Monde : France
Discographie
Albums
Decca
1961 : Deux enfants au soleil
1962 : La Fête aux copains
Barclay
1963 : Nuit et Brouillard
1965 : La Montagne
1965 : Potemkine
1966 : Maria
1967 : À Santiago
1968 : 10 Grandes Chansons de Jean Ferrat
1969 : Ma France
1970 : Camarade
1971 : Aimer à perdre la raison
1971 : Ferrat chante Aragon
1972 : À moi l'Afrique
Temey (1975)
Jean Ferrat en rupture avec la maison de disque Barclay, crée avec Gérard Meys son propre label : « TEMEY ».
1975 : La femme est l’avenir de l’homme
1979 : Les Instants volés (ou Enregistrement 1979)
1980 : Ferrat 80
1985 : Je ne suis qu’un cri
1991 : Dans la jungle ou dans le zoo (ou Ferrat 91)
1994 : Ferrat 95 16 nouveaux poèmes d’Aragon
2002 : Ferrat en scène
Les réenregistrements de 1976 et 1980
Déc. 1976 : Premières chansons nouvel enregistrement (Jean Ferrat réenregistre sept chansons de ses débuts, auxquelles il joint pour ce deuxième album Temey trois nouveaux titres : D'où que vienne l'accordéon, Restera-t-il un chant d'oiseau, Je ne puis vivre que de toi)
1979- 1980 : Jean Ferrat réenregistre la quasi-intégralité des chansons de la période Decca-Barclay (1961-1972). Seuls les titres La cervelle, Paris Gavroche, Le polonais (1961), Loin (1964), Ariane (1969) et Prière du vieux Paris (1972), n'ont pas été réenregistrés.
45 tours
Nota : la liste n'est pas exhaustive.
Sept. 1958 : Les Mercenaires
En Déc. 1960, sous le pseudonyme de Noël Frank, il sort un Super 45 tours comprenant les titres :
C’était Noël, (Jean Ferrat)
Notre concerto, (Jean Ferrat - Claude-Henri Vic)
Près de la rivière enchantée, (René-Louis Lafforgue)
Quand la valse est là (Umberto Bindi/ Jean Broussolle).
Déc. 1960 : Ma môme
Déc. 1961 : Eh ! l’amour
Déc. 1963 : Nuit et brouillard
Déc. 1964 : La montagne
Déc. 1965 : Potemkine
Janv. 1970 : Camarade, Les Lilas, Tout ce que j'aime, 17 ans (réf. : 71.406)
Fév. 1970 : Sacré Félicien, Intox, La Cavale, Les Demoiselles de magasin (réf. : 71.424)
Sept. 1972 : Mon palais
Bande originale de films
Mars 1965 : BOF La Vieille Dame indigne de René Allio (3 titres : On ne voit pas le temps passer, Loin, Tu ne m'as jamais quitté)
Mai 1965 : BOF Le Coup de grâce de Jean Cayrol et Claude Durand (Jean Ferrat chante Les beaux jours)
Participation
Nov. 1972 : chanson Prière du vieux Paris sur l'album collectif Première partie du spectacle de Jean Ferrat au Palais des Sports 1972 (33 tours 30 cm Temey, enregistré en studio)
Compilations
Nota : la liste n'est pas exhaustive.
1992 : Les Années Barclay : Best of Jean Ferrat
1992 : Coffret Les Années Barclay (5 CD)
1995 : Ses 24 premières chansons (rééd. 1998 Deux enfants au soleil), Magic records. Intégrale 1960-1962 sauf l'EP Noël Frank
2000 : Coffret long box C'est toujours la première fois (3 CD Barclay, 53 chansons)
2001 : Ma France
2003 : Jean Ferrat 1969-1970-1971-1972
2004 : Jean Ferrat 1961-1971 sélection du reader's digest
2006 : Jean Ferrat 1972-1994 sélection du reader's digest
2007 : Jean Ferrat 1970-1971
2008 : Les 50 plus belles chansons (3 CD Barclay)
2009 : Les no 1 de Jean Ferrat
2009 : Best of 3 CD (57 chansons Sony Music)
2020 : CD Temey B084DFYS9M Je ne chante pas pour passer le temps
Intégrales
Nota : la liste n'est pas exhaustive.
