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Monde : France

Marquise de Sévigné

Marquise de Sévigné

 

 

 

Marie de Rabutin-Chantal, connue comme la marquise ou, plus simplement, Madame de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris à la paroisse Saint-Paul, et morte le 17 avril 1696 au château de Grignan (en Provence), est une épistolière française.

 

Les lettres qu'elle écrivit à sa fille, Madame de Grignan, sont devenues un incontournable de la littérature française.

 

Elles constituent également une source remarquable de l'analyse des relations intergénérationnelles et de leur histoire.

 

Biographie

Origine et famille

 

Fille d'un gentilhomme bourguignon Celse-Bénigne de Rabutin (1596-1627), baron de Chantal, et d'une fille de financier Marie de Coulanges (1603-1633), son épouse, elle naît à l'hôtel Coulanges, domicile de ses grands-parents maternels, Philippe Ier de Coulanges (1565-1636) et Marie née de Bèze (1576-1634), au n° 1 bis de la place Royale (actuellement entre le 1 bis place des Vosges et le 11 bis, rue de Birague) en plein cœur de la capitale, où demeurent alors ses parents. Baptisée le lendemain, 6 février, à l'église Saint-Paul de Paris, son certificat d'ondoiement ou de baptême révèle qu'elle a pour parrain Charles Le Normand, seigneur de Beaumont, « maître de camp d'un vieux régiment, gouverneur de La Fère et premier maître d'hôtel du Roi » et pour marraine sa grand-mère « dame Marie de Bèze, femme de messire Philippe de Coulanges, conseiller du Roi en ses conseils d'État et privé. ». On donne à l'enfant le prénom de sa grand-mère (et marraine), Marie.

 

Celse-Bénigne de Rabutin de Chantal est tué en 1627 au siège de La Rochelle, sous les ordres du marquis de Toiras, laissant Marie de Coulanges veuve et la petite Marie orpheline de père à l'âge d'un an. Six ans plus tard, elle perd aussi sa mère.

 

Marie de Rabutin de Chantal vit néanmoins une jeunesse choyée et heureuse, d’abord auprès de sa grand-mère paternelle Jeanne de Chantal, qui l'élève de sa huitième à sa dixième années, puis, après la mort de Philippe de Coulanges, en 1636, chez l'aîné de ses oncles maternels, Philippe II de Coulanges (1595-1659). Celui-ci est le père de Philippe-Emmanuel Coulanges (1633-1716), futur « chansonnier », jeune cousin germain inséparable de Marie de Rabutin. Il épousera en 1659 Marie-Angélique du Gué de Bagnols (1641-1723), également connue comme épistolière de renom sous son nom de femme mariée Marie-Angélique de Coulanges.

 

Un autre oncle, frère benjamin de sa mère, l'abbé Christophe de Coulanges (v. 1607-1687), dit « le Bien bon », sera son ami paternel et l'administrateur de ses biens. La future Madame de Sévigné doit à sa solide éducation, en partie guidée par l'oncle Christophe, une connaissance parfaite de l’italien et assez bonne du latin et de l'espagnol.

 

Quant à sa grand-mère paternelle, Jeanne Frémyot, baronne de Chantal (1572-1641), veuve en 1601, elle avait fondé l'ordre de la Visitation et un grand nombre de couvents tant en France que dans les pays limitrophes (Lorraine et Barrois) et prit le voile sous la direction spirituelle de l'évêque de Genève François de Sales. Elle mourut de la variole en 1641, après un entretien avec la reine Anne d'Autriche (elle sera canonisée en 1767).

 

Le 28 février 1687, Roger de Bussy-Rabutin écrivait : « J'ai cherché nos Rabutin, je les ai trouvés fort bons et fort anciens ». Deux ans plus tôt, le 22 juillet 1685, la marquise avait écrit à son cousin Bussy : « Ce commencement de maison me plaît fort. On n'en voit point la source et la première personne qui se présente est un fort seigneur, il y a plus de 500 ans, des plus considérables de son pays, dont nous découvrons la trace jusqu'à nous. Il y a peu de gens qui peuvent trouver une si belle tête. ». Madame de Sévigné évoquait Mayeul de Rabutin, qui possédait au xiie siècle en Charolais le premier fief connu des Rabutin, ainsi que le fief de Montessus, situé à proximité.

