Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
07.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre, est un avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde). Il est l'une des principales figures de la Révolution française et demeure l'un des personnages les plus controversés de cette période.
Maximilien de Robespierre est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants. Il perd sa mère à l'âge de six ans. Son père abandonne le foyer et dès lors, Maximilien est pris en charge par son grand-père maternel. Après d'excellentes études au collège d'Arras et au collège Louis-le-Grand de Paris, licencié en droit, il devient avocat et s'inscrit en 1781 au Conseil provincial d'Artois, occupant même un temps la charge de juge au tribunal épiscopal.
Élu député du tiers état aux États généraux de 1789, il devient bientôt l'une des principales figures des « démocrates » à l'Assemblée constituante, défendant l'abolition de la peine de mort et de l'esclavage, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel (masculin) et l'égalité des droits contre le suffrage censitaire. Son intransigeance lui vaut bientôt d'être surnommé « l'Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en devient progressivement l'une des figures de proue.
Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Membre de la Commune insurrectionnelle de Paris, il est élu à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée…).
Au printemps 1794, Robespierre et ses collègues du Comité de salut public font arrêter successivement les hébertistes, meneurs du club des Cordeliers, puis Danton et les indulgents, mesures suivies de la condamnation et de l'exécution des dirigeants des deux « factions ». Il contribue ensuite à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême et l’immortalité de l’âme », ainsi que la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ».
Robespierre est sans doute le personnage le plus controversé de la Révolution française. Ses détracteurs (les thermidoriens, les fondateurs de la IIIe République et les historiens de l'« école libérale » dont le chef de file fut François Furet) soulignent son rôle dans l'instauration de la Terreur et la nature autoritaire du Comité de salut public. Pour d'autres, Robespierre tenta de limiter les excès de la Terreur, et fut avant tout un défenseur de la paix, de la démocratie directe et de la justice sociale, un porte-parole des pauvres, et l'un des acteurs de la première abolition de l'esclavage en France.
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Fantômas se déchaîne est un film d'aventure français d'André Hunebelle sorti en 1965.
C'est le deuxième volet de trilogie d'André Hunebelle consacrée au génie du crime, entre Fantômas sorti en 1964 et Fantômas contre Scotland Yard sorti en 1967.
Fantômas enlève le professeur Marchand un célèbre savant pour s'approprier son invention : le rayon télépathique permettant de contrôler la pensée humaine. Cette invention lui permettra de dominer le monde entier. Mais dès la nouvelle tombée, Fantômas est immédiatement soupçonné par les journalistes. Lors d'une conférence de presse donné par le professeur Lefèbvre, il avoue que sans les résultats de ses expériences en cours, Fantômas ne peut aboutir à réaliser son arme sans son aide. C'est ainsi que pour piéger Fantômas, le journaliste Fandor prend la place du professeur Lefebvre lors d'un congrès scientifique qui se tient à Rome. Fandor, sa fiancée Héléne, le commissaire Juve et ses subordonnés prennent un train de nuit pour l'Italie croyant que Fantômas tombera entre leur mains. Malheureusement ce dernier s'est également déguisé en professeur Lefebvre et la confusion est totale
Fiche technique
Titre : Fantômas se déchaîne
Réalisation : André Hunebelle
Réalisation pour la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario : Inspiré des personnages des romans de Pierre Souvestre et Marcel Allain
Adaptation : Jean Halain et Pierre Foucaud
Dialogues : Jean Halain
Assistants réalisateur : Jean-Pierre Desagnat, Michel Lang, Patrick Saglio, Renza Cerrato
Musique : Michel Magne
Décors : Max Douy, assisté de Jacques Douy, Jean Forrestier, Henri Sonois
Montage : Jean Feyte, assisté de Colette Lambert
Ingénieur du son : René-Christian Forget, assisté de Jean Jack
Photographie : Raymond Lemoigne
Opérateur : Jean Benezech, Roger Delpuech et Henri Raichi, pour la seconde équipe
Assistants opérateurs : Bernard Noisette, Michel Lebon, Yves Agostini
Production : P.A.C, Société Nouvelle des Etablissement Gaumont, Victory Films (Franco-Italienne)
Producteurs délégués : Paul Cadéac, Alain Poiré
Directeur de production : Cyril Grize et Giorgio Riganti
Secrétaire de production : Ginette Bodin
Chargée de presse : Paulette Andrieux
Distribution : Gaumont
Script-girl : Charlotte Lefèvre, et pour la seconde équipe Marie-Thérèse Cabon
Habilleuse : Ginette Manzon
Maquillage : René Daudin, Anatole Paris
Coiffures : Denise Lemoigne
Costumes : Mireille Leydet
Chef costumier : Jo Ranzato
Robes : « Mille et une nuit » a été créée pour Mylène Demongeot par Jacques Heim
Effets spéciaux : Gil Delamare
Effets spéciaux : Gérard Cogan
Effets spéciaux : François Suné
Bagarres réglèes par : Claude Carliez
Les prises de vues en chutes libre sont filmés par : Jean-Jacques Dubourg
Les scènes d'éruptions volcaniques sont extraites du documentaire Les Rendez-vous du diable
Générique : Les Films Bertho
Photographe de plateau : Roger Corbeau
Maquettiste : Raymond Tournon
Ensemblier : André Labussière
Régisseur général : Paule Pastic
Régisseurs adjoints : Gilles Schneider, Maurice Touati, Luciano Pesciaroli
Administrateurs comptables : Georges Martin-Cocher, Maurice Cottrant
Langue de tournage : français
Format : Franscope Eastmancolor - 2,35:1 CinemaScope - Son monophonique - 35 mm
Tirage : Laboratoire G.T.C - Enregistrement Westrex
Durée : 94 minutes (1h34)
Genre : Comédie policière, Aventures, Action
Date de sortie : 8 décembre 1965 à Paris
Distribution
Jean Marais : Fantômas / Le journaliste Fandor / Le professeur Lefèbvre
Louis de Funès : Le commissaire Juve
Mylène Demongeot : Hélène Gurn, la photographe du journal et fiancée de Fandor
Jacques Dynam : L'inspecteur Michel Bertrand
Olivier de Funès : Michel, le jeune frère d'Hélène
Albert Dagnant : Le professeur Marchand
Robert Dalban : Le rédacteur du journal « Le Point du Jour »
Florence Blot : La dame qui attend dans les toilettes du train
Christian Tomas : Un inspecteur
Michel Dupleix : Un inspecteur
Robert Le Béal : Le ministre décorant le commissaire
Piero Tordi : Le président de l'assemblée
Jean Michaud : Le directeur de la clinique psychiatrique
Dominique Zardi : Un garde du corps de Fantômas
Eric Vasberg : Le faux huissier lors de l'assemblée et homme de main de Fantômas
Yvan Chiffre : Un homme de main de Fantômas
Antoine Baud : Un homme de main de Fantômas
André Cagnard : Un homme de main de Fantômas
Henri Violin : cascadeur / doublure de "Louis de Funès" chute libre (non crédité)
Gil Delamare : cascadeur / doublure de "Jean Marais" chute libre
Philippe Castelli : L'inspecteur en retard
Max Montavon : Le surveillant de l'institut
Jacques Marin : L'agent de police ferroviaire
Mino Doro : Le professeur suisse
Arturo Dominici : Le professeur canadien
Bob Morel : L'homme hypnotisé
Antoine Marin : Un inspecteur
Roger Lumont : Un inspecteur (non crédité)
Bob Lerich : Un inspecteur
Mario Pisu : Un danseur du bal de Fantômas
Pierre Palfray : Un garde du corps de Fantômas (non crédité)
Albert Daumergue : Le serveur du wagon-restaurant
Raymond Pellegrin : La voix de Fantômas (non crédité)
Gérard Moisan
Avant que le titre Fantômas se déchaîne ne soit officiel, il a failli se nommer La Vengeance de Fantômas ou Fantômas revient.
