Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
08.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
La bataille d'Arras s'est déroulée le 21 mai 1940 durant la bataille de France entre les armées franco-britanniques et la Wehrmacht. Les Alliés rencontrèrent un succès mitigé.
La contre-attaque d'Arras était une tentative alliée de contrecarrer l'avancée allemande qui se dirigeait vers le nord de la France.
En mai 1940, pendant la première partie du Westfeldzug, l'armée allemande (Wehrmacht) avait envahi une partie du nord-est de la France. Le 18 mai, Cambrai tombe aux mains des Allemands ainsi que Saint-Quentin tandis que Péronne l'est bientôt, les restes de la 9e armée française et le général Giraudsont faits prisonniers par l'ennemi.
Le plan britannique dont l'idée d'origine germe lors de la conférence d'Ypres était donc d'effectuer une contre-attaque à partir d'Arras afin de retarder le Blitzkrieg des forces allemandes.
Ordre de bataille
Royaume-Uni :
5e division d'infanterie (5th Infantry Division) ;
50th Northumbrian Infantry Division ;
1re brigade de chars (1st Army Tank Brigade).
France :
60 chars de combat de la 3e division légère mécanique.
Reich allemand :
Régiment Grossdeutschland
SS-Totenkopf-Division (motorisée)
Déroulement de la bataille
Le 21 mai 1940, deux colonnes (nom de code Frankforce), composées de 58 Matilda Mark I, de 16 Matilda Mark II et de 14 chars légers Vickers MK VI, soutenus par 2 000 soldats avancèrent vers le sud d'Arras. Ils progressèrent rapidement rencontrant peu de résistance et en prenant un certain nombre de prisonniers de guerre allemands. Toutefois, ils se heurtèrent très vite à de l'artillerie lourde (8,8 cm Flaket obusiers 10,5 cm leFH18) et à de l'infanterie. L'avancée britannique fut donc stoppée au prix de lourdes pertes chez les Allemands.
Les Allemands en profitèrent pour lancer une offensive sur Arras mais furent stoppés par des blindés français de la 3e division légère mécanisée. Les forces françaises firent prisonniers de guerre environ 400 soldats allemands et détruisirent un certain nombre de chars allemands. La riposte française fut si féroce que le commandant en chef de la 7e Panzerdivision, Rommel, estima qu'il avait été attaqué par 5 divisions françaises.
Ce n'est qu'avec le soutien aérien de la Luftwaffe que Rommel arriva à repousser les blindés français dans la soirée du 21 mai.
Conséquences
Le succès de la contre-attaque française permit à l'armée française d'établir des lignes de défense à l'ouest de Dunkerque. Ainsi, les troupes allemandes arrêtèrent leur progression le 24 mai 1940 sur le fleuve Aa avant de progresser vers Dunkerque, ce qui permit de retarder leur Blitzkrieg de quelques jours.
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C'est la guerre mécanique qui a commencé le 10 mai. En l'air et sur la terre, l'engin mécanique - avion ou char - est l'élément principal de la force.
L'ennemi a remporté sur nous un avantage initial. Pourquoi ? Uniquement parce qu'il a plus tôt et plus complètement que nous mis à profit cette vérité.
Ses succès lui viennent de ses divisions blindées et de son aviation de bombardement, pas d'autre chose ! Eh bien ? nos succès de demain et notre victoire - oui ! notre victoire - nous viendront un jour de nos divisions cuirassées et de notre aviation d'attaque. Il y a des signes précurseurs de cette victoire mécanique de la France.
Le chef qui vous parle a l'honneur de commander une division cuirassée française. Cette division vient de durement combattre ; eh bien ! on peut dire très simplement, très gravement - sans nulle vantardise - que cette division a dominé le champ de bataille de la première à la dernière heure du combat.
Tous ceux qui y servent, général aussi bien que le plus simple de ses troupiers, ont retiré de cette expérience une confiance absolue dans la puissance d'un tel instrument.
C'est cela qu'il nous faut pour vaincre. Grâce à cela, nous avons déjà vaincu sur un point de la ligne. Grâce à cela, un jour, nous vaincrons sur toute la ligne.
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Marcel Ihler (Besançon, 12 août 1880-Paris, 14 avril 1975) est un général de corps d'armée français.
Fils d'un banquier, il est issu d'une vieille famille alsacienne originaire de Thann. Ses parents, Adolphe et Mélanie, née Amberger, ont quitté la ville à l'issue de la guerre de 1870. La famille Ihler était très connue à Thann, dont une rue porte le nom des Généraux Ihler, car deux de ses membres avaient fait parler d'eux pendant la Révolution Française : les frères Jean-Alexandre (1745-1805), général de division à l'Armée du Nord et surtout Louis Théobald (1756-1793), aide de camp du Maréchal Luckner et général de brigade, mort en héros au combat. Marcel était le cinquième enfant de la famille, et sa carrière militaire faisait écho à celle de son frère Charles (1868-1907), capitaine de Dragons, lui aussi mort en héros au Maroc et enterré en grande pompe à Besançon lors d'obsèques relayées dans toute la presse française.
Marcel Ihler épousa le 22 mai 1912 à Chambéry, Geneviève Marcelle Bourdon, ils ont eu cinq enfants entre 1913 et 1923 : Geneviève, Henri, Madeleine, Xavier et Bernard.
Marcel Ihler suit les cours de l'école Saint-Cyr, où il entre en 1899. Il termine ses études deux années plus tard, en 1901. Il débute sa carrière militaire au 24e Bataillon de Chasseurs à Pied, puis suit les cours de l’École supérieure de guerre en 1909-1911.
Il passe ensuite capitaine au 4e Bataillon de Chasseurs à Pied en septembre 1913.
Au début de la Première guerre mondiale, il est engagé en Lorraine et se distingue lors des combats. Il est blessé à la bataille de Morhange (1914) le 20 août, puis en Belgique le 11 novembre 1914. Détaché à la direction de l’infanterie en février 1915, il est nommé chef de bataillon en juillet 1917, puis chef d’état-major de la 62e Division d’Infanterie le 11 septembre de la même année, et conserve cet emploi jusqu'à la fin de la guerre.
Après la guerre, il fut d’abord envoyé en mission en Tchécoslovaquie à partir de février 1919, puis affecté à l’état-major particulier du maréchal Franchet d'Esperey le 23 septembre 1920. Il fut ensuite employé au 158eR.I. (septembre 1925) et fut promu lieutenant-colonel le 25 décembre de cette même année. Parmi ses fonctions, il occupa, entre autres, celle de membre de la commission d’organisation des régions fortifiées de Strasbourg (novembre 1927). Il retrouva l’état-major du maréchal Franchet d'Esperey le 15 juin 1929, auquel il est de nouveau attaché.
Il fut nommé colonel le 25 mars 1931, avant de devenir stagiaire au Centre des hautes études militaires de juillet 1931 à juillet 1932. Il devint général de brigade le 11 juin 1935. Après avoir commandé le 31e D.I. à Montpellier le 22 mars 1938, il fut promu général de division le 22 décembre 1938, tout en conservant son commandement.
Ihler fut mis à la tête du IXe Corps d’Armée lors de la Seconde guerre mondiale, le 21 mai 1940. La drôle de Guerre se termina le 10 mai 1940, date à laquelle l’Allemagne lança son offensive à l'ouest. Le généralissime Weygand constitua un front allant de la Somme à l’Aisne, afin de contenir l’avance allemande, notamment durant l’évacuation des troupes franco-britanniques à Dunkerque. Mais le front cède, les populations civiles étant contraintes à l'exode pendant que les Allemands arrivaient de partout. Le gouvernement se replia sur la Loire puis à Bordeaux.
Marcel Ihler quant à lui réussit à réunir à l’ouest de la Bresle la plus grande partie de son corps d’armée, et ce malgré la menace des engins blindés ennemis. Malheureusement, il est fait prisonnier le 12 juin 1940 par Rommel. Envoyé en Allemagne, il resta en captivité jusqu'au 11 mai 1945.