 

Sa devise était : « Le froid me chasse » avec pour emblème « l'hirondelle ».

 

Mariage

 

Le 4 août 1644, âgée de dix-huit ans, elle épouse Henri de Sévigné (1623-1651), de vieille et bonne noblesse bretonne, possédant le fief de Sévigné. Le mariage est célébré en l'église Saint-Gervais de Paris. Selon Roger Duchêne, les Sévigné n'ont pas de titre de noblesse, mais ont fini par sacrifier à l'usage en se faisant appeler barons. C'est Henri qui, le premier, adopte le titre de marquis. En l'épousant, Marie devient donc marquise « par approximation bien plus que par usurpation ».

 

Elle devient veuve à vingt-cinq ans, le 5 février 1651, quand son époux est tué lors d'un duel avec François Amanieu, seigneur d'Ambleville, chevalier d'Albret, pour les beaux yeux de Mme de Gondran, sa maîtresse. Il est inhumé à Paris, rue Saint-Antoine, dans l'église du couvent des Filles de la Visitation Sainte-Marie (de nos jours, le temple protestant du Marais).

 

Le couple a eu deux enfants :

 

Françoise (Paris, 10 octobre 1646 - Marseille, 13 août 1705) qui épousera François Adhémar de Monteil de Grignan ;

Charles (château des Rochers, 12 mars 1648 - Paris, 26 mars 1713), baron de Sévigné, dit « marquis de Sévigné », qui épousera Jeanne-Marguerite de Mauron, mais restera sans postérité.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_de_S%C3%A9vign%C3%A9

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   Monde : France
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DATE  
NAISSANCE   5 février 1626
DECES   17 avril 1696
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Patricia Kaas

Publié à 12:38 par dessinsagogo55 Tags : center vie centerblog sur merci france monde enfants belle fond musique blogs
Patricia Kaas

 

 

Patricia Kaas, née le 5 décembre 1966 à Forbach en Moselle, est une chanteuse et actrice française

.

Révélée en 1987 avec le titre Mademoiselle chante le blues, elle connaît le succès dans les pays francophones, en Allemagne, en Finlande, dans les pays de l'ex-URSS, ainsi que dans certains pays d'Asie de l'Est. Elle a vendu près de 20 millions de disques et se produit régulièrement sur scène en France et dans le monde.

 

Biographie

 

Patricia Noëlle Kaas grandit à Stiring-Wendel, une ville voisine de Forbach à la frontière avec l'Allemagne, où se parle le « platt », un dialecte appartenant au moyen allemand, qui sera sa langue maternelle les six premières années de sa vie. Elle est élevée dans une famille de sept enfants (elle a cinq frères et une sœur), par une mère allemande et un père français « gueule noire » (mineur de fond dans la houillère du Siège Simon).

 

Avec le soutien et les encouragements de ses parents, notamment de sa mère, elle commence à donner des concerts dès l'âge de huit ans, reprenant des chansons de Sylvie Vartan, Claude François ou Mireille Mathieu, mais aussi New York, New York ou Just a Gigolo. En 1979, peu avant ses treize ans, elle est engagée dans un cabaret de Sarrebruck (le « Rumpelkammer Club », un tanzlokal), où elle chante tous les samedis soirs pendant sept ans. Elle est finalement remarquée en 1984 par François Bernheim, qui se déplace à Francfort pour l'écouter chanter à une fête de la bière. Rentré à Paris, il demande à sa complice Élisabeth Depardieu de coproduire le premier disque de Patricia avec lui, Gérard Depardieu participant financièrement à ce premier enregistrement. Le titre Jalouse paraît à la fin du printemps 1985 mais passe inaperçu

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Patricia_Kaas

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   Monde : France
BIOGRAPHIE   Patricia Kaas
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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MUSIQUE   Patricia Kaas : Il me dit que je suis belle
    Patricia Kaas : Les hommes qui passent
    
   
   
   
   
   
   
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DATE  
NAISSANCE   5 décembre 1966
DECES   
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Paul Ramadier

Publié à 06:40 par dessinsagogo55 Tags : center pouvoir centerblog sur merci vie france monde homme travail mort texte blogs
Paul Ramadier

 

Paul Ramadier, né à La Rochelle le 17 mars 1888 et mort à Rodez le 14 octobre 1961, est un homme d'État français.

