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Utah Beach

Publié à 20:42 par dessinsagogo55 Tags : monde france hiver sommaire paris anniversaire air centerblog sur mer merci place saint coup jeux nuit
Utah Beach

Utah Beach est l'appellation d'une des cinq plages du débarquement de Normandie le 6 juin 1944. Plage la plus à l'ouest des zones du débarquement allié et la seule située dans le département de la Manche sur la côte nord-est du Cotentin, à l'ouest de l'estuaire de la Vire (les quatre autres se trouvent sur la côte du Calvados), Utah Beach s'étend de Sainte-Marie-du-Mont jusqu’à Quinéville sur environ 5 km de long, avec une zone d'assaut principal à hauteur de Varreville.

Elle fut ajoutée aux plans initiaux du débarquement, du fait d'un plus grand nombre de chalands de débarquement finalement disponibles et permettait ainsi d'avoir une tête de pont plus proche du port de Cherbourg. La 2e DB, commandée par le général Leclerc, y débarqua 30 juillet 1944. Le débarquement à Utah Beach fut certainement le moins coûteux en vies humaines et celui avec les résultats, à la fin de la première journée, les plus proches des objectifs initiaux des Alliés. La 4e division d'infanterie américaine n'y rencontra qu'une relativement faible résistance ennemie, en contraste avec Omaha Beach l'autre plage du secteur américain. Les fortifications allemandes y étaient moindres du fait d'une configuration des lieux jugée peu propice par les Allemands pour un débarquement. En effet, la plage se trouve sur un cordon littoral adossé à des zones marécageuses. Le débarquement américain sur Utah sera donc précédé d'une opération aéroportée de nuit, elle sera coûteuse en vies humaines, sur Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont afin de contrôler les quelques routes au travers des marais permettant les sorties de plage

La partie est du Cotentin, à la limite des départements de la Manche et du Calvados est une zone de terres basses et humides, sujette à des inondations régulières en hiver. Sur le littoral, s'étendent de larges plages de sable bordées d'un cordon dunaire les séparant des marais que l'on franchit en empruntant des chemins surélevés. Les Allemands avaient volontairement maintenu plusieurs zones inondées pour rendre plus difficile un débarquement.

Cette plage, particulièrement propice à un assaut amphibie, verra ses défenses renforcées après que le maréchal Rommel détectera de nombreuses faiblesses dans le dispositif défensif allemand lors de ses multiples visites d'inspection. Ainsi, les dunes entre la baie des Veys et Saint-Vaast-la-Hougue seront truffées de nids de mitrailleuses et sur les hauteurs de l'arrière-pays seront aménagées quelques batteries lourdes, notamment à Azeville, Crisbecq, Morsalines, La Pernelle. Néanmoins cette zone restera moins fortifiée que d'autres zones de la côte normande du fait que les Allemands estimaient que les marais et les zones inondées rendaient difficile un accès à l'intérieur des terres.

Initialement, les Alliés n'avaient pas prévu de débarquer sur les côtes du Cotentin. La proximité du port de Cherbourg et la nécessité de disposer d'une solution de repli au cas où la situation tournerait mal sur les plages du Calvados, décidèrent les responsables du haut commandement allié (le général Eisenhower et le général Montgomery) à ajouter une cinquième plage. Un plus grand nombre de chalands de débarquement disponibles permit cette plage supplémentaire.

L'endroit retenu reçut le nom de code d’Utah Beach. Il s'étend de Sainte-Marie-du-Mont jusqu’à Quinéville, avec une zone d'assaut d'environ deux kilomètres à hauteur de Varreville. Afin de permettre une sortie de plage des troupes fraîchement débarquées et qu'elles ne se trouvent pas bloquées entre la plage et les marais, les Alliés décidèrent d'engager deux divisions parachutistes, la 82e et la 101e divisions aéroportées américaines qui devront pour cela établir un point de fixation sur la zone de Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont et contrôler les quelques routes d'accès aux plages. Ils doivent également prendre le contrôle de la N 13, route nationale reliant Paris à Cherbourg via Caen et d'importance stratégique, cela afin d'éviter tout mouvement de troupes ou contre-attaque ennemis par cette voie et aussi de couper la liaison avec la forteresse de Cherbourg. Dans ce même but, ils doivent également contrôler la ligne de chemin de fer reliant Caen à Cherbourg, les ponts de la Douve et le contrôle du canal de Carentan à la mer. L'assaut aéroporté porte les noms d'opérations Albany et Boston.

C'est la 4e division d'infanterie américaine du major général Barton, appartenant au VIIe corps américain commandé par le général J. Lawton Collins, qui fut chargée de prendre d'assaut Utah Beach. La première vague d'assaut est menée par le brigadier général Theodore Roosevelt Junior, cousin germain de l'épouse du président américain en exercice, Franklin Delano Roosevelt (dont il est également un lointain cousin), fils de l'ancien président Theodore Roosevelt et seul général, ce jour du 6 juin, à accompagner une vague d'assaut. Ce débarquement bénéficie de l'appui feu du groupe de bombardement de l'amiral ML Deyo et d'un écran de fumée lancé par le squadron 342, groupe Lorraine des ex-forces aériennes françaises libres. En tout ce sont plus de 865 navires, la « Force U », de convoyage, de protection ou d'appui aux troupes à terre qui seront impliquées dans le débarquement sur Utah Beach.

Opérations

C'est à h 30 le 6 juin, après une intense préparation d'artillerie et d'un bombardement aérien efficace des principales positions allemandes, que la 4e division d'infanterie US est engagée. Deux escadrons de chars DD amphibies sont mis à l'eau à 3 kilomètres du rivage. Ils rejoignent la plage par leurs propres moyens grâce à deux hélices et une jupe de caoutchouc. Ils s'approchent en deux vagues d'assaut, 12 chars pour l'une, 16 pour l'autre, de la plage où ils commencent à tirer sur les positions des Allemands alors que ceux-ci peinent à réorganiser leur défense après le terrible et efficace bombardement allié qui vient juste de cesser.

En raison d’une erreur de navigation, les premières vagues d’assaut prirent pied à environ 2 kilomètres au sud de l'endroit prévu. Heureuse erreur pour les Alliés puisque les défenses allemandes étaient ici nettement moins redoutables. Pendant le début du débarquement de la division d'infanterie américaine, les tirs allemands sont nourris mais peu précis et peu à peu, les positions de mitrailleuses allemandes sont rapidement neutralisées. Il subsistera tout au long de la journée des tirs aléatoires mais meurtriers des canons et mortiers de la 709e division d'infanterie allemande située dans les terres mais que l'avancée des troupes à terre et les tirs guidés des navires alliés réduiront progressivement.

La plage est aux mains des Alliés assez rapidement. La marée se retirant, découvre les défenses des plages que les unités du génie commencèrent à éliminer moins d'une heure après le début du débarquement, afin d'ouvrir des passages aux chalands de débarquement de matériels et véhicules lourds. Deux heures après le débarquement, le mur antichar fut dynamité en plusieurs endroits et les chars purent commencer leur progression à l'intérieur des terres. La jonction des troupes débarquées et des parachutistes se fit en début d'après midi du côté de Pouppeville.

Les pertes de la 4e division (tués, blessés et disparus) ne dépassèrent pas les 200 hommes pour la journée du 6 juin.

Seul les canons de 210 mm de la batterie allemande MKB Marcouf à Crisbecq, commandé par Walter Ohmsen (qui surveillait tout le secteur à partir de son poste de commandement et d'observation de Crisbecq) furent en mesure de gêner sporadiquement les opérations de débarquement sur les journées des 6 et 7 juin.

Comparativement à Omaha Beach, Utah Beach fut un succès, et ce dû à plusieurs facteurs :

Moins de fortifications allemandes comparé à d'autres plages. La défense est largement fondée sur l'isolement du cordon littoral de l'intérieur du pays par les zones inondées.

Un bombardement avant l'assaut efficace : beaucoup des grands bunkers identifiés, comme la batterie côtière près de Saint-Martin-de-Varreville, furent détruits par les B-26 Marauder, bombardiers moyens de la 9e US Air Force, volant à moins de 5 000 pieds (1 600 m) et fournissant aussi un appui aérien rapproché aux forces d'assaut.

Les tanks DD : 28 des 32 tanks amphibies ont atteint le rivage car ils ont été mis à l'eau 2 fois plus près de la plage qu'à Omaha et furent aussi capables de se diriger dans le courant de manière plus efficace pour éviter la houle.

L'erreur sur la zone de débarquement avec un débarquement vers une zone plus au sud que prévu se révélant une des zones de sortie de plage la moins fortifiée.

