La reprise par Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet du Jyllands-Posten, en 2006, a déclenché contre le journal de vives réactions, parfois violentes, dans des pays musulmans. En novembre 2011, le siège du journal est endommagé par un incendie criminel. Le 7 janvier 2015, un attentat perpétré par les frères Kouachi tue douze personnes, dont huit collaborateurs de l'hebdomadaire. Le numéro 1178 dit « des survivants » sort le mercredi suivant, il est tiré à près de huit millions d'exemplaires et le journal passe en moins d'un mois de 10 000 à 220 000 abonnés.
Le 5 mai 2015, le PEN club international a remis à New York le prix du courage et de la liberté d'expression à l'équipe des survivants. L'initiative, chaudement soutenue par Salman Rushdie, a provoqué une controverse aux États-Unis ainsi qu'au Royaume-Uni.
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Maëva Coucke, née le 28 juin 1994 à Fougères, est une reine de beauté française, élue Miss Nord-Pas-de-Calais 2017 puis Miss France 2018. Elle est la 88e Miss France.
Maëva Coucke naît le 28 juin 1994 à Fougères, dans le département de l'Ille-et-Vilaine. Elle grandit dans la commune de Louvigné-du-Désert pendant six ans, puis à Ferques, entre Boulogne-sur-Mer et Calais. Elle effectue sa scolarité à l'école primaire Pierre Mendès France de Marquise et au collège Jean-Rostand de cette même ville, puis au lycée Giraux-Sannier de Saint-Martin-Boulogne.
Son père est gendarme et sa mère est assistante maternelle, dans le Boulonnais. Elle a une sœur aînée, Victoria, et une sœur jumelle, Alizée. Ses parents divorcent alors que Maëva Coucke a 13 ans : sa mère obtient la garde des enfants
Après avoir obtenu un baccalauréat technologique en 2013, puis un BTS commerce international en 2015, elle s'inscrit en première année de licence de droit à Lille à la rentrée 2017.
Elle déclare en 2018 vouloir se lancer dans une carrière d'actrice.
En février 2013, elle est élue Miss Boulogne-sur-Mer. En avril 2014, elle devient Miss Arras Expo. Par la suite, elle devient dauphine de Miss Opale 2014 et de Miss Opale Sud 2016.
Elle est élue Miss Pévèle 2016 ce qui lui donne sa place au concours de Miss Nord-Pas-de-Calais.
À Orchies (Nord), le 23 septembre 2017, elle est élue Miss Nord-Pas-de-Calais 2017.
Le 16 décembre 2017, à Châteauroux, elle est élue Miss France 2018, l'emportant devant Miss Corse avec 29,2 % des suffrages. Elle est la troisième Miss Nord-Pas-de-Calais à devenir Miss France en seulement quatre ans après Camille Cerf (2015) et Iris Mittenaere (2016) alors que la région ne l'avait jamais emporté depuis la création du concours, en 1920.
Durant son enfance, elle pratique la gymnastique, l'escalade, la natation et le basket-ball. Elle est passionnée de mode et de photographie.
Alors que sa mère a souffert d'un cancer du sein en 2012, Maëva Coucke fait connaître son souhait de s'investir dans la lutte contre le cancer du sein. Elle souhaite également défendre la cause de la lutte contre la violence faite aux femmes
Au moment de son élection, elle est en couple depuis trois ans avec un étudiant en médecine.
En juin 2018, la Miss France participe au Rallye des Princesses Richard Mille.
En avril 2018, Maëva Coucke participe à la première étape du rallye automobile Tour Auto Optic 2000.
En avril 2019, elle participe à la 28e édition du Tour Auto, en tant que co-pilote d'Étienne Bruet, à bord d'une Peugeot 504 coupé.
Le 17 septembre 2018, Sylvie Tellier et l'organisation Miss France annoncent que Maëva Coucke sera la représentante de la France à la 68e édition du concours Miss Monde. Le 20 novembre 2018, elle remporte le Top Model Challenge 2018, devenant la première Miss à être qualifiée directement pour le top 30 de la finale de Miss Monde. Le 8 décembre à Sanya, dans le Sud de la Chine, elle termine dans le top 12 de l'élection.
Le 23 septembre 2019, Sylvie Tellier et l'organisation Miss France annoncent que Maëva Coucke sera la représentante de la France à la 68e édition du concours Miss Univers. Le 8 décembre, à Atlanta (États-Unis), en dépit d'une chute lors de la pré-sélection, Maëva Coucke atteint la demi-finale et termine à la 7e place de l'élection .
Synthèse de son parcours
Miss Boulogne 2013, élue le 17 février 2013 à Boulogne-sur-Mer
Miss Arras Expo 2014, élue le 5 avril 2014 à Arras
1re dauphine de Miss Opale Sud 2016, élue le 11 novembre 2016 à Berck
Miss Pévèle 2016, élue le 12 novembre 2016 à Beuvry-la-Forêt
Miss Nord-Pas-de-Calais 2017, élue le 23 septembre 2017 à Orchies
Miss France 2018, élue le 16 décembre 2017 à Châteauroux
Top 12 à Miss Monde 2018, le 8 décembre 2018, à Sanya (Chine)
Top 10 à Miss Univers 2019, le 8 décembre 2019, à Atlanta (États-Unis)
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