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Monde : Etats Unis

Armageddon (Film)

Publié à 11:29 par dessinsagogo55 Tags : chien center centerblog fille sur france saint animal musique société you film merci
Armageddon (Film)

 

 

Fiche technique



Réalisation : Michael Bay
Scénario : Jonathan Hensleigh et J. J. Abrams
Décors : Michael White
Costumes : Michael Kaplan et Magali Guidasci
Photographie : John Schwartzman
Montage : Glen Scantlebury
Musique : Trevor Rabin et Harry Gregson-Williams
additionnelle : Steve Jablonsky, John Van Tongeren, Don Harper, Martin Tillman et Justin Caine Burnett
Producteur : Jerry Bruckheimer
Sociétés de production : Touchstone Pictures, Jerry Bruckheimer Films
Société de distribution : Buena Vista Distribution
Langue : anglais
Genre : Catastrophe, science-fiction
Durée : 145 minutes
Date de sortie
États-Unis : 30 juin 1998 (Westwood, California) (première), 1 juillet 1998 (nationale)
France : 5 août 1998



Distribution


Bruce Willis (VF : Patrick Poivey ; VQ : Jean-Luc Montminy) : Harry S. Stamper
Billy Bob Thornton (VF : Joël Martineau ; VQ : Daniel Picard) : Dan Truman
Ben Affleck (VF : Jean-Pierre Michaël ; VQ : Pierre Auger) : Albert Jones "A.J." Frost
Liv Tyler (VF : Virginie Méry ; VQ : Christine Bellier) : Grace Stamper
Will Patton (VQ : Benoit Rousseau) : Charles "Chick" Chapple
Steve Buscemi (VF : Hervé Bellon ; VQ : François Sasseville) : Carotte (Rockhound)
William Fichtner (VF : Nicolas Marié ; VQ : Yves Corbeil) : Colonel William Sharp
Owen Wilson (VF : ? ; VQ : Luis De Cespedes) : Oscar Choi
Michael Clarke Duncan (VF : Saïd Amadis ; VQ : Guy Nadon) : Jayotis Kurleen, dit "l'Ours" (Bear)
Peter Stormare (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Colonel Lev Andropov (cosmonaute)
Ken Hudson Campbell (VF : Jean-Jacques Nervest ; VQ : Olivier Visentin) : Max Lennert
Jessica Steen (VF : Danièle Douet ; VQ : Élise Bertrand) : Colonel Jennifer Watts
Keith David (VF : Med Hondo ; VQ : Pierre Chagnon) : Général Kimsey
Jason Isaacs (VF : Hervé Jolly ; VQ : Carl Béchard) : Dr Ronald Quincy
Chris Ellis (VF : Jean-François Aupied ; VQ : Marc Bellier) : Walter Clark
Grayson McCouch : Gruber
Clark Heathcliffe Brolly (VF : Patrice Baudrier) : Frederick "Freddy" Noonan
Marshall R. Teague (VF : Marc Alfos ; VQ : Daniel Lesourd) : Colonel Davis
Anthony Guidera (VQ : Sylvain Hétu) : Tucker
Layla Roberts : Molly Mounds
Grace Zabriskie (VF : Perrette Pradier ; VQ : Johanne Garneau) : Dottie
Greg Collins : Lieutenant Halsey
Udo Kier (VF : Pierre Dourlens) : psychologue de la NASA
John Mahon (VF : Michel Fortin ; VQ : Ronald France) : Karl
Stanley Anderson (VQ : Claude Préfontaine) : le président des Étas Unis
Eddie Griffin (VF : Éric Métayer) : cycliste au chien
Charlton Heston (VQ : Éric Gaudry) : Narrateur



Bande originale



La bande originale est composée de 14 titres, dont 4 du groupe Aerosmith (dont le chanteur Steven Tyler est le père de l'actrice Liv Tyler, qui joue dans le film):

 

