Date de création : 09.04.2012
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23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Une voix grave, un regard ténébreux : l’acteur écossais restera à jamais associé au célèbre espion britannique qu’il a incarné dans sept épisodes.
L'acteur Sean Connery lors de la promotion de son autobiographie « Etre écossais »,, au Edinburgh International Book Festival, dans les jardins de Charlotte Square, à Édimbourg, le 25 août 2008. AFP/ED JONES
On l’appelait Bond. James Bond. Il n’était pourtant pas le seul à avoir porté ce nom, et il en avait porté bien d’autres : épiques (le roi Arthur, Robin des bois et Richard Cœur de Lion), célèbres (William Forrester, Guillaume de Baskerville et Henry Jones), parfois maudits (Zed dans le désastreux Zardoz, Allan Quatermain dans La Ligue des Gentlemen extraordinaires). Mais s’il n’en restait qu’un, ce serait celui de son premier grand rôle : James Bond, l’agent secret 007 au service secret de Sa Majesté d’Angleterre.
Après un demi-siècle sur les écrans, Sean Connery est mort, a annoncé sa famille à la BBC, samedi 31 octobre. Il avait 90 ans. Il était né le 25 août 1930 à Edimbourg, capitale de l’Ecosse. De cette mère-patrie, il était fier au point d’arborer le kilt en toute occasion propice (même lors de son anoblissement par Elizabeth II, en 2000, occasion que la presse britannique s’accorda à trouver non propice), d’intituler son autobiographie Being A Scot (Etre écossais), et de conserver imperturbablement son accent caractéristique, même lorsqu’il jouait un personnage d’une autre nationalité.
Fils d’une femme de ménage et d’un ouvrier, il claque tôt la porte de l’école et s’essaye à des métiers divers : livreur de lait, maçon, modèle pour l’Ecole des beaux-arts, vendeur de voitures d’occasion, maître-nageur… Il exerce même la profession exotique de vernisseur de cercueils. « J’ai fréquenté tellement de secteurs différents que c’en est une plaisanterie. Et aucun d’eux ne me convenait le moins du monde », confiait-il au journaliste Roger Ebert sur le tournage des Incorruptibles de Brian De Palma, en 1986.
Un succès fulgurant
Après un passage de trois ans dans la marine, il travaille assidûment à sa carrière… sportive : excellent footballeur, il s’adonne au culturisme et (selon son site officiel, mais l’information est régulièrement mise en doute) aurait atteint la troisième marche du podium de Mr. Univers en 1950. Il commence alors à apparaître sur scène et à l’écran. Des rôles de figuration d’abord, que sa stature élégante lui permet de gagner aisément.
La gloire se fait attendre, mais il refuse la carrière de footballeur professionnel qu’on lui propose. Ce n’est qu’au bout de longues années d’acharnement qu’il décroche ses premiers vrais rôles, avec Les Criminels de Londres, puis Je pleure mon amour (Another Time, Another Place), dans lequel il donne la réplique à la belle Lana Turner. Nous sommes en 1958, on découvre un jeune homme de 28 ans dont la belle voix grave tempère le jeu un peu tâtonnant, tout en effets de sourcils – qu’il a alors foisonnants.
C’est en regardant « Darby O’Gill et les farfadets », une production Disney peuplée de lutins et mal accueillie, que Albert R. Broccoli découvre son futur 007
Il lui faudra patienter encore pour connaître le succès, qui sera fulgurant, autant que l’attente en a été longue. En 1961, le producteur Albert R. Broccoli veut adapter les romans à succès que Ian Fleming, ex-recrue des services secrets britanniques, consacre à un espion fictif nommé James Bond. Après avoir envisagé des noms illustres (Cary Grant, James Mason, Richard Burton…), c’est finalement en regardant Darby O’Gill et les farfadets, une production Disney peuplée de lutins et mal accueillie, que Broccoli découvre son futur 007, en chemise et maniant la faux, un hymne campagnard aux lèvres.
James Bond 007 contre Dr No sort le 6 octobre 1962 en Angleterre, et les recettes promettent au producteur la saga dont il rêve. Un phénomène est né, miroir fidèle des désirs du public de ces années 1960, et de sa soif de légèreté : action, dépaysement, divertissement, Ursula Andress en bikini blanc, naissant comme Vénus hors de l’onde.
