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Monde : France

Locomotive 214 P

Locomotive 214 P

Les Mountain de la série 241 P numéros 1 à 35 sont des locomotives à vapeur unifiées de la SNCF mises en service entre juin 1948 et juillet 1952.

 

La série fut construite en quatre ans, de juin 1948 à juillet 1952, par la société Schneider au Creusot (Saône-et-Loire). Elle reprenait, avec des améliorations, les dispositions de la 241 C 1 de 1930, prototype qui à son tour bénéficiait du retour d'expérience de la précédente série des 241 A de la Compagnie du chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée.

 

 

Ces locomotives étaient de type compound à quatre cylindres et quatre essieux couplés, avec les cylindres haute pression placés à l'intérieur du châssis entre le premier et le second essieu moteur entraînant le troisième essieu moteur, tandis que les cylindres basse pression situés à l'extérieur entraînaient le deuxième essieu moteur. La distribution haute pression était commandée par renvoi de mouvement des tiroirs basse pression et avance prise sur les contre-tiges des pistons haute pression.

 

La chaudière d'un diamètre interne de 1,80 m était dotée d'un foyer « Crampton » prolongé sur l'avant par une chambre de combustion, avec une grille débordante de 5,05 m2 de surface. La voûte du foyer était soutenue par trois « arch tubes » améliorant également la circulation d'eau. L'alimentation en charbon était assuré par un chargeur mécanique stoker de type « HT 1 », et l'alimentation en eau par un injecteur type « U1 » secondé d'un ensemble alimentaire réchauffeur d'eau type « ACFI ». La boîte à fumée mesurait 3 m de longueur et supportait un échappement type double « à trèfle » PLM.

 

Les 241 P furent accouplées aux tenders unifiés du type 34 P d'une capacité de 34 m3 d'eau et 12 tonnes de charbon, et dans quelques cas elles reçurent également des tenders du type 36 P, contenant 36 m3 d'eau et 9 tonnes de charbon.

 

 

La série, qui comprenait 35 unités, était destinée à la reprise des trains lourds sur les sections non électrifiées de la ligne Paris-Lyon-Marseille. Devant l'avancée des électrifications, elles essaimèrent sur les régions de l'Est, du Nord et de l'Ouest.
Les cinq dernières machines de la série, les 241 P 31, 32, 33, 34 et 35 furent à leur sortie d'usine, directement affectées à la région Nord au dépôt de La Chapelle, et ne connurent donc jamais la région Sud-Est.

 

Elles servirent pendant une vingtaine années et furent progressivement retirées du service dès 1965 avec la 241 P 1 radiée le 31 décembre 1965, pour s'achever avec les 241 P 9 et 16 qui furent les dernières radiées le 20 novembre 19732. Ces machines étaient surnommées les « grosses P » par opposition aux 141 P qui étaient affublées du surnom de « petites P ».

 

Le dernier train régulier tracté par une de ces Mountain fut assuré par la 241 P 17 le 28 septembre 1969 entre Nantes et le Mans.

 

Les dépôts d'affectation furent les suivants:

Région Méditerranée : Marseille-Blancarde

Région Sud-Est : Dijon-Perrigny, Lyon-Mouche, Nevers

Région Est : la Villette, Noisy-le-Sec, Chaumont

Région Nord : La Chapelle

Région Ouest : Le Mans

 

Sur la région Sud-Est les premières 241 P furent livrées au dépôt de Dijon-Perrigny en mai et juin 1948, pour assurer la traction des trains sur la ligne de Paris à Lyon qui n'était pas encore électrifiée. Puis au fur et à mesure de la progression l'électrification de la « ligne impériale », les Mountain furent mutées aux dépôts de Lyon Mouche puis Marseille-Blancarde sur la région Méditerranée. La 241 P 5 du dépôt de Marseille-Blancarde sera la dernière à quitter la région Méditerranée le 28 juillet 1962 au terme de l'électrification de la « ligne impériale ». Elle poursuivirent leur carrière sur la région Sud-Est au dépôt de Nevers à partir de 1958, sur les relations de Vierzon à Clermont-Ferrand et Moret - Veneux-les-Sablons à Clermont-Ferrand, jusqu'en septembre 1969.

 

Au Nord, le dépôt de La Chapelle reçu neuf 241 P entre 1951 et 1953 pour les trains de la ligne Paris-Lille. Les locomotives quittèrent le dépôt du 18e arrondissement de Paris en janvier 1959, à la suite de la mise sous tension de la dernière section de ligne entre Longueau et Paris-Nord.

 

Le dépôt de la Villette fut le premier de la région Est à recevoir des 241 P à la fin de l'année 1958 pour la traction des trains sur la ligne 1 entre Paris et Bar-le-Duc ; mais les travaux de reconversion de ce dépôt à la traction électrique auront pour conséquence le transfert de ses 241 P au dépôt de Noisy-le-Sec en mai 1961 pour une période de seize mois. Après la mise sous tension de l'intégralité de la ligne de Paris à Strasbourg en mai 1962, les 241 P furent regroupées au dépôt de Chaumont sur la ligne 4 où elles circuleront en direction de Mulhouse jusqu'à leur dernier roulement effectué en mai 1968.

