Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 06.10.2024
18186 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1158)
· A à Z : Sommaire (348)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2689)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Monde : France

Hubert-Félix Thiéfaine

Hubert-Félix Thiéfaine

 

Hubert-Félix Thiéfaine, dit HFT, est un auteur-compositeur-interprète français né à Dole dans le Jura le 21 juillet 1948.

Bien que peu présent dans les grands médias, Hubert-Félix Thiéfaine a connu un succès relativement important tout au long de sa carrière : plusieurs de ses disques ont été consacrés disques d'or et ses concerts font régulièrement le plein grâce à la fidélité et l'attachement de son public. Il est marié à Francine Nicolas, qui est également son manager au sein de leur société, Lilith Productions, et avec qui il a eu deux garçons, Hugo et Lucas. Il vit actuellement au centre ville de Dijon.

La famille de Thiéfaine est originaire du village de Sampans, dans le Jura (son oncle y était curé), mais vivait à Dole. Fils d'une famille de six enfants (il fera une chanson pour ses parents intitulés When Maurice meets Alice dans l'album Scandale mélancolique), il passe sa scolarité dans plusieurs établissements de la ville tant publics que privés. Dans le même village vit le futur guitariste Claude Mairet, dont la carrière va être intimement liée à la sienne. Il passe quatre ans au petit séminaire en vue de devenir prêtre, puis s'inscrit à des études de psychologie à Besançon. C'est sur le campus de cette même ville qu'il rencontrera Tony Carbonare, futur collaborateur en tant que musicien, arrangeur et manager.

C'est avec lui qu'il ira à Paris tenter sa chance en 1971. Après des années très difficiles, à la demande de Tony Carbonare, il travaille avec le groupe Machin et réalise son premier album, Tout corps vivant branché sur le secteur étant appelé à s'émouvoir, composé de morceaux écrits dix ans auparavant. De la collaboration avec le groupe Machin et Tony Carbonare naissent au total trois albums dans lesquels les textes de Thiéfaine sont rehaussés par les arrangements baroques de Tony Carbonare. À partir de 1980, Thiéfaine s'oriente vers un style plus rock : citons l'album Soleil cherche futur qui a connu un certain succès avec la chanson "Lorelei sebasto cha" en 1982 et Alambic/Sortie sud, cosigné avec Claude Mairet à l'écriture musicale. En 1988, il rompt avec Claude Mairet et sa maison de disques Sterne, et enregistre deux albums aux États-Unis (Chroniques bluesymentales en 1990 et Fragments d'hébétude en 1993). Depuis les albums-miroirs La Tentation du Bonheur (1996) et Le Bonheur de la Tentation (1998), sa musique, volontiers mélancolique, s'ouvre aux nappes de synthétiseurs. En 1998, il remplit la salle de Bercy sans aucun appui des médias. Le concert fera l'objet d'un album et d'un DVD.

Son album Scandale mélancolique, sorti en 2005, porte bien son nom. Il y fait volontiers référence à un passé tantôt heureux, tantôt difficile, à un avenir incertain, ou encore à ses sources d'inspiration (le Jeu de la Folie). Le morceau Télégramme 2003, quant à lui, est un message de soutien à Bertrand Cantat. Sur cet album, Thiéfaine a choisi de collaborer avec de nouveaux musiciens, dont Matthieu Rabaté (batteur) et Philippe Paradis (guitariste), tous deux musiciens de Zazie. Il est l'auteur de tous les textes sauf un (That Angry Man on the Pier), et a laissé le soin à la jeune génération d'auteurs-compositeurs français (au nombre desquels on peut citer Cali ou encore Mickey 3D) de composer les musiques. Un album live (accompagné d'un DVD) enregistré lors du concert au Zénith de Paris le 17 novembre 2006 intitulé Scandale mélancolique tour a été également mis en vente.

Hubert est sollicité en 2007 pour composer des chansons pour le dernier opus blues de Johnny, de même que Paul Personne pour des musiques, le tout n'étant finalement pas retenu. Ce matériel sera la base de l'album Amicalement Blues, enregistré au Studio ICP à Bruxelles, qui sort le 12 novembre 2007. Une mini-tounrée, qui passe entre autres par l'Olympia, suivra en 2008.

En mars 2009, pour les "un peu plus que 30 ans de carrière", sort un best-off (que Thiéfaine nomme "best-hier"), Séquelles, en 3 CDs, comportant un titre inédit, Annihilation.

L'une de ses chansons les plus connues, La fille du coupeur de joints, figurant sur son premier album, traite, sous un aspect festif, de la consommation de cannabis. L'imagerie des « consommateurs de substances illicites » est un des thèmes récurrents de son œuvre, notamment dans Solexine et Ganja.

Parmi ses grands classiques Alligators 427, traitant de la peur de l'énergie nucléaire est surtout une ironique ode à la mort. Notons également Les Dingues et les paumés ou Lorelei Sebasto Cha.

Parmi ses thèmes de prédilection, la folie (Le Jeu de la folie), la critique de la société (Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot « coupable ») et la mort (Maison Borniol).

Chanteur-poète écorché vif, évoluant toujours aux marges du langage institué, il tire son inspiration d'écrivains comme Rimbaud, Baudelaire ou Lautréamont qu'il cite dans ses textes. Sa créativité n'a jamais perdu l'humour truculent (Psychanalyse du singe), voire le non-sens (22 mai) de ses débuts, mais le cynisme (La Terre tremble) et le désespoir (Crépuscule-Transfert) y ont une part plus importante. Il sait célébrer tous les plaisirs (Sentiments numériques revisités): sexe, drogues... et rock'n roll. C'est le maître des ambiances à la fois décadentes (Cabaret Sainte-Lilith) et charmeuses, rejoignant souvent la puissance imaginaire et artistique d'un Manset, d'un Gainsbourg ou d'un Léo Ferré.