Les troupes parachutistes : la différence la plus significative fut les 13 000 hommes de la 101e et de la 82e division aéroportée qui combattaient déjà dans l'intérieur des terres lors du début du débarquement. Cinq heures avant la première vague d'assaut, les troupes parachutées ou arrivées par planeurs combattaient au-delà des plages, éliminant l'ennemi des positions le long des sorties de plages et créant la confusion parmi les Allemands, prévenant ainsi toute contre-attaque organisée de la part de l'ennemi vers les zones de débarquement.

Mais ce succès doit être relativisé par les lourdes pertes subies par les troupes aéroportées. La 101e perdit 40 % de ses effectifs le jour J, dus à une dispersion au largage (plusieurs tombèrent dans les marais) et à de durs combats au sol.

Logistique

Dans les 12 premières heures, ce sont 23 250 hommes, 1 700 véhicules de combats et 1 695 tonnes d'approvisionnement qui seront débarqués sur cette plage.

Par la suite, une véritable logistique d'approvisionnement va être mise en place à Utah Beach par la brigade spéciale de génie américain, forte de 19 500 hommes, brigade qui sera portée dans les semaines qui suivent à près de 70 000 hommes. Cette unité, commandée par le major général Eugene Meode Caffey, permettra de juin à novembre 1944 le débarquement sur la plage et l'acheminement jusqu'au front de 836 000 hommes, 220 000 véhicules de la jeep à la locomotive, 775 000 tonnes d'approvisionnements. En effet, privé rapidement de leur port artificiel de Saint-Laurent-sur-Mer détruit par la tempête du 19 juin, les Américains durent imaginer des solutions de rechange, la plage sera donc utilisée par des chalands mais aussi par des échouages volontaires de bateaux de plus fort tonnage, repris ensuite par la marée montante. Le quartier général de cette unité de génie sera durant les premières semaines établi dans le premier blockhaus pris aux Allemands à Utah Beach. Sur celui-ci s'élève aujourd'hui le monument à la mémoires des hommes de la 1re brigade de génie.

Vue du côté allemand

Selon un historien anglais, Sir Basil Liddel Hart , qui a interviewé les généraux allemands prisonniers de guerre, le haut-commandement allemand était conscient de la faiblesse des divisions stationnées à l'ouest. Les divisions étaient squelettiques.

Selon des auteurs allemands, le point d'appui W5 donna bien du fil à retordre aux troupes de débarquement. Cette position était aussi bien armée que possible (en fonction des ressources disponibles alors) :

mini-tanks "Goliath",

une tourelle blindée, canon de 88 mm,

canons de 50 mm,

canons anti-chars de 75 mm,

un obusier de 160 mm (1re Guerre mondiale)

une tourelle de char Renault FT, enterré, abritant une mitrailleuse Hotchkiss.

Le tout était complété par des nids de mitrailleuses battant le terrains sans angles morts. L'approvisionnement en munitions était estimé suffisant. L'ensemble des dispositifs, avec les abris enterrés, était relié par de profondes tranchées. Le tout revêtait un aspect redoutable. Le commandement était assuré par le lieutenant Janhke (à 22 ans avait fait ses preuves sur le front de l'est) et le personnel était composé de réservistes âgés amalgamés avec de jeunes recrues.

Les combats débutent par la capture de parachutistes US dans les marais inondés. Un violent bombardement aérien le 6 juin à h du matin endommage les pièces d'artillerie (particulièrement la pièce de 88 mm), fait sauter les stocks de munitions et provoque des pertes en personnel. Le bombardement est complété par des avions lanceurs de roquettes.

La première vague de débarquement est sérieusement détruite par les mines et par deux mitrailleuses lourdes rescapées. La seconde vague est moins prise à partie, abritée par les épaves de la plage. L'arrivée des chars DD va changer la donne, détruisant par leur canons les armements rescapés. La pièce de 88 mm remise en état ne tirera qu'un coup et sera hors d'usage. L'obusier de 160 mm sera détruit par les tirs des pièces de marine ainsi que le reste de l'artillerie. Les mini-chars Goliath se montreront inefficaces, leurs télécommandes filaires ayant été déréglées par les bombardements.

Les unités du génie US vont déminer la plage. Peu à peu, les défenseurs sont réduits par les tirs de canons de marine. Le lieutenant Janhke est capturé avec ce qu'il reste de ses hommes et envoyé sur un destroyer. Les bulldozers US commencent à dégager la plage en face de ce qui reste de W5. Les parachutistes allemands n'ont pas pu s'approcher de W5 pour prêter assistance et ont été repoussés.

Selon Olivier Wieviorka, les pertes américaines parmi les troupes débarquées furent faibles (300 hommes) alors que les pertes en péniches de débarquement furent importantes.

 

Un lieu de mémoire

Un musée du débarquement Utah Beach a été édifié en 1962 à l'endroit même où les troupes américaines débarquèrent le Jour J.

Utah Beach possède en outre plusieurs monuments commémoratifs :

Le monument des États-Unis.

Le monument à la 4e division d'infanterie américaine.

Le monument à la 90e division d'infanterie américaine.

Le monument Higgins-Boat inauguré à l'occasion du 71e anniversaire du Débarquement en 2015

 

 



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Bataille de Carentan

Publié à 19:44 par dessinsagogo55 Tags : fleurs sommaire center monde jeux centerblog sur merci france
Bataille de Carentan

 

La bataille de Carentan est un engagement de la Seconde guerre mondiale entre les forces aéroportées américaines et la Wehrmacht lors de la bataille de Normandie. Elle eut lieu du 6 au 13 juin 1944 dans les environs de Carentan en France. Théâtre de violents affrontements, la ville sera prise avant que les Allemands qui s'en étaient retirés à court de munitions ne tentent une dernière et infructueuse contre-attaque.

l'opération Overlord

L'objectif des Américains était de consolider les têtes de pont alliées de Utah et Omaha Beach et d'établir une ligne défensive sur le front normand afin de contenir d'éventuelles contre-attaques allemandes. Les Allemands retranchés dans la ville tentèrent de la défendre le plus longtemps possible afin de permettre à leurs renforts d'arriver sur le front et d'ainsi empêcher la 1re armée américaine d'attaquer l'axe Lessay-Périers, ce qui aurait eu pour conséquence de couper le Cotentin.

 

Carentan était défendue par le 6e régiment de parachutistes, deux bataillons des légions de l'Est et d'autres éléments des forces allemandes en débâcle après l'opération Overlord qui reçurent l'ordre de défendre la ville jusqu'au bout tandis que la 17Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen, envoyée en renfort, essayait tant bien que mal d'arriver mais était retardée à cause du manque de carburant ainsi que par les attaques aériennes alliées. La 101e division aéroportée américaine, parachutée le Jour J (6 juin 1944) non loin de Carentan reçut l'ordre de prendre la ville aux Allemands.

 

Les assauts américains sur Carentan débutent le 10 juin. Deux jours plus tard, le 12 juin, les forces allemandes, à court de munitions, sont contraintes de se retirer de la ville. Le lendemain, la 17e Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen contre-attaque vers les positions de la 101e aéroportée. Cet assaut sera d'abord un succès, avant que les forces de la 2e division blindée américaine viennent mettre en déroute les unités allemandes.

 

La prise de Carentan permet aux Américains de consolider leurs positions et d'établir une ligne défensive en Normandie, leur donnant ainsi un front continu qui leur permettra de progresser en profondeur dans les terres normandes. Ce sera le début de la bataille des Haies.

Le général commandant la 101e aéroportée, Maxwell Davenport Taylor manque de se faire abattre par un tireur embusqué allemand lors d'une cérémonie à Carentan le 24 juin 1944. Le tireur abat la fillette de quatre ans apportant un bouquet de fleurs au général

 



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Maquis de Saint-Marcel

Publié à 22:38 par dessinsagogo55 Tags : center png centerblog sur merci france saint obstacles centre air nuit
Maquis de Saint-Marcel

Le maquis de Saint-Marcel est un maquis qui exista en Bretagne occupée, dans le centre du Morbihan non loin du village de Saint-Marcel pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il a été créé en février 1943 par Émile Guimard, de Lizio, et Antoine Rolland, de Sérent, pour recevoir des parachutages d'armes. Ce terrain discret, dénommé « baleine » derrière la ferme de la Nouette près de Saint-Marcel avait été trouvé à la demande de la mission Cockle composée de deux agents secrets de la France libre, le lieutenant Guy Lenfant et le sergent radio André Rapin, parachutés près de l'étang au Duc  entre Ploërmel et Loyat dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942 pour armer les premiers réseaux de Résistance du Morbihan. Ces deux agents, missions remplies avec de multiples parachutages autour de Ploërmel et de Pontivy durant le premier semestre 1943, retournèrent en Angleterre le 15 juillet de la même année, embarquant avec eux le plan des défenses allemandes du Morbihan, remis par le commandant départemental de gendarmerie et le résistant, Maurice Guillaudot. En mai, ces parachutages furent suspendus, après quelques ratés, pour ne pas attirer l'attention de l'occupant.