 

À la région Ouest, le dépôt du Mans reçoit ses premières 241 P au mois de janvier 1959 en provenance de la région Nord. Les vingt 241 P que comptera le dépôt manceau remorqueront des rapides sur des distances importantes comme le Mans - Brest 411 km, et le Mans - Nantes - Quimper 440 km. Les 241 P achèveront leur carrière sur le Mans - Nantes où elles effectuèrent leurs ultimes circulations en septembre 1969.

 

Caractéristiques

 

Surface de grille: 5,052 m2

Surface de chauffe: 244,57 m2

Surface de surchauffe: 108,38 m2

Nombre d'éléments: ?

Nombre de cylindres: 2 HP et 2 BP

Diamètre cylindres HP: 446 mm

Course pistons HP: 650 mm

Diamètre cylindres BP: 674 mm

Course pistons BP: 700 mm

Pression de la chaudière: 20 kg/cm2

Diamètre des roues motrices: 2 020 mm

Diamètre des roues du boggie: 1 000 mm

Diamètre des roues du bissel: 1 350 mm

Masse à vide: 120,15 tonnes

Masse en ordre de marche: 131,4 tonnes

Masse adhérente: 81,6 tonnes

Longueur hors tout de la locomotive seule: 17,172 m

Puissance maximum indiquée: 2 944 kW

Puissance maximum à la jante: ? kW

Puissance maximum au crochet du tender: 2 210 kW

Effort de traction maximum: 199 KN

Vitesse maxi en service: 120 km/h

À titre indicatif, la consommation en exploitation était d'environ 100 litres d'eau et 25 kg de charbon au kilomètre.

 

Tender:

 

Tare du tender: 36,7 tonnes

Capacité en eau: 34 m3

Capacité en charbon: 12 tonnes

Masse du tender en ordre de marche: 82,7 tonnes

Masse totale locomotive + tender: 214,1 tonnes

Longueur du tender: 9,955 m

Longueur totale locomotive + tender: 27,117 m

 

Machines préservées

 

4 exemplaires ont été préservés :

la 241 P 9, conservée depuis 2008 à Toulouse, par l'AAATV Midi-Pyrénées qui réalise les travaux de remise en état de marche.

la 241 P 16, conservée en état de présentation au musée français du chemin de fer à Mulhouse.

la 241 P 17, conservée au Creusot et remise en marche en 2005 après 12 ans de travaux par l'association CFC. Logo monument historique Classé MH (1990).

la 241 P 30, conservée en état de présentation jusqu'en 2019 par l'association du Vapeur Val-de-Travers - VVT à Saint-Sulpice (canton de Neuchâtel, Suisse). Rachetée par l'AJECTA, la machine est désormais préservée à Longueville depuis le mois de juin 2019.

 

Modélisme

 

Les 241 P ont été reproduites à l'échelle HO par :

la firme Jouef (de 1971 à 2002) puis Jouef/Hornby en 2016

la Maison des trains

l'artisan Loco-Diffusion, sous forme de kit à monter en laiton

la firme suisse Fulgurex (modèle haut de gamme en laiton)

la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)

À l'échelle N par :

la firme suisse Lemaco (modèle haut de gamme en laiton)

 

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/241_P

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Claude Rich

Claude Rich

Claude Rich, né le 8 février 1929 à Strasbourg (Bas-Rhin) et mort le 20 juillet 2017 à Orgeval (Yvelines), est un acteur français.

Il a notamment reçu deux César, celui du meilleur acteur en 1993 pour Le Souper et un César d'honneur en 2002.

 

Enfance, formation et débuts

 

Claude Rich passe les premières années de sa vie à Strasbourg, jusqu'en 1935, puis il emménage avec sa mère et ses trois frères et sœurs à Paris, au 95, boulevard Saint-Michel après la mort de son père, ingénieur de métier, victime à 40 ans de la grippe. Sa mère espère qu'il deviendra prêtre, et bien qu'il ne choisisse pas la voie de la prêtrise, elle ne lui en tiendra pas rigueur, car elle-même ayant voulu être sculptrice, elle l'aidera beaucoup dans son désir d'être acteur. La foi de sa maman laissera néanmoins des traces, car son père étant d'origine alsacienne et sa mère d'origine bordelaise, il se définit comme chrétien-alsacien.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, vers 1943-1944, il vit aussi en pension à Neauphle-le-Vieux, à l’École du Gai Savoir de Michel Bouts où sa passion du théâtre est née. Pendant que son frère est engagé dans la 1re armée de de Lattre, Claude Rich assiste à la Libération de Paris.

 

Il commence à travailler comme employé de banque, suit en parallèle les cours Dullin, le Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche, et intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, promotion de 1953 dont il sort avec le deuxième prix (par ailleurs, aucun premier prix n'est décerné cette année-là). C'est là qu'il se lie d'amitié avec plusieurs élèves qui deviendront tous d'illustres acteurs : Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer. Ensemble ils forment ce qui fut appelé la « bande du Conservatoire ».

 

Carrière

 

Claude Rich fait ses débuts au théâtre de la Renaissance, et participe au film Les Grandes Manœuvres de René Clair, ce qui lance sa carrière cinématographique en 1955.

