Date de création : 09.04.2012
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11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Il a été longtemps débattu des origines médiévales de la mafia, lesquelles étaient affirmées par le pentito Tommaso Buscetta. La plupart des historiens contemporains écartent cependant cette version en tant que mythe. John Dickie et Salvatore Lupo lient ainsi l'émergence de la mafia à l'agriculture capitaliste des citronniers de la Conca d'Oro, région située autour de la riche Palerme, loin du cliché qui en ferait la réminiscence d'une culture arriérée liée à la misère de l'intérieur de l'île. Selon John Dickie, la mafia est ainsi apparue au moment de l'unification italienne, entre 1860 et 1880.
Selon d'autres versions, la mafia « originelle » aurait été constituée comme une société secrète dont l’objectif avoué était de protéger la population sicilienne de la menace des maraudeurs espagnols au xve siècle. Cependant, très peu de preuves historiques abondent dans ce sens. Il est également concevable que le mythe de « Robin des Bois » ait été perpétué par les premiers mafieux notoires dans le but de gagner la bienveillance et la confiance des Siciliens.
Après les révolutions de 1848 et 1860, la Sicile sombre dans l’anarchie. Des groupes de bandits, petits et épars, se réunirent dans des cosca (it) (clans), contribuant par les armes à la confusion. Selon J. Dickie, la mafia émergea ainsi, à l'interface entre les bandits et le nouvel État italien, dénonçant certains bandits afin de mieux contrôler certains territoires où le racket (pizzo) et le vol de bétail étaient endémiques, tandis qu'elle faisait pression sur tout témoin ou mafieux « repenti » pour les empêcher de briser la loi de l'omertà. Afin de renforcer les liens entre les bandes disparates et d’assurer ainsi de meilleurs profits et un environnement plus sûr, il est probable que la mafia telle que nous la connaissons ait été formée à ce moment, entre le milieu et la fin du xixe siècle.
Par ailleurs, à partir de 1861, date à laquelle le nouvel État italien unifié prit contrôle de la Sicile et des États papaux, le Vatican s'opposa fortement à Rome. Dès 1870, le Pape déclara être assailli par l’État italien et les catholiques furent fortement encouragés à refuser de coopérer avec lui. En règle générale, en Italie, cela prit un caractère paisible. La Sicile était fortement catholique, dans un sens toutefois plus communautaire qu'intellectuel ou théologique, et se méfiait traditionnellement des étrangers. La friction entre l’Église et l’État aida les bandes criminelles qui pouvaient prétendre aux paysans et aux citadins que coopérer avec la police, qui représentait le nouvel État italien, était un acte anticatholique.
C’est pendant les deux décennies suivant l’unification de 1860 que le terme « mafia » est venu à l’attention du grand public. Elle était encore à l’image des contre-maîtres (les gabelloti (it)) qui dirigeaient et louaient les grandes propriétés agricoles aux nobles qui résidaient le plus souvent à Palerme, Naples ou, après l’Unification, Rome. En les re-louant ensuite aux paysans, ils acquirent de fait un pouvoir local, notamment en termes d’impôts et de prélèvements sur les récoltes.
La mafia se constitua donc dès cette époque en État parallèle, tiraillée entre une organisation territoriale en cosca (it) plus ou moins rivales et une coordination nécessaire entre celle-ci pour gérer des activités telles que le vol de bétail. Elle s'appuyait des complicités au sein de l'élite, qui se voyait soit contrainte de faire appel à ses services pour protéger ses plantations, soit voyait plus cyniquement une aide précieuse dans cette « industrie de la violence » (expression du rapport de 1877 de Sidney Sonnino et Leopoldo Franchetti), liée à l'émergence d'un système capitaliste moderne (ce que Marx qualifiait d'« accumulation primitive du capital »). Selon le rapport Franchetti-Sonnino, Conditions politiques et administratives de la Sicile :
« Le chef mafieux (…) agit comme capitaliste, impresario et gestionnaire. Il coordonne la perpétration des crimes (…), régule la division du travail et des tâches, contrôle la discipline parmi ses employés (…) Il appartient au chef mafieux de juger, en fonction des circonstances, s'il convient de suspendre les actes de violence pendant un certain temps soit au contraire de les multiplier et d'en augmenter la férocité. Ce patron doit s'adapter aux conditions du marché pour choisir les opérations à mener, les personnes à exploiter, la forme de violence à utiliser. »
Protéger les grandes plantations de bergamote et de citronniers, lesquelles exportaient massivement à destination du Royaume-Uni et de sa flotte qui utilisait ces agrumes contre le scorbut, et les propriétés de la noblesse locale (parfois en son absence jusqu’à la remplacer) devinrent en effet des affaires lucratives bien que dangereuses. Ces activités se déroulaient au début principalement à Palerme, mais la domination de la mafia sicilienne s’étendit bientôt dans tout l’ouest et l'intérieur de la Sicile, s'ingérant dans les mines de soufre. Déjà, des politiques tels que Raffaele Palizzolo s'appuyaient sur la mafia, tandis que le richissime Ignazio Florio Jr. protégeait également celle-ci, ayant comme domestiques deux importants dirigeants mafieux, les frères Noto.
La première mention dans les annales judiciaires officielles du terme mafia apparaît à la fin du xixe siècle, quand un certain Dr. Galati fut victime de menaces violentes par un mafioso local, Don Antonino Giammona, qui tentait de racketter son exploitation de citronniers. Le pizzo, le vol de bétail et la corruption de fonctionnaires de l’État étaient les sources de revenus et les protections principales des premières mafias. C'est aussi à cette époque que le rapport Sangiorgi (it), du nom du préfet de police de Palerme, évoque les rites d'initiation à la mafia, lesquels auraient emprunté une certaine symbolique aux rites maçonniques.
Elle se fit remarquer dès cette époque pour sa violence et ses liens avec les pouvoirs officiels. En 1867, le préfet de police de Palerme, Giuseppe Albanese, est ainsi poignardé sur la voie publique : il avait essayé de faire chanter un mafieux. Inculpé de meurtre de deux bandits, le préfet Giuseppe Albanese sera acquitté en 1871 par manque de preuves, l'omertà aidant. En 1885, 107 hommes, accusés d'être membres de la Fraternité de Favara (it), groupe issu de la fusion de deux clans rivaux, sont inculpés et emprisonnés pour des homicides liés aux mines de soufre de Favara (province d'Agrigente).
Les politiques mettent en place un réseau de clientélisme étendu, monnayant notamment les permis de port d'armes en échange d'appui électoral de la part des mafieux, à l'image du conseiller régional et député Raffaele Palizzolo. En 1893, le marquis Emanuele Notarbartolo (it), ex-président de la Banque de Sicile (it), maire de Palerme de 1873 à 1876, et homme intègre, est assassiné, donnant lieu au second maxi-procès de la mafia, en 1901-1902. Condamné pour homicide en première instance avec le mafieux Giuseppe Fontana, futur membre du gang new-yorkais de Giuseppe Morello, Matteo Filipello sera acquitté lors d'un second procès.
L'une des premières guerres de la mafia est aussi révélée au public à cette époque, avec la découverte de quatre cadavres dans un puits en 1897 : elle opposait Don Antonino Giammona au dirigeant Francesco Siino, qui, défait, devint le premier pentito d'importance, cité lors du maxi-procès de 1901. Sous la présidence de Luigi Pelloux (1898-1900), la mafia, qui avait aidé les propriétaires terriens à maintenir l'ordre lors de la révolte de 1891-1894 des fasci (syndicats paysans), se voit ainsi pour la première fois attaquée par l'État, tentative vite avortée.
La Cizeta-Moroder V16T est une voiture créée par la marque italienne Cizeta. Le nom Cizeta correspond à la prononciation italienne des initiales du fondateur de la marque, Claudio Zampoli. La marque est basée en Californie.
Historique
Claudio Zampoli arrive aux États-Unis en 1973 avec la mission de réorganiser le réseau Lamborghini. Une fois sa tâche acquittée, il a projet de concevoir une supercar inspirée de la Lamborghini Countach. Ses connaissances avec le personnel Lamborghini lui sont précieuses pour l'aboutissement de son projet.
Le cahier des charges reprend celui de la Countach en l'actualisant. Le futur modèle doit profiter d'une finition très luxueuse en rapport avec les prix pratiqués dans ce segment. Il se lie alors avec le musicien Giorgio Moroder qui a réalisé des musiques de films comme Midnight Express, Scarface ou Top Gun, et a composé des musiques de chansons pour Donna Summer et bien d'autres. Leurs origines italiennes et leur passion pour les automobiles sportives les rapprochent et Moroder s'associe au projet.
Claudio Zampolli jette son dévolu sur un moteur V16 pour animer sa supercar afin d'en faire un modèle se démarquant de la concurrence. Ce moteur est issu de l'accouplement de deux blocs V8. La ressemblance du véhicule avec une Lamborghini Diablo s'explique par le fait que les deux voitures sont conçues par le même designer, Marcello Gandini. Cependant, le moteur de la Cizeta V16T est transversal comme le V12 de la Miura et non longitudinal en avant des roues arrière comme les V12 des Lamborghini Countach, Diablo, Murcielago puis Aventador ainsi que les W16 des Bugatti Veyron puis Chiron.
Seul le premier modèle-prototype porte le nom de Cizeta-Moroder V16T. Il appartient à Giorgio Moroder qui a quitté le projet en 1990. Tous les autres exemplaires sont uniquement badgés Cizeta V16T.
La Cizeta-Moroder V16T a été produite de 1988 à 1993. Au total, huit modèles dont un prototype ont été produits. Depuis, trois nouveaux modèles ont encore été produits, dont un roadster.
Depuis le premier modèle, la puissance du bloc V16 est passée à 560 chevaux.
La Ferrari 312 T est une monoplace de Formule 1 engagée par la Scuderia Ferrari dans le cadre du en Championnat du monde 1975. Elle est pilotée par Niki Lauda et Clay Regazzoni qui effectuent leurs deuxième et cinquième saisons pour l'écurie. La 312 T participe également aux trois premiers Grands Prix de la saison 1976 avant d'être remplacée par la Ferrari 312 T2.
Après plus de dix ans sans titre pilote ou constructeur et une nouvelle désillusion en 1974 où Regazzoni termine deuxiėme à trois points de Fittipaldi, Ferrari lance un nouveau modèle de Formule 1, la 312 T. Sa conception est confiée à Mauro Forghieri, déjà à l'œuvre sur les précédentes monoplaces. Si elle conserve un châssis mixte en panneaux en aluminium et structure en tubes d'acier, elle dispose d'une nouvelle boîte de vitesses transversale, à cinq rapports, qui permet une meilleure répartition des masses. Grâce à l'implication de Lauda lors de sa conception, la monoplace se révèle très fiable : en trente engagements, elle ne subit que quatre abandons sur problèmes mécaniques.
Ferrari renoue avec les titres de champion du monde des constructeurs et des pilotes (Niki Lauda) en 1975. En 1976, la 312 T est remplacée par la 312 T2 afin de respecter les changements de réglementation technique interdisant les boîtes à air. En conformité avec ces nouvelles règles, Ferrari aligne la 312 T pour les trois premiers Grands Prix de la saison, remportés par Lauda au Brésil et en Afrique du Sud et par Regazzoni aux États-Unis.
Grâce à la 312 T, la Scuderia Ferrari et Niki Lauda remportent les titres de champion du monde des constructeurs et des pilotes en 1975. Au total, ce châssis gagne neuf Grands Prix : sept avec Niki Lauda (Monaco, Belgique, Suède, France, États-Unis en 1975 et Brésil et Afrique du Sud en 1976) et deux avec Clay Regazzoni (Italie en 1975 et États-Unis en 1976). En quinze courses de championnat, ses pilotes réalisent dix pole positions et six meilleurs tours. Hors championnat du monde, la 312 T a en outre remporté le BRDC International Trophy avec Lauda et le Grand Prix de Suisse avec Regazzoni lors de la saison 1975.
La Ferrari 312T2 est une monoplace de Formule 1 engagée par la Scuderia Ferrari en Championnat du monde de Formule 1 1976, 1977 et une partie du 1978. Elle est pilotée en 1976 par Niki Lauda et Clay Regazzoni, en 1977 par Niki Lauda et Carlos Reutemann et en 1978 par Gilles Villeneuve et Carlos Reutemann.
En 1976, la Scuderia Ferrari devient championne du monde des constructeurs devant McLaren. Lauda termine deuxième devant Jody Scheckter et derrière le champion du monde James Hunt. Clay Regazzoni termine cinquième devant Mario Andretti mais derrière Patrick Depailler. Un drame entache la saison quand Niki Lauda est victime d'un terrible accident lors du Grand Prix automobile d'Allemagne 1976 : il sort de la piste dans un virage et sa voiture prend feu. Il ressort gravement brûlé et, lors du dernier Grand Prix de la saison, au Japon, préfère s'arrêter plutôt que de piloter sous la pluie et laisse échapper le titre de champion du monde des pilotes.
En 1977, Ferrari est à nouveau championne des constructeurs devant Team Lotus. Lauda remporte le titre de champion devant Jody Scheckter, épaulé par Carlos Reutemann qui termine quatrième devant James Hunt et derrière Mario Andretti.
La 312T2 est remplacée par la Ferrari 312 T3 après deux Grands Prix en 1978.
Difficile de saisir la nuance, la sobriété et l'équilibre dès lors que leur nature est précisément d'être à peine perceptible ; la P6 rêvée par Fioravanti s'aventura dans le monde réel en réminiscence d'une ère dorée pour les prototypes Ferrari, ou peut-être comme un dernier miroitement du mythe classique de la marque. Mais elle fut aussi la première vision stylistique d'une nouvelle époque, celle des BB équipées de moteurs qui furent techniquement des V12 à plat - conçus à l'origine pour être intégrés à des ailes d'avions.
Pour imparfaite qu'elle soit, et peut-être grâce à son manque de précision, suggère très bien la part de transcendance qu'une automobile, simple objet matériel pourtant, peut contenir. Un jeune garçon sur une bicyclette, la magie simple de son mouvement dès qu'il appuiera sur la pédale, sont un beau contrepoint à cette grandiose oeuvre d'horlogerie et de sculpture qu'est une berlinetta Ferrari.
Développée par Piaggio, le célèbre constructeur des scooters Vespa des années 1950, et sortie en 1957, la Vespa 400 est une voiture compacte comme les affectionnent les Italiens. À l'instar de la Fiat 500, sa compacité, son petit moteur et son encombrement réduit en font une citadine idéale. Propulsée par un moteur deux cylindres de deux temps consommant du mélange, elle permet d'atteindre une vitesse maximale de 80–90 km/h.
Une caractéristique originale de la Vespa 400, voiture de ville destinée à une clientèle en partie féminine, est son système de lubrification , destiné à faciliter la corvée du mélange huile essence, une spécificité du moteur 2T.
Un réservoir d'huile 2 temps couplé à une petite pompe à manivelle est implanté sous le capot , au dessus du passage de la roue arrière droite (visible sur la photo de la vue arrière,capot ouvert).
Lorsque la conductrice ou le conducteur remplit le réservoir d'essence, il donne un certain nombre de tours de manivelle pour injecter la bonne quantité d'huile dans l'essence. Ce n'est pas encore le graissage automatique séparé (tel le système Autolube -TM- créé par Yamaha pour ses motos et ses moteurs hors-bord) mais c'en est une préfiguration, qui épargne bien des taches d'huiles sur les vêtements de l'automobiliste.
Voiture de dimensions très réduites , la Vespa 400 n'a pas de vrai coffre à bagages: La fausse calandre à l'avant dissimule un tiroir qui contient la roue de secours et il n'y a pas d'ouvrant sur le capot AV. L'espace derrière les sièges peut permettre de caser quelques sacs ou, ce qui n'est pas très recommandé, deux jeunes enfants pour de courts trajets.
Cette voiture était construite en France par l'ACMA (Atelier de Construction de Motocycles et Automobiles) à Fourchambault. Environ 31 000 exemplaires sont sortis de ses ateliers de 1957 à 1961.
MécaniqueTraction
Moteur positionné à l'arrière.
Propulsion.
Moteur
2 cylindres, 2 temps ;
Double bobine ;
Refroidissement à air à ventilation forcée ;
Course et alésage : 63 mm x 63 mm (393 cm³).
Taux de compression : 6,4 à 1.
Suspension
Quatre roues indépendantes ;
Suspension (avec quatre amortisseurs hydrauliques) :
bras tirés à l'avant avec barre de torsion et ressorts hélicoïdaux
arrière avec ressorts hélicoïdaux.
Transmission
3 vitesses (avec 2nde et 3e synchronisées).
3 vitesses sur le marché américain.
flectors caoutchouc
Dimensions
Longueur : 2,85 m, largeur : 1,27 m, hauteur : 1,25 m.
Poids : 360 kg.
Performances
Puissance : 14 chevaux DIN.
Vitesse maximale : 80–90 km/h (atteinte en 25 secondes).
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La Ferrari F40 est une supercar GT et de compétition, du constructeur automobile italien Ferrari. Produite entre 1987 et 1992, pour fêter les quarante ans de la marque, elle succède à la Ferrari 288 GTO. Ultime création du Commendatore Enzo Ferrari(1898-1988), elle est au moment de sa sortie, la voiture la plus rapide, la plus puissante et la plus chère de l'histoire de l'automobile (liste des voitures de série les plus rapides au monde).
Elle valait 1 million d’euros en 2015.
En 1984, sous l'impulsion de Nicola Materazzi1, Enzo Ferrari lance un programme d'étude « Evoluzione » des Ferrari 288 GTO, afin de rivaliser avec les Porsche 959 en Groupe B, et pour marquer et fêter les 40 ans à venir de la fondation de son entreprise.
Dans les faits, Nicola Materazzi explique qu'il proposa à Enzo Ferrari de modifier la 288 GTO pour réaliser une voiture avec laquelle les clients pourraient courir. Enzo Ferrari ne put donner son aval, ceci concernait les voitures production. Nicola Materazzi convoqua alors Eugenio Alzati, le directeur général de la production des voitures de série Ferrari (un homme de Fiat) qui approuva la demande. Néanmoins, il imposa que la voiture soit développée le samedi matin pour ne pas perturber la production en cours.
En 1987, parallèlement aux Ferrari Testarossa de 1984, la marque dévoile cette supercar GT en série limitée. Elle est alors la sportive la plus performante et efficace de l'histoire de l'automobile, inspirée directement de la compétition et notamment de la Formule 1. La voiture est présentée à la presse le 21 juillet 1987 au circuit de Fiorano de l'usine Ferrari de Maranello par Enzo Ferrari lui-même, avec Leonardo Fioravanti (chef designer) et Peter Camardella. La présentation au public se fera au salon de l'automobile de Francfort de la même année.
Selon la philosophie personnelle de toute une vie, et les dernières volontés du Commendatore Enzo Ferrari (1898-1988), elle est le dernier modèle de supercar GT Ferrari à repousser les limites du « génie mécanique automobile optimum », sans avoir recours aux premières solutions d'assistances et aides technologiques à la conduite en vogue dans le monde de la conception automobile de l'époque. La F40 est la première voiture de route de l'histoire de Ferrari à être construite avec divers matériaux composites tels que le kevlar. Au moment de sa présentation elle était la voiture de série la plus rapide jamais construit avec 324 km/h vérifiés.
Elle fut la dernière Ferrari équipée d'un moteur turbocompressé construite sous la supervision d'Enzo Ferrari.
La série de 400 exemplaires initialement prévue étant vendue en très peu de temps la production fut alors augmentée à 1 000 exemplaires. La valeur de la voiture atteignant des sommets, au même moment elle obtenait la certification aux États-Unis, refusée jusque-là en raison de ses caractéristiques extrêmes. Ferrari dû respecter le contrat avec l'importateur américain qui obligeait la firme de Maranello à allouer 22% de la production de chaque modèle au marché américain. La production fut donc de nouveau augmentée une dernière fois pour porter le nombre total de F40 produites à 1 337 exemplaires. Cette série limitée, et la disparition d'Enzo Ferrari l'année suivante à l'âge de 90 ans, enflammèrent la spéculation avec des F40 neuves revendues à plus de 5 millions de francs, très au-delà du prix usine.
Concurrente des Porsche 959, Lamborghini Diablo, Jaguar XJ220, Bugatti EB110, la Ferrari F50 lui succède en 1995.
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