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Sites naturels classés et inscrits de la Lorraine

 

La Lorraine compte 77 sites naturels classés et 53 sites naturels inscrits, répartis comme suit dans les différents départements :

17 sites classés et 20 sites inscrits en Meurthe-et-Moselle

23 sites classés et 4 sites inscrits dans la Meuse

15 sites classés et 11 sites inscrits en Moselle

22 sites classés et 18 sites inscrits dans les Vosges

Ces sites naturels classés ou inscrits présentent soit un intérêt paysager majeur (Colline de Sion-Vaudémont), soit botanique (arbres remarquables, parcs...), pittoresque ou parfois historique (ruines ou vestiges de château et d'abbaye). Ils sont souvent à proximité de monuments historiques ou de site naturels protégés (Natura 2000...) ou de "Grands Ensemble Paysagers" remarquables.

 

Liste des sites naturels classés ou inscrits par départements

Site naturel Date de protection Description Commune DPT Sites associés Superficie
(hectares)
Référence DREAL
Classé 1932 Château de Bainville-aux-Miroirs Bainville-aux-Miroirs 54 Château de Bainville-aux-Miroirs
Vallée de la Moselle
0,6 SC54042A
Classé 1939 La Pelouse Bouxières-aux-Dames 54 Vestiges de l'Abbaye de Bouxières 3,6 SC54090A
Classé 1955 Château du Bas et la partie de son parc appartenant à la commune Champigneulles 54 Château-Bas de Champigneulles 12 SC54115A
Classé 1933 Tilleul centenaire, parcelle n° 132, section C du cadastre (abattu) Charency-Vezin 54 Collines et vallées du Pays-Haut ponctuel SC54118A
Classé 1936 Marronnier de Sully, sur le terre-plein en face de l’entrée de l’église (abattu - maladie). Chaudeney-sur-Moselle 54 Boucles de la Moselle ponctuel SC54122A
Classé 1997 Site formé par le château de Fléville, son parc et le vallon Nord Fléville-devant-Nancy 54 château de Fléville
Plateau de Haye & Vermois
293 SC54197A
Classé 1999 Parc du château de Gerbéviller et ses perspectives sur la vallée de la Mortagne Gerbéviller 54 château de Gerbéviller
Vermois & Lunévillois
  SC54222A
Classé 1958 Parc de Montaigu Laneuveville-devant-Nancy 54 Château de Montaigu (Meurthe-et-Moselle) 14 SC54300A
Classé 1938 Vallée de l’Esch(partie classée) Martincourt 54 Paysage dit "petite Suisse Lorraine"
Site Natura 2000 du Parc naturel régional de Lorraine
264 SC54355A
Classé 1907 Camp romain de César ou Camp d'Affrique Messein 54 Cité préhistorique du Camp d'Affrique
Plateau de Haye & Boucles de la Moselle
16 SC54366A
Classé 1926 Vieux tilleul à gauche de la porte d’entrée du cimetière Mont-Saint-Martin 54 Collines du Pays-Haut ponctuel SC54382A
Classé 1932 Ruines de l’ancien Château féodal de "Qui Qu’en Grogne" Moyen 54 Château de Moyen
Vermois & Lunévillois
2 SC54393A
Classé 1935 Bastion de Vaudémont Nancy 54 Musée des beaux-arts de Nancy
Fortifications Renaissance de Nancy
0.6 SC54395A
Classé 1936 Terrains communaux de la montagne de Sion-Vaudémont Vaudémont 54 Grand paysage du Saintois et de la Colline de Sion-Vaudémont
Sites Natura 2000
130 SC54552A
Classé 1990 Ensemble formé par le château d’Haroué, son parc et la vallée du Madon Vaudeville 54 Château d'Haroué
Saintois & Vermois
850 SC54553A
Classé 2008 Bois Le Prêtre Fey-en-Haye, Montauville, Norroy-lès-Pont-à-Mousson et Pont-à-Mousson 54 Combats du Bois-le-Prêtre
Côtes de Moselle
~1300 SC54375A2
Classé 2013 Arboretum de l'Abiétinée et le parc de la Cure d'air Trianon Malzéville 54 École de Nancy
Grand Couronné.
4 SC54375A2
Classé 1926 Avenue des tilleuls de Bar-le-Duc Bar-le-Duc 55 Promontoire de la Ville-haute de Bar-le-Duc 3 SC55029A
Classé 1911 Esplanade du Château Bar-le-Duc 55 Château des ducs de Bar
Promontoire de la Ville-haute de Bar-le-Duc
1,2 SC55029C
Classé 1926 Platane d’Orient dans le jardin de la préfecture Bar-le-Duc 55 Ville-basse de Bar-le-Duc ponctuel SC55029D
Classé 1926 Pont Notre-Dame Bar-le-Duc 55 Ville-basse de Bar-le-Duc 01/02/19 SC55029E
Classé 1911 Terre-plein derrière la prison Bar-le-Duc 55 Promontoire de la Ville-haute de Bar-le-Duc 01/02/19 SC55029F
Classé 1911 Tertre de Guédonval Bar-le-Duc 55 Promontoire de la Ville-haute de Bar-le-Duc 0.9 SC55029G
Classé 1926 Tour de l’Horloge Bar-le-Duc 55 Vestiges de l'ancien Château des ducs de Bar
Promontoire de la Ville-haute de Bar-le-Duc
01/02/19 SC55029H
Classé 1928 Rochers du saut du boulanger Beaulieu-en-Argonne 55 Massif de l'Argonne 0.40 SC55038A
Classé 1928 Terrasse de Beaulieu Beaulieu-en-Argonne 55 Massif de l'Argonne 01/01/24 SC55038B
Classé 1936 Vallon de Saint-Rouin Beaulieu-en-Argonne 55 Massif de l'Argonne
Ermitage de Saint Rouin
3 SC55038C
Classé 1911 Quatre Ormes (abattus) situés devant l’église de Claon Le Claon 55   0.4 SC55116A
Classé 2002 Champ de bataille des Éparges Combres-sous-les-Côtes 55 Bataille des Éparges
Côtes de Meuse & Plaine de la Woëvre
65 SC55121A
Classé 1911 Avenue des tilleuls de Commercy Commercy 55 Château de Commercy & Prieuré de Breuil
Parc naturel régional de Lorraine
2,7 SC55122A
Classé 1926 Orme et tertre du Mont des trois croix Jouy-en-Argonne 55 Massif de l'Argonne 0,5 SC55257A
Classé 1932 Parc municipal de Ligny-en-Barrois Ligny-en-Barrois 55 Tour Valéran 5,5 SC55291A
Classé 1935 Monolithe dit "Hotte du diable" Milly-sur-Bradon 55 Époque celtique ponctuel SC55338A
Classé 1937 Chêne de l’attaque à l’entrée nord de la forêt communale Montmédy 55 Citadelle de Montmédy ponctuel SC55351A
Classé 1911 Sept Roches dites "Dames de Meuse" Saint-Mihiel 55 Ville historique de Saint-Mihiel
Côtes de Meuse & Parc naturel régional de Lorraine
ponctuel SC55463B
Classé 1927 Vieux chêne de la fontaine des Carmes (abattu) Saint-Mihiel 55 Abbaye de Saint-Mihiel & Côtes de Meuse ponctuel SC55463C