 

 

Il interprète fréquemment des rôles secondaires de jeune premier dans les années 1960, notamment en donnant la réplique à Lino Ventura dans Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner ou à Louis de Funès dans Oscar (1967). En 1968, Alain Resnais lui propose l'un des plus grands rôles de sa carrière dans le film de science-fiction Je t'aime, je t'aime, dans lequel il interprète un homme voyageant dans son passé après une tentative de suicide. Le réalisateur l'a choisi pour son timbre de voix qu'il apprécie particulièrement.

 

Durant les décennies 1970 et 1980, il retourne à sa passion première, le théâtre, notamment dans Hadrien VII pour lequel il est récompensé par le Prix du Syndicat de la critique, ainsi que dans un passage très remarqué à la Comédie-Française pour le rôle-titre de Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mis en scène par Franco Zeffirelli (1976). Cela ne l'empêche pas d’apparaître plusieurs fois sur grand écran, notamment dans La Femme de Jean (1974) dans un rôle atypique, Adieu poulet (1975), Le Crabe-Tambour (1977) et La Guerre des polices (1979).

 

En 1989, il joue Talleyrand dans la pièce Le Souper de Jean-Claude Brisville, au côté de Claude Brasseur. L’adaptation cinématographique de cette pièce lui permet d'effectuer un retour en force au cinéma en 1992. Sa prestation sera récompensée par le César du meilleur acteur en 1993.

 

Pour la télévision, Claude Rich tourne peu : sous le faux air d'un diplomate américain marié à Claude Jade, mais secrètement un agent secret dans le feuilleton Le grand secret (1989) ; dans La Vérité en face (1993) il incarne aux côtés de Danielle Darrieux un ancien membre de la Résistance soupçonné d'avoir parlé sous la torture ; son rôle de Léon Blum dans Thérèse et Léon de Claude Goretta avec Dominique Labourier ; sans oublier son portrait d'un psychiatre célèbre, le professeur Silberstein, aux côtés de Maruschka Detmers dans Clarissa de Jacques Deray.

 

Il collabore à de nombreux films historiques, dont Le Colonel Chabert (1994), La Fille de d'Artagnan (1994) qui lui vaut d'être nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, Le Bel Été 1914 (1996) ou encore Capitaine Conan (1996).

 

Lors de la Berlinale 1996, il est membre du jury.

 

Il ne dédaigne pas pour autant les productions plus grand public, notamment dans les comédies La Bûche en 1999, qui lui vaut d'être de nouveau nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, ou encore Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002) où il interprète le druide Panoramix.

 

Acteur au sourire malicieux et à la voix reconnaissable entre toutes, il multiplie les apparitions au cinéma dans les années 2000, notamment dans Le Coût de la vie (2003), Là-haut, un roi au-dessus des nuages (2004), Le Mystère de la chambre jaune (2003), Le Cou de la girafe (2004), Président (2006), Le crime est notre affaire (2008).

 

Il est récompensé par un César d'honneur en 2002, pour l'ensemble de sa carrière.

 

Durant cette décennie, il se fait par ailleurs beaucoup remarquer sur le petit écran pour ses interprétations ambitieuses de personnages historiques tels que Galilée dans Galilée ou l'Amour de Dieu au côté de son copain de Conservatoire Jean-Pierre Marielle, Voltaire dans Voltaire et l'Affaire Calas (2007).

 

Il est à nouveau nommé en 2009 pour le César du meilleur acteur dans un second rôle grâce à son interprétation dans le film de François Dupeyron Aide-toi, le ciel t'aidera.

 

En 2012, il incarne le père de Jean-Pierre Bacri, président de section du Conseil d'État, homme précieux et autocentré, dans la comédie de mœurs Cherchez Hortense ; cela lui vaut une nomination pour le César du meilleur acteur dans un second rôle en 2013.

 

Mais c'est au théâtre qu'il consacre l'essentiel de son énergie et de son talent, dans ses dernières années, avec deux pièces d'Antoine Rault mises en scène par Christophe Lidon, Le Diable Rouge (2008-2009) et L'Intrus (2011-2012).

En 2015, il se produit pour la dernière fois au cinéma dans le film d'Alain Choquart, Lady Grey

 

Vie privée

 

En 1957, il fait l'acquisition d'une maison à Orgeval dans les Yvelines. Il se marie le 26 juin 1959 avec l'actrice Catherine Renaudin à Paris. Le couple aura deux filles, Delphine, comédienne, et Natalie Rich-Fernandez, peintre. Ils ont un fils adoptif, Rémy (adopté après la mort de son père, le comédien Bernard Noël).

 

Catholique, il se rend à la messe chaque dimanche mais se voit comme un « chrétien un peu pitoyable » et déclare : « Je ne suis pas un très bon chrétien. Je n’étudie pas beaucoup ma religion, mais je crois en l’amour de Dieu. De la même façon que l’on ne sait pas toujours pourquoi on aime une personne, j’aime Dieu. Je le fréquente tous les dimanches. Lorsqu’il m’arrive de confier à quelqu’un mon intention d’aller à la messe le dimanche et que mon interlocuteur me fait part de son étonnement, je lui dis que c’est moi qui suis étonné qu’il n’aille pas à l’église ». Il dit avoir prié pour jouer un rôle dans une pièce où Dieu serait évoqué mais ne veut pas jouer de rôles militants : « Ne me transformez pas en comédien catholique. Je veux rester un acteur qui puisse jouer tour à tour un salaud ou un saint. »

 

En décembre 2006, il signe un manifeste de « soutien total » à Benoît XVI et pour que puisse être célébrée la messe tridentine, [considérant] « comme une grâce la diversité des rites dans l'Église catholique ».