 

Biographie

Jeunesse et études

 

Fils d'un psychiatre, Paul Ramadier obtient des licences en droit et en lettres à l'université de Toulouse.

 

Parcours professionnel

 

Il devient ensuite avocat à Paris et obtient son doctorat en droit romain en 1911. Défenseur des coopératives, il est militant socialiste dès 1904 et député socialiste de l'Aveyron de 1928 à 1940, de 1945 à 1951 et de 1956 à 1958. Il est maire de Decazeville de 1919 à 1959.

 

Mobilisé en 1914 comme sergent d'infanterie, il est grièvement blessé. Sa conduite lui vaut la médaille militaire et la croix de guerre.

 

Favorable à la participation des socialistes au pouvoir, il quitte la SFIO pour rejoindre l’Union socialiste républicaine. En novembre 1931, il présente un texte qui prévoit de stopper l’immigration et de limiter à 10 % la proportion d’étrangers par entreprise. Il fait partie du gouvernement Léon Blum en 1936 comme sous-secrétaire d’État (mines, électricité et combustibles liquides) puis du gouvernement Camille Chautemps comme sous-secrétaire d'État aux Travaux publics. Sous le Front populaire, il fait adopter d’importantes lois sociales. Il prépare notamment une loi sur les accidents du travail, la retraite et les 40 heures. Il est ministre du Travail de janvier à août 1938 dans le cabinet Édouard Daladier, puis démissionne quand celui-ci remet en cause la semaine de 40 heures qui est au cœur des réformes lancées par le Front populaire.

 

Il refuse avec véhémence de reconnaître les pleins pouvoirs à Pétain en juillet 1940 et participe à la Résistance sous le pseudonyme de Violette. Il rejoint de nouveau la SFIO pendant l’Occupation. Son action en faveur des Juifs lui a valu d'être inscrit sur la liste des Justes parmi les nations à Yad Vashem.

 

À la Libération, il est ministre du Ravitaillement de novembre 1944 à mai 1945 (gouvernement de Gaulle) et se voit surnommé « Ramadan » ou « Ramadiète », bien qu'il donnât l'exemple en travaillant dans un bureau non chauffé ; il occupe le ministère de la Justice en décembre 1946-janvier 1947 (ministère Léon Blum).

 

En 1947, après l’adoption de la Constitution de la IVe République, il en devient le premier président du Conseil. Il est investi à l’unanimité à ce poste par l’Assemblée Nationale le 21 janvier 1947. Mais, le surlendemain, interpellé sur la composition de son gouvernement, il accepte de soumettre celui-ci à l’investiture de l’Assemblée, ce qui n’était pas demandé par la nouvelle constitution. Selon René Rémond, en soumettant le choix de ses ministres à l’Assemblée, il donne une interprétation de la constitution qui affaiblit la fonction de Président du Conseil et instaure de fait une suprématie de l’Assemblée sur le gouvernement ; il met ainsi le doigt dans un engrenage qui aboutira à l’instabilité gouvernementale inhérente à la IVe République.

 

Confronté à d'énormes difficultés dans tous les domaines comme chef de gouvernement, véritable bourreau de travail, il écarte les communistes de son gouvernement au printemps 1947, mettant ainsi fin au tripartisme (PCF, SFIO, MRP), fait voter le statut de l’Algérie et l’adhésion de la France au plan Marshall. Il envoie l'armée pour mettre fin à l'insurrection malgache. Les crimes de guerre commis à cette époque (mille à deux mille victimes) ont été attribués par erreur au commandement militaire, voire au gouvernement Ramadier, alors qu'ils sont le fait de soldats incontrôlés.

 

Il se retire après huit mois à la tête du gouvernement, officiellement en raison de la persistance des grèves, et est remplacé par Robert Schuman.

 

Il est ministre de la Défense en 1948-49 (gouvernement Henri Queuille). À la suite de la publication en juillet 1949 par le journal Témoignage chrétien du récit de Jacques Chegaray sur l'utilisation de la torture par l'Armée en Indochine et d'une série d'essais de Paul Mus condamnant la torture (dont le premier est intitulé « Non, pas ça ! »), Paul Ramadier rédigea des ordres secrets à destination des autorités en Indochine interdisant l'usage de la torture.

 

Il participe en mai 1948 au congrès de La Haye. Ministre des finances dans le gouvernement Guy Mollet (février 1956-juin 1957), il a la lourde tâche de financer la politique sociale alors que la guerre d'Algérie vide les caisses publiques. Son nom est par ailleurs associé à la vignette automobile, introduite en 1956.

