Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
20.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
5 février 2002
Source . vsd
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Compilations
1975 : L'Été indien (disque d'or) (CBS)
L'Été Indien
Les Champs-Élysées
Salut les amoureux
L'Amérique
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Les Dalton
Si tu t'appelles mélancolie
Siffler sur la colline
Marie-Jeanne
La Fleur aux dents
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Le Bougalou du loup garou
Señor Météo
Crésus et Roméo en duo avec Joe Dassin
Pour France Gall :
Bébé requin (1967)
Toi que je veux (1967)
La Vieille fille (1968)
24 / 36 (1968)
Souffler les bougies (1968)
Pour Marie Laforêt :
Siffle, siffle ma fille
Pour Melina Mercouri :
Le Portugais (1971)
Je suis grecque (1972)
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1982 : Little Italy (posthume) (CBS)
Le Hold-up (ouverture)
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Et l'amour (Marcella Bella)
Quand la chance passe
La Mer (Marcella Bella)
Tant pis pour moi (Marcella Bella)
Je viens comme un voleur
La Fête (en duo avec Marcella Bella)
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C'est fini
À mon fils (Sébastien)
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Deux jours après avoir préconisé de s'injecter de l'eau de Javel pour guérir du Covid-19, Donald Trump a tweeté que ses points presse quotidiens sur la pandémie ne méritaient pas qu’il y consacre du temps.
"À quoi sert d’avoir des conférences de presse à la Maison Blanche quand les Médias Orientés ne font que poser des questions hostiles et refusent ensuite de rapporter la vérité ou les faits de manière exacte. Ils font des audiences records, et le peuple américain n’a rien d’autre que des Fake News. Ça ne vaut pas le temps et l’effort !", a tweeté Donald Trump, samedi 25 avril
Ses propos semblent confirmer des informations de médias américains selon lesquelles, piqué au vif par les questions sur sa gestion de la crise sanitaire, il envisageait de cesser ses conférences de presse.
En effet, lors de l'une d'elles, jeudi 23 avril, Donald Trump avait créé la stupéfaction en préconisant de s'injecter de l'eau de Javel pour guérir du Covid-19. "Le désinfectant neutralise ce virus en une minute. Est-ce qu’on pourrait faire quelque chose comme une injection à l’intérieur, comme un nettoyage. Voyez-vous, le virus va dans les poumons...", avait-il ainsi déclaré. La scène avait horrifié de nombreux professionnels de santé et avait créé une vive polémique dans le monde entier.
Donald Trump avait finalement assuré vendredi s’être exprimé de façon "sarcastique", avant de mettre un terme, dans la soirée, à sa conférence de presse après seulement une vingtaine de minutes, sans prendre de questions. Samedi, après 50 points presse en deux mois, la Maison Blanche n’en a tenu aucun.
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Retour vers le futur (Back to the Future) est un film de science-fiction américain réalisé par Robert Zemeckis, sorti en 1985.
L'intrigue relate le voyage dans le passé d'un adolescent, Marty McFly, à bord d'une machine à voyager dans le temps fabriquée par le docteur Emmett Brown à partir d'une voiture de modèle DeLorean DMC-12. Parti de l'année 1985 et propulsé en 1955, Marty, aidé du « Doc » de 1955, doit résoudre les paradoxes temporels provoqués par ses interventions dans le passé et trouver le moyen de faire fonctionner la machine pour retourner à son époque d'origine.
Alors que le film était prévu comme film unique, son succès commercial donne lieu à deux suites, Retour vers le futur 2 (1989) et Retour vers le futur 3 (1990), qui forment une trilogie et entraînent le développement d'une franchise sur divers supports.