Classé 1932 Orme de Saint-Balzème à Pretz Seuil-d’Argonne 55 Massif de l'Argonne ponctuel SC55517A
Classé 1927 Grand tilleul près de la Porte de France Vaucouleurs 55 Site Johannique
Vallée de la Meuse
ponctuel SC55533A
Classé 1967 Partie centrale du champ de bataille de Verdun Vaux-devant-Damloup 55 Bataille de Verdun 911 SC55537A
Classé 1932 Plate-forme avec vue sur la vallée de la Woëvre Vigneulles-lès-Hattonchâtel 55 Cité médiévale et château d'Hattonchâtel
Parc naturel régional de Lorraine
Côtes de Meuse & Plaine de la Woëvre
Jardin du château SC55551A
Classé 1924 Roches du château du Ramstein Baerenthal 57 Parc naturel régional des Vosges du Nord ponctuel SC57046A
Classé 1938 Orme devant l’église Bettange 57   ponctuel SC57070A
Classé 1926 Parc du château d'Urville Courcelles-Chaussy 57   15 SC57155A
Classé 1935 Roche ou rocher de Dabo Dabo, Lieu-dit "Schlossberg" 57 Parc naturel régional des Vosges du Nord
Léon IX
0,4 SC57163A
Classé 1994 Mont Saint Quentin et ses abords Lessy 57 Côtes de Moselle 1375 SC57396A
Classé 1973
2013
Château de La Grange et son parc (Château de Manom) Manom 57 Château de La Grange 22 SC57441A
Classé 1939 Île du Saulcy(partie classée) Metz 57 Centre historique de Metz 3 SC57463B
Classé 1938 Orme du Parc de l’Evêché (abattu) Metz 57   ponctuel SC57463D
Classé 1927 Site des Thermes Metz 57 Île du petit Saulcy 7 SC57463F
Classé 1950 Château de Courcelles (parc et château) Montigny-lès-Metz 57   3 SC57480A
Classé 1938 Tilleul devant la Chapelle Saint-Livier à Salival Moyenvic 57 Saulnois
Parc naturel régional de Lorraine
ponctuel SC57490A
Classé 1936 Lieu-dit "Fossés Machot et Purgatoire", partie classée Rozerieulles 57   0,8 SC57601B
Classé 1924 Sommet du Hackenberg Veckring 57     SC57704A
Classé 1937 Chapelle du Haut Saint Pierre et arbres qui l’encadrent Villers-Stoncourt 57 Parc naturel régional de Lorraine 3,3 SC57718A
Classé 1921 Chêne Centenaire au lieu-dit "la grande poirière" Bainvilles-aux-Saules 88   ponctuel SC88030A
Classé 1910 Petit Drumont (sommet du Drumont) Bussang 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges   SC88081A
Classé 1910 Rochers des Cuveaux sur la montagne dite tête des Cuveaux Eloyes 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 6 SC88158A
Classé 1910 Site de la vallée de la Vologne sur la commune de Granges Granges-sur-Vologne 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ~15 SC88218A
Classé 1910 Cascade du Rudlin Plainfaing 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88349A
Classé 1921 Gorge "Le Trou de l’Enfer", entre la Racine et le Haut-Macon Rehaupal 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges   SC88380A
Classé 1910 Roche des Ducs à environ 2 km du clocher au Nord-Est Rochesson 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ~1 SC88391A
Classé 1910 Roche des Corbeaux ou de la Bure au sommet du massif de la Bure à 4 km au nord de la ville Saint-Dié 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ~2 SC88413A
Classé 1910 Roche des Fées sur une ligne de la crête de la montagne d’Ormont à 4 km au nord-est de la ville Saint-Dié 88 Camp celtique de la Bure ponctuel SC88413B
Classé 1910 Roches Saint Martin au-dessus de la côte Saint-Martin à 2 km au sud-ouest de la ville. Saint-Dié 88 Cathédrale de Saint-Dié ponctuel SC88413C
Classé 1982 Ballon d’Alsace Saint Maurice-sur-Moselle 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 2716 SC88426A
Classé 1910 Le sommet du Rouge-Gazon Saint-Maurice-sur-Moselle 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 100 SC88426B
Classé 1925 Cascade "le saut du Bouchot" Sapois 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88442A
Classé 1910 Le Haut du Roc Saulxures-sur-Moselotte 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88447A
Classé 1910 Roche Mère Henry, au faite de la montagne dite côte de Senones Senones 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges
Principauté de Salm-Salm
ponctuel SC88451B
Classé 1910 Grande cascade de Tendon Tendon 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88464A
Classé 1925 Petite cascade de Tendon Tendon 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88464B
Classé 1910 Cascade de Faymont Val d’Ajol 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ponctuel SC88487A
Classé 1925 Vallée des Roches (route d’Hérival) Val d’Ajol 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 2 SC88487B
Classé 1935 Site de l’Ermitage du Frère Joseph. Ventron 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 2 SC88500A
Classé 2002 Lac de Longemeret sa vallée Xonrupt-Longemer 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 900 SC88531B
Classé 2010 Extension du Site du Rouge Gazonet des Neufs Bois Saint Maurice sur Moselle 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 88 SC88xxxx
Classé 2013 La Moraine de Noirgueux Saint-Nabord (Vosges) 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 90 SC88xxxx
Inscrit 1967 Ensemble formé par la vallée de la Moselle et la partie Ouest de la ville Liverdun 54 Boucles de la Moselle et Cité médiévale de Liverdun 434 SI54318A
Inscrit 1953 Place du Colonel Darche comprenant l’Hôtel de ville, l’église et le puits couvert Longwy 54 Citadelle de Longwy
Collines et vallées du Pays-Haut
2,6 SI54323A
Inscrit 1975 Quartier Saint-Jacques Lunéville 54 Église Saint-Jacques de Lunéville(ancienne Abbaye saint-Rémy) 17 SI54329A
Inscrit 1947 Carrefour des rues de la Source, de la Charité et du Cheval Blanc (Quartier de la Charité). Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 0,17 SI54395B