Jacques Méchin, Soixante jours qui ébranlèrent l'Occident 10 mai-10 juillet 1940, Paris, R. Laffont, coll. « Bouquins », 1981, 1029 p
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Discographie
Polydor
512278 : La Rue de la manutention
512572 : La Caissière du Grand Café
512573 : C'est Suzette - La Caissière du Grand Café
521863 : Les Deux Bègues - Chez le photographe (scènes comiques avec Riandres)
521864 : La Lecture à la caserne - La bicyclette (sketchs comiques avec Riandres)
521887 : Moi, je vais au cinéma
521940 : La Rue de la manutention
522012 : Folatrerie
522022 : Fibremol fait des fredaines
522101 : Cunégonde
522165 : Maintenant je sais c'que c'est - Quand ça me prend
522166 : Le Père la Puce
522246 : Aventure galante
522247 : Bridou au cinéma - A cause du bilboquet
522248 : Ne te plains pas
522316 : Les deux chasseurs - Antoine et Gustave (scènes marseillaises avec Andrex)
522461 : Ah! dis donc - Oh! Jules
522490 : La Leçon d'histoire
522703 : C'est la terreur de la pampa - C'est au rythme d'un tango
522731 : Le Coq du régiment - Quand on est de corvée
522732 : Agathe - Je suis l'homme qu'il vous faut
522788 : Représentation théâtrale - Terrible rencontre (sketchs avec Andrex)
522801 : Quand il y a d'l'amour - On m'a
524010 : La Leçon d'histoire (avec Andrex)
Odéon
166768 : Celle à qui je plais - Milliardaire
166803 : J'ai des tout petits besoins
166818 : C'est dans la ma-ma - Dans la flotte
166867 : Lui et moi
166869 : Tiens, voilà Lafleur -Valse de Rosalie
166876 : Quand on est obligeant - Faut tout prendre du bon côté
166961 : Mimile et Totor
166981 : Dites-lui mon amour
166983 : Ignace - La Java des petits galons
166984 : Redis-le-me (avec Marie Bizet)
Columbia
DF 1914 : Ignace - Lequel des deux ?
DF 1915 : Quelle famille
DF 1916 : Pour être ordonnance
DF 2034 : Célestine - C'est la fête à Tante Aurore
DF 2088 : C'est toujours comme ça - Les Dégourdis
DF 2119 : Je vais au zoo avec Zizi
DF 2220 : Je te veux (avec Germaine Duclos)
DF 2343 : Scène de l'épicerie
DF 2347 : Barnabé - Ne me dis plus « tu »
DF 2367 : L'Amour incompris
DF 2515 : Si je jouais du trombone - Un dur, un vrai, un tatoué
DF 2525 : Ma créole - Ernestito
DF 2526 : C'est comme ça à Calcutta - Je suis une petite nature
DF 2601 : Pourquoi tu me vexes, Victor ? - La Chanson du forçat
DF 2602 : T'aimer une demi journée - Politesse
DF 2616 : Félicie aussi
DF 2759 : Hector - Moi, je mâche du chewing-gum
DF 2830 : Je connais des baisers - J'aim' toutes les femmes
DF 2874 : Les Jours sans
DF 2905 : On m'appelle Simplet
DF 3129 : Un... deux... trois - Faut pas bouder Bouddha
DF 3138 : Je n'peux pas m'expliquer - Faut pas bouder Bouddha
DF 3139 : Faut pas bouder Bouddha ! - Un...deux...trois
DF 3162 : J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cococo cocococotte
DF 3163 : Je suis irrésistible - O mio amore
DF 3276 : "Ignace (face A)1
Decca
MB 8200 : Alors ils l'ont fait - C'est un dur
MB 8201 : Nono et Nana - Sur le bout de la banquette
8202 : La caissière du grand café - Elle a de la barbe
8203 : Mon cœur saigne pour toi - Irma la voyante
MB 20960 : Le Schpountz
MB 20755 : Extraordinaire - De bas en haut
MF 168 : Je suis marqué par le destin
MF 170 : Dans la brousse
36025 : Veillée mortuaire - Échangerais 5 pièces
36030 : Timidité
Fumière
Ah c'que t'es bath avec ton petit chapeau - Va pleurer dans ta cour
Rythme
C2 144 R : Si j'étais papillon - Oui mais quand on n'a pas le sou
C2 145 R : Adrien - Voulez-vous m'aimer...
Odéon
MOE 2183 : Ignace : La Java des p'tits galons - Redis-le-me - Pour être ordonnance - Lequel des deux (avec M. Bizet) - La Mexicana (avec Andrex)
Decca
1955:
455.543 : Lettres de mon moulin : La Chèvre de monsieur Seguin
455.544 : Lettres de mon moulin : Le Curé de Cucugnan
455.572 : Monsieur Badin - La Lettre chargée
455.583 : Lettres de mon moulin : Les Vieux ;
455.585 : Jeux de mots, jeux de poètes
1956:
455.611 : Lettres de mon moulin : Les Trois Messes basses
455.617 : L'Innocent - Ma femme fait du judo
455.618 : Honoré de Marseille : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir, quel travail - Oh ! Honoré
1957:
455.622 : Fables de La Fontaine
455.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre
455.624 : Ce bon curé d'Aulan
455638 : Lettres de mon moulin : Le Secret de maître Cornille
1958:
455.617 : L' Innocent - Ma femme fait du judo
455.702 : Fernandel dit Robert Lamoureux : Éloge de la fatigue - Passé simple - Merci maman - Enfantillage
460.543 : La Chèvre de monsieur Seguin
460.544 : Le Curé de Cucugnan
460.572 : La Lettre chargée - Monsieur Badin
460.583 : Les Vieux
460.585 : Jeux de mots, jeux de poètes
460.611 : Les Trois messes basses
460.618 : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir ! quel travail ! - Oh ! Honoré
460.622 : Fables de La Fontaine : Le Loup et l'Agneau - La Cigale et la Fourmi - Le Lièvre et la Tortue - Le Savetier et le Financier - Le Corbeau et le Renard - Le Loup et le Chien - Le Lion et le Moucheron
460.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre
460.638 : Le Secret de maître Cornille
460.677 : L' Innocent - Ma femme fait du judo
1959:
460.699 : Lettres de mon moulin : Les Vieux (Les Étoiles ?)
460.706 : En vrac
460.721 : Noël en Provence : Noël - Crèche - Ma Provence et les santons - Ma Provence
1960:
460.725 : Gribiche
460.733 : L'Arlésienne
1961:
460.738 : Un bouquet de chansons : J'aurais voulu - Ma Gretchen de München - Ah ! le tango corse
460.748 : Fernandel chante pour les enfants : Les Petits Chatons - Le Petit Âne gris - Grenouillette - Frisepoulet
1962:
460.750 : Ne frotte pas, François - La Chanson du cabanon - Oh ! Ma quique - Entre donc, fada
1963:
460.753 : L' Accent provençal - Elle n' est pas jolie - La Saison des petits pois - Le Tango d'amour
460.755 : Tangos : Le Tango corse - C'est du gâteau - Le Tango d'amour - Je suis marqué par le destin
460.772 : Fais-moi des bleus - Les gens riaient - Partir pour revenir - Tango du bistouri
460.804 : Le Cul du berger - La Bouillabaisse - L'Accent - Aujourd'hui peut-être
1964:
460.858 : La Communion du village - Le Linot aveugle
460.886 : Je fais ma valise - Les Moustaches de Thomas - Moi z'et mon chien - C'est un dur
460.887 : Ce que j' ai - C'est du gâteau - Les gens riaient - Le Tango corse
1966:
460.982 : Il en est - Bagnoles, pépées, pépettes - Le Torero fatigué - Si je puis m' exprimer ainsi
460.983 : Quand il pleut à St-Tropez - Les Vieux Villages de Provence - Ma jolie cigale - Le Mistral
460.998 : Histoires provencales : Le Papé - La Liste
461.000 : Contes de Provence : Dans notre midi - Les Petits Métiers de Provence
1968:
461.154 : Palmarès de Fernandel : Les Moustaches de Thomas - Les gens riaient - Il en est - Si je puis m'exprimer ainsi
461.178 : L'Âne qui avait l'accent - La Fille de Monsieur Seguin - Pervenche
1969:
461.193 : Le Menteur - Le Retour - L'Anis
461.196 : Le Tango corse - La Bouillabaise - La Chanson du cabanon - Le Cul du berger
79.562 : Si tu touches à mon oiseau - Ah! si tu étais une femme!