Séducteur
Y naît surtout le mâle moderne, que les hommes rêvent d’être et les femmes d’avoir : as de la réplique assassine mais peu bavard, jouant savamment du sourcil – qu’il a su élaguer –, séducteur, mais jamais vraiment rustre, bien habillé, toujours, et toujours élégant, même pendant la bagarre. Sportif, en somme, dans le sens chic du terme. Le cinéma, qui adaptait depuis les années 1930 les aventures d’Arsène Lupin « gentleman cambrioleur », vient de trouver son « gentleman espion ».
Sean Connery jouera Bond dans sept films, de 1962 à 1983. Lorsque sort On ne vit que deux fois, en 1967, il a 37 ans, et décide de renoncer au rôle, le temps pour George Lazenby d’une unique prestation. Puis Sean Connery revient à Bond en 1971 dans Les diamants sont éternels, avant de partir à nouveau, laissant la place à Roger Moore. Dans une interview de 1972, il raconte : « J’ai voulu me retirer après l’avoir joué cinq fois, et je n’ai tourné Les diamants sont éternels que parce qu’il pouvait me rapporter 1 million de dollars pour le Fonds écossais pour l’éducation. » Mais en 1983, il revient à Bond encore, pour Jamais plus jamais, un épisode non officiel de la saga.
Comment comprendre ces allées et venues ? Plusieurs hypothèses se confrontent, et le discours de l’acteur lui-même a pu varier : il était trop âgé (Roger Moore, son aîné de trois ans, jouera pourtant 007 jusqu’à ses 58 ans), trop las des intrigues répétitives, trop prisonnier des tournages rapprochés et désireux de ne pas s’enfermer dans le rôle… La carrière qu’il poursuit en parallèle de ses jeux d’espion ne laisse pourtant rien à désirer. Il y reste un homme à femmes.
Dirigé par Alfred Hitchcock, il mène l’enquête sur une blonde au passé trouble, jouée par Tippi Hedren, dans Pas de printemps pour Marnie (1964). La même année, dans La Femme de paille, il fait d’une brune envoûtante (Gina Lollobrigida) la veuve noire idéale pour son vieil oncle. Puis c’est une comédie, L’Homme à la tête fêlée (1966), dans laquelle il devient fou pour rire, assailli par toutes les femmes, les blondes (Joanne Woodward), les brunes (Jean Seberg). Enfin Edward Dmytryk l’entraîne sur les terres du western avec Shalako (1968), où il sauve une blonde aux cheveux fous (Brigitte Bardot) d’Apaches vindicatifs.
« Je ne pense pas qu’il ait beaucoup évolué en tant qu’acteur. C’est plutôt l’opinion qui s’est enfin mise à la mesure de ce qu’il peut faire », disait Sidney Lumet à propos de Sean Connery
Sean Connery collabore avec le réalisateur américain Sidney Lumet à cinq reprises, dont le controversé The Offence, en 1972. Dans la peau du sergent Johnson, enquêteur épuisé par les longues années de service sur les traces d’un violeur de petites filles, il offre une performance glaçante. Le film est si noir qu’il sera interdit dans plusieurs pays et n’apparaîtra sur les écrans français qu’en 2007, après trente-cinq ans de purgatoire. L’une des raisons les plus souvent avancées pour expliquer cette censure est que la performance radicale de Sean Connery aurait pu nuire à la carrière étincelante de son plus célèbre avatar… l’agent secret James Bond.
« Il est presque impossible de tenter d’effacer l’image de Bond », observait Sean Connery dans une interview de 1989. S’il est loin d’avoir connu le sort d’un Mark Hamill (le Luke Skywalker de Star Wars, qui continua de tourner beaucoup après la saga, mais ne parvint jamais à revenir sur le devant de la scène), il n’en est peut-être pas passé loin. On peine souvent à se rappeler que c’était lui qui donnait la réplique à Tippi Hedren dans Pas de printemps pour Marnie. Et qui se souvient aujourd’hui, malgré son acharnement à le répéter, qu’il a joué au théâtre, et tenu en 1961 le rôle de Macbeth pour la télévision canadienne ?
