Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Laura Branigan, née le 3 juillet 1957 à Brewster (New York) et morte le 26 août 2004 à East Quogue (New York), est une chanteuse américaine de pop music des années 1980 et 1990.
Laura Branigan suit les cours de la Academy of Dramatic Arts à New York et finance ses études en travaillant comme serveuse. Dans les années 1970, elle devient la chanteuse du groupe Meadow. Elle est choriste pour Leonard Cohen avant d'être engagée en 1979 par Ahmet Ertegün pour le label Atlantic Records. Elle sort son premier album, Branigan, en 1982. Sur cet album figure Gloria, chanson qui sera un tube en Italie — il faut dire que ce titre est une reprise du chanteur italien Umberto Tozzi, — avant de devenir un succès international l'année suivante quand il sera repris sur la bande originale du film d'Adrian Lyne Flashdance, elle reprendra aussi en anglais le titre Ti amo.
Laura Branigan connaît l'année suivante un succès mondial énorme avec une reprise d'un autre chanteur italien, Raf, intitulée Self Control, les deux versions sortant presque en même temps. Ce morceau se classe dans les meilleures places en Europe (nº 1 notamment en Allemagne), mais aussi aux États-Unis.
Laura Branigan joue la comédie dans des films indépendants comme Mugsy's Girls (1985) ou Backstage (1988). Elle fait aussi des apparitions dans des séries télévisées comme CHiPs ou Automan.
Ironiquement, deux des chansons de Laura Branigan rencontrent un succès plus important lorsqu'elles sont reprises par d'autres artistes : How Am I Supposed to Live without You? par Michael Bolton en 1990 et I Found Someone en 1985 reprise par la chanteuse Cher, elle reprend une chanson du groupe suédois ABBA The Winner Takes It All, aussi Forever Young du groupe allemand Alphaville, le titre Cry wolf de Stevie Nicks ainsi qu'une chanson du chanteur autrichien Falco.
On lui a souvent attribué par erreur le titre The Power of Love repris par Céline Dion en 1994, car elle l'a repris. Ce morceau sorti en 1985 est de Jennifer Rush, autre artiste newyorkaise. Des duos comme Believe Me avec David Hasselhoff, Sin hablar avec Luis Miguel et Heart of Me avec Marc Cerrone.
Laura Branigan se retire du monde du spectacle en 1994 quand on diagnostique un cancer du côlon chez son mari Larry Kruteck. Celui-ci meurt en 1996.
En 2002, elle fait son retour sur la scène dans le rôle de Janis Joplin pour la comédie musicale off-Broadway Love, Janis.
Laura Branigan s'éteint à l'âge de 47 ans le 26 août 2004 d'une rupture d'anévrisme.
Albums studio
Branigan (1982)
Branigan 2 (1983)
Self Control (1984)
Hold Me (1985)
Touch (1987)
Laura Branigan (1990)
Over My Heart (1993)
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Les Radium Girls sont des ouvrières américaines ayant été exposées pendant de longues périodes à du radium contenu dans une peinture utilisée pour marquer des cadrans lumineux. Elles ont reçu de fortes doses de rayonnements ionisants à l’usine de l’United States Radium Corporation (US Radium), à Orange dans le New Jersey vers 1917. Cinq d'entre elles se firent connaître par leurs efforts visant à assigner leur employeur en justice. Quelques-unes sont décédées au cours de la procédure judiciaire des suites de leur exposition antérieure au rayonnement.
United States Radium Corporation
De 1917 à 1926, l’United States Radium Corporation s’est lancée dans l'extraction et la purification du radium à partir du minerai de carnotite pour produire une peinture fluorescente, commercialisée sous la marque « Undark ». Sous contrat avec le Département de la Défense des États-Unis, l’US Radium était un important fournisseur de montres radioluminescentes pour l'armée. Son usine du New Jersey employait plus d'une centaine de travailleurs, principalement des femmes, pour peindre au radium les cadrans des montres lumineuses.
Le cas des Radium Girls tient une place importante dans l'histoire, à la fois dans le domaine de la santé et dans celui du mouvement pour les droits des salariés. L’United States Radium Corporation avait embauché quelque 70 femmes pour accomplir différentes tâches, y compris la manipulation du radium, tandis que les propriétaires et techniciens qui travaillaient pour eux — connaissant les effets nocifs du radium — avaient soigneusement évité de s’exposer eux-mêmes au danger; les chimistes de l'usine utilisaient des écrans de plomb, des masques et des pinces. On estime que 4 000 travailleurs ont été embauchés par la société aux États-Unis et au Canada pour peindre au radium le cadran des montres.