 

Décès

 

 

Claude Rich meurt le 20 juillet 2017 des suites d'un cancer à son domicile en région parisienne à l'âge de 88 ans. Ses obsèques ont eu lieu le 26 juillet 2017 en l'église Saint-Pierre-Saint-Paul d'Orgeval dans les Yvelines, là où il est ensuite inhumé, en présence de nombreuses personnalités du cinéma et du théâtre.

 

Hommage

 

Son nom a été donné à un espace culturel de la commune alsacienne de Masevaux, inauguré en sa présence en 2004.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Rich

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Louis Jouvet

Louis Jouvet

Louis Jouvet, né le 24 décembre 1887 à Crozon (Finistère) et mort le 17 août 1951 (63 ans) à Paris 9e, est un comédien, metteur en scène et directeur de théâtre français, professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique.

 

 

Jules Eugène Louis Jouvet, orphelin de père à quatorze ans, part vivre avec sa mère chez son oncle, qui est apothicaire à Rethel dans les Ardennes. Influencé par sa famille, il s'inscrit à la faculté de pharmacie de Toulouse. À partir de 1904, il entame des études de pharmacie à la faculté de Paris, mais passe tout son temps libre dans les théâtres amateurs de l'époque : dans la troupe de Léon Noël, puis celle du Théâtre d'Action d'Art de 1908 à 1910 (il part alors en province jouer devant des auditoires populaires), ensuite celle du Théâtre des Arts, puis à l'Odéon, et au Châtelet. En parallèle, il se présente au concours d'entrée du Conservatoire d'Art dramatique de Paris, où il sera recalé plusieurs fois.

 

De la faculté au Vieux-Colombier

 

En 1912, son diplôme de pharmacien en poche, Louis Jouvet se marie le 26 septembre avec Else Collin (1886-1967), avec laquelle il aura trois enfants : Anne-Marie en 1914, Jean-Paul en 1917 et Lisa en 1924. À cette époque il court les cachets et fera ainsi une courte apparition dans un film aux côtés de Harry Baur.

 

En 1913, il est engagé avec son ami Charles Dullin par Jacques Copeau, alors directeur du Théâtre du Vieux-Colombier. C'est un véritable tournant dans sa carrière : il y est régisseur, décorateur, assistant et enfin comédien.

 

En 1914, la Première Guerre mondiale éclate, Louis Jouvet est engagé volontaire. Il est ambulancier, puis médecin auxiliaire. Démobilisé en 1917, il retrouve la troupe du Vieux-Colombier.

 

En novembre 1917, la troupe du Vieux-Colombier s'installe pour deux saisons au Garrick Theatre de New York. Le succès obtenu n'est pas à la hauteur des attentes ; les relations entre Jouvet et Copeau se dégradent.

 

En 1920, c'est le retour à Paris : le Vieux-Colombier rouvre ses portes.

 

Entre-deux-guerres

 

En 1922, Jouvet rompt avec Jacques Copeau. Engagé par Jacques Hébertot, qui dirige alors le théâtre des Champs-Élysées et la Comédie des Champs-Élysées, en qualité de directeur technique de ces deux salles, il participe à la scénographie du troisième théâtre, le Studio des Champs-Élysées, et se voit confier des mises en scène, en alternance avec Georges Pitoëff. L'année suivante, en décembre 1923, il remporte son premier grand succès avec Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains, qu'il jouera 1 500 fois.

 

À la fin de 1924, plusieurs comédiens venus du Théâtre du Vieux-Colombier le rejoignent. Jacques Hébertot s'éloigne. Louis Jouvet devient directeur de la Comédie des Champs-Élysées, où il demeurera jusqu'en 1934.

 

En 1928, il rencontre Jean Giraudoux, dont il crée plusieurs pièces. Pendant deux années il dirige le théâtre Pigalle où il présente avec succès Donogoo Tonka de Jules Romains le 8 octobre 1930, puis en 1931 Judith de Jean Giraudoux. À partir de 1934, il dirige le théâtre de l'Athénée, où il donne la première de La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935) et celle d'Ondine (1939).

 

Gaston Baty, Charles Dullin, Georges Pitoëff et Jouvet fondent le 6 juillet 1927 une association d'entraide, le « Cartel des Quatre », qui durera jusqu'en 1940. Leur objectif est de faire en sorte que le théâtre crée une poésie qui lui soit propre, et de jouer des auteurs contemporains.

 

On lui propose la direction de la Comédie-Française, qu'il refuse, car il est trop occupé par celle de son propre théâtre. À l'Athénée, il triomphe avec des pièces de Molière et de Giraudoux, et d'autres œuvres du répertoire classique.

