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Monde : France

Jean Baptiste Denis

Publié à 23:45 par dessinsagogo55 Tags : article png mort sur center centerblog merci
Jean Baptiste Denis

Jean-Baptiste Denis est un médecin français, né en 1643 et mort en 1704.

 
Biographie
 

Après des études de médecine à Montpellier, il s’installe à Paris en 1665. Il devient le médecin de Louis XIV.

 

Il est notamment l’auteur du Discours sur les comètes (1665) et de Lettres (1667-1668), portant sur la transfusion sanguine.

 

Denis est le premier à tenter une transfusion sanguine d’un agneau à un être humain le 15 juin 1667. Il est convaincu que la transfusion pourrait traiter la folie.

 

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Baptiste_Denis

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Jean Picard

Publié à 23:32 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris voyage png center photo carte centerblog sur merci france place maison mort
Jean Picard

De g. à d. : Picard ? La Hire ? et Cassini.

 

 

Jean-Felix Picard, dit l'abbé Picard, né le 21 juillet 1620 à La Flèche et mort le 12 octobre 1682 à Paris, est un géodésien et un astronome français.

 

Il est considéré comme le fondateur de la géodésie moderne : en effet, il est le premier à mesurer un arc de un degré de méridien terrestre par triangulation avec des instruments munis de lunettes astronomiques à réticule. Il en déduit le rayon de la Terre, supposée sphérique, avec une exactitude jusqu'à là inégalée. Ses travaux portent aussi sur la recherche d'un étalon de longueur universel et le nivellement pour alimenter en eau les fontaines du château de Versailles.

 

En astronomie, il effectue de nombreuses observations et mesures - sur le terrain, pour la géographie et la future carte de France triangulée dont il sera l'initiateur - et à l'Observatoire, en astronomie pure. Il met en place une nouvelle méthode pour déterminer les coordonnées équatoriales des astres par leur passage au méridien, publie des éphémérides ; à ce titre Picard est considéré comme étant à l'origine du développement de l'astronomie de précision.

 

Accessoirement, il s'intéresse aussi à la gnomonique et à la dioptrique.

 
Biographie
 
 
Le collège Henri IV ; au pied de la porte principale, sur la droite, deux boutiques. L'une a abrité la librairie Picard.
 

Né en 1620 à La Flèche où son père est libraire, il effectue des études dites classiques jusqu'au niveau Philosophie au Collège Henri IV des Jésuites de la ville. Là, il a pu être initié à l'astronomie, en classe de Mathématiques, par le père Jean De Riennes ; après le cycle de Philosophie, il y a peut-être aussi suivi des cours de théologie.

 

En 1645, à 25 ans, on le retrouve installé à Paris. Il y observe, avec Gassendi qu'il seconde, l'éclipse de soleil du 25 août ; ils observeront d'autres évènements astronomiques (éclipses de Lune, occultation de Jupiter par la Lune) dans les années 1646-1647. Gassendi dit de son assistant qu'il est « très studieux et très instruit ». Picard suit aussi les cours de Gassendi au Collège royal.

 

En 1650, il est diplômé maître ès arts de l'Université de Paris, et il est probablement ordonné prêtre la même année ; il sera prieur de Rillé, en Indre-et-Loire, à une trentaine de kilomètres de La Flèche où il est né.

 

En 1652, le huit avril, il est le seul à observer, en France, une éclipse de Soleil, au collège de Navarre, avec un grand sextant (en 1667 Picard avait son sextant personnel ; était-ce le même ?).

 

À cette époque, il semble voyager beaucoup : en France, en Europe : Italie, Allemagne, Hollande ; il apprend le flamand et l'italien. Il se confirme aussi qu'il entame une carrière d'astronome d'observation : observation d'une éclipse partielle de Soleil le 30 mars 1661, observation d'une tache solaire le 13 et 14 août de la même année, nombreuses observations entre 1661 et 1665.

 

En 1663, il est le confident du sulfureux « abbé de Richelieu »; en novembre et décembre de cette même année, on retrouve Picard à Bordeaux, il semble être interdit de séjour à Paris, peut-être à cause de sa fréquentation du jeune abbé de Richelieu. François Bonneau, seigneur du Verdus, à qui l'on doit ces informations écrit à propos du caractère de Jean Picard : « c'est un bel esprit, esprit libre et désabusé et profond dans les sciences ». Dans le même sens, trois ans plus tard, en septembre 1666, en visite à l'académie de physique de Caen, une touche de description de notre personnage « dans son visage mélancolique, a un esprit subtil et pénétrant ». « Abbé de cour », toujours d'après le seigneur du Verdus, Picard perçoit des bénéfices - ceux des prieurés de Rillé et Brion (Maine-et-Loire), et ceux de deux petites chapelles vers la Flèche - qui s'élèvent à environ mille livres « qui lui permettent de vivre bien »..

 

 
Visite fictive de Louis XIV à l'Académie des Sciences

En 1666-1667, c'est la fin de la période obscure de Picard. Il devient l'un des vingt-et-un premiers membres de l'Académie royale des Sciences, peu de temps après sa fondation.

