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Monde : France

Louis XVIII

Publié à 16:45 par dessinsagogo55 Tags : histoire center paris pouvoir centerblog sur merci france saint mort
Louis XVIII

Louis XVIII en costume de sacre,
huile sur toile de
François Gérard, 1815.

 

 

Louis XVIII — né à Versailles le 17 novembre 1755 sous le nom de Louis Stanislas Xavier de France, et par ailleurs comte de Provence (1755-1795) — est roi de France et de Navarre du 6 avril 1814 au 20 mars 1815 puis du 8 juillet 1815 à sa mort, le 16 septembre 1824, à Paris.

 

Quatrième fils du dauphin Louis et frère cadet de Louis XVI, il est appelé « Monsieur » quand ce dernier devient roi. Exilé sous la Révolution française et le Premier Empire, il adopte de jure en tant que prétendant au trône le nom de Louis XVIII, l'ordre dynastique incluant son neveu Louis XVII mort en prison en 1795 (à l'âge de 10 ans) sans avoir jamais régné. Surnommé « le Désiré » par les royalistes, il revient en France lors de la Restauration qui suit la chute de l'empereur Napoléon Ier. Il est renversé durant les Cent-Jours, puis revient à nouveau au pouvoir après la bataille de Waterloo.

 

Durant son règne, considérant l'évolution de la France entre 1789 et 1814, Louis XVIII s'attelle à composer avec les acquis de la Révolution et de l'Empire. Ayant quitté la France, le même jour que son frère (qui fut reconnu et arrêté à Varennes), à 35 ans, il en a 58 quand son règne commence effectivement, après avoir passé 23 ans en exil. Il « octroie » au peuple une constitution utilisant un terme d'Ancien Régime, la Charte constitutionnelle de 1814, mène une politique de réconciliation et d'oubli concernant les violences révolutionnaires en tentant de calmer la Terreur Blanche. Il a dans un premier temps composé avec une chambre parlementaire « plus royaliste que le roi », la Chambre introuvable. Mais en 1820, après l'assassinat de son neveu le duc de Berry, troisième dans l'ordre de succession au trône, la Restauration prend un tournant plus dur, voire réactionnaire, que le roi laisse mener par le président du conseil Villèle. Son règne est aussi marqué par l'expédition d'Espagne (1823).

 

Il meurt sans descendance et est inhumé à la basilique Saint-Denis. Il est le dernier monarque français à recevoir ce privilège, et également le dernier mort sur le trône, les deux suivants ayant été renversés. Son frère puîné, le comte d’Artois, lui succède sous le nom de Charles X. La Restauration prend fin avec la révolution de 1830, qui met sur le trône Louis-Philippe, roi des Français.

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVIII  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Catherine-Joséphine Duchesnois

Publié à 16:28 par dessinsagogo55 Tags : paris center centerblog sur merci france saint mort fille
Catherine-Joséphine Duchesnois

Catherine-Joséphine Duchesnois, née Catherine-Joséphine Rafin dite Mademoiselle Duchesnois (5 juin 1777 à Saint-Saulve-8 février 1835 à Paris) est une tragédienne française.

 

À ses débuts, la grande rivale de la « protégée » de Bonaparte, Mademoiselle George, elle-même a été la protégée de Joséphine de Beauharnais. Elle débuta en 1802 dans le rôle de Phèdre et obtint sur-le-champ un succès prodigieux. Elle fut reçue sociétaire du Théâtre-Français en 1804 et quitta la scène en 1833.

Sa figure était réputée peu avantageuse, mais sa taille, sa voix et le jeu de sa physionomie faisaient oublier ce détail. Elle est connue surtout pour les rôles qu'elle à tenus dans les tragédies de Racine et pour ceux qu'elle a créés : Jeanne d'Arc de Charles-Joseph Loeillard d'Avrigny et Marie Stuart de Pierre-Antoine Lebrun.

Elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise

 

Jugements

 

Étienne-Léon de Lamothe-Langon (1830)

« La tragédie a pour remplir ses principaux rôles l'éternelle demoiselle Duchesnois, qui débuta à vingt-cinq ans en 1800 : c'était alors et c'est encore une grande fille fort bien faite, à la voix sonore et douce, et à quelques inspirations de sensibilité que lui fournit son cœur ; mais dans trente ans d'exercice de son emploi, elle aussi est restée stationnaire ; une singulière difficulté à comprendre l'a arrêtée dans sa carrière. Maintenant ses qualités disparaissent et ses défauts augmentent. Ce n'est pas que parfois elle ne retrouve des éclairs de son talent, elle enlève alors les applaudissements. Elle joue dans la perfection le rôle de Phèdre et celui d'Ariane ; elle a des moments superbes dans Marie Stuart, et elle est admirable dans la Jeanne d'Arc de M. d'Avrigny. Elle pourrait être utile à la Comédie-Française, mais la persuasion qu'elle a de sa supériorité sur ses rivales, ses forces qui s'épuisent, sa déclamation toute de l'ancienne école, sa haine pour la tragédie romantique qui a son beau côté, nuisent à ses qualités. On peut la conseiller, elle n'entend pas les observations qu'on lui adresse. »

Théâtre

 

Entrée en 1802

Nommée 216e sociétaire en 1804

Départ en 1829

1802 : Andromaque de Jean Racine, Comédie-Française : Hermione

1802 : Bajazet de Jean Racine, Comédie-Française : Roxane

1802 : Phèdre de Jean Racine, Comédie-Française : Phèdre

1803 : Iphigénie de Jean Racine, Comédie-Française : Eriphile, puis Clytemnestre

1804 : Polyxène d'Étienne Aignan, Comédie-Française : Hécube

1804 : Cyrus de Marie-Joseph Chénier, Comédie-Française : Mandane

1805 : Mithridate de Jean Racine, Comédie-Française : Monime

1805 : Esther de Jean Racine : Esther

1805 : Astyanax de Halma : Andromaque

1805 : Nicomède de Pierre Corneille : Arsinoé

1806 : Athalie de Jean Racine : Josabet puis Athalie

1806 : Antiochus Epiphanes d'Auguste Le Chevalier : Athénaïs

1806 : La Mort de Henri IV, roi de France de Gabriel-Marie Legouvé : Marie de Médicis

1806 : Octavie de Jean-Marie Siouriguères de Saint-Marc : Octavie

1807 : Andromaque de Jean Racine : Andromaque

1807 : Abdélazis et Zuleima de Pierre-Nicolas André de Murville : Zuleima

1807 : Rodogune de Pierre Corneille : Rodogune

1807 : Hamlet de Jean-François Ducis d'après William Shakespeare : Gertrude

1809 : Hector de Jean-Charles-Julien Luce de Lancival : Andromaque

1811 : Mahomet II de Pierre Baour-Lormian : Zulime

1813 : Ninus II de Charles Briffaut : Uzire

1814 : Ulysse de Pierre-Antoine Lebrun : Télémaque

1815 : Jeanne Gray de Charles Brifaut : Jeanne Gray

1815 : Démétrius d'Étienne-Joseph-Bernard Delrieu : Stratonice

1816 : Arthur de Bretagne d'Étienne Aignan : Constance

1817 : Germanicus d'Antoine-Vincent Arnault : Agrippine

1817 : Phocion de Jacques-Corentin Royou : Olympe

1818 : Britannicus de Jean Racine : Agrippine

1819 : Hécube et Polyxène de Pierre-François-Xavier Bourguignon d'Herbigny : Hécube

1819 : Jeanne d'Arc à Rouen de Charles-Joseph Loeillard d'Avrigny : Jeanne d'Arc

1820 : Marie Stuart d'après Friedrich von Schiller : Marie Stuart

1820 : Jean de Bourgogne de Guilleau de Formont : Valentine

1821 : Sylla d'Étienne de Jouy : Valérie

1822 : Regulus de Lucien Arnault : Attilie

1822 : Clytemnestre d'Alexandre Soumet : Clytemnestre

1823 : Le Maire du palais de Jacques-François Ancelot : Bathilde

1823 : Pierre de Portugal de Lucien Arnault : Inès

1824 : Richard III et Jeanne Shore de Népomucène Lemercier : Jeanne Shore

1825 : Judith de Hyacinthe Decomberousse : Judith

1825 : La Clémence de David de Drap-Arnaud : Jeshrael

1825 : Léonidas de Michel Pichat : Archidamie

1826 : Le Siège de Paris de Charles-Victor Prévost d'Arlincourt : Berthe

1827 : Virginie d'Alexandre Guiraud : Valérie

1827 : Le Proscrit ou les Guelfes et les Gibelinsd'Antoine-Vincent Arnault : Dianore

1827 : Blanche d'Aquitaine de Hippolyte Bis : Blanche

1828 : Élisabeth de France d'Alexandre Soumet : Élisabeth

1829 : Isabelle de Bavière d'Étienne-Léon de Lamothe-Langon : Marcelle

1829 : Pertinax ou les Prétoriens d'Antoine-Vincent Arnault : Helvidie

 

 

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine-Jos%C3%A9phine_Duchesnois

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Thermidor

Publié à 14:10 par dessinsagogo55 Tags : air pouvoir center chez
Thermidor

 
Allégorie pour le mois de Thermidor par Louis Lafitte (1770-1828).
 