« I Don't Wanna Miss a Thing » - Aerosmith


« Remember me » - Journey
« What Kind of Love Are You On » - Aerosmith
« La grange » - ZZ Top
« Roll me away » - Bob Seger & the Silver Bullet Band
« When the rainbow comes » - Shawn Colvin
« Sweet Emotion » - Aerosmith
« Mister big time » - Jon Bon Jovi
« Come Together » - Aerosmith
« Wish I were you » - Patti Smith
« Starseed » - Our Lady Peace
« Leaving on a jet plane » - Chantal Kreviazuk
Theme from Armageddon composed and performed by Trevor Rabin
Animal crackers - Vocals by Steven Tyler - Dialogue spoken by Liv Tyler et Ben Affleck


Récompenses


MTV Movie Awards 1999
Meilleure chanson pour Aerosmith
Meilleure scène d'action
19e cérémonie des Razzie Awards
Pire acteur pour Bruce Willis



Nominations



Armageddon a été nommé quatre fois lors de la 71e cérémonie des Oscars :
Oscar du meilleur son
Oscar des meilleurs effets visuels
Oscar du meilleur montage sonore
Oscar de la meilleure chanson originale
Le film est également nommé six fois lors de la 19e cérémonie des Razzie Awards :
Pire actrice dans un second rôle pour Liv Tyler
Pire scénario pour Jonathan Hensleigh et J.J. Abrams
Pire couple à l'écran pour Ben Affleck et Liv Tyler
Pire film
Pire chanson originale
Pire réalisateur pour Michael Bay



Autour du film


La première partie du scénario reprend la trame du film Les Feux de l'enfer (Hellfighters, 1968) d'Andrew McLaglen qui conte les aventures d'un spécialiste des extinctions de puits de pétrole (inspiré de Red Adair) et ses rapports conflictuels avec sa fille qui vient d'épouser son jeune et intrépide associé.
La même année (1998) est sorti un autre film américain avec la même trame de scénario : Deep Impact qui lui est plus axé sur le côté humain de la catastrophe.
À ne pas confondre avec le film français Armaguedon d'Alain Jessua, dans lequel joue Jean Yanne.
Le film a été adapté en une attraction, Armageddon : Les Effets Spéciaux dans le parc à thème Walt Disney Studios. Un des Scarabées à 12 roues est exposé juste devant l'attraction.
Pour l'occasion du film, a été créée une insigne factice de mission, portant la mention "For all mankind" (Pour l'humanité tout entière) et le numéro STS-9?. Le dernier chiffre n'est pas montré mais impose tout de même, se situant entre les missions STS-90 et STS-99, que l'action du film se situe entre ces deux missions, soit entre le 17 avril 1998 et le 11 février 2000. Le film étant pour sa part sorti le 1er juillet 1998 aux États-Unis.
Parmi ceux qui regardent l'aperçu satellite de l'astéroide, la personne qui assemble les 4 parties du transparent en vue infrarouge n'est autre que le réalisateur Michael Bay.
On remarque qu'une partie de l'Indépendance brûle après son crash, et ce dans l'Espace.
Certaines scènes du film ont été tournées en France (Paris, Dinan, Saint-Coulomb, Baie du Mont-Saint-Michel).

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Armageddon_(film,_1998)  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
    Armageddon (Film)
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Boeing cessera la production du mythique «Jumbo Jet» 747

Publié à 17:19 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur monde maison air message blogs
Boeing cessera la production du mythique «Jumbo Jet» 747

Boeing cessera la production du mythique «Jumbo Jet» 747 en 2022

 

L'appareil, lancé en 1970, n'est plus assez rentable, notamment à cause de sa trop grande consommation de kérosène.

 

Par Le Figaro avec AFP
Mis à jour il y a 1 heure

L'avionneur Boeing a officiellement annoncé mercredi qu'il allait cesser en 2022 la production de son mythique appareil 747, que les compagnies aériennes retirent peu à peu de leur flotte. Lancé en 1970, le «Jumbo Jet» de Boeing peut transporter plus de 600 passagers dans certaines configurations.