Par jeu, les Radium Girls peignaient leurs ongles, leurs dents et leur visage avec la peinture mortelle fabriquée à l'usine, parfois pour surprendre leur petit ami quand les lumières s'éteignaient. Elles mélangeaient de la colle, de l'eau et du radium en poudre, et ensuite elles se servaient de pinceaux en poils de chameau pour appliquer la peinture luminescente sur les numéros des cadrans. La rémunération alors en vigueur, pour peindre 250 cadrans par jour, était d'environ un cent et demi par cadran. Les pinceaux s’abîmaient au bout de quelques coups, aussi les contremaîtres de l’US Radium encourageaient les ouvrières à épointer les pinceaux avec leurs lèvres, ou à se servir de leur langue pour les effiler.
Beaucoup de femmes ont commencé bientôt à souffrir d’anémie, de fractures osseuses, et de nécrose de la mâchoire. Plus tard apparurent des tumeurs cancéreuses des os (ostéosarcomes). Quatre premiers décès sont signalés entre 1922 et 1924.
Les appareils de radiographie, assez primitifs à l’époque, pourraient avoir contribué à aggraver l’état des travailleurs en mauvaise santé en les soumettant à des doses de radiations supplémentaires au cours des soins médicaux qu’ils ont dû suivre. Il s'est avéré qu’au moins l'un des cas attribués à la radiographie était mensonger, monté de toutes pièces par un avocat de l'US Radium Corporation, dans une véritable campagne de désinformation.
L’US radium et d'autres sociétés fabriquant des cadrans de montre rejetaient les plaintes des travailleurs atteints, leurs souffrances n'étaient pas consécutives à l'exposition au radium, mais à des « impuretés dans la peinture ». Pendant un certain temps, les médecins, les dentistes et les chercheurs firent l’objet de pressions de la part des entreprises pour ne pas divulguer leurs données. À la demande pressante des employeurs, les décès des travailleurs étaient attribués par les professionnels de santé à d'autres causes. La syphilis a souvent été citée dans de nombreuses tentatives de dénigrement pour ruiner la réputation de ces femmes.
Importance
L'histoire de ces abus perpétrés contre des travailleurs se distingue de la plupart des autres cas analogues par le fait que le contentieux qui s'est ensuivi a été largement relayé par les médias. Une ouvrière de l’usine Grace Fryer a décidé d'intenter des poursuites, mais il a lui fallu deux ans pour trouver un avocat prêt à assigner l’US Radium devant les tribunaux en 1927. Au total, quatre ouvrières de l'usine, surnommées les « Radium Girls », ont rejoint le mouvement. L’indemnisation des victimes du radium s’est montée à 10 000 $ plus 600 $ annuels pour chacune des plaignantes, qui (quasiment) moururent toutes entre 1928 et 1933
.
Le droit individuel des travailleurs à engager des poursuites à l’encontre des sociétés qui les emploient en raison d’un préjudice subi au travail a été établi par le précédent de l'affaire des « Radium Girls ». Dans le sillage de l'affaire, les normes de sécurité industrielle furent notablement améliorées pour de nombreuses décennies.
Toutefois, en ce qui concerne les règlementations sur le radium, il faudra attendre la mort, en 1932, d'un riche industriel, intoxiqué par un fortifiant au radium, le « Radithor ».
Le Radium jaw (la mâchoire du Radium) a été identifiée comme une maladie professionnelle provoquée par l'ingestion et l'absorption de radium dans les os des peintres de cadrans lumineux. Les symptômes sont l’ostéonécrose soit du maxillaire inférieur, soit du maxillaire supérieur, ainsi que des saignements des gencives et après plusieurs années, des tumeurs de l’os de la mâchoire inférieure (ostéosarcome).
La maladie a été reconnue pour la première fois par le Dr H. S. Martland en 1924, comme consécutive à l'ingestion de peinture au radium après que de nombreuses travailleuses de diverses entreprises similaires utilisant cette substance eurent signalé des douleurs des dents et de la mâchoire. La maladie ressemble au « Phossy jaw », la maladie des ouvrières des manufactures d’allumettes, provoquée par l'ingestion et l'absorption de phosphore. L’ostéosarcome figure actuellement encore en France sur la liste des maladies inscrites au Tableau no 6 des maladies professionnelles.