Polydor
530.019 : Fernandel et Andrex : Au marché central - Les Deux Déménageurs - La Leçon d'histoire - La Lecture à la caserne - Olive et le Parisien - Les Deux Bègues - Chez le photographe
Decca
133.022 : Lettres de mon moulin (1) : Le Curé de Cucugnan - La Chèvre de monsieur Seguin
133.023 : Lettres de mon moulin (2) : Les Vieux - Les Trois Messes basses (2 pochettes)
133.045 : Le Petit Monde de don Camillo
163.144 : Le Retour de don Camillo
133.145 : Lettres de mon moulin (3) : Le Secret de maître Cornille - Les Étoiles
133.146 : Lettres de mon moulin (4) : L'Arlésienne - La Mule du pape
133.147 : Contes du lundi : La Dernière Classe - La Défense de Tarascon
133.506 : Honoré de Marseille : Honoré part à la pêche - On en fait une - Honoré maître tailleur - Le Tram de la mer - Les Petits Métiers - À la foire aux santons
133.516 : Contes et nouvelles de Provence (1) : Les Haricots de Pitalugue - Communion au village - Le Linot aveugle
133.517 : Contes et nouvelles de Provence (2): L'Âne de Nazaire - Pessègue et Tigassou - Mon ami Naz - La Clef de l'oncle
133.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire
133.522 : Un client sérieux - La Lettre chargée
133.523 : La Paix chez soi - Monsieur Badin
133.628 : Au soleil du midi (L'Accent)
133.713 : Lettres de mon moulin (5) : La Diligence de Beaucaire - Le Sous-préfet aux champs - L'Élixir du révérend père Gaucher
163.144 : Le Retour de don Camillo
163.749 : Le Médecin malgré lui
163.587 : Le Curé de Cucugnan - Ce bon curé d'Aulan
163.790 : Tartarin de Tarascon
133.834 : Les Chansons du comique-troupier : On r'vient - Ça que j'ai - Au fond du square - Ça fait plaisir - Suzon la blanchisseuse - Moi-z'et mon chien - Son parapluie - Avec l'ami Bidasse
133.835 : Les Monologues de Louis Bousquet : J'suis l'ordonnance - Ah! Mince alors - Eh, ben mon vieux - L'as-tu dit ou l'as-tu pas dit - Faut bien rire un peu - Il a des galons - Balaye la chambre - Y'a rien d'plus sérieux - Il a de l'argent - S'i'y avait pas les soldats
133.843 : Ce bon frère Boniface - Saint Antoine
133.844 : Ce bon curé d'Aulan
133.845 : Le Retour des cloches - Noël - L'Innocent - L'Hôpital - Les Danseurs de Jonquières - L'Accent
133.846 : Le Joueur
133.873 : Pierre et le Loup
35.500 : Réédition (?)
133.885 : Le Schpountz
133.912 : Fernandel dans son tour de chant : C'est du gâteau - Ma femme fait du judo - Le Papa de Pepa - L'Innocent - Je suis marqué par le destin - Félicie aussi - Le Beau Raccommodeur - Nono et Nana
133.927 : Histoires marseillaises
133.952 : Lettres de mon moulin : Nostalgie de caserne - En Camargue : Le Départ - La Cabane - Le Rouge et le Noir - Le Vaccares
133.954 : La Création du monde
133.958 : Cocagne
133.959 : Les Succès du comique-troupier (2) : J'suis content, content - Maintenant que j'suis soldat - Ma bouffarde - Elle boîte - Agathe - Si je pouvais en faire autant
133.978 : Quand un livreur : Le Bar du marché - Naïs
134.076 : Contes de Provence : Le Foin du père Antoine - Un trésor est caché dedans - Les Petites Vieilles - La fortune vient en dormant
Columbia
FP 1155 : Les Belles Années du music-hall : Un dur, un vrai, un tatoué - On m'appelle Simplet - La Fille du teinturier - Ne me dis plus « tu » - Barnabé - Elle a tout ça - Félicie aussi - Ignace
Decca
133.144 : Le Retour de don Camillo
163.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire
FMT 133522 : Un client sérieux - la Lettre chargée
163.522 : Un client sérieux - la Lettre chargée
163.749 : Le Médecin malgré lui
163.790 : Tartarin de Tarascon
163.885 : Le Schpountz
105.034 : Réédition
163.999 : Tartarin sur les Alpes
164.041 : Histoires méchantes de Pierre Doris
100.074 : Le Petit Monde de don Camillo
164.050 : Le Petit Monde de don Camillo
30514 : Réédition
40.195 : Ses chansons les plus célèbres
100.049/50 : Ignace (l'intégrale)
100.058 : Le Palmarès de Fernandel
100.076 : Le 2e Palmarès de Fernandel
100.086 : Les Succès du comique-troupier
164.112 : Réédition
100.090 : Le 3e Palmarès de Fernandel
110.007 : Ma Provence à moi
110.015 : 13 Sketchs hilarants
115.017-22 : Lettres de mon moulin (volumes 1 à 6)
100023/6 : Lettres de mon moulin
115.024 : Ignace
154 188 : L'Agnelet de la crèche
164 082 : Lettres de mon moulin
SSL 40211/16 : Lettres de mon moulin (coffret 6 disques)
40236/7 : Mam'zelle Nitouche
99050/52 : Les Disques d'or (coffret 3 disques)
40.218 : Interdit aux moins de 18 ans
Impact
6886 144 : La Caissière du Grand Café
Emi
178 15408/9 : Félicie aussi
Columbia
C 054 15284 : Du caf'conc' au music-hall
Véga / France Loisirs
340.004 : Fables de La Fontaine
Fontana
826 524 : La Berdouillette
115.051/52 : Fernandel, c'est moi
CMF
18/19 : La Fille du puisatier
Carrère
67.757 : Ignace (album 2 disques)
Decca
EPI 80 : Ali Baba
EPI 82 : Aladin et la Lampe merveilleuse
Vogue EPL 7590 : Le Grand Chef
Bel Air 211 132 : La Cuisine au beurre (EP)
Bel Air 211 199 : Relaxe-toi, chérie (EP)
Columbia 1752 : La Bourse et la Vie (SP)
Polygram 836 945 - 2 : Expression (1989) : La Caissière du Grand Café - La Java du soldat - La Fossette de Lisette - Comment qu'ça s'fait ? - Agathe - Idylle bretonne - Le Coq du régiment - Folâtrerie - Pour quelle raison - C'est beau la nature - Je suis l'homme qu'il vous faut - Tous les trois - La Berdouillette - J'étais bien servi - Elle disait non - Biniou et Cornemuse - Il a du piston - Si Marie voulait.
EMI 795738-2 : L'Accent du soleil (1990) : Ignace - Quelle famille - Redis-le-me - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Ne me dis plus « tu » - Le Schpountz - Barnabé - Un dur, un vrai, un tatoué - L'Amour incompris - C'est comme ça à Calcutta - Je me mens - Félicie aussi - Francine - On n'est jamais seul - Idylle à Bois-Le-Roi - Hector - Je connais des baisers - On m'appelle Simplet - Attente - Le Papa de Pépa - La Fille du teinturier - Elle a tout ça - J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cocorico, cocoricotte - Je suis irrésistible - O mio amore - Je n'peux pas m'expliquer - Un...deux...trois - J'ai un beau chapeau - La Chèvre de monsieur Seguin - Le Curé de Cucugnan.
Orphée 302.615 WM 321 : Ciné-stars (1993) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Le Papa de Pépa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - Ignace.