1972 : 10 ans de Ferrat, « intégrale » sous forme d'un coffret de dix 33 tours (nommés par année de 1962 à 1967, et de 1969 à 1972) reprenant la grande majorité des chansons publiées de 1961 à 1972.
2000 : Coffret Ferrat 2000 (11 CD, (avec un livre des textes des chansons). édition en CD titres Barclay réenregistrés par Ferrat en 1980.
2003 : Coffret Jean Ferrat (6 CD Barclay, 130 chansons)
2010 : L'intégrale des enregistrements Decca-Barclay ((13 CD (avec un CD Bonus regroupant les titres en 45 tours) et comprenant sa discographie de 1961 à 1972.
2010 : Intégrale des Disques Temey (12 CD avec livrets de paroles + 2 DVD des enregistrements) et comprenant sa discographie intégrale (dans sa version réenregistrée en 1980 pour l'époque Decca-Barclay).
2012 : Intégrale des Disques Temey (12 CD + 3 DVD). Réédition avec un DVD supplémentaire de l'intégrale Temey de 2010.
Albums hommages
2015 : Des airs de liberté
Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat, né le 26 décembre 1930 à Vaucresson (Seine-et-Oise) et mort le 13 mars 2010 à Aubenas (Ardèche), est un auteur-compositeur-interprète français.
Auteur de chansons à texte, il alterne durant sa carrière chansons sentimentales, chansons poétiques et chansons engagées et a souvent maille à partir avec la censure. Reconnu pour son talent de mélodiste, il met en musique et popularise nombre de poèmes de Louis Aragon avec l'approbation de celui-ci.
Fidèle, sa vie durant, à ses idéaux communistes, il n'en conserve pas moins sa liberté vis-à-vis du Parti communiste français, dont il a toujours dit n'être pas membre, n'hésitant pas à s'en démarquer sur différents sujets
Bien que peu présent dans les médias et malgré son retrait de la scène à quarante-deux ans, cet ardent défenseur de la chanson française connaît un grand succès critique et populaire. Apprécié d'un large public, Jean Ferrat est considéré, à l'instar de Léo Ferré, Georges Brassens et Jacques Brel, comme l'un des grands de la chanson française
Monument à Robert-Espagne.
Le massacre de la vallée de la Saulx est le meurtre, le 29 août 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, de 86 habitants des communes de Couvonges, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Mognéville, et Trémont-sur-Saulx dans le département de la Meuse.
La tuerie de la vallée de la Saulx figure parmi les six grands massacres commis en France par des soldats allemands en 1944. Alors que les massacres d'Oradour-sur-Glane, du Vercors, de Maillé, Tulle et Ascq sont l’œuvre des SS, celui de la vallée de la Saulx a été commis par des militaires de la Wehrmacht.
L'arrivée en Lorraine de troupes venues d'Italie
Au début août 1944, Hitler décide de faire venir en France la 3e division de Panzergrenadiers qui est alors en Italie, dans la région de Florence. L'un de ses régiments, le 29e régiment de Panzergrenadiers, arrive ainsi au sud-ouest de Bar-le-Duc (Meuse) le 28 août. Il répartit ses différentes unités dans plusieurs villages situés entre Bar-le-Duc et Saint-Dizier (Haute-Marne), notamment dans la vallée de la Saulx. Compte tenu de l'avance alliée, la mission de ce régiment n'est plus d'engager le combat contre les Américains mais de couvrir la retraite d'autres unités allemandes. Il s'agit de leurrer les Alliés en faisant croire à une présence ennemie plus importante qu'elle n'est en réalité.
Dès le 29 août au matin, plusieurs unités de ce régiment, équipées de véhicules blindés légers, se préparent à remplir leur mission. Elles quittent leur cantonnement pour faire mouvement vers l'ouest, en direction de Vitry-le-François. Un de leurs convois circule dans la forêt à proximité de Robert-Espagne mais il est attaqué par un petit groupe de résistants locaux. Cela est attesté par des procès-verbaux de gendarmerie dressés quelques jours plus tard Un officier allemand est sans doute blessé. Il donne aussitôt l'ordre de bloquer l'accès aux villages qu'il allait traverser, tous dans la Meuse et dans la vallée de la Saulx.