 

En 1667-1668, il travaille avec Adrien Auzout à l'application des lunettes aux instruments pour mesurer les angles et à la mise au point du micromètre à fil mobile. Picard sera le premier à mettre en œuvre ces instruments (quart de cercle mobile, secteur, niveau) qui améliorent de beaucoup l'exactitude des mesures.

 

Le 21 juin 1667, M. Auzout, Buot, Frénicle de Bessy, Picard, Richer vont tracer, sur une pierre, une ligne méridienne à l'emplacement du futur « Uranoscope » ou Observatoire de Paris .

 

En 1668-1669, l'Académie le charge de la mesure de l'arc de méridien entre Paris et Amiens. Ses mesures par triangulation le conduiront à un résultat de ≈ 111,1 km pour un degré de latitude, ce qui donne un rayon terrestre de 6 372 km, le rayon actuellement mesuré étant de 6 371 km.

 

Toujours en 1669, désormais connu, il use de son crédit auprès de Colbert pour attirer en France Jean-Dominique Cassini qui deviendra directeur de l'Observatoire de Paris en 1671.

 

En 1671, Picard part au Danemark faire le relèvement de l'observatoire de Tycho Brahe, sur l'île de Hven. Cette mission géodésique doit permettre de localiser Hven par rapport à Paris, et ainsi, d'exploiter les tables astronomiques de Tycho. Sur place il rencontre l'astronome Rømer avec lequel il va travailler, et il l'invite à l'accompagner lors de son retour à Paris ; ce sera son collaborateur pendant dix ans.


 

De 1672 à 1681, suivant ordre du Roi, il effectue - avec parfois La Hire, et en relation avec Cassini - des observations astronomiques en différents ports et villes du royaume. Les résultats de ces observations serviront à La Hire pour établir la célèbre « carte de France corrigée ».

 

En 1673, il vient s'installer à l'Observatoire, mais il se trouve souvent absent : en plus des coordonnées géographiques des villes de France qu'il détermine, il est occupé par des travaux de nivellement autour du château de Versailles. Néanmoins, il effectue des observations régulières à l'Observatoire, puis dans sa maison située à deux pas, et il travaille sans relâche jusqu'en 1681, date à laquelle il n'est plus trop en état d'exécuter par lui-même les grands projets qu'il avait fait agréer à Colbert.

 

En 1682, le 1er mai, le Roi vient visiter l'Observatoire ; le lendemain, Cassini, Picard et La Hire feront leur rapport à l'Académie. Le Roi semble entièrement satisfait des explications, des instruments et des nouvelles observations... Quelque six mois plus tard, l'abbé mourra, laissant à La Hire le soin de poursuivre l'œuvre commune

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Picard

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés

Publié à 21:13 par dessinsagogo55 Tags : center photo article mode société centerblog sur merci france monde
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés, la France toujours championne en Europe 
 
Par AFP  |  17/02/2020, 14:51 
 
 
L'an dernier, les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint un nouveau record : 1.430 milliards de dollars. Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale. Sur le Vieux Continent, la France a été le seul pays à battre son record annuel : +1,3% à 63,9 milliards de dollars.

Les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint en 2019 un nouveau record de 1.430 milliards de dollars (+3,5%), mais leur croissance a marqué le pas et devrait se maintenir au même niveau en 2020, selon un rapport publié lundi.

Le taux de croissance enregistré en 2019 ressort "au plus bas depuis 2016, en raison de la complexité de l'environnement économique mondial" et en particulier de la solidité du dollar, précise l'étude de référence de la société de gestion Janus Henderson Investors.

Sur le seul quatrième trimestre, les dividendes ont progressé de 4,6% pour atteindre le montant record de 291,8 milliards de dollars en dépit d'un ralentissement de la croissance des bénéfices en Amérique du Nord.

Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse l'an passé, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale, constate la société de gestion, l'une des principales dans le monde avec 333,9 milliards d'euros d'actifs sous gestion.

Les dividendes versés aux États-Unis ont augmenté de 4,7% à 490,8 milliards de dollars en 2019, un nouveau record, mais ont chuté en Europe de 2% à 251,4 milliards de dollars.

 

 

2020 : vers une nouvelle année record ?

 

En Europe, la France - principal payeur de dividendes sur le Vieux Continent - a été le seul pays à battre son record annuel (+1,3% à 63,9 milliards de dollars) grâce aux importants dividendes extraordinaires de Natixis et d'Engie.

 

Le Japon a de nouveau enregistré la plus forte croissance des dividendes à l'échelle mondiale (+6,3% à 85,7 milliards de dollars) alors que "dans le reste de l'Asie, le ralentissement de la croissance économique mondiale et l'impact des tensions commerciales ont eu un effet négatif", note Janus Henderson.

Par ailleurs, "le secteur pétrolier est celui qui a généré la plus forte croissance, ses dividendes augmentant d'un dixième, alors que le secteur des télécommunications a vu ses dividendes diminuer".

Pour 2020, Janus Henderson estime que la baisse des dividendes extraordinaires, en raison de la croissance modérée des bénéfices attendue, devrait peser, même si la faiblesse du dollar pourrait être un atout.