Orphée 302.323 : L'Âge d'or de la chanson française (1994) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Ernestito - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - Maintenant je sais c'que c'est - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Dites-lui mon amour - Le Papa de Pepa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - J'aime toutes les femmes - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - T'aimer une demi-journée - Ignace.
Atlas CD REF : Inoubliable Fernandel (1995) : Félicie aussi - Ignace - Quelle famille - L'Amour incompris - Barnabé - Je suis une petite nature - Ernestito - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Un dur, un vrai, un tatoué - C'est toujours comme ça - Lequel des deux - Redis-le me - Si j'osais - C'est la fête à Tante Aurore - C'est une voleuse d'âme - Ne me dis plus « tu » - Maintenant, je sais ce que c'est - Quand ça me prend - C'est comme ça à Calcutta - Idylle à Bois-Le-Roi.
Disky FSI 646762 : Les Légendes d'or (2001) : Félicie aussi - Ignace - Hector - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - À l'infirmerie - La Fille du teinturier - Quelle famille - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Idylle à Bois-Le-Roi - Francine - On n'est jamais seul - Je connais des baisers - L'Amour incompris.
45 tours (E.P.)
26174 : Le Schpountz (avec Henri Vilbert)
27001 : La Chèvre de monsieur Seguin
27002 : Le Curé de Cucugnan
27003 : Les Vieux
27004 : Les Trois Messes basses
27005 : Le Secret de maître Cornille
27006 : Le Sous-préfet aux champs
27007 : Les Étoiles
27012 : Les Fables de La Fontaine
210028: Le Tango corse
210061: Les Moustaches de Thomas
113016: Ignace
Ressorties CD
RTR 222 : Collection rétro (1999) : Ignace - Redis-le me - Barnabé - Ne me dis plus tu - Je vais au zoo avec Zizi - Un homme - La Caissière du Grand Café - Hector - Un dur, un vrai, un tatoué - Félicie aussi - L'Amour incompris - Comment qu'ça s'fait ? - Les Dégourdis - C'est comme ça à Calcutta - Pour que vous m'eussiez dit « oui » - On m'appelle Simplet - Le Papa de Pepa - La Fille du teinturier - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Elle a tout ça.
Radio France K 1633: Radioscopie (enregistrée le 19 mars 1969)
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Longs-métrages
1931 : Le Blanc et le Noir de Robert Florey : Le groom vierge
1931 : Bric à Brac et Compagnie : Fernand
1931 : On purge bébé de Jean Renoir : Le cousin Horace Truchet
1931 : Paris Béguin d'Augusto Genina : Ficelle, un petit truand
1931 : Cœur de lilas d'Anatole Litvak : Le garçon d'honneur
1931 : Le Rosier de Madame Husson de Bernard Deschamp : Isidore, le rosier
1932 : Pas de femmes de Mario Bonnard : Casimir
1932 : Un homme sans nom de Gustav Ucicky : Julot
1932 : Les Gaîtés de l'escadron de Maurice Tourneur : Le soldat Vanderague, le brimé
1932 : le Jugement de minuit (ou Le Vengeur) d'Alexandre Esway : Sam Hackitt
1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage : Le soldat Médard
1933 : L'Ordonnance de Victor Tourjansky : Étienne
1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra : Eloi, le chauffeur
1933 : La Garnison amoureuse de Max de Vaucorbeil : Le deuxième classe Frédéric
1933 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Méchelet, le camarade d'Adémaï
1933 : La Porteuse de pain de René Sti : Billenbuis, un boulanger
1934 : Une nuit de folies de Maurice Cammage : Fernand, le barman
1934 : Le Chéri de sa concierge de Giuseppe Guarino : Eugène Crochard
1934 : L'Hôtel du libre échange de Marc Allégret : Boulot, le garçon d'étage
1934 : Le Train de 8 heures 47 d'Henry Wulschleger : Le cavalier Croquebol
1934 : Angèle de Marcel Pagnol : Saturnin, le valet de ferme
1934 : Les Bleus de la marine de Maurice Cammage : Lafraise, un marin du "Victorieux"
1934 : Le Cavalier Lafleur de Pierre-Jean Ducis : Fernand Gaëtan Lafleur, le réserviste
1935 : Ferdinand le noceur de René Sti : Fernand Piat, préparateur en pharmacie
1935 : Jim la Houlette d'André Berthomieu : Jacques Moluchet, écrivain "nègre"
1935 : Les Gaietés de la finance (ou Bengali VII) de Jack Forrester : Le banquier Marivol - Le tailleur Lambinet
1936 : Un de la légion de Christian-Jaque : Fernand Esculape Siméon Espitalion
1937 : Josette de Christian-Jaque : Albert Durandal
1937 : François 1er (ou Les Amours de la Ferronnière) de Christian-Jaque : Honorin, régisseur de théâtre - Honorin des Meldeuses
1937 : Les Dégourdis de la 11e de Christian-Jaque : L'ordonnace Patard, le premier dégourdi
1937 : Ignace de Pierre Colombier : Ignace Boitaclou, jeune paysan incorporé
1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : Fabien Coutissol, le coiffeur
1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier : Fernand, garçon de café
1937 : Regain (ou Arsule) de Marcel Pagnol : Urbain Gédémus, le rémouleur
1938 : Hercule (ou L'Incorruptible) d'Alexandre Esway : Hercule Maffre, pêcheur provençal, héritant d'un grand journal
1938 : Le Schpountz (ou La Fausse vocation) de Marcel Pagnol : Irénée Fabre, commis-épicier
1938 : Barnabé d'Alexander Esway : Barnabé, flûtiste occasionnel
1938 : Ernest le rebelle de Christian-Jaque : Ernest Pic, steward accordéoniste à bord d'un navire
1938 : Tricoche et Cacolet de Pierre Colombier : Tricoche, détective privé
1939 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage : Armand Lavarède, le cousin de Mr Richard
1939 : Raphaël le tatoué (ou C'était moi) de Christian-Jaque : Modeste Manosque, veilleur de nuit alias "Raphaël"
1939 : Berlingot et Compagnie de Fernand Rivers : François, marchand de berlingots
1939 : Fric-Frac de Maurice Lehmann : Marcel, l'employé de la bijouterie
1939 : L'Héritier des Mondésir (ou C'est un mystère) d'Albert Valentin : Bien-Aimé, le facteur - Le baron de Mondésir et ses aïeux
1940 : Monsieur Hector (ou Le Nègre du Negresco) de Maurice Cammage : Hector, le valet de chambre
1940 : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol : Félipe Rambert, l'assistant de Pascal
1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin : Le berger
1941 : Un chapeau de paille d’Italie de Maurice Cammage : Fadinard, le jeune marié
1941 : L'Acrobate de Jean Boyer : Ernest Sauce, maître d'hôtel
1941 : Le Club des soupirants de Maurice Gleize : Antoine Valoisir, chasseur de papillons
1942 : Les Petits Riens de Raymond Leboursier : Mr Astier
1942 : Simplet de Fernandel: Simplet, le "fada" de Miéjour
1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer : Auguste, dit "Guste", pêcheur provençal
1942 : Ne le criez pas sur les toits de Jacques Daniel-Norman : Vincent Fleuret, préparateur du professeur Léonard
1943 : Une vie de chien (ou Médor) de Maurice Cammage : Gustave Bourdillon, professeur dans un institut
1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : Antonin
1943 : Adrien de Fernandel: Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier
1945 : Le Mystère Saint-Val de René Le Hénaff : Désiré Henri Le Sec, détective
1945 : Naïs de Marcel Pagnol et Raymond Leboursier : Toine, l'ouvrier agricole bossu
1946 : Les Gueux au paradis de René Le Hénaff : Pons, un joyeux drille
1946 : L'Aventure de Cabassou de Gilles Grangier : Marius Cabassou, architecte
1946 : Pétrus de Marc Allégret : Pétrus, photographe
1946 : Cœur de coq (ou Affaires de cœur) de Maurice Cloche : Tulipe Barbaroux, ouvrier imprimeur
1948 : Parade du rire de Roger Verdier
1948 : Émile l'Africain de Robert Vernay : Émile Boulard, accessoiriste
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : Martial Gonfaron, aboyeur à la salle des ventes de Cassis
1948 : L'Armoire volante de Carlo Rim : Alfred Puc, percepteur
1949 : L'Héroïque Monsieur Boniface de Maurice Labro : Mr Boniface, étalagiste
1949 : On demande un assassin de Ernst Neubach : Bob Laurent, le fils de famille
1950 : Casimir de Richard Pottier : Casimir, représentant en aspirateurs
1950 : Meurtres de Richard Pottier : Noël Annequin, paysan et mari d'Isabelle
1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry : Fortuné Richard, clochard
1950 : Uniformes et grandes manœuvres de René Le Hénaff : Luc, portier du "Miramar"
1951 : Topaze de Marcel Pagnol : Albert Topaze, professeur à l'institution Muche
1951 : Boniface somnambule de Maurice Labro : Victor Boniface, détective dans un grand magasin
1951 : Je suis de la revue (Botta e riposta) de Mario Soldati : Fernand
1951 : Adhémar ou le jouet de la fatalité de Fernandel : Adhémar Pomme, ordonnateur de pompes funèbres, garde malade, souffleur...