En mars 1944, plusieurs arrestations désorganisèrent la résistance locale. Le commandant Guillaudot, à Vannes, et son adjoint, le lieutenant de gendarmerie Théophile Guillo, à Ploërmel, son fils, Joseph Guillo, 20 ans (qui mourra en déportation), furent arrêtés, torturés et déportés. Plusieurs cadres FFI, de Ploërmel notamment (Henri Calindre, Louis Chérel, Lionel Dorléans, Paul Hervy) furent fusillés le 30 juin 1944 à Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes.

Le 5 juin 1944, l'ordre est donné par le colonel Morice (Paul Chenailler), chef départemental F.F.I. (après l'arrestation du commandant Maurice Guillaudot), à tous les résistants du Morbihan de se rassembler à la Nouette, la ferme de la famille Pondard près de Saint-Marcel (soit environ 3 000 hommes)

 

Une description précise du maquis de Saint-Marcel est fournie par un témoignage allemand (les résistants y sont qualifiés de « terroristes ») :

« À deux kilomètres environ à l'ouest de Saint-Marcel, près de Malestroit, le camp de terroristes s'étendait sur un carré de plus de deux kilomètres de côté et était entouré de points d'appui en fortification de campagne. En particulier, toutes les voies d'accès au camp étaient protégées par des obstacles en rondins avec des mines télécommandées et des abris renforcés par des sacs de terre. À l'intérieur du camp se trouvaient quelques bâtiments de ferme que les terroristes ont utilisés comme central radio ou comme poste de secours, le château étant occupé par le « quartier général ». Les hommes du camp cantonnaient en partie dans les broussailles d'environ deux mètres de haut, d'une superficie de quatre cents sur huit cents mètres où avaient été aménagés des layons le long desquels se trouvaient des cabanes de branchage et des tentes avec de la paille abritant dix à vingt hommes. À l'intérieur du camp, une prairie d'environ cinquante sur deux cents mètres servait de zone et de centre de rassemblement »

Forces en présence

Drapeau de la France FFI et Armée française de la Libération 2 500 hommes

ORA ;

AS ;

FTP ;

2e RCP/4e SAS (200 hommes).

Drapeau des États-Unis États-Unis

3 squadrons de chasseurs-bombardiers P-47 Thunderbolt de l'US Air Force.

Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand

2e régiment parachutiste de maintenance et d'instruction (300 hommes) ;

un commando de chasse du 17e état-major du génie de forteresse ;

éléments de la 275e division d'infanterie de Redon ;

une compagnie du 798e bataillon de Géorgiens ;

2 bataillons du 3e régiment d'artillerie ;

patrouille de la brigade de Feldgendarmerie no 790.

 

 

 
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La bataille de Saint-Marcel

Publié à 22:29 par dessinsagogo55 Tags : saint merci sur centerblog center sommaire france monde nuit
La bataille de Saint-Marcel

 

Le 18 juin, le maquis est attaqué. Malgré un soutien aérien allié (4 avions de chasse P-47 Thunderbolt américains mitraillant les convois allemands en direction du maquis), les 3 000 résistants et 200 parachutistes SAS français (comprenant des cooneys parties et des rescapés de Duault venus compléter les parachutés sur le camp), se replieront à la faveur de la nuit, après toute une journée de combat.

Ce jour-là, Pierre Marienne (1908-1944) galvanisa les combattants, il mitraillait les Allemands d'une jeep en intervenant dans les secteurs menacés. Blessé à la tête et couvert d'un bandeau de parachute blanc teinté de sang, il y gagna son surnom : le « lion de Saint-Marcel »

Selon l'essayiste Pierre Montagnon, le bilan pour les Français est de 42 tués, dont 6 parachutistes, 60 blessés et 15 prisonniers. Mais pour Patrick Mahéo, « dans le nombre de quarante-deux, habituellement indiqué, figurent des non-combattants assassinés par les Allemands et des F.F.I. ou des parachutistes tués dans le voisinage au cours des jours suivants. » D'après Gérard Le Marec, les Français ont une trentaine de tués. Pour Philippe Buton, les Français déplorent 27 tués, dont 6 parachutistes et 21 FFI.

Du côté des Allemands, entre 300 et 600 hommes auraient été tués selon les résistants. Le monument du maquis inauguré en 1951, en présence des colonels Morice et Bourgoin, fait état de 560 morts allemands. Un officier britannique présent à Saint-Marcel, le capitaine Fay, estima les pertes allemandes à 300 hommes.

Cependant selon Pierre Montagnon, Gérard Le Marec et Patrick Maheo, cette estimation de 560 morts allemands est sans doute exagérée.

Selon les sources allemandes, les pertes sont plus légères. D'après le rapport d’activité no 14 en date du 1er août 1944, du 2e Bureau du XXVe corps d’armée, les affrontements contre les « bandes terroristes » livrés entre le 1er avril et le 1er août 1944 ont fait, côté allemand, environ 50 morts, 50 blessés et 20 disparus. Pour Gérard Le Marec, « C'est dans ce total approché qu'il faut compter les pertes du combat de Saint-Marcel ».

Les soldats allemands tués à Saint-Marcel sont inhumés au cimetière de Calmon, à Vannes. Selon les recherches effectuées par Patrick Andersen-Bö aux archives municipales de cette ville, 27 corps provenant de Saint-Marcel sont recensés. Ces corps sont par la suite transférés ensuite au cimetière militaire allemand du Mont-d'Huisnes, à côté d'Avranches.

Côté civils, le village de Saint-Marcel est pillé et brûlé après le combat, 40 personnes seront tuées et d'autres déportées.

Lors des combats pour la libération de la Bretagne, du 6 juin à août 1944, 77 parachutistes furent tués et 195 furent blessés, soit plus de la moitié de l'effectif du 4e bataillon SAS français (450 hommes parachutés). Des volontaires FFI bretons recomposèrent l'effectif du bataillon lorsque celui-ci fut engagé sur la Loire (secteur Orléans – Nevers), opération Spencer, en septembre 1944.

 

 
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Les premiers fantassins allemands traversent la Meuse

Publié à 19:31 par dessinsagogo55 Tags : center saint paris mer maison centre marne carte sommaire centerblog sur bonne france monde cadre merci
Les premiers fantassins allemands traversent la Meuse

 

 

En 1939, la France a déclaré la guerre à l'Allemagne et se prépare à repousser l'invasion de celle-ci. Dans le cadre du plan défensif français, la Meuse joue un rôle important puisque c'est sur une bonne partie de son cours supérieur (en France, du confluent avec la Chiers jusqu'à Namur, en Belgique) que le Commandement Français compte arrêter les Allemands dans le cadre du plan Dyle.

 

Plus en aval, les Belges la défendent notamment par le fort d'Ében-Émael pour protéger Liège.

 

Ce fort tombera le 11 mai 1940, lendemain de l'offensive allemande ; les Belges évacueront la position fortifiée de Liège puis celle de Namur, y laissant uniquement des troupes de forteresse.

 

En amont, prenant de vitesse les Français, le 12 mai 1940, c'est un peu au Nord de Dinant, à Houx que les premiers fantassins allemands traversent la Meuse. Le lendemain, les troupes allemandes de Guderianfranchissent également la Meuse à Sedan provoquant la Percée de Sedan, ainsi qu'à Monthermé. Leur infanterie traverse également à Givet et Profondeville, mais échoue à Nouzonville et Charleville-Mézièresavant que les Français n'évacuent leurs dernières positions sur la Meuse le 15 mai 1940, une brèche large de Namur jusqu'à l'extrémité Ouest de la ligne Maginot a été ouverte dans le front allié, que les Français ne peuvent combler faute de réserves suffisantes. Les unités blindées allemandes s'y engouffrent et atteignent la Manche près d'Abbeville le 20 mai 1940, prenant à revers les armées alliées dans le nord de la France et la Belgique. La bataille de France est déjà virtuellement perdue.

 

 


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La bataille d'Arras

Publié à 18:28 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center png centerblog chez prix sur france saint monde merci
La bataille d'Arras

 

La bataille d'Arras s'est déroulée le 21 mai 1940 durant la bataille de France entre les armées franco-britanniques et la Wehrmacht. Les Alliés rencontrèrent un succès mitigé.

La contre-attaque d'Arras était une tentative alliée de contrecarrer l'avancée allemande qui se dirigeait vers le nord de la France.

En mai 1940, pendant la première partie du Westfeldzug, l'armée allemande (Wehrmacht) avait envahi une partie du nord-est de la France. Le 18 mai, Cambrai tombe aux mains des Allemands ainsi que Saint-Quentin tandis que Péronne l'est bientôt, les restes de la 9e armée française et le général Giraudsont faits prisonniers par l'ennemi.