La tuerie de la vallée de la Saulx
Quatre villages sont particulièrement visés : Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville. À chaque fois, les soldats empêchent toute personne d’en sortir ou d’y pénétrer. À midi, ils raflent les hommes rentrés manger chez eux. Ils fouillent systématiquement les maisons et mettent le feu aux maisons en lançant des plaquettes incendiaires. Les femmes et les enfants fuient sur les hauteurs dominant la vallée. À Robert-Espagne, Couvonges et Mognéville, les hommes raflés sont rassemblés sous bonne garde. Dans les deux premières localités, ils seront abattus vers 15 heures à l’aide de mitrailleuses. À Mognéville, un notaire qui parle allemand parvient à négocier la libération des otages mais une femme et deux hommes perdront néanmoins la vie dans ce village. À Beurey-sur-Saulx, plusieurs Malgré-nous parviennent discrètement à dire aux villageois de fuir. Dans ce village, les 6 victimes du 29 août seront 5 vieillards et une jeune fille, abattus devant leur maison en flammes ou tués dans une tranchée-abri. À Robert-Espagne, on dénombre 51 victimes, 49 hommes sont fusillés près de la gare, un autre est abattu dans une ferme, puis la 51eme victime est abattue le 31 août dans les bois. À Couvonges, 26 hommes sont fusillés. À Trémont-sur-Saulx, une localité voisine de Robert-Espagne, une jeune fille de 16 ans a eu la malchance d'être aperçue par des soldats du 29e qui l'abattent.
Dans la seule vallée de la Saulx meusienne (Trémont-sur-Saulx, Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Convonges, Mognéville), cette journée du 29 août, le bilan est lourd : 88 morts et plusieurs centaines de maisons brûlées (54 maisons sur 60 détruites à Couvonges, 200 sur 300 à Robert-Espagne).
À noter qu'à Robert-Espagne, trois gendarmes de la brigade locale ont été fusillés : le maréchal des logis-chef Robert Delahaye (commandant de la brigade) et les gendarmes Raymont Bilot et Gaston Dagonnet. Les deux autres gendarmes (Albrecht et Hubert) ont réussi à s’enfuir et à se réfugier dans la forêt voisine.
Un régiment qui multiplie les exactions lors de son repli vers l'est
Ces exactions ne se limitent pas à ces seuls villages. Dans la vallée de la Saulx, en aval de Mognéville, les soldats du 29. Pz. Gr. Régiment sèment aussi la terreur. À Andernay (Meuse), ils prennent par exemple des hommes en otages en les enfermant dans la mairie. À Sermaize-les-Bains, ils traversent la localité en mitraillant les maisons et en abattant des personnes qui étaient dans la rue, dont le chef de la résistance locale, le Dr Fritsch. 13 morts sont dénombrés dans cette localité. Et le 30 août, lorsqu'ils se décident à se replier, le même dispositif de terreur est employé : prise d'otages, hommes enfermés, maisons brûlées. Des maquisards faits prisonniers près de Vitry-le-François sont aussi fusillés à Naives-devant-Bar, près de Bar-le-Duc .
Le 29. Pz. Gr. Regiment multiplie les exactions sur son parcours en direction de Saint-Mihiel et de Pont-à-Mousson. Il met ainsi à feu et à sang les villages de Mamey et de Martincourt (Meurthe-et-Moselle) où 17 personnes perdent la vie, abattues ou mortes dans l'incendie de leur maison.
Commémorations
Le Général de Gaulle est venu se recueillir, le 28 juillet 1946, sur le lieu d'exécution, sur invitation du Comité du Souvenir de la vallée de la Saulx et par la ville de Bar-le-Duc
Monuments
Robert-Espagne : le tertre des fusillés, annexe du cimetière, est dominé par une croix faite de poutres calcinées récupérées dans les ruines du village.