Inscrit 1947 Cours Léopold Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 5 SI54395C
Inscrit 1947 Grande Rue Nancy 54 Ville-Vieille de Nancy 0,6 SI54395D
Inscrit 1947 Parc de la Pépinière Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 22 SI54395E
Inscrit 1976 Parc de Saurupt Nancy 54 Villas classées École de Nancy 3,8 SI54395F
Inscrit 1947 Parc Olry et ses dépendances Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 4,5 SI54395G
Inscrit 1947 Parc Sainte-Marie Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 8,3 SI54395H
Inscrit 1947 Place Carnot Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 2,2 SI54395I
Inscrit 1947 Place d’Alliance, la rue d’Alliance et la rue Girardet (une partie) Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy
Place Stanislas
1,7 SI54395J
Inscrit 1947 Place du Colonel-Fabien et la rue des Dames (Quartier de la Charité) Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 0,56 SI54395K
Inscrit 1947 Place Joseph Malval (Quartier de la Charité) Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy 0,2 SI54395L
Inscrit 1972 Quartier Saint-Epvre Nancy 54 Histoire et urbanisation de Nancy
Vieille-Ville de Nancy
22 SI54395M
Inscrit 1938 Place Duroc Pont-à-Mousson 54 Arcades et Maisons classées, Hôtel de Ville de Pont-à-Mousson 1,5 SI54431A
Inscrit 1970 Château de Saulxures-lès-Nancy et son parc Saulxures-lès-Nancy 54 Château de Saulxures-lès-Nancy   SI54495A
Inscrit 1983 Totalité du territoire communal de Vandeléville Vandeléville 54 Grand Paysage du Saintois
Site Natura 2000
998 SI54545A
Inscrit 1996 Vallon de la Roanne et chevalements de puits de sel Varangéville 54 Roanne (affluent de la Meurthe)
Vermois & Pays du Sel
645 SI54549A
Inscrit 1973 Ensemble fortifié de Villey-le-sec Villey-le-Sec 54 Place forte de Toul
Boucles de la Moselle & Plateau de Haye
21 SI54583A
Inscrit 1963 Ensemble urbain compris dans la Ville Haute Bar-le-Duc 55 Ville Renaissance de Bar-le-Duc
(Secteur Sauvegardé de la Ville-Haute)
17 SI55029B
Inscrit 1986 Vallée de la Saulx Bazincourt-sur-Saulx 55 Vallée de la Saulx 1678 SI55035A
Inscrit 1982 Étang de Lachaussée et ses abords Lachaussée 55 Plaine de la Woëvre
Parc naturel régional de Lorraine
5965 SI55267A
Inscrit 1947 Promenade des Capucins Saint-Mihiel 55 Côtes de Meuse
Parc naturel régional de Lorraine
3,3 SI55463A
Inscrit 1935 Abords de la Roche de Dabo Dabo, Lieu-dit "Schlossberg" 57 Parc naturel régional des Vosges du Nord 1,6 SI57163B
Inscrit 1986 Site de Saint Ulrich Haut-Clocher 57   1864 SI57304A
Inscrit 1994 Vallée de la Canner Hombourg-Budange 57 Grand Paysage de la Vallée de la Canner 5550 SI57331A
Inscrit 1936 Île Saint-Symphorien Longeville-lès-Metz 57 Vallée de la Moselle 37,5 SI57412A
Inscrit 1972 Fort de Queuleu Metz 57 Forts de Metz 51 SI57463A
Inscrit 1933 Île du Saulcy(partie inscrite) Metz 57 Vallée de la Moselle 4,8 SI57463C
Inscrit 1946 Place Saint-Jacques et parcelles qui l’entourent Metz 57 Secteur Sauvegardé de Metz 1 SI57463E
Inscrit 1936 Sol de la Place d’Armes Phalsbourg 57 Fortifications de Phalsbourg 1,6 SI57540A
Inscrit 1976 Village ancien situé à l’intérieur de l’enceinte fortifiée Rodemack 57 Cité fortifiée de Rodemack
faille géologique de l'Hettangien
  Si57588A
Inscrit 1936 Lieu-dit "Fossés Machot et Purgatoire" (Cl) Rozerieulles 57   2 SI57601A
Inscrit 1936 Hauteurs de Saint-Julien Saint-Julien-lès-Metz 57 Côtes de Moselle 1,8 SI57616A
Inscrit 1985 Vallée du Vair Autigny-la-Tour 88 Plaine des Vosges 1723 SI88019A
Inscrit 1976 Ensemble formé par le lac de Lispach et ses abords immédiats La Bresse 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges ~40 SI88075A
Inscrit 1947 Ensemble formé par la maison de Jeanne d’Arc, l’église paroissialeet ses abords (Musée) Domremy-la-Pucelle 88 Site Johannique
Vallée de la Meuse
5 SI88154A
Inscrit 1975 Ensemble urbain formé par le centre de la ville Épinal 88 Centre historique d'Épinal 24 SI88160A
Inscrit 1977 Ensemble formé par le site de la tourbière du Beillard au lieu-dit "Feignes de la Morte Femme" Gérardmer 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 51 SI88196A
Inscrit 1944 Lac de Gérardmeret parcelles l’environnant. Gérardmer 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 151 SI88196B
Inscrit 1987 Ensemble formé par le site urbain Neufchâteau (Vosges) 88 Secteur Sauvegardé de Neufchâteau
Vallée de la Meuse
194 SI88321A
Inscrit 1944 4 à 27 et 7 à 65 Grande Rue, Maisons dite "les Grandes et les Petites Arcades", façades et toitures Remiremont 88 Centre Historique de Remiremont
Chapitre impérial de Remiremont
0,4 SI88383A
Inscrit 1944 Chapelle de la Madeleine et ses abords Remiremont 88 0,5   SI88383B
Inscrit 1944 Places de l’Église, de l’Abbaye et de Mesdames Remiremont 88 Centre Historique de Remiremont
Chapitre impérial de Remiremont
1,5 SI88383C
Inscrit 1944 Promenade du Calvaire Remiremont 88 Chapitre impérial de Remiremont 10 SI88383D
Inscrit 1944 Le Saint-Mont Saint-Amé 88 Vallée de la Moselle
Chapitre impérial de Remiremont
123 SI88409A
Inscrit 1982 Centre historique Senones 88 Principauté de Salm-Salm 47 SI88451A
Inscrit 1982 Site de la Louvière Senones 88 Principauté de Salm-Salm 17 SI88451C
Inscrit 1972 Massif de la Schlucht-Hohneck Le Valtin 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 15525 SI88492A
Inscrit 1977 Zone entourant Vittel Vittel 88 Thermalisme dans les Vosges 740 SI88516A
Inscrit 1977 Ensemble formé par le site du lieu-dit de Belbriette et de ses abords Xonrupt-Longemer 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 48 SI88531A
Inscrit 1944 Lac de Retournemer et ses abords Xonrupt-Longemer 88 Parc naturel régional des Ballons des Vosges 15 SI88531D