Il prévoit une hausse de 3,9% des dividendes totaux, à 1.480 milliards de dollars par rapport à 2019, soit une cinquième année consécutive de record.

 

 

 

Liens externes                                                  
   
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Mort de Graeme Allwright

Mort de Graeme Allwright

Mort de Graeme Allwright : cette comédienne pour laquelle il avait choisi de vivre en France

 

 

Dimanche 16 février, le monde de la folk a perdu l'une de ses références : Graeme Allwright est mort à l'âge de 93 ans. Dans les années 1940, il était venu s'installer en France par amour pour une actrice.

Les protest songs sont orphelines. Dimanche 16 février, la famille de Graeme Allwright a annoncé une triste nouvelle : le chanteur français est mort à l'âge de 93 ans. Né en Nouvelle-Zélande en 1926, il a déménagé à Londres pour intégrer la troupe du théâtre Old Vic de Londres. Là-bas, il a fait la rencontre d'une jeune comédienne, Catherine Dasté. "Dans mon groupe, il y avait un jeune Néo-Zélandais, qui avait été mousse pour payer son voyage en Angleterre... C'était Graeme Allwright", se souvenait le livre Entretien avec Catherine Dasté celle qui a baigné dans l'univers du théâtre depuis sa plus tendre enfance. Il faut dire que la comédienne ne vient pas de n'importe quelle famille. Son père, Jean Dasté, est une référence du 6e Art qu'il a révolutionné, sa mère, Marie-Hélène Dasté, était elle-même comédienne et son grand-père, Jacques Copeau, a marqué l'histoire de cet art en fondant notamment le théâtre du Vieux-Colombier.

 

Très amoureux, Graeme Allwright a quitté l'Angleterre en 1948 pour s'installer en France par amour pour Catherine Dasté. "J'y ai rencontré la fille de Copeau, Catherine Dasté, que j'ai épousée en 1951 en Bourgogne. L'amour, en somme, a décidé de mon destin", confiait le chanteur à La Croix en 2014. Après le mariage, les deux ont rapidement agrandi leur famille en accueillant Nicolas, Jacques et Christophe. "J'ai arrêté de jouer lorsque j'ai eu mon premier enfant à 22 ans. A 28 ans, j'en avais trois. J'ai voulu m'occuper d'eux", confiait Catherine Dasté. Graeme Allwright a lui aussi abandonné sa carrière pour sa famille. "On avait très peu d'argent. Je lavais mon linge au lavoir, je plantais des pommes de terre. C'était dur, mais pour moi, il n'était pas question de quitter Graeme", se souvenait la comédienne. Mais malheureux dans le show-business, le chanteur a fini par partir en Inde. Séparés quelques années plus tard, les deux n'ont pas divorcé tout de suite.

Divorcés, mais toujours en très bons termes

"Nous avons divorcé à sa demande, il a payé le divorce et il s'est remarié avec Claire (Bataille, sa deuxième épouse qui était au départ son agent, NDLR)", racontait Catherine Dasté dans Graeme Allwright par lui-même. Bien que séparés depuis des années, la comédienne devenue référence du théâtre pour enfant et le chanteur engagé ont toujours gardé de bonnes relations. Ces dernières années, avant que sa santé ne l'oblige à se retirer de la scène, les deux partageaient même encore des moments privilégiés. Ils se retrouvaient souvent devant un public pour chanter ou jouer du théâtre en compagnie de leurs trois garçons, eux aussi comédiens. Notamment Christophe Allwright, qui lui a rendu un tendre hommage : "C'était un chanteur engagé pour la justice sociale, un chanteur un peu hippie en marge du show-business qui a refusé des télés. Il a chanté jusqu'au bout, il a adoré être sur scène".

 

 

 

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Drôles de dames à la mairie de Paris

Publié à 00:16 par dessinsagogo55 Tags : france monde center centerblog sur merci
Drôles de dames à la mairie de Paris

 

Agnès Buzyn, Anne Hidalgo, Rachida Dati

 

Drôles de dames à la mairie de Paris

 

 

 

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Exposition universelle de 1900

Exposition universelle de 1900

 

 

L'Exposition universelle de 1900 ou L'Exposition de Paris 1900 est la cinquième exposition universelle organisée à Paris après celle de 1855, celle de 1867, celle de 1878 et celle de 1889.

 

Annoncée le 13 juillet 1892, elle est inaugurée le 14 avril 1900 par le président Émile Loubet et ouvre au public le 15 avril. Elle se termine le 12 novembre, après 212 jours d'ouverture. Elle accueille plus de 48 millions de visiteurs.

 

Manifestation emblématique de la Belle Époque et de l'Art nouveau, elle lègue à Paris plusieurs bâtiments dont le Petit Palais et le Grand Palais. Le thème est « Bilan d'un siècle ». Par ailleurs, les IIe Jeux olympiques de l'ère moderne se déroulent à Paris dans le cadre de cette exposition universelle.