Robert-Espagne : Le 28 juillet 1946, à la sortie de Robert-Espagne vers Beurey-sur-Saulx, le général de Gaulle a posé la première pierre d'un monument qui devait rendre hommage aux victimes des quatre villages meusiens martyres de la vallée de la Saulx (Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville). Ce monument n'a jamais été construit, chaque village privilégiant son propre monument.
Couvonges : un monument commémoratif, également avec une croix calcinée, a été inauguré, le 29 août 1949, par le général Zeller, commandant de la 6e région militaire. Ce monument se situe en direction de la commune de Beurey-sur-Saulx
Spectacle
La Suzanne et les hommes Gare de la Suzanne,
19 septembre 2020-20 septembre 2020,
La Suzanne et les hommes
du samedi 19 septembre au dimanche 20 septembre à Gare de la Suzanne
Entrée gratuite.Une histoire miniature de la Suzanne à travers des lieux, de quelques grandes dates de l'histoire, mais aussi des hommes. Des impressions de souvenirs qui restent dans la mémoire de tout un chacun.
Gare de la Suzanne
Chemin du Varinot,
C'est l'été, certains d'entre vous vont aller promener leur bout de gras sur les plages et pourraient bien finir dans cette série de photos de plage insolites.
Une compilation d'images amusantes, parfois horripilantes ou décalées de gens qui font des sports nautiques, de la bronzette (ouch coup de soleil), des pâtés de sable, ... avec bien sûr de bon gros morceaux de fail dedans!
Pour vous préparer à ce qui vous attend...
Eric Dupond-Moretti : cette chanson d'Isabelle Boulay qui le fait « pleurer »
FAN DE LA PREMIÈRE HEURE
Agence 6 Media | samedi 1 août 2020 à 11h27 - Mis à jour le dimanche 2 août 2020 à 08h46
Eric Dupont-Moretti est un grand fan de l’œuvre de sa compagne Isabelle Boulay. L’un des titres de la chanteuse québécoise le touche particulièrement.
Dans les pages du livre « Le droit d'être libre » paru en 2018, écrit par le journaliste Denis Lafay avec lequel Eric Dupond-Moretti partage une passion pour « la belle chanson française », on y apprend que l’actuel ministre de la Justice est un grand fan de « Si tu me payes un verre », un titre de Serge Reggiani repris par sa compagne Isabelle Boulay, comme une quinzaine d'autres chansons. « Éric m’avait confié « pleurer » à la voix qu’elle pose sur 'Si tu me pays un verre' », écrit le journaliste « L’émotion qu’exhale la voix de la chanteuse dépasse même celle qu’on croyait réservée au seul timbre et au seul vécu de Serge Reggiani », confirme Denis Lafay au sujet de ce titre qui déclenche bon nombre d’émotions chez l’avocat. La chanteuse québécoise avait enregistré ce titre en 2014 sur son album de reprises de Serge Reggiani, « Merci Serge Reggiani. »
Pourquoi ce titre résonne dans l'esprit d'Eric Dupond-Moretti ? Dans l'un des passages, on peut entendre cette phrase bien particulière : « Ne jamais juger le bon ni la canaille. » « Un seul passage aurait suffi pour comprendre ce que la chanson déclenche dans le corps d’Éric, dans le corps de l’homme et de l’avocat Dupond-Moretti, dans le corps de celui qu’ont tour à tour mutilé, réparé, enfiévré, enivré, restauré, tuméfié, exalté, démembré, tant de luttes et tant de plaidoiries » écrit le journaliste avant de poursuivre : « Éric sait quel est lui-même bon et canaille, il sait que tout individu est à la fois bon et canaille » comme les personnes qu’il défend dans son métier d'avocat. D'ailleurs, « il sait que l’avocat a pour avoir de révéler ou d’exhumer la part de bon qu’a pu éteindre la part de canaille que veut enterre l’opinion publique », précise encore Denis Lafay.