 

Si le 24 mai 1958, il participe à une manifestation de défense de la République contre les conditions du retour du général de Gaulle, il fait partie des hommes de la quatrième République reçus par De Gaulle qui finit par le convaincre de le soutenir le premier juin. Après avoir refusé un poste ministériel, il est battu aux législatives ce qui entraîne la fin de sa vie politique nationale.

 

Ramadier était franc-maçon, initié le 22 février 1913 à la loge Parfaite Union de Rodez et vénérable de la Nouvelle Cordialité à Villefranche-de-Rouergue.

 

À ce titre, il avait été démissionné d'office de son mandat de conseiller général du canton de Decazeville en 1941. Il fut réélu à ce mandat en 1945, et le conserva jusqu'à sa mort en 1961. Son épouse est décédée le 16 août 1978 à l'âge de 88 ans.

 

Citation

 

« Faire l'Europe c'est faire la Paix ! »

— Dans L'Aveyron libre du 17 janvier 1948

 

Évocation

 

Paul Ramadier est évoqué dans le 110e des 480 souvenirs cités par Georges Perec dans Je me souviens.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Ramadier#

Notes et références                                                    
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DATE  
NAISSANCE   17 mars 1888
DECES   14 octobre 1961
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Martin Ruzé de Beaulieu

Publié à 05:14 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci france monde blogs homme maison mort
Martin Ruzé de Beaulieu

 

Martin Ruzé de Beaulieu, seigneur de Beaulieu, de Longjumeau et de Chilly, né à Tours vers 1526 et mort à Paris le 6 novembre 1613, est un homme politique français de la fin du xvie et du début du xviie siècle, qui fut secrétaire d'État de la Maison du roi (ou secrétaire du roi) sous Henri III, Henri IV et Louis XIII.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_Ruz%C3%A9_de_Beaulieu

Notes et références                                                    
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Michel Le Tellier (homme d'État)

Publié à 04:31 par dessinsagogo55 Tags : france saint homme mort center centerblog sur merci monde blogs
Michel Le Tellier (homme d'État)

 

 

Michel (IV) Le Tellier, marquis de Barbezieux, seigneur de Chaville, d'Étang et de Viroflay, est un homme d'État français, chancelier de France en 1677, né le 19 avril 1603 à Paris et mort le 30 octobre 1685 dans la même ville.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Le_Tellier_(homme_d%27%C3%89tat)

Notes et références                                                    
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DATE  
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DECES   30 octobre 1685
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François II de Lorraine

François II de Lorraine

 

 

François II, duc de Lorraine et de Bar, né à Nancy le 27 février 1572, mort le 14 octobre 1632, est le troisième fils du duc Charles III et de Claude de France.

 

Influencé par son fils le co-duc Charles IV de Lorraine, il fut amené à se faire proclamer duc de Lorraine et de Bar brièvement du 21 au 26 novembre 1625.

 

Un cadet talentueux

 

Sixième enfant et troisième fils du duc Charles III et de Claude de France, il fut d'abord titré comte de Vaudémont. En 1575, la duchesse Claude s'éteint tandis que le roi Henri III de France épouse une cousine de la branche cadette Louise de Vaudémont.

 

Petit-fils d'Henri II de France et de Catherine de Médicis, il est un proche parent des derniers Valois mais aussi des Guise. Prince de Lorraine, il est le beau-frère de l'électeur Maximilien Ier de Bavière et du grand-duc de Toscane Ferdinand Ier de Médicis.

 

Confronté à la faiblesse de son héritier, son père le nomma lieutenant général des États ducaux pendant les voyages qui le menaient en France, en 1594 afin de conclure la paix avec le roi Henri IV de France. La paix avec la France permit au jeune prince de devenir gouverneur et lieutenant général du roi de France dans les villes sous protectorat français de fait depuis 1552,Toul et Verdun.

 

Il fut un temps généralissime de la république de Venise et demanda en vain la main de la nièce du grand-duc de Toscane, Marie de Médicis (qui épousa Henri IV de France).

 

De retour dans les duchés, il y épousa en 1597 Christine, comtesse héritière de Salm qui lui apportait en dot la souveraineté du comté de Salm, une fortune considérable et lui donna six enfants.