 
 

Mais une telle capacité - et la consommation de carburant qu'elle implique -, le rendait moins rentable pour des sociétés frappées par la chute du transport aérien depuis le début de la pandémie de coronavirus. «Étant donné la dynamique actuelle du marché et des perspectives, nous arrêterons la production de l'emblématique 747 en 2022», a indiqué le directeur général de l'avionneur David Calhoun dans un message adressé aux employés.

 
 
1571 exemplaires commandés

 

«Notre engagement auprès de nos clients ne s'arrête pas à la livraison, et nous continuerons à soutenir la maintenance du 747 pendant encore longtemps», a-t-il ajouté. L'avion, dont 1.571 exemplaires ont été commandés au total, avait déjà quasiment cessé de voler aux États-Unis lorsque la compagnie américaine Delta l'avait retiré de sa flotte de transport de passagers en 2017.

Mais le 747 a vu sa lente agonie s'accélérer avec la pandémie de coronavirus qui a poussé plusieurs compagnies dont Qantas, British Airways et Lufthansa à annoncer récemment qu'elles allaient s'en séparer. Boeing continuait toutefois jusqu'à présent à fabriquer des 747 pour le transport de marchandises et les opérations militaires.

 
 

L'avion peut aussi encore compter sur le soutien du président des États-Unis et son Air Force One puisque deux 747-8, plus grands, plus modernes, plus rapides et moins gourmands en kérosène que les actuels 747-200, sont attendus par la Maison Blanche.

 

 
 
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Olivia de Havilland est morte

Publié à 20:23 par dessinsagogo55 Tags : center divers google film centerblog sur roman merci couples presse article femme mort fille nuit
Olivia de Havilland est morte
Olivia de Havilland, légende du cinéma hollywoodien, est morte

 

 

Figure de l’âge d’or du cinéma américain, célèbre pour le rôle de Melanie dans « Autant en emporte le vent », l’actrice doublement oscarisée est morte dimanche 26 juillet, à l’âge de 104 ans.

 

Par Muriel Godeau Publié aujourd’hui à 19h42, mis à jour à 19h49

 

 

Olivia de Havilland, actrice américaine doublement oscarisée, légende du cinéma hollywoodien, célèbre pour le rôle de Melanie dans le film culte Autant en emporte le vent (Victor Fleming, 1939), est morte à Paris, où elle résidait, dimanche 26 juillet, à l’âge de 104 ans. Elle « est décédée pacifiquement de causes naturelles », a annoncé son agente, Lisa Goldberg, à la presse.

 

Olivia de Havilland naît le 1er juillet 1916 à Tokyo. Son père, Walter Augustus de Havilland, est un avocat britannique et sa mère, Lilian Fontaine, actrice de théâtre. Sa sœur cadette, Joan Fontaine, née le 22 octobre 1917, embrassera également une carrière d’actrice. En 1919, ses parents se séparent. Lilian quitte le Japon avec ses deux filles et s’installe à Saratoga, près de San Francisco, en Californie.

 


Rivalités familiales

 

 

Lors de ses études universitaires, Olivia de Havilland joue dans une troupe de théâtre amateur Le Songe d’une nuit d’été. Elle est remarquée par le réalisateur Max Reinhardt (1873-1943). En 1935, il lui confie le rôle d’Hermia dans l’adaptation cinématographique de la pièce. Elle signe un contrat de sept ans avec les studios Warner Bros.

 
 

En 1935, Jack Warner décide de faire d’Olivia la partenaire d’un jeune acteur quasi inconnu, Errol Flynn (1909-1959), dans Capitaine Blood, de Michael Curtiz, qui connaît un très grand succès et restera une référence en matière de film de pirates. Les deux comédiens deviennent un des couples en vogue à Hollywood, mais uniquement à l’écran, Olivia de Havilland ayant toujours repoussé les avances d’Erroll Flynn. Ils tourneront ensemble huit films, dont Les Aventures de Robin des bois, du même Michael Curtiz en 1938.