 

Seconde Guerre mondiale

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il effectua une tournée en Amérique latine à la suite de l'occupation allemande. Entre 1941 et 1945, il se produit à Buenos Aires (Argentine), où est installé son cousin, l'acteur Maurice Jouvet (es). Il y représente Ondine, de son ami Jean Giraudoux, pièce qu'il a créée deux ans auparavant à Paris. Il emmène la pièce en tournée à Montevideo, São Paulo et à Rio de Janeiro. Il crée dans cette ville L'Annonce faite à Marie de Paul Claudel en 1942, dans laquelle joue l'actrice belge Madeleine Ozeray (1908-1989), comédienne de sa troupe devenue sa compagne.

 

À la Libération en 1945, il rentre en France pour diriger La Folle de Chaillot avec Marguerite Moreno (1871-1948) en hommage à Jean Giraudoux, décédé l'année précédente.

 

À la tête du théâtre de l’Athénée

 

Louis Jouvet reprend la direction du théâtre de l’Athénée, qui deviendra plus tard le théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet. C'est là qu'il crée La Folle de Chaillot (1945). Le 30 juillet 1950, il reçoit la Légion d'honneur.

 

Le 7 février 1951, c'est lui qui lit la prière de Willette à la messe du mercredi des Cendres, célébrée en l'église Saint-Germain-l'Auxerrois en présence du nonce apostolique monseigneur Roncalli (le futur pape Jean XXIII), du cardinal Maurice Feltin, et d'une foule d'artistes. Cette messe et sa prière s'adressent à ceux qui vont mourir dans l'année. Sa disparition six mois plus tard marquera les esprits, au point que l'année suivante elle fut dite par trois récitants.

 

Il aide également les nouvelles figures du théâtre et de la décentralisation théâtrale, Maurice Sarrazin, André Barsacq, Jean-Louis Barrault et Jean Vilar notamment, et met en scène, au Théâtre Antoine à ParisLe Diable et le Bon Dieu, pièce écrite par Jean-Paul Sartre en 1951. Le soir de la première il est à Toulouse, où il prodigue ses conseils au jeune directeur du nouveau Centre dramatique, M. Sarrazin.

 

Décès

 

Malade du cœur, il meurt d'un infarctus le 17 août 1951, survenu dans son théâtre au 7 rue Boudreau, alors qu'il dirige une répétition de la pièce La Puissance et la Gloire, d'après Graham Greene. Il repose au cimetière de Montmartre à Paris.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Jouvet

Notes et références                                                    
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Taille-crayon

Publié à 14:31 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog livre sur merci france monde soi femme maison société centre rose 2010 cadeau
Taille-crayon

 

Avant le développement des taille-crayons dédiés, un crayon était taillé en le taillant avec un couteau . Les outils de taille-crayon ont rendu cette tâche beaucoup plus facile et ont donné un meilleur résultat.

 

Le développement des taille-crayons a commencé en France, lorsqu'un livre français de 1822 a été rapporté en détail sur une invention de M. CA Boucher (Paris) pour la construction d'un taille-crayon. Il travaillait avec des pantographes et avait apparemment besoin d'un appareil pour aiguiser précisément les crayons.  L'appareil de M. Boucher était techniquement sensé et fonctionnel. Son idée était également connue et reconnue internationalement, comme le montrent les rapports correspondants dans la littérature allemande à cette époque.  Mais M. Boucher n'avait pas déposé de brevet pour son taille-crayon. Une utilisation commerciale de ses inventions est peu probable.

 

Le mathématicien français Bernard Lassimonne (Limoges) a appliqué le premier brevet au monde (brevet français n ° 2444) sur un taille-crayon en 1828.  Les dispositifs de taille-crayon utilisant son brevet étaient en fait produits et vendus par Binant, un magasin d'accessoires de peinture à Paris.  En 1833 en Angleterre, Cooper & Eckstein a breveté le soi-disant Styloxynon, un appareil simple composé de deux limes pointues placées ensemble à angle droit dans un petit bloc de bois de rose. C'est le plus ancien taille-crayon qui a des exemples survivants.

 

Dans les années 1830 et 1840, certains Français, tous basés à Paris, se sont engagés dans la construction de simples outils de taille-crayon, comme François Joseph Lahausse  . Ces appareils ont été partiellement vendus, mais sans signification supra-régionale. En 1847, le noble français Thierry des Estivaux a inventé un simple taille-crayon à main dans sa forme moderne reconnaissable.  Le premier taille-crayon américain a été breveté par Walter Kittredge Foster de Bangor, Maine en 1855. . Il a fondé une entreprise - la première entreprise de taille-crayons au monde - et a produit de si petits taille-crayons à main en grande quantité. Quelques années plus tard, les taille-crayons étaient également vendus en Europe sous le nom de "taille-crayons américains". 

 

A la fin du 19ème siècle notamment aux Etats-Unis, des taille-crayons à mécanismes variés avaient été développés et mis sur le marché. Ces appareils étaient souvent lourds et destinés à être utilisés dans les bureaux. Les exemples sont le Perfect Pencil Pointer (Goodell. Co.), le GEM Pencil Sharpener (par Gould & Cook Co.), le Planetary Pencil Sharpener (AB Dick Co.), tous des États-Unis ou le Jupiter (Guhl & Harbeck Co.) de l'Allemagne.  Au début du 20ème siècle, la société Automatic Pencil Sharpener Co. (APSCO) a été fondée et a sorti le US Automatic Pencil Sharpener après 1907 , qui a dominé ces années-là. Plus tard, ils ont vendu des machines avec mécanisme de fraisage, comme les modèles Climax, Dexter, Wizard et Junior. APSCO est devenu au cours des décennies suivantes le plus grand producteur de machines à tailler les crayons au monde et, avec quelques autres entreprises américaines, il a dominé le marché.