Le plan britannique dont l'idée d'origine germe lors de la conférence d'Ypres était donc d'effectuer une contre-attaque à partir d'Arras afin de retarder le Blitzkrieg des forces allemandes.

Ordre de bataille

Forces alliées

Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni :

5e division d'infanterie (5th Infantry Division) ;

50th Northumbrian Infantry Division ;

1re brigade de chars (1st Army Tank Brigade).

Drapeau de la France France :

60 chars de combat de la 3e division légère mécanique.

Forces allemandes

Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand :

Régiment Grossdeutschland

7e Panzerdivision

SS-Totenkopf-Division (motorisée)

 

Déroulement de la bataille

Le 21 mai 1940, deux colonnes (nom de code Frankforce), composées de 58 Matilda Mark I, de 16 Matilda Mark II et de 14 chars légers Vickers MK VI, soutenus par 2 000 soldats avancèrent vers le sud d'Arras. Ils progressèrent rapidement rencontrant peu de résistance et en prenant un certain nombre de prisonniers de guerre allemands. Toutefois, ils se heurtèrent très vite à de l'artillerie lourde (8,8 cm Flaket obusiers 10,5 cm leFH18) et à de l'infanterie. L'avancée britannique fut donc stoppée au prix de lourdes pertes chez les Allemands.

Les Allemands en profitèrent pour lancer une offensive sur Arras mais furent stoppés par des blindés français de la 3e division légère mécanisée. Les forces françaises firent prisonniers de guerre environ 400 soldats allemands et détruisirent un certain nombre de chars allemands. La riposte française fut si féroce que le commandant en chef de la 7e Panzerdivision, Rommel, estima qu'il avait été attaqué par 5 divisions françaises.

Ce n'est qu'avec le soutien aérien de la Luftwaffe que Rommel arriva à repousser les blindés français dans la soirée du 21 mai.

Conséquences

Le succès de la contre-attaque française permit à l'armée française d'établir des lignes de défense à l'ouest de Dunkerque. Ainsi, les troupes allemandes arrêtèrent leur progression le 24 mai 1940 sur le fleuve Aa avant de progresser vers Dunkerque, ce qui permit de retarder leur Blitzkrieg de quelques jours.

 


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Appel du 21 mai 1940 : Charles de Gaulle

Publié à 17:41 par dessinsagogo55 Tags : monde center sommaire sur centerblog merci france air demain
Appel du 21 mai 1940 : Charles de Gaulle

 

C'est la guerre mécanique qui a commencé le 10 mai. En l'air et sur la terre, l'engin mécanique - avion ou char - est l'élément principal de la force.


L'ennemi a remporté sur nous un avantage initial. Pourquoi ? Uniquement parce qu'il a plus tôt et plus complètement que nous mis à profit cette vérité.


Ses succès lui viennent de ses divisions blindées et de son aviation de bombardement, pas d'autre chose ! Eh bien ? nos succès de demain et notre victoire - oui ! notre victoire - nous viendront un jour de nos divisions cuirassées et de notre aviation d'attaque. Il y a des signes précurseurs de cette victoire mécanique de la France.


Le chef qui vous parle a l'honneur de commander une division cuirassée française. Cette division vient de durement combattre ; eh bien ! on peut dire très simplement, très gravement - sans nulle vantardise - que cette division a dominé le champ de bataille de la première à la dernière heure du combat.


Tous ceux qui y servent, général aussi bien que le plus simple de ses troupiers, ont retiré de cette expérience une confiance absolue dans la puissance d'un tel instrument.


C'est cela qu'il nous faut pour vaincre. Grâce à cela, nous avons déjà vaincu sur un point de la ligne. Grâce à cela, un jour, nous vaincrons sur toute la ligne.

 
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Notes et références                                                    
   
   
    Charles de Gaulle
    Charles de Gaulle : Fondation du RPF
   
   
   
   
   
    Appel du 21 mai 1940 : Charles de Gaulle
   
   
    Gouvernements Charles de Gaulle I et II
   
    Brigitte Bardot : Charles de Gaulle déclare
    22 novembre 1890
    9 novembre 1970
   
 
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Marcel Ihler

Publié à 17:06 par dessinsagogo55 Tags : france paris sommaire mort centerblog sur merci saint monde presse enfants centre
Marcel Ihler

Marcel Ihler (Besançon, 12 août 1880-Paris, 14 avril 1975) est un général de corps d'armée français.

Fils d'un banquier, il est issu d'une vieille famille alsacienne originaire de Thann. Ses parents, Adolphe et Mélanie, née Amberger, ont quitté la ville à l'issue de la guerre de 1870. La famille Ihler était très connue à Thann, dont une rue porte le nom des Généraux Ihler, car deux de ses membres avaient fait parler d'eux pendant la Révolution Française : les frères Jean-Alexandre (1745-1805), général de division à l'Armée du Nord et surtout Louis Théobald (1756-1793), aide de camp du Maréchal Luckner et général de brigade, mort en héros au combat. Marcel était le cinquième enfant de la famille, et sa carrière militaire faisait écho à celle de son frère Charles (1868-1907), capitaine de Dragons, lui aussi mort en héros au Maroc et enterré en grande pompe à Besançon lors d'obsèques relayées dans toute la presse française.

Marcel Ihler épousa le 22 mai 1912 à Chambéry, Geneviève Marcelle Bourdon, ils ont eu cinq enfants entre 1913 et 1923 : Geneviève, Henri, Madeleine, Xavier et Bernard.

Marcel Ihler suit les cours de l'école Saint-Cyr, où il entre en 1899. Il termine ses études deux années plus tard, en 1901. Il débute sa carrière militaire au 24e Bataillon de Chasseurs à Pied, puis suit les cours de l’École supérieure de guerre en 1909-1911.

Il passe ensuite capitaine au 4e Bataillon de Chasseurs à Pied en septembre 1913.

Première guerre mondiale

Au début de la Première guerre mondiale, il est engagé en Lorraine et se distingue lors des combats. Il est blessé à la bataille de Morhange (1914) le 20 août, puis en Belgique le 11 novembre 1914. Détaché à la direction de l’infanterie en février 1915, il est nommé chef de bataillon en juillet 1917, puis chef d’état-major de la 62e Division d’Infanterie le 11 septembre de la même année, et conserve cet emploi jusqu'à la fin de la guerre.

Entre-deux-guerres

Après la guerre, il fut d’abord envoyé en mission en Tchécoslovaquie à partir de février 1919, puis affecté à l’état-major particulier du maréchal Franchet d'Esperey le 23 septembre 1920. Il fut ensuite employé au 158eR.I. (septembre 1925) et fut promu lieutenant-colonel le 25 décembre de cette même année. Parmi ses fonctions, il occupa, entre autres, celle de membre de la commission d’organisation des régions fortifiées de Strasbourg (novembre 1927). Il retrouva l’état-major du maréchal Franchet d'Esperey le 15 juin 1929, auquel il est de nouveau attaché.

Il fut nommé colonel le 25 mars 1931, avant de devenir stagiaire au Centre des hautes études militaires de juillet 1931 à juillet 1932. Il devint général de brigade le 11 juin 1935. Après avoir commandé le 31e D.I. à Montpellier le 22 mars 1938, il fut promu général de division le 22 décembre 1938, tout en conservant son commandement.

Seconde guerre mondiale

Ihler fut mis à la tête du IXe Corps d’Armée lors de la Seconde guerre mondiale, le 21 mai 1940. La drôle de Guerre se termina le 10 mai 1940, date à laquelle l’Allemagne lança son offensive à l'ouest. Le généralissime Weygand constitua un front allant de la Somme à l’Aisne, afin de contenir l’avance allemande, notamment durant l’évacuation des troupes franco-britanniques à Dunkerque. Mais le front cède, les populations civiles étant contraintes à l'exode pendant que les Allemands arrivaient de partout. Le gouvernement se replia sur la Loire puis à Bordeaux.

Marcel Ihler quant à lui réussit à réunir à l’ouest de la Bresle la plus grande partie de son corps d’armée, et ce malgré la menace des engins blindés ennemis. Malheureusement, il est fait prisonnier le 12 juin 1940 par Rommel. Envoyé en Allemagne, il resta en captivité jusqu'au 11 mai 1945.