En 1993, Vanity Fair retranscrivait pour un portrait de l’acteur cette analyse de Sidney Lumet : « Je ne pense pas qu’il ait beaucoup évolué en tant qu’acteur. C’est plutôt l’opinion qui s’est enfin mise à la mesure de ce qu’il peut faire. J’ai toujours su de quoi il était capable. John Huston, quand il l’a engagé pour L’Homme qui voulut être roi, le savait également. Sean a toujours su jouer comme un géant. Mais c’est seulement dans les dix ou quinze dernières années que les gens ont commencé à dire : “Ça alors ! Il sait jouer !” »
Un Oscar pour un second rôle
Il y a bien deux identités derrière son nom : James Bond, et Sean Connery vieux. 007 semble avoir absorbé sa jeunesse. Sourcils noirs et barbe blanche, calvitie assumée (il portait la perruque dès Dr. No), toujours séduisant, mais plus Bond : dès L’Homme qui voulut être roi, en 1975, Sean Connery est frappé de vieillesse. Il a 45 ans. Peut-être vieillir était-il sa seule voie de salut.
« J’aimerais devenir un vieil homme avec une belle tête. Comme Hitchcock. Ou Picasso. Ils ont travaillé dur toute leur vie, mais ils ne montrent aucune lassitude », avait confié Sean Connery à 34 ans
Cette gueule cinégénique post-Bond, on la retrouve presque à l’identique pour ses rôles les plus populaires, du milieu des seventies jusqu’au début des années 2000 : Le Lion et le Vent, Un pont trop loin, Highlander, Indiana Jones et la dernière croisade, A la poursuite d’Octobre rouge… C’est un Sean Connery blanchi qui reçoit en 1986 un British Academy Film Award pour son rôle de Guillaume de Baskerville dans Le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud, et son seul Oscar, celui du meilleur acteur dans un second rôle, assorti d’un Golden Globe, pour Les Incorruptibles, en 1987.
Après un demi-siècle de carrière, le passage au nouveau millénaire sera le seuil de trop. Toujours fringant à 69 ans face à Catherine Zeta-Jones dans Haute voltige de John Amiel (1999), plus à l’aise que jamais dans sa posture fétiche de pygmalion en 2001 dans A la rencontre de Forrester de Gus Van Sant, il refuse les rôles de Morpheus dans Matrix et de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux, mais signe pour celui d’Allan Quatermain dans La Ligue des Gentlemen extraordinaires de Stephen Norrington, adaptation à gros budget du célèbre comic d’Alan Moore.
Le film est un succès commercial, mais un carnage critique. Sean Connery n’en avait pas attendu la sortie pour inaugurer une retraite méritée. Les mauvaises langues se plurent à rappeler que Forrester aurait fait un testament avec plus de panache. Mais ces dernières semblent être restées tout au long de cette carrière bien remplie le cadet des soucis de Sean Connery.
A 34 ans, il déclarait au journaliste du Saturday Evening Post qui l’interrogeait sur ses ambitions : « Plus que tout, j’aimerais devenir un vieil homme avec une belle tête. Comme Hitchcock. Ou Picasso. Ils ont travaillé dur toute leur vie, mais ils ne montrent aucune lassitude. Ils n’ont pas perdu un seul jour avec toutes ces absurdités qui peuvent envahir une existence. Ils savent que la vie est plus qu’un stupide concours de popularité. » N’en déplaise à cet agaçant jouvenceau qu’est toujours 007, Sean Connery a parfaitement réussi.
25 août 1930 : Naissance à Edimbourg (Ecosse)
1958 : « Je pleure mon amour »
1962 : « James Bond 007 contre Dr No »
1964 : « Pas de printemps pour Marnie »
1972 : « The Offence »
1975 : « Le Lion et le Vent »
1989 : « Indiana Jones et la dernière croisade »
1999 : « Haute voltige »
2001 : « A la rencontre de Forrester »
2003 : « La Ligue des Gentlemen extraordinaires »
2020 : Mort à l’âge de 90 ans
De 1962 à 1973, Sean Connery est marié à l'actrice australienne Diane Cilento. Leur fils Jason, né à Londres le 11 janvier 1963, deviendra également acteur après des études dans une école d'art dramatique de Bristol, Bristol Old Vic Theatre School.
En 1974, en raison d'une fiscalité qu'il juge trop lourde en Angleterre et parce qu'il se dit victime de discrimination politique, Sean Connery décide de s'installer en Espagne. Il se remarie l'année suivante avec une artiste-peintre française, Micheline Roquebrune (grand-mère de la journaliste Stéphanie Renouvin).