 
 

Le mois de thermidor était le onzième mois du calendrier républicain français

Il correspondait, à quelques jours près (selon l'année), à la période allant du 19 juillet au 17 août du calendrier grégorien.

Il tirait son nom « de la chaleur tout à la fois solaire et terrestre qui embrase l'air de juillet en août », selon les termes du rapport présenté à la Convention nationale le 3 brumaire an II (24 octobre 1793) par Fabre d'Églantine, au nom de la « commission chargée de la confection du calendrier ».

L'ère républicaine s'étant achevée le 1er janvier 1806, il n'a jamais existé, dans l'usage légal, de mois de thermidor an XIV.

 

Événements et notoriété

 

Le nom de ce mois est à l'origine du terme thermidorien à la suite de la journée du 9 thermidor an II (27 juillet 1794), au cours de laquelle les robespierristes furent renversés. Cette journée a donné deux noms propres, « 9 Thermidor » et « Thermidor », couramment employés pour désigner la seule journée du 9 thermidor an II.

 

Par analogie avec cet événement, le mot « Thermidor » est parfois employé hors du contexte de la Révolution française pour désigner une autre contre-révolution. L'analogie connut notamment un succès certain chez les observateurs de la révolution russe. Trotsky utilisa le mot Thermidor pour désigner la prise de pouvoir progressive par la bureaucratie stalinienne en Russie dans les années 1920, qu'il assimilait à une contre-révolution, et ce mot est parfois utilisé par les trotskystes pour désigner ce moment historique selon l'analyse qu'en faisait Trotsky. De même, les émigrés russes et opposants libéraux à la révolution utilisent ce terme dès le début des années 1920. En mars 1921, écrivant sous pseudonyme, M. V. Mirkin-Getseich estimait que la révolution russe approchait de son Thermidor après la révolte de Kronstadt. L'analogie conservera une puissance symbolique importante en URSS, puisqu'elle sera réutilisée au moment de la déstalinisation, considérée par certains observateurs russes comme un Thermidor soviétique

 

Le mois de thermidor an VII a vu le début de l'insurrection royaliste de 1799 dans le Toulousain.

 

Concordance des calendriers

 

Tables de concordance des calendriers républicain et grégorien pour le mois de thermidor
An I An II An III An IV An V An VI An VII
1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Juillet 1793 1794 1795 1796 1797

1798

 

 

1799 Août
An VIII An IX An X An XI An XII An XIII
1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1er 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18
Juillet 1800 1801 1802 1803 1804 1805 Août

 

Caroline Bonaparte

Publié à 16:32 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci art
Caroline Bonaparte

 

 

Un portrait de la reine Caroline Bonaparte vers 1810, la montre assise, la couronne royale posée à ses côtés sur un coussin de velours. À l’arrière-plan, la baie de Naples et le Vésuve avec son panache volcanique. Cette peinture est considérée par les descendants de Lucien Murat comme une œuvre exécutée par François Gérard , ce qui est réfuté par l'historien d'art Alain Latreille, expert des œuvres du peintre, qui écarte cette toile de l'attribution à Gérard et à son atelier. Un autre portrait identique à celui-ci et conservé dans une collection privée, est répertorié comme étant un tableau de Jean-Baptiste Regnault

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_Bonaparte  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Joseph Bonaparte

Publié à 16:03 par dessinsagogo55 Tags : paris histoire maison centerblog sur merci france place homme mort fille
Joseph Bonaparte

Portrait de Joseph Bonaparte, roi d'Espagne, par François Gérard

.

 

Joseph Bonaparte, né le 7 janvier 1768 à Corte, pendant la période d'indépendance de la République corse, et mort le 28 juillet 1844 à Florence, dans le grand-duché de Toscane, est un homme d'État français et le frère aîné de l'empereur Napoléon Ier. Sa carrière politique, diplomatique et militaire est intimement liée à celle de son frère Napoléon.

 

Après une enfance passée dans la maison familiale des Bonaparte à Ajaccio, il est élève au collège d'Autun pendant cinq années. À l'issue de brillantes études au sein de cet établissement, Joseph Bonaparte refuse d'embrasser la carrière ecclésiastique, contre l'avis de sa famille. Diplômé en droit à l'université de Pise en 1788, il s'installe comme avocat à Ajaccio peu avant le début de la Révolution française. C'est à partir de cette période qu'il occupe des fonctions de plus en plus importantes. Président du district d'Ajaccio puis membre du directoire du Conseil général de la Corse, il est nommé commissaire des guerres en 1793. La promotion de son frère comme général de division en 1795 accélère son ascension à l'instar de celle de sa famille. Élu député du Liamone au Conseil des Cinq-Cents en 1797, Joseph Bonaparte est nommé ambassadeur auprès du duc de Parme, puis à Rome auprès du pape Pie VI la même année.

 

Sous le Consulat, il est d'abord nommé membre du Conseil d'État et du Corps législatif en tant que député du Golo, puis chargé de plusieurs missions diplomatiques d'importance majeure : c'est notamment lui qui négocie le traité de Mortefontaine avec les États-Unis, celui de Lunéville avec l'Autriche et la paix d'Amiens avec le Royaume-Uni, tout en prenant part aux discussions qui aboutissent à la signature du concordat.

 

Grand électeur et prince français après l'avènement de l'Empire le 18 mai 1804, Joseph Bonaparte assure la responsabilité du gouvernement pendant les campagnes militaires de son frère. Roi de Naples de 1806 à 1808, puis d'Espagne de 1808-1813, il est un personnage important du dispositif que met en place Napoléon pour asseoir la souveraineté de la France sur l'Europe continentale. Son second règne, qui s'achève par une défaite cinglante des armées napoléoniennes qu'il dirige à la bataille de Vitoria, est marqué par une guerre incessante qui fait de lui « el rey intruso », un roi intrus incapable de gouverner en raison de l'éclatement de son pays et de la mainmise de Napoléon sur sa politique.

 

Nommé lieutenant général de l'empereur lors de la campagne de France en 1814, il ne peut empêcher la capitulation de Paris devant les troupes coalisées. Exilé en Suisse, au château de Prangins, il est rétabli dans toutes ses fonctions impériales pendant la période des Cent-Jours, mais finalement contraint à un nouvel exil après l'abdication de son frère, cette fois aux États-Unis. Écarté de la politique, il fait prospérer ses affaires en Amérique, mais cherche de nouveau à jouer un rôle important en faveur de son pays. En 1832, après la mort de son neveu Napoléon II, il devient le premier héritier du trône impérial et retourne en Europe. Établi à Londres, il tente de faire valoir les intérêts de sa famille et de convaincre, en vain, les responsables politiques et le peuple français de rétablir l'Empire. Après un autre séjour aux États-Unis entre 1835 et 1839, il revient une nouvelle fois en Europe à la mort de sa troisième fille, Charlotte et s'installe à Florence où il meurt quelques années plus tard en 1844.

 

Homme cultivé, littéraire, séducteur et raffiné, Joseph Bonaparte souffre de la comparaison avec son frère sur le plan politique. Les historiens, comme la plupart de ses contemporains, ne lui attribuent que peu de qualités, tout en soulignant son incompétence militaire. Révolutionnaire libéral, partisan des gouvernements équilibrés, il apparaît comme un modéré face à la fougue et à l'autoritarisme de Napoléon. S'il combat souvent les projets de l'empereur, Joseph Bonaparte se résout toujours à soutenir celui dont il a probablement été « le plus proche et peut-être l'unique ami ».

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Bonaparte  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Napoléon Ier

Napoléon Ier

 

Napoléon Ier, empereur 1805 par  François Gérard


 

Napoléon Bonaparte, né le 15 août 1769 à Ajaccio et mort le 5 mai 1821 sur l'île Sainte-Hélène, est un militaire et homme d'État français, premier empereur des Français, du 18 mai 1804 au 6 avril 1814 et du 20 mars au 22 juin 1815, sous le nom de Napoléon Ier.