 

Des taille-crayons électriques pour les bureaux sont fabriqués depuis au moins 1917.

 

En mai 2011, les responsables du tourisme de Logan, dans l'Ohio, ont exposé, dans son centre d'accueil régional, des centaines de taille-crayons qui avaient été rassemblés par le révérend Paul Johnson, un ministre de l'Ohio décédé en 2010. Johnson, un vétéran de la Seconde Guerre mondiale, avait conservé sa collection de plus de 3 400 taille-crayons dans un petit hangar, devant sa maison de Carbon Hill, dans le sud-est de l'Ohio. Il avait commencé à collectionner après que sa femme lui ait offert quelques taille-crayons en cadeau à la fin des années 1980 et les avait organisés en catégories, y compris les chats, Noël et Disneyland .

 



Liens externes                                                  
 

https://en.wikipedia.org/wiki/Pencil_sharpener

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Testut

Publié à 12:56 par dessinsagogo55 Tags : testut balance center centerblog sur merci france société centre
Testut

Balance

 

Testut est une entreprise française de fabrication et de commercialisation d'instruments de mesure (pesage et comptage) et de machines à trancher les viandes. Elle a été fondée vers 1850 par Charles Rodolphe Testut. Rachetée par Bernard Tapie en 1983, elle a disparu par liquidation en 2003. Son nom reste associé à l'affaire Testut, qui aboutira à la condamnation de Bernard Tapie pour abus de biens sociaux.

 

L'entreprise naît du besoin de mesures de plus en plus fiables. Alors qu'en 1791 l'Assemblée nationale déclare la liberté de cultiver, de fabriquer et de débiter le tabac, en 1810 Napoléon 1er rétablit le monopole d'exploitation par l'État. et dès 1815 de nombreux départements sont autorisés à cultiver le tabac. Cependant la vente est soumise à des contrôles de plus en plus rigoureux et c'est à cette époque que les revendeurs doivent s'équiper de balances précises, car la demande est forte et les structures pour la satisfaire presque inexistantes.

La famille Testut, maîtres couteliers de père en fils depuis les années 1500 est originaire de Castelnaudary. Une première entreprise de fabrique de balances avait été créée à Mirepoix, dans l'Ariège, par Denis Cresson Testut en 1820. Les « Établissements Ch. Testut », société anonyme au capital de 10 000 000 francs, sont fondés vers 1850 par Charles Rodolphe Testut1. Le siège social se situe au 8 rue Popincourt à Paris dans le 11e arrondissement. Il le restera jusqu'au rachat de l'entreprise par Bernard Tapie en 2003.

Les premières balances conçues par Charles Rodolphe Testut sont des balances dites « à tabac ». Produites dès 1821, il n'en reste que de très rares exemplaires. Elles sont en bronze, dotées d'un fléau à aiguille gravé du nom de la marque en son centre, et de deux plateaux en cuivre jaune dinandier et martelé, posés sur une colonne. Ces petites balances, pratiques et bon marché, ont un succès immédiat. L'innovation de la balance « Testut » réside dans la suppression des trois chaînettes permettant la suspension de la coupelle de pesée, la remplaçant par une tige en acier forgée en « col de cygne » terminée par 2 crochets, divisant ainsi le coût de fabrication par trois. Une pastille de plomb est sertie sur le socle utilisée pour le marquage « à la frappe » des poids et mesures. Cette innovation améliore la qualité de la mesure, grâce à un groupe de pesage plus robuste et plus fiable que les modèles utilisés au début du XIXe siècle.

 

Du premier atelier au groupe international

 

Le premier atelier situé près du boulevard Voltaire à Paris, devenant le siège social de l'entreprise, Charles Rodolphe Testut ouvre un second atelier à Viry-Châtillon. D'autres usines sont créées dans l'est et le sud de la France, à Lunéville, Port-sur-Saône, Toulouse, ainsi qu'à Béthune après la fusion avec la société Aequitas en 1971, puis à La Mulatière près de Lyon avec la reprise de l'entreprise Trayvou en 1979.

Le Groupe Bernard Tapie rachète la société Testut en 1983, après le rachat d'une autre entreprise de pesage, la société Terraillon, en 1981. Lutrana, société créée en 1910 par M. Luteraan, présent dans le pesage industriel et commercial, rejoint le groupe Testut en 1990.

En 1995, Testut est transféré au CDR, la filiale du Crédit lyonnais chargée de gérer les actifs industriels de la banque, dont Bernard Tapie était débiteur (voir affaire Testut).

Le groupe américano-suisse Mettler Toledo, numéro un mondial du pesage, devient propriétaire de Testut en 1999. Quatre ans plus tard, en 2003 l'entreprise Testut sera mise en liquidation.