"C'est un homme en colère"
Cela fait déjà plusieurs années qu’Isabelle Boulay partage la vie d’Eric Dupond-Moretti. Une relation un temps restée secrète puis affichée dans la presse, malgré eux en 2016. « Nous aurions aimé que notre relation reste un secret bien gardé, comme ça a été le cas pendant un certain temps, jusqu’à ce qu’on se fasse voler des photos. Ce qui n’est jamais très confortable », nous confiait Isabelle Boulay qui trouve bon nombre de qualités chez son partenaire : « C'est une drôle de bête, tendre, sensible, très compassionnel. Il est très humain et en même temps, il a ce feu en lui. C'est un homme en colère. C'est tout ça qui me plaît chez lui », expliquait-elle par ailleurs au Parisien.
Larry Martin Hagman, né le 21 septembre 1931 à Fort Worth, au Texas (États-Unis) et décédé le 23 novembre 2012 à Dallas au Texas (États-Unis), était un acteur, réalisateur et producteur américain.
Fils de l'actrice et chanteuse Mary Martin (1913-1990), il fut le héros masculin de la série américaine Jinny de mes rêves, dans le rôle de Tony Nelson, puis l'un des héros centraux de Dallas, où il interprète le rôle de John Ross (JR) Ewing, redoutable homme d'affaires et manipulateur sans scrupules. Il était marié depuis 1954 à Maj Axelsson, une suédoise, décoratrice d'intérieur avec laquelle il a eu deux enfants (une fille Heidi Kristina et un garçon Preston) et cinq petites-filles.
En 2008, il est devenu un militant actif pour l'usage des énergies renouvelables et possède une maison qu'il décrit sur son site web comme entièrement auto-alimentée en énergie. Il vit paisiblement entre les États-Unis et de fréquents voyages à Paris notamment. À la suite de problèmes d'alcool, il a dû subir une greffe de foie.
À partir du 13 juin 2012, il a fait partie de la distribution principale de Dallas 2.0 pour la chaîne câblée TNT. Il y reprend son rôle de J. R. Ewing. Larry Hagman meurt le 23 novembre 2012, à l'âge de 81 ans, des suites d'un cancer de la gorge
Filmographie
Cinéma
1964 : Sept contre la mort (Sette contro la morte) : Capt. Wilson
1964 : Ensign Pulver : Billings
1964 : Point limite (Fail-Safe) : Buck
1965 : Première Victoire (In Harm's Way) : Lt. J.G. Cline
1966 : Le Groupe (The Group) : Harald Peterson
1970 : Up in the Cellar : Maurice Camber
1971 : L'Homme sans frontière (The Hired Hand) : Sheriff (in TV version)
1972 : Attention au blob ! (Beware! The Blob) : Hobo
1973 : Antonio : Mark Hunter
1973 : The Toy Game : Major
1974 : Stardust : Porter Lee Austin
1974 : Harry et Tonto (Harry and Tonto) : Eddie Coombes
1976 : Ambulances tous risques (Mother, Jugs & Speed) : Murdoch
1976 : Le Bus en folie (The Big Bus) : Doctor in parking lot
1976 : L'aigle s'est envolé (The Eagle Has Landed) : Col. Pitts
1977 : Cry for Justice
1977 : Checkered Flag or Crash : Bo Cochran
1978 : Superman : Major
1981 : S.O.B. : Dick Benson
1981 : Jag rodnar : Larry Hagman
1995 : Nixon : Jack Jones
1998 : Primary Colors : Gouverneur Fred Picker
Télévision
1957 : Decoy (Série TV) : Kenneth Davidson
1957 : C'est déjà demain (Search for Tomorrow) (Série TV) : Curt Williams
1958 : Remous (Sea hunt) (Série TV) : Johnny Greco / Alex Kouras / Elliot Conway
1960 : Diagnosis: Unknown (Série TV) : Don Harding
1963 et 1964 : Les Accusés (The Defenders) (Série TV) : Jim Lewton / Edmund Lockwood
1964 : Mr. Broadway (Série TV) : Luke
1965 : The Rogues (Série TV) : Mark Fleming
1965-1970 : Jinny de mes rêves (I Dream of Jeannie) (Série TV) : Major Anthony Nelson
1969 : Three's a Crowd (Téléfilm) : Jim Carson
1970 : Night Gallery (Série TV) : Cedric Acton
1971 : Les Règles du jeu (The Name of the Game) (Série TV) : Dean Chasen
1971 : Dan August (Série TV) : Art Lewis
1971 : Vanished (Téléfilm) : Jerry Freytag