 

Second enfant de Charles Bonaparte et Letizia Ramolino, Napoléon Bonaparte devient en 1793 général dans les armées de la Première République française, née de la Révolution, où il est notamment commandant en chef de l'armée d'Italie puis de l'armée d'Orient. Arrivé au pouvoir en 1799 par le coup d'État du 18 Brumaire, il est Premier consul — consul à vie à partir du 2 août 1802 — jusqu'au 18 mai 1804, date à laquelle l'Empire est proclamé par un sénatus-consulte suivi d'un plébiscite. Il est sacré empereur, en la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 2 décembre 1804, par le pape Pie VII. Son épouse, l'impératrice Joséphine de Beauharnais, est également sacrée.

 

En tant que général en chef et chef d'État, Napoléon tente de briser les coalitions montées et financées par le royaume de Grande-Bretagne et qui rassemblent, à partir de 1792, les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : les nombreuses et brillantes victoires de Bonaparte (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à Napoléon un degré de puissance jusqu'alors rarement égalé en Europe, lors de la paix de Tilsit (1807).

 

Napoléon réforme durablement l'État, en restaurant son autorité et sa primauté. La France connaît d'importances réformes, qui font de Napoléon l'un des pères fondateurs des institutions contemporaines françaises. En ce sens, les codifications napoléoniennes, dont le Code civil de 1804, permettent de renforcer les libertés individuelles ou l'égalité des citoyens devant la loi, en opérant une synthèse par la garantie de certains acquis révolutionnaires et la reprise de principes traditionnels issus de l'Ancien Régime. L'administration française est réorganisée, avec la création des préfets dans les départements. De même, une nouvelle monnaie émerge, le franc, tandis qu'est instaurée la Banque de France. Le Conseil d'État est également créé, tout comme les lycées. Napoléon tente également de renforcer le régime colonial français de l'Ancien Régime en outre-mer, en particulier avec le rétablissement de l'esclavage en 1802, ce qui provoque la guerre de Saint-Domingue (1802-1803) et la perte définitive de cette colonie.

 

Napoléon porte le territoire français à son extension maximale avec 134 départements en 1812, transformant Rome, Hambourg, Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d'Italie de 1805 à 1814, et également médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l'Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Louis sur celui de Hollande, Jérôme sur celui de Westphalie et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée également un duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet temporairement à son influence des puissances vaincues telles que le royaume de Prusse et l'empire d'Autriche.

 

Objet dès son vivant d'une légende dorée comme d'une légende noire, il doit sa très grande notoriété à son habileté militaire, récompensée par de nombreuses victoires, et à sa trajectoire politique étonnante, mais aussi à son régime despotique et très centralisé ainsi qu'à son ambition, qui se traduit par des guerres d'agression très meurtrières (au Portugal, en Espagne et en Russie) avec des centaines de milliers de morts et blessés, militaires et civils pour l'ensemble de l'Europe. Il est considéré comme l'un des plus grands commandants de l'histoire, et ses guerres et campagnes sont étudiées dans les écoles militaires du monde entier.

 

Alors qu'il finance des coalitions de plus en plus générales, les Alliés finissent par remporter des succès décisifs en Espagne (bataille de Vitoria) et en Allemagne (bataille de Leipzig) en 1813. L'intransigeance de Napoléon devant ces revers lui fait perdre le soutien de pans entiers de la nation française, tandis que ses anciens alliés ou vassaux se retournent contre lui. Amené à abdiquer en 1814 après la prise de Paris, capitale de l'Empire français, et à se retirer à l'île d'Elbe, il tente de reprendre le pouvoir en France, lors de l'épisode des Cent-Jours en 1815. Capable de reconquérir la France et d'y rétablir le régime impérial sans coup férir, il amène pourtant, du fait de sa mise au ban de l'Europe, le pays dans une impasse avec la lourde défaite de Waterloo, qui met fin à l'Empire napoléonien et assure la restauration de la dynastie des Bourbons. Sa mort en exil, à Sainte-Hélène, sous la garde des Anglais, fait l'objet de nombreuses controverses.

 

Une tradition romantique fait de Napoléon l'archétype du « grand homme » appelé à bouleverser le monde. C'est ainsi que le comte de Las Cases, auteur du Mémorial de Sainte-Hélène, tente de présenter Napoléon au Parlement britannique dans une pétition rédigée en 1818. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au XIXe siècle, le bonapartisme, se réclamant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon.

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Napol%C3%A9on_Ier  
     
     
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Symbolisme du coq

Publié à 13:42 par dessinsagogo55 Tags : center sport nuit centerblog sur afrique merci france animal chez histoire
Symbolisme du coq

Les deux coqs apportant la prospérité de Neapolis (Afrique romaine)

 

 

Le symbolisme du coq est lié au comportement habituel des coqs, à leur panache et à leur caractère. Il remonte à l'Antiquité. Le coq gaulois est un des symboles allégoriques et un des emblèmes de la France. Le coq gaulois combattant (coq hardi) est également le symbole du Mouvement wallon, de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne.

Symbole chrétien, il surmonte beaucoup de clochers d'église et, du fait de sa vaillance, bon nombre de monuments aux morts érigés aux citoyens morts pour la France lors des guerres mondiales

 

 

Selon les auteurs, le coq a différents traits de caractère qui sont déduits de son comportement, mais il en ressort les éléments suivants : annonceur du jour et de la fin de la nuit par son chant, batailleur, orgueilleux, conquérant et agressif, toujours en noise et turbulent. La loi du 9 avril 1791, sous la Révolution, le qualifie de « symbole de vigilance ».

 

Symbolique du coq gaulois

 

À la suite de nombreux raids gaulois en Italie et sur la Rome antique depuis le VIe siècle av. J.-C., une légende gallo-romaine / auvergnate liée à l'histoire du coq au vin de chanturgue raconte que le chef de la tribu des Arvernes Vercingétorix fait envoyer pour le narguer un coq gaulois, en symbole de la combativité, agressivité, hargne, vaillance et orgueil... de ses guerriers gaulois à son assiégeant, le général romain Jules César, lors du siège de Gergovie en 52 av. J.-C., durant la guerre des Gaules. Jules César le nargue à son tour en l'invitant à une cena (dîner du soir romain / dernier repas) où tout en lui proposant une alliance militaire, il lui fait servir son coq mijoté au vin. Galvanisés par le son de leurs carnyx, Vercingétorix et ses 30 000 guerriers arvernes infligent alors une défaite militaire historique écrasante, cuisante et humiliante à Jules César et aux 30 000 hommes de ses légions romaines, avant le siège d'Alésia de l'été suivant… Le coq au vin est à ce jour un des emblèmes de la France et de la cuisine française.

 

L'utilisation politique faisant du coq gaulois un emblème ethnique ou géographique est une invention tardive d'érudits de la Renaissance (Paul Émile, Jean Lemaire) qui diffusent cette expression, pensant à tort que cet animal était l'emblème de la Gaule indépendante, avant la conquête romaine et, par là, le plus ancien emblème français7. En réalité, cette expression apparaît chez les poètes romains qui créent un jeu de mot basé sur l'homophonie gallus, « le coq » et Gallus, « le Gaulois » habitant la Gallia, la Gaule. Le coq est à cette époque un attribut de plusieurs dieux romains (Jupiter, Mars, Apollon et surtout Mercure, la plupart des images de coq ou des objets en forme de coq que les archéologues ont mis au jour étant des coqs votifs, offerts dans toute la Gaule romaine) dont les qualités de bravoure, de vigueur sexuelle et de vigilance sont louées. Suétone ou Jules César reprennent ce calembour, créant une association flatteuse des Gaulois avec l'animal.

 

Ce jeu de mots de lettrés disparaît dans les textes du haut Moyen Âge. Le coq est devenu à cette époque un animal dévalorisé associé à la luxure, la colère, la bêtise ou son côté belliqueux. Isidore de Séville, père de l'étymologie médiévale, n'établit aucune relation entre le coq et la Gaule. Pour lui, le terme gallus dérive du latin castratio, le coq étant le seul oiseau que l'on castre. Ce n'est qu'au début du Bas Moyen Âge (xiie siècle) que des auteurs au service du roi d'Angleterre ou de l'empereur germanique réutilisent le calembour dans une littérature de type pamphlétaire et satirique, faisant remarquer que les Français (tout particulièrement les chevaliers ou leur roi Louis VII et Philippe Auguste) sont tout aussi orgueilleux que l'animal de basse-cour. Au xiiie siècle, l'Italie gibeline recourt également à cette comparaison péjorative pour discréditer la politique expansionniste de Charles d'Anjou dans le sud de la péninsule. Les textes polémiques opposent alors souvent le coq gaulois et l'aigle de ses ennemis, roi des airs, cette opposition restant une des constantes de l'emblématique européenne jusqu'à la Première Guerre mondiale

 

 
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DEFINITION   Symbolisme du coq
    Coq
   
   
   
CRATION   Coq
    Coq
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Michèle Morgan

Publié à 01:21 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
Michèle Morgan

 

 

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Etes-vous riche ou pauvre ?