Au départ, Louis de Funès ne devait pas jouer dans le second Fantômas. En effet, pendant le tournage du premier Fantômas, une suite a été écrite sans de Funès. Toutefois, entre le tournage du premier Fantômas et le second Fantômas, Louis de Funès est devenu une vedette grâce à trois films, Le gendarme de Saint-Tropez (7 millions d'entrées), Fantômas (4,5 millions d'entrées) et Le corniaud (12 millions d'entrées). André Hunebelle et Jean Halain décidèrent donc de créer un autre scénario avec le commissaire Juve, alias Louis de Funès.
Max Douy, créateur et décorateur de l'extravagant repaire du génie du mal, deviendra plus tard le décorateur d'un des épisodes de James Bond : Moonraker en 1979.
Pendant le tournage, à l'occasion de son cinquante et unième anniversaire, De Funès reçut une panoplie complète d'agent secret.
C'est la première centrale nucléaire française (Chinon A1 mise en service en 1963 et qui produira de l'électricité jusqu'en en 1973) qui servit de décor aux méfaits de Fantômas. Une partie de ce site est maintenant visitable puisque cette centrale, rapidement surnommée la Boule à cause du réacteur et des échangeurs installés dans un bâtiment sphérique en acier de 55 mètres de diamètre, abrite le musée de l'atome de Chinon depuis 1986. C'est à l'intérieur de cette boule que le professeur Marchand travaille alors que Fantômas surgit pour l'enlever. D'autres plans du film ont également été tournés à Chinon, notamment le plan où le criminel inspecte une armée de laborantins affairés dans son repaire secret.
Les scènes d'éruptions volcaniques du Vésuve, lieu du repaire de Fantômas, sont extraites du film documentaire Les Rendez-vous du diable d'Haroun Tazieff.
Olivier de Funès, fils de Louis, apparaît pour la première fois à l'écran dans ce film. Il jouera au total six fois aux côtés de son père, avant de devenir pilote de ligne.
La couverture du premier album du groupe Fantômas représente l'affiche espagnole de Fantômas se déchaine (en espagnol : Fantômas Amenaza Al Mundo). Bien que le titre officiel de l'album soit Fantômas, beaucoup appellent cet album Amenaza Al Mundo.
Cascades
Pour une des premières fois de sa carrière au cinéma Jean Marais se fera doubler, lors de la vertigineuse et mémorable séquence finale du film, par Gil Delamare (spécialiste des effets spéciaux réputé à son époque et cascadeur hors-pair de son temps). Ce dernier régla cette séquence filmé pour la première fois par le caméraman homme-volant Jean-Jacques Dubourg. Quant à Louis de Funès, il se fera doubler pour la même séquence, par Henri Violin.
Gil Delamare, travaillera et collabora pour les films Le Jour le plus long, La Grande Vadrouille ou encore L'Homme de Rio. Il décèdera en 1966, lors d'une cascade consistant à faire une tête à queue, pour le film Le Saint prend l'affût, réalisé par Christian-Jaque avec Jean Marais également en vedette du film. De ce fait c'est le célèbre Rémy Julienne, (qui fut engagé par Delamare lors du premier Fantômas pour pouvoir réaliser des acrobaties en motos), qui prit sa succession, et accepta de prendre tous les contrats pour d'autres films, déjà signé par Gil avant son décès.
Pour les trois volets, les bagarres et autres scènes d'actions, seront réglèes par Claude Carliez et son équipe, qui travaillera entre autres beaucoup aux cotès de Jean-Paul Belmondo et participera même à quelques James Bond dans les années 80. Il sera responsable de cascades et de combats pour les films : La Grande Vadrouille,Peur sur la ville, Le Coup du parapluie, Le Capitan, ou encore Moonraker.
Tout comme pour les deux autres volets, Jean Marais, refusa de se faire doubler pour les cascades physiques, hormis pour la séquence finale de ce film.
Lieux de tournages
France : Paris, Chinon en Indre-et-Loire
Italie : Rome, Naples sur le volcan du Vésuve
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Didier Gustin, né le 26 avril 1966 à Bar-le-Duc (Meuse), est un imitateur et acteur français.
Biographie
Didier Gueusquin, dit Didier Gustin, naît à Bar-le-Duc dans la Meuse et passe une partie de sa petite enfance à Combles-en-Barrois (Meuse) Il part ensuite (vers ses 5 ans) pour le petit village de Coussey dans les Vosges.
Après un CAP dactylo et un BEP de comptabilité, il monte à Paris en 1987, grâce à Pascal Guillaume, pour se lancer dans la profession d'imitateur. Il participe ainsi à l'émission mythique La Classe, présentée par Fabrice sur France 3. Son premier spectacle, Profession imitateur, écrit par Hubert Drac et lui-même, se produit en 1987 au Théâtre du Tourtour, dirigé par Jean Favre. Il part ensuite en tournée avec ce premier spectacle. L'année suivante, en 1988, il passe 3 jours au Théâtre de la Ville à Paris et il édite un 45 tours, La fabuleuse histoire du Petit Poucet / Croyez ce que vous voyez, chez Tréma. Cette année-là, il débute également à la radio, sur RMC.