1971 : Les Hurlements de la Forêt (A Howling in the Woods) (Téléfilm) : Eddie Crocker
1971-1972 : The Good Life (Série TV) : Albert Miller
1972 : Getting Away from It All (Téléfilm) : Fred Clark
1972 : No Place to Run (Téléfilm) : Jay Fox
1973 : Blood Sport (Téléfilm) : Coach Marshall
1973 : Love Story (Série TV) : Dick Madison
1973 : What Are Best Friends For? (Téléfilm) : Frank Ross
1973 : Here We Go again (Série TV) : Richard Evans
1973 : Médecins d'aujourd'hui (Medical Center) (Série TV) : Glenn Dorsey
1973 : Un camion en or massif (The Alpha Caper) (Téléfilm) : Tudor
1973 : The Toy Game (Téléfilm) : Major
1974 : Sidekicks (Téléfilm) : Quince Drew
1974 : Un shérif à New York (McCloud) (Série TV) : Larry Harris
1974 : Sergent Anderson (Police Woman) (Série TV) : Tony Bonner
1974 et 1979 : Police Story (Série TV)
1975 : Les Rues de San Francisco (The Streets of San Francisco) (Série TV) : Terry Vine
1977 : Intimate Strangers (Téléfilm) : Mort Burns
1977 : McMillan & Wife (Série TV) : Dr. Wesley Corman
1977 : Deux Cent Dollars Plus les Frais (The Rockford Files) (Série TV) : Paul T. Grisham
1978 : The President's Mistress (Téléfilm) : Ed Murphy
1978 à 1991 : Dallas (série TV) : John Ross « J. R. » Ewing
1978 : Le Signe de justice (Sword of Justice) (Série TV) : Doyle Rettig
1979 : Police Story: A Cry for Justice (Téléfilm) : Dwight Sheppard
1980 à 1982 : Côte Ouest (Knots Landing) (Série TV) : J. R. Ewing
1996 : Dallas : Le Retour de J. R. (Dallas : The Return of J. R.) : J. R. Ewing
1997 : Orleans (Série TV) : Juge Luther Charbonnet
1997 : Staying Afloat (Téléfilm) : Alexander Hollingsworth III
1997 : Le Troisième Jumeau (The Third Twin) (Téléfilm) : Barrington Jones
1998 : Dallas : La Guerre des Ewing (Dallas : The War of Ewings) : J. R. Ewing
2006 : Nip/Tuck (Série TV) : Burt Landau
2010 : Desperate Housewives (Série TV) : Frank Kaminski
2012 : Dallas 2.0 (Série TV) : J. R. Ewing
Réalisateur
1972 : Attention au blob ! (Beware! The Blob)
1992 à 1994 : Dans la chaleur de la nuit (In The Heat of Night) (Série TV)
1998 : Dallas: War of the Ewings (Téléfilm)
Producteur
1993 : Staying Afloat (Téléfilm)
| |
| |
Liens externes | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
Notes et références | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
RUBRIQUE | |
BIOGRAPHIE | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
DATE | |
NAISSANCE | |
DECES | |
MISE A JOUR : | 2025 |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
SOMMAIRE | |
Comment ça marche ??? Aide | |
Actu de dessinsagogo55 | |
Cliquez sur j'aime. Merci ! | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | | | | | | | | | | | | | | | | |
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | | | | | | | | | | | | | Faites votre pub |
|
| |
| |
Liens externes | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
Notes et références | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
RUBRIQUE | |
DESCRIPTION | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X |
DATE | |
NAISSANCE | |
DECES | |
MISE A JOUR : | 2025 |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
| 0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
SOMMAIRE | |
Comment ça marche ??? Aide | |
Actu de dessinsagogo55 | |
Cliquez sur j'aime. Merci ! | | | | | | | | | | | | | | | | | | |
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | | | | | | | | | | | | | | | | |
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | | | | | | | | | | | | | Faites votre pub |
|
Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur hyperactif au bord du surmenage
Depuis son arrivée compliquée à Beauvau, le ministre de l'Intérieur met en scène son volontarisme. Au prix de plusieurs polémiques.
