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Par Anonyme, le 17.12.2024
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il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Pierre-Joseph Charrin né le 2 février 1784, à Lyon, et mort le 25 avril 1863 à Écouen, est un poète, chansonnier, auteur de pièces de théâtre et goguettier français.
Il est membre du Caveau moderne et fondateur, en 1813, des Soupers de Momus.
Le 14 août 1814, il est reçu au Caveau lyonnais. À cette occasion il rédige des couplets de réception.
En 1815, il est, avec César de Proisy d'Eppe, Alexis Eymery, René Perrin et Joseph Tastu, au nombre des cinq rédacteurs du Dictionnaire des girouettes, ou Nos contemporains peints d'après eux-mêmes … par une société de girouettes… Cet ouvrage de 444 pages qui stigmatise les opportunistes de la période 1789-1815, dont d'illustres membres du Caveau moderne comme de Piis et Dupaty, contribue à la disparition de cette société en 1817.
En 1834, à sa fondation, il rejoint la quatrième société du Caveau.
C'est probablement en 1852, que, devenu doyen des chansonniers, il en est fait président d'honneur.
Eugène Imbert écrit, en juin 1863 :
Pierre-Joseph Charrin, qui vient de s'éteindre au mois d'avril dernier, était né à Lyon le 2 février 1784. Les renseignements nous manquent sur sa jeunesse et ses premières études. Toutefois, d'après ses habitudes de style, d'après le genre généralement élevé de ses compositions, il est permis de conjecturer que dès le jeune âge il fut nourri des saines traditions de l'antiquité, et que, malgré le trouble des temps, il ne fut pas privé d'études classiques.
Depuis plusieurs années déjà il était employé au ministère de la guerre, à la direction générale des subsistances militaires, en qualité de rédacteur, de sous-chef et de garde-magasin de l'habillement, lorsqu'une de ces réformes dont l'économie fut au moins le prétexte sous la Restauration, le priva de sa place. C'était en 1814. Rappelé deux ans plus tard, il se vit atteint de nouveau en 1819, époque où Latour-Maubourg succéda à Gouvion Saint-Cyr au ministère de la guerre.
Charrin se livra dès lors à des entreprises commerciales, auxquelles il dut l'aisance et, plus tard, le repos nécessaire à la culture des lettres et de la poésie.
Il collaborait, sous la Restauration, à divers journaux politiques et littéraires ; mais ces occupations, ces travaux sérieux ne l'empêchaient pas de courtiser la Muse de la Chanson.
Charrin a fait partie des deux sociétés connues sous les noms des Dîners du Caveau moderne et des Soupers de Momus. Les Dîners du Caveau moderne, fondés en 1806, par les anciens membres des dîners du Vaudeville, furent envahis, en 1816, par la politique ; la division se mit parmi les convives; les joyeux repas du Rocher de Cancalecessèrent, et la plupart des chansonniers qui se réunissaient chez Balaine, vinrent s'asseoir à la table des Soupers de Momus, d'où la politique était rigoureusement bannie. Cette dernière société dura jusqu'en 1826.
En 1834, une nouvelle association fut fondée. Elle prit d'abord le titre des Enfants du Caveau, et trois ans plus tard, celui de Caveau.
Charrin en faisait partie depuis sa fondation.
Le premier banquet des Soupers de Momus eut lieu le 6 mars 1813, chez Letellier, rue Montorgueil, au parc d'Etretat. Charrin y chanta l'Éloge des Soupers. Nous citerons le couplet suivant :
Parfois obtenant de ma belle
Tendres rendez-vous désirés
Aux dîners qu'elle offre chez elle,
Soupers chez moi sont préférés.
Avec la nuit,
Dans mon réduit,
Tendre et discrète,
Elle vient en cachette.
Buveur joyeux,
Amant heureux,
Quand vient le jour,
Je fais encor l'amour.
Mainte affaire au dîner me presse
D'oublier tout, de tout quitter :
Vive un bon soupe pour fêter
Bacchus et sa maîtresse !
La vie de Charrin fut bien remplie, et son bagage littéraire très abondant. Faute de place pour donner ici le catalogue complet de ses œuvres, nous citerons seulement :
En poésie : Le Cimetière de village ; Tobie, ou les Captifs de Ninive ; mes Loisirs (1808) ; le Passe-temps (1817) ; Album poétique (1825).