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Cali

Publié à 00:12 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center monde centerblog sur merci france musique société
Cali

 

Cali, de son vrai nom Bruno Caliciuri, né le 28 juin 1968 à Perpignan, en France, est un auteur-compositeur-interprète français. À mi-chemin entre chanson française et rock, il revendique une position d'artiste concerné par les problèmes de la société et du monde, et n'hésite pas à s'engager publiquement.

Le grand-père de Cali, Giuseppe Caliciuri, était un italien enrôlé dans les Brigades Internationales pour combattre Franco. Il rencontra alors une infirmière espagnole, Maria Pilar, qui devint son épouse.
Leur fils Vincent, futur père de Bruno, naquit à Barcelone. La famille se réfugia en France après la défaite des républicains où elle fut enfermée dans les camps de concentration destinés aux exilés espagnols (camps qui accueilleront plus tard, entre autres, les tziganes et les juifs regroupés par le régime de Vichy).
Son grand-père maternel, Henri Fruitet, maçon, boxeur, communiste et Catalan épousa une italienne, Stella Genovese, issue d'une famille de mélomanes

 

 
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La famille Obama est bien arrivée dans le Gard

Publié à 17:03 par dessinsagogo55 Tags : maison sport france merci sur prix centerblog monde article center sommaire voiture centre
La famille Obama est bien arrivée dans le Gard

La famille Obama est bien arrivée dans le Gard

 L'avion de l'ancien président des Etats-Unis a atterri vers 21h30, ce vendredi 14 juin. / © PHOTOPQR/LE MIDI LIBRE/Michael Esdourrubailh

Barack Obama, son épouse Michelle et leurs filles Sasha et Malia ont posé leurs valises dans la région Occitanie, ce vendredi 14 juin. Ils vont passer une semaine de vacances à Villeneuve-les-Avignon, dans le Gard.

Par Mary SohierPublié à 12:10Mis à jour à 16:01

Leur arrivée était très attendue. Barack Obama et ses proches ont atterri ce vendredi 14 juin, vers 21h30, à Avignon. Beaucoup de personnes avaient fait le déplacement à l'aéroport pour espérer entrevoir l'ancien président des Etats-Unis mais un important dispositif de sécurité avait été installé avec une dizaine de véhicules banalisés aux vitres teintées.

La famille Obama à Villeneuve-lès-Avignon : le Gard est en pleine effervescence 

    Une semaine de location à 55 000

Après de longues minutes, le cortège de voiture a repris la route en direction de Villeneuve-les-Avignon, la commune dans laquelle la famille va séjourner pendant une semaine. Les Obama ont choisi, pour l'occasion, une maison de maître du XVIIIe siècle. La villa possède sept chambres, une piscine, un court de tennis et une salle de sport.

Prix de la location : 55 000 € la semaine.

 
Que vont-ils faire ? Pour l'instant, rien n'a fuité. Toutefois, il semble très probable que des visites touristiques soient au programme, notamment la grotte de Chauvet ou l'incontournable pont du Gard, situé non loin de leur lieu de résidence. Pourquoi pas aussi voir la famille Obama déambuler à l'intérieur du magistral Palais des papes, en centre-ville d'Avignon ?

Une chose est sure, sur les réseaux sociaux, les invitations sont nombreuses à commencer par celle de Vincent Bouget, secrétaire départemental du PCF : "Hello @BarackObama. je suis le responsable du @pcf_gard. Je vous invite à un apéritif au Prolé, après votre visite des Arènes de Nîmes (si vous la faites)."

 

 



Un sandwich et du jus d’orange : six mois de prison ferme

Publié à 16:41 par dessinsagogo55 Tags : sommaire photo homme monde france sur jeune infos google article center centerblog

Yvelines. Il vole un sandwich et du jus d’orange : six mois de prison ferme

Un homme de vingt ans a été condamné à six mois de prison ferme pour avoir volé un sandwich et deux bouteilles de jus d'orange.
Un homme de vingt ans a été condamné à six mois de prison ferme pour avoir volé un sandwich et deux bouteilles de jus d'orange. | PHOTO D'ILLUSTRATION BÉATRICE LE GRAND / OUEST-FRANCE

 

 

Un homme de vingt ans a été condamné par le tribunal de Versailles à six mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour avoir volé un sandwich et deux bouteilles de jus d’orange. Il avait déjà été condamné trois fois, notamment à des peines de sursis.

 

 

Un homme de 20 ans a été condamné à six mois de prison ferme avec mandat de dépôt par le tribunal de Versailles (Yvelines) vendredi 14 juin, pour avoir volé un sandwich et du jus d’orange, rapporte Le Parisien.

Le méfait a été commis dans la matinée du mercredi 12 juin : le jeune homme a dérobé un sandwich au thon et deux bouteilles de jus d’orange dans le magasin Franprix de Conflans-Sainte-Honorine. Un butin d’une valeur de moins de cinq euros.

« C’était pour manger »

Mais il se fait surprendre par le vigile, qui l’intercepte à la sortie de la supérette et lui demande d’ouvrir son sac. Face au refus du voleur, le gérant du commerce décide de baisser son rideau et d’appeler la police. Le jeune homme devient alors agressif et bouscule le vigile, avant de se faire arrêter par la police, rapporte le quotidien.

Devant les juges, vendredi, le prévenu, originaire du Mans, a reconnu les faits : « Je n’ai aucune excuse : j’ai volé. Mais c’était pour manger. J’avais faim et je n’avais pas d’argent. » Le jeune homme venait tenter sa chance dans la capitale et effectuait un stage dans un magasin. Ses explications n’ont pas convaincu le tribunal, qui l’a condamné à six mois de prison ferme : le vingtenaire avait déjà condamné à trois reprises, notamment à des peines de prison avec sursis.