 

De septembre à octobre 1606, il effectua également pour son père un voyage diplomatique en Angleterre.

 

La mort du père

 

En 1608, le duc Charles III s'éteignit laissant le trône à son fils aîné Henri II. En 1608, également naquit Nicole de Lorraine, première enfant viable du duc Henri. François et ses enfants n'étaient plus héritiers des trônes ducaux.

 

L'héritière de Lorraine

 

Déjà, le puissant roi de France songeait à marier la future duchesse de Lorraine et de Bar à son fils le futur Louis XIII afin que Lorraine et Barrois soient naturellement et légitimement unis à la couronne de France. Le roi de France fut assassiné en 1610 et sa veuve Marie de Médicis dont François avait en vain convoité la main, assumant la régence, délaissa l'alliance lorraine pour l'alliance espagnole.

 

François espérait que la future duchesse épouserait son fils aîné Charles, le plus proche héritier en ligne masculine.

 

Or le duc Henri II songeait à marier sa fille qui avait treize ans. Il fixa son choix son choix sur son favori, le talentueux baron d'Ancerville, Louis de Guise. Malgré les nombreux talents du baron et bien qu'il soit apparenté à la Maison de Lorraine, le choix du duc heurtait les membres de la famille ducale, de la noblesse lorraine et de la cour souveraine ; en effet, le baron, fils adultérin du défunt cardinal de Guise, n'était pas un prince légitime.

 

En 1621, brouillé avec son frère et pour montrer sa désapprobation à l'Europe entière, le comte de Vaudémont et sa famille quittèrent les duchés et demandèrent sa protection à l'empereur.

 

Il rejoignit l'armée impériale et combat les Protestants allemands. Son fils aîné, Charles, âgé d'à peine seize ans, se distinguera à la bataille de la Montagne Blanche.

 

Un accord fut conclu entre les deux frères : la fille du duc épousait son cousin Charles, fils de François, tandis que le favori du duc épousait Henriette, fille de François qui recevait les principautés de Phalsbourg et de Lixheim.

 

Charles s'engageait à régner avec Nicole mais reconnaissait qu'il tenait ses pouvoirs de son épouse.

 

Fils de duc, père de duc, duc

 

Le duc Henri II mourut le 31 juillet 1624, et, n'ayant pas de fils, il avait désigné pour lui succéder sa fille Nicole de Lorraine, mariée à Charles de Vaudémont, le fils aîné de François, en précisant que Charles tenait son autorité de sa femme.

 

Une nouvelle dynastie était censée naître de mariage : la Maison de Lorraine-Vaudémont mais l'héritier tardait à venir.

 

Ainsi défini, commença le règne des co-souverains, une duchesse de seize ans et son mari de vingt ans. La jeune souveraine signait les décrets, son jeune époux les contresignait. Les pièces de monnaie montraient de profil au premier plan la souveraine, au second le co-duc.

 

Une telle situation gênait le fringant jeune homme peu fait pour le métier de prince consort et préférait régner seul. Son père, notre François, se résolut à lui permettre d'arriver à ses fins.

 

Un testament du duc René II, le glorieux vainqueur du Téméraire - daté de 1506 et retrouvé fort à propos - spécifiait que les duchés ne pouvaient se transmettre qu'en lignée masculine (cette loi salique, pour le duché de Lorraine, correspondait à la tradition des seigneuries du St-Empire dont il relevait ; le duché de Bar s'était transmis deux fois par les femmes : par Yolande de Bar-Yolande d'Aragon-René d'Anjou, puis Yolande d'Anjou-René II). La cour souveraine, favorable au comte de Vaudémont, attesta de l'authenticité du document et le prince François se trouva être le véritable héritier des duchés au détriment de sa nièce.

 

En novembre 1625, François de Vaudémont, s'appuyant sur ledit testament de René II, revendiqua les duchés. Les États Généraux de Lorraine estimèrent sa requête légitime. La duchesse Nicole et le duc Charles abdiquèrent et François de Vaudémont devint duc le 21 novembre 1625. Il quitta le comté de Salm et sa capitale Badonviller où il avait soutenu la politique pro-catholique du rhingrave Othon-Henri co-comte de Salm, récemment converti, pour Nancy.

 

Il en profita pour rembourser ses dettes avec les finances ducales. Cinq jours plus tard, il abdiqua en faveur de son fils, qui devint le duc Charles IV.