Sa tournée se poursuit jusqu'en 1992, et passe notamment par le mythique café-théâtre du Splendid et le Café de la Gare. Cette même année, il débute au cinéma et tourne, sous la direction d'Yves Robert, dans la comédie Le Bal des casse-pieds, aux côtés notamment de Jean Rochefort, Jacques Villeret, Jean Yanne ou encore Miou-Miou. L'année précédente, il avait déjà mis un pied dans le 7e art, en imitant la voix de François Mitterrand dans L'Opération Corned Beef, de Jean-Marie Poiré, avec Christian Clavier et Jean Reno notamment.
En 1993, il présente à la Comédie-Caumartin un nouveau spectacle, Meurtres au music-hall, sous forme de pièce de théâtre où il joue tous les rôles, puis partage l'année suivante l'affiche avec l'imitatrice Sandrine Alexi, toujours dans la salle de théâtre parisienne, à l'occasion d'un nouveau spectacle en duo.
C'est en 1996 qu'il débute véritablement au théâtre dans une pièce de Peter Shaffer, Court circuit, mise en scène par Stephan Meldegg, avant de revenir au Café de la Gare pour un nouveau spectacle d'imitations, intitulé Best off. De 1998 à 2000, il apparaît également en tant que célébrité dans le jeu à succès Le Kadox, diffusé sur France 3 et présenté par Alexandre Debanne.
Entre 1998 et 2002, il fait également les voix d'une partie des personnages mythiques Les Minikeum, diffusés sur France 3.
En 2000, il s'associe avec son ami Jean-Marie Bigard pour l'écriture de son nouveau spectacle, Cent pour sans Gustin, qui deviendra En attendant Gustin. Il s'ensuit pour l'imitateur une tournée, avant de faire, l'année suivante, la première partie de Jean-Marie Bigard au Zénith de Paris puis le Palais des Glaces et le théâtre Déjazet, toujours à Paris.
La même année, il débute dans le doublage d'animation, en prêtant sa voix au personnage principal du nouveau Disney, à savoir Kuzco, l'empereur mégalo. Une série dérivée de plus de 50 épisodes pour la télévision, Kuzco, un empereur à l'école, verra ensuite le jour. Il reprendra également son rôle en 2005 pour la suite du film, Kuzco 2 : King Kronk. Deux ans plus tôt, Disney avait à nouveau appel à lui pour Le Livre de la jungle 2.
En 2001 toujours, il rejoint l'équipe de Stéphane Bern dans Le fou du roi sur France Inter, après avoir effectué un passage de plusieurs mois sur RTL dans Les Grosses Têtes, avec Christophe Dechavanne à sa tête.
En 2003, il tourne pour la télévision, en jouant dans un épisode de la série Louis la Brocante, avec Victor Lanoux, diffusée sur France 3 et lance son nouveau spectacle, Ça manque pas d'airs, au Palais des congrès de Paris. Pour ce nouveau show musical, l'imitateur est entouré de 4 musiciens. Il passera en 2005 à l'Olympia de Paris.
De 2004 à 2005, il est tous les soirs sur Canal+ dans Le Grand Journal de Michel Denisot, où il interprète les voix de Marc-Olivier Fogiel et Thierry Ardisson pour des personnages 3D. En parallèle, il est sur Europe 1 tous les dimanches dans l'émission d'Ariane Massenet, les Peopl'ettes, où il brosse le portrait des invités en chansons. 2006 est une année portée par le cinéma. En effet, après avoir tourné dans un épisode d'Alice Nevers, le juge est une femme, diffusé sur TF1, cette année-là, il imite la voix de Jacques Chirac dans le film Dans la peau de Jacques Chirac de Karl Zéro et Michel Royer. Le film obtient la prestigieuse récompense du César du meilleur film documentaire. En 2012, l'imitateur reprend son rôle dans la suite, intitulée Chirac rebat la Campagne, diffusé sur Canal +, où il commente l'élection présidentielle française de 2012.
En 2008, au Théâtre de la Gaîté-Montparnasse, il joue dans une nouvelle pièce de théâtre comique, Adam et Eve, ce n'est pas du tout ce que vous croyez, puis enchaîne l'année suivante avec Le siècle sera féminin, une nouvelle pièce.
En 2009 toujours, il imite Nicolas Sarkozy dans la comédie française Envoyés très spéciaux, avec notamment Gérard Lanvin, Gérard Jugnot et Omar Sy.
C'est en 2010 qu'il revient dans un nouveau spectacle d'imitation, Ajouter comme ami, un show musical où il est accompagné du guitariste Laurent Roubach. L'année suivante, le grand public le retrouve à la télévision, dans la série Section de recherches sur TF1.
En 2012, il anime la septième saison d'Âge Tendre, la tournée des idoles, qui sillonne les plus grands Zéniths de France pendant un an, avec à l'affiche une dizaine d'artistes, dont Michel Delpech, Catherine Lara, Richard Anthony, Francis Lalanne ou encore Philippe Lavil. Il imite également durant le spectacle une dizaine des personnalités, dont Serge Gainsbourg, Gérard Depardieu et Raymond Devos, devant plus de 400 000 spectateurs au total. En parallèle de cette tournée, il tourne pour Canal + dans le téléfilm Les Anonymes, aux côtés de Mathieu Amalric, et revient au théâtre dans Le secret des cigales, de Patrick Sébastien.
Egalement populaire à la télévision, on le voit successivement dans Les Grands du Rire sur France 3, puis dans le jeu Mot de Passe, présenté par Patrick Sabatier sur France 2, jusqu'en 2014. Il participe également régulièrement à l'émission de Patrick Sébastien, Les Années Bonheur, sur France 2, jusqu'à son arrêt en 2019.
En 2014, de mars à mai, il présente à nouveau la tournée Âge Tendre, pour une tournée supplémentaire dans les plus grandes salles de France, notamment avec Isabelle Aubret, Alice Dona, Patrick Juvet ou encore Jeane Manson et Les Forbans. Il reprend ensuite la route et participe à la tournée des Éternels du Rire dans tous les zéniths de France, aux côtés de plusieurs humoristes, dont Jean-Marie Bigard, Popeck, Roland Magdane, Smaïn, Marc Jolivet ou encore Liane Foly.
En 2015, il participe au doublage du nouveau film d'animation des studios Disney et Pixar, Vice-Versa, qui remporte l'Oscar du meilleur film d'animation, puis tourne dans la série télévisée À votre service pour MCETV, et participe à la tournée d'été du journal Nice-Matin, dans le Sud-Est. L'année suivante, il revient au théâtre avec Bon pour accord d'Éric Le Roch.
En 2015 et 2016, il part en tournée avec son nouveau spectacle, Didier Gustin est inimitable, co-écrit avec Laurent Baffie, dans lequel il imite une trentaine d'artistes.