La "psychanalyse du singe" ne découle pas réellement d'un humour truculent. Ce que l'on appelle le "singe" est en fait une métaphore pour désigner l'attachement à une drogue créant une dépendance importante. Lire "Le festin nu" de William Burroughs. Le "singe" s'agrippe à votre nuque et ne la lâche plus... La "psychanalyse du singe" est donc un hommage à cet auteur américain de la beat generation, et une descente aux enfers dans le monde halluciné de la drogue. "Psychanalyse du singe" est assez représentative du livre de Burroughs. Hubert-Félix Thiéfaine ne trouve pas uniquement ses influences dans la poésie française, les auteurs de la beat generation forment une part importante de cette "influence".

La plupart de ses textes sont des odes à la vie, ou du moins, à la manière de l'approcher, et à la mort. Entre ces deux extrêmes, on rencontre l'éloge de la folie, de la littérature, de la drogue, et malgré tout, du genre humain... Hubert-Félix Thiéfaine est un auteur interprète incontournable de notre époque. Il a su mettre en musique, seul ou accompagné, ses propres œuvres, véritables représentations d'une ère déjantée et douloureuse. Hubert-Félix Thiéfaine est, à l'instar d'Arthur Rimbaud, de Carl Gustav Jung ou encore de Léo Ferré, le traducteur impénitent du mal-être profond de notre millénaire. Ses mots durs ou mélancoliques savent percer notre cœur et vagabonder jusqu'à l'âme.

 

 

Hubert-Félix Thiéfaine | Le site officiel | Le site officiel d'Hubert-Félix ...

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Musique : Sommaire
    Musique : Postes (Sommaire)
    Hubert-Félix Thiéfaine
    Hubert-Félix Thiéfaine
    Hubert-Félix Thiéfaine - tout corps vivant
    Hubert-Félix Thiéfaine - Suppléments de mensonge
    Hubert-Félix Thiéfaine : La fille du coupeur de joint
    Hubert-Félix Thiéfaine : La ruelle des morts
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Le Parfum de Mathilde

Publié à 18:01 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog fantastique film prix sur merci france homme musique femme cadre message
Le Parfum de Mathilde



 

Le Parfum de Mathilde, film pornographique français réalisé par Marc Dorcel, sur un scénario de Jean Rollin, sorti en vidéo en 1994.

 

Une Rolls-Royce roule dans la campagne menant une jeune orpheline ingénue, nommée Eva, accompagnée de son oncle et de sa tante, vers l’homme qu’elle vient d’épouser et qu’elle ne connaît pas encore (?). Cet homme, Sir Remy, est un veuf éploré habitant d’une vaste demeure peuplée d’invités et de domestiques qui se livrent à une frénésie sexuelle permanente en faisant fi des barrières sociales. Sir Remy vit dans le souvenir de sa regrettée épouse, Mathilde, une femme dont Eva est le parfait sosie et qui lui infligeait de multiples tourments en se livrant à tous les hommes qui la désiraient. Il médite de se venger du souvenir de sa défunte femme en faisant subir à la jeune vierge les derniers outrages lors d’une cérémonie publique. Mais la jeune innocente, que la fréquentation du domaine et de ses perversions a instruite, se révèle une nouvelle hétaïre, réincarnation de la défunte Mathilde et résolue à faire subir de nouveaux et multiples tourments au malheureux châtelain.

Commentaires

La perversion d’une ingénue est un thème classique et récurrent du cinéma pornographique (voir par exempleJe suis à prendrede Francis Leroi ouL'Indécente aux enferségalement de Marc Dorcel). Cet argument fournit un cadre pratique permettant d’enchaîner les scènes selon une progression qui culmine dans une orgie finale où l’ingénue se révèle et s’épanouit par la débauche. Il y a presque un message et une justification dans cette fin qui hésite entre le prétexte et la morale.

C’est l'un des derniers films de Julia Chanel qui, pour cette occasion, tient le rôle de la soubrette perverse chargée d’initier l’innocente. Elle y réalise une mémorable scène de triolisme assortie d’une double pénétration ainsi qu’une brève mais langoureuse scène de bain solitaire.

Draghixa dans le rôle de l’ingénue et de l’épouse perverse alterne tour à tour les mimiques effarouchées et les scènes de sexualité débridée. Vêtue de voiles vaporeux, blancs puis noirs, elle gratifie le spectateur de deux strip-tease où s'exprime toute sa sensualité dans un cadre d'ambiance quasi fantastique, en particulier dans la scène finale.

À noter également qu'un nain voyeur fait son apparition de temps a autres (Thomas Santini, dont il s'agit du premier film).

Ce film a remporté plusieurs prix dont deux sont revenus à son actrice principale : Award du meilleur film européen à Las Vegas, meilleur film européen et meilleure actrice française pour Draghixa à Bruxelles, Hot d'Or du meilleur scénario européen et de la meilleure actrice européenne pour Draghixa.

Fiche technique

Titre :Le parfum de Mathilde

Réalisateur : Marc Dorcel

Scénario : Jean Rollin

Directeur de la photographie : Serge de Beaurivage

Montage : Norma Pouliopoulos

Musique : Marc Dorcel

Éditeur : Vidéo Marc Dorcel

Date de sortie : 1994

Durée : 90 min

Pays : France

Genre : pornographie

Interdit aux moins de 18 ans

Distribution

Draghixa : Mathilde (l’orpheline) et Eva (épouse défunte de Sir Rémy)

Julia Channel: Sophie, la soubrette perverse

Christophe Clark : Sir Rémy

Maéva : la tante Anna

Marc Dorcel : l’oncle

Elodie Chérie : la cuisinière

Et Simona Valli, Erica Bella, Elisabeth Stone, Eric Weiss, Richard Langin, David Perry, Thomas Santini, Manon, Kathy

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Bazoum

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

Le Mur de l'Atlantique

Publié à 17:40 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog femme sur merci saint chez musique travail société rose fille bleu film
Le Mur de l'Atlantique

Le Mur de l'Atlantique est un film français, réalisé par Marcel Camus et sorti en 1970.

 

Durant la Seconde guerre mondiale, sous l’occupation, peu avant la bataille de Normandie, Léon Duchemin, un paisible restaurateur que sa femme a quitté vingt ans auparavant, vit en compagnie de Maria, sa sœur farfelue et de sa fille Juliette, devenue une jeune femme. Ses clients représentent toute la faune allant du chauffeur de Rommel, aux résistants et aux trafiquants du marché noir.