Théâtre, drames : Les deux Forteresses (Ambigu, 1806) ; la Forêt d'Édimbourg (Gaîté, 1806) ; le Rapt, imité de Calderon (Ambigu, 1815) ; Mahomet II (Porte-Saint-Martin, 1820) ; l'Égalité devant la loi (Panthéon, 1833) ; Vingt-quatre heures d'un Duelliste (1834) ; l'Oubli du Devoir (1850).
Comédies : Un Mariage à bout portant ; Lequel des deux ? en collaboration avec M. Lesguillon (1832) ; un Roi en vacances ; cette pièce, en trois actes et six tableaux, devait être jouée sur le théâtre de l'Ambigu le 12 septembre 1834, et a été défendue par la censure le même jour; une Fleur et un Soufflet (1851).
Le dernier recueil publié par Charrin, celui même que nous offrons en prix dans le concours annoncé, forme deux forts volumes, format Charpentier, de 370-340 pages, avec portrait, fac-similé et quatre gravures. Il contient les œuvres poétiques, c'est-à-dire les Chansons, les Fables, les poésies diverses, et cinq pièces de théâtre en vers. Paris, 1857, Amyot et Garnier frères.
Charrin habitait depuis 1844, à Écouen, une maison qu'un personnage éminent et fort riche avait fait bâtir en 1784 pour Adeline, de la Comédie italienne. C'est là qu'il est mort le 25 avril 1863. Il était membre de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon depuis 1854 ; de la Société littéraire et de la Société épicurienne de la même ville; président d'honneur du Caveau, et chevalier de la Légion d'honneur. Son portrait, peint par Gosse, en 1829, a été gravé par Forster.
Nous reproduisons ici les paroles prononcées sur sa tombe, le 27 avril dernier, par M. Protat, président actuel du Caveau :
Puisque c'est à moi qu'est échu le douloureux privilège d'adresser un suprême adieu, et de payer le tribut de nos regrets à celui qui dort ici son dernier sommeil, laissez-moi vous rappeler, avant que sa tombe ne soit fermée, et qu'il ne paraisse devant Dieu qui le jugera, ce qu'il fit ici-bas pendant sa longue carrière, si noblement et si honorablement remplie.
Né en 1784, Charrin avait été employé pendant plusieurs années au ministère de la guerre, qu'il quitta en 1819, pour se livrer exclusivement à la carrière des lettres. Auteur dramatique, chansonnier, fabuliste et romancier, il a su donner à toutes ses œuvres le cachet d'une remarquable originalité, et leur imprimer le sceau d'un talent incontestable, et elles lui ont fait obtenir la décoration de la Légion d'honneur.
Après avoir été membre du Caveau moderne et des Soupers de Momus, et brillé au premier rang dans cette pléiade de spirituels chansonniers, il fit partie, en 18525, du Caveau actuel, dont il était le doyen, et dont il devint bientôt et est demeuré jusqu'à sa mort le président d'honneur. Loin que l'âge eût affaibli ses facultés, nul n'avait plus que lui d'entrain et de verve juvénile, et nul surtout ne sut mieux joindre aux charmes de l'esprit les précieuses qualités du cœur. C'est à lui qu'on peut appliquer ces vers qu'il adressait, en 1810, à Laujon, dont il devait être plus tard la si fidèle image :
Permets que je dise encore
Au doyen des troubadours,
Chantre aimable à son aurore ;
Chantre aimable en ses vieux-jour,
Nourrisson
D'Apollon,
Ce dieu t'a transmis la lyre,
L'esprit, le joyeux délire,
La grâce d'Anacréon !
Et maintenant que ce passé n'est plus qu'un rêve, et qu'il n'en reste que le pieux souvenir gravé dans nos cœurs, adieu ! mon vieil ami ! Adieu, mon bon et excellent Charrin ! À cette heure suprême, quand tu pars le premier pour un monde meilleur, où nous nous retrouverons un jour, c'est une consolation pour nous de penser que tu nous laisses tes écrits pour modèles, ta vie pour exemple.