En 2017, il crée un nouveau spectacle d'imitations, intitulé Ah ! Tu verras, en hommage à Claude Nougaro qu'il joue pendant deux ans, notamment au Festival d'Avignon, puis au Théâtre de l'Archipel, et participe au doublage d'un nouveau film d'animation, Drôles de petites bêtes, aux côtés notamment de Kev Adams et Virginie Efira.
En 2018, il entame une tournée de deux ans dans la nouvelle pièce de théâtre de Patrick Sébastien, Le Sommelier, mis en scène par Olivier Lejeune, dans laquelle il donne la réplique à Philippe Chevallier. Durant l'automne 2019, il part en Méditerranée pour animer la croisière Âge Tendre, avec une dizaine d'artistes.
Également en tournée avec son nouveau spectacle d'imitations, Il était une voix, pour fêter ses 30 ans d'imitations, depuis 2017, il poursuit le théâtre avec une nouvelle pièce, en 2020, intitulée Sans rancune, de Sam Bobrick, mais la crise sanitaire due au coronavirus a raison de sa participation.
À l'été 2021, on le retrouve dans un épisode de la série télévisée Camping Paradis, diffusée sur TF1, dans lequel il incarne un sosie de Johnny Hallyday.
À l'automne 2021, il part en tournée pour un an et demi avec une nouvelle pièce de théâtre, Les Cachottiers, aux côtés de Thierry Beccaro et Julien Cafaro. En parallèle, il poursuit sa tournée solo avec son spectacle d'imitations.
Outre ces deux spectacles, il prête sa voix au film d'animation Les voisins de mes voisins sont mes voisins, aux côtés d'Arielle Dombasle et Valérie Mairesse notamment, qui sort en février 2022.
Didier Gustin a une sœur, Cathy, et deux frères, Jean-Claude et Patrick. Didier est divorcé.
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Marie de Guise, née le 22 novembre 1515 à Bar-le-Duc et morte le 11 juin 1560 à Édimbourg, fut duchesse de Longueville puis reine et régente d'Écosse. Fille de Claude de Lorraine et d'Antoinette de Bourbon, elle appartient à la branche de Guise de la maison de Lorraine, elle est la nièce du duc Antoine Ier de Lorraine et de Bar dit « Le Bon ».
Elle épouse en 1538 le roi Jacques V d'Écosse, membre de la dynastie des Stuart. Elle eut notamment pour petit-fils Jacques Ier, qui réunit en 1603 les trônes d'Écosse et d'Angleterre sous l'autorité d'un seul monarque. Elle a une fille nommée Marie Stuart, qui se maria avec le roi de France pour unir les deux pays.
Biographie
Marie était la fille du premier duc de Guise, Claude de Lorraine, et la sœur de François de Guise, qui prit la tête des catholiques intransigeants durant les guerres de religion. Si son père, valeureux officier au service des rois de France, fut naturalisé français, il n'en garda pas moins la distinction de prince « issu d'une famille souveraine étrangère » à la cour de France et conserva les honneurs qui allaient de pair avec cette dignité. La famille de Guise, comme la maison de Lorraine tout entière, était alors ouvertement engagée dans la défense de la cause catholique.
La mère de la princesse est issue de la maison de Bourbon, qui descend du roi Louis IX de France. Par elle, Marie est une cousine germaine d'Antoine de Bourbon, roi de Navarre et père du roi Henri IV de France.
Marie de Guise fut élevée pendant 10 ans au château de Frouard et reçut une excellente éducation catholique au couvent des Clarisses de Pont-à-Mousson avant d'épouser le 4 août 1534 à 19 ans, au Louvre, Louis II d'Orléans, duc de Longueville, dont elle eut deux fils, François III d'Orléans, duc de Longueville, né le 20 octobre 1535 (mort en 1551) et Louis d'Orléans-Longueville né en 1536 et mort la même année.
Veuve à 20 ans du duc de Longueville, Marie était une jeune femme riche et brillante. Au roi Henri VIII d'Angleterre qui s'intéressait à elle notamment pour sa très grande taille (environ cinq pieds et onze pouces soit 1,80 m), elle fit savoir avec ironie « qu'elle n'avait pas le cou assez long », faisant allusion à la décapitation d'Anne Boleyn, précédente épouse du roi.
L'alliance de François Ier et du roi d'Écosse Jacques V se concrétisa quand celui-ci, d'abord fiancé à Marie de Bourbon-Vendôme, cousine de Marie de Guise, épousa Madeleine de France, mais la jeune fille était de complexion délicate et mourut quelques mois plus tard.
Le 12 juin 1538 à Saint-Andrews, elle épousa donc le roi Jacques V d'Écosse dont elle eut trois enfants, deux fils, Jacques, duc de Rothesay, et Robert, duc d'Albany, tous deux morts au berceau, puis une fille née le 8 décembre 1542 : Marie, future reine d’Écosse. À la mort de son époux en 1542, elle est nommée régente pour le compte de sa fille.
Jacques V étant mort le 14 décembre 1542, six jours après la naissance de leur fille, Marie de Guise assuma la régence du royaume d'Écosse à partir du 12 avril 1554 et cela pendant 6 ans jusqu'à sa mort.
S'appuyant sur des troupes françaises, elle combattit, dès son arrivée en Écosse, l'expansion du mouvement presbytérien, un protestantisme spécifique à l'Écosse, plus proche du protestantisme hollandais ou français que de l'église anglicane. En raison de ce combat sanglant, elle fut violemment dénoncée par le théologien presbytérien John Knox, disciple et ami de Jean Calvin.
Toujours alliée à la France, elle fut choisie en 1550 pour être la marraine du prince Louis de France, second fils du roi Henri II et de la reine Catherine de Médicis, titré duc d'Orléans.
En 1558, Marie Stuart, âgée de 16 ans et élevée en France, fut mariée avec le dauphin François (futur roi François II de France), dans le respect des termes de l'Auld Alliance de 1543. La famille de Guise espérait ainsi consolider un empire franco-écossais, combattant le protestantisme, à l'image de leur allié l'empereur Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne, qui avait épousé en 1554 la reine Marie Ire d'Angleterre et tentait de restaurer le catholicisme dans son pays.
En 1558, la cousine de Jacques V, Marie Ire d'Angleterre, meurt. La fille de Marie de Guise, Marie Stuart, est alors la plus proche parente catholique de la reine défunte et peut à ce titre revendiquer le trône d'Angleterre, bien qu'en violation des termes du Troisième Acte de Succession au trône d'Angleterre. Le trône va à la jeune Élisabeth, seule reine légitime selon le dit Acte, demi-sœur protestante de Marie Tudor, sans aucune attache espagnole et beaucoup moins encline que sa demi-sœur aînée à combattre des protestants écossais de plus en plus nombreux. La nouvelle souveraine n'aura ni mari ni enfant, mais restera près de 45 ans sur le trône.