 

« Je me suis mariée avant Olivia, j’ai remporté l’Oscar avant elle et, si je meurs la première, elle sera sans aucun doute furieuse que je l’aie battue », Joan Fontaine

 

Olivia de Havilland est sollicitée par le producteur David O. Selznick pour jouer dans Autant en emporte le vent (1939), mais elle ne peut accepter le rôle qu’en accord avec la Warner, avec laquelle elle est sous contrat. Le studio accepte de la « prêter » à son concurrent, la MGM, en échange de deux comédiens. L’actrice obtient donc le plus fameux second rôle de l’histoire du cinéma, celui de Melanie Hamilton, la vertueuse cousine de Scarlett O’Hara. Ce personnage vaut à Olivia de Havilland sa première nomination aux Oscars, dans la catégorie second rôle. En 2016, l’actrice se confiera dans Vanity Fair sur le personnage de Melanie : « La première fois que j’ai lu le roman, je n’arrivai pas à m’identifier au personnage de Melanie, mais en lisant le superbe scénario de Sidney Howard, je découvris une tout autre Melanie. Grâce au scénario, je l’aimai, je l’admirai, je l’adorai ! »

 

En 1942, elle est à nouveau nominée pour l’Oscar de la meilleure actrice pour le film Par la porte d’or, de Mitchell Leisen, face à sa sœur, Joan Fontaine, qui sera récompensée pour son rôle dans Soupçons, d’Alfred Hitchcock. L’inimitié latente des deux sœurs devient définitive à la suite de cette campagne pour l’Oscar. Cette rivalité sera largement exploitée par la presse hollywoodienne, jusqu’à la mort de Joan Fontaine, en 2013. « Je me suis mariée avant Olivia, j’ai remporté l’Oscar avant elle et, si je meurs la première, elle sera sans aucun doute furieuse que je l’aie battue », avait déclaré Joan Fontaine, illustrant la violence de leur relation.

 

Leslie Howard et Olivia de Havilland (Melanie) dans « Autant en emporte le vent » (Victor Fleming, 1939). Leslie Howard et Olivia de Havilland (Melanie) dans « Autant en emporte le vent » (Victor Fleming, 1939). Screen Prod/Photononstop Jurisprudence pour les acteurs

 

Lasse d’être cantonnée aux rôles d’ingénue, Olivia de Havilland refuse plusieurs scénarios, ce qui lui vaut à chaque fois d’être mise à pied par la Warner. En 1943, son contrat arrivant à son terme, elle se pense enfin libre de choisir ses films et ses producteurs. Mais la Warner estime que les périodes de suspension doivent s’ajouter à la durée initiale du contrat. L’actrice de 27 ans assigne le studio en justice.

 

Pendant la durée du procès, Olivia de Havilland, ne pouvant pas tourner de films, propose ses services à l’institution patriotique qui organise des spectacles pour entretenir le moral des troupes américaines. Elle effectue une longue tournée dans le Pacifique, se produisant dans les bases militaires. Le juge qui instruit le procès assimile la pratique du studio à du servage, et Olivia de Havilland gagne au terme d’une décision qui fera jurisprudence dans la défense des droits des acteurs (De Havilland Law). Elle est louée pour le courage et la ténacité dont elle a fait preuve lors de sa bataille juridique face aux studios de la Warner.

 

Elle poursuit sa carrière en interprétant des rôles plus complexes et plus variés. Elle obtient l’Oscar de la meilleure actrice avec le film A chacun son destin, de Mitchell Leisen (1946) et un second pour L’Héritière, de William Wyler (1949).