Hill Valley, le 25 octobre 1985. Marty McFly, un adolescent typique des années 1980, mène l'existence d'un garçon de son âge. Son père, George McFly, timide, couard et ne supportant pas le conflit, s'écrase sans cesse devant son chef de bureau, Biff Tannen, qui l'oblige à rédiger ses propres comptes rendus. Sa mère, Lorraine Baines McFly, a un penchant pour la boisson, son mariage avec George lui pesant ; très possessive, elle s'indigne que son fils sorte avec Jennifer et lui fait souvent des remontrances. Marty a un frère, Dave, et une sœur, Linda, qui vivent une vie d'Américains moyens, comme le reste de la famille.
Marty a aussi pour ami un extravagant scientifique, le docteur Emmett Brown, surnommé « Doc ». Ce dernier, au terme de trente ans de recherches, a mis au point une machine à voyager dans le temps qui prend la forme d'une voiture DeLorean DMC-12 modifiée (parce que, explique-t-il à Marty, quitte à voyager à travers le temps au volant d'une voiture, autant en choisir une qui ait de la gueule !
). Le même soir, Doc invite Marty à venir le rejoindre sur le parking d'un centre commercial pour lui faire une démonstration de son invention : utilisant une télécommande pour faire démarrer la voiture, Doc envoie son chien Einstein une minute en avance dans le temps, sous l'œil effaré de Marty. A l'issue de l'expérience, Doc lui explique que la machine a besoin de plutonium pour alimenter en énergie le « convecteur temporel » de la DeLorean — le dispositif qui permet de voyager dans le temps —, celui-ci ayant besoin de 1,21 gigawatts (2,21 en VF)Note 1 d’énergie électrique pour fonctionner. Après l'avoir équipé comme lui d'une combinaison anti-radiation et d'un masque à gaz, Doc refait le « plein » en plutonium de la machine, en prévision du voyage dans le temps qu'il s’apprête à effectuer.
Mais, peu après, des terroristes libyens surgissent en fourgonnette et abattent Doc, car ce dernier les avait trompés en leur subtilisant le plutonium qu'il devait utiliser au départ pour leur construire une bombe. Marty, qui s'était caché, s'échappe avec la DeLorean, poursuivi par les Libyens. Lors de la poursuite, il met involontairement en marche les circuits temporels de la voiture. Il franchit ensuite la barre des 88 miles par heure (141,62 km/h) — vitesse nécessaire pour activer le convecteur temporel — et se retrouve projeté à Hill Valley à la dernière date entrée par Doc sur le boîtier de contrôle du convecteur, date correspondant au matin de la révélation qui l'a amené à créer celui-ci… le 5 novembre 1955. Marty « atterrit », trente ans en arrière, dans la grange d'un fermier qui, le prenant pour un Martien du fait de sa tenue étrange (combinaison anti-radiations jaune avec un énorme casque et un masque à gaz), lui tire dessus au fusil de chasse. Marty s'enfuit à bord de la DeLorean.
Déboussolé, Marty poursuit sa route puis, reprenant ses esprits, freine brutalement alors qu'il arrive devant le « Lotissement Lyon » — le lieu où il habitera avec sa famille en 1985, à cette époque encore en construction, perdu en pleine campagne. C'est alors que la voiture cale, refusant de redémarrer ; Marty la cache derrière une grande pancarte. Puis, il se rend à pied en ville où il croise ses parents qui, en 1955, sont encore des adolescents.
Tout d'abord, il rencontre dans un café son père George et, juste après, le sauve d'un accident de la circulation, étant renversé à sa place par la voiture de son futur grand-père maternel. Tombant inconscient, Marty se réveille le soir même, neuf heures plus tard, dans la chambre de sa mère, Lorraine Baines, à cette époque une adolescente en fleur. Mais celle-ci tombe sous le charme de Marty, au grand effarement de celui-ci. Invité à rester manger chez les Baines, Marty part en catastrophe quand sa mère (qui ne sait évidemment pas qu'il est son fils) commence à le draguer avec insistance.