L'année suivante, sa fille Marie et François de France accèdent au trône des Lys, s'intitulant « roi et reine de France et d'Écosse ». Pendant ce temps, en Écosse, Marie de Guise rencontre une opposition croissante des presbytériens, encouragée par la nouvelle reine d'Angleterre. La révolte de l'opposition protestante écossaise (Covenant), majoritaire au parlement, appuyée par des relais dans l'aristocratie et le soutien de l'Angleterre, va en s'amplifiant lorsque, le 11 juin 1560, Marie de Guise meurt à l'âge de 44 ans. Elle est enterrée à l'Abbaye Saint-Pierre-les-Dames à Reims.
Le traité d'Édimbourg du 6 juillet 1560 ordonne alors l'expulsion des soldats français, puis, en août 1560, le protestantisme est proclamé religion d'État par le parlement écossais.
François II meurt prématurément en décembre 1560, après dix-sept mois de règne, sans laisser de postérité. Marie Ire d'Écosse, qui s'était retirée à Reims, rentre alors en Écosse, un pays qu'elle ne connaît pas. En conflit avec Élisabeth Ire, elle est maintenue dix-huit ans en résidence forcée avant d'être exécutée en 1587.
Le fils de Marie Stuart, dernière reine d'Écosse, Jacques I, petit-fils de Marie de Guise, monte en 1603 sur le trône d'Angleterre, unifiant en sa personne les deux pays ennemis.
Dans la culture populaire
Parmi d'autres apparitions cinématographiques, Marie de Guise est un des personnages principaux du film Elizabeth et de la série Reign : Le Destin d'une reine.
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Joseph Ferdinand Cheval, plus connu sous le nom du facteur Cheval, né le 19 avril 1836 à Charmes-sur-l'Herbasse (Drôme) et mort le 19 août 1924 à Hauterives (Drôme), est un facteur français célèbre pour avoir passé 33 ans de sa vie à édifier un monument qu'il nomme le « Palais idéal ».
Il a aussi passé huit années supplémentaires à bâtir son propre tombeau.
Situation personnelle
Joseph Ferdinand Cheval naît dans une famille de petits cultivateurs, installée à Charmes-sur-l'Herbasse, un modeste village de la Drôme des collines, une microrégion terrienne et rurale, située au nord de Romans-sur-Isère.
Il est le fils de Jean-François Cheval et de sa deuxième épouse Rose-Françoise Sibert ; sa mère meurt le 21 avril 1847. Il a un frère, prénommé François Victor et marié avec Rosalie Perrier.
Le 20 mai 1858, il se marie avec Rosalie (ou Rose) Revol (1841-1873), lingère, avec qui il aura deux enfants, Victorin (1864-1865), et Cyrille (1866-1912). Il sera le grand-père d'Eugénie et d'Alice (Marie-Louise) Cheval.
Après la mort de son épouse en 1873, il se remarie le 28 septembre 1878 avec Claire-Philomène Richaud (1838-1914), tailleuse et également veuve. Elle apporte en dot l'équivalent de deux années de traitement de facteur et une petite propriété qui lui permet d'acquérir un lopin de terre à Hauterives. De leur union naît sa fille unique, Alice, née en 1879 et morte en 1894, à l’âge de 15 ans.
Du fait d'une scolarité courte — de 1842 à 1848, à l'école communale de Charmes —, il maîtrise mal la langue française, qu'il écrit phonétiquement. Après l'obtention de son certificat d'études primaires, il devient à l'âge de treize ans apprenti boulanger. Il est pris en tutelle, à l'âge de dix-huit ans, à la mort de son père, par son oncle maternel Joseph Burel, qui le fait rapidement émanciper (la majorité à cette époque étant fixée à 21 ans). Il laisse à son frère la ferme familiale pour devenir en 1856 boulanger à Valence puis à Chasselay, une commune située au nord de Lyon en 1859.
La mort de son premier fils en 1865 lui fait abandonner la boulangerie, activité qu'il a pratiquée durant presque une douzaine d'années et dont l'expérience du pétrissage aurait influencé son savoir-faire de sculpteur et de créateur. Il s'engage comme ouvrier agricole, métier qu'il abandonne à la naissance de son second fisl.
Acculé à la misère, il se présente au concours de facteur et entre officiellement dans l'administration des Postes le 12 juillet 1867. Il est successivement facteur à Anneyron, puis à Peyrins, puis à Bourg-de-Péage. À sa demande, en 1869, il est affecté à Hauterives, à une douzaine de kilomètres de son village natal, ayant la charge de la « tournée de Tersanne », une longue tournée pédestre quotidienne. Il y restera jusqu'à la retraite.
Ses longues tournées en solitaire de plus de trente kilomètres n'ont pas le même rythme que les tournées cyclistes ou motorisées d'un « préposé » rural du xxie siècle :
« Le courrier n'arrive à Hauterives qu'à 11 heures du matin. Le facteur qui nous dessert est obligé avant de partir de desservir le village d'Hauterives et ensuite de desservir les quartiers de cette commune qui se trouvent sur son parcours. Malgré sa bonne volonté il ne peut arriver à notre village qu'à une heure souvent deux de l'après-midi. Pour aller de la boîte aux quartiers des Débris et des Nivons, ce qui lui arrive souvent, il a encore une distance de 5 à 6 kilomètres. Il a ensuite à desservir la section de Treigneux et la partie de la commune d'Hauterives depuis Treigneux jusqu'à la route départementale no 6, et ce n'est qu'après ce trajet qu'il se rend au bureau, mais presque toujours après le départ du courrier qui se fait vers 5 heures, si bien que Tersanne éprouve chaque jour des retards sous le rapport des départs des dépêches. »
Il occupe ses heures de randonnée à de longues rêveries au cours desquelles il imagine un « palais féerique », rêveries qui ne commenceront à être concrétisées qu'une dizaine d'années plus tard, après maints voyages avec sa brouette qu'il appelle sa « fidèle compagne de peine ». En 1896, il prend sa retraite.
Il écrit en 1905 :
« Fils de paysan je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie il y a aussi des hommes de génie et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté facteur rural. Le travail fait ma gloire et l'honneur mon seul bonheur ; à présent voici mon étrange histoire. Où le songe est devenu, quarante ans après, une réalité. »
— Ferdinand Cheval, 15 mars 1905.
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Les Renault 9 et 11 (la 9 tricorps et la 11 bicorps avec un hayon) sont deux modèles d'automobiles compactes à traction avant produites par Renault durant les années 1980 à Douai (Nord). Elles seront aussi produites aux États-Unis respectivement sous les noms Renault Alliance et Renault Encore par le partenaire American Motors Corporation.