 

Celui-ci en profita pour se séparer de son épouse Nicole, principale victime de cette conjuration politico-familiale. Il tenta en vain de faire annuler son mariage par le pape. A bout d'argument, il alla jusqu'à prétendre que le baptême de Nicole n'était pas valide et fit condamner pour sorcellerie et brûler vif le prêtre qui avait baptisé la princesse.

 

Une retraite dorée

 

François, qui perdit son épouse en 1627, se consacra à la gestion de ses comtés de Vaudémont et de Salm.

 

Il protégea le compositeur Nicolas Signac qui lui dédia son recueil de psaumes publié en 1630, et peut-être également son troisième livre d'airs à quatre parties de 1625.

 

En 1632, les intrigues de son fils et sa politique étrangère désastreuse ayant indisposé le puissant voisin français, celui-ci fit envahir les duchés par son armée. L'occupation étrangère dura jusqu'à la fin du siècle et les populations des duchés souffrirent grandement des ravages de la guerre de Trente Ans.

 

La même année, l'ex-duc François II de Lorraine et de Bar, comte de Vaudémont, marquis de Hattonchattel, comte de Salm, de Chaligny, baron de Viviers, Ruppes, Brandebourg, Turquestein et Monthureux-sur-Saône, s'éteignit paisiblement dans son château de Badonviller à l'âge de soixante ans. Dans son testament, il précisait qu'il n'avait « jamais eu l'ambition de porter la couronne en ce monde ».

 

Mariage et enfants

 

N'ayant pu épouser la richissime Marie de Médicis, il fit néanmoins un mariage lucratif en épousant le 12 mars 1597 la très riche Christine de Salm, fille de Paul de Salm et de Marie Le Veneur de Tillières (1575-1627).

 

Ils eurent :

 

Henri (1602 † 1611), marquis de Hattonchâtel ;

 

Charles IV (1604-1675) qui épouse :

en 1621 sa cousine Nicole Ire, duchesse de Lorraine et de Bar (1608-1657) fille de Henri II, duc de Lorraine et de Bar dont il cherche très vite à se séparer. Le pape ayant refusé d'annuler ce premier mariage, il répudia sous divers prétextes son épouse légitime pour épouser en 1637, Béatrix de Cusance, jeune et jolie veuve d'Eugène Léopold Perrenot de Granvelle, prince de Cantecroix.

 

puis en 1663, confirmation du premier mariage d'avec Béatrix de Cusance (1614-1663),dont il eut deux enfants (légitimés mais non dynastes). Excommunié en 1642 pour cause de bigamie, il dut se séparer temporairement de Béatrix. Le duc accepta cette confirmation dans le but de légitimer ses enfants.

 

enfin en 1665, Marie-Louise d'Apremont (1651-1693), sa cadette de quarante-sept ans (sans postérité) ;

 

Henriette (1605-1660), dame de Neufchâteau, Hombourg, St-Avold, Sampigny..., mariée en 1621 à Louis de Guise († 1631), prince de Phalsbourg et Lixheim, puis en 1643 à Charles/Carlos Guasco marquis de Sallario et un peu plus tard à Christophe de Moura, enfin en 1652 à François-Joseph Grimaldi († 1693 ; son neveu Alexandre Grimaldi hérite de la principauté de Lixheim jusqu'à sa mort en 1702) ;

 

Nicolas II François (1609-1670), cardinal, puis duc de Lorraine et de Bar ;

 

Marguerite (1615-1672), mariée en 1632 à Gaston de France (1608-1660), duc d'Orléans ;

 

Christine (1621-1622).

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_II_de_Lorraine

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DATE  
NAISSANCE   27 février 1572
DECES   14 octobre 1632
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Pierre Terrail de Bayard

Publié à 23:36 par dessinsagogo55 Tags : center histoire centerblog sur merci vie france monde mort blogs
Pierre Terrail de Bayard

 

 

Pierre Terrail, seigneur de Bayard, plus connu sous le nom de Bayard ou de chevalier Bayard, né en 1475 ou 1476 au château Bayard (à Pontcharra), et mort le 30 avril 1524 à Romagnano Sesia ou Rovasenda (en Italie dans le Piémont), est un noble français qui s'illustra notamment comme chevalier durant les guerres d'Italie (xve et xvie siècles).