Bibliographie

Jacques MéchinSoixante jours qui ébranlèrent l'Occident 10 mai-10 juillet 1940, Paris, R. Laffont, coll. « Bouquins », 1981, 1029 p

 
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Notes et références                                                  
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Fernandel : Discographie

Fernandel : Discographie

 

Discographie

78 tours

Polydor

512278 : La Rue de la manutention

512572 : La Caissière du Grand Café

512573 : C'est Suzette - La Caissière du Grand Café

521863 : Les Deux Bègues - Chez le photographe (scènes comiques avec Riandres)

521864 : La Lecture à la caserne - La bicyclette (sketchs comiques avec Riandres)

521887 : Moi, je vais au cinéma

521940 : La Rue de la manutention

522012 : Folatrerie

522022 : Fibremol fait des fredaines

522101 : Cunégonde

522165 : Maintenant je sais c'que c'est - Quand ça me prend

522166 : Le Père la Puce

522246 : Aventure galante

522247 : Bridou au cinéma - A cause du bilboquet

522248 : Ne te plains pas

522316 : Les deux chasseurs - Antoine et Gustave (scènes marseillaises avec Andrex)

522461 : Ah! dis donc - Oh! Jules

522490 : La Leçon d'histoire

522703 : C'est la terreur de la pampa - C'est au rythme d'un tango

522731 : Le Coq du régiment - Quand on est de corvée

522732 : Agathe - Je suis l'homme qu'il vous faut

522788 : Représentation théâtrale - Terrible rencontre (sketchs avec Andrex)

522801 : Quand il y a d'l'amour - On m'a

524010 : La Leçon d'histoire (avec Andrex)

Odéon

166768 : Celle à qui je plais - Milliardaire

166803 : J'ai des tout petits besoins

166818 : C'est dans la ma-ma - Dans la flotte

166867 : Lui et moi

166869 : Tiens, voilà Lafleur -Valse de Rosalie

166876 : Quand on est obligeant - Faut tout prendre du bon côté

166961 : Mimile et Totor

166981 : Dites-lui mon amour

166983 : Ignace - La Java des petits galons

166984 : Redis-le-me (avec Marie Bizet)

Columbia

DF 1914 : Ignace - Lequel des deux ?

DF 1915 : Quelle famille

DF 1916 : Pour être ordonnance

DF 2034 : Célestine - C'est la fête à Tante Aurore

DF 2088 : C'est toujours comme ça - Les Dégourdis

DF 2119 : Je vais au zoo avec Zizi

DF 2220 : Je te veux (avec Germaine Duclos)

DF 2343 : Scène de l'épicerie

DF 2347 : Barnabé - Ne me dis plus « tu »

DF 2367 : L'Amour incompris

DF 2515 : Si je jouais du trombone - Un dur, un vrai, un tatoué

DF 2525 : Ma créole - Ernestito

DF 2526 : C'est comme ça à Calcutta - Je suis une petite nature

DF 2601 : Pourquoi tu me vexes, Victor ? - La Chanson du forçat

DF 2602 : T'aimer une demi journée - Politesse

DF 2616 : Félicie aussi

DF 2759 : Hector - Moi, je mâche du chewing-gum

DF 2830 : Je connais des baisers - J'aim' toutes les femmes

DF 2874 : Les Jours sans

DF 2905 : On m'appelle Simplet

DF 3129 : Un... deux... trois - Faut pas bouder Bouddha

DF 3138 : Je n'peux pas m'expliquer - Faut pas bouder Bouddha

DF 3139 : Faut pas bouder Bouddha ! - Un...deux...trois

DF 3162 : J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cococo cocococotte

DF 3163 : Je suis irrésistible - O mio amore

DF 3276 : "Ignace (face A)1

Decca

MB 8200 : Alors ils l'ont fait - C'est un dur

MB 8201 : Nono et Nana - Sur le bout de la banquette

8202 : La caissière du grand café - Elle a de la barbe

8203 : Mon cœur saigne pour toi - Irma la voyante

MB 20960 : Le Schpountz

MB 20755 : Extraordinaire - De bas en haut

MF 168 : Je suis marqué par le destin

MF 170 : Dans la brousse

36025 : Veillée mortuaire - Échangerais 5 pièces

36030 : Timidité

Fumière

Ah c'que t'es bath avec ton petit chapeau - Va pleurer dans ta cour

Rythme

C2 144 R : Si j'étais papillon - Oui mais quand on n'a pas le sou

C2 145 R : Adrien - Voulez-vous m'aimer...

45 tours (EP)

Odéon

MOE 2183 : Ignace : La Java des p'tits galons - Redis-le-me - Pour être ordonnance - Lequel des deux (avec M. Bizet) - La Mexicana (avec Andrex)

Decca

1955:

455.543 : Lettres de mon moulin : La Chèvre de monsieur Seguin

455.544 : Lettres de mon moulin : Le Curé de Cucugnan

455.572 : Monsieur Badin - La Lettre chargée

455.583 : Lettres de mon moulin : Les Vieux ;

455.585 : Jeux de mots, jeux de poètes

1956:

455.611 : Lettres de mon moulin : Les Trois Messes basses

455.617 : L'Innocent - Ma femme fait du judo

455.618 : Honoré de Marseille : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir, quel travail - Oh ! Honoré

1957:

455.622 : Fables de La Fontaine

455.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre

455.624 : Ce bon curé d'Aulan

455638 : Lettres de mon moulin : Le Secret de maître Cornille

1958:

455.617 : L' Innocent - Ma femme fait du judo

455.702 : Fernandel dit Robert Lamoureux : Éloge de la fatigue - Passé simple - Merci maman - Enfantillage

460.543 : La Chèvre de monsieur Seguin

460.544 : Le Curé de Cucugnan

460.572 : La Lettre chargée - Monsieur Badin

460.583 : Les Vieux

460.585 : Jeux de mots, jeux de poètes

460.611 : Les Trois messes basses

460.618 : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir ! quel travail ! - Oh ! Honoré

460.622 : Fables de La Fontaine : Le Loup et l'Agneau - La Cigale et la Fourmi - Le Lièvre et la Tortue - Le Savetier et le Financier - Le Corbeau et le Renard - Le Loup et le Chien - Le Lion et le Moucheron

460.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre

460.638 : Le Secret de maître Cornille

460.677 : L' Innocent - Ma femme fait du judo

1959:

460.699 : Lettres de mon moulin : Les Vieux (Les Étoiles ?)

460.706 : En vrac

460.721 : Noël en Provence : Noël - Crèche - Ma Provence et les santons - Ma Provence

1960:

460.725 : Gribiche

460.733 : L'Arlésienne

1961:

460.738 : Un bouquet de chansons : J'aurais voulu - Ma Gretchen de München - Ah ! le tango corse

460.748 : Fernandel chante pour les enfants : Les Petits Chatons - Le Petit Âne gris - Grenouillette - Frisepoulet

1962:

460.750 : Ne frotte pas, François - La Chanson du cabanon - Oh ! Ma quique - Entre donc, fada

1963:

460.753 : L' Accent provençal - Elle n' est pas jolie - La Saison des petits pois - Le Tango d'amour

460.755 : Tangos : Le Tango corse - C'est du gâteau - Le Tango d'amour - Je suis marqué par le destin

460.772 : Fais-moi des bleus - Les gens riaient - Partir pour revenir - Tango du bistouri

460.804 : Le Cul du berger - La Bouillabaisse - L'Accent - Aujourd'hui peut-être

1964:

460.858 : La Communion du village - Le Linot aveugle

460.886 : Je fais ma valise - Les Moustaches de Thomas - Moi z'et mon chien - C'est un dur

460.887 : Ce que j' ai - C'est du gâteau - Les gens riaient - Le Tango corse

1966:

460.982 : Il en est - Bagnoles, pépées, pépettes - Le Torero fatigué - Si je puis m' exprimer ainsi

460.983 : Quand il pleut à St-Tropez - Les Vieux Villages de Provence - Ma jolie cigale - Le Mistral

460.998 : Histoires provencales : Le Papé - La Liste

461.000 : Contes de Provence : Dans notre midi - Les Petits Métiers de Provence

1968:

461.154 : Palmarès de Fernandel : Les Moustaches de Thomas - Les gens riaient - Il en est - Si je puis m'exprimer ainsi

461.178 : L'Âne qui avait l'accent - La Fille de Monsieur Seguin - Pervenche

1969:

461.193 : Le Menteur - Le Retour - L'Anis

461.196 : Le Tango corse - La Bouillabaise - La Chanson du cabanon - Le Cul du berger

79.562 : Si tu touches à mon oiseau - Ah! si tu étais une femme!