 

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  "La Double Enigme" : Olivia de Havilland se dédouble face à la caméra de Robert Siodmak

 

En 1955, Olivia de Havilland, fraîchement divorcée du romancier Marcus Goodrich (1897-1991), avec qui elle a eu un fils, Benjamin (1949-1991), épouse un journaliste de Paris Match, Pierre Galante (1909-1998). Le couple, installé à Paris, aura une fille, Gisèle, en 1956.

 

Après une prestation remarquable avec son amie Bette Davis (1908-1989) dans Chut… chut… chère Charlotte, de Robert Aldrich (1964), ses apparitions au cinéma se feront plus rares. En 1965, elle devient la première femme à être présidente du jury au Festival de Cannes. Madame la Présidente : « Ce sera le rôle le plus lourd de ma carrière », disait-elle alors.

 


 

Olivia de Havilland en quelques dates

1er juillet 1916 Naissance à Tokyo

1939 Joue Melanie dans « Autant en emporte le vent »

1941 Obtient la nationalité américaine

1946 Oscar de la meilleure actrice pour « A chacun son destin »

1949 Oscar de la meilleure actrice pour « L’Héritière »

1965 Présidente du jury du Festival de Cannes

2020 Morte à 104 ans à Paris

 

 

 

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Jane Russell

Publié à 14:04 par dessinsagogo55 Tags : femme belle merci sur rose centerblog center film coupable femmes
Jane Russell

 

 

Filmographie

Cinéma

1943 : Le Banni d'Howard Hughes : Rio McDonald

1946 : L'Esclave du souvenir d'Edwin L. Marin : Joan Kenwood

1948 : Visage pâle de Norman Z. McLeod : Calamity Jane

1951 : Fini de rire de John Farrow : Lenore Brent

1951 : Une veine de... d'Irving Cummings : Mildred Goodhue

1952 : Scandale à Las Vegas (The Las vegas story) de Robert Stevenson : Linda Rollins

1952 : Le Paradis des mauvais garçons de Josef von Sternberg : Julie Benson

1952 : Le Fils de visage pâle de Frank Tashlin : Mike Delroy

1952 : La Femme aux revolvers d'Allan Dwan : Belle Star

1952 : En route vers Bali d'Hal Walker : Cameo

1953 : Les hommes préfèrent les blondes d'Howard Hawks : Dorothy Shaw

1953 : French Line de Lloyd Bacon : Mary Carson

1955 : La Vénus des mers chaudes de John Sturges : Theresa Gray

1955 : La Muraille d'or de Joseph Pevney : Amanda Lawrence

1955 : Les hommes épousent les brunes de Richard Sale : Bonnie Jones/Mimi Jones

1955 : Les Implacables de Raoul Walsh : Nella Turner

1956 : L'Ardente Gitane de Nicholas Ray : Annie Caldash

1956 : Bungalow pour femmes de Raoul Walsh : Mamie Stover

1957 : Kidnapping en dentelles (The Fuzzy Pink Night Gown) de Norman Taurog : Laurel Stevens

1965 : La Loi des hors-la-loi (Waco) de R. G. Springsteen : Jill Stone

1966 : Toute la ville est coupable de R. G. Springsteen : Nona Williams

1967 : Le Credo de la violence de T. C. Frank : Mme Shorn

1970 : La Loi du talion (Darker than Amber) de Robert Clouse : Alabama Tigress

1970 : Cauliflower Cupids : Nira DiLaurento

1975 : The Godfather and the Lady : Nira DiLaurento

 

Télévision

 

1959 : Westinghouse Desilu Playhouse (série) : Lili Travers

1959 et 1963 : The Red Skelton Show (série) : Lillian Martin / Clara Appleby III

1960 : Les Aventuriers du Far-West (série) : Mary Taylor

1984 : The Yellow Rose (série) : Rose Hollister

1986 : Rick Hunter (série) : Ava Fontaine

 

Distinctions

 
 

Jane Russell reçoit en 1989 le « Women's International Center (WIC) Living Legacy Award ».