 

Historique

Origines

 

La première Exposition universelle de 1855 avait été encouragée par la volonté de rétablir la fierté et la foi dans la nation après une période de guerre. Les expositions qui ont suivi répondaient à une même préoccupation : la régénération de la nation après la guerre. Huit ans avant le lancement de l'Exposition de Paris 1900, la France annonce que celle-ci célébrera l'entrée dans un nouveau siècle. Les pays du monde entier sont invités par la France à mettre en valeur leurs réalisations et leurs modes de vie. L'Exposition universelle est donc une expérience d'unification et d'apprentissage. Elle présente la possibilité pour les étrangers de se rendre compte des similitudes entre les nations ainsi que des différences et particularités. Des cultures lointaines sont mises en valeur invitant à une meilleure compréhension globale des valeurs que chaque pays peut offrir. Une annonce précoce et une réponse massivement positive contrastent avec la Grande exposition industrielle de Berlin de 1896. Le soutien pour l'exposition est général et les pays participants se mettent immédiatement à planifier leur participation. Toutefois, en dépit de l'enthousiasme que suscita cette exposition, elle ne fut pas un succès financier : seuls les deux tiers des visiteurs prévus étaient présents, peut-être en partie à cause du coût d'accès.

 

Réalisations
 

Description

 

 
Vue panoramique de l'Exposition universelle de 1900.
 
 
Ticket d'entrée à l'Exposition universelle de 1900, Paris. Le prix de l'entrée est de 1 franc entre 10 h et 18 h. 48,3 millions de visiteurs paient cette entrée.
 
 

L'exposition se tient sur le cours la Reine au niveau de la place de la Concorde, l'esplanade des Invalides, la colline de Chaillot, le Champ-de-Mars, la rive droite et la rive gauche entre ces sites. L'exposition occupe un espace de 112 ha, auquel s'ajoutent les 104 ha du bois de Vincennes pour l'exposition sur l'agriculture, les maisons ouvrières, les chemins de fer et les concours sportifs. Au total 40 pays y participent, avec 83 047 exposants dont 38 253 français. Cette Exposition était dix fois plus étendue que celle de 1855 et 136 entrées sont prévues pour y accéder. La plus importante de celles-ci est la porte monumentale dessinée par René Binet, surmontée d'une statue de 6,5 mètres de hauteur réalisée par Paul Moreau-Vauthier et représentant la « Parisienne »

 

Un gigantesque banquet regroupant tous les maires de France est organisé dans le jardin des Tuileries.

 

Malgré les scandales financiers, les grèves et les fréquents changements de gouvernement qui précédèrent la fin du siècle, cette exposition est considérée comme un succès. Durant 212 jours, 51 millions de visiteurs participèrent au succès de la manifestation alors que la France ne comptait à l'époque que 41 millions d'habitants. 102 millions de voyageurs sont enregistrés dans les gares parisiennes. Pour les accueillir, les gares de Lyon, de l'Est et de Montparnasse sont réaménagées; l'ancienne gare du Champ-de-Mars est remplacée du côté des Invalides, et la nouvelle gare d'Orsay est ouverte. Un parking à vélos de 750 m2 est construit aux Champs-Élysées, et un autre de 250 m2 au quai d'Orsay.

 

Quelques attractions

 

On pouvait se déplacer dans l'exposition en empruntant un trottoir roulant à deux vitesses (4,2 km/h ou 8,5 km/h heures) situé sur un viaduc à 7 m du sol, composé de plates-formes mobiles de 3 km de longueur formant une boucle. Cet ancêtre de l'escalier mécanique était une nouveauté.

 

Plusieurs attractions populaires attirent les foules, notamment une grande roue, comme celle de l'exposition de 1893 à Chicago, mesurant 70 m de haut, le cinéma des frères Lumière qui projette sur un écran géant de 21 m sur 16. Des films courts (notamment des extraits d'opéra et de ballet) sont montrés au public avec projection de l'image et son enregistré, pour la première fois. L'Exposition a également présenté de nombreux tableaux et les progrès techniques de panorama, comme le Cinéorama, le Mareorama et le Transsibérien Panorama.

 

La soupe Campbell a reçu une médaille d'or (une image qui s'affiche toujours sur de nombreux produits de la marque).

 

Le Tanneur a remporté la médaille d'argent pour son porte-monnaie sans couture.

Rudolf Diesel expose son moteur Diesel, fonctionnant à l'huile d'arachide.

 

La pièce maîtresse du palais de l'Optique était le sidérostat, grande lunette astronomique de 125 cm de diamètre, qui était le plus grand télescope à l'époque. Le tube optique était long de 60 m, présentait un diamètre de 1,5 m et était fixé sur place en raison de sa masse. Le sidérostat est conservé à l'Observatoire de Paris,

 

L'exposition coïncide avec l'ouverture de la première ligne du métro de Paris, allant de la porte de Vincennes à la porte Maillot, inaugurée le 19 juillet 1900 afin de desservir les épreuves des jeux Olympiques d'été au bois de Vincennes. Les entrées de stations sont dessinées par Hector Guimard, dans le style Art nouveau.

 

 
 
Billet d'entrée.
 