Publié à 03:39 par dessinsagogo55 Tags : center background google argent dessous monde couple centerblog france sur merci vie enfants
Etes-vous riche ou pauvre ?
 

 

Etes-vous riche ou pauvre ? Le niveau de vie des Français décortiqué

 

 

Le niveau de vie stagne et les inégalités se creusent, constate l’Insee dans une étude.

 

 

 

 
 
 
 

Le niveau de vie médian des Français progresse doucement, tout doucement, selon une étude de l’Insee publiée mercredi 9 septembre et portant sur les données de l’année 2018, les dernières disponibles. La hausse a été de +0,3 %. Cette quasi-stagnation reste dans la lignée des années précédentes (+0,4 % par an depuis 2013). Mais les évolutions de niveau de vie sont contrastées : celui des plus aisés augmente plus vite. Résultat, les inégalités se creusent. Dans quelle catégorie êtes-vous ? Plutôt aisé ? Parmi les plus pauvres ? Quelques chiffres pour s’y retrouver.

 
 
1 771 euros par mois : le niveau de vie médian

 

Le niveau de vie médian en France métropolitaine s’établit en 2018 à 21 250 euros net par an, après impôts (allocations sociales comprises). Cela signifie que la moitié des Français ont un niveau de vie supérieur, et la moitié un niveau de vie inférieur. C’est l’équivalent de 1 771 euros par mois pour une personne seule, ou encore de 3 719 euros par mois pour un couple avec deux jeunes enfants.

 

Méthodologie :

  • le revenu disponible inclut les revenus d’activité, les revenus du patrimoine, les allocations chômage, pensions et prestations sociales, après impôts. Il correspond aux revenus disponibles pour consommer et épargner.
  • Le niveau de vie correspond au revenu disponible du ménage pondéré par le nombre de ses membres. On attribue 1 part pour le premier adulte, 0,5 pour les autres personnes de plus de 14 ans, 0,3 pour les enfants de moins de 14 ans.
  Moins de 1 063 euros : sous le seuil de pauvreté

 

9,3 millions de personnes ont des revenus inférieurs à 1 063 euros par mois, le seuil de pauvreté (seuil à 60 % de la médiane). Elles étaient 8,9 millions en 2017. Le taux de pauvreté grimpe ainsi à 14,8 % de la population de France métropolitaine, contre 14,1 % en 2017. Le taux de pauvreté des retraités reste très inférieur à celui de la moyenne de la population : 8,7 % contre 14,8 %, toutefois cette proportion est en hausse de 1,1 point et le niveau de vie médian des retraités baisse de 1,9 % du fait de la non-revalorisation des pensions et de la hausse du taux de CSG.

 
 
Moins de 934 euros : parmi les 10 % les plus pauvres

 

Les 10 % de la population les plus pauvres vivent pour leur part avec moins de 11 210 euros par an, soit 934 euros par mois. Le niveau de vie des 10 % les plus pauvres a diminué de 2,9 % en dix ans, souligne l’Insee. C’est notamment l’effet de la baisse des allocations logement, qui affecte les revenus, même lorsqu’elle a été compensée par une baisse de loyer (c’est alors une baisse des dépenses, or les dépenses ne sont pas mesurées dans cette étude).

  Plus de 3 261 euros : parmi les 10 % les plus riches

 

Les 10 % de la population les plus aisés vivent avec 39 130 euros par an, soit 3 261 euros par mois pour une personne seule. C’est 3,5 fois le revenu des 10 % les plus pauvres. Le niveau de vie des plus aisés augmente de 0,6 % en un an, tandis que celui des 5 % les plus riches augmente plus nettement encore : +1,2 %. « Les ménages les plus aisés ont davantage bénéficié de l’augmentation des revenus du patrimoine, portée par une forte hausse des dividendes, dans un contexte de fiscalité plus incitative », constatent Fabien Delmas et Jorick Guillaneuf, les auteurs de l’étude.

 



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Charles Aznavour

Publié à 04:50 par dessinsagogo55 Tags : monde sur center mort