Ses empreintes de pieds et de mains sont immortalisées sur le parvis du Grauman's Chinese Theatre ; elle a d'autre part été honorée le 8 février 1960 par une étoile au Hollywood Walk of Fame, au 6850 Hollywood Boulevard

 

 

Hommages

 

En 2001, Renee Henderson fait un portrait de Jane Russell dans la série Blonde, tirée de la nouvelle de Joyce Carol Oates.

 

 
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Jane Russell

Jane Russell

Jane Russell est une actrice et chanteuse américaine, née le 21 juin 1921 à Bemidji (Minnesota) et morte le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie).

 

 

Jane Russell est la seule fille de Roy William Russell (5 janvier 1890 - 18 juillet 1937) et de Geraldine Jacobi (2 janvier 1891 - 26 décembre 1986). Suivront quatre frères : Thomas Ferris Russell (né le 16 avril 1924), Kenneth Steven Russell (né le 2 septembre 1925), James Hyatt Russell (né le 9 février 1927) et Wallace Jay Russell (né le 31 janvier 1929).

 

Trois de ses grands parents sont nés au Canada, alors que sa grand-mère maternelle est née en Allemagne. Ses deux parents sont nés dans l'état du Dakota du Nord et se marient en 1917. Son père était lieutenant dans l'armée américaine et sa mère actrice dans une troupe ambulante. Alors que Jane était enfant, la famille déménage temporairement au Canada, puis dans la vallée de San Fernando en Californie du Sud. En 1930, les Russell vivent, à Burbank en Californie. Le père y travaille alors comme directeur d'une manufacture de savon.

 

La mère de Jane s'occupe de lui trouver des leçons de piano. En plus de la musique, Jane aime le théâtre et participe à des mises en scène à la Van Nuys High School. À ses débuts, elle voulait devenir styliste. À la mort de son père (à l'âge de 46 ans), Jane n'a que seize ans. Elle se décide à travailler comme réceptionniste. Elle est aussi modèle pour quelques photographes et, sur l'insistance de sa mère, étudie l'art dramatique avec la troupe de Max Reinhardt dont faisait partie la célèbre actrice russe Maria Ouspenskaïa

 

 

En 1940, Jane Russell signe un contrat de sept ans avec le millionnaire Howard Hughes et fait ses grands débuts dans Le Banni (The Outlaw) en 1943, où son visage somptueux est remarqué. Bien que le film soit tourné en 1941, il n'est diffusé que deux ans plus tard, pour un public limité, en raison de la censure qui trouvait sa poitrine un peu trop avantageusement filmée. Le film est enfin autorisé pour le grand public en 1946. À ce moment-là, l'actrice tournant des publicités, devient célèbre.

 

Contrairement à ce que disent régulièrement les médias de l'époque et ceux d'aujourd'hui encore, lors du tournage du Banni, Jane ne porte pas de sous-vêtements spéciaux, destinés à mettre sa poitrine en valeur, alors qu'Howard Hughes en a spécialement fait faire pour ce film. Dans son autobiographie publiée en 1988, elle affirme que le soutien-gorge de Hughes n'était pas du tout confortable et qu'elle préférait tourner avec le sien, les bretelles tombantes.

 

Aux côtés de Lana Turner et de Rita Hayworth, Jane Russell affirme de mieux en mieux son style sensuel, profitant de ses mensurations avantageuses, 90D-61-91 (38D-24-36 en mensurations US) pour 1,70 m. Malgré les railleries venant de la radio et des comiques, notamment Bob Hope qui la présente comme « the two and only Jane Russell » (« la double et unique Jane Russell »), ses photos assombries sur fond de botte de foin, sa jeunesse, sa sensualité, sa poitrine, ses corsages et sa beauté, en font une des pin-ups favorites auprès des soldats américains lors de la Seconde Guerre mondiale.