33 tours

25 cm

Polydor

530.019 : Fernandel et Andrex : Au marché central - Les Deux Déménageurs - La Leçon d'histoire - La Lecture à la caserne - Olive et le Parisien - Les Deux Bègues - Chez le photographe

Decca

133.022 : Lettres de mon moulin (1) : Le Curé de Cucugnan - La Chèvre de monsieur Seguin

133.023 : Lettres de mon moulin (2) : Les Vieux - Les Trois Messes basses (2 pochettes)

133.045 : Le Petit Monde de don Camillo

163.144 : Le Retour de don Camillo

133.145 : Lettres de mon moulin (3) : Le Secret de maître Cornille - Les Étoiles

133.146 : Lettres de mon moulin (4) : L'Arlésienne - La Mule du pape

133.147 : Contes du lundi : La Dernière Classe - La Défense de Tarascon

133.506 : Honoré de Marseille : Honoré part à la pêche - On en fait une - Honoré maître tailleur - Le Tram de la mer - Les Petits Métiers - À la foire aux santons

133.516 : Contes et nouvelles de Provence (1) : Les Haricots de Pitalugue - Communion au village - Le Linot aveugle

133.517 : Contes et nouvelles de Provence (2): L'Âne de Nazaire - Pessègue et Tigassou - Mon ami Naz - La Clef de l'oncle

133.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire

133.522 : Un client sérieux - La Lettre chargée

133.523 : La Paix chez soi - Monsieur Badin

133.628 : Au soleil du midi (L'Accent)

133.713 : Lettres de mon moulin (5) : La Diligence de Beaucaire - Le Sous-préfet aux champs - L'Élixir du révérend père Gaucher

163.144 : Le Retour de don Camillo

163.749 : Le Médecin malgré lui

163.587 : Le Curé de Cucugnan - Ce bon curé d'Aulan

163.790 : Tartarin de Tarascon

133.834 : Les Chansons du comique-troupier : On r'vient - Ça que j'ai - Au fond du square - Ça fait plaisir - Suzon la blanchisseuse - Moi-z'et mon chien - Son parapluie - Avec l'ami Bidasse

133.835 : Les Monologues de Louis Bousquet : J'suis l'ordonnance - Ah! Mince alors - Eh, ben mon vieux - L'as-tu dit ou l'as-tu pas dit - Faut bien rire un peu - Il a des galons - Balaye la chambre - Y'a rien d'plus sérieux - Il a de l'argent - S'i'y avait pas les soldats

133.843 : Ce bon frère Boniface - Saint Antoine

133.844 : Ce bon curé d'Aulan

133.845 : Le Retour des cloches - Noël - L'Innocent - L'Hôpital - Les Danseurs de Jonquières - L'Accent

133.846 : Le Joueur

133.873 : Pierre et le Loup

35.500 : Réédition (?)

133.885 : Le Schpountz

133.912 : Fernandel dans son tour de chant : C'est du gâteau - Ma femme fait du judo - Le Papa de Pepa - L'Innocent - Je suis marqué par le destin - Félicie aussi - Le Beau Raccommodeur - Nono et Nana

133.927 : Histoires marseillaises

133.952 : Lettres de mon moulin : Nostalgie de caserne - En Camargue : Le Départ - La Cabane - Le Rouge et le Noir - Le Vaccares

133.954 : La Création du monde

133.958 : Cocagne

133.959 : Les Succès du comique-troupier (2) : J'suis content, content - Maintenant que j'suis soldat - Ma bouffarde - Elle boîte - Agathe - Si je pouvais en faire autant

133.978 : Quand un livreur : Le Bar du marché - Naïs

134.076 : Contes de Provence : Le Foin du père Antoine - Un trésor est caché dedans - Les Petites Vieilles - La fortune vient en dormant

Columbia

FP 1155 : Les Belles Années du music-hall : Un dur, un vrai, un tatoué - On m'appelle Simplet - La Fille du teinturier - Ne me dis plus « tu » - Barnabé - Elle a tout ça - Félicie aussi - Ignace

30 cm

Decca

133.144 : Le Retour de don Camillo

163.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire

FMT 133522 : Un client sérieux - la Lettre chargée

163.522 : Un client sérieux - la Lettre chargée

163.749 : Le Médecin malgré lui

163.790 : Tartarin de Tarascon

163.885 : Le Schpountz

105.034 : Réédition

163.999 : Tartarin sur les Alpes

164.041 : Histoires méchantes de Pierre Doris

100.074 : Le Petit Monde de don Camillo

164.050 : Le Petit Monde de don Camillo

30514 : Réédition

40.195 : Ses chansons les plus célèbres

100.049/50 : Ignace (l'intégrale)

100.058 : Le Palmarès de Fernandel

100.076 : Le 2e Palmarès de Fernandel

100.086 : Les Succès du comique-troupier

164.112 : Réédition

100.090 : Le 3e Palmarès de Fernandel

110.007 : Ma Provence à moi

110.015 : 13 Sketchs hilarants

115.017-22 : Lettres de mon moulin (volumes 1 à 6)

100023/6 : Lettres de mon moulin

115.024 : Ignace

154 188 : L'Agnelet de la crèche

164 082 : Lettres de mon moulin

SSL 40211/16 : Lettres de mon moulin (coffret 6 disques)

40236/7 : Mam'zelle Nitouche

99050/52 : Les Disques d'or (coffret 3 disques)

40.218 : Interdit aux moins de 18 ans

Impact

6886 144 : La Caissière du Grand Café

Emi

178 15408/9 : Félicie aussi

Columbia

C 054 15284 : Du caf'conc' au music-hall

Véga / France Loisirs

340.004 : Fables de La Fontaine

Fontana

826 524 : La Berdouillette

115.051/52 : Fernandel, c'est moi

CMF

18/19 : La Fille du puisatier

Carrère

67.757 : Ignace (album 2 disques)

Livres-disques

Decca

EPI 80 : Ali Baba

EPI 82 : Aladin et la Lampe merveilleuse

Musique de films

Vogue EPL 7590 : Le Grand Chef

Bel Air 211 132 : La Cuisine au beurre (EP)

Bel Air 211 199 : Relaxe-toi, chérie (EP)

Columbia 1752 : La Bourse et la Vie (SP)

Compilations

Compact disc

Polygram 836 945 - 2 : Expression (1989) : La Caissière du Grand Café - La Java du soldat - La Fossette de Lisette - Comment qu'ça s'fait ? - Agathe - Idylle bretonne - Le Coq du régiment - Folâtrerie - Pour quelle raison - C'est beau la nature - Je suis l'homme qu'il vous faut - Tous les trois - La Berdouillette - J'étais bien servi - Elle disait non - Biniou et Cornemuse - Il a du piston - Si Marie voulait.

EMI 795738-2 : L'Accent du soleil (1990) : Ignace - Quelle famille - Redis-le-me - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Ne me dis plus « tu » - Le Schpountz - Barnabé - Un dur, un vrai, un tatoué - L'Amour incompris - C'est comme ça à Calcutta - Je me mens - Félicie aussi - Francine - On n'est jamais seul - Idylle à Bois-Le-Roi - Hector - Je connais des baisers - On m'appelle Simplet - Attente - Le Papa de Pépa - La Fille du teinturier - Elle a tout ça - J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cocorico, cocoricotte - Je suis irrésistible - O mio amore - Je n'peux pas m'expliquer - Un...deux...trois - J'ai un beau chapeau - La Chèvre de monsieur Seguin - Le Curé de Cucugnan.

Orphée 302.615 WM 321 : Ciné-stars (1993) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Le Papa de Pépa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - Ignace.

Orphée 302.323 : L'Âge d'or de la chanson française (1994) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Ernestito - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - Maintenant je sais c'que c'est - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Dites-lui mon amour - Le Papa de Pepa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - J'aime toutes les femmes - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - T'aimer une demi-journée - Ignace.

Atlas CD REF : Inoubliable Fernandel (1995) : Félicie aussi - Ignace - Quelle famille - L'Amour incompris - Barnabé - Je suis une petite nature - Ernestito - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Un dur, un vrai, un tatoué - C'est toujours comme ça - Lequel des deux - Redis-le me - Si j'osais - C'est la fête à Tante Aurore - C'est une voleuse d'âme - Ne me dis plus « tu » - Maintenant, je sais ce que c'est - Quand ça me prend - C'est comme ça à Calcutta - Idylle à Bois-Le-Roi.

Disky FSI 646762 : Les Légendes d'or (2001) : Félicie aussi - Ignace - Hector - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - À l'infirmerie - La Fille du teinturier - Quelle famille - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Idylle à Bois-Le-Roi - Francine - On n'est jamais seul - Je connais des baisers - L'Amour incompris.

 

Autres

Belgique (discographie

45 tours (E.P.)

26174 : Le Schpountz (avec Henri Vilbert)

27001 : La Chèvre de monsieur Seguin

27002 : Le Curé de Cucugnan

27003 : Les Vieux

27004 : Les Trois Messes basses

27005 : Le Secret de maître Cornille

27006 : Le Sous-préfet aux champs

27007 : Les Étoiles

27012 : Les Fables de La Fontaine

210028: Le Tango corse

210061: Les Moustaches de Thomas

113016: Ignace

Ressorties CD

RTR 222 : Collection rétro (1999) : Ignace - Redis-le me - Barnabé - Ne me dis plus tu - Je vais au zoo avec Zizi - Un homme - La Caissière du Grand Café - Hector - Un dur, un vrai, un tatoué - Félicie aussi - L'Amour incompris - Comment qu'ça s'fait ? - Les Dégourdis - C'est comme ça à Calcutta - Pour que vous m'eussiez dit « oui » - On m'appelle Simplet - Le Papa de Pepa - La Fille du teinturier - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Elle a tout ça.

