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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
5848 articles
RESPECT ET TOLERANCE
La tolérance,
c'est effacer les différences
c'est accepter
que les autres n'aient
pas les mêmes idées
que le verbe aimer
soit toujours conjugué
à tous les modes, à tous les temps
et que seul soit important
le sentiment que l'on ressent
La tolérance,
c'est le monde entier qui pense
que les religions
quels que soient leurs noms
n'ont aucune frontière
et ne posent pas de barrières
qu'elles nous rassemblent tous en frères
pour éradiquer la misère
et ne servent pas la colère
pour déclencher des guerres
La tolérance,
c'est savoir donner un sens
c'est savoir trouver les mots
pour dire qu'importe la couleur de peau
qu'importe le pays ou le drapeau
que nous soyons laids ou beaux
le sang qui coule dans nos veines
est pour tous les hommes, le même
et comme une immense chaine
nous unira dans nos peines.
(auteur inconnu)
La Calopsitte élégante (Nymphicus hollandicus) ou simplement Calopsitte ou encore Perruche nymphique est une espèce d'oiseau australien. C'est la seule espèce du genre Nymphicus. De taille similaire à celle d'un petit pigeon, la calopsitte est de même que la perruche, un oiseau de compagnie idéal.
Cet oiseau mesure de 30 à 35 cm de long à l'état sauvage, jusque 37 à 40 avec une grande huppe chez les sujets en captivité issus de sélection. Son plumage est gris anthracite, très foncé pouvant presque aller jusqu'au noir. La huppe et une partie de la tête sont jaunes. Deux taches rouge-orange marquent les joues. Le miroir alaire est blanc (tache sur la bordure de l'aile). La femelle ne possède pas le masque jaune, présente des stries sous la queue et des points jaunes sous les ailes. Les jeunes ressemblent à la femelle.
La Calopsitte peuple presque toute l'Australie mais pas les zones côtières. Elle a été introduite en Tasmanie.
Cet oiseau fréquente les savanes et les pâturages mais également les zones urbaines.
Sans le vouloir,l'homme a facilité la vie aux calopsittes,avec ses cultures de cereales.Dans les régions ou les oiseaux causent des dégats importants aux cultures,les agriculteurs n'hesitent pas à utiliser des armes ou a empoisonner les lacs fréquentés par les oiseaux,en toute violation de la loi australienne sur la protection de l'environnement.
Les oiseaux sont souvent perchés en groupes sur les arbres. Ils vivent en bandes constituées d'environ 50 oiseaux, et les couples, comme les inséparables, restent unis toute leur vie, même en dehors des périodes de reproduction. Les calopsittes sont généralement aussi sociables avec les êtres humains qu'elles le sont entre elles. Si vous adoptez une calopsitte seule, il y a de fortes chances pour qu'elle s'attache et s'identifie à vous. Elle n'a pas la notion de « maître / animal » que l'on retrouve chez les chiens, mais se considère comme un membre à part entière de la famille dans laquelle elle vit.
Cependant, si l'oiseau est susceptible de rester souvent seul chez vous, il vaut mieux qu'il ait un compagnon. Les calopsittes ont besoin d'une présence, sont très solidaires entre elles. Cependant, la rivalité entre mâles est bien présente, si bien qu'il est fréquent qu'ils se disputent à coups de bec (mais rarement au point de se blesser), étendent leurs ailes, et exposent leur chant à leur(s) camarade(s) pour prouver leur supériorité.
Ces oiseaux s'expriment essentiellement avec la houppette qu'il ont sur la tête. Ainsi, selon sa position, il est possible de deviner l'humeur et le sentiment de la bête. Une houppette plaquée ou en arrière signifie que l'oiseau est calme, ou concentré, si la houppette se redresse, cela marque l'étonnement, la surprise, la curiosité, voire la crainte. Plus la houppette est relevée vers l'avant, plus le sentiment est important. De plus, lorsque l'oiseau est au repos, houppette en arrière, il lui arrive de grincer du bec, signe de bien être.
Lors de la digestion, la calopsitte ouvre le bec, lève la tête et effectue une sorte d'ondulation du cou. C'est un mouvement impressionnant laissant penser que l'oiseau s'étouffe, qu'il a quelque chose coincé dans la gorge, mais c'est en réalité un rituel tout à fait normal, pouvant durer jusqu'à cinq minutes.