À partir des années 1990, il s'engage pour l'indépendance de l'Écosse, en devenant un des principaux contributeurs du Parti national écossais et en militant activement lors de chaque élection. Cette prise de position retarde son anoblissement par la reine Élisabeth II du Royaume-Uni, qui lui remet cependant les insignes de chevalier (Knight Bachelor's Badge) le 5 juillet 2000, cérémonie au cours de laquelle il arbore un costume traditionnel écossais dont le fameux kilt : une première qui fait s'émouvoir la presse britannique conservatrice.
En 2008, à propos des relations qu'il entretient avec son fils Jason, son ex-femme déclare : « Mon fils n'a jamais reçu un centime de son père et il n'a aucune intention de lui laisser une part de son importante fortune. » Elle affirme également que Jason a été accusé par son père de n'obtenir du travail que grâce à son illustre filiation
.
En 2010, Sean Connery est poursuivi pour évasion fiscale sur des opérations immobilières douteuses dans le sud de l'Espagne, mais il a finalement été blanchi de tout soupçon, contrairement à son épouse ainsi que seize autres personnes poursuivies, elles, pour fraude fiscale
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John Boyd Dunlop né le 5 février 1840 en Écosse et mort le 23 octobre 1921 à Dublin en Irlande est un inventeur écossais, fondateur de la compagnie de pneumatiques qui porte son nom, Dunlop.
Il naît le 5 février 1840 dans une ferme à Dreghorn, le comté de North Ayrshire. Il fait ensuite des études de chirurgien vétérinaire à l’université d'Édimbourg puis exercera cette profession pendant près de dix ans chez lui, avant de partir pour Belfast, en Irlande, en 1867.
Entre-temps, en 1839, Charles Goodyear dépose le brevet de la vulcanisation du caoutchouc et, en 1845, l’Écossais Robert William Thomson (en), invente le premier pneumatique à partir de bandage en caoutchouc collé sur une jante, dont il dépose un brevet en 1846. Hélas, le manque de robustesse du pneu et l’impossibilité de trouver une application pratique à son invention, font que William Thomson abandonne son brevet de « roue à air ».
En 1887, John Boyd Dunlop sans connaître paraît-il l'invention de W. Thomson, a l’idée d'entourer les roues en bois de la bicyclette de son fils avec des tubes en caoutchouc remplis d'air afin d’en améliorer le confort, le bruit, la vitesse et l'adhérence sur route.
Son pneumatique a un succès immédiat dans le monde du vélo, les grands champions de l’époque l’utilisent avec succès. John Boyd Dunlop dépose le brevet du pneu à air avec valve le 7 décembre 1888. Mais l'invention de Dunlop ne permet pas une réparation facile en cas de crevaison. En 1891 Édouard et André Michelin inventent le premier pneumatique démontable avec une chambre à air.
En marge du vélo, l’invention de Dunlop (et les innovations techniques des frères Michelin) arrive à une période cruciale du développement de l'automobile et surtout de la motocyclette, son invention trouve ainsi une application immédiate.
Dunlop cède son brevet à William Harvey Du Cros (en) contre 1 500 parts de la compagnie nouvellement créée. Il n'aura pas fait grande fortune de son invention.
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
23 octobre : Décès | |||||||||||||||||||||||||||
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Aneka, de son vrai nom Mary Sandeman, est une chanteuse britannique, née le 20 novembre 1954 en Écosse. Elle est principalement connue pour son tube Japanese Boy, sorti en 1981.
Japanese Boy
Originaire du Perthshire, chanteuse traditionnelle gaélique et celtique, Mary Sandeman a déjà une carrière dans le Scottish Fiddle Orchestra en tant que mezzo-soprano dès les années 1980.
En 1981, l'auteur-compositeur Bob Heatlie et le producteur Neil Ross l'approchent pour lui présenter une maquette de chanson pop aux sonorités exotiques. Amusée, Mary Sandeman accepte de l'interpréter bien que ce ne soit pas son registre habituel. Immédiatement, ils lui expliquent alors qu'elle doit absolument changer de nom pour correspondre à la chanson, s'emparent de l'annuaire téléphonique d'Édimbourg, et y trouvent le nom d'Aneka.
