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Monde : France

Mais où est donc passée la septième compagnie ?

Mais où est donc passée la septième compagnie ?



Mais où est donc passée la septième compagnie ? est un film français réalisé par Robert Lamoureux, sorti en 1973.



Lors de la débâcle de juin 1940, la septième compagnie de transmission, camouflée dans un bois, est capturée par les Allemands. Seuls trois hommes partis en éclaireurs échappent à l'ennemi : Pithiviers, Tassin et le sergent-chef Chaudard.



Pithiviers, Tassin et le sergent-chef Chaudard établissent une liaison téléphonique entre leur position d'observation et le bois où la 7e compagnie est regroupée. Malheureusement le fil traversant la route, s'étant soulevé lors de l'abattage d'un arbre, bloque une colonne allemande qui a tôt fait de comprendre la situation et d'encercler la 7e compagnie.


S'ensuivent alors de nombreuses tentatives des trois soldats pour ressortir du piège dans lequel ils sont tombés. Ils rencontrent le lieutenant Duvauchel, pilote de chasse dont l'avion a été abattu, et qui prend les commandes du groupe. Par hasard en passant dans une bourgade ils croisent une dépanneuse de chars allemande et sont forcés par une maladresse de Pithiviers de se battre. Surpris par leur présence, les Allemands n'ont pas le temps de répondre et sont tués par Tassin. Les quatre hommes prennent alors le véhicule et pendant leur escapade vers le front, tentent de comprendre le fonctionnement du véhicule, en particulier du canon positionné au-dessus du chauffeur.


Par un pur hasard ils sont aiguillés sur le mauvais chemin et rattrapent une colonne de prisonniers français surveillés par des soldats allemands, qui n'est autre que la 7e compagnie.


Le trio les dépasse et force les Allemands qui les surveillent à avancer plus vite devant leur véhicule, laissant sans surveillance les soldats français, qui s'empressent de disparaitre dans le bois longeant la route. Ainsi la 7e est libérée.
4 ans plus tard, en juin 1944, piloté par le lieutenant Duvauchel, les 3 compères sont parachutés sur la France, Pithiviers a glissé dans l'avion, les entrainant hors de l'appareil.


Le film est 3ème au Box-office français pour l'année 1973 avec 3 944 014 entrées.



Titre : Mais où est donc passée la septième compagnie ?
Réalisation : Robert Lamoureux
Assistant réalisateur : Bernard Toublanc-Michel
Scénario : Robert Lamoureux
Décors : Pierre Cadiou
Photographie : Marcel Grignon
Opérateur : Daniel Vogel
Montage : Gérard Pollicand
Musique : Henri Bourtayre
Effets spéciaux : Jacques Martin
Production : Alain Poiré
Pays d'origine : France
Langue : français
Genre : Comédie, Guerre
Durée : 95 minutes (1 h 35)
Sortie en France : 13 décembre 1973

Distribution

 


Jean Lefebvre : Soldat Pithiviers


Pierre Mondy : Sergent-chef Chaudard
Aldo Maccione : Soldat Tassin
Robert Lamoureux : Colonel Blanchet
Pierre Tornade : Capitaine Dumont
Jacques Marin : L'épicier
Marcelle Ranson-Hervé : Madame Thévenay
Erik Colin : Lieutenant Duvauchel
Paul Bisciglia : Le père
Robert Dalban : Le fermier
Alain Doutey : Carlier
Magali Vendeuil : La mère
Conrad Von Bork : Major Von Kurtel
Corinne Lahaye : Germaine
François Merlet
Pierre Mirat : Le curé
Raymonde Vattier
Florence Blot : La doctoresse
Michel Duchezeau : Le soldat
Jean-Claude Houdinière : Le lieutenant
Rudy Lenoir : L'adjudant
Paul Mercey : Le boulanger
Gwenael Rapenne : Le collabo





Le succès du film a amené deux suites :
– 1975 : On a retrouvé la septième compagnie de Robert Lamoureux ;
– 1977 : La Septième Compagnie au clair de lune de Robert Lamoureux.
Le scénario situe les héros dans la forêt de Machecoul. En réalité, le film n'a pas été tourné à Machecoul ; la majorité des scènes ont été tournées dans les environs de Cerny et La Ferté-Alais, ainsi que vers Jouars-Pontchartrain et Rochefort-en-Yvelines. La célèbre scène de l'épicerie a quant à elle été tournée à Brie-Comte-Robert.
La scène du combat aérien de Duvauchel a été très probablement tournée près de la Ferté Allais, où se situe la collection d'avions anciens de Jean Salis. Comme il n'existe plus aucun avion de chasse français de 1940 en état de vol, c'est encore le North American T.6, petit avion d'entrainement de 1938, qui assume le double rôle d'un avion français et de ses adversaires allemands, tout est dans la peinture! Le T.6 est l'avion star, et devient, à la demande, allemand, français, japonais, etc... dans tous les films de guerre d'une bonne moitié de siècle.
Robert Lamoureux a écrit son film par rapport à son histoire personnelle vécue pendant la débâcle de juin 1940.