Les calopsittes n'apprécient pas les changements (lieux, têtes ...). Une fois qu'elles se sont familiarisées avec leur nouvel habitat, elles y trouvent leur marque. Aussi ont-elles leurs coins fétiches de jeu, un emplacement généralement fixe où dormir (ex. un perchoir particulier) et surtout elles savent où trouver la nourriture et l'eau. Aussi est-il bon de veiller à ne pas bousculer leurs habitudes dans la mesure du possible, et en cas de voyage, couvrir la cage de façon à éviter qu'elles ne paniquent. Une calopsitte paniquée plaque sa houppette contre sa tête, présente de gros yeux assez exorbités, et surtout le bec ouvert laissant remarquer une respiration accélérée. Dans cette situation, il est bon qu'une voix familière la rassure.
Lorsque la calopsitte a froid, elle gonfle ses ailes. Ce peut également être le signe que quelque chose ne va pas. Les calopsittes sont très sensibles aux courants d'air, qui leur sont souvent fatals. C'est pourquoi il est plus prudent de consulter un vétérinaire si l'oiseau persiste dans cet état de « boule ». L'oiseau malade passe sa journée à somnoler, tête rentrée dans les plumes, et quittera la place où il avait pris pour habitude de dormir pour rejoindre le fond de la cage ou de la volière, il s'isole.
Il existe plusieurs façons de sexer les calopsittes, certaines mutations sont plus difficiles à sexer que d'autres. La première façon, qui n'est aucunement scientifique, est de s'arrêter au chant, habituellement, un mâle chante et il est plus porté à parler qu'une femelle. Mais il arrive que des femelles chantent, alors il ne faut pas s'y fier à 100%.
Calopsitte mâle.
Les mâles ont un beau masque jaune (le plumage des joues) alors que chez la femelle le plumage est mélangé de gris. Si vous avez une calopsitte lutino, plumage jaune, ce critère n'est pas à considérer. Il y a aussi les plumes de la queue qui peuvent vous en apprendre plus. Regardez l'intérieur de la queue, c'est-à-dire soulevez-la plus haut que votre tête pour regarder sa queue. Si vous voyez des stries jaunes sur ses plumes, c'est une femelle assurément.
Calopsitte femelle.
Il y a une autre façon de le savoir, mais cela requiert une plus grande maniabilité de l'oiseau. Vous devez ouvrir ses ailes, regarder les plumes les plus longues, si vous y voyez des points, taches jaunes, c'est une femelle.
CULTIVER SON COEUR
Vous aimez certainement les gens qui ont du cœur,
Les gens de cœur qui ne les aimerait pas ?
Les gens de cœur sont des gens de tendresse et gens de partage.
Ils se laissent émouvoir. Ils savent tendre la main, la tendre à quiconque.
Ils ne comptent pas à tout instant les sous qu'ils donnent. Ils les donnent de bon cœur !
Les gens de cœur ne ferment pas les yeux devant la misère.
Ils les gardent ouverts devant la souffrance.
Ils prennent le temps de consoler les enfants et trouvent le temps d'écouter
ceux et celles qui disent que jamais personne ne sait les entendre.
Les gens de cœur restent de longs moments, souvent en silence, auprès des malades.
Vous êtes-vous déjà demandé comment il se fait que, dans le monde,
il y a des gens qui ont du cœur et à côté d'eux, des sans-cœur ?
Question difficile, à vrai dire. Car on peut commencer sa vie avec un bon cœur
et la finir avec un cœur dur et mauvais. Mais le contraire est possible heureusement.
Des cœurs de pierre deviennent des cœurs de chair.
Que faire pour être et pour demeurer homme de cœur, femme de cœur ?
Ma réponse paraîtra trop simple et peu naïve. Je la donne quand même.
Il faut veiller attentivement à son cœur. Il faut l'écouter battre souvent.
Il faut aussi le soigner, le cultiver. Le cultiver comme on cultive une fleur,
comme on cultive une rose.
Le cœur est si fort... et si fragile !
(auteur inconnu)
LA BONTE
Vivre en soi, ce n'est rien ;
il faut vivre en autrui.
A qui puis-je être utile
et agréable, aujourd'hui ?
Voilà, chaque matin,
ce qu'il faudrait se dire.
Et, le soir, quand des cieux
la clarté se retire,
heureux à qui son coeur
tout bas a répondu :
"Ce jour qui va finir,
je ne l'ai pas perdu.
Grâce à mes soins, j'ai vu,
sur une face humaine,
la trace d'un plaisir
ou l'oubli d'une peine".
(Auteur inconnu)