 

Bien que Le Banni ne soit pas un western spectaculaire, il a les honneurs du box office. Le seul intérêt d'Howard Hughes est sa nouvelle recrue, le film étant la vitrine de son incroyable visage. Elle refuse par la suite d'interpréter le rôle de Doña Sol dans Arènes sanglantes (Blood and sand) de Darryl F. Zanuck (le rôle fut confié à Rita Hayworth).

 

Elle ne tourne pas d'autre film jusqu'en 1946, où elle joue Joan Kenwood dans L'Esclave du souvenir (Young Widow) pour la RKO Pictures. Bien que ses premiers films ne rendent pas tellement justice à son jeu d’actrice, ils aident à orienter sa carrière vers une élégance que l’on peut définir par un mélange de cynisme et de simplicité.

 

En 1947, elle tente de se lancer dans une carrière musicale, elle enregistre un disque avec l'orchestre de Kay Kyser : As Long As I Live. Elle joue avec talent de nombreux rôles, dont Calamity Jane aux côtés de Bob Hope dans Visage pâle (The Pale face, 1948) et avec Mike Delroy dans Le Fils de visage pâle (Son of Paleface, 1952), le tout, sous contrat avec la Paramount Pictures.

 

 

Jane Russell arrive au sommet de sa carrière comique avec le rôle de Dorothy Shaw dans Les hommes préfèrent les blondes de 1953 avec Marilyn Monroe, à la 20th Century Fox, probablement son meilleur rôle. Le film a eu et a toujours un énorme succès et la révéla comme actrice de talent.

 

 

Elle apparaît dans deux films aux côtés de Robert Mitchum : Fini de rire (His kind of woman) (1951) et Le Paradis des mauvais garçons (Macao) (1952). D'autres grandes stars furent à ses côtés : Frank Sinatra et Groucho Marx dans la comédie Une veine de... (Double dynamite) (1951) ; Victor Mature, Vincent Price et Hoagy Carmichael dans Scandale à Las Vegas (The Las vegas story) (1952) ; Jeff Chandler dans La Muraille d'or (Foxfire) (1955) ; Clark Gable et Robert Ryan dans Les Implacables (The Tall man) (1955).

 

La production d'Howard Hughes, French line (The french line) (1954) montre une Jane Russell pour l'une des dernières fois dans un maillot de bain une pièce, avec une coupe toutefois stratégique, dont elle tire avantage en exécutant un numéro provocateur, intitulé Lookin' for Trouble. Dans son autobiographie, elle révèle que ce maillot de bain n'était qu'une alternative à la suggestion initiale d'Howard Hughes qu'était le bikini, un choix osé pour un film de 1954. L'actrice affirme avoir initialement porté le bikini devant les techniciens alors « horrifiés », tout en se sentant très dénudée.

 

Jane Russell et son premier mari, ancien quarterback au football américain, Bob Waterfield, fondent la Russ-Field productions en 1955. Ils produisent Les hommes épousent les brunes (Gentlemen marry brunettes, 1955), Le Roi et Quatre Reines (The King and Four Queens, 1956) avec Clark Gable et Eleanor Parker, ainsi que Run for the Sun (1956) et The Fuzzy Pink Nightgown (1957).

 

Ses apparitions dans Les hommes épousent les brunes avec Jeanne Crain et dans le drame Bungalow pour femmes (The Revolt of Mamie Stover) (1956) mettent en valeur son jeu d'actrice. Cependant, à la suite de Kidnapping en dentelles (The Fuzzy pink night gown, 1957) qui ne tient pas le haut de l'affiche, elle n'apparaît plus à l'écran pendant sept ans.

 

En octobre 1957, Jane Russell commence un numéro dans un célèbre nightclub de Las Vegas, le Sands Hotel. Elle signe par la suite des tournées aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Amérique du Sud et en Europe. À l'été 1961, elle fait ses débuts dans Janus[Quoi ?]. À la fin de l'année, elle se produit à Chicago au Drury Lane Theatre. En novembre 1962 elle est à l'affiche de Bells Are Ringing à New York.