L'Exposition universelle comprenait aussi une « Exposition nègre » (Exposition des Noirs d'Amérique), au cours de laquelle les photographies de Frances Benjamin Johnston, une amie de Booker T. Washington, de ses étudiants noirs de l'Institut Hampton ont été présentées. En partie organisée par Booker Washington et W. E. B. Du Bois, cette exposition visait à montrer les contributions positives des Afro-Américains à la société américaine. En outre, à un moment où les lynchages aux États-Unis atteignaient un pic, un diaporama de zoo humain était également présent à l'exposition, intitulée « Vivre à Madagascar ».

 

Le temps donné pour la réalisation fut court. C'est pourquoi les 43 pays exposants firent construire leur pavillon par du personnel à faible coût et un matériau de construction temporaire inventé à Paris en 1876, qui se composait de fibre de jute, de plâtre de Paris et de ciment, mais ils les décorèrent magistralement pour les rendre attrayants et faire illusion sur les visiteurs. Souvent, les bâtiments temporaires ont été construits sur un cadre de bois et recouverts de colonnes, statues, murs, escaliers, etc. Une fois l'exposition terminée, les bâtiments ont été démolis et les objets et matériaux qui pouvaient être récupérés et vendus ont été recyclés.

 

Un comité spécial, dirigé par Gustave Eiffel, a décerné une médaille d'or au projet de Lavr Proskouriakov pour le pont Ienisseï à Krasnoïarsk.

 

Le vin mousseux de Russie a vaincu ses concurrents français pour le « grand prix de Champagne ». L'exposition a également mis en valeur un autre objet russe, la poupée matriochka.

 

Pavillons des nations étrangères

 

Les pavillons des nations ou des puissances étrangères, conçus, financés et construits par les pays invités étaient alignés de part et d'autre de la rue des Nations, aménagée sur la partie du quai d'Orsay qui s'étend du pont des Invalides à l'est au pont de l'Alma à l'ouest. Seul le pavillon du Mexique, situé au-delà du pont de l'Alma, débordait de ce cadre. Les pavillons les plus importants, par leur taille, étaient orientés vers la Seine, de sorte que leurs façades se miraient dans fleuve.

 

Le pavillon de la monarchie britannique, un des plus grands de l'exposition, était composé d'un manoir de style élisabéthain, décoré de photographies et de meubles, construit par sir Edwin Lutyens. Le pavillon était destiné à fournir au commissaire un château sur le site de l'exposition. Le public le trouva moins grand que prévu par rapport aux attentes et il fut donc considéré comme gênant.

 

Le pavillon de l'Allemagne (Deutsches Haus) avait une emprise au sol de 700 m2 et une hauteur de 37 m jusqu'au faîtage. Il était flanqué d'une tour qui s'élevait à 75 m au-dessus du quai de la Seine. Construit dans le style néo-Renaissance d'après les plans de Johannes Radke, nommé architecte du Reichskommissariat, l'édifice à l'allure d'hôtel de ville germanique était articulé autour d'une cage d'escalier de 16 m de haut. Il abritait, outre la collection d'œuvres d'art de Frédéric II de Prusse exposée dans un cadre baroque, une présentation de photographies, de livres et d'art graphique ainsi que de viticulture. Le thème de la vigne était repris au restaurant, très apprécié, aménagé au sous-sol. Sa salle du Raisin (Traubensaal) conçue dans le style Art nouveau par l'architecte Bruno Möhring a été récupérée après l'exposition et se trouve aujourd'hui dans le musée privé du producteur de vin mousseux Kupferberg à Mayence.

 

Fréquentation

 

Les expositions universelles ont débuté en 1851 à Londres avec 6 millions de visiteurs. Lors des expositions qui se sont tenues à Paris, la fréquentation n'a cessé de se développer, montrant l'engouement du public pour ce type de manifestation :

 

Exposition universelle de 1855 : 5,1 millions ;

Exposition universelle de 1867 : 11 millions ;

Exposition universelle de 1878 : 16 millions ;

Exposition universelle de 1889 : 32,3 millions ;

Exposition universelle de 1900 : 50,8 millions.

 

Financement

 

L'exposition est si chère à organiser que le coût par visiteur a fini par être d'environ 600 francs de plus que le prix d'admission. L'exposition aurait perdu un total de 82 000 francs après six mois de fonctionnement. Beaucoup de Parisiens qui avaient investi de l'argent dans des actions vendues pour amasser des fonds pour l'événement ont perdu leur investissement. Continuer à payer un loyer pour les sites est devenu de plus en plus difficile pour les concessionnaires car ils recevaient moins de clients que prévu. Les concessionnaires se sont mis en grève, ce qui a finalement abouti à la fermeture d'une grande partie de l'exposition. Pour résoudre la question, les concessionnaires ont reçu un remboursement fractionné du loyer qu'ils avaient payé. Les conséquences financières de l'Exposition universelle de 1900 ont été dévastatrices pour de nombreux Parisiens et ont conduit à la décision de mettre fin à la série de foires internationales avec la perte de celle-ci.