 

Slogans

 

« Testut - la grande marque française »

« Testut - la balance de France »

« Testut - Nous pouvons tout peser, absolument tout »

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Testut_(entreprise)#:~:text=

Testut%20est%20une%20entreprise%20fran%C3%A7

aise,disparu%20par%20liquidation%20en%202003.

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Renault Fuego

Publié à 18:14 par dessinsagogo55 Tags : centre france base bonne center sur monde centerblog merci
Renault Fuego

 

 

Les études de la Fuego débutent dès 1976 au centre Style de Renault dirigé par Robert Opron (père des Citroën SM et Citroën CX) sur la base des dessins de Michel Jardin. Elle utilise la plate-forme et de nombreuses pièces mécaniques de la Renault 18 étudiée et produite à la même époque, pour une économie de coût de production.

 

Ce coupé ne présente pas de différences techniques majeures par rapport à ses prédécesseurs mais introduit des lignes plutôt originales, plus arrondies et aérodynamiques (Cx de 0,34), avec en particulier un hayon bulle entièrement vitré et une bande noire latérale à cannelures, qui affine et dynamise la ligne.

La Fuego reprend les solutions techniques de la Renault 18 (traction, moteur longitudinal, essieu arrière rigide) et la plate-forme de la 18 break, mais le train avant à déport négatif provient de la Renault 20 diesel. Elle récupère donc une bonne partie du comportement routier de la 18. La Fuego abandonne aussi certaines avancées de sa devancière la 17 TS (qui était le haut de gamme de ce modèle), comme l'injection électronique ou les quatre freins à disque, ce qui lui vaudra quelques critiques lors de la présentation des premières versions TL/GTL.

 

Disposant à l'origine de motorisations peu sportives, la Fuego ne bénéficie pas d'un grand prestige et les ventes, parties très fort, déclinent rapidement notamment du fait des tarifs jugés assez élevés. Cela a été en France la cause principale du succès de la motorisation de base au détriment des versions plus puissantes. Au lancement, la version GTS et son « moteur Cléon-Alu » 1 647 cm3 de 96 ch est la plus puissante, accompagnée des TL et GTL dotées du « moteur Cléon-Fonte » 1 397 cm3 de 64 ch à boîte de vitesses à quatre rapports (cinq en option sur GTL). Le millésime 1981 voit l'apparition des TX et GTX avec le « moteur Douvrin » 1 995 cm3 de 110 ch. Le lancement de la version turbo diesel, avec le « moteur Douvrin » dans sa version diesel de 2 068 cm3 au millésime 1983 n'inverse pas la tendance. Pourtant, la Fuego Turbo D est le diesel le plus rapide du monde en octobre 1982 avec 175 km/h, mais les ventes ne se rétablissent pas pour autant. À partir de 1983 la version GTL reçoit le moteur d'1,6 litre de la GTS dégonflé à 73 ch.

 

Pour le millésime 1984, la Fuego est restylée (phase 2) au niveau de la calandre, des pare-chocs, et reçoit un nouveau tableau de bord style « visière » (sauf pour les versions en conduite à droite). Mais la nouveauté la plus marquante est la version turbo essence qui reçoit un 1 565 cm3 de 132 ch. La Fuego peut enfin afficher une réelle sportivité, ce qu'elle ne manque pas de faire, étant équipé de jantes aluminium BBS « nid d'abeille », de quatre freins à disque, d'un intérieur tout velours, d'un ordinateur de bord à huit fonctions, de rétroviseurs électriques, d'une ouverture centralisée à télécommande infrarouge… Cette version est décorée de gros autocollants « TURBO » au bas des flancs et d'une vitrophanie (autocollant collé à l'intérieur) du même motif à la base de la bulle arrière. Mais il est trop tard pour contrer la progression sur le marché des GTI, et comme ses concurrentes, les Ford Capri et Opel Manta, sa production s'arrête à la fin du millésime 1985 et ce coupé n'est pas remplacé.

 

Les marchés d'export européens ont au cours de la carrière de la Fuego toujours connu un traitement de faveur : la TL était parfois remplacée par une TS peu équipée mais motorisée par le 1,6 litre, et avec la phase 2 une version 2,2 litres (2 165 cm3) de 116 ch a aussi existé.

 

Parmi les équipements notables, la Fuego a été la première voiture au monde à recevoir un système de télécommande sans clé avec centralisation, disponible depuis l’année-modèle 1983 (octobre 1982). Ce système a été inventé par le français Paul Lipschutz (d'où le nom de la télécommande PLIP utilisé en Europe) et fut plus tard répandu sur les autres modèles Renault.

 

La Renault Fuego a été produite à l’usine MCA à Maubeuge (Nord) en France du mois d’octobre 1979 à juin 1985 et à l’usine de Santa Isabel (Argentine) de mars 1982 à 1992. Les stocks ont été écoulés en Europe jusqu'en 1987. La production totale de Renault Fuego est de 265 367 exemplaires

 

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_Fuego#:~:text=

La%20Renault%20Fuego%20est%20un,plus%20de%20succ%C3%A8s%20en%20Argentine.

 

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Marie Trintignant

Marie Trintignant

 

Marie Trintignant, née le 21 janvier 1962 à Boulogne-Billancourt et morte le 1er août 2003 à Neuilly-sur-Seine, est une actrice française. Elle a été tuée par son compagnon Bertrand Cantat. Sa carrière de comédienne a commencé très tôt et devient fructueuse durant les années 90 notamment grâce à sa prestation dans le film Une affaire de femmes. Elle reçoit plusieurs nominations au César.