 

Un soir, durant un raid aérien, Jeff, un aviateur britannique dont l’avion a été abattu, tombe quasiment dans la chambre de Juliette. Le lendemain, Léon qui se trouvait alors chez Charlus, l'artisan qui devait se charger de repeindre sa devanture, est pris pour le peintre en question et est emmené à la Kommandantur, où on a un travail similaire à lui proposer. Léon emporte par inadvertance un plan secret concernant les fameux V1. Ayant fait la connaissance de Jeff qui comprend l’intérêt de la découverte faite par Léon, ce dernier est donc obligé de joindre la Résistance qui fait passer les deux hommes en Angleterre. Léon se retrouve alors dans un camp d'entraînement de l'armée britannique, sous les ordres de Jeff lui-même. Il ne sait pas encore que sa fille Juliette est enceinte et que l’aviateur va devenir son gendre…

 

 

Fiche technique

 

Réalisation : Marcel Camus

Scénario : D'après une idée du colonel Rémy

Adaptation : Marcel Jullian, Marcel Camus

Dialogues : Marcel Jullian

Assistant réalisateur : Alain Corneau

Assistant réalisateur séquences actions : Claude Carliez, actions voitures et motos : Rémy Julienne

Conseiller pour l'aviation : Henri Hugen

Images : Alain Levent

Opérateur : Armand Marco, assisté de Roger Gleize, Pierre Levent

Musique : Claude Bolling (Éditions Bleu, Blanc, Rouge)

Chansons du film "God bless rugby" de Jack Fischman et Claude Bolling - "Kamerald die rosen blühn" de Josuh Rockelein et Claude Bolling

Décors : Pierre Guffroy, assisté de Albert Rajau

Son : Jean-Pierre Ruh, assisté de Guy Odet

Montage : Andrée Camuseix, assistée de Arlette Lalande

Mixage : Jacques Carrère, Claude Volland

Script-boy : Patrick Aubree

Photographe de plateau : Jean Klissak

Costumes : Michèle Richer

Habilleuse : Annie Marolt, Rose Daver, Denise Duke

Maquillage : René Daudu

Accessoirise, effets spéciaux : Roger Bollengier

Artificier : Ruggieri

Collection de voitures et motos : Jean Marratier

Ensemblier : Guy Maugin

Administrateur : Jacques Drouard

Régisseur général : Roger Ferret

Tirage : Laboratoire G.T.C Joinville

Pellicule 35mm, couleur par Eastmancolor

Production : Société Nouvelle de Cinéma, Fono Roma (Franco-Italienne)

Directeur de production : Roger Scipion

Directeurs adjoints : Alexandre de Grunwald et Bruna Drigo

Producteur exécutif : Georges de Beauregard

Tournage à partir du 6 avril 1970 à Barfleur (Manche), Saint-Waast (Angleterre), Londres, Medson, au camp de la Frileuse et pour les intérieurs dans les studios Eclairs d'Epinay-sur-Seine

Durée : 107 min

Première présentation

Genre : Comédie, Guerre

Visa d'exploitation : 31650

 

Distribution

 

Bourvil : Léon Duchemin, le restaurateur normand

 

Peter McEnery :Jeff, l'officier britannique, parachuté

Sophie Desmarets :Maria Duchemin, la sœur de Léon

Jean Poiret :Armand, le chef de la résistance, agent double chez les Allemands

Reinhard Kolldehoff :Le lieutenant Heinrich Jakobus Steinbichler dit: Totor

Sara Franchetti :Juliette Duchemin, la fille de Léon

Pino Caruso :Le lieutenant Friedrich, chauffeur

Terry-Thomas :Le commandant Perry

Roland Lesaffre :le faux résistant

Jacques Balutin :un gendarme résistant

Jean-Pierre Zola :Le colonel Muller

Georges Staquet :Hippolyte, le chef des résistants

Robert Le Béal :l'officier britannique

Jacques Préboist :Ernest

John Eppler :Rommel

Patrick Préjean :Un officier britannique

Annabel Leventon :Sybil

Jackie Rollin (Jackie Sardou) :Angèle Charlus

Janine Dill :Une passante

Antoine Baud :Le feldgendarme

Guy Delorme :Un soldat allemand

Rico Lopez :Albert

Anthony Stuart :Un officier britannique

Pierre Decazes :Un soldat S.S

Roger Lumont :Le cuisinier français

 Jess Hahn :Un colonel britannique

Michel Robin :Le cordonnier

Rudy Lenoir :Un sous-officier allemand

Robert Le Béal :Un officier britannique

Jean Rupert :L'ordonnance Perry

Yvon Lec :Charles

Fernand Guiot :Un soldat allemand

William Mervyn :L'évêque, père de Jeff

Billy Kearns :Le commandant du camp

Marcel Gassouk :Un commandant allemand

Jean Moulart :Un policier de la gestapo

Franck Williams :Le premier clergyman

Gerald Campion :Le second clergyman

Peter Myers :Un colonel R.A.F

Roger Guilho :Prunier, un cuisinier

Paul Savatier :Un gardien de prison

Roger Mailles :Un gendarme

Bernard Saint-Jacques :Un soldat S.S

Gilbert Romanier :Un sous-officier

Roger Rall :Un policier de la gestapo

Roger Trapp :Un clochard en prison

Norman Mitchell :Le premier bobby

Stephen Yardley :Le second bobby

Guy Allombert :Un officier allemand

Bill Horsley :Le patron de la R.A.F

Lucien Privat :La Doublure de Bourvil dans les cascades (non crédité)

Yvon Lec :Gédéon Charlus

Jacques Marbeuf

 

Autour du film

 

C'est le dernier film de Bourvil. Il mourut juste après la sortie du Cercle Rouge et du Mur de l'Atlantique.

 

Anecdote

 

John Eppler était l'aide de camp du vrai maréchal Rommel.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

Le Cinquième Élément

Le Cinquième Élément

 

Est un film français de science-fiction réalisé par Luc Besson, sorti en 1997 en France et présenté au Festival de Cannes. Il a fait 7 699 038 entrées en France.