Cassettes audio

Radio France K 1633: Radioscopie (enregistrée le 19 mars 1969)

 

Biographie

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Fernandel : Filmographie

Fernandel : Filmographie

 

Longs-métrages

1931 : Le Blanc et le Noir de Robert Florey : Le groom vierge

1931 : Bric à Brac et Compagnie : Fernand

1931 : On purge bébé de Jean Renoir : Le cousin Horace Truchet

1931 : Paris Béguin d'Augusto Genina : Ficelle, un petit truand

1931 : Cœur de lilas d'Anatole Litvak : Le garçon d'honneur

1931 : Le Rosier de Madame Husson de Bernard Deschamp : Isidore, le rosier

1932 : Pas de femmes de Mario Bonnard : Casimir

1932 : Un homme sans nom de Gustav Ucicky : Julot

1932 : Les Gaîtés de l'escadron de Maurice Tourneur : Le soldat Vanderague, le brimé

1932 : le Jugement de minuit (ou Le Vengeur) d'Alexandre Esway : Sam Hackitt

1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage : Le soldat Médard

1933 : L'Ordonnance de Victor Tourjansky : Étienne

1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra : Eloi, le chauffeur

1933 : La Garnison amoureuse de Max de Vaucorbeil : Le deuxième classe Frédéric

1933 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Méchelet, le camarade d'Adémaï

1933 : La Porteuse de pain de René Sti : Billenbuis, un boulanger

1934 : Une nuit de folies de Maurice Cammage : Fernand, le barman

1934 : Le Chéri de sa concierge de Giuseppe Guarino : Eugène Crochard

1934 : L'Hôtel du libre échange de Marc Allégret : Boulot, le garçon d'étage

1934 : Le Train de 8 heures 47 d'Henry Wulschleger : Le cavalier Croquebol

1934 : Angèle de Marcel Pagnol : Saturnin, le valet de ferme

1934 : Les Bleus de la marine de Maurice Cammage : Lafraise, un marin du "Victorieux"

1934 : Le Cavalier Lafleur de Pierre-Jean Ducis : Fernand Gaëtan Lafleur, le réserviste

1935 : Ferdinand le noceur de René Sti : Fernand Piat, préparateur en pharmacie

1935 : Jim la Houlette d'André Berthomieu : Jacques Moluchet, écrivain "nègre"

1935 : Les Gaietés de la finance (ou Bengali VII) de Jack Forrester : Le banquier Marivol - Le tailleur Lambinet

1936 : Un de la légion de Christian-Jaque : Fernand Esculape Siméon Espitalion

1937 : Josette de Christian-Jaque : Albert Durandal

1937 : François 1er (ou Les Amours de la Ferronnière) de Christian-Jaque : Honorin, régisseur de théâtre - Honorin des Meldeuses

1937 : Les Dégourdis de la 11e de Christian-Jaque : L'ordonnace Patard, le premier dégourdi

1937 : Ignace de Pierre Colombier : Ignace Boitaclou, jeune paysan incorporé

1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : Fabien Coutissol, le coiffeur

1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier : Fernand, garçon de café

1937 : Regain (ou Arsule) de Marcel Pagnol : Urbain Gédémus, le rémouleur

1938 : Hercule (ou L'Incorruptible) d'Alexandre Esway : Hercule Maffre, pêcheur provençal, héritant d'un grand journal

1938 : Le Schpountz (ou La Fausse vocation) de Marcel Pagnol : Irénée Fabre, commis-épicier

1938 : Barnabé d'Alexander Esway : Barnabé, flûtiste occasionnel

1938 : Ernest le rebelle de Christian-Jaque : Ernest Pic, steward accordéoniste à bord d'un navire

1938 : Tricoche et Cacolet de Pierre Colombier : Tricoche, détective privé

1939 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage : Armand Lavarède, le cousin de Mr Richard

1939 : Raphaël le tatoué (ou C'était moi) de Christian-Jaque : Modeste Manosque, veilleur de nuit alias "Raphaël"

1939 : Berlingot et Compagnie de Fernand Rivers : François, marchand de berlingots

1939 : Fric-Frac de Maurice Lehmann : Marcel, l'employé de la bijouterie

1939 : L'Héritier des Mondésir (ou C'est un mystère) d'Albert Valentin : Bien-Aimé, le facteur - Le baron de Mondésir et ses aïeux

 

1940 : Monsieur Hector (ou Le Nègre du Negresco) de Maurice Cammage : Hector, le valet de chambre

1940 : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol : Félipe Rambert, l'assistant de Pascal

1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin : Le berger

1941 : Un chapeau de paille d’Italie de Maurice Cammage : Fadinard, le jeune marié

1941 : L'Acrobate de Jean Boyer : Ernest Sauce, maître d'hôtel

1941 : Le Club des soupirants de Maurice Gleize : Antoine Valoisir, chasseur de papillons

1942 : Les Petits Riens de Raymond Leboursier : Mr Astier

1942 : Simplet de Fernandel: Simplet, le "fada" de Miéjour

1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer : Auguste, dit "Guste", pêcheur provençal

1942 : Ne le criez pas sur les toits de Jacques Daniel-Norman : Vincent Fleuret, préparateur du professeur Léonard

1943 : Une vie de chien (ou Médor) de Maurice Cammage : Gustave Bourdillon, professeur dans un institut

1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : Antonin

1943 : Adrien de Fernandel: Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier

1945 : Le Mystère Saint-Val de René Le Hénaff : Désiré Henri Le Sec, détective

1945 : Naïs de Marcel Pagnol et Raymond Leboursier : Toine, l'ouvrier agricole bossu

1946 : Les Gueux au paradis de René Le Hénaff : Pons, un joyeux drille

1946 : L'Aventure de Cabassou de Gilles Grangier : Marius Cabassou, architecte

1946 : Pétrus de Marc Allégret : Pétrus, photographe

1946 : Cœur de coq (ou Affaires de cœur) de Maurice Cloche : Tulipe Barbaroux, ouvrier imprimeur

1948 : Parade du rire de Roger Verdier

1948 : Émile l'Africain de Robert Vernay : Émile Boulard, accessoiriste

1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : Martial Gonfaron, aboyeur à la salle des ventes de Cassis

1948 : L'Armoire volante de Carlo Rim : Alfred Puc, percepteur

1949 : L'Héroïque Monsieur Boniface de Maurice Labro : Mr Boniface, étalagiste

1949 : On demande un assassin de Ernst Neubach : Bob Laurent, le fils de famille

 

1950 : Casimir de Richard Pottier : Casimir, représentant en aspirateurs

1950 : Meurtres de Richard Pottier : Noël Annequin, paysan et mari d'Isabelle

1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry : Fortuné Richard, clochard

1950 : Uniformes et grandes manœuvres de René Le Hénaff : Luc, portier du "Miramar"

1951 : Topaze de Marcel Pagnol : Albert Topaze, professeur à l'institution Muche

1951 : Boniface somnambule de Maurice Labro : Victor Boniface, détective dans un grand magasin

1951 : Je suis de la revue (Botta e riposta) de Mario Soldati : Fernand

1951 : Adhémar ou le jouet de la fatalité de Fernandel : Adhémar Pomme, ordonnateur de pompes funèbres, garde malade, souffleur...

1951 : L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara : Le moine

1951 : La Table-aux-crevés d'Henri Verneuil : Urbain Coindet, paysan et conseiller municipal

1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé

1952 : Coiffeur pour dames de Jean Boyer : Marius, dit "Mario", coiffeur pour dames

1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : Le docteur Charles Pellegrin

1953 : Le Boulanger de Valorgue d'Henri Verneuil : Félicien Hébrard, boulanger

1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé

1953 : Carnaval (ou Dardamelle) d'Henri Verneuil : Dardamelle, l'architecte

1953 : L'Ennemi public numéro un d'Henri Verneuil : Joé Calvet, l'américain myope

1954 : Mam'zelle Nitouche (Santarellina) d'Yves Allégret : Célestin Floridor, professeur de musique

1954 : Le Mouton à cinq pattes d'Henri Verneuil : Édouard Saint-Forget, le père - Alain, le fils esthéticien - Désiré, le fils laveur de vitres - Étienne, le fils loup de mer - Bernard, le fils journaliste - Charles, le fils curé

1954 : Ali Baba et les quarante voleurs de Jacques Becker : Ali Baba, le serviteur de Cassim

1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier : Fernand "Noël" Sarrazin, patron nougatier

1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone : Don Camillo, le curé

1956 : Le Couturier de ces dames de Jean Boyer : Fernand Vignard, couturier pour dames

1956 : Don Juan (El amor de Don Juan) de John Berry : Sganarelle, le valet de Don Juan