1951 : L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara : Le moine
1951 : La Table-aux-crevés d'Henri Verneuil : Urbain Coindet, paysan et conseiller municipal
1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé
1952 : Coiffeur pour dames de Jean Boyer : Marius, dit "Mario", coiffeur pour dames
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : Le docteur Charles Pellegrin
1953 : Le Boulanger de Valorgue d'Henri Verneuil : Félicien Hébrard, boulanger
1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé
1953 : Carnaval (ou Dardamelle) d'Henri Verneuil : Dardamelle, l'architecte
1953 : L'Ennemi public numéro un d'Henri Verneuil : Joé Calvet, l'américain myope
1954 : Mam'zelle Nitouche (Santarellina) d'Yves Allégret : Célestin Floridor, professeur de musique
1954 : Le Mouton à cinq pattes d'Henri Verneuil : Édouard Saint-Forget, le père - Alain, le fils esthéticien - Désiré, le fils laveur de vitres - Étienne, le fils loup de mer - Bernard, le fils journaliste - Charles, le fils curé
1954 : Ali Baba et les quarante voleurs de Jacques Becker : Ali Baba, le serviteur de Cassim
1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier : Fernand "Noël" Sarrazin, patron nougatier
1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone : Don Camillo, le curé
1956 : Le Couturier de ces dames de Jean Boyer : Fernand Vignard, couturier pour dames
1956 : Don Juan (El amor de Don Juan) de John Berry : Sganarelle, le valet de Don Juan
1956 : Honoré de Marseille de Maurice Regamey : Protis, le guerrier grec, Honorius, le romain et Honoré
1957 : Sous le ciel de Provence de Mario Soldati : Paul Verdier, représentant en chocolat
1957 : L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier : Albert Constantin, clarinettiste
1957 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (Around the World in Eighty Days) de Michael Anderson : Le cocher de fiacre à Paris
1957 : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer : Sénéchal, comédien d'une troupe théâtrale
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Baptistin Lachoux, dit "Tistin", chômeur
1958 : À Paris tous les deux (Paris Holiday) de Gerd Oswald : Fernydel, l'artiste français
1958 : La loi, c'est la loi de Christian-Jaque : Ferdinand Pastorelli, douanier français
1958 : La Vie à deux de Clément Duhour : Marcel Caboufigue, mari de Marguerite
1958 : Les Vignes du seigneur de Jean Boyer : Henri Levrier, l'ami de la famille
1959 : Le Confident de ces dames de Jean Boyer : Guiliano Goberti, vétérinaire
1959 : Le Grand Chef d'Henri Verneuil : Antoine Venturen, employé d'une station-service
1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : Charles Bailly, prisonnier de guerre
Années 1960 et 70
1960 : Crésus de Jean Giono : Jules, le berger de Provence
1960 : Le Caïd de Bernard Borderie : Justin Migonet, professeur de philosophie
1961 : Cocagne de Maurice Cloche : Marc- Antoine, chauffeur de benne de nettoiement
1961 : Dynamite Jack de Jean Bastia : Antoine Espérendieu, collecteur d'impôts - Dynamite Jack, le bandit
1961 : Don Camillo Monseigneur de Carmine Gallone : Don Camillo, prêtre
1961 : Le Jugement dernier (Il giudizio universale) de Vittorio De Sica : Le veuf
1962 : L'assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon : Albert Rimoldi, timide employé de banque
1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier : L'homme qui se prend pour Dieu
1963 : En avant la musique de Georges Bianchi : Attilio Capellaro, aubergiste
1963 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier : Guillaume Dodut, chef de gare de Puget-sur-Var
1963 : Blague dans le coin de Maurice Labro : Jeff Burlington, le comique
1963 : Le Bon roi Dagobert de Pierre Chevalier : M. Pelletan et le roi Dagobert
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier : Fernand Jouvin, prisonnier de guerre
1964 : Relaxe-toi chérie de Jean Boyer : François Faustin
1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier : Adolphe Lartigue, le père d'Antoine
1965 : Don Camillo en Russie de Luigi Comencini : Don Camillo, prêtre
1966 : La Bourse et la Vie de Jean-Pierre Mocky : Charles Migue, un collègue de Pelepan
1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière : Monsieur Quantin, fermier Jurassien
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier : Armand Favrot, alias "Monsieur Jo", contrebandier
1970 : Heureux qui comme Ulysse d'Henri Colpi : Antonin, modeste garçon de ferme
1970 : Don Camillo et ses contestataires de Christian-Jaque : Don Camillo, prêtre - (Film inachevé)
À noter
Huit de ses films ont été colorisés (soit pour la télévision, soit pour des sorties VHS) : Les Rois du sport (1937), L'Auberge rouge (1951), Le Boulanger de Valorgue (1952), Le Couturier de ces dames (1956), Sénéchal le magnifique (1957), Le Grand Chef (1959), La Vache et le Prisonnier (1959) qui fût le premier film français traité par procédé électronique et La Cuisine au beurre (1963).
À noter également que Mam'zelle Nitouche (1954), Ali Baba et les Quarante voleurs (1954), Don Juan (1956), Sous le ciel de Provence (1957), Honoré de Marseille (1956), Le tour du monde en 80 jours (1957), A Paris tous les deux (1958), Dynamite Jack (1961), La Bourse et la vie (1966), Le Voyage du père (1966), L'Homme à la Buick (1968) et Heureux qui comme Ulysse (1970) ont été tournés directement en couleur (Eastmancolor où Technicolor).