 

Accidents mortels

 

Le 21 avril, la passerelle qui relie le Globe céleste à l'exposition s'écroule en provoquant huit morts et dix blessés

Le 18 août 1900, après la remise des récompenses et la fête nautique voyant défiler des bateaux remarquables sur la Seine, se produit l'accident de la passerelle dite « des Invalides ». Cette passerelle en bois est située sur la rive gauche du fleuve. Elle franchit le pont des Invalides en face du boulevard de la Tour-Maubourg, et relie la rue des Nations à l'enceinte des Invalides. À la suite d'un mouvement de foule provoqué par un mauvais plaisantin anonyme qui aurait crié : « Ça craque ! », la passerelle cède effectivement et tombe d'une hauteur d'environ trois mètres. On dénombre entre une trentaine et une cinquantaine de blessés, ainsi que quatre morts : Auguste Lécaillet, 67 ans, ajusteur domicilié à Lille ; Edmond Brassard, 30 ans, maître d'armes ; Mme Didier, 32 ans ; Mme Reignagne, bijoutière, les trois derniers domiciliés à Paris

 

Se rendent sur place peu après le drame le ministre du Commerce Alexandre Millerand, le ministre de la Guerre Louis André, le commissaire général de l'exposition Alfred Picard, le général Émile Oscar Dubois, Paul Loubet, fils du président de la République Émile Loubet et le préfet Louis Lépine L'enquête n'a rien donné et les concepteurs de la passerelle n'ont pas été inquiétés,

 

Héritages et vestiges
 

De nouveaux transports :

 

la « rue de l'Avenir », un trottoir roulant ;

les débuts du métropolitain parisien, avec sa première ligne entre la Porte de Vincennes et la Porte Maillot, inaugurée le 19 juillet 1900. Les bouches d'entrée des stations sont conçues par Hector Guimard) ;

de nouvelles gares : gare d'Orsay, gare des Invalides, gare de Lyon.

La fontaine lumineuse et l'usage nocturne de l'électricité.

Le Globe Céleste.

Des attractions cinématographiques :

la projection des films des frères Lumière sur écran géant ;

la projection de films sonores (par exemple, ceux de Clément Maurice) ;

la présentation du Cinéorama.

Le Petit et le Grand Palais, construits sur l'emplacement de l'ancien palais de l'Industrie et des Beaux-arts, lui-même bâti pour l'Exposition de 1855.

Le Palais de l'Optique et la Grande lunette, la plus grande lunette astronomique jamais construite.

La Grande Roue de Paris, d'un diamètre de 100 mètres, installée avenue de Suffren, à côté d'un village suisse, et démolie en 1937.

La Ruche au 2, passage de Dantzig, constituée de divers éléments provenant de bâtiments de l'exposition universelle.

 

Une réduction de la statue de la Liberté d'Auguste Bartholdi de 2,87 m orne le pont de Grenelle.

 

La frise au bas de la porte Binet. Ce monument représentait les ouvriers de l'exposition et ornait en 1900 le socle du pilier gauche de la porte monumentale de la Concorde, haute de 50 m. Œuvre du sculpteur Anatole Guillot et édifié par le céramiste Émile Muller, le relief fut récupéré à la fin de l'exposition et placé dans la cour de l'usine Muller à Ivry-sur-Seine avant d'être remisé en 1957. En 1963, le bas-relief est réinstallé dans le parc du Moulin du village de Breuillet dans l'Essonne

 

 

Ponts sur la Seine

 

Le pont d'Iéna, réservé à l'exposition et élargi par deux extensions latérales métalliques qui survivront longtemps à l'exposition.

La passerelle Debilly, construite pour l'exposition.

Le pont de l'Alma, doublé en amont par une passerelle métallique provisoire réservée à l'exposition.

Le pont des Invalides, doublé en aval par une passerelle métallique provisoire réservée à l'exposition.

Le pont Alexandre-III, symbole de l'alliance franco-russe, inauguré le 14 avril 1900. La première pierre avait été posée en 1896 par le tsar Nicolas II de Russie.

 

Passerelles et tranchées

 

De nombreuses passerelles sont construites afin de permettre aux visiteurs d'aller de site en site sans sortir de l'enceinte de l'exposition et sans gêner la circulation des Parisiens :

la place de l'Alma ;

le carrefour de l'avenue Bosquet et de l'avenue Rapp ;

l'avenue d'Antin ;

le boulevard de Latour-Maubourg ;

la circulation sur le quai Debilly se faisait en tranchée, surplombée de trois passerelles destinées aux visiteurs ;

la circulation sur le quai d'Orsay se faisait en tranchée, surplombée de deux passerelles destinées aux visiteurs.

Divers

L'exposition est dirigée par l'industriel Louis Delaunay-Belleville (en) (gendre de l'ingénieur et inventeur Julien Belleville qui a donné son nom aux rondelles Belleville).

 

 

Le pavillon de l'union centrale des Arts décoratifs est décoré par Georges Hoentschel et celui de la Colonisation par Jules Deperthes.

Les concours internationaux d'exercices physiques et de sports organisés pendant l'Exposition sont reconnus comme les Jeux olympiques de 1900.

Une section est consacrée à l'exposition de matériel de chemin de fer.

Valdemar Poulsen fait des démonstrations de son enregistreur sonore magnétique.

Plusieurs films documentaires sont réalisés à l'occasion de l'exposition, parmi lesquels :

L'Exposition de 1900 et Panorama pris du trottoir roulant Champ de Mars de Georges Meliès ;

Palace of Electricity et Eiffel Tower from Trocadero Palace de James H. White.