 

Égypte, 1914. Un groupe de Mondo-shawans débarque sur Terre afin de récupérer quatre pierres représentant les quatre éléments de la vie, afin de les soustraire à l'arrivée imminente de la Première Guerre mondiale. Ils promettent de les rapporter dans 300 ans, lorsque le Mal reviendra, afin d'établir une paix durable. Mais à leur retour, trois siècles plus tard, leur vaisseau est détruit et les pierres disparaissent mystérieusement. Cependant, dans les décombres se trouve une main, à partir de laquelle les scientifiques parviennent à reconstituer Leeloo (Leeloo Minai Lekatariba-Laminai-Tchai Ekbat De Sebat) qui n'est autre que le cinquième élément, une jeune femme dotée d'étonnantes facultés. Alors qu'elle s'enfuit, elle tombe dans un taxi conduit par Korben Dallas...

 

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

 

Leeloo réussit à convaincre Korben de la conduire chez le prêtre Cornelius. Celui-ci lui résume l'histoire des cinq éléments et de l'arrivée imminente du mal. La dépositaire des pierres des quatre éléments, la diva Plavalaguna doit donner un récital à bord du vaisseau de croisière Fhloston Paradise. Mais les agents du mal, en la personne de Jean-Baptiste Emmanuel Zorg, un fabricant d'armes corrompu, et des Mangalores, un groupe de mercenaires, se lancent à leur poursuite malgré des divisions internes entre Zorg et les Mangalores. Après diverses péripéties, Korben, Leeloo et Cornelius arrivent à bord du Fhloston Paradise, où ils sont supposés rencontrer la diva Plavalaguna. À la fin du récital de cette dernière, une bataille provoquée par les Mangalores a lieu. La diva sera tuée mais elle donnera les pierres à Korben. Après avoir réuni Leeloo, le prêtre Cornelius et Ruby Rhod, un animateur de radio qui le suit depuis son arrivée à bord du vaisseau, ils s'échappent et retournent sur Terre, en Égypte, afin d'invoquer le cinquième élément et ainsi sauver l'humanité.

 

 

Fiche technique

 

Titre original : Le Cinquième Élément

Titre anglais : The Fifth Element

Réalisation : Luc Besson

Scénario : Luc Besson, Robert Mark Kamen

Musique : Éric Serra

Décors : Dan Weil

Costumes : Jean-Paul Gaultier

Photographie : Thierry Arbogast

Son : Daniel Brisseau

Montage: Sylvie Landra

 

Producteur :

Patrice Ledoux

Iain Smith (co-producteur)

John Alan Amicarella (associé)

Société de production : Gaumont

Distribution : Gaumont Buena Vista International

Budget : 90 000 000 $

Pays d'origine : France

Format : son Dolby Digital DTS, projection 2,35:1 Cinémascope, production 35mm

Durée : 126 minutes

Dates de sortie :

7 mai 1997 en salles et au festival du film de Cannes

8 mai 1997

9 mai 1997

 

Distribution

Bruce Willis (VF : Bernard Métraux) : Korben Dallas

 

Gary Oldman (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Jean-Baptiste Emanuel Zorg

Ian Holm (VF : Michel Ruhl) : Père Vito Cornelius

Milla Jovovich  (VF : Barbara Kelsch) : Leeloo (le 5e élément)

Chris Tucker (VF : Tom Novembre) : Ruby Rhod

Luke Perry : Billy

Brion James : Général Munro

Tommy "Tiny" Lister Jr.(VF : Jean-Michel Martial) : Président Lindberg

Lee Evans : Fog

Charlie Creed-Miles (VF : Julien Sibre) : David

Tricky : le bras droit de Zorg

John Neville (VF : Bernard Dhéran) : Général Staedert

John Bluthal : professeur Pacoli

Mathieu Kassovitz : Voleur dans le couloir de Korben Dallas

Christopher Fairbank : Mactilburgh

Kim Chan (VF : Jim Adhi Limas) : M. Kim

Julie T. Wallace : Iceborg Major

Al Matthews (VF : Vincent Grass) : Général Tudor

Maïwenn Le Besco : la Diva Plavalaguna (et Inva Mula pour la voix au chant)

John Bennett : Prêtre

Ivan Heng : Bras gauche

Sonita Henry : Aide du Président

Tim McMullan : Assistant du scientifique

Hon Ping Tang : Capitaine Munro

George Khan : responsable scientifique

John Hughes : Chef des militaires

Roberto Bryce : Omar

Said Talidi : Aziz

Bryan Lloyd Clifton : Mondoshawan Aknot Mangalore / Garde Mangalore

Justin Lee Burrows : Mondoshawan

Richard Ashton : Mondoshawan

Jerome Blake : Mondoshawan

Kevin Molloy : Mondoshawan équipe au sol

Bill Reimbold : Assistant de Mactilburgh

Colin Brooks : le capitaine de Staedert

Mervin Dif : Mangalore

Mia Frye : Miss Gemini Crocket

 

La femme qui tient le guichet d'embarquement est doublée par Marjorie Frantz tout comme la femme chauve qui vient parler à la porte et que Leeloo écoute.

 

Le tournage a eu lieu aux Studios Pinewood, au Royaume-Uni

 

Luc Besson a veillé à ce que le film soit de nationalité française (malgré le fait que la majorité des acteurs soient américains) au regard des différents critères de sélection, aussi bien dans le montage financier dont Gaumont assumait la totale responsabilité, que la nomination de Français aux postes techniques-clé (photographie, musique, montage, etc.) pris en compte notamment pour les Césars ou les Oscars. Cette catégorisation permet d'obtenir pour le film une aide financière du Centre national de la cinématographie (CNC).

 

Le film a reçu un accueil du public assez froid aux États-Unis (63 millions USD), ce qui est assez étonnant compte tenu du casting pourtant très anglophone avec Bruce Willis en tête d'affiche. Les recettes hors États-Unis seront plus importantes avec 200 millions USD.

 

C'est l'un des deux films de science-fiction où joue Ian Holm.

 

Ruby Rhod devait à l'origine s'appeler "Loc Rhod" (le nom est resté dans les scripts et la novélisation du film).