 

 

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Renaud : Laisse béton (Album)

Publié à 14:41 par dessinsagogo55 Tags : center bande sommaire sur centerblog musique merci
Renaud : Laisse béton (Album)

 

 

 

Face 1

"Laisse béton" - 2h30

"Le blues de la porte d'Orléans" - 3:10

"La chanson du loubard" (Muriel Huster, Renaud Séchan) - 2:35

"Je suis une bande de jeunes" (Renaud Séchan, François Bernheim) - 

"Adieu Minette" - 3:48

"Les charognards" - 4:22

 

Face 2

"Jojo le démago" - 2:26

"Buffalo débile" - 2:19

"La boum" - 3:00

"Germaine" - 3:15

"Mélusine" - 1:37

"La bande à Lucien" - 2:52

 

Les pistes 1 et 3 ont été incluses dans la compilation The Meilleur Of Renaud (75-85) . La piste 1 figurait également sur le CD Ma Compil . Les pistes 1, 4 et 5 ont été couvertes pour l'album hommage La Bande à Renaud .

 

 

 

Renaud - voix

Alain Ledouarin - guitare

Patrice Caratini - contrebasse

Alain Labacci - guitare, banjo

Joss Baselli - accordéon , bandonéon

Christian Lété - percussion

Jean-Jacques Milteau - harmonica

 

 

 

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Utah Beach

Publié à 20:42 par dessinsagogo55 Tags : monde france hiver sommaire paris anniversaire air centerblog sur mer merci place saint coup jeux nuit
Utah Beach

Utah Beach est l'appellation d'une des cinq plages du débarquement de Normandie le 6 juin 1944. Plage la plus à l'ouest des zones du débarquement allié et la seule située dans le département de la Manche sur la côte nord-est du Cotentin, à l'ouest de l'estuaire de la Vire (les quatre autres se trouvent sur la côte du Calvados), Utah Beach s'étend de Sainte-Marie-du-Mont jusqu’à Quinéville sur environ 5 km de long, avec une zone d'assaut principal à hauteur de Varreville.

Elle fut ajoutée aux plans initiaux du débarquement, du fait d'un plus grand nombre de chalands de débarquement finalement disponibles et permettait ainsi d'avoir une tête de pont plus proche du port de Cherbourg. La 2e DB, commandée par le général Leclerc, y débarqua 30 juillet 1944. Le débarquement à Utah Beach fut certainement le moins coûteux en vies humaines et celui avec les résultats, à la fin de la première journée, les plus proches des objectifs initiaux des Alliés. La 4e division d'infanterie américaine n'y rencontra qu'une relativement faible résistance ennemie, en contraste avec Omaha Beach l'autre plage du secteur américain. Les fortifications allemandes y étaient moindres du fait d'une configuration des lieux jugée peu propice par les Allemands pour un débarquement. En effet, la plage se trouve sur un cordon littoral adossé à des zones marécageuses. Le débarquement américain sur Utah sera donc précédé d'une opération aéroportée de nuit, elle sera coûteuse en vies humaines, sur Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont afin de contrôler les quelques routes au travers des marais permettant les sorties de plage

La partie est du Cotentin, à la limite des départements de la Manche et du Calvados est une zone de terres basses et humides, sujette à des inondations régulières en hiver. Sur le littoral, s'étendent de larges plages de sable bordées d'un cordon dunaire les séparant des marais que l'on franchit en empruntant des chemins surélevés. Les Allemands avaient volontairement maintenu plusieurs zones inondées pour rendre plus difficile un débarquement.

Cette plage, particulièrement propice à un assaut amphibie, verra ses défenses renforcées après que le maréchal Rommel détectera de nombreuses faiblesses dans le dispositif défensif allemand lors de ses multiples visites d'inspection. Ainsi, les dunes entre la baie des Veys et Saint-Vaast-la-Hougue seront truffées de nids de mitrailleuses et sur les hauteurs de l'arrière-pays seront aménagées quelques batteries lourdes, notamment à Azeville, Crisbecq, Morsalines, La Pernelle. Néanmoins cette zone restera moins fortifiée que d'autres zones de la côte normande du fait que les Allemands estimaient que les marais et les zones inondées rendaient difficile un accès à l'intérieur des terres.

Initialement, les Alliés n'avaient pas prévu de débarquer sur les côtes du Cotentin. La proximité du port de Cherbourg et la nécessité de disposer d'une solution de repli au cas où la situation tournerait mal sur les plages du Calvados, décidèrent les responsables du haut commandement allié (le général Eisenhower et le général Montgomery) à ajouter une cinquième plage. Un plus grand nombre de chalands de débarquement disponibles permit cette plage supplémentaire.

L'endroit retenu reçut le nom de code d’Utah Beach. Il s'étend de Sainte-Marie-du-Mont jusqu’à Quinéville, avec une zone d'assaut d'environ deux kilomètres à hauteur de Varreville. Afin de permettre une sortie de plage des troupes fraîchement débarquées et qu'elles ne se trouvent pas bloquées entre la plage et les marais, les Alliés décidèrent d'engager deux divisions parachutistes, la 82e et la 101e divisions aéroportées américaines qui devront pour cela établir un point de fixation sur la zone de Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont et contrôler les quelques routes d'accès aux plages. Ils doivent également prendre le contrôle de la N 13, route nationale reliant Paris à Cherbourg via Caen et d'importance stratégique, cela afin d'éviter tout mouvement de troupes ou contre-attaque ennemis par cette voie et aussi de couper la liaison avec la forteresse de Cherbourg. Dans ce même but, ils doivent également contrôler la ligne de chemin de fer reliant Caen à Cherbourg, les ponts de la Douve et le contrôle du canal de Carentan à la mer. L'assaut aéroporté porte les noms d'opérations Albany et Boston.

C'est la 4e division d'infanterie américaine du major général Barton, appartenant au VIIe corps américain commandé par le général J. Lawton Collins, qui fut chargée de prendre d'assaut Utah Beach. La première vague d'assaut est menée par le brigadier général Theodore Roosevelt Junior, cousin germain de l'épouse du président américain en exercice, Franklin Delano Roosevelt (dont il est également un lointain cousin), fils de l'ancien président Theodore Roosevelt et seul général, ce jour du 6 juin, à accompagner une vague d'assaut. Ce débarquement bénéficie de l'appui feu du groupe de bombardement de l'amiral ML Deyo et d'un écran de fumée lancé par le squadron 342, groupe Lorraine des ex-forces aériennes françaises libres. En tout ce sont plus de 865 navires, la « Force U », de convoyage, de protection ou d'appui aux troupes à terre qui seront impliquées dans le débarquement sur Utah Beach.

Opérations

C'est à h 30 le 6 juin, après une intense préparation d'artillerie et d'un bombardement aérien efficace des principales positions allemandes, que la 4e division d'infanterie US est engagée. Deux escadrons de chars DD amphibies sont mis à l'eau à 3 kilomètres du rivage. Ils rejoignent la plage par leurs propres moyens grâce à deux hélices et une jupe de caoutchouc. Ils s'approchent en deux vagues d'assaut, 12 chars pour l'une, 16 pour l'autre, de la plage où ils commencent à tirer sur les positions des Allemands alors que ceux-ci peinent à réorganiser leur défense après le terrible et efficace bombardement allié qui vient juste de cesser.