Essayant avant tout de retourner en 1985, Marty se rend ensuite à l'adresse de Doc Brown en 1955, pour le convaincre de l'aider à retourner à son époque. Surmontant ses sarcasmes (le Doc de 1955 le prenant pour un fou), il lui montre la DeLorean. Après réflexion, le Doc de 1955 se rend compte qu'il ne peut pas renvoyer Marty en 1985 car, en 1955, il est impossible de se procurer le plutonium nécessaire au convecteur temporel. Mais, quand Doc dit à Marty que seule la foudre pourrait produire une telle énergie, ce dernier lui répond qu'il sait, grâce à un prospectus de 1985, que la foudre va s'abattre dans une semaine sur le clocher de l'Hôtel de ville, et amène Doc à envisager une solution. Après avoir défendu à Marty de ne rien faire durant cette semaine qui risquerait de perturber la trame temporelle, Doc apprend de celui-ci qu'il a déjà rencontré ses futurs parents et qu'il a donc déjà commencé à modifier l'avenir. Incidemment, ils découvrent que cette intervention fait peu à peu disparaître Marty, son frère et sa sœur, d'une photo de famille que Marty avait montré à Doc et que, si cela continue, Marty ne tardera pas à être effacé de la réalité
. Marty a alors une semaine devant lui pour faire en sorte que ses parents tombent amoureux, avant de repartir à son époque.
Le lendemain, Marty revoit son père et tente de le convaincre d'aller à la « Féerie dansante des Sirènes » (le bal du lycée) avec sa mère, alors que celle-ci est déjà tombée amoureuse de Marty et que Biff Tannen (qui tyrannisait aussi George à l'époque) a des vues sur elle. Dans un premier temps, George, intimidé, refuse d'essayer de sortir avec Lorraine. Mais, usant d'un stratagème durant la nuit, Marty — déguisé avec sa combinaison anti-radiations en Dark Vador —, menace George de lui faire fondre la cervelle s'il n'invite pas Lorraine. Il aide ensuite George à draguer Lorraine dans un café mais Biff arrive et interrompt sa tentative. Marty provoque alors Biff et sa bande. Ceux-ci, en voulant le poursuivre en voiture, heurtent un camion transportant du fumier, sous lequel ils sont ensevelis. Lorraine, impressionnée, suit alors Marty jusqu'à l'atelier de Doc (que Marty lui présente comme étant son oncle) et lui demande d'être son cavalier au bal, au grand dam de Doc, témoin de la scène. Cependant Marty accepte, imaginant un scénario où il se fera mettre KO par George, après que Marty se sera montré trop entreprenant avec Lorraine, avant le bal, dans la voiture garée sur le parking du lycée.
Le soir du bal arrive. Marty, assis dans la voiture avec Lorraine, attend la venue de George pour appliquer le scénario qu'ils ont prévu ensemble. Mais sa mère, sous le charme de Marty, l'embrasse contre son gré ; elle se rend cependant compte que quelque chose ne va pas, ayant l'impression d'embrasser son frère. Sur ces entrefaites survient Biff, furieux contre Marty à cause de l'épisode du fumier, alors que Marty pensait que c'était George qui arrivait. Dans un premier temps, Biff veut se battre avec lui mais, en voyant Lorraine dans la voiture, il remet Marty à ses amis (qui l'enferment dans le coffre de la voiture des musiciens du bal, non loin de là) et tente de violer Lorraine. C'est alors que George surgit ; ne reconnaissant pas Biff dans la voiture, il est surpris lorsque celui-ci se retourne et lui ordonne de partir. Mais George, pour la première fois de sa vie, décide de lui tenir tête. Biff sort alors de la voiture et lui fait une clé de bras. Lorraine, en essayant d'aider George, est jetée à terre par Biff, qui se moque d'elle. George, voyant cela, se met en colère et trouve la force d'infliger à Biff un violent coup de poing qui met ce dernier KO ; relevant Lorraine, qui tombe sous son charme, il l'emmène ensuite au bal. Pendant ce temps, les musiciens essaient de libérer Marty du coffre de leur voiture. Dans la manœuvre, le chanteur-guitariste se blesse à la main avec un tournevis. Marty sort finalement du coffre et arrive juste à temps pour voir George mettre son coup de poing à Biff.