 

Lorsque Korben Dallas se réveille, la date exacte est visible : le 18 mars 2263. Le 18 mars est l'anniversaire de Luc Besson, et la veille de l'anniversaire de Bruce Willis. Cela indique également que l'action ne se passe pas "300 ans après" les débuts du film, strictement (1914), comme on le croit souvent, mais 350 ans après.

 

On remarque également qu'au XXIIIème siècle, les proportions de tabac et de filtre dans les cigarettes est inversée. Le filtre occupant près de 80% de la longueur de la cigarette.

 

Ce film est le seul dans lequel, étrangement, Bruce Willis n'est pas doublé par sa voix française officielle, Patrick Poivey (mais par Bernard Métraux, la voix française d'Horatio Caine), les seuls précédents étant un épisode de la série Deux flics à Miami dans lequel il fait une apparition (Patrick Poivey doublant alors Sonny Crocket) et surtout Boire et Déboires où Willis fut doublé par Dominique Collignon-Maurin (qui double sur ce film Gary Oldman).

 

Ce film semble faire de nombreux clins d'œils aux films, bandes-dessinés, jeux et livres de fantastique et science fiction. Les références à Heavy Metal / Metal Hurlant semblent évidentes. D'autres, parfois plus hypothétiques, peuvent être relevées.

 

Le personnage de Bruce Willis, Korben Dallas semble inspiré du personnage de Harry Canyon, qui apparait dans la première nouvelle du dessin animé Métal Hurlant (Heavy Metal). La scène où il range une arme prise à un braqueur ressemble à la première scène de cette nouvelle. Aussi, Harry Canyon est chauffeur de taxi et porte secours à une jeune femme dont il est tombé amoureux.

 

Le nom 'Corben', pourrait être inspiré de celui de l'auteur du second scénario du même dessin animé, Richard Corben.

 

Le nom prévu pour Ruby Rhod, Loc Rhod, pourrait être inspiré de celui de la pierre verte (le Loc Nar) servant de fil conducteur dans le même dessin animé (Métal Hurlant) ;

La coiffure du major Iceborg rappelle celle de la Princesse Leia de Star Wars. L'apparence du père Cornélius n'est pas sans rappeler celle d'Obiwan Kenobi dans le même film ;

 

Le nom du prètre Vito Cornélius est très proche du nom du parrain Vito Corleone

;

L'illustration d'un grimoire rappelle une illustration du premier épisode d'Indiana Jones

;

Leeloo, lors de son apprentissage de l'Histoire de l'Humanité chez le prêtre Victor Cornellius, utilise un four qui permet de cuire en une seconde un repas. Ce n'est pas sans rappeler le four présent en l'an 2015 dans Retour vers le futur II de Robert Zemeckis.

 

La ville ressemble à celle que l'on voit dans Blade Runner, mais dans la mesure où ce film a beaucoup inspiré le cinéma et la bande dessinée, cela pourrait être involontaire ou faire référence à une autre source ;

 

On peut voir dans le personnage de Ruby Rod une référence à Frankenfurther du Rocky Horror Picture Show ;

 

L'apparence naturelle et l'attitude des Mangalores rappelle celle des orques des jeux Warhammer et Warhammer 40000 ;

 

Bande originale du film

 

Les musiques du film sont composées par Éric Serra, alias « RXRA », dans un registre futuriste. Cette bande originale s'est vendue à plus de 750 000 copies dans le monde et comporte une chanson interprétée par l'auteur, Little Light of Love — il existe un clip qui montre Éric Serra et son groupe en plein désert. Ce morceau a révélé une jeune chanteuse israélienne du nom de Nourith. Cette chanson est également un prélude au premier album solo d'Éric Serra.

1.Little Light of Love – 4:50 (interprété par « RXRA »)

2.Mondoshawan – 4:01

3.Timecrash – 1:49

4.Korben Dallas – 1:43

5.Koolen – 0:55

6.Akta – 1:51

7.Leeloo – 4:56

8.Five Millenia Later – 3:13

9.Plavalaguna – 1:47

10.Ruby Rap (Serra/Besson/Kamen) – 1:55

11.Heat (Serra/Cortella) – 2:54

12.Badaboom – 1:12

13.Mangalores – 1:06

14.Lucia di Lammermoor (Donizetti/Cammarano) – 3:10 (interprété par Inva Mula et le London Session Orchestra)

15.The Diva Dance – 1:31 (interprété par Inva Mula)

16.Leeloominai – 1:41

17.A Bomb in the Hotel – 2:14

18.Mina Hinoo – 0:54

19.No Cash No Trash – 1:04

20.Radiowaves – 2:32

21.Human Nature – 2:03

22.Pictures of War – 1:19

23.Lakta Ligunai – 4:14

24.Protect Life (Serra/Cortella) – 2:33

25.Little Light of Love – 3:29 (interprété par RXRA

26.Aknot! Wot? (Bonus Track) (Serra/Besson/Kamen) – 3:35

Distinctions

César du meilleur réalisateur 1998 : Luc Besson

César de la meilleure photographie 1998 : Thierry Arbogast

César du meilleur décor 1998 : Dan Weil

BAFTA des meilleurs effets spéciaux 1998 : Mark Stetson, Karen E. Goulekas, Nick Allder, Neil Corbould et Nick Dudman

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

Le Clan des Siciliens

Publié à 17:15 par dessinsagogo55 Tags : sommaire france paris center film centerblog sur gif roman merci saint coup chez musique air
Le Clan des Siciliens

 

 

Le Clan des Siciliens est un film policier français réalisé par Henri Verneuil et sorti le 5 décembre 1969.

Roger Sartet (Alain Delon), un truand, s'évade avec la complicité d'une famille mafieuse, les Manalese, dirigée par le patriarche Vittorio (Jean Gabin). Malgré une traque menée par le commissaire Le Goff (Lino Ventura), Sartet lui échappe. Avec ses complices le truand propose un projet démentiel : voler une collection de bijoux qui doit être transférée de Rome vers New York par avion. Vittorio fait appel à son vieil ami italien installé aux États-Unis, Tony Nicosia (Amedeo Nazzari), pour l'aider dans le coup...

