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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Qui étaient les bourreaux de Paris ?
Véritables attractions, les exécutions publiques rassemblaient une foule de Parisiens qui n’auraient raté ce spectacle terrifiant pour rien au monde ! Ainsi, les sorts de nombreux criminels sont restés gravés dans l’Histoire… Mais qu’en est-il de leurs bourreaux ?
Une mission à double tranchant :Créée au 13ème siècle par le roi Louis IX, la charge de bourreau consistait d’abord à faire avouer leurs fautes aux accusés en les faisant passer au supplice. Toute la difficulté était alors de ne pas les faire mourir pendant la torture afin qu’ils tiennent jusqu’au jour de leur exécution. Le bourreau devait ensuite réaliser la mise à mort rapidement et « proprement ». S’il n’effectuait pas correctement cette mission il pouvait lui-même être condamné à mort par la foule ! Comme on peut le comprendre, trop peu de candidats se présentèrent à ce poste. On finit donc par proposer aux condamnés à mort d’échapper à leur peine s’ils acceptaient de devenir bourreaux… Mais très peu acceptèrent.
Une vie de pestiféré :
En effet, les bourreaux étaient maudits par le reste de la population, à tel point qu’ils devaient vivre en dehors des villes. Ils étaient aussi contraints de porter des vêtements rouges pour que tout le monde puisse les reconnaître. En revanche, pour contrebalancer cette condition de paria, ils avaient plusieurs privilèges : exemption de certaines taxes, possibilité de revendre tout ou partie des corps des suppliciés, et droit de havage qui les autorisait à se servir gratuitement chez certains marchands dans la limite de ce que leurs mains pouvaient contenir. Après leur passage, les paniers qu’ils avaient touchés étaient marqués d’une croix.
Un héritage empoisonné :Les enfants des bourreaux n’avaient pas le droit d’aller à l’école. Aussi, on devenait souvent bourreau de père en fils. La famille de bourreaux parisiens la plus célèbre de l’Histoire fut certainement les Sanson, qui exercèrent cette fonction du 17e au 19e siècle. Parmi les condamnés qui passèrent entre leurs mains, on compte le roi des bandits Cartouche, le roi Louis XVI mais aussi Marie Antoinette, ou encore le célèbre criminel Lacenaire. Juste avant la Révolution, Louis XVI aboli la torture et remplaça le droit de havage par un salaire fixe. Quant au dernier bourreau parisien, il s’appelait Marcel Chevalier et procéda aux dernières exécutions en 1977.
Le chat et l’eau, une drôle de relation !
Sur le rapport qu’entretient le chat avec l’eau, on entend presque autant de versions qu’il y a d’animaux. Difficile de tirer des généralités… En revanche, on peut en déduire que les chats n’ont pas une peur irraisonnée de l’eau.
La baignade :
Certains chats, dont ceux à poils longs, réclament un entretien régulier de leur pelage et se laissent baigner, puis sécher et brosser sans rechigner. Pour d’autres, la baignade peut même devenir un plaisir ; ils prennent l’habitude – tout petits – de sauter dans la baignoire pour participer au bain des enfants. Encore une fois, pas de généralités, mais des attitudes qui varient selon les individus.
Quelques chats se baignent volontairement dans les piscines ou viennent s’y désaltérer en été. Les risques de chute existent. « La plupart du temps, ils effectuent un mouvement violent de torsion du corps, ils ”rebondissent” pour en sortir aussitôt comme s’ils prenaient appui sur l’eau. Certains nagent pour regagner l’escalier, d’autres n’arrivent pas à imaginer qu’ils peuvent se déplacer pour sortir et restent agrippés au rebord, parfois longtemps, avant d’être repêchés. »
Heureusement, les noyades sont rares. Mais pour éviter ce genre de situation, utilisez une alarme de piscine.
La pluie :
Craint-il la pluie ? « Le chat va réduire la fréquence de ses sorties par temps pluvieux, mais pas d’inquiétude : quand le poil est mouillé en surface, la peau ne l’est pas, car l’eau perle sur la fourrure », rassure Nicolas Massal. La pluie n’est donc pas un obstacle majeur à ses déplacements.
Et les flaques d’eau ? « Les chats prennent toujours le même chemin pour aller d’un point à l’autre, au jardin par exemple. Si des flaques se trouvent sur leur passage, certains ne changeront pas leur trajet pour autant, sauf si elles sont vraiment profondes. »
Pourquoi la cathédrale Notre Dame s’appelle-t-elle ainsi ?