La Renault 9 est la première « vraie » Renault à utiliser un moteur Renault en position transversale (la Renault 14 était la première Renault avec groupe motopropulseur en position transversale, mais avec un train avant dérivé de la Peugeot 104, son « moteur X » était issu de la Société française de mécanique commun à Peugeot et Renault, moteur également utilisé sur des modèles Peugeot, Talbot et Citroën).
Elle possède une suspension à quatre roues indépendantes (MacPherson triangulé à l'avant et barres de torsion transversales en vis-à-vis à l'arrière) et est élue Voiture européenne de l'année 1982. En 1983, l'Alliance, modèle US de la Renault 9, obtient le titre d'« Auto de l'année » décerné aux États-Unis par le magazine Motor Trend.
Le slogan de vente utilisé en France est « Macadam Star », en référence à sa version nord-américaine.
En 1984, la Renault 11 est la voiture de sa catégorie la plus vendue en France, étant troisième derrière la Peugeot 205 et la Renault 5.
Le duo Renault 9 / Renault 11 reste aujourd'hui le troisième modèle français le plus vendu, avec 6,3 millions d'exemplaires, derrière la Peugeot 206 et la Renault 4
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La Renault 20 est une berline conçue par le constructeur automobile français Renault, produite de novembre 1975 à début 1984.
Historique
Son design est du au styliste Gaston Juchet, chef du service Style Automobile de Renault.
Sa carrosserie est presque identique à celle de la Renault 30, hormis deux optiques rectangulaires au lieu de quatre ronds sur la 30. Jusqu'à l’arrivée, en 1977, de la version TS avec son moteur Douvrin de 1 995 cm3, les versions L, TL et GTL ont des passages de roues d’ailes avant plus petits que ceux de la R30, des roues en 13 pouces, une largeur hors tout réduite de 6 mm à 1,726 m, un empattement inférieur de 12 mm à 2,659 m, et un parechoc arrière moins enveloppant.
La 20 se distingue par ses motorisations moins puissantes et par sa présentation plus simple : encadrements peints des vitres de portes, pas de bourrelets en caoutchouc sur les pare-chocs ni de baguettes latérales de protection .
Dotée de quatre roues indépendantes avec ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques et triangles superposés, elle est confortable et tient bien la route mais sa suspension très souple provoque un fort cabrage à l'accélération et surtout une importante plongée au freinage. Il n'est pas réellement moindre sur les modèles d'après 1981, équipés d'un train avant à déport négatif, mais ce nouveau train apporte moins de réaction parasite.
Tous les moteurs des Renault 20 sont des quatre cylindres en ligne en aluminium, avec circuit de refroidissement scellé et ventilateur automatique, placés longitudinalement devant l'essieu avant.
La Renault 20 commence sa carrière en versions L, TL et GTL avec le « moteur Cléon-Alu » de la Renault 16 TX, un 1 647 cm3 de 96 ch DIN à arbre à cames latéral entraîné par chaîne. La presse loue l'habitabilité et le confort de la voiture mais critique assez sévèrement les performances, surtout en reprises. La 20 GTL, qui est dotée d'une direction assistée, de la condamnation centralisée des portes et de lève-vitres avant électriques, est la plus vendue. La Renault 20 L, qui ne dispose pas de roues de style ni d'autocollant noir mat sous la lunette arrière, est supprimée dès 1977.
Pour 1977, les poignées de porte inversées peu pratiques sont remplacées par un système à palette et l'orifice de remplissage de carburant dissimulé par une trappe.
En juillet 1977, la Renault 20 reçoit le moteur Douvrin » (type 829 puis J6R) de 1 995 cm3 à arbre à cames en tête de 110 chevaux DIN (puissance ramenée à 109 ch en 1979 et 104 ch à partir du restylage de 1980) sur la version TS 2 litres. Par rapport à la 20 GTL à laquelle elle succède, la TS ajoute un pare-brise feuilleté, des sièges à dossier haut sans appuie-têtes, des roues de diamètre 14 pouces à quatre fixations identiques à la Renault 30, un sigle « 2 litres » sur la calandre (pour 1979), des baguettes latérales de protection et des bourrelets de protection de pare-chocs en caoutchouc. À l'instar des autres Renault 20, le tableau de bord est légèrement modifié2. À partir de novembre 1978, une boîte à cinq vitesses est disponible en option. En 1981 apparaît une 20 LS 2 litres à l'équipement de niveau TL, qui se vend peu. La diffusion des Renault 20 à moteur 2 litres reste limitée à l'étranger où le hayon n'est pas apprécié dans ce segment de marché.
En décembre 1979, la 20 est la première Renault de tourisme équipée d'un « moteur Douvrin » Diesel (type 852 puis J8S) de 2 068 cm3. Dérivé du bloc essence de la TS 2 litres, il est aussi réalisé en aluminium. Le nouveau train avant à déport négatif, qui impose d'autres roues, est caractérisé par des axes de pivot de roue qui se projettent à l'extérieur de la voie. La direction peut être assistée (en série sur la version GTD). La 20 Diesel existe d'abord en version atmosphérique (63,5 ch DIN) puis en version turbo (85 ch DIN) pour 1983.
Pour 1980, la boîte automatique Renault à trois rapports de type MJ3 qui remplace la boite 4141 également produite à la STA de Ruitz et les jantes acier pour pneumatiques Michelin TRX sont disponibles en option.
Pour 1981, Elle fait l'objet de modifications techniques, pour les modèles LS et TS, le train AV devient à déport négatif, les jantes sont 13 pouces (antérieurement 14 pouces), les glaces teintées sont bronze au lieu d'une couleur verte. La présentation de l’habitacle est aussi modifiée, la planche de bord rectiligne à quatre cadrans est remplacée par un nouvel ensemble plus avenant comportant un évidement devant le passager. Pour la TS uniquement, l'essuie-glace gauche est à pantographe côté conducteur et les glaces AV sont à commande électriques.
Les codes véhicules sont modifiés : R1277 pour les R20 "2 litres" modèles LS ou TS.
Une version TX 2.2 litres est lancée avec une évolution à 2 165 cm3 (115 ch DIN, type 851) du moteur de la TS. Elle conserve les encadrements de vitres chromés et le train avant classique de la Renault 30.
Début 1982, les frères Marreau remportent le Paris-Dakar au volant d'une Renault 20 turbo 4 × 4 (quatre roues motrices) équipée du moteur de la Renault 18 Turbo et de suspensions très modifiées (suspension AR de Trafic, type pont moteur).