La scène finale du parachutage est basée sur un fait réel : 58 parachutistes de la France libre furent parachutés en Bretagne par groupes de 3, dans la nuit du 7 au 8 juin 1944 pour neutraliser le réseau ferré breton dans le cadre du débarquement en Normandie, 2 jours auparavant. Avec cette réserve que les héros du film sautent en plein jour, et sont vêtus d'uniformes américains, alors que les paras de la France Libre étaient en anglais.

 

 

 

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Zorro (1975)

Publié à 02:47 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center photo bande centerblog sur merci france musique film
Zorro (1975)




Zorro est un film franco-italien réalisé par Duccio Tessari en 1975.

Au XIXe siècle, dans le Nuevo Aragon, Diego, un jeune noble apparemment inoffensif, s'oppose au colonel Huerta, tyran local, en devenant Zorro, un héros masqué encourageant les pauvres paysans à la révolte.

Fiche technique

Titre : Zorro
Réalisation : Duccio Tessari
Scénario : Giorgio Arlorio
Musique : Oliver Onions
Date de sortie : En France mai 1975, aux États-Unis juin 1976



Distribution
 


Alain Delon: Diego / Zorro

Stanley Baker : colonel Huerta
Ottavia Piccolo : Hortensia
Moustache : sergent Garcia
Enzo Cerusico : Joaquin
Giacomo Rossi Stuart :
Giampiero Albertini :
Marino Masé : Miguel Vega de la Serna
Rajka Jurcec :
Adriana Asti :


Bande originale ou chansons du film

Zorro is back : composé et interprété par Oliver Onions
 
 

 

 

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Lui (magazine)

Lui (magazine)

Lui dans le groupe Filipacchi (1963 – 1994)


L'objectif de l'ex-photographe de Paris Match devenu éditeur de presse (Salut les copains) avec Jazz Magazine racheté à Eddie Barclay était de réaliser un mensuel de charme de qualité, « à la française ». Ce magazine, fortement inspiré de Playboy eut énormément de succès de 1963 au début des années 1980, avec les photographies de nombreuses starlettes françaises dénudées, mais aussi de quelques actrices de premier plan, telles que Brigitte Bardot, Mireille Darc, Jane Birkin ou Marlène Jobert (la première fille à poser en couverture fut Valerie Lagrange (le numéro 1 parut le 01/11/63)) photographiées par Francis Giacobetti, futur réalisateur de Emmanuelle 2. Son slogan était « Lui, le magazine de l'homme moderne ». On peut aussi noter la parution dans le magazine d'une bande dessinée de Lauzier : Les Sextraordinaires Aventures de Zizi et Peter Panpan. Dans les premiers collaborateurs, on retrouve Jean-Louis Bory, René Chateau, Philippe Labro, Francis Dumoulin, Francis Giacobetti, Siné, Michel Mardore, Aslan, Gilles Sandier, et bien d'autres.

À ses débuts, Lui s'était doté d'une mascotte, une tête de chat, l'équivalent pour le magazine du lapin de Playboy. Elle disparut au début des années 1970.

Le premier âge d'or de la revue coïncida avec l'arrivée au poste de rédacteur en chef de Marcel Duhamel, fondateur de la Série noire. Les pages de charme se firent plus explicites, mais il n'y eut pas d'escalade véritable. Montrer la pilosité pubienne d'une star aux seins nus, dans une revue grand public, passait alors pour audacieux. Marcel Duhamel reprit dans les titres de présentation des pages de charme le type de jeux de mots qu'il utilisait dans le cadre de la Noire (des exemples entre cent : « Marie ravie au lit », « Pascale, une penchée émue », « Bons baisers de Lucie » voire « Maud de Paris »).

Jacques Lanzmann contribua à faire du magazine « osé » (où les filles nues gardaient jambes serrées) un journal aux vulgarités malicieuses, de bonne tenue rédactionnelle.

Vers la fin de cette époque, plusieurs tentatives eurent lieu pour changer la formule de Lui et relancer le titre, efforts qui aboutirent à la seconde série et la parution en deux cahiers à partir de fin 1987. On peut citer le changement du slogan, devenu « Lui, la défonce de l'homme moderne » pour quelques numéros et des apparitions de pilosités pubiennes sur la photo de couverture.

Le dernier numéro de la première série, le numéro 285, fut publié en novembre 1987.

La revue avait une excellente rubrique cinéma, d'abord tenue par François Truffaut, puis par Michel Mardore dont le style élégant et la justesse d'analyse fit merveille.

Des interview atypiques ont été alors réalisées par René Chateau: Sugar Ray Robinson, Alain Delon, Jean-Pierre Melville, Jean-Luc Godard et Jean-Paul Belmondo.

La revue publia également des textes inédits, dont un de Boris Vian, intitulé "le cinéma assassiné" (dans le numéro 11, de novembre 1964) sur la sclérose de la création cinématographique, présenté par Michel Mardore.

Le mensuel, très diffusé, réputé polisson bon chic - bon genre, connut un grand succès au cours des années 1960-70, sous l'égide de Régis Pagniez, directeur artistique et créateur de Salut les Copains, de Jean Demachy et de Jean-Pierre Binchet. Les nus, qui parurent vite fort sages, en raison de l'avènement du porno, étaient réalisés en studio à Paris, rue des Acacias, avec des modèles de l'Agence Catherine Arley. Ces modèles pouvaient être très jeunes, Anaïs Jeanneret fut Fille du mois à quinze ans.

Le magazine, qui cultivait volontiers le second degré, publiait de longues interviews d'hommes politiques et de personnalités « sérieuses » (Michel Durafour, Valéry Giscard d'Estaing, Michel Rocard...). Il faisait la part belle à la gastronomie et au vin (chroniques de Jacques-Louis Delpal) et publia des photos de chefs et de viticulteurs demeurées célèbres : très mises en scène, en studio à Paris, mais aussi en extérieurs (Alsace, Champagne, Bordeaux et dans le Gers), elles étaient le fait du photographe Francis Giacobetti qui signait ses sujet "charme" du nom de Frank Gitty.

Outre la fille nue au centre du magazine (la Fille du mois), il comportait une très populaire pin-up d'Aslan (rubrique Les filles qu'on épingle, traduction libre de pin up).

Le célèbre verbicruciste (à l'époque) Roger La Ferté y proposait chaque mois une grille de mots croisés aux définitions coquines, sous le titre "Les mots croisérotiques". Exemple de définition : "On y voit la lune dans l'eau"....pour le mot "bidet".

Une autre rubrique, la Défonce du Consommateur d'Éric Colmet-Daage, futur directeur de Photo, présentait chaque mois des objets insolites et originaux. Il y eut plusieurs hors-série de Lui consacré à ces objets.
C'est aussi dans ce cadre que Francis Dumoulin imagina la Renault Le Car Van, garçonnière roulante dérivée de la Renault 5 et produite (1979 - 1983) à 450 exemplaires par Heuliez.

La seconde série fut publiée par le groupe Filipacchi de 1987 à 1994. Elle a vu paraître 69 numéros. Son rédacteur en chef fut Stéphane de Rosnay en 1989, puis Brice Couturier de 1990 à 1992.

Au départ, sa spécificité par rapport à la première série était qu'elle était publiée en deux cahiers, la partie "charme" se trouvant ainsi jusqu'en 1989 dans le second cahier. À partir du numéro 27, Lui revient à un magazine unique et le slogan devient "Le magazine de l'homme civilisé". La diffusion qui était au début des années 1980 de 350 000 exemplaires tombe à 70 000 exemplaires en 1993. Début 1993, le magazine abandonne la diffusion mensuelle et devient bimestriel. Le groupe Filipacchi arrête la parution en juin 1994.


Éditions étrangères
Lui a essaimé des éditions à l'étranger, comme son modèle américain Playboy
Édition allemande (1977 – 1992) - « Für Männer mit Lebensart »
Édition italienne (1970 - 1986?) - « Il mensile dell' uomo moderno »
Édition espagnole (1977 - 1978?)
Édition brésilienne (1973?)
Édition américaine (1972 - ) sous le nom de Oui - « For the man of the world »


Oui a été créé par Playboy en 1972 et était au départ conçu comme un concurrent de Penthouse. Son slogan était « Oui, for the man of the world ». Il a depuis changé de mains en 1981 et est devenu dans les années 2000, comme son inspirateur français, une revue pornographique.

Lui sous Michel Birnbaum (1995 – 2006)


Le titre fut repris de 1995 à 1997 (14 numéros) et baptisé Le Nouveau Lui par Michel Birnbaum, créateur et propriétaire du holding Altinea. L'objectif était de revenir aux fondamentaux de Lui, censé pouvoir rester en évidence dans les foyers, sans effrayer ou choquer les enfants. La couverture du premier numéro était consacrée à Mademoiselle Agnès. Le magazine redevint mensuel et le graphisme historique du titre Lui fut modernisé. C'est dans cette série que pour la première fois, la couverture de Lui fut consacrée à un homme seul, sans modèle féminin l'accompagnant. Cette tentative de relancer Lui fut un échec. Le dernier numéro paraît en février 1997 avec Eva Herzigová en couverture.


Le magazine actuel publié depuis 2001 est un trimestriel à caractère pornographique. Son slogan est "L'Officiel de la photo de charme". Il est publié par la société 1633 dont le président et unique actionnaire est Michel Birnbaum. Patrick Guérinet fut directeur de la rédaction délocalisée à Marseille jusque 2010. Mais en septembre 2010, avec le départ de Guérinet, la presse de charme de la société 1633 repart à Paris. François de Guillebon prend la direction éditoriale des titres de 1633 en juillet 2010


Avant 1963, un autre magazine léger avait porté le même titre (vers 1960).

 



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Lui (magazine)

Publié à 21:54 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog fond sur roman france monde presse femmes merci
Lui (magazine)

 


Lui est un magazine masculin de charme créé en novembre 1963 par Daniel Filipacchi et Frank Ténot, avec les bénéfices de Salut les copains. Très populaire jusqu'au début des années 1980, avec un contenu mêlant articles de fond et jolies femmes dénudées, souvent célèbres, il entame un long déclin qui mène à l'arrêt de la parution en 1994. Passé aux mains du groupe de presse de Michel Birnbaum, après une relance éphémère, il est devenu un magazine pornographique à la diffusion épisodique.

 



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Lui : Célébrités nues

Publié à 21:45 par dessinsagogo55 Tags : roman sur centerblog presse center isabelle sommaire merci monde france
Lui : Célébrités nues

Célébrités nues dans Lui

Lui est un magazine masculin français créé en novembre 1963 et paru jusqu'en 1994.


Liste des célébrités ayant posé nues pour la revue LUI
Numéro
(Photographe)

Avril 1968 - N°52
Ursula Andress (John Derek) 32 ans

Brigitte Bardot (Sam Levin) 33 ans


Novembre 1968 N° 58
Pascale Petit 30 ans


Décembre 1968 N° 59
Mireille Darc  (Francis Giacobetti) 30 ans


Janvier 1969 N° 60
Brigitte Bardot ? 34 ans


Mars 1969 N° 62
Jane Fonda (Francis Giacobetti) 31 ans


Juin 1969 N° 65
Brigitte Bardot ? 34 ans
Mireille Darc ? 31 ans
Sophie Agacinski (Frank Gitty) 25 ans


Septembre 1969 N° 68
 Brigitte Bardot (Dussart/Vigeveno/Sauer) 35 ans


Novembre 1969 N° 70
Catherine Rouvel ( Frank Gitty/Giancarlo Botti) 30 ans


Décembre 1969 N° 71
Jane Birkin (Frank Gitty) 23 ans


Juin 1970 - N° 77
Marie-France Boyer (Francis Giacobetti) 31 ans



Octobre 1970 - N° 81
Patti D'Arbanville (Frank Gitty) 20 ans


Décembre 1970 N° 83
Nathalie Delon (Francis Giacobetti) 30 ans

 

Janvier 1971 N° 84
Marisa Berenson (Arnaud de Rosnay) 23 ans

Mars 1971 N° 86
Elke Sommer (Joe Hyams) 30 ans


Mai 1972 N° 100
Marlène Jobert ( J.P. Bonnotte) 28 ans

Octobre 1972 N° 105
Karin Schubert ( Frank Gitty) 27 ans

Novembre 1972 N° 106
Marie-Christine Barrault (André Valmont) 27 ans


Janvier 1973 N° 108
 Catherine Deneuve (David Bailey) 29 ans
Maria Schneider (Raymond Depardon) 20 ans


Octobre 1973 N° 117
Lisette Malidor (François Trojani) 28 ans


Décembre 1973 N° 119
Romy Schneider (Emil Perauer) 35 ans




Mai 1974 N° 124
Sydne Rome (Emilio Lari) 23 ans
Sylvia Kristel (Arthur Dorka) 21 ans

Octobre 1974 N° 129
Christine Boisson (Vernon Matisse) 18 ans


Décembre 1974 N° 131
Jane Birkin (Frank Gitty) 28 ans


Janvier 1975 N° 131
Elisa Servier (Michel Van Bever) 19 ans


Fevrier 1975 N° 133
Dani (Benjamin Auger) 30 ans


Mars 1975 N° 134
Sylvia Kristel (Francis Giacobetti) 22 ans


Mai 1975 N° 136
Anicée Alvina (Sacha) 22 ans


Juin 1975 N° 137
Corinne Cléry (Frank Gitty) 25 ans


Décembre 1975 N° 143

Emmanuelle Arsan (Léonard De Remy)

Sylvia Kristel (Francis Giacobetti) 23 ans


Janvier 1976 N° 144
Ursula Andress ( Angelo Frontoni) 39 ans


Avril 1976 N° 147
Dayle Haddon (Alberta Tiburzi) 26 ans


Décembre 1976 N° 155
Tina Aumont (S. Carter) 30 ans


Février 1977 N° 157
Joëlle (du groupe Il était une fois) (Francis Giacobetti) 24 ans


Mars 1977 N° 158
Stone (de Stone et Charden) (G. Lombardi) 29 ans


Novembre 1977 N° 166
Amanda Lear (Richard Schroeder) 31 ans
Sydney Rome (Emilio Lari) 26 ans


Août 1978 N° 175
Odile Michel (André Valmont) 19 ans


Octobre 1978 N° 177
Marie-Hélène Breillat (H. Zuber) 31 ans


Janvier 1979 N° 180
Marlène Jobert(Fabian) 35 ans


Avril 1979 N° 183
Herma Vos (Frank Gitty) 22 ans


Mai 1979 N° 184
Dani (H. Zuber) 34 ans


juin 1979 N° 185
Grace Jones (Jean-Paul Goude, Torkil Gudnarsson, Jeb) 31 ans


Décembre 1979 N° 191
Bernadette, Pauline et Élisabeth Lafont (Frank Gitty) 41, 16 et 19 ans




Avril 1980 N° 195
Nastassja Kinski (Sygma) 20 ans

Mai 1980 N° 196
Bo Derek (John Dereck) 23 ans


Décembre 1980 N° 203
Anicée Alvina (Frank Gitty) 26 ans


Mars 1981 N° 206
Clio Goldsmith (Sygma) 23 ans
Petra Nussbaum (Frank Gitty) 24 ans


Mai 1981 N° 208
Véronique Genest (Frank Gitty) 24 ans


Juillet 1981 N° 210
Sylvia Kristel  (Francis Giacobetti) 28 ans


Août 1981 N° 211
Sophie Favier (couverture uniquement) ? 17 ans


Septembre 1981 N° 211
Sophie Favier (Eric Hérak) 18 ans


Décembre 1981 N° 215
Isabelle Huppert (Giovanni Da Ponte) 28 ans


Janvier 1982 N° 216
Aurore Clément (Marianne Hass) 36 ans


Février 1982 N° 217
Bambou (Serge Gainsbourg, Richard Schroeder) 22 ans


Avril 1982 N° 219
Catherine Alric (Frank Gitty) 28 ans


Mai 1982 N° 220
Ariane Lartéguy ?


Juin 1982 N° 221
Valérie Kaprisky(Raoul Ahoup) 19 ans


Septembre 1982 224
Herma Vos (Marc Robin, Aldo Martinez ) 26 ans


Novembre 1982 N° 226
Sophie Duez (Frank Gitty) 20 ans


Décembre 1982 N° 227
Nicole Calfan (Mireille Darc) 35 ans


Janvier 1983 N° 228
Christine Boisson (Irina Ionesco) 26 ans


Mars 1983 N° 230
Anaïs Jeanneret ( Frank Gitty) 15 ans


Avril 1983 N° 231
Anne Parillaud (Michel Ginfray) 22 ans


Juin 1983 N° 233
Pauline Lafont (Richard Schroeder) 20 ans


Juillet 1983 N° 234
Amanda Lear (Rocky/Frontoni/Sipa) 36 ans


Août 1983 N° 235
Valérie Kaprisky (Raoul Ahoup) 21 ans


Octobre 1983 N° 237
Anne Parillaud (F.F.C.M) 23 ans


Avril 1984 N° 243
Fiona Gélin (Mireille Darc) 21 ans


Juin 1984 N° 245
Florence Guérin (Elvis Conti) 19 ans


Septembre 1984 N° 248
Herma Vos (Marc Robin, Aldo Martinez) 28 ans


Novembre 1984 N° 250
Sophie Duez (Francis Giacobetti) 22 ans


Décembre 1984 N° 251
Bo Derek (John Dereck) 28 ans


Janvier 1985 N° 252
Sophie Favier  (Raoul Ahoup) 21 ans


Mars 1985 N° 254
Florence Guérin (Elvis Conti) 19 ans


Avril 1985 N° 255
Anaïs Jeanneret (Martin Kruger) 17 ans


Juillet 1985 N° 258
Dalila Di Lazzaro (Frontoni) 32 ans


Septembre 1985 N° 260
Bambou ? 26 ans


Décembre 1985 N° 263
Agnès Soral (M. Haas) 25 ans


Mai 1986 N° 268
Amanda Lear (Rocchi) 39 ans


Juillet 1986 N° 270
Valérie Steffen (Jean-Pierre Bourgeois) 22 ans

Décembre 1986 N° 275
Samantha Fox (Philip Raymond ) 20 ans


Juillet 1987 N° 282
Florence Guérin (Eric Neveu) 22 ans


Août 1987 N° 283
Olivia Dutron (Michel Moreau) 30 ans


Septembre 1987 N° 284
Jeane Manson (Francis Giacobetti) 36 ans


Décembre 1987 N° 2 (Nouvelle série)
Géraldine Danon (Jeanloup Sief) 19 ans

Janvier 1988 N° 3
Fiona Gélin (Byron Newman) 25 ans


Février 1988 N° 4
Danièle Gilbert (Thierry De Héry ) 44 ans


Avr
il 1988 N° 6

Sabrina ( Mimmo Cattarrichi) 20 ans


Août 1988 N° 10
Florence Guérin ? 23 ans

Novembre 1988 N° 13
Véronique Mourousi (Francis Giacobetti) 27 ans
Gloria Lasso (Gilb
ert Moreau) 66 ans


Avril 1990 N° 30
 Sophie Marceau23 ans

Mai 1990 N° 31
Julie Pietri 33 ans

 



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Hélène Boucher

Hélène Boucher

 

 

Hélène Boucher (Paris, 23 mai 1908 - Guyancourt, 30 novembre 1934) est une aviatrice française. Elle a battu de nombreux records de vitesse.


Hélène Antoinette Eugénie Boucher est la fille de Léon Boucher, architecte parisien, et de Élisabeth Hélène Dureau. Dès son enfance, elle reçut le surnom de Léno qu'elle gardera toute sa vie. À 22 ans, Hélène Boucher décide de devenir aviatrice et deviendra l'élève de Henri Farbos, pilote français (fondateur de l'aéroclub des Landes de Mont-de-Marsan en 1928). Elle passe son baptême de l'air le 4 juillet 1930, à l'âge de 22 ans.

En 1934, elle s'engage avec les aviatrices Maryse Bastié et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises au côté de Louise Weiss.

Elle prend son premier cours de pilotage en mars 1931 et obtient son brevet de pilote en juin 1932. Dès juillet 1932, elle participe au rallye aérien Caen - Deauville, son avion mal préparé tombe en panne et elle doit dans l'urgence se poser. L'avion reste accroché dans les branches d'un arbre, mais Léno s'en sort sans blessure.
Elle poursuit ses participations aux manifestations : le raid Paris - Saïgon au début de l'année 1933, les 12 heures d'Angers en juillet 1933 (avec Edmée Jarlaud comme passagère5) et le 2 août premier record du monde, celui d'altitude féminin, avec 5 900 mètres.

En septembre 1933, elle se lance dans l'acrobatie aérienne. Michel Détroyat, son moniteur, déclare au terme de sa formation : « Dans quelques mois, elle sera la meilleure acrobate du monde ! »

En juin 1934, Hélène Boucher signe un contrat avec la nouvelle société Caudron-Renault. C'est François Lehideux, patron de Renault de l'époque, qui décide de son embauche. Avec ce contrat elle obtient, outre un salaire assurant son indépendance financière, des moyens techniques lui permettant de donner le meilleur d'elle-même.

Le 8 août 1934, aux commandes d'un Caudron-Renault, Hélène Boucher enlève d'une part le record de vitesse sur 100 km à 412 km/h et d'autre part le record des 1 000 km à la moyenne de 409 km/h (Maurice Arnoux détenait l'ancien record avec 393 km/h). Le 11 août, elle s'adjuge le record du monde féminin à 445 km/h.
Par ailleurs, la société Renault est sous contrat avec Hélène Boucher pour promouvoir sa voiture sport de prestige, la Vivasport 6 cylindres. C'est Marcel Riffard, chef du bureau d'études Caudron-Renault et concepteur du Caudron Rafale, qui a dessiné la Renault Viva Grand Sport (appelée « Vivastella Grand Sport » avant 1935).

Le 30 novembre 1934, Hélène Boucher se tue lors d'un vol d'entraînement sur l'aérodrome de Guyancourt aux commandes d'un Caudron C.460 Rafale. La presse évoque une perte de vitesse à l'atterrissage, l'avion accroche la cime des arbres au-dessus du bois de la croix de Magny-les-Hameaux et s'écrase.

Ce sont les pilotes Raymond Delmotte, Fouquet et Goury, témoins de l'accident, qui arrivent les premiers sur les lieux. Hélène Boucher, gravement blessée, est évacuée vers l'hôpital de Versailles. Elle décède dans l'ambulance dans la côte de Satory à Guyancourt.


Première femme à recevoir un tel honneur, une cérémonie a lieu dans la chapelle Saint-Louis-des-Invalides où son cercueil est exposé pendant 2 jours. Hélène Boucher est décorée, à titre posthume, de la Légion d'honneur avec la citation suivante :

« Pilote aviatrice : 3 ans de pratique professionnelle. »
« Pilote de haute classe, a mis au service de l'aviation française sa foi ardente et son audace réfléchie. »
« A donné toute sa mesure au cours de sa brève carrière. »
« Victorieuse de nombreuses compétitions, a ramené six records à la France, en particulier le record international vitesse toutes catégories sur 1 000 km avec 409 km/h. »
« A donné sa vie à la cause qu'elle avait vaillamment défendue. »
« A été citée à l'ordre de la nation. »

Elle repose au cimetière de Yermenonville, où elle passa sa jeunesse.
En 1934, elle fut lauréate du Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports, en tant que femme à la performance sportive la plus remarquable de l'année écoulée.

La Poste française a émis, en 1972, un timbre à l'effigie d'Hélène Boucher et de Maryse Hilsz (Prix Monique Berlioux de l'Académie des sports en 1936).

De nombreux équipements publics, voies, établissements d'enseignement portent son nom.

 
 
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Maryse Bastié

Maryse Bastié

 

 

Maryse Bastié, née Marie-Louise Bombec, aviatrice française née le 27 février 1898, à Limoges (France), morte le 6 juillet 1952 à Bron. Elle fut la première aviatrice française à décrocher de nombreux palmarès. Ses exploits furent très rapidement médiatisés. Nombre d'établissements scolaires, rues et avenues portent aujourd'hui son nom.



Orpheline de son père à l'âge de 11 ans, la petite Marie-Louise Bombec fut une enfant difficile. Adolescente, elle est ouvrière dans une usine de chaussures comme piqueuse sur cuir. Elle se marie une première fois et a un fils qui meurt très jeune. Divorcée, elle se remarie avec son filleul de guerre, le lieutenant pilote Louis Bastié, originaire de Fiac, petit village proche de Toulouse. C'est à ses côtés qu'elle se découvre une passion pour l'aviation. Le 29 septembre 1925, elle obtient son brevet de pilote sur la station aérienne de Bordeaux-Teynac, qui deviendra plus tard l'aéroport de Bordeaux-Mérignac. Une semaine après, elle passe avec son avion sous les câbles du pont transbordeur de Bordeaux. Mais l'année suivante, son mari Louis Bastié, trouve la mort dans un accident d'avion. Loin de se décourager, Maryse Bastié devient monitrice de pilotage : l'aventure dure six mois et s'arrête avec la fermeture de son école de pilotage.

Maryse Bastié
Affiche d'une réunion en faveur du droit de vote pour les femmes avec projection d'un film où Maryse Bastié apporte son concours à la campagne féministe.

Montée à Paris, elle donne des baptêmes de l'air et fait de la publicité aérienne. Elle décide d'acheter son propre avion, un Caudron C.109 à moteur de 40 ch. Comme elle n'a pas d'argent pour le faire voler, le pilote Drouhin va l'aider à financer sa passion. Le 13 juillet 1928, il lui offre le poste de premier pilote. Elle établit alors avec lui un premier record féminin homologué de distance (1 058 km) à Treptow, en Poméranie.

En 1929, elle établit un nouveau record de France féminin de durée de vol, de 10 h 30, et un record international féminin de durée avec 26 h 44. Ce record lui est repris le 2 mai 1930 par Léna Bernstein 35 h 45). Bien décidée à le récupérer, elle décolle le soir du 2 septembre 1930 et se pose le 4 après 37 h 55 de vol. Elle a lutté jusqu'à l'épuisement contre le froid et le manque de sommeil. Elle établit ensuite un record de distance avec 2 976 km sur le parcours Paris - Uring (URSS). Pour cet exploit, à son retour, elle reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur et le Harmon Trophy (en) américain décerné, pour la première fois, à une Française.

En 1935 elle crée, à Orly, l'école « Maryse Bastié Aviation ». Encouragée par Mermoz, qui lui a fait faire avec lui un aller-retour, elle s'attaque à la traversée de l'Atlantique Sud. Un mois à peine après la disparition de Mermoz, le 30 décembre 1936, elle traverse l'Atlantique de Dakar à Natal, seule à bord d'un Caudron Simoun.

Dès 1934, elle s'engagera avec Hélène Boucher et Adrienne Bolland dans le combat féministe et devient militante pour le vote des Françaises, en soutenant Louise Weiss qui se présentait aux élections législatives de 1936 dans le 5e arrondissement de Paris.

Lors de l'offensive allemande de mai 1940, elle offre ses services à la Croix-Rouge, notamment auprès des prisonniers français regroupés au camp de Drancy. Lors du départ d'un train vers l'Allemagne, elle est bousculée par une sentinelle allemande et se fracture le coude droit. Elle en garde une invalidité et ne pilote plus. Sous couvert de son activité à la Croix-Rouge, elle recueille des renseignements sur l'occupant.
En 1951, elle entre au service de relations publiques du Centre d'essais en vol. Lors d'une de ses missions, elle trouve la mort dans l'accident d'un Noratlas, après un meeting aérien à l'aéroport de Bron près de Lyon, le 6 juillet 1952.

Maryse Bastié est enterrée à Paris, au cimetière du Montparnasse. Elle était capitaine de l'armée de l'air et totalisait 3 000 heures de vol. De nombreux établissements scolaires français portent son nom. Un timbre-poste à son effigie a été émis. Elle s'est déclarée convaincue de l'utilité de l'espéranto dans l'aviation

Quelques records

En 1930, elle bat le record de durée féminin international en 37 heures 55 minutes.
En 1931, elle s'empare du record féminin international de distance, avec 2 976 kilomètres.
En 1936, elle réalise la traversée féminine de l'Atlantique Sud en 12 heures 5 minutes.


Honneurs

Croix d'honneur du Mérite Civique (1931)
Ordre de l'Étoile rouge (URSS, 1931)
Chevalier de l'ordre de la Croix du Sud (Brésil, 1937)
Officier de l'ordre national du Mérite (1937)
Médaille d'or du Progrès (ou médaille des pionniers, 1937)
Plaque de vermeil de l'Aéro-Club de France (1937)
Ordre de l'Étoile de Roumanie (1937)
Médaille d'or de l'éducation physique (1937)
Commandeur de l'ordre de l'éducation nationale (Palmes académiques, 1937)
Croix du Mérite du Chili (1938)
Croix de l'Aviation (Pérou, 1938)
Ordre de Simon Bolivar (Venezuela, 1938)
Croix de saint Olaf (Norvège, 1940)
Commandeur de la Légion d'honneur (1947, chevalier en 1931)
Croix de guerre 1939-1945 avec palme
Médaille de la Résistance
Médaille de l'Aéronautique
Commandeur de l'ordre royal du Cambodge
Citation à l'ordre de la Nation
Son nom est donné à un lycée de Limoges, à un collège de Nantiat et à un collège de Dole.
Un monument de Félix Joffre en son honneur est dressé dans le square Carlo Sarrabezolles à Paris.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

 

   
   
   
   
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Reçu pour solde de tout compte en France

Publié à 20:08 par dessinsagogo55 Tags : signature center centerblog sur merci france article travail


Le reçu pour solde de tout compte est un document remis, en France, par l'employeur à un salarié à la fin de son contrat de travail, et en même temps que le certificat de travail et l'« attestation pôle emploi ». Ce document récapitule les sommes qui restent à payer à l'employé avant son départ (salaire, heures supplémentaires, indemnités de congés payés...). Il est signé après avoir reçu les sommes qui y figurent ; les sommes étant versées après la notification de rupture du contrat.


Aspects juridiques

Selon le ministère du travail, le reçu pour solde de tout compte est obligatoire. Cette interprétation est contestable, et n'est pas partagée par tous. Le solde de tout compte, établi par l'employeur, et dont le salarié lui donne reçu, « fait l'inventaire des sommes versées au salarié lors de la rupture du contrat de travail. » . Ce reçu peut être dénoncé dans les six mois qui suivent la signature, délai au delà duquel il devient libératoire pour l'employeur des sommes qui y sont mentionnées, ce qui veut dire que le salarié considère que les sommes figurant sur le reçu à titre de salaires ou d'indemnités correspondent à ce qui lui est dû. Aucune réclamation n'est plus possible à ce titre après ce délai. Bien qu'aucune jurisprudence ne semble être encore intervenue sur ce point, il est vraisemblable que le salarié puisse encore réclamer après l'expiration du délai de six mois des sommes ne figurant pas sur le reçu (indemnisation de la clause de non-concurrence, indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse...).
Selon l'article D. 1234-7, le reçu pour solde de tout compte est établi en double exemplaire. Mention en est faite sur le reçu. L'un des exemplaires est remis au salarié.
Si le reçu pour solde de tout compte est dénoncé, il doit l'être par lettre recommandée D. 1234-8.

 

 

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Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Émile Gallé

Publié à 19:46 par dessinsagogo55 Tags : center poésie dessin artiste photo livre centerblog sur merci vie monde animaux homme fond art enfant
Émile Gallé

Émile Gallé, né à Nancy le 4 mai 1846 et décédé dans la même ville le 23 septembre 1904, est un industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste français. Il est fondateur et premier président de l'École de Nancy en 1901.




Enfant de l'Art et du commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués à son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. C'est également un précurseur en matière de génétique et d'évolution concernant le monde végétal, ses travaux méconnus du grand public sont d'une grande pertinence puisqu'ils précèdent ceux de Mendel et en annoncent pourtant les grandes lignes. À la porte de son atelier de Nancy on pouvait lire cette devise : « Ma racine est au fond des bois. ».



Son père, Charles Gallé (1818-1902), est déjà d'une envergure peu commune. Artiste peintre, il maîtrise l'art délicat de l'émail mais, après son mariage avec Fanny Reinemer issue d'une famille de négociants en faïences et cristaux, il lance l'entreprise familiale dans une production propre et y rencontre le succès. C'est dans cette ambiance éclectique qu'Émile recevra une éducation à la fois attentive et audacieuse.
Après des études secondaires à Nancy couronnées du baccalauréat, il va en 1865 apprendre l'allemand à Weimar et y poursuit des études de minéralogie. C'est ensuite l'apprentissage des métiers du verre et de la céramique à Meisenthal. Son approche n'est pas simplement théorique et Émile ne craint pas de s'initier au soufflage. Il adjoint à cela de bonnes connaissances en ébénisterie et surtout la passion familiale pour les sciences naturelles et plus particulièrement pour les plantes qui l'amène au dessin.




Émile Gallé mène une vie simple, voire austère. Il effectue des études sur les plantes, les animaux, les insectes. Quelques fois, il seconde son père. Le soir, il lit des recueils de poésie. Cette influence sera notable surtout vers 1882, quand il aura assimilé les différentes expériences de sa jeunesse. De 1884 à 1889, il cristallise ses idées dans son livre Écrits pour l'Art.
Gallé est moins connu pour son engagement social, notamment avec son ami, le botaniste Georges Le Monnier. Humaniste convaincu, il est un des fondateurs de l'Université populaire de Nancy et devient trésorier de la Ligue française pour les droits de l'homme. Il condamne publiquement le génocide arménien, défend les Juifs de Roumanie et, malgré les risques commerciaux, est le premier à défendre publiquement Alfred Dreyfus.

 



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Evénements sportifs en France

Publié à 19:40 par dessinsagogo55 Tags : hiver paris jeux center france monde sport 2010 centerblog sur merci

Le sport en France est caractérisé par une tradition sportive ancienne et une grande variété de disciplines pratiquées à haut niveau. La France a un rôle prépondérant dans l'organisation du sport modernenote 35 et son palmarès, depuis la fin du xxe siècle, en fait l'une des meilleures nations au monde dans de nombreux sports. Pour l'année 2010, la France est cinquième du classement mondial établi par Havas Sports & Entertainmentnote 36 qui comptabilise plus de 1 500 événements sportifs.


Le football est le sport le plus populaire, avec plus de 2,3 millions de licenciés (dont 97 % d'hommes), une popularité accrue par la double victoire de la France lors de la coupe du monde en 1998 puis du championnat d'Europe en 2000. Le tennis (deuxième sport en termes de licenciés), l'équitation, les arts martiaux, le basket-ball, le handball et le golf sont également très pratiqués, sans oublier le rugby et la pétanque, essentiellement dans le sud du pays.
Près de sept millions de Français pratiquent le ski chaque hiver, le plus souvent en dehors de toute organisation sportive. Quant à l'escrime et au cyclisme, il s'agit des disciplines dans lesquelles la France est la plus titrée (respectivement 44 et 41 titres olympiques après les Jeux de Vancouver en 2010).
Le tournoi de tennis international de Roland Garros à la porte d'Auteuil à Paris et le Tour de France cycliste sont des événements annuels importants, ainsi que l'Euro de football attendu en 2016.

 

 

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