 

 

Fiche technique

 

Réalisation : Henri Verneuil

Scénario : Henri Verneuil, José Giovanni et Pierre Pelegri d'après le roman d'Auguste Le Breton.

Dialogues : José Giovanni

Assistants réalisateur : Marc Grunebaum, Bernard Stora

Directeur de la photographie : Henri Decae

Opérateur : Charles-Henri Montel, assisté de François Lauliac

Son : Jean Rieul, assisté de Vartan Karakeusian

Perchman : Marcel Corvaisier

Décors : Jacques Saulnier, assisté de G.Glon, J.J. Caziot

Montage : Pierre Gilette, assisté de Florence Aymond, Annie Vital

Musique : Ennio Morricone - orchestre sous la direction de Bruno Nicolai (Editions Fox-Europa)

Costumes : Hélène Nourry

Habilleur : Charles Mérangel

Chanson interprétée par Dalida

Coiffures : Simone Knapp

Script-girl : Lucile Costa

Maquillage : Michel Dernelle, Yvonne Gasperina

Photographe de plateau : Victor Rodrigue

Accessoiriste : René Albouze

Régisseur général : Gérard Crosnier, Francis Peltier

Régisseur extérieur : Jean-Pierre Nossereau

Electricien : René Limat

Casting : Evelyne Jay

Pellicule 35mm, couleur par Eastmancolor, procédé Panavision

Enregistrement Westrex 1135 S.N.E.C, auditorium Paris Studio Cinéma

Tirage : Laboratoire L.T.C Saint-Cloud

Générique : C.T.R

Tournage dans les studios de Saint-Maurice "Franstudio" et sur l'aéroport de Paris Orly

Production : 20th Century Fox, Les films du siècle, Europa Films

Chef de production : Henri Verneuil, Jacques Strauss

Directeur de production : Jacques Juranville, Louis Trinquet

Producteur exécutif : Jacques-Eric Strauss

Assistants production : Jean-Jacques Caziot, Georges Glon, Gérard Viard

Durée : 117 minutes

Dates de tournage: 24 mars - 5 juillet 1969

Date de sortie : 5 décembre 1969

Genre : Policier

 

Distribution

 

Jean Gabin : Vittorio Manalese

 

Alain Delon: Roger Sartet

 

Lino Ventura : Commissaire Le Goff

 

Irina Demick : Jeanne Manalese

Amedeo Nazzari : Tony Nicosia

Yves Lefebvre : Aldo Manalese

Danielle Volle : Monique Sartet

Marc Porel : Sergio Manalese

Philippe Baronnet : Luigi

César Chauveau : Roberto (non crédité)

Karen Blaguernon : Thérèsa

Elisa Cegani : Maria Manalese

Sydney Chaplin : Jack

Gérard Buhr : Inspecteur

Raoul Delfosse : Léoni

Edward Meeks : Le commandant de bord

Sally Nesbitt : Mme Evans

André Thorent : Bourdier

André Pousse : G. Malik

Jacques Duby : Raymond Rovel

Yves Brainville : Le juge d'instruction

Christian de Tillière : Jean-Marie Balard

Leopoldo Trieste : Turi, l'expert

Sabine Sun : Simone

Roger Lumont : M. Albert

Steve Eckhardt : L'inspecteur Wilson

Philippe Valauris : Un inspecteur

Jean Juillard : Un inspecteur

Bernard Woringer : Un inspecteur

Catherine Watteau : L'hôtesse à l'aéroport

Bernard Musson : Le gardien du fourgon cellulaire

Dominique Delpierre : L'hôtesse de l'air

Rudy Lenoir : Le gendarme chez le juge d'instruction

Michel Charrel : Un gardien de prison

Jack Léonard : Le truand aux billets d'avion

Maurice Auzel : Un diamantaire

Yvan Chiffre : Un inspecteur

Lionel Vitrant : Un inspecteur

Claude Salez : Le gardien du Boeing

Marc Arian : Un passager

Arch Taylor : Un aiguilleur à La Guardia

Jack Marbeuf : Un passager à Orly

Raymond Pierson : Un passager à Orly

Roland Malet : Un passant au drugstore

Jean-Pierre Zola : M. Wallach, diamantaire

Alice Arno : Un modèle chez Malik

 

Lieux de tournage

 

64, quai de Jemmapes à Paris : atelier et appartement des Manalese

Galerie Borghèse, à Rome (Italie)

Aéroport La Guardia, à New York (États-Unis)

Aéroport Paris-Le Bourget

près de la passerelle industrielle d'Ivry-Charenton

à l'Est d' Agay Scène de plage entre Delon et Irina Demick

 

 
Liens externes                                                  
     
  https://youtu.be/dpLAt9ILJmE  
     
     
Notes et références                                                    
    Cinéma (Sommaire)
    Cinéma : Postes (Sommaire)
    Le Clan des Siciliens
    Le Clan des Siciliens : Gif dessinsagogo55
    Alain Delon (Sommaire)
    Jean Gabin (Sommaire)
    Lino Ventura (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Hector Berlioz

Publié à 07:24 par dessinsagogo55 Tags : paris center fantastique prix saint coup musique art centerblog sur merci
Hector Berlioz

 

 

