Monde : France
En couverture du nouveau Playboy, Ilona, modèle d'Annecy : "Une aventure incroyable !"
Annecy, France
Ilona est serveuse dans un restaurant au bord du Lac d'Annecy où elle vit. Mannequin amateur, elle se retrouve en Une de la version française de Playboy qui ressort en kiosque.
Ilona Gachet - Capture Instagram Ilona Gachet
Playboy, le magazine de charme, effectue un nouveau retour en kiosque - il avait disparu depuis cinq ans - avec en figure de proue une playmate moderne, inconnue, Ilona Gachet, qui vit et travaille en Haute-Savoie depuis neuf ans.
Au naturel, au bord de son Lac d'Annecy - Compte Instagram Ilana Gachet Un hasard incroyable
Ilona est mannequin amateur depuis ses 16 ans, "par plaisir, quand j'en ai envie". C'est la première fois qu'elle pose nue. Elle ne se serait jamais imaginée égérie de la firme au lapin.
La couverture de Playboy est donc un "pur hasard" : "Ma première série de nus. Un shoot sympa avec mon ami Lionel Daviet (photographe d'Annecy) au bord d'une piscine. La très belle série a plu au directeur de Playboy. C'était assez incroyable comme proposition. Je me suis dit : "Pourquoi pas ?"
Ilona Gachet : l'aventure de la couv'
Avant parution, Ilona a juste vu la photo choisie pour la couverture. Elle s'est réservée la surprise des pages intérieures en feuilletant le produit fini. "Ah, elles sont sympas, finalement !" fut en résumé sa réaction, car la jeune femme n'est pas une habituée du nu.
"Pour la mode, on peut jouer avec le vêtement. Là, on est seule face à l'objectif. Je ne me trouvais pas à mon avantage sur les photos. Puis à force de les voir, je les ai trouvées jolies. C'est compliqué de se trouver jolie en se voyant nue."
"C'est compliqué de se trouver jolie en se voyant nue. A force de voir les photos, je les ai trouvées jolies." - Ilona Gachet
Ce premier shooting dénudé est donc naturel, sans prétention et finalement c'est ce qui a sans doute plu. "Quand on n'est pas une professionnelle du nu, on se cache un peu, on ne fait rien de "vulgaire", on est moins à l'aise. Et certains photographes recherchent cela."
Loin de la playmate sexualisée
Affranchie des canons plantureux, l'Annécienne paraît aux antipodes d'une Pamela Anderson. On est en 2020, loin des plastiques plastifiées artificielles.
Ce qu'elle traduit ainsi : "Je n'ai pas de formes opulentes. Je n'ai pas de gros seins. Contrairement à celles qu'on a pu voir dans les anciens numéros de Playboy qui étaient des femmes emblématiques, très belles, très connues. Moi, je débarque d'Annecy, alors que personne ne me connaît et je fais la couv' de Playboy ! Et c'est ça qui est bien justement. Ces photos cassent l'image des Playboy qui montrent la femme vraiment sexualisée, alors que ma série de photo ne l'est pas du tout."
Ilona Gachet playmate moderne qui casse l'image sexualisée de la femme
L'entourage a été surpris
Depuis la publication du magazine, mis à part quelques balourdises entendues les premiers jours, Ilona a surtout eu des réactions très positives. Elle a été très discrète sur sa publication. Son père lui a juste dit que c'était super, mais s'est refusé à voir les photos - "c'est normal." Sa petite sœur a fait "une tête bizarre" à la vue des clichés publiés.
"Je n'ai pas de formes opulentes. Ces photos cassent l'image des Playboy qui montrent une image de la femme sexualisée." - ilona plamayte et jeune femme moderne
La Haut-Savoyarde commence à répondre à quelques interviews ces jours-ci. Avec humilité, humour et détachement. Elle n'est pas non plus une passionnaria des réseaux sociaux, même si elle y est présente. "Il y aura sans doute des portes qui vont s'ouvrir. Je ne fais pas cela pour la gloire, mais pour le plaisir. D'ailleurs, je ne réponds qu'aux sollicitations qui me plaisent. C'est la raison pour laquelle j'ai un emploi fixe à côté, loin du mannequinat. Je ne me vois pas vivre ailleurs qu'à Annecy. Je n'ai jamais voulu aller à Paris pour en vivre pleinement. C'est juste du plaisir."