Robley D. Evans a réalisé les premières mesures du radon dans l’air expiré et dosé le radium excrété dans les urines d'un ancien peintre de cadrans lumineux dès 1933. Au MIT il a pu mesurer de manière fiable la charge corporelle en radium pour 27 peintres de cadrans. Ces analyses ont été utilisées en 1941 par le National Bureau of Standards pour fixer la charge corporelle admissible pour le radium, dite dose de tolérance, à 0,1 μCi, soit 3,7 kBq.
Le Centre pour la radiobiologie humaine a été créé à l’Argonne National Laboratory en 1968. Le premier objectif du Centre était de réaliser des examens médicaux sur les peintres de cadrans lumineux encore vivants. Le projet a également mis l'accent sur la collecte d'informations et, dans certains cas, des échantillons de tissus provenant des peintres de cadran au radium. Lorsque le projet a pris fin en 1993, des informations détaillées avaient été recueillies sur 2403 cas. Aucun symptôme n’a été observé chez les peintres ayant reçu moins de 1 000 fois la dose d’irradiation naturelle par le 226Ra absorbée par les individus non exposés, ce qui suggère l’existence d'un seuil pour les affections malignes induites par le radium
Dès 1937, une screwball comedy, La Joyeuse Suicidée, met en scène une « radium girl » (interprétée par Carole Lombard) empoisonnée par son travail.
L'histoire des travailleurs a été dépeinte par le poème « Radium Girls » d’Eleanor Swanson, paru dans son œuvre, A Thousand Bonds : Marie Curie and the Discovery of Radium (2003).
L’écrivain D. W. Gregory a retracé également l'histoire de Grace Fryer dans sa pièce primée aux awards Radium Girls, qui fut créée en 2000 au Playwrights Theatre of New Jersey à Madison, dans le New Jersey.
Il y a aussi une référence à cette histoire dans un des romans de Kurt Vonnegut.
Le poète Lavinia Greenlaw a aussi écrit sur le sujet dans son poème « The Innocence of Radium » (Night Photograph, 1994).
Le livre de Ross Mullner Deadly Glow: The Radium Dial Worker Tragedy décrit de nombreux événements précédant et entourant l’histoire des Radium Girls.
Jean-Marc Cosset, cancérologue-radiothérapeute, professeur à l'institut Curie de Paris, a romancé l'histoire dans un thriller : Radium girl, publié en 2013.
Anne-Sophie Nédélec a écrit la pièce de théâtre Radium girls en 2018
Vie des anciennes ouvrières après le scandale
Mae Keane, sans doute la dernière radium girl, est décédée en 2014 à l'âge de 107 ans; bien qu'elle n'ait manipulé du radium que pendant quelques mois, elle avait perdu ses dents et contracté un cancer du colon et un cancer du sein dans les années qui ont suivi
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Mort de Linda Cristal, la fougueuse beauté qui donna la réplique à John Wayne, Tony Curtis ou Charles Bronson
D'origine argentine, cette star américaine des années 1960 s'est éteinte à Beverly Hills à l'âge de 89 ans. Elle a joué dans Comanche, Alamo, Les Deux cavaliers, Les Légions ou Mister Majestyk.
Elle restera sans doute dans la mémoire des cinéphiles telle une ardente beauté mexicaine qui donna la réplique à des légendes d'Hollywood, tels que John Wayne, Tony Curtis, James Stewart, ou Charles Bronson. D'origine argentine, Linda Cristal s'est éteinte samedi à l'âge de 89 ans à son domicile de Beverly Hills, en Californie. Sa mort a été confirmée par son fils Jordan Wexler, qui a dit qu'elle était morte dans son sommeil.
Linda Cristal aura tout d'abord tourné une douzaine de films au Mexique avant d'arriver à Hollywood pour son premier rôle anglophone, dans le film Comanche (1956) de George Sherman, incarnant la fille kidnappée d'un aristocrate espagnol au Mexique.
Née Marta Victoria Moya Burges, le 23 février 1931 à Buenos Aires, Linda Cristal passe d'abord sa jeunesse en Argentine. Son père Antonio Moya Burges est un immigrant français, un homme de presse qui publie des magazines. Sa mère Rosario Pego est italienne. Dans plusieurs interviews, Linda Cristal a déclaré que son père était entré en conflit avec un gang criminel et avait dû fuir avec sa famille à Montevideo, en Uruguay. À l'âge de 13 ans, ses deux parents meurent d'une intoxication au monoxyde de carbone dans leur voiture.