 

Fille de l'acteur Jean-Louis Trintignant et de la réalisatrice Nadine Trintignant, Marie Trintignant commence sa carrière d'actrice en 1966, à l'âge de quatre ans, dans Mon amour, mon amour de sa mère, aux côtés de son père, puis enchaîne d'autres films avec sa mère.

 

En 1978, à 16 ans, elle tourne dans Série noire d'Alain Corneau, qui entre dans les annales du film noir grâce à l'ambiance sombre et désespérée qui en émane et surtout l'interprétation de Patrick Dewaere sans qui le film « n'aurait pas existé », selon le réalisateur.

Dans les années 1980, sa notoriété bondit grâce à Etienne Périer, qui réalise La Garçonne, téléfilm en deux parties pour France 2 d'après le roman de Victor Margueritte en 1922, et à Claude Chabrol avec Une affaire de femmes — film dans lequel elle incarne une prostituée, amie du personnage principal interprété par Isabelle Huppert — puis Betty, en 1992, dans lequel elle tient le premier rôle, un personnage d'alcoolique en rupture avec sa famille bourgeoise et qui provoque le désordre dans le couple qui la recueille. Tous deux y ont mis en valeur son timbre de voix grave et son regard profond.

 

Dans les années 1990, elle obtient le premier rôle dans Nuit d'été en ville de Michel Deville. Elle se met à la comédie avec des films comme Cible émouvante ou encore … Comme elle respire, deux films de Pierre Salvadori où elle donne la réplique à Jean Rochefort et Guillaume Depardieu.

 

En 2000, sous la direction de sa mère Nadine Trintignant, elle joue le rôle d'une militante du droit à l'avortement dans le téléfilm Victoire ou la Douleur des femmes. La même année, elle est membre du jury au Festival du cinéma américain de Deauville.

 

Elle est nommée cinq fois aux César du cinéma (1989 pour Une affaire de femmes, 1994 pour Les Marmottes, 1997 pour Le Cri de la soie, 1998 pour Le Cousin et 1999 pour … Comme elle respire), sans obtenir le trophée.

 

Décès

 

Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003 dans leur chambre d'hôtel de Domina Plaza de Vilnius en Lituanie où elle tourne le téléfilm Colette, une femme libre, une dispute au sujet d'un message envoyé par son mari Samuel Benchetrit, dont elle est séparée, éclate avec son compagnon Bertrand Cantat. Ce dernier et Marie Trintignant ont une relation tumulteuse depuis 18 mois. Lors de cette dispute, Bertrand Cantat la frappe à plusieurs reprises, « une vingtaine de traces de coups ». La comédienne tombe au sol, inanimée. Bertrand Cantat la porte alors jusque dans son lit, sans appeler les secours. Au cœur de la nuit seulement, il appelle au téléphone Vincent Trintignant, le frère de Marie. Celui-ci rejoint le chanteur, mais ne peut mesurer la gravité de la situation et est dissuadé d'appeler un médecin à plusieurs reprises. Ce n'est qu'à h 15 du matin que Vincent Trintignant, constatant que sa sœur ne réagit pas, se décide, lui, à appeler les secours. Marie Trintignant est admise à l'hôpital universitaire de Vilnius dans un coma profond.

 

À deux reprises, les chirurgiens de Vilnius opèrent la jeune femme pour décompresser le cerveau. Elle est rapatriée en France le 31 juillet 2003 en état de mort cérébrale, à la suite d'un œdème cérébral suivi d'un coma profond provoqué par les coups portés. Une opération de la dernière chance est tentée par le neurochirurgien Stéphane Delajoux, mais elle meurt le lendemain, le vendredi 1er août 2003, à Neuilly-sur-Seine.

 

Marie Trintignant est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (45e division) le 6 août 2003, en présence d'une assistance vêtue de blanc comme l’a demandé la famille, ont rapporté les journaux. Son cercueil est recouvert de tournesols, sa fleur favorite. Le matin, un hommage réunit des proches au théâtre Édouard VII pour des lectures de textes et chansons joués ou appréciés par Marie Trintignant.

 

Vie privée

 

Installée tantôt à Uzès, tantôt à Paris, Marie Trintignant est la mère de quatre enfants : Roman, né en 1986 de Richard Kolinka, Paul né en 1993 de François Cluzet, Léon né en 1996 de Mathias Othnin-Girard, et Jules né en 1998 de Samuel Benchetrit.

 

En 1998, sa mère, Nadine Trintignant, épouse son compagnon de longue date, le réalisateur Alain Corneau, qui adopte dans la foulée Marie et son frère Vincent, avec le consentement de leur père biologique, Jean-Louis Trintignant.

 

Le 4 septembre 2010, Alain Corneau est inhumé auprès de Marie au Père-Lachaise. Leur sépulture porte en épitaphe une citation signée de Percy Shelley : « Paix, paix, ils ne sont pas morts, ils ne sont pas endormis, ils se sont réveillés du rêve de la vie. »

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Trintignant

 
     
     
     
     
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Marie Trintignant

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