En raison d’une erreur de navigation, les premières vagues d’assaut prirent pied à environ 2 kilomètres au sud de l'endroit prévu. Heureuse erreur pour les Alliés puisque les défenses allemandes étaient ici nettement moins redoutables. Pendant le début du débarquement de la division d'infanterie américaine, les tirs allemands sont nourris mais peu précis et peu à peu, les positions de mitrailleuses allemandes sont rapidement neutralisées. Il subsistera tout au long de la journée des tirs aléatoires mais meurtriers des canons et mortiers de la 709e division d'infanterie allemande située dans les terres mais que l'avancée des troupes à terre et les tirs guidés des navires alliés réduiront progressivement.

La plage est aux mains des Alliés assez rapidement. La marée se retirant, découvre les défenses des plages que les unités du génie commencèrent à éliminer moins d'une heure après le début du débarquement, afin d'ouvrir des passages aux chalands de débarquement de matériels et véhicules lourds. Deux heures après le débarquement, le mur antichar fut dynamité en plusieurs endroits et les chars purent commencer leur progression à l'intérieur des terres. La jonction des troupes débarquées et des parachutistes se fit en début d'après midi du côté de Pouppeville.

Les pertes de la 4e division (tués, blessés et disparus) ne dépassèrent pas les 200 hommes pour la journée du 6 juin.

Seul les canons de 210 mm de la batterie allemande MKB Marcouf à Crisbecq, commandé par Walter Ohmsen (qui surveillait tout le secteur à partir de son poste de commandement et d'observation de Crisbecq) furent en mesure de gêner sporadiquement les opérations de débarquement sur les journées des 6 et 7 juin.

Comparativement à Omaha Beach, Utah Beach fut un succès, et ce dû à plusieurs facteurs :

Moins de fortifications allemandes comparé à d'autres plages. La défense est largement fondée sur l'isolement du cordon littoral de l'intérieur du pays par les zones inondées.

Un bombardement avant l'assaut efficace : beaucoup des grands bunkers identifiés, comme la batterie côtière près de Saint-Martin-de-Varreville, furent détruits par les B-26 Marauder, bombardiers moyens de la 9e US Air Force, volant à moins de 5 000 pieds (1 600 m) et fournissant aussi un appui aérien rapproché aux forces d'assaut.

Les tanks DD : 28 des 32 tanks amphibies ont atteint le rivage car ils ont été mis à l'eau 2 fois plus près de la plage qu'à Omaha et furent aussi capables de se diriger dans le courant de manière plus efficace pour éviter la houle.

L'erreur sur la zone de débarquement avec un débarquement vers une zone plus au sud que prévu se révélant une des zones de sortie de plage la moins fortifiée.

Les troupes parachutistes : la différence la plus significative fut les 13 000 hommes de la 101e et de la 82e division aéroportée qui combattaient déjà dans l'intérieur des terres lors du début du débarquement. Cinq heures avant la première vague d'assaut, les troupes parachutées ou arrivées par planeurs combattaient au-delà des plages, éliminant l'ennemi des positions le long des sorties de plages et créant la confusion parmi les Allemands, prévenant ainsi toute contre-attaque organisée de la part de l'ennemi vers les zones de débarquement.

Mais ce succès doit être relativisé par les lourdes pertes subies par les troupes aéroportées. La 101e perdit 40 % de ses effectifs le jour J, dus à une dispersion au largage (plusieurs tombèrent dans les marais) et à de durs combats au sol.

Logistique

Dans les 12 premières heures, ce sont 23 250 hommes, 1 700 véhicules de combats et 1 695 tonnes d'approvisionnement qui seront débarqués sur cette plage.

Par la suite, une véritable logistique d'approvisionnement va être mise en place à Utah Beach par la brigade spéciale de génie américain, forte de 19 500 hommes, brigade qui sera portée dans les semaines qui suivent à près de 70 000 hommes. Cette unité, commandée par le major général Eugene Meode Caffey, permettra de juin à novembre 1944 le débarquement sur la plage et l'acheminement jusqu'au front de 836 000 hommes, 220 000 véhicules de la jeep à la locomotive, 775 000 tonnes d'approvisionnements. En effet, privé rapidement de leur port artificiel de Saint-Laurent-sur-Mer détruit par la tempête du 19 juin, les Américains durent imaginer des solutions de rechange, la plage sera donc utilisée par des chalands mais aussi par des échouages volontaires de bateaux de plus fort tonnage, repris ensuite par la marée montante. Le quartier général de cette unité de génie sera durant les premières semaines établi dans le premier blockhaus pris aux Allemands à Utah Beach. Sur celui-ci s'élève aujourd'hui le monument à la mémoires des hommes de la 1re brigade de génie.

Vue du côté allemand

Selon un historien anglais, Sir Basil Liddel Hart , qui a interviewé les généraux allemands prisonniers de guerre, le haut-commandement allemand était conscient de la faiblesse des divisions stationnées à l'ouest. Les divisions étaient squelettiques.

Selon des auteurs allemands, le point d'appui W5 donna bien du fil à retordre aux troupes de débarquement. Cette position était aussi bien armée que possible (en fonction des ressources disponibles alors) :

mini-tanks "Goliath",

une tourelle blindée, canon de 88 mm,

canons de 50 mm,

canons anti-chars de 75 mm,

un obusier de 160 mm (1re Guerre mondiale)

une tourelle de char Renault FT, enterré, abritant une mitrailleuse Hotchkiss.

Le tout était complété par des nids de mitrailleuses battant le terrains sans angles morts. L'approvisionnement en munitions était estimé suffisant. L'ensemble des dispositifs, avec les abris enterrés, était relié par de profondes tranchées. Le tout revêtait un aspect redoutable. Le commandement était assuré par le lieutenant Janhke (à 22 ans avait fait ses preuves sur le front de l'est) et le personnel était composé de réservistes âgés amalgamés avec de jeunes recrues.

Les combats débutent par la capture de parachutistes US dans les marais inondés. Un violent bombardement aérien le 6 juin à h du matin endommage les pièces d'artillerie (particulièrement la pièce de 88 mm), fait sauter les stocks de munitions et provoque des pertes en personnel. Le bombardement est complété par des avions lanceurs de roquettes.

La première vague de débarquement est sérieusement détruite par les mines et par deux mitrailleuses lourdes rescapées. La seconde vague est moins prise à partie, abritée par les épaves de la plage. L'arrivée des chars DD va changer la donne, détruisant par leur canons les armements rescapés. La pièce de 88 mm remise en état ne tirera qu'un coup et sera hors d'usage. L'obusier de 160 mm sera détruit par les tirs des pièces de marine ainsi que le reste de l'artillerie. Les mini-chars Goliath se montreront inefficaces, leurs télécommandes filaires ayant été déréglées par les bombardements.

Les unités du génie US vont déminer la plage. Peu à peu, les défenseurs sont réduits par les tirs de canons de marine. Le lieutenant Janhke est capturé avec ce qu'il reste de ses hommes et envoyé sur un destroyer. Les bulldozers US commencent à dégager la plage en face de ce qui reste de W5. Les parachutistes allemands n'ont pas pu s'approcher de W5 pour prêter assistance et ont été repoussés.

Selon Olivier Wieviorka, les pertes américaines parmi les troupes débarquées furent faibles (300 hommes) alors que les pertes en péniches de débarquement furent importantes.

 

Un lieu de mémoire

Un musée du débarquement Utah Beach a été édifié en 1962 à l'endroit même où les troupes américaines débarquèrent le Jour J.

Utah Beach possède en outre plusieurs monuments commémoratifs :

Le monument des États-Unis.

Le monument à la 4e division d'infanterie américaine.

Le monument à la 90e division d'infanterie américaine.

Le monument Higgins-Boat inauguré à l'occasion du 71e anniversaire du Débarquement en 2015

 

 



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Bataille de Carentan

Publié à 19:44 par dessinsagogo55 Tags : fleurs sommaire center monde jeux centerblog sur merci france
Bataille de Carentan

 

La bataille de Carentan est un engagement de la Seconde guerre mondiale entre les forces aéroportées américaines et la Wehrmacht lors de la bataille de Normandie. Elle eut lieu du 6 au 13 juin 1944 dans les environs de Carentan en France. Théâtre de violents affrontements, la ville sera prise avant que les Allemands qui s'en étaient retirés à court de munitions ne tentent une dernière et infructueuse contre-attaque.

l'opération Overlord

L'objectif des Américains était de consolider les têtes de pont alliées de Utah et Omaha Beach et d'établir une ligne défensive sur le front normand afin de contenir d'éventuelles contre-attaques allemandes. Les Allemands retranchés dans la ville tentèrent de la défendre le plus longtemps possible afin de permettre à leurs renforts d'arriver sur le front et d'ainsi empêcher la 1re armée américaine d'attaquer l'axe Lessay-Périers, ce qui aurait eu pour conséquence de couper le Cotentin.

 

Carentan était défendue par le 6e régiment de parachutistes, deux bataillons des légions de l'Est et d'autres éléments des forces allemandes en débâcle après l'opération Overlord qui reçurent l'ordre de défendre la ville jusqu'au bout tandis que la 17Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen, envoyée en renfort, essayait tant bien que mal d'arriver mais était retardée à cause du manque de carburant ainsi que par les attaques aériennes alliées. La 101e division aéroportée américaine, parachutée le Jour J (6 juin 1944) non loin de Carentan reçut l'ordre de prendre la ville aux Allemands.

 

Les assauts américains sur Carentan débutent le 10 juin. Deux jours plus tard, le 12 juin, les forces allemandes, à court de munitions, sont contraintes de se retirer de la ville. Le lendemain, la 17e Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen contre-attaque vers les positions de la 101e aéroportée. Cet assaut sera d'abord un succès, avant que les forces de la 2e division blindée américaine viennent mettre en déroute les unités allemandes.

 

La prise de Carentan permet aux Américains de consolider leurs positions et d'établir une ligne défensive en Normandie, leur donnant ainsi un front continu qui leur permettra de progresser en profondeur dans les terres normandes. Ce sera le début de la bataille des Haies.

Le général commandant la 101e aéroportée, Maxwell Davenport Taylor manque de se faire abattre par un tireur embusqué allemand lors d'une cérémonie à Carentan le 24 juin 1944. Le tireur abat la fillette de quatre ans apportant un bouquet de fleurs au général

 



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Maquis de Saint-Marcel

Publié à 22:38 par dessinsagogo55 Tags : center png centerblog sur merci france saint obstacles centre air nuit
Maquis de Saint-Marcel

Le maquis de Saint-Marcel est un maquis qui exista en Bretagne occupée, dans le centre du Morbihan non loin du village de Saint-Marcel pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il a été créé en février 1943 par Émile Guimard, de Lizio, et Antoine Rolland, de Sérent, pour recevoir des parachutages d'armes. Ce terrain discret, dénommé « baleine » derrière la ferme de la Nouette près de Saint-Marcel avait été trouvé à la demande de la mission Cockle composée de deux agents secrets de la France libre, le lieutenant Guy Lenfant et le sergent radio André Rapin, parachutés près de l'étang au Duc  entre Ploërmel et Loyat dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942 pour armer les premiers réseaux de Résistance du Morbihan. Ces deux agents, missions remplies avec de multiples parachutages autour de Ploërmel et de Pontivy durant le premier semestre 1943, retournèrent en Angleterre le 15 juillet de la même année, embarquant avec eux le plan des défenses allemandes du Morbihan, remis par le commandant départemental de gendarmerie et le résistant, Maurice Guillaudot. En mai, ces parachutages furent suspendus, après quelques ratés, pour ne pas attirer l'attention de l'occupant.

En mars 1944, plusieurs arrestations désorganisèrent la résistance locale. Le commandant Guillaudot, à Vannes, et son adjoint, le lieutenant de gendarmerie Théophile Guillo, à Ploërmel, son fils, Joseph Guillo, 20 ans (qui mourra en déportation), furent arrêtés, torturés et déportés. Plusieurs cadres FFI, de Ploërmel notamment (Henri Calindre, Louis Chérel, Lionel Dorléans, Paul Hervy) furent fusillés le 30 juin 1944 à Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes.

Le 5 juin 1944, l'ordre est donné par le colonel Morice (Paul Chenailler), chef départemental F.F.I. (après l'arrestation du commandant Maurice Guillaudot), à tous les résistants du Morbihan de se rassembler à la Nouette, la ferme de la famille Pondard près de Saint-Marcel (soit environ 3 000 hommes)

 

Une description précise du maquis de Saint-Marcel est fournie par un témoignage allemand (les résistants y sont qualifiés de « terroristes ») :

« À deux kilomètres environ à l'ouest de Saint-Marcel, près de Malestroit, le camp de terroristes s'étendait sur un carré de plus de deux kilomètres de côté et était entouré de points d'appui en fortification de campagne. En particulier, toutes les voies d'accès au camp étaient protégées par des obstacles en rondins avec des mines télécommandées et des abris renforcés par des sacs de terre. À l'intérieur du camp se trouvaient quelques bâtiments de ferme que les terroristes ont utilisés comme central radio ou comme poste de secours, le château étant occupé par le « quartier général ». Les hommes du camp cantonnaient en partie dans les broussailles d'environ deux mètres de haut, d'une superficie de quatre cents sur huit cents mètres où avaient été aménagés des layons le long desquels se trouvaient des cabanes de branchage et des tentes avec de la paille abritant dix à vingt hommes. À l'intérieur du camp, une prairie d'environ cinquante sur deux cents mètres servait de zone et de centre de rassemblement »

Forces en présence

Drapeau de la France FFI et Armée française de la Libération 2 500 hommes

ORA ;

AS ;

FTP ;

2e RCP/4e SAS (200 hommes).

Drapeau des États-Unis États-Unis

3 squadrons de chasseurs-bombardiers P-47 Thunderbolt de l'US Air Force.

Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand

2e régiment parachutiste de maintenance et d'instruction (300 hommes) ;

un commando de chasse du 17e état-major du génie de forteresse ;

éléments de la 275e division d'infanterie de Redon ;

une compagnie du 798e bataillon de Géorgiens ;

2 bataillons du 3e régiment d'artillerie ;

patrouille de la brigade de Feldgendarmerie no 790.

 

 

 
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La bataille de Saint-Marcel

Publié à 22:29 par dessinsagogo55 Tags : saint merci sur centerblog center sommaire france monde nuit
La bataille de Saint-Marcel

 

Le 18 juin, le maquis est attaqué. Malgré un soutien aérien allié (4 avions de chasse P-47 Thunderbolt américains mitraillant les convois allemands en direction du maquis), les 3 000 résistants et 200 parachutistes SAS français (comprenant des cooneys parties et des rescapés de Duault venus compléter les parachutés sur le camp), se replieront à la faveur de la nuit, après toute une journée de combat.

Ce jour-là, Pierre Marienne (1908-1944) galvanisa les combattants, il mitraillait les Allemands d'une jeep en intervenant dans les secteurs menacés. Blessé à la tête et couvert d'un bandeau de parachute blanc teinté de sang, il y gagna son surnom : le « lion de Saint-Marcel »

Selon l'essayiste Pierre Montagnon, le bilan pour les Français est de 42 tués, dont 6 parachutistes, 60 blessés et 15 prisonniers. Mais pour Patrick Mahéo, « dans le nombre de quarante-deux, habituellement indiqué, figurent des non-combattants assassinés par les Allemands et des F.F.I. ou des parachutistes tués dans le voisinage au cours des jours suivants. » D'après Gérard Le Marec, les Français ont une trentaine de tués. Pour Philippe Buton, les Français déplorent 27 tués, dont 6 parachutistes et 21 FFI.

Du côté des Allemands, entre 300 et 600 hommes auraient été tués selon les résistants. Le monument du maquis inauguré en 1951, en présence des colonels Morice et Bourgoin, fait état de 560 morts allemands. Un officier britannique présent à Saint-Marcel, le capitaine Fay, estima les pertes allemandes à 300 hommes.

Cependant selon Pierre Montagnon, Gérard Le Marec et Patrick Maheo, cette estimation de 560 morts allemands est sans doute exagérée.

Selon les sources allemandes, les pertes sont plus légères. D'après le rapport d’activité no 14 en date du 1er août 1944, du 2e Bureau du XXVe corps d’armée, les affrontements contre les « bandes terroristes » livrés entre le 1er avril et le 1er août 1944 ont fait, côté allemand, environ 50 morts, 50 blessés et 20 disparus. Pour Gérard Le Marec, « C'est dans ce total approché qu'il faut compter les pertes du combat de Saint-Marcel ».

Les soldats allemands tués à Saint-Marcel sont inhumés au cimetière de Calmon, à Vannes. Selon les recherches effectuées par Patrick Andersen-Bö aux archives municipales de cette ville, 27 corps provenant de Saint-Marcel sont recensés. Ces corps sont par la suite transférés ensuite au cimetière militaire allemand du Mont-d'Huisnes, à côté d'Avranches.

Côté civils, le village de Saint-Marcel est pillé et brûlé après le combat, 40 personnes seront tuées et d'autres déportées.

Lors des combats pour la libération de la Bretagne, du 6 juin à août 1944, 77 parachutistes furent tués et 195 furent blessés, soit plus de la moitié de l'effectif du 4e bataillon SAS français (450 hommes parachutés). Des volontaires FFI bretons recomposèrent l'effectif du bataillon lorsque celui-ci fut engagé sur la Loire (secteur Orléans – Nevers), opération Spencer, en septembre 1944.

 

 
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Les premiers fantassins allemands traversent la Meuse

Publié à 19:31 par dessinsagogo55 Tags : center saint paris mer maison centre marne carte sommaire centerblog sur bonne france monde cadre merci
Les premiers fantassins allemands traversent la Meuse

 

 

En 1939, la France a déclaré la guerre à l'Allemagne et se prépare à repousser l'invasion de celle-ci. Dans le cadre du plan défensif français, la Meuse joue un rôle important puisque c'est sur une bonne partie de son cours supérieur (en France, du confluent avec la Chiers jusqu'à Namur, en Belgique) que le Commandement Français compte arrêter les Allemands dans le cadre du plan Dyle.

 

Plus en aval, les Belges la défendent notamment par le fort d'Ében-Émael pour protéger Liège.

 

Ce fort tombera le 11 mai 1940, lendemain de l'offensive allemande ; les Belges évacueront la position fortifiée de Liège puis celle de Namur, y laissant uniquement des troupes de forteresse.

 

En amont, prenant de vitesse les Français, le 12 mai 1940, c'est un peu au Nord de Dinant, à Houx que les premiers fantassins allemands traversent la Meuse. Le lendemain, les troupes allemandes de Guderianfranchissent également la Meuse à Sedan provoquant la Percée de Sedan, ainsi qu'à Monthermé. Leur infanterie traverse également à Givet et Profondeville, mais échoue à Nouzonville et Charleville-Mézièresavant que les Français n'évacuent leurs dernières positions sur la Meuse le 15 mai 1940, une brèche large de Namur jusqu'à l'extrémité Ouest de la ligne Maginot a été ouverte dans le front allié, que les Français ne peuvent combler faute de réserves suffisantes. Les unités blindées allemandes s'y engouffrent et atteignent la Manche près d'Abbeville le 20 mai 1940, prenant à revers les armées alliées dans le nord de la France et la Belgique. La bataille de France est déjà virtuellement perdue.

 

 


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