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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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Le Nounours : Ce délicieux bonbon gélatineux en forme de petit ours est aujourd'hui incomparablement répandu parmi les bonbecs. Avec la production annuelle actuelle de nounours on pourrait faire 3 fois le tour de la Terre !!!
De différentes couleurs (à admirer ci-dessus) et différents parfums (orange, pomme, fraise...) le nounours fait la joie des grands et des petits.
Le Sucre d’orge de Moret est une spécialité de Moret-sur-Loing, petite ville de Seine-et-Marne. Ce délicieux bonbon date de 1638 et a su gardé son caractère artisanal. Il a la forme d’un petit cœur transparent marqué d’une croix et des initiales R et M (pour « Religieuses de Moret »).
Le sucre d’orge est apparu à Moret-sur-Loing en 1638, à l’époque où fut construit le couvent des religieuses bénédictines de Notre Dame des Anges. C’est sous la direction de la Mère Supérieure Elizabeth Pidoux que les sœurs bénédictines se mirent à fabriquer des bâtons de sucre d’orge. Le sucre d’orge connut tout de suite les faveurs de la cour de Louis XIV et des orateurs comme Bossuet qui faisait l’éloge de ses propriétés apaisantes pour la gorge. La reine, quant à elle, faisait le voyage de Fontainebleau à Moret pour remplir ses bonbonnières de sucres d’orge. Le bonbon prospéra jusqu’en 1758. Mais à la révolution, le couvent disparut et avec lui la recette du bonbon. Heureusement, après la révolution, une religieuse de l’ancien couvent, Sœur Félicité, revint s’installer à Moret et avant de mourir, eut la précaution de donner la recette à une amie fidèle. Quand d’autres sœurs vinrent s’établir à Moret, l’amie leur confia la recette et en 1853, grâce à l’aide d’un ancien négociant, le sucre d’orge connut à nouveau une période florissante. Au début du XXe siècle, les religieuses s’installèrent au coin de la place Royale, en face de l’église, et fabriquèrent le sucre d’orge qui eut beaucoup de succès entre 1920 et 1950. Mais vers 1960, le fameux bonbon rencontra à nouveau des problèmes et les religieuses arrêtèrent sa fabrication avant de quitter Moret en 1972. Heureusement la sœur Marie-André donna la recette du bonbon à un certain Jean Rousseau dont la famille était morétaine depuis plusieurs générations et amie avec les religieuses. Jean Rousseau qui avait une confiserie apprit la recette du sucre d’orge par cœur avant de la mettre dans un coffre-fort. Aujourd’hui, la Maison Jean Rousseau continue de fabriquer le bonbon. La recette n’a pas changé et le bonbon est toujours fait artisanalement. On peut d’ailleurs visiter le musée du sucre d’orge à Moret qui raconte l’histoire du sucre d’orge longue de 300 ans et explique la fabrication du bonbon.
Mais qui a inventé la sucette?
Les sucettes, ces sucreries dont tout le monde raffole… une langue bleue, un chewing-gum au milieu, toutes les fantaisies sont possibles! Mais d’où vient cette petite boule de sucre perchée sur un bâton ?
L'histoire des sucettes est en fait aussi ancienne que celle de la gourmandise…
Le premier bonbon en bâtonnet a très certainement été inventé par les hommes des cavernes qui disposaient de ruches et récoltaient le miel à l’aide d’un bâton. Ne voulant rien perdre de cette douceur sucrée, ils léchaient le bâton et c’est ainsi que naquit involontairement la première sucette ou le premier bonbon en bâtonnet.
Un peu plus tard, dans l’Angleterre du 17ème siècle, les friandises fabriquées à base d’eau bouillie étaient un pur régal. Piquées sur un bâtonnet afin de faciliter leur consommation, les crieurs de rues de Londres accostaient les passants pour vendre leur « Lollipop ».
Ce n’est qu’au 20ème siècle, à l’ère de l’automatisation, que débute la véritable histoire de la sucette, mais les avis sont partagés en ce qui concerne le véritable inventeur de la sucette.
En 1905 déjà, la McAviney Candy Company produit des bonbons durs cuits, tournés à l’aide d’un bâton.
En 1908, à Racine, dans le Wisconsin, la Racine Confectionary Machine Company conçoit la première installation de production entièrement automatique pour sucettes.
Puis, l’immigré et entrepreneur russe Samuel Born inventa une machine dont le seul but était de fixer automatiquement des bâtonnets sur des friandises.
Enfin, en 1958, Enric Bernat fabrique la première sucette en Espagne et jouit rapidement d’une renommée nationale.
Même si on ne sait pas exactement quand la première sucette a été fabriquée, une chose est sûre : avec ses formes et parfums variés, la sucette est devenue LA star de la friandise! Les Etats-Unis lui font même hommage chaque année, le 20 Juillet, lors de la journée de la sucette (the National Lollipop Day) !
La guimauve (marshmallow en anglais) est une confiserie qui, dans sa forme moderne, est faite de sucre ou de sirop de maïs, de blanc d'œufs battus, de gélatine qui a été préalablement détrempée dans l’eau, de gomme arabique et d’aromatisants, battus jusqu’à atteindre une consistance spongieuse.
La recette traditionnelle utilisait un extrait de la racine mucilagineuse de la guimauve officinale, une herbe arborescente (Althaea officinalis), à la place de la gélatine ; ce mucilage avait aussi un pouvoir antitussif.
La guimauve commerciale est une innovation tardive du XIXe siècle. Depuis l’invention en 1948 du procédé d’extrusion breveté par Alex Doumak, les guimauves sont produites par expulsion d’un contenant cylindrique, puis coupées en sections et roulées dans une fine poudre constituée d’un mélange de fécule de maïs et de sucre à glacer.
Aux États-Unis et au Canada, les guimauves sont très populaires, aussi bien chez les enfants que chez les adultes, et se mangent avec ou sans accompagnement.
En France, une confiserie similaire est commercialisée sous l’appellation commerciale Chamallows, marque enregistrée appartenant à la société Haribo Ricqles Zan, bien que le produit correspondant ne ressemble que d’assez loin à celui vendu en Amérique.
Guimauve grillée
Dans la culture populaire, on consomme également la guimauve grillée, généralement lors de veillées autour d'un feu de camp. La guimauve est placée au bout d'un bâton, et grillée au dessus du feu. Cela caramélise sa surface, et liquéfie son cœur. Les guimauves grillées encore chaudes sont donc très collantes, et il est très facile pour les consommateurs pressés de se brûler les lèvres avec.
Les guimauves peuvent aussi être grillées à la flamme d'une bougie ou d'un simple briquet.
Une variante, au décapeur thermique, est peut-être moins poétique, mais assure une caramélisation parfaite de l'extérieur sans pour autant brûler le sucre.
Guimauves au four micro-ondes
Une variante de la guimauve grillée consiste à placer trois guimauves (et pas plus) dans un bol au micro-onde. Quand les guimauves ont triplé de volume, les sortir et attendre qu'elles dégonflent et refroidissent un peu, c'est du cœur de guimauve grillé. En travaillant cette masse on obtient une pâte irisée, la guimauve de fête foraine.
Caramels à la fleur de sel de l'île de Ré :Quand un confiseur en vacances sur l'Île de Ré rencontre un exploitant de marais salant du coin, que se racontent-ils ? Des histoires de bonbons !
C'est ainsi qu'un jour d'été 1944, M et Mme Pelin, propriétaires de marais salants, confient à M.Conraux, confiseur de Beauvais, leur envie de créer d'autres produits agrémentés de fleur de sel (cristallisée à la surface de l'eau) pour répondre à la demande des touristes... Faire une confiserie à la fleur de sel... Un restaurateur du coin propose qu'une touche de Pineau des Charentes, très fruité, vienne parfumer l'ensemble... Et ainsi, à la bonne franquette, est né ce caramel au goût inimitable...
Caramel au beurre salé: Porter à ébullition un décilitre de lait, 250 g de sucre semoule et 80 g de miel d'acacia. Ajouter 150 g de beurre salé et retirer dès ébullition. Laisser descendre à 118°. Verser dans un plat huilé sur 1/2 cm et laisser refroidir.
La nuit....
La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin
une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un coeur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager."
( Paul Eluard)