Adieu, Charrin, adieu!
Ces éloges ne sont pas exagérés. Charrin joint à une grande verve une forme nette et très accusée. Il excelle à saisir le ridicule et le peint au vif, mais les sentiments généreux trouvent en lui un interprète ardent et convaincu.
On peut citer, dans le genre comique, les Poissons d'avril, le Cancanier, À présent, l'Enfant de troupe, Autant vous entend à l'oreille, Mme Gazette ; dans le genre philosophique, les Sept péchés capitaux, Comme on tient un serment, Peut-être, Je ne sais pas l'âge que j'ai, les Ombres. Nous reproduirons, dans un prochain numéro, une chanson de Charrin, qui a eu dans son temps une grande vogue, et que nos lecteurs seront heureux de relire.
Quelques œuvres
En collaboration avec César de Proisy d'Eppe, Alexis Eymery, René Perrin et Tastu : Dictionnaire des girouettes ou Nos contemporains peints d'après eux-mêmes … par une société de girouettes…, Alexis Eymery éditeur, Paris 1815.
L'Enfant lyrique du Carnaval de 1816, publié par Ourry, contient la chanson de Charrin Les Amours d'un jeune Tambour. Elle est attribuée par erreur à M. Delorme.
Les Passe-Tems d'un momusien, ou Chansons et poésies de P.-J. Charrin,… 1817
Les soirées de famille. Tome 1, contes, nouvelles, traits historiques et anecdotes ; recueil philosophique, moral et divertissant 1817
Le recueil de Théophile-Marion Dumersan et Noël Ségur, Chansons nationales et populaires de France précédées d'une Histoire de la chanson française et accompagnées de notes historiques et littéraires , 17e édition, revue et augmentée, Garnier frères éditeur, Paris 1866, contient 12 chansons de Pierre-Joseph Charrin
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Jean Baptiste Claudot : Paysage Animé - XVIIIe siècle
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Jean Baptiste Claudot
Jean-Baptiste Claudot, dit Claudot de Nancy, né à Badonviller le 1
9 septembre 1733 et mort à Nancy le 27 décembre 1805, est un peintre et décorateur lorrain, puis français après 1766.
Biographie
Issu de la noblesse de robe, fils d'un avocat à la Cour souveraine de Lorraine, Jean-Baptiste-Charles Claudot fut élève de Jean Girardet et André Joly.
Il allie les paysages à la ruine antique, à l'image des peintres Vénitiens du xviie siècle.
Émule d'Hubert Robert, il diffuse son goût pour la ruine antique et les paysages mélancoliques. Il corrobore également au sentiment lorrain en peignant des villes telles Nancy, Lunéville, Bayon, Metz et Pont-à-Mousson.
C'est également l'un des premiers peintres français à effectuer sur demande des « portraits » de châteaux pour leur propriétaire, ceci principalement aux alentours de Nancy. Jusqu'alors cette tradition était plutôt anglaise.
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Arrestation de la famille royale (Thomas Falcon Marshall, 1854)
Jean-Baptiste Sauce, né le 4 mars 1755 à Varennes-en-Argonne et mort le 24 octobre 1825 à Saint-Mihiel, est une personnalité de la Révolution française.
Épicier-chandelier, il était, quoique peu instruit, estimé de ses compatriotes qui l’avaient nommé procureur-syndic de sa commune. En l’absence du maire, Robert-François George, député à l’Assemblée nationale, il était le premier magistrat de la commune qui comptait près de 1 300 habitants.
La nuit du 21 juin 1791
Dans ce fief du Pays d'Argonne, possession du prince de Condé, prince du sang, la journée du 21 juin 1791 a été marquée par des mouvements de troupes des hussards de Lauzun qui intriguent les villageois.