1956 : Honoré de Marseille de Maurice Regamey : Protis, le guerrier grec, Honorius, le romain et Honoré

1957 : Sous le ciel de Provence de Mario Soldati : Paul Verdier, représentant en chocolat

1957 : L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier : Albert Constantin, clarinettiste

1957 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (Around the World in Eighty Days) de Michael Anderson : Le cocher de fiacre à Paris

1957 : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer : Sénéchal, comédien d'une troupe théâtrale

1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Baptistin Lachoux, dit "Tistin", chômeur

1958 : À Paris tous les deux (Paris Holiday) de Gerd Oswald : Fernydel, l'artiste français

1958 : La loi, c'est la loi de Christian-Jaque : Ferdinand Pastorelli, douanier français

1958 : La Vie à deux de Clément Duhour : Marcel Caboufigue, mari de Marguerite

1958 : Les Vignes du seigneur de Jean Boyer : Henri Levrier, l'ami de la famille

1959 : Le Confident de ces dames de Jean Boyer : Guiliano Goberti, vétérinaire

1959 : Le Grand Chef d'Henri Verneuil : Antoine Venturen, employé d'une station-service

1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : Charles Bailly, prisonnier de guerre

Années 1960 et 70

1960 : Crésus de Jean Giono : Jules, le berger de Provence

1960 : Le Caïd de Bernard Borderie : Justin Migonet, professeur de philosophie

1961 : Cocagne de Maurice Cloche : Marc- Antoine, chauffeur de benne de nettoiement

1961 : Dynamite Jack de Jean Bastia : Antoine Espérendieu, collecteur d'impôts - Dynamite Jack, le bandit

1961 : Don Camillo Monseigneur de Carmine Gallone : Don Camillo, prêtre

1961 : Le Jugement dernier (Il giudizio universale) de Vittorio De Sica : Le veuf

1962 : L'assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon : Albert Rimoldi, timide employé de banque

1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier : L'homme qui se prend pour Dieu

1963 : En avant la musique de Georges Bianchi : Attilio Capellaro, aubergiste

1963 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier : Guillaume Dodut, chef de gare de Puget-sur-Var

1963 : Blague dans le coin de Maurice Labro : Jeff Burlington, le comique

1963 : Le Bon roi Dagobert de Pierre Chevalier : M. Pelletan et le roi Dagobert

1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier : Fernand Jouvin, prisonnier de guerre

1964 : Relaxe-toi chérie de Jean Boyer : François Faustin

1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier : Adolphe Lartigue, le père d'Antoine

1965 : Don Camillo en Russie de Luigi Comencini : Don Camillo, prêtre

1966 : La Bourse et la Vie de Jean-Pierre Mocky : Charles Migue, un collègue de Pelepan

1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière : Monsieur Quantin, fermier Jurassien

1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier : Armand Favrot, alias "Monsieur Jo", contrebandier

1970 : Heureux qui comme Ulysse d'Henri Colpi : Antonin, modeste garçon de ferme

1970 : Don Camillo et ses contestataires de Christian-Jaque : Don Camillo, prêtre - (Film inachevé)

À noter

Huit de ses films ont été colorisés (soit pour la télévision, soit pour des sorties VHS) : Les Rois du sport (1937), L'Auberge rouge (1951), Le Boulanger de Valorgue (1952), Le Couturier de ces dames (1956), Sénéchal le magnifique (1957), Le Grand Chef (1959), La Vache et le Prisonnier (1959) qui fût le premier film français traité par procédé électronique et La Cuisine au beurre (1963).

À noter également que Mam'zelle Nitouche (1954), Ali Baba et les Quarante voleurs (1954), Don Juan (1956), Sous le ciel de Provence (1957), Honoré de Marseille (1956), Le tour du monde en 80 jours (1957), A Paris tous les deux (1958), Dynamite Jack (1961), La Bourse et la vie (1966), Le Voyage du père (1966), L'Homme à la Buick (1968) et Heureux qui comme Ulysse (1970) ont été tournés directement en couleur (Eastmancolor où Technicolor).

Courts-métrages

1930 : La Meilleure Bobonne (ou Les 4 Jambes) de Marc Allégret et Claude Heymann : Lucien Pivoine

1930 : J'ai quelque chose à vous dire de Marc Allégret : Pierre Deneige, l'amant

1931 : Attaque nocturne de Marc Allégret et Jean de Marguenat : Le commissaire

1931 : La Fine Combine d'André Chotin : Joseph, le valet de chambre

1931 : Bric-a-brac et compagnie d'André Chotin : Fernand

1931 : Vive la classe (ou Les gaietés de l'escouade) de Maurice Cammage : Moussin

1931 : Pas un mot à ma femme d'André Chotin : Jules

1931 : Une brune piquante (ou La femme à barbe) de Serge de Poligny

1932 : Quand tu nous tiens, amour de Maurice Cammage

1932 : La Terreur de la Pampa de Maurice Cammage : Bill Forster, plongeur à Hollywood

1932 : Ordonnance malgré lui de Maurice Cammage : Alfred Leneveux, chauffeur du colonel

1932 : Un beau jour de noces de Maurice Cammage : Gustave Dupied, le marié

1932 : Comme une carpe (ou Le muet de Marseille) de Claude Heymann : Chatelard, le mari volage

1932 : Par habitude de Maurice Cammage : Valentin Bourgeasse, l'homme qui fait vœu d'ivresse

1932 : Restez dîner (ou Maruche) de Robert Péguy : Maruche, un ami de Blondel

1932 : La Claque de Robert Péguy

1932 : Cunégonde - Chanson filmée

1932 : Elle disait non - Chanson filmée

1933 : Ça colle de Christian-Jaque

1933 : Lidoire de Maurice Tourneur : Le cavalier Lidoire

1933: La Veine d'Anatole (ou Le Gros Lot) de Maurice Cammage

1943 : Guignol, marionnette de France de Maurice Cammage - Commentaire et présentation uniquement

1946 : Comédiens ambulants de Jean Canolle

1947 : 20 minutes de Fou Rire (ou Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé - Chansons filmées : "Irma la Voyante", "La Caissière du grand café", "Elle a de la barbe" et "Attente"

1947 : Irma la voyante de Antoine Toé : La voyante et un client

1947 : Escale au soleil d'Henri Verneuil : Le guide qui présente et commente le film

1950 : La Nuit des étoiles de Louis Fehr-Lutz - Participation au bal des petits lits blancs de Monte-Carlo

1950 : La Chèvre de Monsieur Seguin de Francis Gir - Commentaire du film

1956 : L'Art d'être papa (ou Le téléphone) de Maurice Regamey

1962 : Visages de Paris de Dominique Nohain

1969 : Tel est Franck de Jean-Paul Sassy (26 min) - Contient une chanson en duo avec son fils, sur l'amour

Publicités

Fernandel tourna également quelques publicités cinématographiques :

En 1938 pour le tabac de Virginie Week-end (2 minutes)

En 1945 pour vanter le cinéma dans le cadre d'une tombola (1 minute)

En 1965 avec Le discours au gâteau d'anniversaire pour l'apéritif Dubonnet (30 secondes)

Il participa aussi à un documentaire sur la publicité de 600 mètres "Nul bien sans peine" réalisé par Robert Lefèvre à la gloire de Paul Ricard, où il raconte la saga du père des alcools sur un commentaire de Jean Desailly, avec Mireille Darc.

Télévision

1966 : Paris ist eine Reise wert, téléfilm de Paul Martin : Un détective

1967 : L'Amateur ou S.O.S. Fernand série télévisée en 7 épisodes de 26 min : Fernand

Le Somnambule de Jean-Pierre Decourt

La Valise de Jean-Pierre Decourt

Le Sculpteur de Maurice Delbez

La Cleptomane de Louis Grospierre

Le Coup de fil de Jacques Pinoteau

La Princesse russe de Maurice Delbez

La Vicomtesse de Quentin Lawrence

1968 : Una Tranquilla Villeggiatura série TV de 7 épisodes réalisée par Camillo Mastrocinque pour la RAI

L'habit (Il frac)

L'hypnotiseur (A me gli occhi)

Le masseur (La bomba)

Simple coicidence

Terreur au château (Terrore al castello)

Nuit de noce (La notte di noze)

Une tranquille villégiature (Una tranquilla villegiatura)

1969 : Freddy, pièce de Robert Thomas réalisée pour la télévision par Igor Barrère et Alexandre Tarta : Freddy, le clown

Hommages

De 1975 à 1999, l'imitateur André Aubert devint le petit curé de campagne provençal Don Patillo dans les publicités télévisées pour les pâtes Panzani, et écrira même un livre à leur sujet en 1997 (Le Cherche midi).

À partir de 2007, des extraits en noir et blanc d'Honoré de Marseille servent à promouvoir l'huile d'olive Pugetdans des publicités à la télévision.

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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