Puisque le musicien blessé ne peut plus jouer de la guitare, Marty se propose de le remplacer afin que le bal ait bien lieu et que ses parents puissent amorcer leur histoire d'amour. Durant la danse des deux tourtereaux, George se fait pousser par un autre danseur, le séparant de Lorraine et provoquant le début de l’effacement temporel de Marty. Mais George, au dernier moment, repousse l'intrus et se décide à embrasser Lorraine, sauvant ainsi Marty, son frère et sa sœur, qui réapparaissent sur la photo. À la fin de la chanson, Marty, rendu joyeux par cet heureux dénouement, se laisse convaincre de jouer une dernière chanson, beaucoup plus rythmée. Il interprète alors Johnny B. Goode tandis que le chanteur blessé du groupe, qui se nomme Marvin Berry, appelle son cousin Chuck pour lui faire écouter un « son nouveau ». À la fin du morceau, Marty passe du style de Berry à celui de Jimi Hendrix (en jouant derrière sa tête à la manière de Hendrix) puis se déhanche au sol tout en jouant sous le coup de l'excitation, pour finalement s'arrêter sur une note aiguë et saturée. Il dit alors au public, effaré par son attitude, qu'ils ne sont pas encore prêts
pour ce genre de musique et s'esquive de la scène.
Après avoir donné un conseil à ses parents concernant leur comportement face à leurs futurs enfants, Marty se rend à l’Hôtel de ville où Doc a tout planifié pour le voyage temporel. Quand Marty veut le prévenir qu'il sera assassiné en 1985, celui-ci refuse et déchire la lettre que Marty avait écrite à ce sujet. L'orage provoque alors la déconnexion d'un câble reliant le dispositif de la DeLorean à l'horloge de l'hôtel de ville. Pressé par le temps, Doc court remettre le câble en place pendant que Marty se rend en voiture à l'endroit d'où il devra démarrer, au bon moment pour atteindre les 88 miles à l'heure lorsque la foudre tombera sur le dispositif alimentant la DeLorean en énergie. Malgré les difficultés, Doc parvient à reconnecter les câbles juste à temps et Marty, au volant de la voiture, retourne en 1985.
Cependant, avant de quitter 1955, Marty avait modifié les réglages du convecteur temporel pour se donner quelques minutes en plus, espérant arriver en 1985 à temps pour prévenir Doc avant qu'il ne soit tué par les Libyens. Mais le timing s'avère être quand même trop juste et Marty assiste de nouveau, impuissant, à la mort de Doc. Puis il voit son double de 1985 se rendre lui aussi dans le passé au volant de sa DeLorean, et les Libyens qui le poursuivaient avoir un accident. Cependant, arrivé près du corps de Doc, Marty s'aperçoit que celui-ci est vivant : Doc avait recollé puis lu la lettre de Marty de 1955 et avait revêtu un gilet pare-balle. Quittant ensuite les lieux, Doc ramène Marty chez lui en pleine nuit et lui annonce, avant de le laisser, son intention de se rendre 30 ans dans le futur. Marty lui suggère de lui rendre visite à cette époque et de faire attention.
Le lendemain, Marty remarque des changements chez lui : la maison est beaucoup mieux meublée ; son père — devenu un écrivain de science-fiction à succès — a plus d'assurance ; sa mère est en bien meilleure santé et heureuse de son mariage ; son frère et sa sœur ont une vie bien plus attrayante. Par contre Biff, qui n'est plus le chef de George mais un garagiste, respecte et craint son père. De plus, Marty possède maintenant le 4x4 dont il avait rêvé avant de partir en 1955. Pendant qu'il admire son véhicule, Jennifer, sa petite amie, lui rend visite et Marty ne cache pas son soulagement de la revoir après tout ce temps (bien que, pour elle, une seule journée ait passé).