À l'adolescence, Linda Cristal étudie le chant et le piano au conservatoire. À l'âge de 16 ans, elle épouse l'acteur argentin Tito Gómez. Le mariage sera annulé après seulement quelques semaines. La future Linda Cristal pense alors suivre l'exemple de ses cinq tantes et entrer dans un couvent. Le destin en décidera autrement. Lors d'un voyage au Mexique avec son frère aîné, elle est repérée par le producteur Miguelito Alemán qui lui offre un petit rôle dans l'un de ses films. Sous le nom de Linda Cristal, la jeune femme tourne huit films avec l'acteur et producteur Raúl de Anda.
Des emplois de « jeunes femmes en détresse »
C'est à cette époque que l'actrice décide de tenter sa chance à Hollywood. Elle apprend par une petite annonce parue dans un journal mexicain que United Artists cherche une actrice mexicaine parlant anglais. Elle a 17 ans et ne parle pas anglais. Elle se présente pourtant au casting, obtient le script et un contrat de sept ans. Son premier film américain sera donc un western réalisé par George Sherman, Comanche, sorti en 1956 avec Dana Andrews.
Le cinéaste Blake Edwards la repère et l'engage deux ans plus tard dans sa comédie Vacances à Paris, (« The Perfect Furlough » en 1958), où elle donne la réplique à Tony Curtis et Janet Leigh. Elle incarne une star argentine, Sandra Roca, qui accompagne le caporal Paul Hodges à Paris. Grâce à ce rôle, elle remporte l'année suivante le prix de la révélation de l'année aux Golden Globes.
À la fin des années 1950, sa carrière cinématographique américaine se cantonne hélas à des emplois de « jeunes femmes en détresse » dans des westerns. Après être apparue dans Duel dans la sierra (« The Last of the Fast Guns », 1958), Le Tueur à la voix douce (« The Fiend Who Walked the West », 1958), elle apparaît dans La Fin d'un voyou (« Cry Tough»,1959), drame sur les Portoricains à New York.
Lasse d'incarner des beautés mexicaines, Linda Cristal tente de briser son image sensuelle d'actrice latino en jouant Cléopâtre dans Les Légions de Cléopâtre (Le legioni di Cleopatra), peplum italien signé Vittorio Cottafavi. Au moment où le film s'apprête à sortir aux Etats-Unis, la 20th-Century Fox annonce qu'elle vient de signer un contrat mirobolant avec Elizabeth Taylor pour la future super production de Joseph L. Mankiewicz, Cléopâtre. Le studio Fox rachète le film de Linda Cristal, le renomme Les Légions du Nil et lui réserve une sortie limitée en novembre 1960. Le film ne laissera aucune trace au Box-office américain.
Linda Cristal ne se décourage pas et retourne à Hollywood où elle joue aux côtés de John Wayne dans Alamo. Elle enchaîne avec un western de John Ford Les Deux Cavaliers (« Two Rode Together », en 1961) dans le rôle d'une noble mexicaine kidnappée, face à James Stewart et Richard Widmark.
À la télévision, Linda Cristal restera l'indomptable Victoria Montoya Cannon, dans la série télévisée Chaparral. Elle apparaît aussi dans la série western Rawhide où le jeune Clint Eastwood fait ses premières armes.
C'est dans Mr. Majestyk que Linda Cristal donne son dernier rôle marquant. Signé Richard Fleischer (le réalisateur de Soleil Vert), ce polar en forme de western moderne sorti en 1973 lui permet de s'offrir une romance avec Charles Bronson. Elle incarne une jolie journalière mexicaine, Nancy Chavez, qui va aider un vétéran du Vietnam reconverti en cultivateur de pastèques à affronter un tueur de la mafia et ses sbires. Mr. Majestyk est très souvent cité parmi les films préférés de Quentin Tarantino. En 1988, Linda Cristal sortira une dernière fois de sa retraite pour la série télé General Hospital.
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Une journée en enfer ou Marche ou crève : Vengeance définitive au Québec (Die Hard with a Vengeance) est un film d'action américain réalisé par John McTiernan, sorti en 1995. C'est le troisième opus de la saga Die Hard.
En 1995, il a été le plus gros succès mondial au box-office, avec des recettes cumulées dépassant les 366 millions de dollars
New York, 1995. Un magasin est soufflé par l'explosion d'une bombe. L'attentat est revendiqué par un inconnu se faisant appeler Simon. Celui-ci exige que le lieutenant John McClane, alors suspendu de ses fonctions, se livre à un périlleux « Jacques a dit » à travers toute la ville. S'il n'obéit pas aux directives de Simon, d'autres bombes exploseront. Zeus Carver, un électricien et antiquaire afro-américain que McClane a rencontré à Harlem, est embarqué contre sa volonté dans cette journée infernale.