Tiré à 100 000 exemplaires, le nouveau Playboy trimestriel est paru mi juillet, 212 pages, version classieuse avec un quart de photos dénudées. On y trouve des articles sur le Darknet, l'exorcisme ou encore une interview de Bill Gates.
Depuis mars dernier, aux Etats-Unis, le magazine créé par Hugh Hefner n'est plus disponible que sur internet.
Sabine Paturel, née le 19 septembre 1965 à Toulon (Var), est une chanteuse et actrice française.
Née d'un père sicilien violent, elle connaît une enfance difficile. Elle a trois sœurs et n'a aucun lien de parenté avec le comédien Dominique Paturel. Son premier single Les Bêtises, composé par Sylvain Lebel et Dominique Pankratoff, est sorti en fin d'année 1985. Chanson racontant le caractère incontrôlable d'un cœur délaissé et interprétée de façon espiègle, elle est restée pendant trente-six semaines au Top 50, de mars à octobre 1986, atteignant la deuxième place en mai 1986. En novembre 1986, elle sort son second single P'tit Bouchon qui s'est également classé dans les meilleures ventes. L’album Cœur bébé sort en 1987 en CD et vinyle 33 tours ; il obtient le Laser d'or de l'Académie du disque.
En 1990, à la suite d'un conflit avec sa production, elle décide d'abandonner la chanson pour ne se consacrer qu'au théâtre. Elle y reviendra en 2009, à l'occasion de la tournée RFM Party 80 .
Parallèlement, ses cours de comédie chez Jean-Laurent Cochet lui ont permis de percer dans le théâtre : dès 1988 elle triomphe au théâtre Marigny dans La Menteuse, pièce qui lui vaut une nomination aux Molières. Elle poursuit dans La Mégère apprivoisée, Jeanne d'Arc, Le Barbier de Séville puis dans la comédie musicale Dédé de Willemetz, La Reine Margot, Une heure sans télévision. En 2010, elle remonte sur les planches pour le one-woman-show musical J'ai deux mots à vous dire de Jean-Pierre Delage. En 2014, elle sort un album intitulé Atmosphères qui contient toutes les chansons du show.
Elle quitte ensuite le théâtre, monte un concert avec Xavier Barboteu, et en 2015 sort un nouveau single intitulé Je me fous de tout.
En tant qu'actrice, elle a tourné dans des séries télévisées comme Les Enquêtes caméléon (avec Roger Carel), Les Cordier, juge et flic ou L'Instit et dans des films comme Prends ton passe-montagne, on va à la plage ou En cas de guerre mondiale, je file à l'étranger et dans La Chambre des dames de Yannick Andréi.
En 1995 elle a créé son propre cours d'art dramatique qu'elle continuera jusqu'en 2002.
Sim, nom de scène de Simon Berryer, né le 21 juillet 1926 à Cauterets (Hautes-Pyrénées) et mort le 6 septembre 2009 à Fréjus (Var), est un acteur, humoriste, chanteur, parolier et écrivain français, connu entre autres pour ses interprétations parodiques (notamment la « baronne de La Tronche-en-Biais »), sa participation à l'émission radiophonique Les Grosses Têtes et pour avoir tenu le rôle d'Agecanonix dans les adaptations cinématographiques d'Astérix et Obélix.
Simon Berryer est né d'Henri Berryer et de Marie-Thérèse Bonnemazou. À l'époque de la naissance de Sim, son père était électricien du réalisateur Abel Gance et tournait les raccords du film Napoléon.
Gilbert Bécaud, né François Silly le 24 octobre 1927 à Toulon et mort le 18 décembre 2001 à Boulogne-Billancourt, est un chanteur, compositeur et pianiste français.
Au cours de sa carrière, il se produit trente et une fois sur la scène de l'Olympia, où il gagne son surnom de « Monsieur 100 000 volts » en raison de son sens du swing, du fait des passions qu'il soulevait dans son sillage et de ses fans qui, souvent, à ses débuts, cassaient par enthousiasme les fauteuils. Il laisse l'image d'un homme « électrique », toujours en mouvement. Sa cravate à pois, ses quelque quatre cents chansons et sa main sur l'oreille (pour être sûr de chanter juste) sont d’autres images spécifiques qui ont marqué les esprits.