Tout à coup, la DeLorean surgit dans la rue ; Doc, bizarrement vêtu, en descend et dit à Marty de venir avec lui car il faut faire quelque chose pour ses enfants, à lui et à Jennifer. Montant dans le véhicule avec sa petite amie, Marty fait remarquer à Doc que la route est trop courte pour atteindre les 88 miles à l'heure. Mais Doc lui répond que, là où ils vont, ils n'ont pas besoin de route
; la DeLorean se met alors à décoller et part en volant vers le futur...
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Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan) est un film de guerre américain réalisé par Steven Spielberg, sorti en 1998.
Le film met en scène des soldats américains qui, dans la confusion du début de la bataille de Normandie, ont pour mission de retrouver un soldat dont les frères sont tous morts au combat. La reconstitution très réaliste du débarquement de Normandie est l'un des points forts du film.
Le film a reçu des critiques élogieuses et remporté plusieurs prix ; il a également été un succès commercial et rapporté 481,8 millions de dollars à travers le monde, ce qui en fait le deuxième film le plus rentable de l'année 1998. L'Academy of Motion Picture Arts and Sciences a nommé le film pour onze Oscars et il en a reçu cinq, dont un second Oscar du meilleur réalisateur pour Steven Spielberg. L'édition en vidéo, sortie en mai 1999, engrange 44 millions de dollars de recettes.
En 2014, le film est inscrit au National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement important ».
La séquence d'introduction du film montre l'arrivée d'un vétéran de la Seconde Guerre mondiale, maintenant âgé, qui visite en France le cimetière américain de Colleville-sur-Mer avec sa famille et ses petits-enfants. Arrivé devant une tombe, il tombe à genoux avec émotion, et commence à se remémorer des souvenirs de la guerre.
Au matin du 6 juin 1944, premier jour de la bataille de Normandie lors du débarquement allié. Sur la plage d’Omaha Beach d'où débarquent les Américains, dans le secteur « Dog Green », le capitaine John H. Miller, le commandant une compagnie de Rangers, lutte pour sortir de la plage avec ses hommes. Après de durs combats, ils parviennent à créer une brèche dans la fortification ennemie et nettoient les positions défensives de l'armée allemande.
Au cours de la période du débarquement allié, trois hommes, tous dénommés Ryan et appartenant à la même fratrie de quatre frères, meurent au combat : l'un sur la plage d'Omaha Beach, un deuxième à Utah Beach ; le troisième meurt en Nouvelle-Guinée durant la campagne du Pacifique. Le dernier frère, le soldat James Francis Ryan, fait partie de la 101e division aéroportée américaine, parachutée sur le Cotentin en plein territoire ennemi et dont on est sans nouvelles. Les trois lettres annonçant la mort des fils Ryan vont parvenir à leur mère en même temps.
Informé de ces événements, le chef de l'État-major des États-Unis basé à Washington, le général George C. Marshall, décide de monter une expédition de sauvetage. La mission est confiée au capitaine Miller et son escouade de sept hommes (le sergent Horvath, les soldats Reiben, Caparzo, Mellish et Jackson, l'infirmier Wade et le caporal Upham, un traducteur du quartier général). Ils doivent retrouver Ryan et, s'il est encore en vie, le ramener sain et sauf afin de le faire rapatrier en Amérique.
L'expédition de secours part alors à la recherche de Ryan à travers le bocage normand, au hasard des combats contre les troupes allemandes qui tentent de résister coûte que coûte à l'avancée alliée. Au fil de leur quête, et après avoir perdu successivement plusieurs hommes durant l'accomplissement de leur mission, certaines questions se posent à Miller et à ses hommes, qui deviennent amers et désillusionnés : arriveront-ils à retrouver ce Ryan en vie parmi le carnage qui sévit autour d'eux ? Mais surtout : la vie du soldat Ryan vaut-elle de risquer la leur ?