Le docteur Léon Azoulay, de la société d'anthropologie de Paris, effectue des enregistrements sonores de parlers et de musiques du monde entier, sur 411 cylindres de cires. Une partie de ces documents linguistiques et ethnographiques est consultable.

Le cabaret Belle Meunière fut édifié spécialement pour Marie Quinton devenue une célébrité internationale en 1900. L'Auvergnate et l'aubergiste la plus célèbre au monde accueillait ses hôtes dans les différentes salles de son restaurant avec des vues panoramiques sur la tour Eiffel

Récompenses

« Les récompenses aux exposants […] seront décernées sous forme de diplômes signés par le ministre du commerce, de l'industrie des postes et télégraphes et par le commissaire général. » Les lauréats par catégories sont les suivants (non exhaustifs) :

Médaille d'or

Georges Besançon (1866-1934), pionnier de l'aviation.

Louis Bernard (1838-1920) (Philadephe-Marie : nom religieux des Frères de l'instruction chrétienne) pour un tableau synoptique de l'histoire de France.

Paul Lafoscade (1846-1928), distillateur à Houlle, pour son genièvre

Léon Poussigue (1859-1941) pour la présentation des installations du puits Arthur-de-Buyer

Édouard Redont pour les plans du parc Bibesco (actuel parc Nicolae-Romanescu) à Craiova en Roumanie.

Paul Renouard (1845-1924).

W. E. B. Du Bois (1868-1963), sociologue, ayant présenté une "Exposition des Nègres d'Amérique" au pavillon d'économie sociale

Médaille d'argent

Marie-Félix Hippolyte-Lucas

Charles Giroux.

Gustave Surand, pour Saint Georges terrassant le Dragon.

Adrien Schulz, pour Panorama du Tour du Monde.

Eugène Crosti (enseignement artistique).

Adrien Thibault

Médaille de bronze

Marie-Antoinette Demagnez de la Rochefoucauld, pour Poésie.

Louis Auguste Roubaud

Paul Tavernier pour son tableau Chasse à Courre qui lui avait valu une médaille au Salon de 1883.

Rudolph Marschall, pour sa grande lampe en bronze de parquet représentant une femme nue tordant un roseau et nénuphar

Mention honorable

Henri Gautreau (1859-1947) inventeur, pour ses réchauds transparents à gaz d'alcool.

 

 
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Affaire Griveaux : l’activiste russe Piotr Pavlenski arrêté

Affaire Griveaux : l’activiste russe Piotr Pavlenski arrêté
Affaire Griveaux : l’activiste russe Piotr Pavlenski arrêté ce samedi à Paris
L’auteur de l’article ayant diffusé des vidéos à caractère sexuel qui ont entraîné le retrait de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris était recherché depuis une violente bagarre, le 31 décembre, dans la capitale.
 
Le 15 février 2020 à 18h17, modifié le 15 février 2020 à 22h04

En 24 heures, le calendrier judiciaire s'est accéléré pour l'homme présenté comme le « tombeur de Benjamin Griveaux ». Interpellé ce samedi après-midi à Paris pour une ancienne affaire de rixe alcoolisée, Piotr Pavlenski, activiste russe de 36 ans, est désormais dans le collimateur de la justice pour avoir diffusé des vidéos intimes attribuées à l'ex-candidat LREM à la mairie de Paris. Le parquet de Paris a officialisé l'ouverture d'une enquête pour « atteinte à la vie privée ». Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance à la personne.

Cette procédure découle d'une plainte contre X déposée quelques heures plus tôt par Benjamin Griveaux à la police judiciaire. « Nous espérons identifier la chaîne de responsabilités dans cette opération de déstabilisation politique », explique Me Richard Malka, l'avocat de l'ancien secrétaire d'Etat.

L'enquête va bien évidemment s'intéresser au rôle joué par Piotr Pavlenski. Réfugié politique depuis 2017 en France, activiste anti-Poutine rendu célèbre pour s'être cloué la peau des testicules devant le siège de l'ex-KGB en 2013, il avait dévoilé mercredi deux vidéos où, selon lui, on voit Benjamin Griveaux se livrer à du sexe solitaire. Ces films compromettants avaient été publiés sur son site baptisé « pornpolitique » avant que celui-ci ne soit rendu inactif contre sa volonté. Ils proviendraient d'une discussion privée sur Facebook entre Benjamin Griveaux et une jeune femme en mai 2018. Par cette publication controversée, l'agitateur natif de Saint-Pétersbourg explique avoir voulu démontrer une prétendue hypocrisie de la part du candidat à la mairie de Paris, coupable, à ses yeux, de s'être drapé d'un « puritanisme » de façade en se mettant en scène avec sa famille durant la campagne.

 

Surtout, les enquêteurs vont essayer d'identifier qui a fourni à l'activiste russe ces fameuses vidéos. Et, accessoirement, comprendre dans quel but : est-ce vraiment un acte politique ? Ou s'agit-il d'une vengeance personnelle, voire d'un coup monté ?