Fiche technique
Titre original : Die Hard with a Vengeance
Titre français : Une journée en enfer
Titre québécois : Marche ou crève : Vengeance définitive
Titre de travail : Die Hard: New York
Réalisation : John McTiernan
Scénario : Jonathan Hensleigh, d'après certains personnages créés par Roderick Thorp
Musique : Michael Kamen
Photographie : Peter Menzies Jr.
Montage : John Wright
Décors : Jackson DeGovia
Production : Debbie Allen, John McTiernan et Michael Tadross
Production déléguée : Buzz Feitshans, Joe Gareri, Andrew G. Vajna et Robert Lawrence
Sociétés de production : 20th Century Fox et Cinergi Pictures
Distribution : Gaumont Buena Vista International (France), 20th Century Fox (États-Unis)
Format : Couleurs (Technicolor) - DTS / Dolby Digital / SDDS - 2,35:1 - 35 mm
Budget : 90 millions de dollars
Pays d'origine : États-Unis
Langue originale : anglais
Genre : action, policier
Durée : 128 minutes
Dates de sortie :
États-Unis : 15 mai 1995 (première à New York), 19 mai 1995 (sortie nationale)
France : 2 août 1995
Film classé Tous publics lors de sa sortie en salles, mais déconseillé aux moins de 12 ans à la télévision
Distribution
Bruce Willis : le lieutenant John McClane
Jeremy Irons : Simon Peter Gruber
Samuel L. Jackson : Zeus Carver
Larry Bryggman : l'inspecteur Walter Cobb
Graham Greene : le détective Joe Lambert
Colleen Camp : le détective Connie Kowalski
Anthony Peck : l'inspecteur Ricky Walsh
Nick Wyman : Mathias Targo
Sam Phillips : Katya, la compagne de Simon
Kevin Chamberlin : Charles « Charlie » Weiss
Sharon Washington : l'officier Jane
Stephen Pearlman : Dr. Fred Schiller
Michael Alexander Jackson : Dexter, le neveu de Carver
Aldis Hodge : Raymond, le neveu de Carver
Mischa Hausserman : Mischa
Edwin Hodge : l'ami de Dexter
Robert Sedgwick : Rolf
Tony Halme : Roman
Bill Christ : Ivan
Charles Dumas : Andy Cross
Michael Cristofer : Bill Jarvis
John Doman : le contremaître du chantier
Richard E. Council : Otto
Damien Demento : Erik
Ivan Skoric : l'homme de Targo
Richard Russell Ramos : le chef du FBI
Antonia Rey : Mme Stella
Deux scénarios ont d'abord été envisagés avant celui utilisé ici. Le premier, écrit par James Haggin est titré Troubleshooter, voyait John McClane en croisière aux Caraïbes avec sa famille aux prises avec de nouveaux terroristes. L'idée est abandonnée quand Piège en haute mer avec Steven Seagal entre en préproduction en 1992. Le second script, écrit par Doug Richardson (scénariste du précédent volet) et John Fasano, avait pour toile de fond la prise de contrôle du métro de Los Angeles. Mais Bruce Willis s'y opposa, jugeant que l'action était trop proche de celle du film précédent, 58 minutes pour vivre, voulant un lieu plus vaste pour l'action principale. Le script utilisé est préalablement nommé Simon Says. Le personnage qui sera plus tard Zeus est alors un personnage féminin. Le producteur Joel Silver a un temps voulu utiliser l'intrigue pour L'arme fatale 3. Le script est ensuite réadapté au style de la série Die Hard. Jonathan Hensleigh déclare cependant que toute la première heure est quasiment mot pour mot ce qu'il avait écrit à l'origine. Une journée en enfer est alors le premier film de la saga basé sur une script original et non d'après un roman.
Après avoir finalisé le script, Jonathan Hensleigh est longuement interrogé par le FBI, inquiet des précisions présentes dans le scénario concernant la vulnérabilité de la réserve fédérale d'or, la proximité du métro ou l'utilisation de l'aqueduc par les camions, toutes bien trop véridiques à leur goût.
Le poste de réalisateur est proposé à Danny Cannon, mais il préfère se consacrer à Judge Dredd (1995). John McTiernan, réalisateur du premier film, revient finalement pour ce troisième volet. Il refuse quant à lui de mettre en scène Batman Forever pour faire ce film.