Mes mains, Nathalie, Le Jour où la pluie viendra et Et maintenant s'inscrivent parmi les grandes chansons de l'artiste.
Catherine Deneuve
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DECES | |
MISE A JOUR : | 2025 |
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Alain Delorme, l'interprète du titre "romantique avec toi", est mort
Aurélie Parisi Publié le 07-08-20 à 19h12 - Mis à jour le 07-08-20 à 20h43
Alain Delorme, leader du groupe mouscronois Crazy Horse, populaire dans les années 70, est décédé à l’âge de 70 ans, nous apprennent nos confrères du quotidien L’Avenir.
Le chanteur est connu pour avoir interprété les chansons « Romantique avec toi », « J’ai un petit faible pour toi » ou encore « Et surtout, ne m’oublie pas ».
Complément d'info
Alain Delorme est un chanteur français né à Roubaix (Nord)
AU début de sa carrière, Alain Delorme s'est fait connaître en tant que leader du groupe belge "Crazy Horse" dans le début des années 1970. En quatre ans le groupe vendra plus de quatre millions de disques.
Le principaux tubes de Crazy Horse : Une fleur, rien qu'une rose - Belle - Ciao - De juillet jusqu'à septembre - Et surtout ne m'oublies pas - Faire l'amour la première fois - J'ai tant besoin de toi
- Ne laisse pas ma vie sans toi - Ne rentre pas ce soir - Un jour sans toi - Pas la peine - Quand on s'aime - Que c'est bon de t'aimer - Soumina - T'aimer, te chérir - Te souviens-tu ? - Vivre à deux - Soumina - Caline, divine
Dès 1975, Alain Delorme sort ses proprres chansons en solo et enchaîne les tubes comme "Romantique avec toi", "J'ai tant besoin de toi", "Je rêve souvent d'une femme"
Alain Delorme sort régulièrement des album en solo comme "Ainsi sont les femmes", "Cantiques" ou encore "Vague à l'âme"
Serge Chauvier, dit .Serge Lama, né le 11 février 1943 à Bordeaux, est un chanteur et parolier français. Il s'est également essayé comédien, notamment au théâtre dans les années 1990.
Fort de plus de cinquante-cinq années d'une carrière débutée en 1964, il est l'un des chanteurs les plus populaires depuis la fin des années 1960. Serge Lama a publié vingt-trois albums studio et neuf albums live et plusieurs de ses chansons sont devenues des classiques de la chanson française notamment Les Ballons rouges, D'aventures en aventures, Je suis malade, Les P'tites Femmes de Pigalle ou encore Femme, femme, femme
Serge Lama naît à Bordeaux, fils unique de Georges Chauvier, chanteur d'opérette — il a obtenu le premier prix du conservatoire de Bordeaux — et de Georgette Ponceaud. Il y passe une petite enfance heureuse, baigné par les airs du répertoire lyrique et les chants de Luis Mariano. Il va en vacances en Dordogne, chez sa grand-mère maternelle.
En 1950, face au succès rencontré dans la région de Bordeaux, son père décide de tenter sa chance à Paris. Serge a alors sept ans, ses parents le confient à sa grand-mère. Il y reste six mois, demi-pensionnaire chez les frères, avant de rejoindre ses parents dans la capitale.
Entre 1951 et 1954, la famille vit petitement dans une chambre d’hôtel, 19 rue Duvivier, dans le 7e arrondissement. En mal de succès, la carrière de son père a du mal à démarrer. La famille a peu d’argent mais Serge est heureux. Il aime aller chercher son père au théâtre des Capucines et traîner dans les coulisses.
Il écrit ses premiers textes dont sa première chanson vers 1954. Il écoute Georges Brassens, Gilbert Bécaud, Édith Piaf, Maurice Chevalier et les opérettes. Un ami de son père, Marcel Gobineau, devient son maître et son ami, Serge lui dédiera plus tard la chanson Mon ami, mon maître. En face du Théâtre des Capucines se trouve un music-hall, l'Olympia où il rêve de chanter un jour.