Selon des sources concordantes, l'interlocutrice de Benjamin Griveaux dans ces échanges privés n'est autre que la compagne actuelle de Piotr Pavlenski. Mais on ignore, à ce stade, si elle a transmis elle-même les vidéos intimes ou si elle a été victime d'un piratage informatique. En tout état de cause, elle n'aurait pas conservé d'animosité vis-à-vis de l'ancien secrétaire d'Etat. Le rôle de l'avocat Juan Branco, figure contestataire, interroge aussi. Celui-ci affirme n'avoir eu qu'un rôle de « conseiller juridique » dans la publication des films.

«On aurait dû l'interpeller avant»

En parallèle de cette enquête, Piotr Pavlenski a été interpellé ce samedi après-midi à la sortie d'un hôtel du XVIe arrondissement alors qu'il se trouvait avec sa compagne. Placé en garde à vue pour « violences », il est soupçonné d'avoir blessé légèrement deux personnes lors du réveillon du Nouvel an. De source policière, les faits se sont déroulés à Paris, dans l'appartement d'une étudiante, où il avait été convié par Juan Branco. Pour un motif futile et sur fond d'alcoolisation, Pavlenski a une altercation avec un groupe de convives indésirables. Dans la cuisine, il se serait saisi d'un couteau et aurait reçu, dans la bagarre, une bouteille de champagne sur la tête. Lorsque les policiers débarquent, le trentenaire a disparu.

Pavlenski faisait depuis l'objet d'une fiche de recherche. Mais l'affaire étant mineure, les policiers n'ont pas fait preuve de zèle pour l'arrêter… Jusqu'à ce que son nom soit associé à l'affaire Griveaux. Une vaste opération de police a d'ailleurs été menée dès vendredi soir dans « un squat d'artistes » du XIXe arrondissement, où Pavlenski a ses habitudes. Mais celui-ci… était absent. Et les policiers sont repartis bredouilles.

« C'est vrai qu'on aurait dû l'interpeller avant, admet un cadre de la préfecture de police. Mais si on se met à interpeller sur-le-champ toutes les personnes recherchées pour ce type d'affaires, on ne fait rien d'autre ! » Présente lors de la rixe, la compagne de Pavlenski était entendue comme témoin samedi soir.

 

 

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Benjamin Griveaux : Nouveau titre

Publié à 01:00 par dessinsagogo55 Tags : centerblog monde sur france merci
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Benjamin Griveaux

Publié à 00:34 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur france monde merci
Benjamin Griveaux

 

 

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Marlène Schiappa ne sera pas la candidate LREM à Paris

Publié à 15:27 par dessinsagogo55 Tags : enfants monde france sur vie moi internet art pouvoir center centerblog femme
Marlène Schiappa ne sera pas la candidate LREM à Paris

DIRECT.

Retrait de Benjamin Griveaux : Marlène Schiappa ne sera pas la candidate LREM à la mairie de Paris

Plus tôt, le Premier ministre, Edouard Philippe, avait adressé à Benjamin Griveaux sa "sympathie" et son "soutien".

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franceinfo avec AFPFrance Télévisions

Mis à jour le 14/02/2020 | 15:11
publié le 14/02/2020 | 09:15


Quelques heures après le retrait de la candidature du candidat LREM à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux, la question de sa succession se pose déjà. Mentionnée parmi les possibles prétendants, Marlène Schiappa a annoncé vendredi 14 février à franceinfo qu'elle ne prendrait pas sa suite, restant simplement tête de liste dans le 14e arrondissement. Les "cadres de la campagne parisienne" se réunissent vendredi après-midi "pour réfléchir collectivement, rapidement, à la meilleure proposition pour continuer à porter notre projet", avait déclaré le patron de La République en marche, Stanislas Guerini, un peu plus tôt.

 

 La diffusion de la vidéo "doit évidemment être poursuivie", a réagi le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, rappelant qu'elle était passible d'"une peine d'amende importante" et de jusqu'à "deux ans d'emprisonnement". Contacté par franceinfo, Richard Malka, l'avocat de Benjamin Griveaux, a annoncé qu'il "[poursuivrait] toutes les publications qui violeront la vie privée" de son client. Joint par franceinfo, le parquet de Paris affirme n'avoir reçu, à ce stade, aucune plainte et n'avoir ouvert aucune enquête dans cette affaire.

 

 Soutien de ses anciens concurrents. "J'adresse à Benjamin Griveaux, ainsi qu’à sa famille, mon soutien plein et entier dans cette épreuve. (...) L'attaque indigne qu’il subit est une menace grave pour notre démocratie", a réagi sur Twitter Cédric Villani, lui aussi candidat. L'actuelle maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a de son côté appelé "au respect de la vie privée et des personnes" et estimé que "les Parisiennes et les Parisiens méritent un débat digne".

 

 Un artiste russe vivant à Paris revendique la diffusion des vidéos. "C'est quelqu'un qui s'appuie en permanence sur les valeurs familiales, qui dit qu'il veut être le maire des familles et cite toujours en exemple sa femme et ses enfants. Mais il fait tout le contraire", a expliqué l'artiste russe Piotr Pavlenski à Libération. Il affirme tenir lesdites vidéos d'une "source" qui avait une relation consentie

 

 

 

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