 

Dans le film Fate Is the Hunter (1964), elle joue son propre rôle. Seuls quatre autres films suivent. En 1971, elle joue dans la comédie musicale Company on Broadway où elle remplace Elaine Stritch.

 

En 1985 elle écrit son autobiographie : Jane Russell: My Path and My Detours.

 

 

 

 

Vie privée et mort

 

Bien que son image à l'écran fut celle d'une pin-up provocante, la vie privée de Jane Russell ne connaissait pas de scandales, contrairement à ce qui se passait pour certaines autres actrices de cette époque (Lana Turner par exemple).

 

L'actrice s'est mariée trois fois : avec Bob Waterfield, un ancien joueur de football américain entré au Hall of Fame (mariés le 24 avril 1943, divorcés en juillet 1968), avec l'acteur Roger Barrett (mariés le 25 août 1968, décédé le 18 novembre 1968) et enfin avec l'agent immobilier John Calvin Peoples (mariés le 31 janvier 1974, décédé le 9 août 1999), avec qui elle vécut à Sedona en Arizona.

 

Dans son autobiographie de 1985, elle révèle qu'elle fut enceinte à l'âge de 19 ans. S'ensuivit un avortement illégal qui fut si mal mené que sa vie fut en danger pendant quelques jours. En l'examinant aux urgences de l'hôpital, un médecin s'exclama : « Quel boucher vous a fait ça !? » Après ces évènements, Jane Russell fut incapable d'enfanter. Elle milita alors contre l'avortement. En février 1952, elle et Bob Waterfield adoptent une petite fille, Tracy, puis un bébé de 15 mois, Thomas ; en 1956, ils adoptent un bébé de neuf mois, Robert John. En 1955, elle fonde la « World Adoption International Fund » (WAIF), une organisation chargée de placer les enfants dans les familles qui fait beaucoup pour l'adoption d'enfants étrangers par les Américains.

 

Dans son autobiographie, elle dit avoir échappé à deux tentatives de viol sans traumatisme. Elle affirme aussi que son premier mariage fut détruit par des soupçons d'adultère (des deux côtés) et par la violence, mais aussi qu'elle était alcoolique dès son adolescence. Elle révèle que la religion chrétienne l'a aidée à se reconstruire.

 

Alors qu'elle est au sommet de sa carrière, elle fonde le « Hollywood Christian Group » qui se rassemble une fois par semaine chez elle pour étudier la Bible. De grandes célébrités s'y rendent.

 

Républicaine engagée, elle participe à la campagne et à l'élection de « Ike » Eisenhower aux côtés de Lou Costello, Dick Powell, June Allyson, Anita Louise, Louella Parsons et d'autres personnalités conservatrices.

 

Jane Russell meurt le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie) à l'âge de 89 ans

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jane_Russell

     
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Charlie Chaplin

Publié à 07:55 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
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Laurel et Hardy

Publié à 08:28 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur vie enfants
Laurel et Hardy
 
 
Leur vie privée
 
 
Stan Laurel s'est marié à 5 reprises :
Lois Nelson (1895-1990) du 13 août 1926 jusqu'en décembre 1934. Ils ont eu 2 enfants.
Virginie Ruth Rogers d'avril 1934 jusqu'au 24 décembre 1936.
Vera Ivanova Shuvalova du 1er janvier 1938 jusqu'en mai 1939.
Virginie Ruth Rogers de janvier 1941 jusqu'en avril 1946.
Ida Kitaeva du 6 ami 1946 jusqu'à son décès le 23 février 1965.
Oliver Hardy s'est marié à 3 reprises :
Madelyn Saloshin du 7 novembre 1913 jusqu'en 1921
????????? (1897-1983) du 24 novembre 1921 jusqu'au 18 mai 1937
Virginie Lucille Jones du 7 mars 1940 jusqu'à son décès le 7 août 1957.
Il n'a pas eu d'enfant.

 

 

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