Elle enregistre un album éponyme produit par Neil Ross d'où sont tirés 4 singles Japanese boy, Little Lady , Ohh Shoby doo doo lang et I was free. Bobby Heatlie écrit les chansons de cet album. L'album est un succès en Angleterre, en Belgique, en Suède, en Suisse ainsi qu'en Allemagne et en France. Si les 45 tours Japanese boy et Little Lady sont des succès, l'album ainsi que les 45 tours suivants restent discrets sur le territoire français. Les deux premiers 45 tours édités en 1981 Japanese boy et Little Lady se retrouvent sur l'album. Pour ces deux premiers singles, deux Maxi-45 tours ont été pressés. Leurs faces B, Ae fond kiss et Chasing dreams ne seront pas repris sur l'album.
Un nouveau single sort en février 1982, Ohh Shooby doo doo lang, troisième extrait de l'album.
La même année est édité également Alister Mc Coll, un titre inédit de l'album que l'on retrouve sur le CD bootleg. La face B est un extrait de l'album I was free.
Ultérieurement, le 45 tours est réédité, cette fois avec I was free en face A, et Alister Mc Coll en face B. Toujours aucune information sur un éventuel Maxi-45 tours.
En 1983, deux 45 tours paraissent. Heart to beat et Rose, Rose I love you. Deux titres inédits de l'album, tout comme leurs faces B respectives Starshine et My Johnny (Kneels and kisses me).
En 2002, son tube Japanese Boy connait un certain revival en étant incorporé dans la bande son du jeu vidéo à succès Grand Theft Auto: Vice City. En 2005, l'émission britannique Bring Back... One Hit Wonders de Justin Lee Collins lui propose de participer mais Aneka refuse6.
Elle vit toujours en Écosse, à Ardeonaig dans le Perthshire, où elle est toujours chanteuse de folk.
Discographie
Album
1981 : Aneka
Singles
1981 : Japanese Boy
1981 : Little Lady
1982 : Ooh Shooby Doo Doo Lang
1982 : I Was Free
1983 : Heart to Beat
1984 : Rose, Rose, I Love You
Catalogue | 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
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|
Equipe d'Écosse
Numéro / Nom | Équipe | Sél. (but) | Date de naissance | ||||||
Gardiens de but | |||||||||
1 | Lee Alexander | Glasgow City | 16 (0) | 23 septembre 1991 | |||||
12 | Shannon Lynn | Vittsjö GIK | 30 (0) | 22 octobre 1985 | |||||
21 | Jenna Fife | Hibernian | 4 (0) | 1 décembre 1995 | |||||
Défenseurs | |||||||||
2 | Kirsty Smith | Manchester United | 34 (0) | 6 janvier 1994 | |||||
3 | Nicola Docherty | Glasgow City | 18 (0) | 23 août 1992 | |||||
4 | Rachel Corsie | Utah Royals | 108 (16) | 17 août 1989 | |||||
5 | Jennifer Beattie | Manchester City | 123 (22) | 13 mai 1991 | |||||
7 | Hayley Lauder | Glasgow City | 98 (9) | 4 juin 1990 | |||||
14 | Chloe Arthur | Birmingham City | 19 (0) | 21 janvier 1995 | |||||
15 | Sophie Howard | Reading | 13 (0) | 17 septembre 1993 | |||||
17 | Joelle Murray | Hibernian | 48 (1) | 7 novembre 1986 | |||||
Milieux de terrain | |||||||||
6 | Joanne Love | Glasgow City | 191 (13) | 6 décembre 1985 | |||||
8 | Kim Little | Arsenal | 132 (53) | 29 juin 1990 | |||||
9 | Caroline Weir | Manchester City | 62 (7) | 20 juin 1995 | |||||
10 | Leanne Crichton | Glasgow City | 64 (3) | 6 août 1987 | |||||
16 | Christie Murray | Liverpool | 60 (4) | 3 mai 1990 | |||||
23 | Lizzie Arnot | Manchester United | 25 (2) | 1 mars 1996 | |||||
Attaquants | |||||||||
11 | Lisa Evans | Arsenal | 77 (17) | 21 mai 1992 | |||||
13 | Jane Ross | West Ham | 126 (58) | 18 septembre 1989 | |||||
18 | Claire Emslie | Orlando Pride | 20 (3) | 8 mars 1994 | |||||
19 | Lana Clelland | Fiorentina | 24 (3) | 26 janvier 1993 | |||||
20 | Fiona Brown | FC Rosengård | 37 (2) | 31 mars 1995 | |||||
22 | Erin Cuthbert | Chelsea | 29 (9) | 19 juillet 1998 | |||||
Sélectionneur | |||||||||
Shelley Kerr | 15 décembre 1969 |
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