Dacia, alors entreprise nationalisée, produit sous licence des Renault 20 TS au début des années 1980, appelées Dacia 2000, réservées à la Securitate et aux hauts dignitaires du régime communiste.
Fin 1983, la Renault 20, qui a reçu un becquet, est remplacée par la 25.
La plus répandue est la version TS 2 litres, la plus vendue à l'époque. Selon l'Utac, seuls 286 véhicules de cette série sont passés au contrôle technique en 2017 .
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Raymond Poincaré, né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc (Meuse) et décédé le 15 octobre 1934 à Paris, fut un homme d'État français.
Ministre à plusieurs reprises, président du Conseil des ministres puis président de la République de 1913 à 1920, Raymond Poincaré fut l'une des plus grandes figures politiques de la IIIe République. Il fut également l'un des personnages centraux de la Première Guerre mondiale, conflit durant lequel il appela « le Tigre », Georges Clemenceau, à la présidence du Conseil, en 1917.
Raymond Poincaré est le fils d'un ingénieur des Ponts et Chaussées.
Par ailleurs, il est l'arrière-petit-fils d'un député ayant exercé ses fonctions sous le règne de Louis-Philippe; il est également le petit-fils du doyen de la faculté de médecine.
Il est enfin le cousin du mathématicien et savant Henri Poincaré.
Formé à la politique par Jules Develle dont il est, pendant dix-huit mois, directeur de cabinet au ministère de l'Agriculture en 1886, élu ensuite conseiller général du canton de Pierrefitte dans la Meuse, Poincaré se forge une réputation de républicain modéré et conciliant dès son premier mandat de député de la Meuse en 1887. Cela n'empêche pas ce fils de polytechnicien, entré avec réticence sur la scène politique, de s'y imposer rapidement.
Après des études à Nancy puis à la faculté de droit de Paris, il entre au barreau de Paris en tant que stagiaire en 1879 ; il est nommé premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris et devient secrétaire de Me Henry du Buit, célèbre avocat d'affaires. En 1883, il prononce un discours à l'ouverture de la Conférence des Avocats dans lequel il fait l'éloge du républicain Jules Dufaure, ancien bâtonnier et ex-président du Conseil décédé deux ans auparavant :
« S'il est à souhaiter que l'éloge d'un mort illustre éveille chez nous le désir de l'imiter, le simple récit de la vie de Dufaure contiendra, je crois, pour notre génération, un précieux exemple de travail, d'indépendance et de dignité . »
(Éloge de Dufaure à l'ouverture de la Conférence des Avocats 1883 Barreau de Paris)
En 1895, il ouvre son propre cabinet, qui obtient rapidement un grand succès et détient une clientèle très prestigieuse pour les affaires de presse, les affaires littéraires—il est notamment l'avocat de l'écrivain Jules Verne—et le droit des sociétés. Poincaré a parmi ses clients les plus grandes entreprises industrielles et financières du moment.
Il entre en politique en 1887, en se faisant élire député de la Meuse. En 1892, il est rapporteur de la commission des Finances, au moment du scandale de Panamá, et est réélu l'année suivante.
À trente-six ans, il a déjà été trois fois ministre : de l'Instruction publique (1893), sous Dupuy, puis des Finances dans le second cabinet Dupuy, après la victoire électorale des modérés (1894-1895), et de nouveau chargé de l'Instruction publique, dans le cabinet Ribot, en 1895. Il est partisan de la laïcité mais éloigné de l'anticléricalisme radical. Il prône en effet une « école neutre », dont la vocation serait de produire de vrais patriotes. Poincaré devient alors l'un des leaders en vue des modérés, qui arborent l'étiquette « progressiste » qui a remplacé l'ancienne appellation d'« opportunisme » utilisée par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, suivant le phénomène du sinistrisme.
Durant l'affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction.
Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance à la gauche - Poincaré demeure cependant prudent envers les gauches, et reste très modéré. En juin 1899, le président de la République Émile Loubet le pressent comme président du Conseil. Mais il n'arrive pas à mettre d'accord les différentes tendances républicaines pour composer un gouvernement, tandis que Clemenceau déclarait :
« Le don de Poincaré n'est pas à dédaigner : c'est l'intelligence. Il pourrait faire remarquablement à côté de quelqu'un qui fournirait le caractère »
Aussi Poincaré conseille-t-il à Loubet d'appeler plutôt Waldeck-Rousseau, qui forme un cabinet de Défense républicaine. Néanmoins, Poincaré s'oppose à celui-ci, et plus encore, après la victoire du Bloc des gauches aux élections de 1902, à la politique anticléricale d'Émile Combes. En tant que membre de l'Alliance libérale démocratique (centre-droit), il soutient cependant, de façon générale, le cabinet combiste.
Plus tard, c'est au Sénat que Poincaré décida de se présenter. Élu sénateur de la Meuse en 1903, il quitte ses fonctions en 1913, date à laquelle il est élu à l'Élysée, puis reprend ses fonctions en 1920 et ce jusqu'en 1934, date de son décès.
En 1906, Clemenceau, qui juge pourtant Poincaré un peu trop mou — c'est lui qui aurait inventé l'expression « poincarisme » dans son hebdomadaire Le Bloc du 15 mars 1902 — lui propose néanmoins d'entrer dans son gouvernement. Poincaré, peut-être par animosité, s'y refuse.
Belle consécration, il est élu à l'Académie française en 1909, et est également professeur aux écoles HEI-HEP.
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Le président du Conseil (1912 - 1913)
En janvier 1912, il est nommé président du Conseil et forme un gouvernement de républicains modérés avec Briand aux Affaires étrangères ; Théophile Delcassé à la Marine ; Jules Pams à l'Agriculture ; Albert Lebrun aux Colonies et Léon Bourgeois au Travail et à la Prévoyance sociale.
Du 6 au 12 août 1912, il est en visite officielle en Russie dans le cadre de l'alliance franco-russe et assiste à des revues militaires.
L'élection présidentielle de janvier 1913
Alors que le mandat présidentiel d'Armand Fallières touche à sa fin, Poincaré se présente comme candidat à l'élection présidentielle de janvier 1913. Le président du Conseil est en lice face au président de la Chambre, Paul Deschanel, et au président du Sénat, Antonin Dubost. Avec Clemenceau, les radicaux soutiennent Jules Pams, le ministre de l'Agriculture, une personnalité considérée comme effacée et dont la candidature vise essentiellement à contrer Poincaré.
Selon la tradition républicaine, un scrutin préparatoire a lieu pour choisir le candidat du « camp républicain » ; les « modérés » (républicains de droite) d'un côté, de l'autre les socialistes, refusent toutefois d'y participer. Au troisième tour, Pams l'emporte avec 323 voix contre 309 pour Poincaré, classé à gauche à l'époque (dreyfusard, laïc, il s'était marié civilement). La discipline républicaine aurait voulu que, battu à ces primaires, il se retire, et c'est ce que lui demande une délégation conduite par Combes et Clemenceau.