Courts-métrages
1930 : La Meilleure Bobonne (ou Les 4 Jambes) de Marc Allégret et Claude Heymann : Lucien Pivoine
1930 : J'ai quelque chose à vous dire de Marc Allégret : Pierre Deneige, l'amant
1931 : Attaque nocturne de Marc Allégret et Jean de Marguenat : Le commissaire
1931 : La Fine Combine d'André Chotin : Joseph, le valet de chambre
1931 : Bric-a-brac et compagnie d'André Chotin : Fernand
1931 : Vive la classe (ou Les gaietés de l'escouade) de Maurice Cammage : Moussin
1931 : Pas un mot à ma femme d'André Chotin : Jules
1931 : Une brune piquante (ou La femme à barbe) de Serge de Poligny
1932 : Quand tu nous tiens, amour de Maurice Cammage
1932 : La Terreur de la Pampa de Maurice Cammage : Bill Forster, plongeur à Hollywood
1932 : Ordonnance malgré lui de Maurice Cammage : Alfred Leneveux, chauffeur du colonel
1932 : Un beau jour de noces de Maurice Cammage : Gustave Dupied, le marié
1932 : Comme une carpe (ou Le muet de Marseille) de Claude Heymann : Chatelard, le mari volage
1932 : Par habitude de Maurice Cammage : Valentin Bourgeasse, l'homme qui fait vœu d'ivresse
1932 : Restez dîner (ou Maruche) de Robert Péguy : Maruche, un ami de Blondel
1932 : La Claque de Robert Péguy
1932 : Cunégonde - Chanson filmée
1932 : Elle disait non - Chanson filmée
1933 : Ça colle de Christian-Jaque
1933 : Lidoire de Maurice Tourneur : Le cavalier Lidoire
1933: La Veine d'Anatole (ou Le Gros Lot) de Maurice Cammage
1943 : Guignol, marionnette de France de Maurice Cammage - Commentaire et présentation uniquement
1946 : Comédiens ambulants de Jean Canolle
1947 : 20 minutes de Fou Rire (ou Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé - Chansons filmées : "Irma la Voyante", "La Caissière du grand café", "Elle a de la barbe" et "Attente"
1947 : Irma la voyante de Antoine Toé : La voyante et un client
1947 : Escale au soleil d'Henri Verneuil : Le guide qui présente et commente le film
1950 : La Nuit des étoiles de Louis Fehr-Lutz - Participation au bal des petits lits blancs de Monte-Carlo
1950 : La Chèvre de Monsieur Seguin de Francis Gir - Commentaire du film
1956 : L'Art d'être papa (ou Le téléphone) de Maurice Regamey
1962 : Visages de Paris de Dominique Nohain
1969 : Tel est Franck de Jean-Paul Sassy (26 min) - Contient une chanson en duo avec son fils, sur l'amour
Publicités
Fernandel tourna également quelques publicités cinématographiques :
En 1938 pour le tabac de Virginie Week-end (2 minutes)
En 1945 pour vanter le cinéma dans le cadre d'une tombola (1 minute)
En 1965 avec Le discours au gâteau d'anniversaire pour l'apéritif Dubonnet (30 secondes)
Il participa aussi à un documentaire sur la publicité de 600 mètres "Nul bien sans peine" réalisé par Robert Lefèvre à la gloire de Paul Ricard, où il raconte la saga du père des alcools sur un commentaire de Jean Desailly, avec Mireille Darc.
Télévision
1966 : Paris ist eine Reise wert, téléfilm de Paul Martin : Un détective
1967 : L'Amateur ou S.O.S. Fernand série télévisée en 7 épisodes de 26 min : Fernand
Le Somnambule de Jean-Pierre Decourt
La Valise de Jean-Pierre Decourt
Le Sculpteur de Maurice Delbez
La Cleptomane de Louis Grospierre
Le Coup de fil de Jacques Pinoteau
La Princesse russe de Maurice Delbez
La Vicomtesse de Quentin Lawrence
1968 : Una Tranquilla Villeggiatura série TV de 7 épisodes réalisée par Camillo Mastrocinque pour la RAI
L'habit (Il frac)
L'hypnotiseur (A me gli occhi)
Le masseur (La bomba)
Simple coicidence
Terreur au château (Terrore al castello)
Nuit de noce (La notte di noze)
Une tranquille villégiature (Una tranquilla villegiatura)
1969 : Freddy, pièce de Robert Thomas réalisée pour la télévision par Igor Barrère et Alexandre Tarta : Freddy, le clown
Hommages
De 1975 à 1999, l'imitateur André Aubert devint le petit curé de campagne provençal Don Patillo dans les publicités télévisées pour les pâtes Panzani, et écrira même un livre à leur sujet en 1997 (Le Cherche midi).
À partir de 2007, des extraits en noir et blanc d'Honoré de Marseille servent à promouvoir l'huile d'olive Pugetdans des publicités à la télévision.
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Dans les années 1950, il retrouve le succès avec des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker ainsi que La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959. Il réalise également Adhémar ou le Jouet de la fatalité, en 1951, sur un scénario de Sacha Guitry.
Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi, dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent à une lutte d'influence feutrée ; son interprétation bon enfant, en ces temps de guerre froide, assoit sa notoriété. Il tournera six films en tout : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison du cancer qui va l'emporter l'année suivante.
Le 18 janvier 1953 alors qu'il est à Rome avec sa fille Janine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Un Fernandel de cire en Don Camillo dans son confessionnal est également installé en bonne place au musée Grévin.
Lors d'une entrevue où un journaliste lui demandait de parler du succès du Ier Don Camillo, il répond : D'abord, la surprise. La surprise du personnage qu'on ne connaissait pas. La surprise de parler à Jésus. Ca fait un drôle de partenaire vous savez. J'en ai eu dans ma vie mais, je dois dire que celui là, je lève ma barrette. .
Fernandel remporte parallèlement un grand succès public et critique avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.).
En 1963, il fonde avec Jean Gabin la société de production Gafer d'après la première syllabe de leurs pseudonymes qui sont Gabin et Fernandel. Car s'ils avaient utilisé la première syllabe de leur vrai nom, cela aurait donné « Moncon » (contraction de Moncorgé et Contandin). Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier.
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Fernand Contandin, dit Fernandel, né le 8 mai 1903 à Marseille et mort le 26 février 1971 à Paris, est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français.
Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, véritable champion du box-office qui attira plus de 200 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'avant et d'après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également tenu avec succès des rôles plus dramatiques, notamment dans Naïs, La Vache et le Prisonnier ou Heureux qui comme Ulysse.
Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à ce qu'il appelait lui-même sa « gueule de cheval », il acquit une popularité internationale telle que le général de Gaulle déclara lors d'une réception à l'Élysée le 3 mai 1968 qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que [lui] dans le monde ». Son succès ne s'est jamais démenti et Marcel Pagnol dira de lui après son décès : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin. »
Fernand Joseph Désiré Contandin naît au 72 boulevard Chave à Marseille. La famille était piémontaise, originaire de la vallée occitane du Cluson (val Chisone), en province de Turin et plus précisement de Méan/Meano de La Pérouse/Perosa Argentina, où il existe encore la maison des ancêtres. La forme Contandin (au lieu de Coutandin) dérive d'une erreur de transcription des actes italiens.
Son père, Denis Contandin, comptable mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined (anacyclique de Denis), et sa mère Désirée Bédouin, également comédienne amatrice, remarquent rapidement le talent du jeune Fernand. Il suit souvent son père lors des concerts que celui-ci organise dans la banlieue marseillaise en montant sur les planches. C'est à l'occasion d'un concours pour petits chanteurs amateurs qu'il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille.
Andrex, comédien et ami d'enfance de l'acteur, raconte à son propos : « Fernandel, qui n'était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d'un grand coup de pied au derrière ; il s'empêtra dans son sabre et s'étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n'eut plus jamais peur d'affronter le public. »
À sa sortie de l'école, le père de Fernand le place à la Société marseillaise de crédit dont il ne tarde pas à se faire congédier. Il enchaîne ensuite les petits boulots alimentaires, portant des sacs de sucre dans le port de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans de nombreuses banques, mais sa passion du tour de chant et son caractère volage ne lui permettent pas de s'assurer une situation stable. En parallèle, il court le cachet comme comique troupier dans des noces et banquets, et sur les scènes des cafés-concerts de Marseille (Les Variétés, Le Palais de cristal, Le Grand Casino, L'Eldorado, l'Alcazar), où son profil chevalin marque les esprits.
Il accepte finalement une place à la savonnerie du Fer-à-cheval qu'il conserve jusqu'à son incorporation sous les drapeaux au printemps 1925. D'abord à Grenoble, puis à Marseille, son service militaire se déroule plutôt bien puisqu'il rentre tous les soirs chez lui. Trois semaines avant qu'il ne soit libéré de ses obligations militaires et retrouve une place à la savonnerie, Andre Valette, le directeur de l'Odéon de Marseille, l'engage pour remplacer la vedette parisienne, conspuée par le public, en première partie de programme. Le numéro de tourlourou de Fernandel, constitué des succès de Gaston Ouvrard (C'est beau la nature), de Polin (Elle a de la barbe) et quelques créations, dont deux chansons écrites par Jean Manse, est un triomphe. Jean Faraud, le directeur français de la Paramountdont fait partie l'établissement et qui assiste par hasard à la prestation, lui propose immédiatement un contrat pour se produire dans l'ensemble du circuit. Fernandel débute le 19 mars 1927 à Bordeaux où il retrouve Andrex, puis enchaîne avec Toulouse, Nice et Lille.