Hector Berlioz compositeur français (La Côte-Saint-André 1803 - Paris 1869). Il commence à Paris des études de médecine (1821), qu'il abandonne pour la musique. Il publie Huit Scènes de Faust (1829), assiste à la première d' Hernani (1830) et, la même année, obtient le prix de Rome et compose le «  coup de tonnerre  » qu'est la Symphonie fantastique ( Voir aussi :SYMPHONIE ). Il séjourne en Italie (1831-32) et, en 1833, épouse Harriet Smithson, actrice anglaise que, dès 1827, il avait admirée dans les pièces de Shakespeare. Il compose ensuite Harold en Italie (1834), l'opéra Benvenuto Cellini (1836), la Grande Messe des morts (1837), la symphonie dramatique Roméo et Juliette (1839), la Grande Symphonie funèbre et triomphale (1840) et, en 1841, termine le cycle de mélodies les Nuits d'été. Critique au Journal des débats de 1834 à 1864, il entreprend de 1842 à 1868 de grandes tournées en qualité de chef d'orchestre à travers l'Europe. Ses œuvres marquantes sont alors la Damnation de Faust (1845-46), le Te Deum (1849), l'Enfance du Christ (1854). En 1852, Liszt fait représenter avec succès Benvenuto Cellini à Weimar. Élu à l'Institut en 1856, Berlioz se tourne de nouveau vers l'opéra : il achève les Troyens en 1858 et Béatrice et Bénédict en 1862. Il laisse aussi de nombreux écrits ( le Grand Traité d'instrumentation et d'orchestration moderne, 1843 ; le Chef d'orchestre : théorie de son art, 1856 ; Mémoires, 1870). En 1855, Peter Cornelius dressa de Berlioz un portrait d'une extraordinaire pénétration : «  Les musiciens de Weimar saluent en lui le maître de l'orchestration moderne, un polyphoniste aux ressources infinies, un polyrythmicien de la plus haute qualité [...] Comme critique, il dispense l'enthousiasme et le mépris de la plume la plus acérée [...] Mais ils l'acclament surtout comme le héros qui a eu la force d'endurer le discrédit, la haine et la calomnie dans son propre pays, [et] qui n'a jamais écrit une note non offerte en hommage à l'idéal de beauté toujours présent à ses yeux.  »

 

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Musique : Sommaire
    Musique : Postes (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 
 
 
 

André Bézu

André Bézu

 

André Bézu dit Bézu, est un chanteur français né le 24 juillet 1943 à Tourcoing et mort à Paris le 3 février 2007, inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 90).



Après des études au Conservatoire d'art dramatique de Tourcoing, il débute comme acteur, jouant Shakespeare ou Marivaux, à Bruxelles et à Paris. Il devient dans les années 1970 secrétaire général du Théâtre du Palais-Royal à Paris, puis attaché de presse dans le cinéma, notamment de Louis de Funès et des Charlots, et travaille sur plusieurs films, dont Les Valseuses, La Moutarde me monte au nez et Bons baisers de Hong Kong. Il apparaît en outre dans plusieurs films.
Rendu populaire, dans les années 1980, grâce à l'émission de télévision La Classe à laquelle il participe pendant plusieurs années, Bézu se lance dans la chanson, sur le conseil de Guy Lux et avec l'aide de Gérard Tempesti. Il rencontre un succès considérable avec les titres À la queuleuleu (1987) et Le Tortillard (1989) ainsi qu'avec son groupe Le Grand Saint Germain, leurs tubes Ali Baba et Moi vouloir du couscous. Peu avant sa disparition, il effectuait à travers la France des tournées de gala en interprétant ses succès populaires. Il portait un béret noir et un nœud papillon tricolore, arborant fièrement son patriotisme.
Il habitait rue Mouffetard à Paris. Il meurt subitement à 63 ans, célibataire, sans grandes ressources ; car c'était un artiste du genre "cigale", généreux et qui aimait la fête. « Pour lui, l'argent n'avait pas beaucoup de sens », confie son frère Jean-René Bézu.
À la fin de la cérémonie d'enterrement, son accordéoniste Michel Pruvot et le chanteur Zanini entament son célèbre tube À la queuleuleu. Il repose au cimetière du Père-Lachaise à Paris, dans la 90e division.



Chansons

Ali Baba (G. Tempesti) - Masters Calandre - (P) 1983 EGT / Puzzle Productions
Moi vouloir du couscous (G. Tempesti, G. Lux) - Masters Calandre - (P) 1983 EGT / Puzzle Productions
Le sex symbol (G. Tempesti, G. Lux) - Mastersun Music - (P) 1983 EGT / Puzzle Productions
La Queuleuleu (G. Lux, G. Tempesti) - Master Fil Rouge - (P) 1985 EGT / Puzzle Productions
Le Tortillard (G. Lux, G. Tempesti) - Master Fil Rouge - (P) 1989 EGT / Puzzle Productions
Le Bal à papa (M. de Cesare, G. Tempesti) - Mastersun Music - (P) 1989 EGT / Puzzle Productions
Si t'as envie de faire la fête (M. de Cesare, G. Tempesti) - Mastersun Music - (P) 1989 EGT / Puzzle Productions
Le Rap aux moules (G. Tempesti, G. Lux) - Mastersun Music/Fil rouge - (P) 1989 EGT / Puzzle Productions
La Chenille (R. Jeannot, F. Harvel, G. Layani) - Caramel - (P) 1992 EGT / Puzzle Productions
C'est l'été (R. Simard, G. Tempesti, F. Tempesti) - EGT Music Sud - (P) 1992 EGT / Puzzle Productions
Vive les vacances (G. Tempesti) - Mastersun Music - (P) 1992 EGT / Puzzle Productions
Ba moin en tibo (A. Bezu, F. Jeyson) - Masters - (P) 1992 EGT / Puzzle Productions
La Bézumania (F. Tempesti, G. Lux, G. Tempesti) - EGT/Fil rouge - (P) 1994 EGT / Puzzle Productions
Les Petits Coups (G. Tempesti, F. Tempesti, A. Bézu, R. Simard) - Harp's - (P) 2000 EGT
La bite du plombier (A. Bezu, D.Marchand)



Filmographie

1964 : Fantômas de André Hunebelle
1975 : La Course à l'échalote de Claude Zidi - André
1978 : Et vive la liberté ! de Serge Korber
1983 : Zig Zag Story de Patrick Schulmann - Médecin
1983 : L'émir préfère les blondes de Alain Payet - Le réceptionniste de l'hôtel
1998 : (G)rève party de Fabien Onteniente


Théâtre

1961 : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, mise en scène André Reybaz, Centre dramatique du Nord Tourcoing
1964 : Jules César de William Shakespeare, mise en scène Raymond Hermantier, Festival de Lyon, Théâtre Sarah-Bernhardt
1965 : Copains Clopant de Christian Kursner, mise en scène Francis Joffo, Théâtre Charles de Rochefort

 

 

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Musique : Sommaire
    Musique : Postes (Sommaire)
    André Bézu
    Bézu : Ali baba
    Bézu : La fête au village
    Bézu : Vive Le Dimanche
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                                                       

 

Cartouche

Cartouche

 

Cartouche est un film d'aventures franco-italien, réalisé par  Philippe de Broca, sorti en 1962. L'action est lointainement inspirée de la vie de Louis Dominique Cartouche (qui a également utilisé le pseudonyme Jean Bourguignon).