30/07/2020 13:05 CEST | Actualisé il y a 23 heures
Par Romain Herreros
POLITIQUE
Depuis la nomination de Gérald Darmanin à l’Intérieur, pas un jour ne passe sans une polémique à déminer. Du procès en illégitimité sur fond d’accusations qui ne faiblit pas, aux petites phrases qui choquent jusque dans son propre camp, le successeur de Christophe Castaner se retrouve à intervalles réguliers au centre de l’actualité pour des raisons autres que sa seule action Place Beauvau.
Dernier épisode en date: l’expression “j’étouffe” pour balayer d’un revers de main la question des violences policières. Un vocabulaire pour le moins déplacé qui a choqué la famille de Cédric Chouviat, livreur mort par asphyxie à la suite d’un contrôle policier. Ces propos maladroits s’ajoutent à ceux tenus auprès du Figaro, dénonçant “l’ensauvagement d’une certaine partie la société”. Un terme prisé par l’extrême droite, et plus particulièrement par Marine Le Pen, qui a été contesté au sein même du gouvernement et dans la majorité.
“Affichage grotesque”
En parallèle, Gérald Darmanin multiplie les déplacements sur le terrain pour mettre en scène son volontarisme, s’exposant à des incidents, comme à Nantes, où le ministre a été accueilli par des “sale violeur” lancés par des féministes en colère. Une façon de saturer l’espace médiatique qui n’est pas sans rappeler son ancien mentor Nicolas Sarkozy et qui commence à irriter au sein du groupe LREM à l’Assemblée nationale.
“Il fait de l’affichage grotesque. On n’a pas besoin de faire de l’agit-prop pour être dans l’efficacité. Toutes ses provocations sont pour lui un moyen d’exister et de faire oublier sa propre affaire”, tacle un député LREM venant de la gauche, accusant l’ex-maire de Tourcoing de “surjouer le rôle du sarkozyste”. Et d’ajouter, rieur: “Castaner était moqué pour ses bourdes, mais au final il galère autant, voire plus. Il doit bien se marrer maintenant Casta au bord de sa piscine”.
Alors que les critiques s’accumulent, d’autres préfèrent relativiser les conséquences de ces polémiques estivales. “Je suis assez halluciné du temps qu’on passe à parler de ces choses là”, grince Gaël Le Bohec, député LREM d’Ille-et-Vilaine. “On commente ses mots alors qu’il vient d’arriver et que ses grandes orientations n’ont pas encore eu lieu. Je ne pense pas que le principal souci des Français soit ce qu’a dit le ministre de l’Intérieur”, veut croire l’élu.
Pourtant, c’est bien Gérald Darmanin qui, en multipliant les sorties de route et les déplacements, s’expose à la polémique. “Il en fait trop, il a franchi le cap de ce qu’il est raisonnable de faire: trop s’exprimer, trop cliver, trop provoquer, être trop visible... Quand il dit ‘je m’étouffe’, personne ne peut croire qu’il ne sait pas très bien l’effet que ça va produire. Donc on voit là un emballement de sa communication hyperactive”, analyse Bruno Cautrès, politologue et professeur à Sciences Po.
L’opposition de droite, pourtant peu économe en matière de communication musclée, pense la même chose. “Si on ne veut pas mettre le feu à la société lorsqu’on est ministre de l’Intérieur, on pèse ses mots ou on se tait”, a fustigé sur franceinfo Aurélien Pradié, secrétaire général des Républicains.
N’est pas Sarko qui veut
Alors que Christophe Castaner était accusé d’avoir toujours un train de retard et d’enchaîner les gaffes façon “Rantanplan”, Gérald Darmanin veut marquer une rupture nette avec son prédécesseur en surjouant la présence auprès des policiers. Comme lorsqu’il s’est rendu à Nice après une fusillade, où il a dénoncé “une minorité d’emmerdeurs qu’il faut absolument confondre par la loi”. Ce qui, une fois encore, n’est pas sans rappeler les sorties de Nicolas Sarkozy du temps où il s’en prenait à la “racaille” durant son passage à Beauvau.