Le 7 décembre 1928, Fernandel fait ses débuts parisiens à Bobino. Grâce au succès de cette prestation, il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le 10 mars 1930, il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à l'Élysée-Palace de Vichy. C'est là que Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du théâtre Mogador, le voit et l'engage pour la revue d'hiver du concert Mayol, revue déshabillée à succès de l'époque réunissant le tout-Paris. Fernandel et Parisys y interprètent trois sketches intercalés entre les numéros de danse. Il débute également au théâtre de l'Empire engagé par Emile Audiffred. Le réalisateur Marc Allégret qui y assiste est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel ; il décide de lui offrir le rôle d'un groom dans le film qu'il prépare avec Sacha Guitry Le Blanc et le Noir. 1930 marque ainsi le début de la carrière cinématographique de Fernandel.
L'année suivante en 1931 Jean Renoir lui offre un rôle plus important aux côtés de Michel Simon dans On purge bébé, d'après la pièce de Georges Feydeau. Cette même année, il « croise » Jean Gabin dans le film Cœur de lilas. L'année suivante, il est pour la première fois la vedette d'un film Le Rosier de madame Husson de Dominique Bernard-Deschamps d'après une nouvelle de Guy de Maupassant.
Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), Josette (1937, film dans lequel joue aussi sa fille aînée), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).
Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qu'il y interprète deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi.
En 1937, il publie ses premiers mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir.
En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre », à Marseille, dans le 15e escadron du train des équipages, caserne d'Aurelles. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde, puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a, entretemps, enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande.
Ses films des années 1940, dont deux qu'il réalise lui-même : Simplet (1942) et Adrien (1943), sont essentiellement tournés pour la Continental-Films, société de production financée par des capitaux allemands. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue en effet de chanter dans des cabarets, se fait applaudir au Grand Casino et au Casino des Fleurs de Vichy et fredonne sur Radio Paris
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Le Chômeur de Clochemerle est un film français réalisé par Jean Boyer en 1957.
Baptistin Lachaud, dit Tistin, est un marginal qui vit de braconnage et aime lever le coude avec ses copains. Il est naturellement surveillé par le garde-champêtre, mais celui-ci se laisse parfois aller jusqu'à manger avec lui le produit de ses braconnages. L'idée vient à Tistin d'aller à la mairie officialiser sa situation de chômeur et, grâce à l'appui intéressé du maire, obtient de devenir chômeur indemnisé ! Le voilà officiellement payé à ne rien faire en tant qu'unique chômeur de Clochemerle. Sauf que cela n'est pas pour plaire aux habitants du village qui se scandalisent de devoir payer ce paresseux à ne rien faire. Pour échapper à ces reproches, il va rendre de multiples services aux unes et aux autres. Et l'amour viendra couronner ce dévouement.
Fiche technique
Réalisation : Jean Boyer, assisté de Alain Roux et Francis Caillaud
Scénario : Gabriel Chevallier d'après son roman Clochemerle Babylone
Adaptation : Jean Manse, Jean Boyer
Dialogues : Gabriel Chevallier
Photographie : Charles Suin
Opérateur : Marcel Franchi, assisté de Jean Castanier et J. de Saint-Girons
Montage : Jacqueline Brachet, assistée de Madeleine Lecompère
Décors : Robert Giordani, assisté de Jean Mandaroux et Jacques d'Ovidio
Musique : René Sylviano
Orchestration : Jacques Météhen (éditions Enoch et Cie, éditions Fortin)
Son : Antoine Archimbaud, assisté de Georges Girard et Henri Richard
Enregistrement sonore R.C.A Studios Decca
Tirage : Laboratoires Eclair à Epinay-sur-Seine
Maquillage : Boris Karabanoff et Mario Jacopozzi
Coiffures : Éliane Rouvier
Photographe de plateau : Gaston Thonnart
Script-girl : Cécilia Malbois
Régie générale : Louis Manella, assisté de René Brun
Régie extérieure : Charles Auvergne
Accessoiriste : Louis Charpeau
Production : Fidès
Chef de production : Ernest Rupp
Directeur de production : Walter Rupp
Secrétaire de production : Simone Chotel
Administrateur : Gérard Ducaux-Rupp
Distribution : Discifilm
Tournage du 17 juin au 5 août 1957 dans les Bouches-du-Rhône, en grande partie dans le village de Velaux et ses environs, mais aussi à Lançon-Provence devant l'église place Eugène Pelletan, à Coudoux devant l'église, et à Marseille place Félix Barret.
Pays : France
Format : Pellicule Gevaert 35 mm, Noir et blanc
Durée : 92 min
Genre : Comédie
Dates de sortie :
France : 18 novembre 1957 à Marseille et le 20 décembre 1957 à Paris
Visa d'exploitation : 19548
Distribution
Fernandel : Baptistin Lachaud, dit « Tistin », chômeur
Maria Mauban : Jeannette Masurat, une jeune veuve
Henri Vilbert : M. Piechut, le maire
Henri Crémieux : M. Larondel, un conseiller d'opposition
Marcel Perès : Beausoleil, le garde-champêtre
Mag Avril : Mme Chavaigne
Georges Chamarat : Patard, le curé
Sabine André
Mado France : Une commère
Henri Arius : Un habitué du café
Bréols : M. Donjazu
Béatrice Bretty : Babette, la gouvernante de Tistin
Lucien Callamand : M. Tafardel, le secrétaire du maire
Jackie Sardou : Mme Donjazu
Raymone : Mlle Pauline Coton, une paroissienne
Ginette Leclerc : Zozotte, la « respectueuse » du pays
Henri Rellys : Coiffenave, le bedeau
Les suivants ne sont pas crédités au générique :
Marthe Marty : Mme Pignaton, une laveuse
Jim Gérald : M. Poupart, le sonneur de Montfraquin
Jean-Louis Le Goff
Henri Bon : le curé de Saint-Firmin
Viviane Méry
Michel Sardou : Un gamin sur un manège
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Roland Moreno, né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris, est un journaliste et inventeur français. Il est célèbre notamment pour avoir inventé la carte à mémoire, dénommée communément carte à puce, en 1974.
Inventions
Bague comportant une mémoire, brevet français no 74 10191 du 25 mars 1974.
Carte à puce mémoire, dont le brevet a été déposé en France , 1er semestre 1975
Le Radoteur (1975)
Les Célimènes
Moreno réalise en janvier 2001 le premier prototype de Célimène, ce qu'il appellera plus tard de la « musique augmentée » en référence au « livre augmenté » d'iGutenberg. Cette invention superpose la mélodie d'une musique avec le texte d'une pièce de théâtre, d'un poème, d'une chanson. L'arrangeur Sylvain Robert parvient à fusionner de très grandes pages musicales (Bach, Ravel, Beethoven, Albeniz) avec des textes de Molière, Brassens et Vian. La première réalisation (le prélude de la VIe Suite pour violoncelle seul, de Jean-Sébastien Bach, est suivie par le prélude no 3 du 1er livre du Clavecin bien tempéréet le premier mouvement du 5e des Concertos Brandebourgeois. La grande tirade de Célimène dans Le Misanthrope de Molière vient se superposer à la mélodie de chacun de ces morceaux. Cette superposition est possible grâce notamment à l'écriture en alexandrins de la pièce et à la composition des musiques avec des phrases de quatre mesures à trois temps. Dans les réalisations qui suivent, on peut citer le Boléro de Ravel et l'Hymne à la joie de la Symphonie n° 9 de Beethoven, sur des textes respectivement de Georges Brassenset Jacques Brel.
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Le Deuxième Souffle est un film français de Jean-Pierre Melville, sorti en 1966, adapté d'un roman de José Giovanni. Il a fait à l'époque l'objet d'une réception critique très abondante et plutôt élogieuse. Alain Corneau en a réalisé une nouvelle adaptation sortie en 2007.