 

Synopsis

 

Le film relate les aventures « décoiffantes » de Cartouche, voleur, charmeur, bagarreur, mais avec un grand cœur.

 

Fiche

 

Titre :Cartouche

Réalisation :Philippe de Broca

Assistants réalisateur :Georges Pellegrin,Joseph Drimal,Jean-Claude Giuliani,Eduardo Fiori

Scénario :Daniel Boulanger,Philippe de Broca,Charles Spaak

Dialogues :Daniel Boulanger

Musique :Georges Delerue

Décors :François de Lamothe, assisté deRené Calviera etFrédéric de Pasquale

Son :Jean Rieul, assisté deMarcel Corvaisier etJean Janisse

Montage :Laurence Méry, assistée deRaymonde Guyot

Production :Georges Danciger etAlexandre Mnouchkine

Régisseur général :Eric Geiger

Régisseurs adjoints :Marc Goldstaub etFrancis Dussaugey

Régisseur d'extérieurs :Charles Chieusse

Administration :Janine Ruault

Costumes :Rosine Delamare, assisté deGeorgette Fillion

Costumière :Georgette Fillon

Execution des costumes :Marie Gromtseff, H Lebrun

Caméraman :André Domage

1er assistant opérateur :Ernest Bourreaud

Script-girl :Andrée François

Ensemblier :Robert Christides

Photographe :Raymond Voinquel

Photographie :Christian Matras

Chef maquilleur :Marcel Bordenave

Coiffeuse :Huguette Lalaurette

Maître d'armes :Claude Carliez

Conseiller Hippique :François Nadal

Accessoiristes :Raymond Lemoigne,Henri Berger,Janine Ruault

Générique :Jean Fouchet F.L

Société de production :Filmsonor S.A.,Les Films Ariane,Mondex Films etVides Cinematografica

Genre : Aventures, Cape et épées

Format : Couleur (Eastmancolor etDyaliscope[1]) - Son monophonique -35mm

Visa de contrôle cinématographique : no 24994

Durée : 114 minutes

Date de sortie :

France :7 mars 1962

Italie :14 mars 1962

 

Distribution

 

Jean Paul Belmondo: Louis-Dominique Bourguignon ditCartouche

Claudia Cardinale : Vénus

Odile Versois : Isabelle de Ferrussac, la femme du lieutenant général

Jess Hahn: la Douceur

Jean Rochefort : la Taupe

Philippe Lemaire : lt. général Gaston de Ferrussac

Marcel Dalio : Malichot, le cruel chef de la Cour des Miracles

Noël Roquevert : le sergent recruteur

Alain Decock : Louison Bourguignon, gamin frère de Cartouche

Jacques Balutin : Capucine (frère capucin)

Lucien Raimbourg : le maréchal gâteux

Jacques Charon : le colonel

Pierre Repp : marquis de Griffe, le naïf adjoint de Ferrussac

Madeleine Clervanne : Pierrette, la chaperonne d'Isabelle

René Marlic : Petit Oncle, tavernier

Philippe Castelli : commissaire

Paul Préboist : 1er gendarme

Sim : La Belette (rôle coupé au montage ?)

Jacques Hilling : aubergiste

Léonce Corne : comte dépouillé (rôle coupé au montage)

Jean Lanier : gentilhommeauberge

Claude Carliez : gentilhomme auberge

Raoul Billerey : Homme de Cartouche

Rico Lopez : Homme de Cartouche

Antoine Baud : Homme de Cartouche

Henri Guéguan : Homme de Cartouche

Jacky Blanchot : Homme de Cartouche (non crédité)

Armel Marin : Homme de Cartouche

Paul Jeanjean : Homme de Cartouche

Maurice Auzel : Homme de Cartouche - Doublure de Jean-Paul Belmondo

Billy Leplont : Homme de Cartouche

Pierre Maguelon : Homme de Cartouche

Roger Trapp : lecteur public

Laurence Lignières : Adélaïde

Dominique Davray : fille auberge

Bernadette Stern : fille auberge

Jacques Préboist : 2e gendarme

Raymond Leplont : aide-bourreau

Philippe De Broca : voix criant « les aristocrates à la lanterne ! »

Bernard Haller : voix du perroquet

Louis Viret

Georges Montant

Irène Sologoub

Lucien Camiret

Le film revu sur copie dvd plan par plan, il est manifeste que les rôles de Sim et de Léonce Corne ont totalement disparu des versions actuellement visibles.

 

Autour du film

 

Les prises de vues extérieurs du film ont été exécutées à Pezenas,Hérault.

Jean-Paul Belmondo a réalisé toutes ses cascades.

Cavalerie : Debut de Roseville.

Fait amusant: Le nom du méchant de ce film (le lieutenant-général de Ferrussac) est le vrai nom de Philippe de Brocca (de Ferrussac).

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cartouche_(film,_1962)

 
     
Notes et références                                                    
    Cinéma : Film français 
   
   
   
    Cartouche
   
    Louis Dominique Cartouche
   
GIF  Cartouche
    Cartouche
    Cartouche
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Cartouche

Publié à 01:01 par dessinsagogo55 Tags : film merci gif sommaire blogs centerblog sur
Cartouche
 
 
Liens externes                                                  
 

 

 
     
Notes et références                                                    
    Cinéma : Film français 
   
   
   
    Cartouche
   
    Louis Dominique Cartouche
   
GIF  Cartouche
    Cartouche
    Cartouche
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Cartouche

Publié à 00:47 par dessinsagogo55 Tags : sommaire blogs centerblog sur gif merci film
Cartouche
 
 
Liens externes                                                  
 

 

 
     
Notes et références                                                    
    Cinéma : Film français 
   
   
   
    Cartouche
   
    Louis Dominique Cartouche
   
GIF  Cartouche
    Cartouche
    Cartouche
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub