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Monde : Italie

Vittorio Caprioli

Vittorio Caprioli

 

Vittorio Caprioli est un acteur, réalisateur et scénariste italien, né le 15 août 1921 à Naples, ville où il est mort le 2 octobre 1989. Il apparaît dans 109 films, surtout italiens mais également français, entre 1946 et 1990. Le grand public français le connaît pour des seconds rôles dans des films populaires à succès : le double rôle de l'éditeur Charron et du colonel Karpov dans Le Magnifique, ou Don Barberini dans Le coup du parapluie.

 

Carrière

 

Vittorio Caprioli entre très tôt à l'Académie nationale d'art dramatique de Rome, d'où il sort diplômé et entame aussitôt sa carrière théâtrale en 1942 chez Carli-Racca dans une pièce de William Saroyan aux côtés de Vittorio De Sica, Nino Bezossi et Vivi Gioi. Dès sa première prestation, il affiche dans son jeu une certaine amertume, de l'ironie voire de l'agressivité, des traits de caractère qui vont aller crescendo tout au long de sa carrière de comédien.

 

Vittorio passe ensuite dans la compagnie du Piccolo Téatro de Milan avec lequel en 1948, il participe, sous la direction de Giorgio Strehler, à la pièce de William Shakespeare, La tempête et immédiatement après en 1949 dans celle de Carlo Gozzi Il corvo.

 

Il se risque aussi dans des revues puis dans des comédies musicales et l'année suivante, en 1950, une année phare pour sa carrière, il fonde avec le comédien Alberto Bonnucci et la comédienne Franca Valeri (qui devient sa femme par la suite), Le Téatro dei Gobbi. Lequel va proposer des spectacles subtilement satiriques, contenant des gags sournois, chafouins et des répliques mordantes, d'autant plus spontanées que ses pièces sont totalement dépourvues de textes écrits.

 

Caprioli apparaît pour la première fois au cinéma dans le film de Giacomo Gentilomo, O sole mio, en 1946 mais de manière si furtive que la plupart des filmographies situent ses véritables débuts au cinéma dans la première réalisation de Fellini associé à Lattuada Luci del Varieta (Les Feux du music-hall) sur le thème du monde du spectacle et dans lequel, il donne une première composition remarquée en interprétant, sous le nom de Caprioli, un numéro comique dans un night-club.

 

Puis, il enchaîne dans ce qui sera le dernier film de Laurel et Hardy, Atoll K de Léo Joannon. À cette période, Caprioli se partage entre la scène où il fait salle comble et les plateaux de tournage dans des rôles encore modestes mais de bonne composition comme dans Le Carrousel fantastique (Carosello napolitano) et surtout dans Zazie dans le métro de Louis Malle en 1960.

 

Entre-temps, il joue dans la pièce de Beckett En attendant Godot et signe sa première réalisation avec La Catacombe dont le scénario est écrit par sa femme, Franca Valeri. Il se lance dans la réalisation en 1961 avec Leoni al sole (Lions au soleil) et se met en scène lui-même dans une satire mordante et amère du vitellonisme de Fellini qui est, en fait, un mélange de nostalgie des vieux tréteaux de cirque misérable d'avant-guerre et de l'ennui qu'éprouvent les curistes d'une station thermale très prisée de la Belle Époque, comme le fut la station de Vittel, qui donna son nom à la stylistique fellinienne.

 

Il réalise un second film avec un scénario considéré comme remarquable avec Splendori et miserie di Madame Royal en 1970 dans laquelle il fait une exploration sensible et intelligente du milieu homosexuel.

 

En 1976, il joue le rôle du restaurateur tyran et ruiné qui menace le personnage de Louis de Funès, qu'il menace avec une arme dans une scène fameuse du film L'Aile ou la Cuisse. Voulant échapper à la vieille commedia dell'arte napolitaine qui a conduit au néoréalisme, son œuvre personnelle se caractérise surtout par une vision très confidentielle de la société italienne, abordant le plus souvent le cinéma par son côté critique et satirique. Il n'a atteint que partiellement son but. En France, il travaille avec une douzaine de réalisateurs dont Louis Malle et Trintignant qui le mirent en valeur. Les autres réalisateurs n’utilisèrent de lui que le personnage de l'« Italien » type parfois démesuré ou le plus souvent stéréotypé comme Gérard Oury dans Le coup du parapluie en 1980 dans le rôle d'un « Don Barberini ridiculisant avec un cynisme non feint, la mafia sicilienne (on se rappellera du point noir sur la glace sans tain) ».

 

Caprioli, doté d'une étoffe de dramaturge, a connu son heure de succès dans les années 1960, mais la suite des années 1970 est une période où il tourne un peu n'importe quoi comme en 1973 et 1975 où il joue dans des films de Sergio Martino et Nando Cicero qui l'emploient à contre sens dans des films érotiques.

 

Lorsqu'en 1980, il tourne pour la télévision, l'homme de scène qu'il est est confronté à une difficulté majeure, celle de l'absence de public ; il retourne alors au théâtre.

 

Vittorio Caprioli meurt en 1989 à Naples d'une crise cardiaque.

 

 

Filmographie

Acteur

 

1946 : O sole mio de Giacomo Gentilomo

1950 : Les Feux du music-hall de Alberto Lattuada e Federico Fellini : Night Club Comic

1951 : Atoll K de Léo Joannon : Monsieur Paltroni, avocat italien

1951 : Paris est toujours Paris (Parigi è sempre Parigi), de Luciano Emmer

1952 : Totò a colori de Steno : Il tenore balbuziente

1952 : Marito e moglie de Eduardo De Filippo

1952 : Heureuse Époque (Altri tempi - Zibaldone n. 1) d'Alessandro Blasetti

1953 : La Fièvre de vivre de Claudio Gora : Pierra

1954 : Quelques pas dans la vie(Tempi nostri) de Alessandro Blasetti

1954 : Le Carrousel fantastique(Carosello napoletano), de Ettore Giannini : un chanteur

1955 : Buonanotte... avvocato! de Giorgio Bianchi : Vittorio

1959 : Arrangiatevi! de Mauro Bolognini : Pino Calamari

1959 : La Loi de Jules Dassin : Attilio, l'inspecteur

1959 : Le Général Della Rovere de Roberto Rossellini : Aristide Bianchelli

1960 : Recours en grâce de Laslo Benedek : Sergio

1960 : Zazie dans le métro de Louis Malle  : Trouscaillon

1961 : A porte chiuse de Dino Risi : le commissaire

1961 : Lions au soleil de Vittorio Caprioli : Giugiú

1962 : Les jours sont comptés (I giorni contati) de Elio Petri : Il 'Professore'

1962 : Adieu Philippine de Jacques Rozier : Pachala

1962 : Parigi o cara de Vittorio Caprioli: Avallone

1963 : Le Jour le plus court de Sergio Corbucci :

1964 : I maniaci de Lucio Fulci : le mari (segment Il pezzo antico)

1964 : Le Sexe des anges (Le Voci bianche) de Massimo Franciosa et Pasquale Festa Campanile : Matteuccio

1964 : Amore facile de Gianni Puccini : Mauri (segment Il vedovo bianco)

1964 : La donna è una cosa meravigliosa de Mauro Bolognini

1966 : La ragazza del bersagliere de Alessandro Blasetti : Settimo

1966 : Ischia operazione amore de Vittorio Sala

1966 : Adulterio all'italiana de Pasquale Festa Campanile : Silvio Sasselli

1966 : Moi, moi, moi et les autres (Io, io, io... e gli altri) de Alessandro Blasetti : un politicien

1966 : Une vierge pour le prince de Pasquale Festa Campanile : Marchese lignio

1966 : Comment j'ai appris à aimer les femmes (Come imparai ad amare le donne) de Luciano Salce : Playboy

1967 : Cible mouvante (Bersaglio mobile) de Sergio Corbucci : Billy, dit « Pizza »

1967 : Assicurasi vergine de Giorgio Bianchi

1968 : C'est mon mari et je le tue quand bon me semble (Il marito è mio e l'ammazzo quando mi pare) de Pasquale Festa Campanile : Spinelli

1968 : Pas folles, les mignonnes (Le dolci signore) de Luigi Zampa : Le voleur

1968 : L'Amour à cheval (La matriarca) de Pasquale Festa Campanile : Le libraire

1970 : Que fais-tu grande folle ?(Splendori e miserie di Madame Royale) de Vittorio Caprioli : La Poupée de Pékin

1970 : Nel giorno del signore

1970 : Le Mans: Circuit de l'enfer : Luis

1971 : Er più: storia d'amore e di coltello

1971 : Quand les femmes font Ding Dong : Le professeur

1971 : Scandale à Rome : Baron Maurizio Di Vittis

1971 : Trastevere : Don ernesto

1972 : L'Automobile de Alfredo Giannetti : Giggetto

1972 : La colonna infame

1972 : Anche se volessi lavorare, che faccio? : Nereo Tinelli, dit « Due Novembre »

1972 : Ettore lo fusto : Menalaus

1972 : Tout va bien de Jean-Luc Godard : le patron de l'usine

1972 : Quando le donne si chiamavano 'Madonne'

1972 : Poppea... una prostituta al servizio dell'impero : Nero

1973 : Ce cochon de Paolo : Salvatore, le pharmacien

1973 : Io e lui : Cutica

1973 : Le Boss : Il questore

1973 : Une journée bien remplie de Jean-Louis Trintignant: Le juré Mangiavacca

1973 : Mademoiselle cuisses longues

1973 : Le Magnifique de Philippe de Broca : Karpov / Charron

1974 : L'erotomane : Onorevole

1974 : L'ammazzatina

1974 : Salut les pourris

1974 : Di mamma non ce n'è una sola : Goffredo

1974 : La governante

1974 : La Belle et le puceau : Vincenzo Niscemi

1974 : Si' vendetta (feuilleton télé)

1974 : La moutarde me monte au nezde Claude Zidi : Le metteur en scène

1975 : La prof donne des leçons particulières (L'Insegnante) : Fefe Mottola

1975 : I baroni

1975 : Colère noire : Commissaire Magrini

1975 : Le Messie : Herod le Grand

1975 : Catherine et Cie de Michel Boisrond : Moretti

1976 : L'affittacamere : Onorevole Vincenzi

1976 : Ab morgen sind wir reich und ehrlich : Il 'barone'

1976 : Le Trouble-fesses : Tino Capoli / Lucki Capoli

1976 : L'aile ou la cuisse de Claude Zidi : Vittorio, patron de restaurant

1976 : I padroni della città de Fernando Di Leo : Vinchenzo Napoli

1977 : Maschio latino cercasi : Carmine

1977 : La presidentessa

1977 : Grazie tante - Arrivederci

1977 : Diamants de sang (Diamanti sporchi di sangue) de Fernando Di Leo : commissaire Russo

1977 : La bidonata : Benjamin Bronchi

1977 : Messaline, impératrice et putain : Claudius

1978 : Avere vent'anni : Nazariota

1979 : C'est dingue, mais on y va... !de Michel Gérard : Col. Cellini

1979 : Il malato immaginario : le valet

1980 : Café express : Improta, un borsaiolo

1980 : Le Coup du parapluie de Gérard Oury : Don Barberini

1981 : Prima che sia troppo presto

1981 : Il piatto della casa (TV)

1981 : Histoires extraordinaires: Le scarabée d'or (TV) : M. Ulysse

1981 : La Tragédie d'un homme ridicule (La Tragedia di un uomo ridicolo) : Marshal

1981 : Greggio e pericoloso (feuilleton TV)

1982 : Più bello di così si muore : Nereo di Sanfilippi dei Conti di Marullo

1982 : La specialità della casa

1982 : Le Rose et le Blanc : Luigi Martini

1983 : Il petomane : Pitalugue

1983 : Stangata napoletana : La vedova Fonseca

1984 : Uno scandalo perbene

1984 : La bella Otero (TV)

1984 : Cendrillon '80 : Harry Cardone

1987 : Vices et Caprices : Don Vincenzo

1987 : Facciaffittasi (feuilleton TV) : Frezza

1987 : Roba da ricchi : Bishop

1988 : Una botta di vita : Il cuoco

1988 : Colletti bianchi (feuilleton TV)

1988 : La posta in gioco : Soriano

1988 : I picari : Mozzafiato

1988 : Tutta colpa della SIP : Il conte

1989 : L'ultima scena : Antonio, the actors manager

1990 : Il male oscuro

 

Réalisateur et scénariste

 

1961 : Lions au soleil (Leoni al sole)

1962 : Parigi o cara

1963 : I cuori infranti (it), épisode La manina di Fatma

1967 : Scusi, facciamo l'amore? (it)

1970 : Que fais-tu grande folle ? (Splendori e miserie di Madame Royale)

1975 : Vieni, vieni amore mio

1983 : Stangata napoletana (it)

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vittorio_Caprioli

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Cinéma : Postes (Sommaire)
    Cinéma (Sommaire)
    L'aile ou la cuisse
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Pont Morandi : Effondrement partiel en 2018

Publié à 11:16 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur
Pont Morandi : Effondrement partiel en 2018

La partie effondrée du pont est représentée ici en rouge.

 

 

Le 14 août 2018, à 11 h 36 heure locale (h 36 GMT), alors que toute la région est frappée par de violents orages, une travée, représentant une longueur totale de 200 à 250 mètres, et son pylône (no 9, sur le plan en élévation) s’effondrent, emportant 38 véhicules, dont trois camions. Le tronçon effondré du tablier se situe en partie sur la voie ferrée et la Via Walter Fillak à Rivarolo , un quartier industriel de Gênes. Des travaux de consolidation du tablier du viaduc étaient en cours et un pont roulant avait été installé pour permettre le déroulement des activités d'entretien. Un témoin affirme avoir vu les haubans se rompre simultanément puis tomber sur la voie de circulation. Cette dernière serait alors remontée, suivie de la rupture de la travée. D'autres témoins ont également vu la foudre frapper un pilier. Le bilan est de 43 morts et 16 blessés.

 

 

 

 

Pour Jean-Michel Torrenti — directeur du « département Matériaux et Structures » à l'Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (Ifsttar) — interrogé le lendemain de la catastrophe, la corrosion d'un câble de précontrainte d'un hauban, non détectée en raison de sa position masquée par le béton, peut avoir entraîné sa rupture et provoqué la catastrophe. En effet si les ponts à haubans multiples (en acier) sont capables de conserver leur intégrité en cas de cassure de l'un d'entre eux, un pont à « deux tirants en béton précontraint » est moins résilient.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_Morandi#Effondrement_partiel_en_2018

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Léonard de Vinci

Publié à 05:37 par dessinsagogo55 Tags : center film nature centerblog sur merci vie france monde homme mort
Léonard de Vinci

 

 

Léonard de Vinci , né le 14 avril 1452 à Vinci (Toscane) et mort le 2 mai 1519 à Amboise (Touraine), est un peintre italien et un polymathe, à la fois artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.

 

Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les trois dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier.

 

Léonard de Vinci est souvent décrit comme l’archétype et le symbole de l’homme de la Renaissance, un génie universel, un philosophe humaniste, observateur et expérimentateur. C'est néanmoins d'abord comme peintre que Léonard de Vinci est reconnu. Deux de ses œuvres, La Joconde et La Cène, sont mondialement célèbres, souvent copiées et parodiées, et son dessin de l’Homme de Vitruve est également repris dans de nombreux travaux dérivés. Seule une quinzaine de tableaux sont parvenus jusqu'à nous. Ce petit nombre est notamment dû à ses expérimentations constantes et parfois désastreuses de nouvelles techniques. Néanmoins, ces quelques œuvres, jointes à ses carnets contenant plus de 6 000 pages de notes, dessins, documents scientifiques et réflexions sur la nature de la peinture (rassemblés en dix Codex pour la plupart publiés au xixe siècle), sont un legs aux générations d'artistes qui lui ont succédé.

 

Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, des prototypes d'avion, d'hélicoptère, de sous-marin et même d'automobile. Très peu de ses projets sont réalisés ou même seulement réalisables de son vivant, mais certaines de ses plus petites inventions comme une machine pour mesurer la limite élastique d'un câble entrent dans le monde de la manufacture. En tant que scientifique, Léonard de Vinci a consacré une grande partie de sa vie à l'étude de l'anatomie, du génie civil, de l'optique et de l'hydrodynamique, mais sans véritablement partager ses connaissances.

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9onard_de_Vinci

 
 

https://youtu.be/_6HWKQ1q4p0

 

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Léonard de Vinci
    Léonard de Vinci : La Joconde
    François Ier
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Caterina Murino

Publié à 22:32 par dessinsagogo55 Tags : jeune center film centerblog sur bonne afrique merci vie france amour photo amis 2010
Caterina Murino

 

 

Caterina Murino, née en Sardaigne à Cagliari le 15 septembre 1977, est une actrice italienne de cinéma et un ancien mannequin. Elle a joué notamment une James Bond girl dans le film Casino Royale.



Lors d'un concours de beauté, elle finit 5e dauphine de Miss Italie 1997. Elle débute des études de médecine mais échoue au concours de première année par deux fois, malgré un bon classement final.
À 18 ans, elle quitte la Sardaigne et suit en 1999 et 2000 des cours de comédie au laboratoire de théâtre de l'école de cinéma de Francesca de Sapio. Elle y joue notamment Richard III de William Shakespeare.
Elle débute au théâtre dès 1999 et fait ses débuts sur le petit écran en 2002, apparaissant notamment dans la série Don Matteo et dans le téléfilm Le Jeune Casanova.
En 2004, elle joue le rôle de Léa Léoni dans L'Enquête Corse aux côtés de Jean Reno et Christian Clavier.
En 2006, elle est une James Bond girl dans Casino Royale avec Daniel Craig.
Outre l'italien, elle parle couramment l'anglais et le français. Elle pratique l'équitation sportive et la danse. Catholique pratiquante, elle se consacre à l'Association pour la médecine et la recherche en Afrique (AMREF), dont elle est ambassadrice de bonne volonté.
Elle vit à Montmartre avec le joueur de rugby à XV Pierre Rabadan.

 



Filmographie

2002 : Nowhere de Luis Sepúlveda : Mujer de los sueños

2004 : L'Enquête corse d'Alain Berbérian : Léa Léoni

2005 : L'Amour aux trousses de Philippe de Chauveron : Valeria

2006 : Les Bronzés 3 - Amis pour la vie de Patrice Leconte : Helena

2006 : Casino Royale de Martin Campbell : Solange

2007 : Ciao Stefano de Gianni Zanasi : Nadine

2007 : St. Trinian's de Oliver Parker et Barnaby Thompson : Miss Maupassant

2008 : Le Grand Alibi de Pascal Bonitzer : Lea Mantovani

2008 : Made in Italy de Stéphane Giusti : Monica

2008 : The Garden of Eden de John Irvin : Marita

2008 : Il seme della discordia de Pappi Corsicato : Veronica

2010 : Comme les cinq doigts de la main d'Alexandre Arcady : Linda

2010 : Die, le châtiment (Die) de Dominic James : Sofia Valenti

2011 : Équinoxe de Laurent Carcélès : Nathalie / la veuve

2011 : La Proie d'Éric Valette : Anna

2011 : Stainless Steel de Lorna Davis : Ramona Steel

2012 : Sunner Night, Winter Moon de Xavier Koller : Antonia Giordano

2012 : Les Pirates ! Bons à rien, mauvais en tout (The Pirates! Band of Misfits) de Peter Lord(voix)

2015 : Antigang de Benjamin Rocher : Margaux

2016 : C'est quoi cette famille ?! de Gabriel Julien-Laferrière : Marie

2016 : Ustica: The Missing Paper de Renzo Martinelli : ?

2017 : Voice from the Stone d'Eric D. Howell : Malvina Ruvi

2018 : Et mon cœur transparent de David Vital-Durand, Raphaël Vital-Durand : Irina

2019 : Toute ressemblance de Michel Denisot : Elisa

 

 



Télévision

Le Temps est assassin (France), 2019

Taxi : Brooklyn (France), (2014)

Odysseus (France), (2013)

XIII : La Série (France, 2011)

Zen (Italie/Angleterre, 2011)

XIII : La Conspiration (France, 2008)

Vientos de agua (Argentine/Espagne, 2006)

Part Time (Italie, 2004)

Orgoglio capitolo secondo (Italie, 2004 - 2004)

Des jours et des nuits (France, 2004)

Orgoglio (Italie, 2003)

Un sacré détective (1 épisode) (Italie, 2002)

In der Mitte eines Lebens (Allemagne, 2001)

Le Jeune Casanova (Italie/France/Allemagne 2002)

Le Ragazze di Miss Italia (Italie, 2000)

Force et honneur (France, (Série française, 2017)

Le temps est assassin (France, (Série française, 2019)

Plan B (France, (Série française, 2021)

 

 

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Caterina_Murino

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
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Ducati Monster

Publié à 14:54 par dessinsagogo55 Tags : center film centerblog course sur merci france pari 2010 cadre
Ducati Monster

Ducati Monster est une gamme de motos du constructeur italien Ducati de type roadster lancée en 1992. En France, elle est souvent appelée Mostro, car lors de la présentation de ce modèle, le magazine Moto Revue avait titré « Il Mostro ». Le nom officiel a toujours été « Monster », le premier modèle présentait l'inscription « Monster » sur le réservoir, en dessous du logo Ducati.

Historique

 
Une Monster 900 de 1993. C'est le premier modèle produit.

Le premier modèle de Monster est apparu fin 1992. Son esthétique dépouillée est l'œuvre de Miguel Angel Galuzzi. L'objectif de Cagiva (alors propriétaire de la marque) était de proposer une moto conçue avant tout pour le plaisir, capable de distiller des sensations de sportives mais sans les inconvénients (le carénage fragile en cas de chute, la position de conduite peu confortable).
Elle arbore un look très dépouillé, mettant en valeur le cadre et le moteur. Le seul accessoire toléré est le petit saute-vent sur certains modèles.

La croyance populaire française veut que ce soit l'importateur Cagiva en France de l'époque, la SIMA, et son directeur Marcel Seurat qui donnèrent l'idée à Galuzzi. En effet, afin de faire connaître son entreprise, il décida d'engager une machine à l'enduro du Touquet de 1991, pour faire le holeshot, c’est-à-dire arriver en tête au bout de la plage, après le départ. Cette machine, une Cagiva d'enduro avec un bicylindre de 900 Ducati et un cadre treillis tubulaire, réussit son pari, mais abandonna au virage suivant. Néanmoins, l'objectif était atteint. Marcel Seurat décida de faire courir cette machine en Supermotard.

Venu assister à la dernière course de la saison, Galuzzi se serait intéressé à cette machine et aurait discuté longuement avec ses concepteurs. Galuzzi s'en défend et dit avoir puisé son inspiration dans les motos sportives accidentées et dépouillées de leur carénage, qui n'était pas remplacé faute de moyens financiers, sur lesquelles il roulait lorsqu'il vivait aux États-Unis

Description des modèles

Son équipement est de qualité avec le freinage confié à Brembo, les suspensions à Sachs, Showa ou Öhlins et le cadre emprunté aux Superbike (851 et 888) de la marque jusqu'en 2001. Le moteur est un moteur pantah issu de la gamme Supersport. Néanmoins, les Monster S4, S4R et S4Rs reprennent respectivement les moteurs des Superbike 916, 996 et 999.

La première Monster mise sur le marché fut la M900. Un an plus tard, une version plus abordable la rejoint, la M600. La M400, réservée au marché japonais et à quelques Italiens, et la M750 n'apparaissent qu'en 1996.
Au fil du temps, la gamme se complètera avec l'apparition des M620, M695, M800, M916, M996, M999 et M1000.

 
Un modèle récent, la Monster 796.

Le salon de Milan de novembre 2007 présente un tournant dans la gamme Monster. Ducati présente la M696. Cette nouvelle machine présente des changements esthétiques importants qui, même s'ils ne font pas varier l'allure générale, s'éloignent des lignes de la première Monster qui n'avait que très peu évolué dans ses différentes déclinaisons. Elle est suivie en octobre 2008 par la M1100 et en avril 2010 par la M796.

Le 5 novembre 2013, Ducati présente au salon EICMA de Milan une nouvelle évolution de la gamme Monster avec les M1200 et 1200 S. Elles sont dotées d'un moteur à refroidissement liquide, dérivé de celui des Diavel et Multistrada.

Gamme :

Ducati Monster 600 → Ducati Monster 620 → Ducati Monster 695 → Ducati Monster 696.

Ducati Monster 750 → Ducati Monster 796 → Ducati Monster 797.

Ducati Monster 821.

Ducati Monster 1000 → Ducati Monster 1100 → Ducati Monster 1200.

 

 

La Monster est apparue dans quelques films. Vincent Pérez chevauche une M900 Carbone dans The Crow : La Cité des anges (1996). Jamie Lee Curtis est passagère d'une M600 dans Freaky Friday : Dans la peau de ma mère (2003). Halle Berry, alias Catwoman, monte une M996 S4R dans le film homonyme (2004).

 

 

 

 

Le nombre de motards en France est estimé entre 2,3 et 2,5 millions pour un total de plus de 4 millions de véhicules en circulation.

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ducati_Monster

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Ducati 900SS
    Ducati Monster
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Silvia Monti

Publié à 08:45 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog sur saint enfants rose femmes film
Silvia Monti

Silvia Monti, née Silvia Cornacchia à Venise le 23 janvier 1946, est une actrice italienne.

 

Dans les pays francophones, Silvia Monti est surtout connue pour avoir eu le premier rôle féminin du film de Gérard Oury, Le Cerveau, en incarnant le personnage de Sofia, sœur d'un mafioso ; elle apparaît notamment dans une scène spectaculaire où elle descend d'un balcon avec une corde, sur une chanson de Caterina Caselli, Cento Giorni.

 

Sa filmographie est contrastée, allant de Pasolini et Gérard Oury aux séries B. Elle a joué dans quelques films d'horreur et d'action, notamment avec Terence Hill, puis semble avoir arrêté sa carrière en 1978

 

Elle a été une personnalité de la jet set à Marbella et à Saint-Moritz.

 

Elle a eu deux enfants de son premier mariage avec le comte Donà delle Rose, figure de la jet-set italienne. En 1997, elle a épousé en secondes noces l'industriel Carlo De Benedetti.

 

Filmographie

 

1969 : Fräulein Doktor de Alberto Lattuada : Margarita

1969 : Le Cerveau de Gérard Oury : Sofia

1969 : Disons un soir à dîner (Metti una sera a cena) de Giuseppe Patroni Griffi : l'actrice

1969 : Sais-tu ce que Staline faisait aux femmes ? (Sai cosa faceva Stalin alle donne?) de Maurizio Liverani : Mirta

1970 : Les Sorcières du bord du lac (Il delitto del diavolo) de Tonino Cervi : Samantha

1970 : Carnet de notes pour une Orestie africaine (Appunti per un'Orestiade africana) de Pier Paolo Pasolini

1971 : Le Venin de la peur (Una lucertola con la pelle di donna) : Deborah

1971 : Le Juge : Cat

1971 : Le Corsaire noir (Il corsaro nero) de Lorenzo Gicca Palli : Isabel de Mendoza y Laguna

1971 : Journée noire pour un bélier (Giornata nera per l'ariete) : Helene

1972 : Racconti proibiti... di niente vestiti : Felicita

1972 : Lady Caroline Lamb : Miss Millbanke

1972 : Action héroïne (Afyon oppio) de Ferdinando Baldi : Claudia

1973 : Metti... che ti rompo il muso : Shelley

1973 : La Fureur d'un flic (La mano spietata della legge) : Linda De Carmine

1973 : La grosse tête (Sono stato io!) de Alberto Lattuada : Jacqueline

1973 : Qué cosas tiene el amor!

1974 : Tant qu'il y a de la guerre, il y a de l'espoir (Finché c'è guerra c'è speranza) de Alberto Sordi : Silvia

1974 : Service compris (Il domestico)

1974 : Milano: il clan dei Calabresi : Laura Monachesi

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Silvia_Monti

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
    Cinéma (Sommaire)
    Cinéma : Postes (Sommaire)
    Le Cerveau 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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L'italien Maneskin dément avoir consommé de la drogue

Publié à 16:55 par dessinsagogo55 Tags : coup centerblog sur merci france presse nuit gagnant
L'italien Maneskin dément avoir consommé de la drogue

Eurovision 2021 : le gagnant italien Maneskin dément avoir consommé de la drogue durant la cérémonie

 

Le chanteur du groupe, Damiano David, a été filmé durant la soirée dans un mouvement laissant penser qu'il reniflait quelque chose près d'une table. La séquence a fait le tour des réseaux sociaux.

 

franceinfo
France Télévisions
 
Publié  09:05Mis à jour  11:27

Le groupe italien Maneskin remporte l'Eurovision 2021 à Rotterdam, aux Pays-Bas, le 23 mai 2021. (SANDER KONING / ANP MAG / AFP)

Après la victoire, la polémique. Le gagnant de l'Eurovision 2021, le groupe italien Maneskin, est accusé d'avoir consommé de la drogue en direct durant la cérémonie, samedi 22 mai. Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on peut voir le chanteur Damiano David se pencher près de la table derrière laquelle il est assis avant de relever la tête vivement. Des images qui ont laissé certains spectateurs penser qu'il était en train de prendre de la cocaïne.

A sa droite, le batteur du groupe, Ethan Torchio, lui jette un coup d'œil et lui donne un léger coup de coude, alors qu'une caméra les filme.

Interrogé à ce sujet lors de la conférence de presse qui a suivi le concours, Damiano David s'est défendu d'avoir consommé de la drogue. "Thomas [Thomas Raggi, le guitariste du groupe, à sa gauche sur la vidéo] a cassé un verre avec sa jambe. Je ne prends pas de drogue, ne dites pas ça s’il vous plaît",

Dans la nuit, le groupe a redit sur son compte Instagram. "Nous sommes très choqués que certains disent que Damiano se drogue. Nous sommes CONTRE les drogues et nous n'avons jamais pris de cocaïne. Nous sommes prêts à nous faire tester car nous n'avons rien à cacher." Selon la journaliste de Paris-Match présente lors de la soirée, le groupe va bien se faire tester. On ignore pour le moment si en cas de résultat positif, il pourra être disqualifié.

 

 

Notes et références
EU21   Concours Eurovision de la chanson 2021
EU21   Concours Eurovision de la chanson 2021
EU21   Concours Eurovision de la chanson 2021
EU21   Concours Eurovision de la chanson 2021
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EU21   L'italien Maneskin dément avoir consommé de la drogue
EU21   Eurovision 2021 : B. Pravi se dit "émue, fière et ravie"
MVBP   Barbara Pravi : Voilà

 

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Liste des actrices pornographiques italiennes

Publié à 02:41 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
Liste des actrices pornographiques italiennes

 

A M Roberta Gemma
Annj Goren Marina Hedman S
Antonella Del Lago Milly D'Abbraccio Selen
C Moana Pozzi Stella Cox
Cicciolina N V
L Natasha Kiss Valentina Nappi
Lilli Carati P Valentine Demy
Luana Borgia Paola Senatore  

 

 

 

Liens externes
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Actrice_pornographique_italienne

 

 

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On continue à l'appeler Trinita

Publié à 17:17 par dessinsagogo55 Tags : png center centerblog sur bonne merci moi france musique femme mort bonjour fille dieu nature carte film
On continue à l'appeler Trinita

 

On continue à l'appeler Trinita (...continuavano a chiamarlo Trinità) est un film italien réalisé par Enzo Barboni, sorti en 1971. Il est la suite de On l'appelle Trinita, sorti un an plus tôt.

  Synopsis

 

À la demande de leur père mourant, Trinita et son demi-frère Bambino tentent de devenir de vrais bandits, mais leur bonne nature finit par les faire combattre une bande de hors la loi avec l'aide de prêtres.

 

Fiche technique

 

Titre : On continue à l'appeler Trinita

Titre original : ...continuavano a chiamarlo Trinità

Réalisation : Enzo Barboni

Scénario : Enzo Barboni

Musique : Guido De Angelis et Maurizio De Angelis

Pays d'origine : Drapeau de l'Italie Italie

Langue : italien, anglais

Genre : Comédie, Western

Durée : 107 minutes

Dates de sortie :

Drapeau de l'Italie Italie : 21 octobre 1971

Drapeau de la France France : 15 mars 1972

Drapeau des États-Unis États-Unis : 20 juillet 1972

 

Distribution

 

Terence Hill (VF 1972 : Pierre Arditi ; VF 1980 : Patrick Poivey) : Trinita
Bud Spencer (VF 1972 : Michel Barbey ; VF 1980 : Claude Bertrand) : Bambino
Yanti Somer (VF 1980 : Francine Lainé) : la fille du paysan vagabond
Jessica Dublin : Farrah, la mère de Trinita et Bambino
Enzo Tarascio (VF 1972 : Jean Roche ; VF 1980 : Henry Djanik) : le shérif
Pupo De Luca
Dana Ghia (VF 1980 : Julia Dancourt) : la femme du paysan vagabond
Emilio Delle Piane (VF 1972 : Jacques Ebner ; VF 1980 : Philippe Ogouz) : James Parker
Enzo Fiermonte (VF 1972 : Roger Rudel ; VF 1980 : André Valmy) : le paysan vagabond
Harry Carey Jr. (VF 1972 : Francis Lax ; VF 1980 : Edmond Bernard) : le père de Trinita et Bambino
Antonio Monselesan : Will Cathendrix
Franco Ressel : Un serveur dans le restaurant

 

 

Autour du film

 

Contrairement à son prédécesseur, ce film ne compte pas un seul mort.

Le cascadeur Riccardo Pizzuti, qui fut le chorégraphe des combats dans les films du duo Spencer-Hill, joue ici deux rôles : celui d'un hors-la-loi puis celui du maître d'Hôtel dans la scène du restaurant.

Dans la scène de la partie de carte, Trinita s'amuse tour à tour à dégainer et à gifler un autre joueur qui l'accuse d'avoir triché. Terence Hill reprendra ce même gag dans Mon nom est Personne.

Lors de sa première sortie dans les salles françaises, le film démarrait avec une scène où Bambino se retrouve à pied dans le désert après s'être fait attaquer (il a notamment perdu ses deux acolytes présents dans On l'appelle Trinita). Il tombe sur quatre bandits s'apprêtant à manger des haricots que Bambino leur confisque aussitôt. Quand le film est ressorti en 1980, cette scène fut retirée du montage. L'édition DVD présente cependant cette première version (avec le doublage d'origine).

 

  Les faux Trinita

 

Après la sortie des deux Trinita, les distributeurs français ont ressorti des anciens films de Terence Hill et Bud Spencer en exploitant le succès des deux films :

Dieu pardonne... moi pas ! étant sorti pour la première fois dans les salles françaises en 1972 directement sous le titre Trinita ne pardonne pas (il reprendra finalement son titre initial avec le temps et les sorties vidéos).

La Colline des bottes devient Trinita va tout casser.

La Colère du vent, avec seulement Terence Hill, est renommé Trinita voit rouge.

Django, prépare ton cercueil ! devient Trinita, prépare ton cercueil !.

Rita nel West sort directement sous le titre T'as le bonjour de Trinita.

 

Voir aussi

 

On l'appelle Trinita d'Enzo Barboni avec Terence Hill et Bud Spencer (1970)

Trinità & Bambino... e adesso tocca a noi d'Enzo Barboni avec Heath Kizzier et Keith Neubert (1995)

 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/On_continue_%C3%A0_l%27appeler_Trinita  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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On l'appelle Trinita

Publié à 16:53 par dessinsagogo55 Tags : centerblog dieu sur chevaux merci moi france place coup png homme musique film
On l'appelle Trinita

 

On l'appelle Trinita (titre original: Lo chiamavano Trinità...) est un film italien réalisé par Enzo Barboni, sorti en 1970.

  Synopsis

 

Un cow-boy solitaire, fine gâchette, rejoint son frère qui a pris l'identité d'un shérif pour voler les chevaux d'un homme qui veut chasser une communauté mormone de ses terres.

 

 

 

Fiche technique

 

Titre original : Lo chiamavano Trinità...

Titre français : On l'appelle Trinita

Réalisation : Enzo Barboni

Scénario : Enzo Barboni

Musique : Franco Micalizzi

Pays d'origine : Drapeau de l'Italie Italie

Langue : italien, anglais

Genre : Comédie, Western

Durée : 113 minutes

Dates de sortie :

Drapeau de l'Italie Italie : 22 décembre 1970

Drapeau de la France France : 21 juillet 1971 + 5 novembre 2014 « reprise »

Drapeau des États-Unis États-Unis : 4 novembre 1971

 

Distribution

 

 
Bud Spencer et Terence Hill
 

Terence Hill (VF 1971 : Gérard Dessalles ; VF 1980 : Patrick Poivey) : Trinita

Bud Spencer (VF 1971 : Michel Barbey ; VF 1980 : Claude Bertrand) : Bambino

Farley Granger (VF 1980 : Philippe Ogouz) : Le major Harriman

Dan Sturkie (VF 1980 : André Valmy) : Tobias

Gisela Hahn (VF 1980 : Sylvie Feit) : Sarah

Elena Pedemonte : Judith

Ezio Marano : Grincheux

Luciano Rossi : Timide

Remo Capitani : Mezcal

Riccardo Pizzuti (VF 1980 : Med Hondo) : Jeff Poivre et Sel

Steffen Zacharias : Jonathan

 

Autour du film

 

Enzo Barboni a écrit le scénario du film en 1966 alors qu'il était cadreur sur le tournage de Django. À l'époque, il s'agissait d'un western plutôt sérieux. Barboni l'a même proposé à Franco Nero entre deux prises mais ce dernier l'a refusé.

Le film a marqué un tournant dans le western spaghetti. En effet la violence des tueries laisse la place à l'humour tandis que les pistoleros taciturnes sont remplacés par des personnages très bavards.

Avec ce film, Bud Spencer a popularisé son fameux coup de poing-massue, un coup que, par ailleurs, l'acteur avait effectué une première fois pour assommer Terence Hill dans Dieu pardonne... moi pas !.

Faute de moyens financiers, le film a été tourné en Italie (les westerns italiens étant filmés en Espagne en temps normal). Le camp mormon a été installé dans un parc national à côté de Rome.

Farley Granger a causé pas mal de problèmes sur le tournage. Un jour, il a déchiré un script dans un excès de colère.

Le film est ressorti en 1980 en France avec un montage différent et, de ce fait, un nouveau doublage.

Le film a une suite sortie en 1971 : On continue à l'appeler Trinita.

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/On_l%27appelle_Trinita  
     
     
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