Poussé par sa femme qui ne supporte plus cette vie, son père renonce à sa carrière de chanteur et devient représentant pour un brasseur de bière. La famille s'installe dans un appartement d'Issy-les-Moulineaux. Serge, inscrit au lycée Michelet de Vanves, ne s'intéresse pas beaucoup aux études. En revanche, c’est avec plaisir qu’il intègre la troupe de théâtre amateur du lycée. Il ne supporte pas d’être éloigné du milieu artistique, et en veut beaucoup à sa mère. Il quitte l’école sans aucun diplôme, et s'inscrit dans une école de dessin. Il sèche les cours pendant un an et se sauve de chez ses parents.
De 1960 à 1963, il vit de petits boulots, travaille dans une banque. Pour son service militaire, il part en Algérie, à la base d’Hammaguir, en plein désert, où il est affecté au standard. Dix-huit mois durant, dans ses moments oisifs, il écrit des chansons. Il rentre en France en décembre 1963.
Alexandre Sacha Distel dit Sacha Distel, est un guitariste de jazz, compositeur et chanteur français d'origine franco-russe, né à Paris (13e arrondissement) le 29 janvier 1933 et mort au Rayol-Canadel-sur-Mer (Var) le 22 juillet 2004.
D'origine juive russe par son père, Liyonia (Léoni) (1894-1970), né à Odessa, Sacha Distel est aussi le neveu de Ray Ventura par sa mère, Andrée Ventura (1902-1965), également d'origine juive, une pianiste ancienne lauréate du Conservatoire
Son père arrive en France en 1917, au moment de la Révolution russe, pour y rejoindre son frère qui y possède une usine de produits chimiques. Il fait des études d'ingénieur chimiste pour travailler dans l'usine de son frère, mais celui-ci, en raison de difficultés financières part vivre au Mexique. Son père devient alors garagiste, puis commerçant en produits électro-ménagers
Ses parents travaillant tous les deux, il est mis au jardin d'enfants à l'âge de trois ans et entre au cours préparatoire huit jours après
Il apprend le piano très jeune. Bien qu'il l'admire, il ne voit alors jamais son célèbre oncle Ray Ventura, souvent parti en tournée, sauf lorsque celui-ci installe son orchestre à Paris. Sacha Distel intègre, le temps d'un dimanche après-midi, son orchestre, y jouant du saxophone miniature. Adorant chanter et en particulier imiter Maurice Chevalier, il participe à l'âge de six ans à un radio-crochet qu'il remporte.
Sous l'Occupation, la police française arrête sa mère le 7 février 1942, non pas parce qu'elle est juive, mais pour des raisons politiques. Emprisonnée à la prison du Cherche-Midi, elle ne sera d'ailleurs pas déportée. Lors de l'arrestation de sa mère, espérant pouvoir empêcher la police d'emmener celle-ci (il a alors neuf ans), il se met à jouer du piano et à chanter. Sur l'initiative de son père, il est confié à Fernande Chaboche à La Baconnière Il est caché comme treize autres enfants juifs par Constant Domaigné au collège de l'Immaculée-Conception de Laval où il est enregistré sous le nom d’Alexandre Ditel, afin d'éviter la curiosité des militaires allemands présents dans les locaux du collège. Il reste au collège jusqu'à la libération de Laval au début de août 1944 où un jour son père vient le chercher et retrouve sa mère lors de la Libération de Paris.
Il entre au lycée Janson-de-Sailly, puis au lycée Claude-Bernard, où il est un élève moyen.
Grâce à son oncle, Ray Ventura, Sacha Distel s’intéresse progressivement au jazz. Il assiste aux diverses répétitions et enregistrements de l'orchestre de celui-ci : Les Collégiens. En 1947, lors du tournage du film Mademoiselle s'amuse, il demande à Henri Salvador, guitariste de cet orchestre, de lui donner des leçons de guitare, ayant deviné que c'était un puissant moyen de séduction auprès des femmes Il devient son élève tout en jouant dans les Noise Makers, l'orchestre de son lycée du 16e arrondissement de Paris (lycée Claude-Bernard) aux sonorités jazz Nouvelle-Orléans.
Ray Ventura, qui a eu vent de la chose, propose au jeune Sacha de venir à une soirée à l’Alhambra l’hiver de 1948. Dizzy Gillespie y joue avec son orchestre. Entouré par Bruno Coquatrix, Paul Misraki, et André Hornez, Sacha découvre le bebop. Dans la salle, c'est une bataille d'Hernani