Mais pour le politologue Bruno Cautrès, le rythme effréné adopté par le ministre de l’Intérieur, qui a décidé de ne pas prendre de vacances cet été, est tout simplement “intenable sur la longueur” tant les risques de dérapages sont élevés. Ce qui, selon toute logique, devrait l’encourager à lever le pied et se faire plus discret dans les semaines à venir. D’autant que cette stratégie de l’hyperactivité n’est peut être pas la plus pertinente pour l’exécutif.
“S’il s’agit montrer aux Français qu’il y a enfin un vrai boss à l’Intérieur, c’est contre-productif. Parce que ça sous-entend que son prédécesseur était mauvais, et donc que Macron avait fait une erreur en le nommant. En cela, cette communication provocante est absurde et paradoxale”, poursuit Bruno Cautrès, qui pointe les limites du mimétisme.
“Si l’objectif c’est tuer le match de 2022 à droite, en montrant les muscles sur la sécurité, pourquoi pas. Mais dans le cœur de l’électorat de droite, on ne remplace pas Sarkozy comme ça, prévient Bruno Cautrès. D’ailleurs, ça rate très souvent l’imitation en politique”.
La députée Aurore Bergé recalée du gouvernement car “elle insupporte en haut lieu”
La députée LREM irrite son propre camp, notamment “dans sa façon de survaloriser les attaques dont elle fait l’objet”.
Depuis dimanche 26 juillet, le gouvernement est enfin au complet. Trois semaines après la nomination des ministres, ce sont les 11 secrétaires d’Etat qui ont été nommés. Parmi eux, nulle trace de Stanislas Guerini et Gilles Le Gendre, patrons du parti, ni de Brune Poirson, Cédric Villani ou Guillaume Larrivé, tous pressentis pour intégrer – ou réintégrer – le gouvernement. Mais la grande déçue se nomme sans doute Aurore Bergé. Très en vue depuis le début de quinquennat Macron, la députée des Yvelines pouvait prétendre à un poste de ministre ou de secrétaire d’Etat. Mais elle a finalement été recalée car « elle insupporte en haut lieu », rapporte L’Opinion.
Recalée par Roselyne Bachelot ?
La jeune femme, transfuge des Républicains inconnue du monde politique, a rapidement fait parler d’elle. Elue députée des Yvelines en 2017, elle a ensuite été membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Education. Elle est également la porte-parole de LREM chargée de la « riposte ». Aurore Bergé est également omniprésente dans les médias. Avec le remaniement, son nom a circulé pour un secrétariat d’Etat à la communication audiovisuelle, rattaché au ministère de la Culture. Mais « on ne peut pas exclure que Roselyne Bachelot n’en ait pas voulu », a confié un parlementaire à L’Opinion. De plus, selon un proche d’Emmanuel Macron, la députée « insupporte en haut lieu ». Elle irrite notamment son propre camp « dans sa façon de survaloriser les attaques dont elle fait l’objet ». La députée est en effet fréquemment raillée sur les réseaux sociaux, et aime se poser en victime en retour.
Plusieurs grands absents
Au sein de la formation macroniste, le patron du parti Stanislas Guerini et celui du groupe Gilles Le Gendre ont également dû faire une croix sur un poste au gouvernement. « Il y a la volonté, pour 2022, de nous débarrasser de ceux qui nous ont emmenés dans le mur », a taclé un député LREM auprès de L’Opinon. Brune Poirson, elle, n’a pas été reconduite à son poste de secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique. D’après le quotidien, c’est son activisme qui en agacerait certains. Le dissident Cédric Villani, qui aurait légitimement pu espérer un poste, a lui aussi été recalé car « il n’a pas fait l’accord » avec LREM. Quant au député LR Guillaume Larrivé, il avait fait des pieds et des mains pour entrer au gouvernement, notamment en étant le seul de son camp à voter la confiance au gouvernement Castex. Mais son arrivée aurait provoqué des remous. « A côté de lui, Darmanin est un sympathique radical de gauche », a ironisé un marcheur venu de LR auprès de L’Opinion.