 

Sa vie est narrée par l'un de ses compagnons d'armes, Jacques de Mailles, dans la Très joyeuse et très plaisante histoire du gentil seigneur de Bayart, le bon chevalier sans peur et sans reproche. Il est à l'origine du personnage qui symbolise les valeurs de la chevalerie française de la fin du Moyen Âge. Une de ses devises est « Accipit ut det » qui signifie « Il reçoit pour donner »

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Terrail_de_Bayard

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DATE  
NAISSANCE   1475 ou 1476
DECES   30 avril 1524
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Louis XI

Publié à 22:57 par dessinsagogo55 Tags : sur france saint maison mort pouvoir center centerblog merci monde blogs
Louis XI

 

 

Louis XI, né le 3 juillet 1423 à Bourges, mort le 30 août 1483 au château de Plessis-lèz-Tours, est roi de France de 1461 à 1483, sixième roi de la branche dite de Valois (Valois directs) de la dynastie capétienne.

 

Son règne voit le rattachement de plusieurs grandes principautés mouvantes au domaine royal par des moyens parfois violents : territoires mouvants du duché de Bretagne (1475, traité de Senlis), des ducs de Bourgogne (1477, confirmé en 1482 par le traité d'Arras avec Maximilien Ier de Habsbourg), Maine, Anjou, Provence et Forcalquier en 1481, par la mort sans héritier de Charles V d'Anjou, et une partie des domaines de la maison d'Armagnac qui, brisée par l'affrontement avec le pouvoir royal, s'éteint peu après.

 

La ligne directrice de sa politique a été constituée par le renforcement de l'autorité royale contre les grands feudataires, appuyée sur l'alliance avec le petit peuple, ce qui fait de lui un des pères de la centralisation française.

 

Cependant, sa pratique habituelle de la diplomatie et de l'intrigue de préférence à la guerre ouverte choque la culture chevaleresque des élites et lui vaut d'être surnommé « Universelle Aragne ».

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XI

Notes et références                                                    
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DATE  
NAISSANCE   3 juillet 1423
DECES   30 août 1483
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Louis-Nicolas Clérambault

Publié à 17:49 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog merci france saint monde png musique femme maison mort histoire art blogs livre
Louis-Nicolas Clérambault

 

 

Louis-Nicolas Clérambault, né le 19 décembre 1676 à Paris, où il est mort le 26 octobre 1749, est un compositeur, organiste et claveciniste français de la période baroque.

 

Biographie

 

image

Façade de l'Église Saint-Sulpice de Paris.

Clérambault est le plus connu d’une grande famille de musiciens français où l’on se transmettait le métier de père en fils3, attachée au roi depuis Louis XI. Avec son père Dominique Clérambault, il apprend très jeune le violon et le clavecin (il fera de même avec ses propres fils César François Nicolas et Évrard Dominique) ; à l'orgue, il est l’élève d'André Raison, organiste de l’abbaye de Sainte-Geneviève et des Jacobins de la rue Saint-Jacques. Il étudie aussi la composition et le chant avec Jean-Baptiste Moreau. En 1710, Louis XIV, ayant entendu une de ses cantates, en fut si content qu’il lui ordonna d’en composer plusieurs pour le service de sa chambre, et le nomma surintendant de la musique particulière de Madame de Maintenon. Organiste de l’église des Grands-Augustins depuis 1704, il succède à Nivers mort en 1714, aux orgues de Saint-Sulpice et à la maison royale de Saint-Cyr, malgré l’obtention par ce dernier de la survivance de ce poste au profit de son neveu et héritier, Jean-Baptiste Totin. Il y est responsable de la musique, tient l’orgue, fait répéter les chants et les chœurs... C'est à ce poste, qui lui est confirmé après la mort de Madame de Maintenon, qu’il développe le genre de la « cantate française », dont il est le maître incontesté: il en a publié cinq livres parmi lesquels on trouve celle d’Orphée, qui a été très en vogue. Il succède en 1719 à son maître André Raison aux orgues de l’église des Grands-Jacobins. Il est connu pour être le premier maître de la sonate et de la cantate française, inspirées des modèles italiens, mais adaptées à l'esprit français, selon les principes de la « réunion des goûts » prônée par François Couperin. « S'il ne possède pas le génie ardent de Couperin, il est sans doute l'un de ceux qui réussissent la plus séduisante synthèse de la noblesse polyphonique française avec la souplesse lyrique et l'art du développement des Italiens, dans la tonalité d'une sensibilité gracieuse. »

 

Après la mort de Clérambault, son fils César François Nicolas lui succède aux orgues de Saint-Cyr, de Saint-Sulpice et des Grands-Jacobins. C'est un autre de ses fils, Évrard Dominique, qui succédera, par la suite, à César François.