Gustave Minda, dit « Gu » (Lino Ventura), s'est échappé de prison. Connu du milieu pour sa fiabilité et son courage, il retrouve à Paris deux de ses proches, Manouche sa compagne et Alban. Ceux-ci ont maille à partir avec deux hommes de main envoyés par Jo Ricci, malfrat amoral.
Manouche et Alban cachent Gu à Montrouge puis à Marseille, en prévision de son départ pour l'Italie. Mais soucieux d'indépendance, Gu souhaite financer seul sa fuite. Une vieille relation, Orloff, sans montrer que cela vient de lui, le met alors sur un coup aux côtés de Paul Ricci, frère de Jo et ami de Gu : le hold-up d'un fourgon bourré de lingots de platine. Le braquage nécessite d'assassiner les deux motards de l'escorte. Gu accepte le marché et abat un motard lors du hold-up qui réussit.
Entre-temps, le commissaire parisien Blot (Paul Meurisse) descend à Marseille pour traquer Gu. Il juge le commissaire marseillais Fardiano trop médiocre pour s'occuper de l'affaire. Enregistré à son insu sur un magnétophone lors d'une mise en scène montée par Blot, Gu avoue involontairement la complicité de son ami Paul Ricci dans le hold-up, lors de son arrestation. Souhaitant venger son frère incarcéré mais aussi — et surtout — s'approprier sa part du butin, Jo Ricci file à Marseille. Il manipule les deux autres complices du hold-up, qui craignent que Gu ne les dénonce à la police. Fidèle à sa morale de truand, Gu n'est pas une « balance », il s'évade pour rétablir la vérité et sauver sa réputation. Caché dans la voiture du commissaire Fardiano, il l'oblige à écrire, dans un calepin, une déclaration signée où il avoue les méthodes illégales employées pour l’arrêter et lui extorquer des informations, puis il l'abat. Ensuite, Gu règle ses comptes avec Jo Ricci et sa bande, dans un massacre général dont aucun ne réchappe. Blot arrive auprès de Gu agonisant qui prononce, dans un dernier souffle, le nom de Manouche, et lui donne le carnet des aveux de Fardiano qui rétablira son honneur dans le milieu. Malgré lui, Blot admire le code d'honneur auquel Gu a obéi jusqu'à la mort. En outre, il est conscient que ce succès de la police dans sa lutte contre le crime n'a été obtenu que par des moyens douteux. Face à la presse qui le questionne, il laisse tomber, comme par inadvertance, le calepin compromettant dans un caniveau, sur lequel il attire aussitôt l'attention d'un journaliste qui le ramasse…
Fiche technique
Titre : Le Deuxième Souffle
Réalisation : Jean-Pierre Melville assisté de Georges Pellegrin, et Jean-François Adam
Format : 35mm - Noir et blanc - Ratio : 1,66:1 - Son : Monophonique
Scénario : José Giovanni d'après son roman Le Deuxième Souffle
Dialogues : Jean-Pierre Melville et José Giovanni
Montage : Monique Bonnot, Michèle Boëhm assistées de Catherine Muloin et Ziva Postec
Photographie : Marcel Combe, Jean-Claude Boussard (assistant opérateur)
Costumes : Michel Tellin
Musique : Bernard Gérard
Décors : Jacques Dardeau (accessoiriste), Daniel Villeroy (accessoiriste meuble), Guy Maugin (ensemblier)
Son : Alex Pront et Jacques Gallois à l'enregistrement
Scripte : Suzanne Durrenberger
Production : André Labay et Charles Lumbroso
Distribution : S.N. Prodis
Pays d'origine : France
Durée : 150 minutes
Version : interdit aux moins de 18 ans, puis tout public
Date de sortie : France, 4 novembre 1966, aux cinémas Colisée et Madeleine à Paris
Visa de contrôle cinématographique N° 31.941
Distribution
Lino Ventura : Gustave Minda, dit « Gu »
Paul Meurisse: commissaire Blot
Raymond Pellegrin : Paul Ricci
Christine Fabréga : Simone Melletier, dite « Manouche »
Marcel Bozzuffi : Jo Ricci
Paul Frankeur : commissaire Fardiano
Denis Manuel : Antoine Ripat
Jean Négroni : un inspecteur / L'homme
Michel Constantin : Alban
Pierre Zimmer : Orloff
Pierre Grasset : Pascal Leonetti
Jack Léonard
Raymond Loyer : Jacques, dit « le notaire »
Régis Outin
Albert Michel : Marcel, dit « le Stéphanois »
Jean-Claude Bercq : l'inspecteur adjoint du commissaire Blot
Louis Bugette : Théo, le passeur
Albert Dagnant : Jeannot Franchi
Sylvain : un homme de main de Jo Ricci
Roger Fradet
Roger Perrinoz
Jean De Beaumont
Marcel Bernier
J. Dubos
Pierre Gualdi : un adjoint de Blot
R. Pequignot
Betty Anglade
A. Layle
Nina Michelsen
Les personnages
José Giovanni s'était inspiré pour son roman d'origine de personnes réelles qu'il avait fréquentées dans le « milieu » pendant l'Occupation ou en prison après-guerre. Gu Minda c'est en fait Auguste Méla, dit « Gu le terrible »2, qui en septembre 1938 avait réalisé l'attaque du « train d'or ». Condamné, il s'était échappé de la prison de Castres en mars 1944 avec Bernard Madeleine, comme dans le début du film. C'est avec Madeleine, le futur « caïd des caïds », que Giovanni avait participé aux exactions d'un faux maquis en Bretagne en juin 1944. La vraie Manouche s'appelait Germaine Germain, dite « Manouche ». C'était la maîtresse de Paul Carbone, « l'empereur de Marseille » qui travaillait avec « la Carlingue ». Orloff c'est Nicolaï Alexandre Raineroff dit « Orloff », agent de la Gestapo, qui sera fusillé pour intelligence avec l'ennemi le 8 mai 1945, et avec lequel Giovanni avait rançonné deux Juifs cachés à Lyon en août 1944. Enfin, le commissaire Blot s'inspire du commissaire Georges Clot, responsable à la Libération de la cellule anti-Gestapo de la police judiciaire
Bande originale du film (BOF)
La bande originale est signée par Bernard Gérard, assistant et arrangeur de Michel Magne pour certains films de Georges Lautner. L'intégralité de cette musique, très empreinte de jazz, reste pour l'instant inédite. Une bande originale, restée sous forme de partition inédite, fut composée par John Lewis mais suscita le rejet catégorique de Jean-Pierre Melville. On peut supposer qu'elle était destinée à sonoriser la version américaine du film, intitulée Second Breath.
1966 : Second Breath (version anglaise et américaine)
Le film devait être d'abord tourné en 1964, avec la distribution suivante : Serge Reggiani (Gu), Simone Signoret(Manouche), Lino Ventura (Blot), Roger Hanin (Jo Ricci), Georges Marchal (Orloff) et Raymond Pellegrin (Paul Ricci). Les contrats étaient signés mais le tournage fut abandonné, en raison de problèmes financiers et du projet d'une autre version de Denys de la Patellière, avec Jean Gabin.
Dans un reportage télévisé de l'ORTF sur le tournage, on aperçoit l'acteur Mel Ferrer qui devait probablement jouer le rôle d'Orloff.
Autocitation : lorsque Manouche monte l'escalier pour dîner avec Gu à Montrouge, on entend s'échapper d'un appartement un dialogue des Enfants terribles de Jean-Pierre Melville.
A 49 min. 30 sec., gros plan sur Lino Ventura qui se teint les cheveux en gris avant de sortir de sa planque. A 49 min. 50 sec., il retrouve Michel Constantin et ils partent en voiture. Mais il a toujours les cheveux noirs.
Une autre adaptation du roman de José Giovanni a été réalisée par Alain Corneau en 2007 : Le Deuxième Souffle.
Le film a été montré dans le cadre de la Rétrospective Jean-Pierre Melville : l’intégrale, projetée au festival Premiers Plans qui s'est tenu à Angers en 2010.
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