Sean Connery est pressenti pour incarner le méchant Simon Gruber mais l'acteur décline l'offre, trouvant la cruauté du personnage trop élevée. Les scénaristes se sont par la suite tournés vers un autre acteur britannique, David Thewlis, avant que le rôle ne soit finalement décroché par Jeremy Irons. L'acteur Anthony Peck, qui tient ici le rôle de Ricky Walsh, était déjà présent dans le premier volet, Piège de cristal où il incarnait un policier (on le voit notamment aux côtés d'Al Powell et Dwayne Robinson pendant les négociations). Il joue ici aussi le rôle d'un policier, peut-être le même, mais rappelons que dans Piège de cristal il incarnait un policier de Los Angeles, or ici, il incarne un policier de New York.
L'acteur Laurence Fishburne est le premier choix pour incarner Zeus. Le rôle revient finalement à Samuel L. Jackson. Il est suggéré par Bruce Willis, avec lequel il vient de tourner Pulp Fiction (1994). Le scénariste Jonathan Hensleigh avait écrit le rôle en pensant à Brandon Lee.
Bonnie Bedelia, qui incarne Holly la femme de John McClane dans les deux précédents films, a refusé d'apparaître dans ce troisième film.
La chanteuse Sam Phillips (en) est choisie pour incarner Katya après qu'un producteur ait vu l'une de ses pochettes d'album.
Anthony Peck, qui incarne ici Ricky Walsh, jouait un tout autre rôle dans le premier film.
John McTiernan Sr., le père du réalisateur, incarne ici un pêcheur.
Le film a été tourné du 30 juillet au 21 décembre 1994. Il se déroule principalement à New York, notamment à Manhattan (Central Park, Federal Reserve Bank of New York, Broadway, East Village, Tompkins Square Park), dans le Bronx (Yankee Stadium) et à Brooklyn. Des scènes sont également tournées dans d'autres États : dans le Connecticut (Comté de Fairfield), dans le Maryland (Jessup) et en Caroline du Sud (Beaufort, comté de Berkeley, Charleston, Dorchester).
Durant le tournage, le panneau sandwich que porte Bruce Willis vers le début du film était vierge. Cette décision avait été prise par la production afin de n'offenser personne et de ne pas rencontrer d'obstacle lors de sa diffusion télévisée. Puis, une inscription a finalement été inscrite « I hate every body » (« je hais tout le monde »). Cette première inscription a servi durant la version initiale du tournage. Finalement, en postproduction, l'inscription a été transformée en « I hate niggers » (« je hais les nègres »). Cette dernière inscription a été définitive puisque c'est celle qui est visible dans la version finale du film. La Fox voulait supprimer cette scène du scénario mais est finalement revenue sur sa décision lorsque le scénariste Jonathan Hensleigh menaça de vendre le scénario à un autre studio
Michael Kamen revient pour la 3e fois (et dernière) comme compositeur. En plus de ses compositions, la bande originale comprend également des symphonies de Ludwig van Beethoven, ainsi que Les Fonderies d'acier d'Alexandre Mossolov. Dans le film, on peut entendre à plusieurs reprises When Johnny Comes Marching Home, issue du folklore américain, notamment lors de l'attaque de la banque.
En décembre 2012, La-La Land Records réédite une version limitée double album
Summer in the City – The Lovin' Spoonful (2:44)
Goodbye Bonwits (6:28)
Got it Covered – Fu-Schnickens (4:13)
John and Zeus (3:19)
In Front of Kids – Extra Prolific (2:44)
Papaya King (5:20)
Take A-nother Train (2:55)
The Iron Foundry – Alexandre Mossolov (3:08)
Waltz of the Bankers (4:13)
Gold Vault (march of the ants) (3:45)
Surfing in the Aqueduct (2:30)
Symphony No. 1 (4th Mvmt., Excerpts) – Johannes Brahms (15:00)
Symphony No. 8 (4th Mvmt., Excerpts) – Ludwig van Beethoven (9:46)
Accueil
John McTiernan voulait repousser la sortie du film car il pensait que le public américain pourrait être sensible à certaines scènes d'action à la suite de l'Attentat d'Oklahoma City survenu en avril 1995, environ un mois seulement avant la sortie américaine du film.
En France, Une journée en enfer est sorti pendant la vague d'attentats sanglants à Paris courant juillet 1995. Cela n'a pas annulé ou reporté sa sortie, malgré toutes les affiches présentes pour l'occasion à Paris et montrant Bruce Willis devant une explosion avec le sous-titre « Un été explosif ! »
Lors de sa sortie en salles, Une journée en enfer obtient un accueil mitigé des critiques : dans les pays anglophones, il obtient 51 % d'avis favorables sur le site Rotten Tomatoes, pour 45 critiques et une moyenne de 5,7⁄1010 et un score de 58⁄100 sur le site Metacritic, pour 19 critiques.
Le film n'est pas un immense succès sur le sol américain (100 millions de dollars pour 90 millions de budget). Cependant, le film est un succès total à l'international : il est le meilleur film de l'année 1995 dans le monde en termes de recettes
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis | 100 012 499 $ | 9 juillet 1995 | 8 |
France | 3 458 382 entrées | - | - |
Total mondial | 366 236 538 $ | - | - |
Fin alternative
Ce troisième volet de la série dispose d'une fin alternative, disponible sur le DVD. Elle n'a pas été ajoutée à la version finale du film car John McTiernan jugeait que McClane était présenté sous un angle trop cruel et menaçant ce qui ne correspond pas à sa personnalité. Dans celle-ci, Simon Gruber est parvenu à échapper aux autorités et coule désormais une retraite tranquille dans un pays d'Europe de l'Est. John McClane, au chômage, le retrouve et, après une discussion, le force à jouer à un jeu d'énigmes avec un M72 LAW dépourvu d'organes de visée : s'il ne trouve pas la réponse, il doit actionner la détente. Sans la visée, il est impossible de distinguer l'avant de l'arrière. Après quelques tours, Simon finit par échouer et retourne l'arme contre McClane. Croyait-il.
Clins d'oeil
Le nom du Dr. Fred Schiller est une allusion à Friedrich von Schiller, qui a écrit le poème utilisé dans Ode à la joie de Ludwig van Beethoven, présent à plusieurs reprises dans Piège de cristal.
Un clin d'œil y est fait à Predator 2 lorsque McClane téléphone à une ambulance qui dit qu'il y a deux policiers à terre, un peu plus tard on y entend brièvement la musique du film.
Un clin d'œil est fait au film Les Dents de la mer de Steven Spielberg : une affiche montre un requin quand McClane est dans le métro quand il voit la bombe.
Une référence faite lors du signe de croix "nord, sud, est, ouest" est à s'y méprendre au film Le Bon, la Brute et le Truand quand Tuco, incarné par Eli Wallach, fait exactement le même signe de croix en rapidité.
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12/06/2020 à 17h08 | par La Rédaction | Crédits photos : Getty
Principalement connue pour avoir fait plusieurs fois la prestigieuse couverture de playboy, la playmate Ashley Mattingly commettait l’irréparable en mettant fin à ses jours il y a plus d’un mois. On apprend aujourd'hui comment cela s'est passé.
C'est la sœur d'Ashley, Chrity, et son frère jumeau Billy qui informaient le site TMZ de la tragique nouvelle il y a un mois et demi. Ashley Mattingly, la Miss Mars 2011 du magazine Playboy avait mis fin à ses jours, laissant derrière elle une note expliquant son geste. Elle avait 33 ans. La jolie blonde était retrouvée inanimée chez elle, vendredi 17 avril, par le département de police d'Austin dépêché sur place après d’un ami inquiet de de ne plus avoir de nouvelles d’Ashley. Dans un communiqué envoyé à la presse, le frère et la sœur de la jeune femme déclaraient : « Nous apprenons que notre sœur adorée, avec une personnalité incroyable, s'est donné la mort. Ashley a déménagé pour être plus proche de nous, à Austin, il y a deux ans. Ce n'est peut-être pas un secret, mais elle luttait contre une addiction à l'alcool et à certaines substances, mais elle voulait aller mieux et travaillait en ce sens. »
Ashley Mattingly a utilisé une arme à feu
Ce 12 juin 2020, le site américain TMZ a eu accès au rapport du médecin légiste qui a ausculté la dépouille d’Ashley Mattingly. Dans son sang, ont été retrouvées des « traces d’opiacés et des benzodiazépines », des molécules que l’on retrouve dans le Valium par exemple. On y apprend également que la jeune femme a mis fin à ses jours en se tirant une balle dans la tête. Le médecin détaille la technique employée en précisant qu’Ashley Mattingly a placé le pistolet dans la bouche avant d’appuyer sur la détente. Un acte dont l'ultra-violence prouve la détresse ultime dans laquelle devait se trouver Ashley Mattingly.
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Coronavirus : à New York, les autorités recommandent le port
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Coronavirus : à New York, les autorités recommandent le port du masque pendant l'acte sexuel
Le département de la Santé de la ville de New York a publié plusieurs directives concernant les relations sexuelles en temps de Covid-19. Où il y est également conseillé d'être "créatif avec les positions sexuelles et les barrières physiques."
Avec plus de 112 000 morts du coronavirus, les États-Unis sont le pays au monde le plus durement touché par la pandémie. De quoi inciter les autorités sanitaires à publier de nombreuses recommandations pour informer le public des mesures à prendre. C'est ce qu'a fait le département de la Santé de la ville de New York, afin que les habitants de Big Apple puissent avoir des relations sexuelles en toute sécurité, révèle CNN.
Le document conseille ainsi de se protéger pendant l'acte à l'aide d'un masque, le virus se propageant par la salive et la respiration, et de se montrer "créatif".
"Soyez créatifs avec les positions sexuelles et les barrières physiques, comme les murs, qui permettent le contact sexuel tout en empêchant le contact face à face", suggère le guide, qui détaille de nombreuses mesures, du sexe en groupe à celui en extérieur.
"Vous êtes votre partenaire sexuel le plus sûr"
Autre point important, les autorités recommandent d'avoir des relations sexuelles avec des personnes proches. Pour ceux qui souhaitent des aventures en dehors de leur cercle, le département souligne qu'il est important de surveiller les symptômes du coronavirus, et de se faire tester de manière fréquente, au moins une fois par mois.
"Vous êtes votre partenaire sexuel le plus sûr", ajoutent les autorités sanitaires, rappelant au passage que les personnes de 65 ans et plus sont davantage à risque.
Enfin, les autorités insistent sur le fait que si des traces du virus ont été retrouvées dans le sperme humain, aucune étude ne prouve à ce jour qu'une contamination par les rapports sexuels soit possible.
Aux Etats-Unis, New York n'est pas le seul Etat à avoir pris ce problème des relations sexuelles au sérieux en ces temps de pandémie. CNN liste ainsi des initiatives du même type dans les Etats de Washington, de l'Oregon ou au Texas.
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Moins de 3,8 millions de bébés ont vu le jour sur le territoire américain en 2018, un chiffre en recul pour la quatrième année consécutive. Le nombre d'enfants par femme ne cesse de diminuer, sauf pour les plus de 35 ans.
Les Américains font de moins en moins d'enfants. Le pays n'a enregistré en 2018 que 3.788.235 naissances, soit une baisse de 2 % sur un an, selon les données provisoires publiées ce mercredi par le Centre national des statistiques sur la santé (NCHS). Avec cette quatrième année de baisse consécutive, le nombre de bébés nés sur le sol américain atteint un plus bas depuis 32 ans.
En rapportant ce nombre à celui des Américaines en âge de procréer, on retrouve une baisse de 2 %, à 59 naissances pour 1.000 femmes pendant l'année 2018. Jamais ce taux n'était tombé aussi bas. Il poursuit ainsi une baisse quasi continue depuis le baby-boom où il avait dépassé les 120 naissances pour 1.000 femmes à la fin des années cinquante.
Les Américaines donnent aussi naissance de plus en plus tard : le recul du taux de natalité ne concerne en effet que les femmes âgées de moins de 35 ans. Il augmente de 1 % pour les 35-39 ans et de 2 % pour les 40-44 ans. Il chute, à l'inverse, de 7 % pour les adolescentes (15-19 ans).
Ces moyennes cachent aussi des disparités régionales. D'après les calculs de Bloomberg , le Vermont a ainsi enregistré le taux de natalité (nombre de naissances pour 1.000 habitants) le plus faible du pays, à 8,7, en dessous de la moyenne nationale à 11,58. L'Utah se situe à l'autre extrémité, avec un taux de 15,77.
Il est en revanche encore difficile de calculer les disparités par origine ethnique, toutes les statistiques n'étant pas encore disponibles.
Sophie Amsili
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Le McDonnell Douglas F-15 Eagle est un avion de chasse tout temps dit de supériorité aérienne conçu par l'avionneur américain McDonnell Douglas dans les années 1970. Produit à plus de mille exemplaires, il est utilisé principalement par l'armée de l'air américaine (USAF), mais il a également été exporté vers quelques pays, dont Israël et le Japon, ce dernier l'ayant même construit sous licence. Une version spécialisée dans l'attaque au sol a également été mise au point, le F-15E Strike Eagle.
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