 

Clérambault aurait composé Suite du Premier Ton et Grand Plein Jeu pour la franc-maçonnerie.

 

Œuvres

 

un grand nombre de pièces religieuses avec chants et chœurs : Airs spirituels et moraux, six livres de Motets, deux tomes de Chants et Motets à l'usage des dames de Saint-Cyr, un oratorio (Histoire de la femme adultère), Miserere, hymnes, Magnificat, Te Deum, etc. ;

 

plus de vingt-cinq cantates profanes, à une ou deux voix, sur des sujets souvent inspirés de la légende gréco-romaine, regroupées pour la plupart en cinq recueils :

 

 

Premier livre (1710) 

Deuxième livre (1713) 

Troisième livre (1716) 

Quatrième livre (1720) 

Cinquième livre (1726) 

 

 

des sonates pour violon et basse continue ;

un livre de pièces de clavecin (1704) dans lequel il adopte la tradition du prélude non mesuré ;

un livre de pièces d’orgue en deux suites (1710) où le charme mélodique l’emporte sur l’esprit religieux.

 

Ces deux recueils semblent destinés à ouvrir un cycle de pièces dans tous les tons, mais Clérambault ne leur donnera jamais de suite.

 

des divertissements et des intermèdes pour le théâtre, dont la pastorale, de grandes dimensions, intitulée Le Triomphe d'Iris, dont les indications portées sur la partition donnent à penser qu'elle était prévue pour être représentée, avec danses et machines, mais nous ignorons tout des circonstances de composition et de représentation de cette pièce.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Nicolas_Cl%C3%A9rambault

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DATE  
NAISSANCE  19 décembre 1676
DECES   26 octobre 1749
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Madeleine de La Tour d'Auvergne

Publié à 17:19 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci france saint monde mort fille blogs enfant
Madeleine de La Tour d'Auvergne

 

 

Madeleine de La Tour d'Auvergne est née en 1498, morte le 28 avril 1519. Fille du dernier comte d'Auvergne, elle épousa en 1518 Laurent II de Médicis, dont elle eut une fille, Catherine de Médicis.

 

Biographie

 

Elle était la fille de Jean IV (1467-1501), comte d'Auvergne et de Lauragais (1497-1501), et de Jeanne de Bourbon-Vendôme (1465-1511).

 

Elle fut dame de La Tour-d'Auvergne et de Saint-Saturnin en Haute-Auvergne et, de 1501 à 1519, comtesse de Lauragais (tandis que sa sœur aînée Anne d'Auvergne hérite du comté d'Auvergne).

Le 2 mai 1518, elle épousa à Amboise Laurent II de Médicis (1492-1519), duc d'Urbin. Un seul enfant naquit de cette union : Catherine de Médicis (1519-1589), qui deviendra comtesse d'Auvergne à la suite du décès de sa tante, puis plus tard reine de France par son mariage avec Henri II de France, le 28 octobre 1533 (Catherine sera reine de France du 31 mars 1547 au 10 juillet 1559, date de la mort de son époux, puis régente jusqu'en 1563).

 

Madeleine mourut quelques jours après la naissance de Catherine, d'une mauvaise fièvre. Elle transmit à sa fille le Lauragais, que celle-ci apporta à son tour au roi de France Henri II.

 

Dans son étude Sur Catherine de Médicis, (1830-1842), Honoré de Balzac la met en scène sous le nom de : « Madeleine de la Tour-de-Boulogne, mère de Catherine de Médicis », et il précise que « C'est par sa mère que Catherine était si riche et alliée à tant de familles ; car, chose étrange ! Diane de Poitiers, sa rivale, était aussi sa cousine. Jean de Poitiers, père de Diane, avait pour mère Jeanne de la Tour-de-Boulogne, tante de la duchesse d'Urbin »

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Madeleine_de_La_Tour_d%27Auvergne

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DATE  
NAISSANCE   ../../1498
DECES   28 avril 1519
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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