Notre Dame … Deux mots qui suffisent à évoquer l’un des plus célèbres monuments de Paris. Débuté au milieu du 12ème siècle, le chantier du monument aura duré près de 200 ans. Par la suite, le lieu tombera un peu dans l’oubli jusqu’à ce que Victor Hugo ne le remette en lumière avec son roman éponyme Notre-Dame de Paris (1831). Mais pourquoi la cathédrale s’appelle-t-elle ainsi ? Pour le comprendre, il faut savoir que cela est lié à l’histoire de Marie, la mère d’un certain Jésus …
En plein Moyen-âge, les édifices à caractère religieux se multiplient et chaque monument est bon pour louer et prier les figures de la chrétienté. Outre Jésus-Christ, on rend aussi hommage à la Vierge Marie. La mère de Jésus occupe une place essentielle dans la religion catholique et le culte qui lui est rendu est bien supérieur par rapport à certains saints. On parle d’ailleurs de « culte marial ».
C’est donc à partir du Moyen-âge qu’il devient courant de parler de Jésus comme du « Seigneur ». À cette époque, le terme est devenu répandu puisqu’il désigne celui qui possède les terres. Quant à la femme du seigneur, on l’appelle justement « La Dame ». Si Marie n’est pas la femme de Jésus, mais sa mère, elle incarne tout de même celle qui accompagne le Seigneur.
Installé sur la façade occidentale, le portail de la Vierge retrace la mort de Marie, sa montée au Paradis et son couronnement en tant que reine des Cieux.
© Albertus teolog
Plus qu’une cathédrale, un passage divin :
Plus le temps passe, plus l’image de Marie va aller bien au-delà de la simple figure maternelle et humaine. Ne serait-ce qu’après sa mort où, selon de nombreux textes, le corps de la défunte ne serait pas resté dans son tombeau mais serait immédiatement monté au ciel. Très vite, Marie devient « la reine des cieux ». Elle symbolise alors un passage entre les vivants et les morts, entre la terre et le ciel. De par sa hauteur (les tours culminent à 69m), le monument est considéré, à l’époque, comme un intermédiaire entre le monde terrestre et le divin. Dès lors, il devient un peu l’incarnation de la Vierge Marie… Et Paris a désormais sa propre Dame.
6 Parvis Notre-Dame – Place Jean-Paul II, 75004 Paris
Métro : Saint-Michel – Notre-Dame (ligne 4)
(*) Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soient des interrogations importantes sur la capitale, son histoire, ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société. Avec ses « Le saviez-vous », Paris ZigZag lève le mystère sur tout ce que l’on a toujours voulu savoir sans jamais oser le demander…
Le pain était partagé selon le statut social !
Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.
La prochaine fois que vous vous laverez les mains et que vous trouverez la température de l'eau pas vraiment agréable, ayez une pensée émue pour nos ancêtres !
La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur "raisonnable" en juin.
Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à "sentir" légèrement et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle, en portant un bouquet.
C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée...
Les dix aliments anti-cellulite ....
1. L’ananas :
L’ananas fait partie des aliments les plus efficaces pour lutter contre la cellulite. Il contient une enzyme « brûle graisse », la bromélaïne qui permet d’évacuer les cellules graisseuses. Mais attention, n’en abusez pas car dans la mesure où il s’agit d’un fruit, celui-ci contient du sucre. Veillez à vous limiter à deux portions par jour. Quant au jus d’ananas, évitez-le !
On la trouve dans la plupart des supermarchés et elle est facile à utiliser : la levure de bière est riche en potassium et permet d’activer le drainage lymphatique. Saupoudrée sur une salade qu’elle agrémente avec originalité, la levure de bière est aussi excellente pour vos ongles et vos cheveux. Alors, pourquoi s’en priver ?
C’est sans doute la boisson la plus connue pour éliminer les vaguelettes disgracieuses. En effet, ses vertus diurétiques dues au tanin qu’il contient permettent d’éliminer de l’eau. Une propriété essentielle pour se débarrasser de la cellulite qui est très souvent liée à la rétention d’eau et à une mauvaise circulation veino-lymphatique. L’heure du thé, un rituel à instaurer tous les jours.
Le chou kale, est un crucifère également appelé chou vert frisé. C’est un légume pauvre en calorie (50 calories pour 100g) mais riche en fibres. Il contient du calcium, du potassium et de la vitamine K mais aussi des antioxydants comme la vitamine C, ainsi qu’une importante quantité de flavonoïdes : tout ce qu’il faut pour faire disparaître la cellulite. À consommer cuit ou cru ; qui l’eut cru : ce légume est un de vos meilleurs alliés anti peau d’orange.
Pour dire adieu aux capitons et à la peau d’orange, pensez au café. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas la boisson à proprement parler qui nous intéresse mais ce qui permet de la faire. Récupéré dans le filtre à café après son infusion, le marc de café possède des vertus étonnantes. Une fois séché, mélangez-le à de l’huile d’amande douce ou d’argan puis utilisez-le pour faire un gommage sur les zones à traiter. La caféine va permettre de déstocker les cellules adipeuses et de ralentir la production de cellules graisseuses… What else ?
Boire du jus de citron le matin est une habitude que prennent de plus en plus de personnes. Cet agrume possède en effet, de nombreux bienfaits comme apaiser la sensation de faim et limiter le grignotage. Mais son autre atout est son action drainante et détox qui permet d’éviter la rétention d’eau.
Le persil est une herbe aromatique bien connue des cuisiniers qui apporte de la saveur à de nombreux plats. Ce que peu de personnes savent, c’est qu’il permet d’éviter le stockage de la graisse grâce à son action diurétique et détoxifiante. Alors n’hésitez pas à en mettre en quantité dans votre taboulé et autres salades composées.
Encore trop méconnue, cette boisson réalisée à partir d’une décoction de feuille de bouleau d’une couleur vert pâle possède de multiples bienfaits. Ce breuvage qui nous vient des pays du nord de l’Europe est à prendre sous forme de cure. Riche en vitamine C et en magnésium, il permet de réguler l’humeur et a des propriétés à la fois détox, diurétiques et dépuratives qui viennent au secours de notre silhouette.
Les fruits rouges comme la framboise ou la fraise ont un véritable pouvoir antioxydant. Ils ont une action anti-cellulite et permettent d’éviter les capitons disgracieux. Bonne nouvelle, vous pouvez en profitez en dehors de l’été puisqu’ils conservent leurs propriétés même surgelés. À vous les verrines, les coulis et les salades de fruits !
On ne compte plus les bienfaits de l’oignon tellement ils sont nombreux. Ce légume réputé pour faire pleurer quand on l’épluche pourrait pourtant vous redonner le sourire en faisant disparaître votre cellulite. Connu pour réguler l’absorption du sucre et éliminer les graisses et les toxines, il permet de purifier l’organisme en éliminant l’eau. Consommez-le cuit de préférence, il sera plus digeste et sa teneur en flavonoïdes augmentera et permettra ainsi une plus grande concentration en antioxydants.
(source : Perrine Deurot-Bien)
Les derniers pèse-personnes publics de Paris ...
Au milieu du 19ème siècle, encouragés par les prescriptions des médecins, les Parisiens – pour ne pas dire les Parisiennes – commencent à surveiller de près leur ligne. Or, il est encore trop tôt dans les mentalités pour en faire une affaire privée : la pesée s’effectue donc aux yeux de tous sur des bascules automatiques publiques au détour des quais du métro et parcs parisiens. Pour ceux qui ne redoutent guère les balances, on trouve encore un de ces anciens pèse-personnes au Jardin du Luxembourg.
Jardin du Luxembourg, 75006 Paris
La carotte, une invention moderne ...
La carotte orange, de forme allongée, que nous râpons, mettons dans nos soupes et donnons en purée à nos bébés, n’est apparue qu’après la machine à vapeur !
Ce légume, volontiers considéré comme archaïque, ne s’est répandu qu’après 1830, sous la forme qu’on lui connaît actuellement.
Avant cela, le mot « carotte » existait, mais c’était une appellation générale. Elle désignait toutes sortes de racines venant sous les plantes de la famille des ombellifères, (comme la Reine des Prés, mais aussi le fenouil, le persil, et le céleri). ,
La rivière disparue de Paris ... La Bièvre !
« Sous le pont Mirabeau, coule la Seine », écrivait Guillaume Apollinaire à propos du célèbre fleuve parisien. Mais le mythique cours d’eau n’a pas toujours été le seul naturel à Paris ! Victor Hugo, en a même fait un poème : "La Bièvre".
La Bièvre suit son cours naturel en dehors de Paris mais a disparu de la capitale au début du XX ème siècle. Pourtant, cette rivière de 36 km aussi utile que bienfaisante pour les Parisiens prenait sa source dans les Yvelines et se jetait dans la Seine, au niveau de la gare d’Austerlitz. Elle entrait dans Paris au niveau de la Poterne des Peupliers pour traverser les actuels 13 ème et 5èmearrondissements.
La Bievre, porte d’Italie, à la sortie de Paris (XIIIème arr.), 1913. Photographie d’Eugène Atget (1857-1927). Paris, musée Carnavalet. © Eugène Atget / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
L’usage de ce cours d’eau commence au 11ème siècle lorsque plusieurs moulins à eau sont construits à ses abords. Puis, au 14ème siècle, ce sont les tanneurs et teinturiers qui s’installent sur ses berges.
Eugène Atget (1857-1927). Rue de Bièvre. Paris (Vème arr.). 1900. Paris, musée Carnavalet. © Eugène Atget / Musée Carnavalet / Roger-Viollet.
En 1336, un décret oblige toutes ces activités (ouvriers et travailleurs), à s’installer hors de la ville. Ils se retrouvent dans le 13ème arrondissement situé à l’époque hors de Paris, au-delà de l’enceinte Philippe-Auguste. Grâce à ces métiers, le quartier connaît une urbanisation rapide : en plus des moulins et autres, la Bièvre accueille mégissiers, cordonniers, blanchisseurs, tisserands ou la manufacture des Gobelins, encore visible aujourd’hui.
« Tanneries au bord de la Bièvre, vers 1865″. Paris (XIIIème arr.). 1865-1868. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Paris, musée Carnavalet. © Charles Marville / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
Malheureusement, cette urbanisation excessive aura raison de la rivière puisque cette source d’eau potable devint un bourbier pollué et sale dans une période accablée par les épidémies. Ce sont les travaux d’assainissement et d’urbanisation du baron Haussmann au milieu du 19ème siècle qui achèveront définitivement le cours de la Bièvre à Paris. Elle fut alors bétonnée et enterrée.
Au delà d’aider au développement des moulins et autres manufactures, la Bièvre servait à rafraîchir les Parisiens avec des sorbets, en été. Faute de savoir fabriquer la glace, on conservait celle de l’hiver dans des puits creusés dans le sol : les glacières. Elles étaient profondes de 5 à 12 mètres et en forme de cône renversé. La petite rivière traversait donc le 13ème arrondissement en se déversant dans les prairies inondables pour geler. Cette glace était alors cassée puis enfouie dans les fameuses glacières en couches alternées avec de la paille.
L’été venu, on la récupérait strate par strate pendant la nuit pour la vendre par bloc à des bourgeois, restaurateurs ou commerçants (poissonniers, crémiers) et évidemment aux glaciers qui la transformaient en sorbets !
La Bièvre (de la rue du Pont-aux-Biches). Paris (Vème arr.), vers 1865. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Bibliothèque administrative de la Ville de Paris. © Charles Marville / BHdV / Roger-Viollet
Bords de la Bièvre (au bas de la rue des Gobelins). Paris (XIIIème arr.), 1865-1868. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Paris, musée Carnavalet. © Charles Marville / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
Pourquoi dit-on « donner sa langue au chat » ?
« Donner sa langue au chat » consiste à renoncer à chercher ou à deviner une solution ou la réponse à une question.
A l’origine on disait « donner sa langue au chien » par adaptation d’une expression venue de religions anciennes, égyptienne et grecque. A l’époque, on ne « jetait » aux chiens que les restes des repas dont les hommes ne voulaient pas. Jeter « sa langue » revenait à faire savoir que l’on n’en avait plus aucune utilité car on abandonnait la volonté de chercher la réponse à une interrogation et par la suite de l’exprimer par la parole. Au XIXème siècle, le chat remplaça le chien car le félin était considéré comme un gardien de secrets. Lui donner sa langue consistait à lui donner la parole pour qu’il souffle la bonne réponse. De plus il s’agit peut-être d’une allusion au Sphinx égyptien qui passait pour être capable de poser des problèmes extrêmement difficiles ou des énigmes complexes.