Dans un premier temps, après avoir localisé un soldat nommé « James Ryan », l'escouade s'aperçoit qu'il s'agit d'un homonyme. Par la suite, grâce à une information recueillie sur des soldats de passage, le capitaine Miller apprend que Ryan défend un pont important au village de Ramelle. Arrivés non loin du village, Miller et ses hommes retrouvent par hasard James Francis Ryan après une embuscade avec un blindé allemand. De retour à Ramelle, Ryan refuse de quitter son poste, malgré l'ordre de Miller de repartir avec eux. Finalement, ce dernier décide d'aider les soldats à protéger le pont avec ses hommes, les troupes allemandes étant sur le point d'arriver et de reprendre cet objectif stratégique.
Se préparant à l'arrivée des Allemands (composé d'éléments de la 2e division Panzer SS avec deux chars Tigre et deux chasseurs de chars Marder, plus une centaine d'hommes de l'infanterie allemande), Miller et ses hommes, avec Ryan et les autres soldats de Ramelle, mènent un combat acharné pour défendre le pont. Bien qu'ils infligent de lourdes pertes aux Allemands, la plupart des soldats américains sont tués, notamment Jackson, Mellish et Horvath ; Upham, lui, est immobilisé par la peur et se cache.
À court de solutions, Miller tente en dernier recours de faire sauter le pont, mais il est alors abattu par un soldat allemand, anciennement capturé par Miller et ses hommes, qui a rejoint une unité de combat. Alors qu'il essaie de récupérer le détonateur des explosifs, Miller voit un char ennemi arriver en sens inverse vers lui. Blessé et incapable de bouger, il tire sur le char avec son pistolet tandis que celui-ci atteint le pont, dans un ultime geste de défense. Mais soudainement, le char explose ; un chasseur P-51 Mustang américain, survolant la zone, vient de détruire le char. Peu après, des unités blindées américaines arrivent en renfort et mettent en déroute les Allemands restants. Alors que les troupes allemands battent en retraite, Upham sort de sa cachette et abat le soldat allemand qu'il a vu tirer sur Miller, mais permet à ses camarades de s'enfuir.
Les soldats Reiben et Ryan, seuls survivants, sont sur le pont avec le capitaine Miller, alors mourant. Miller prononce ses derniers mots à l'oreille de Ryan : James ... Mérites-ça. Mérites-le
. Alors que Ryan se tient au-dessus du corps sans vie du capitaine Miller, les années commencent à s'ajouter à son visage et il redevient le vétéran âgé, debout à côté de la tombe du capitaine Miller au cimetière de Colleville-sur-Mer. James Ryan demande alors à sa femme s'il a été digne d'un tel sacrifice, s'il a été un homme bien
; comprenant ce qu'il veut dire, elle lui répond alors qu'il l'est. Ryan salue ensuite la tombe de Miller.
La dernière séquence du film montre le drapeau des États-Unis flottant dans le ciel, comme au tout début du film.
Fiche technique
Titre français : Il faut sauver le soldat Ryan
Titre original : Saving Private Ryan
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Robert Rodat
Montage : Michael Kahn
Photographie : Janusz Kaminski
Musique : John Williams
Effets spéciaux : John Evans
Production : Steven Spielberg, Ian Bryce, Mark Gordon et Gary Levinsohn (en)
Sociétés de distribution : DreamWorks SKG (États-Unis et Canada) ; Paramount Pictures (international)
Pays d'origine : États-Unis
Langues originales : anglais, français, allemand et tchèque
Lieux de tournage :
Calvados, Colleville-sur-Mer (France)
Plages de Curracloe et Comté de Wexford (Irlande)
Hatfield, Londres et Thame Park (en) (Royaume-Uni)
Format : couleurs - Panavision - Technicolor - 35 mm (certaines scènes en 16 mm) - 1.85:1 - son Dolby numérique - DTS - SDDS
Genre : guerre
Durée : 163 minutes
Budget : 70 000 000 $
Dates de sortie :
États-Unis : 24 juillet 1998
France et Belgique : 30 septembre 1998
Classification :
France : tous publics avec avertissement à sa sortie, puis déconseillé aux moins de 12 ans.
États-Unis: les enfants de moins de 17 ans doivent être accompagnés d'un adulte.
Distribution
Tom Hanks : le capitaine John H. Miller
Tom Sizemore : le technical sergeant (en) Michael Horvath
Edward Burns : le soldat 1re classe Richard Reiben
Matt Damon : le soldat 2e classe James Francis Ryan
Barry Pepper : le soldat 1re classe Daniel Jackson
Adam Goldberg : le soldat 1re classe Stanley Mellish
Vin Diesel : le soldat 1re classe Adrian Caparzo
Giovanni Ribisi : l'infirmier Irwin Wade
Jeremy Davies : le caporal Timothy E. Upham
Leland Orser : le lieutenant DeWindt
Ted Danson : le capitaine Fred Hamill
Nathan Fillion : le soldat James Frederick Ryan
Bryan Cranston : le colonel Bryce
Dennis Farina : le lieutenant-colonel Anderson
Paul Giamatti : le sergent Hill
Harve Presnell : le général George C. Marshall
David Vegh : le parachutiste Oliver
Ryan Hurst : le parachutiste Mandelsohn
Dale Dye : le colonel du département militaire
Harrison Young : James Francis Ryan, 50 ans plus tard
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New York le 1er avril, l’Empire State Building en rouge pour signaler l’urgence de la situation. 215 000 cas ont été recensés aux Etats-Unis, où la maladie progresse le plus vite. © Crédit photo : JOHANNES EISELE / AFP
Les Rescapés de Sobibor ou L'Évasion de Sobibor (Escape from Sobibor) est un téléfilm réalisé par Jack Gold et diffusé en 1987 sur le soulèvement dans le camp d'extermination de Sobibor.
Le film commence en montrant l’évasion de trois prisonniers du Camp d'extermination de Sobibor qui passent sous la clôture et traversent un champ de mines. Impossible de savoir s’ils en sortiront vivants car ils disparaissent derrière le nuage de poussière causé par l’explosion des mines.
Ensuite, des trains roulent vers le camp d’extermination et, à leur arrivée les Juifs déportés sont accueillis par les SS avec musique et haut-parleurs. On sélectionne alors ceux qui sont capables de travailler, les autres sont envoyés dans les chambres à gaz après qu’on leur a dit qu’ils sont dans un camp de travail et qu’on les traitera bien.
Luka est retenue avant d’être envoyée dans les chambres à gaz parce qu’elle prétend être couturière ; Stanisław Szmajzner échappe lui aussi à la mort après avoir montré à Karl Frenzel que sa valise contient des outils, ce qui prouve qu’il est orfèvre. Il sauve aussi sans le savoir son frère, qu’il présente comme son assistant. Ce n’est que quelques jours plus tard que les deux frères se rendent compte que le reste de leur famille, comme la plupart de ceux qui étaient dans les trains, ont été dès le premier jour assassinés dans la chambre à gaz puis incinérés. Se présentant comme couturière, une femme avec son bébé parvient et à le cacher un certain temps dans la baraque du tailleur. Cependant, le SS Gustav Wagner les découvre ; il tire d’abord sur elle, puis abat l’enfant.
Réunis autour de Leon Feldhendler, les hommes mettent au point depuis un certain temps un moyen de s’évader, mais c’est une tâche presque insoluble. Lorsque treize hommes employés à travailler le bois à l’extérieur du camp profitent de l’occasion pour s’enfuir, ils sont ensuite capturés ; on les force à choisir treize autres détenus du camp qui n’ont pas participé à l’évasion mais qui seront fusillés avec eux pour dissuader les autres. Feldhendler en conclut qu’il faut absolument que les 600 personnes du camp s’enfuient toutes ensemble, autrement ce sont des représailles épouvantables qui seraient exercées contre ceux qui seraient restés. Cependant, personne au début n’a la moindre idée de la façon dont on pourrait s’y prendre.
La situation change lorsqu'arrivent au camp le lieutenant soviétique Alexander Petscherski et 80 autres prisonniers de guerre soviétiques. Ces soldats ont conservé un moral solide et leur expérience de la guerre les rendent physiquement et moralement capables de résister. De plus, Petscherski est un bon organisateur, qui se rend compte qu’il peut, et doit, faire confiance à ses compagnons.
Un soir, les SS font danser les prisonniers par couples et ces gens qui ont tout perdu se rapprochent les uns des autres. Au cours de cette danse, Luka tombe amoureuse de Petscherski. Dans les jours qui suivent, le plan de l’évasion est préparé. L’idée de Petscherski est simple : bien qu’il y ait dans le camp plus de 150 gardes ukrainiens armés, ils ne sont dirigés que par une poignée de gardiens SS. Il faudrait les éliminer de manière coordonnée. Pour cela il faudrait exploiter deux choses : leur respect du règlement et leur avidité. Alexandre révèle à Luka qu’il a une femme et un enfant et qu’il les aime. Luka lui en donne pas moins une chemise en gage de son amour, elle l’a cousue et elle doit le protéger.
Arrive le jour de l’évasion, les prisonniers juifs mettent à exécution leurs plans, sous la direction de Petscherski : ils liquident quelques SS et s’emparent aussi d’armes à feu et lance une révolte pour trouver la liberté.
Il y a plus de 300 juifs qui atteignent la foret et Petscherski rejoint l'armée rouge pour lancer le combat jusqu'à la fin de la guerre.
Fiche technique
Réalisation : Jack Gold
Scénario : basé sur le livre de Thomas Blatt, lui-même inspiré des témoignages de survivants.
Date de diffusion : 1987
Distribution
Alan Arkin : Léon Feldhendler
Joanna Pacuła: « Luka » (de)
Rutger Hauer : Alexander « Sasha » Petcherski
Hartmut Becker : Gustav Wagner
Eric P. Caspar : Capitaine Franz Reichleitner
Wolfgang Bathke : Sergent Hurst
Kurt Raab : Sergent Karl Frenzel
Klaus Grunberg : Sergent Erich Bauer
Hugo Bower : Sergent Beckmann
Henning Gissel : Sergent Josef Fallaster
Ullrich Haupt Jr. : Sergent Wolk
Henry Stolow : Lieutenant Niemann
Emil Wolk : Samuel
Simon Gregor : Shlomo
Linal Haft : Kapo Porchek
Peter Jonfield : Kapo Sturm
Misa Janketic : Kapo Berlimer
Dejan Cavic : Kapo Spitz
Predrag Milinkovic : Kapo Jacob
Jason Norman : Toivi Blatt
Robert Gwilym : Chaim Engel
Eli Nathenson : Moses Szmajzner
Patti Love : Eda Lichtman
Judith Sharp : Bajle
Ellis Van Maarseveen : Selma
David Miller : Mundek
Jack Chissick : Hershal
Ned Vukovic : Morris
Sara Sugarman : Naomi
Dijana Krzanic : Esther
Irfan Mensur : Kalimali
Zoran Stojiljkovic : Boris
Zlatan Fazlagic : Weiss
Svetolik Nikacevik : le vieil homme
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Le film Sobibor (2018) de Constantin Khabenski traite du même sujet.
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