Vers 23h00, alors que le soir tombe, des villageois, prévenus par le maître de poste de Sainte Menehould Jean-Baptiste Drouet et son ami Jean-Chrysostome Guillaume, arrêtent de force la berline soupçonnée de transporter la famille royale. C'est en sa qualité de procureur-syndic, pour protéger les voyageurs de la vindicte des patriotes en attendant les ordres officiels que le citoyen Sauce accueille à son domicile la baronne de Korff et sa suite (en fait Louis XVI, sa famille et quelques fidèles) (épisode de la révolution que l'histoire retiendra sous le titre de "fuite à Varennes"). Il traite ses hôtes avec le respect dû à des voyageurs de passage mais face à l'incertitude de leur identité sans leur accorder les égards dus communément aux personnes de sang royal. Jean-Baptiste Sauce vérifie les passeports qui sont en règle (il s'agit de "vrais faux passeports") et s'apprête à laisser repartir la berline mais Jean-Baptiste Drouetl'en empêche.
Le juge Jacques Destez qui a vécu à Versailles, entre et ployant le genou, ému, s'écrie "Ah, Sire!". Le roi révèle alors son identité : " Eh bien oui, je suis le roi, voilà la reine et la famille royale. Je viens vivre parmi vous, dans le sein de mes enfants que je n'abandonne pas." Les présents sont émus, la grand-mère du procureur-syndic baise les mains du petit Dauphin et de Madame Royale avant de se retirer en pleurs dans sa chambre.
Tandis que sonne le tocsin, la foule est plus curieuse qu'aggressive. Les troupes en contact avec la population et abandonné par leurs officiers fraternisent avec les villageois.
Vers minuit et demi, le duc de Choiseul entre dans le village et fait stationner ses hommes devant la maison Sauce. Une certaine anarchie commence à s'installer d'autant plus que les villageois des communes avoisinantes se sont précipités à Varennes et assiègent la maison du procureur-syndic. Le roi souhaite repartir, ce qui lui est accordé mais la route étant dangereuse, il lui est suggéré d'attendre le petit matin ce que le roi accepte.
À trois heures, la reine, à bout de nerfs, demande à faire arrêter le tocsin. On s'empresse de la satisfaire.
Vers 5 heures et demie du matin, deux envoyés de l'assemblée nationale arrivent à Varennes, présentant les larmes aux yeux l'ordre d'arrêter la famille royale et de la reconduire à Paris. Le roi, posant la missive sur le lit où dorment ses enfants, dit à la reine : "Il n'y a plus de roi en France". La reine, d'un geste rageur, reprend le papier s'écriant "Je ne veux pas qu'il souille mes enfants". Un murmure réprobateur s'élève de la foule.
Certains fidèles de la monarchie proposent au roi de l'aider à fuir mais Louis XVI préfère attendre les troupes du marquis de Bouillé qui stationnent à Stenay.
À la reine qui espérait obtenir le soutien de madame Sauce, l'épicière répondit :
"Madame, vous vous souciez des intérêts de votre mari; souffrez que je me soucie des intérêts du mien".
Madame Elisabeth s'entend répondre par un ancien soldat habitant le village : "Je suis citoyen avant d'être sujet".
À 7 heures, les patriotes de Varenne incitent les envoyés de l'assemblée à ramener les fugitifs à Paris. Pour gagner du temps; le roi prend un copieux petit-déjeuner, espérant encore mais en vain l'arrivée des troupes de Bouillé.
À 8h00, ce 22 juin 1791, tandis que les officiers royalistes sont conduits à Verdun pour y être incarcérés, les voyageurs pénètrent dans la berline qui prend la route de Paris
Epilogue
Jean-Baptiste Sauce perd sa charge quand on apprend que Louis XVI lui a envoyé 20 000 livres en témoignage de reconnaissance pour le comportement respectueux envers la famille royale lors de cet épisode. Il quitte Varennes pour Saint-Mihiel,. Il est en mission à Gondrecourt-le-Château quand les troupes prussiennes (dont font partie certains émigrés exaltés) pénètrent dans la ville.
Les Prussiens souhaitent laver l'affront fait à la famille royale à Varennes en arrêtant Jean-Baptiste Sauce (Manifeste de Brunswick). Désirant avant tout protéger ses cinq enfants, madame Sauce s'enfuit mais tombe dans un puits. On l'en sort mais ses jambes sont fracturées. Elle meurt de ses blessures quelques jours plus tard.
Jean-Baptiste Sauce termine sa vie comme greffier en chef du tribunal de Saint-Mihiel, puis comme greffier de la cour de justice criminelle du département de la Meuse.
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Missions | - Rôle d'appui en cas d'accidents chimiques, bactériologiques ou radiologiques - Décontamination de personnes dans le cadre d'accident majeur mettant en cause des matières de nature NRBC |
Principaux matériels | - 1 groupe électrogène 10 kVA (intégré) - 1 chauffage d'air - 1 chauffe eau - 1 système de douchage - 3 réservoirs souples de 3000 l - 10 tenues de protection individuelle - 100 tenues de rhabillage - 100 couvertures de survie - 1 lot caisse à outils - Matériel de balisage |
Personnel | 3 hommes pour être opérationnel en 20 minutes |
CIS d'affectation | |
Observations | Nécessité d'avoir une surface au sol de 20m x 15m |
NRBC
Les risques NRBC (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques) sont des risques à danger élevé, ayant pour enjeu la vie des populations civiles ou des militaires.
Occurrence
Les risques NRBC sont liés à ceci:
à une pratique “non conventionnelle” des combats armés,
à l’utilisation d’armes avec capacités de contamination (terrorisme),
à un accident ou une catastrophe (transport de matières dangereuses).
Parade
Le plan gouvernemental NRBC et ses déclinaisons territoriales prévoient une réponse face à six situations identifiées:
la menace imminente
la découverte d'un engin NRBC ou de terroristes prêt à disséminer un agent RBC
la dissémination d'agent RBC sur des populations
la contamination de produit de consommation (eau, aliments, cosmétiques, produits de santé)
la contamination ou l'infection de végétaux ou d'animaux
l'apparition de symptôme dans la population
Ces planifications viennent en complément des dispositions ORSEC ainsi que des plans dit "métier", tels que l'annexe NRBC du plan blanc des établissements de santé et le plan blanc élargi au niveau départemental, qui permettent la mobilisation des établissements hospitaliers et prévoient les modalités de leur protection pour leur éviter toute contamination secondaire.
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Un fourgon mousse grande puissance (FMOGP) est un véhicule de lutte contre l'incendie utilisé par les pompiers en France. Il est équipé d'une citerne d'eau et d'émulseurs permettant de produire une mousse plus efficace que l'eau pour certains types d'incendies, notamment les feux d'hydrocarbures et industriels (plastiques, produits chimiques, etc.)
Équipement
Les fourgons mousse grande puissance (FMOGP) sont systématiquement équipés d'une citerne d'eau de plusieurs milliers de litres d'eau (jusqu'à 12 000 litres), d'un réservoir d'émulseur (de 1 500 litres à 7 500 litres) et de pompes pour l'eau et l'émulseur. Les FMOGP sont dotés de lances portatives, parfois à balayage automatique, et sont couramment équipés d'un (voire deux) canon à eau/mousse, positionné sur le toit. Certains modèles de FMOGP bénéficient d'un système d'auto-protection — par arrosage — contre le rayonnement des flammes (i. e. la chaleur à distance).
Les FMOGP sont également armés du matériel propre à la lutte contre l'incendie : appareil respiratoire isolant (ARI), tenues de pénétration au feu, tuyaux, divisions, etc.
Utilisation
En intervention, le FMOGP nécessite d'être alimenté en eau (généralement par le biais d'une borne d'incendie) ainsi qu'en émulseur, par exemple à l'aide d'un camion citerne grande capacité (CCGC) ou d'une cellule/berce émulseur (c'est-à-dire une citerne sous forme de conteneur), acheminée au moyen d'un véhicule porte-cellule. Entre deux et six hommes arment un FMOGP
La Brigade de sapeurs-pompiers de Paris a eu recours à deux des trois FMOGP dont elle dispose durant l'historique incendie de Notre-Dame de Paris en avril 2019
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1= A.R.I intégrés aux dossiers
2= Support de bouteilles d'air coulissant
3= Marchepied escamotable
4= Réserve d'émulseur (240 litres)
5= Pompe à régulation éléctrique de pression (2000 litres/min)
6= Marchepied pivotant
7= 2 coffres de 200 mètres de tuyaux de 110 mm
8= Coffres aspiraux
9= Echelle 3 plans
10= Tonne 1000 litres
11= Aspiraux latéraux
12= Cabine profonde avec toit surélevé
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