Mais Poincaré refuse, sachant que lors du scrutin officiel, il serait soutenu par la droite républicaine : il se présente donc à Versailles, et est élu le 17 janvier 1913 au deuxième tour, avec 482 voix contre 296 à Pams et 69 pour le socialiste Édouard Vaillant. Clemenceau conservera une rancune tenace contre Poincaré pour n'avoir pas respecté la discipline républicaine, que lui-même respectera lors de l'élection présidentielle de 1920.
L'Élysée (1913 - 1920)
Son mandat de chef de l'État va évidemment être marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est l'artisan de l'Union Sacrée politique et sociale, aux côtés de René Viviani, d'Aristide Briand puis de Georges Clemenceau. Avec Briand et Clemenceau, et contre Jaurès et la SFIO, il soutient la loi des trois ans, votée en juillet 1913.
Son rôle dans le déclenchement de la guerre est controversé : il aurait poussé à la fermeté la Russie lors de son voyage officiel du 13 au 23 juillet 1914 en Russie, afin de renforcer les alliances deux semaines après l'attentat de Sarajevo. Le 4 août, son message est communiqué aux Chambres par Viviani : la France « sera héroïquement défendue par tous ses fils, dont rien ne brisera devant l'ennemi, l'Union sacrée, et qui sont aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur, et dans une même foi patriotique ».
Il n'hésite pas, parfois au péril de sa vie, à venir au front (essentiellement dans la Meuse et dans la Somme) afin de juger du moral des troupes et des populations déplacées. Il visite à plusieurs reprises la partie de l'Alsace redevenue française dès le 7 août 1914 : au Col de la Schlucht, à Thann, Masevaux, Saint-Amarin et Dannemarie entre le 11 février 1915 et le 10 avril 1916.
Fin 1917, il nomme le radical-socialiste Clemenceau, qu'il n'apprécie guère mais dont il admire la fermeté de caractère, comme président du Conseil. Son rôle devient alors plus discret, et il se plaint même, dans ses écrits, d'être mis de côté. Il conserve toutefois une certaine influence : selon l'historien Michel Winock, une certaine forme de cohabitation se met en place entre les deux hommes.
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Dès 1920, alors que son mandat n'est pas achevé, il se fait élire sénateur de la Meuse. Aristide Briand ayant démissionné de la Présidence du Conseil à la suite des critiques subies du fait de ses prises de position en matière de politique étrangère à la Conférence de Cannes, Poincaré accepte de redevenir président du Conseil en janvier 1922, à la demande du Président de la République Alexandre Millerand.
Face à l'Allemagne qui refuse de payer les « réparations de guerre », Raymond Poincaré a recours à la force, faisant occuper la Ruhr. Mais sa politique de rigueur budgétaire le rend impopulaire et, en 1924, après la victoire du Cartel des gauches, il doit présenter sa démission, tout comme le président Millerand.
On le rappelle à la tête du gouvernement en 1926, devant l'ampleur de la crise financière. Il forme alors un cabinet d'union nationale, en conservant Briand aux Affaires étrangères, et en revenant à une politique d'austérité financière ; le franc Germinal est remplacé par le franc Poincaré d'une valeur cinq fois moindre, dévaluation qui se borne à entériner le change réel. Malade et fatigué, il démissionne et se retire de la scène publique en 1929. Mort à Paris en 1934, il est inhumé à Nubécourt (Meuse), dans son département natal.
Mandats électifs
Député de la Meuse (1887-1903)
Sénateur de la Meuse (1903-1913 puis 1920-1934)
Président de la République (1913-1920)
Conseiller général de la Meuse : 1886-1913 / 1920-1934
Président du Conseil général de la Meuse : 1910-1913
Fonctions gouvernementales
Ministre de l'Instruction publique en 1893 puis en 1895.
Ministre des Finances en 1894.
Il fut cinq fois président du Conseil :
du 14 janvier 1912 au 21 janvier 1913, cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
29 mars 1924 au 1er juin 1924
du 23 juillet 1926 au 6 novembre 1928 cumule ces fonctions avec les Finances
du 11 novembre 1928 au 20 juillet 1929
Décorations
Grand-croix de la Légion d'honneur en 1913 en tant que président de la République.
Grand-Maître de la Légion d'honneur de 1913 à 1920
Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (Espagne) en 1913
Œuvres de Raymond Poincaré
Du droit de suite dans la propriété mobilière, 1883.
Idées contemporaines, 1906.
Questions et figures politiques, 1907.
Messages, discours, allocutions, lettres et télégrammes (1914-1919), 1919.
Histoire politique, chroniques de quinzaine, 4 vol. , 1921-22.
Au service de la France, neuf années de souvenirs, 1926-1934.
L'Invasion 1914, Paris, Plon (livre tiré à 100 exemplaires qui retrace le septennat du président).
Ce que demande la cité, Hachette, 1911. Vingt textes de Raymond Poincaré extraits de la revue pour enfants "Au seuil de la vie" (Hachette, 1910). Réédition en 2010 aux Éditions Nouvelles Mémoires (voir bibliographie).
Bibliographie
Henry Girard, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, à l'Élysée, A. Méricant, 1913
René Dumesnil, Poincaré, Flammarion, vers 1930
Gaston Gros, Mr. Poincaré mémorialiste (sa psychologie), Ed. Baudinière, 1930
Dr. Georges Samné, Raymond Poincaré, Politique et personnel de la IIIe République, Les œuvres représentatives, 1933
Fernand Payen, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, au Palais, Grasset, 1936
Jacques Chastenet, Raymond Poincaré, Julliard, 1948
Pierre Miquel, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 1961.(Prix Broquette-Gonin de l'Académie française)
Pierre Miquel, Les Souvenirs de Raymond Poincaré, publication critique du XIe tome avec Jacques Bariéty, Plon, 1973
Daniel Amson, Raymond Poincaré, l'acharné de la politique, Tallandier, 1997
John Keiger, Raymond Poincaré, Cambridge, Cambridge University Press, 1997
S. Jeannesson, Poincaré, la France et la Ruhr (1922-1924), histoire d'une occupation, Presses universitaires de Strasbourg, 1998
François Roth, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 2000
Alain Ostenga et Christian Gérini, "Raymond Poincaré. Ce que demande la cité", Pierrefeu du Var, Éditions Nouvelles Mémoires, diffusion : HDiffusion, 6 rue de la Sorbonne, 75005 Paris, 2010.
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