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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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La peinture...
Vivre, c'est comme peindre un tableau
Tous les jours on ressort nos p'tits pinceaux
On en a d'abord rêvé durant des années
Jusqu'au jour où on est prêt à commencer
C'est par petites touches qu'on se réalise
Car la vie est toujours pleine de surprises
Nos erreurs, on voudrait les camoufler
On voudrait devenir des artistes renommés
Puis on se trouve des moyens d'avancer
Quand on échange avec d'autres passionnés
Souvent on est debout, devant notre chevalet
Et l'on s'interroge, on n'est pas satisfait
On voudrait faire un tableau parfait
Notre bonheur dépend de notre succès
Il faudrait nous rappeler que les plus belles toiles
Ne sont pas toujours celles qu'on dévoile
Certaines gens prononcent moins de beaux mots
Et ont pourtant les plus jolis tableaux
L'huile, l'acrylique, sont parfois magiques
Mais une belle vie, c'est surtout féérique
L'important, n'est pas d'être sur le tableau
Mais d'avoir réussi sa vie, avoir tenu le pinceau
Claude Marcel Breault
Apollon du Belvédère, attribué à Léocharès, copie romaine datant de 130–140 av. J.C. d'après un bronze grec orignial de 330–320 av. J.C., musée Pio-Clementino (musées du Vatican)
Le terme de sculpture classique désigne une forme et un style sculpture correspondant à celle produite dans la Grèce antique, la Rome antique et les civilisations sous le contrôle ou l'influence hellénistique et romaine entre le Ve siècle avant notre ère et la chute de Rome en 476. Cela désigne également des sculptures plus récentes réalisée selon un style classique, c'est-à-dire inspiré de l'Antiquité. La sculpture classique était d'ailleurs très populaire pendant la renaissance.
Outre les statues sur pied, le terme regroupe également les sculptures en reliefs, comme les célèbres marbres d'Elgin du Parthénon, ainsi que les bas-relief. Alors que les œuvres sculpturales insistent sur la forme humaine, les reliefs sont généralement plutôt utilisés pour concevoir des scènes décoratives.
La frise du Parthénon, au British Museum.
Les grandes périodes classiques
La période archaïque
Dans la grèce antique, la sculpture de la période archaïque est surtout marquée par le kouros (pluriel kouroï) qui est une statue représentant un jeune homme debout. Un bon exemple est la sculpture de Cléobis et Biton datant d'environ 580 av. J.-C. et qui est actuellement au musée archéologique de Delphes.
Cléobis et Biton
Les sculpteurs grecs de cette période étaient au départ influencés dans leur style par les égyptiens. Les débuts de la sculpture grecque peuvent être considérés comme étant profondément égyptiens. Cependant, des différences notables sont assez rapidement apparues, en particulier concernant les sculptures masculines qui avaient tendance à être représentées nues alors que cela était manifestement exclu dans l'art égyptien, à l'exception toutefois des représentations de décapitation d'esclaves ou d'ennemis. En revanche, les sujets féminins étaient toujours représentés habillés dans les sculptures archaïques.
Kouros, artiste inconnu, vers 530 av. J.-C., Musée national archéologique d'Athènes.
Durant cette période, les sculpteurs ne mettent pas encore l'accent sur l'anatomie de leur sujet (les os, la musculature, les articulations) comme cela sera le cas plus tard. Vestige de traditions plus anciennes, certains détails des sculptures semblent être "incisés" plutôt que parfaitement modelés. De même, les postures et mouvements des statues ne sont pas naturelles.
Guerrier grec lancier, figure W-V du fronton ouest du Temple d'Aphaïa, vers 505-500 av. J.-C., Glyptothèque de Munich.
Toutefois, le style archaïque s'est peu à peu transformé en ce que l'on appelle le style classique, marquant une nette progression stylistique au fur et à mesure de l'amélioration des connaissances techniques et de la dextérité des sculpteurs.
La période classique
La période classique voit des changements, tant dans le style que dans le rôle même de la sculpture. Les poses deviennent plus naturelles, comme on le voit sur l'Aurige de Delphes qui est un bonne exemple de transition vers cette sculpture plus réaliste. Par ailleurs, les compétences techniques des sculpteurs grecs de cette époque évoluent également avec une représentation des formes humaines dans des postures plus variées.
Aurige de Delphes, vers 478 ou 474 av. J.-C., Musée archéologique de Delphes
À partir d'environ 500 av. J.-C., les statues commencent à dépeindre des personnages existants. Les statues des Tyrannoctones (Harmodius et Aristogeiton), installées à Athènes pour marquer le renversement de la tyrannie, sont réputées pour être les premiers monuments publics représentant des personnes réelles.
Harmodios (à droite) et Aristogiton (à gauche), les tyrannoctones. Copie d'un groupe de 477-476 av. J.-C., découvert à la villa Adriana, musée national archéologique de Naples
À partir du moment où les artistes grecs ont commencé à étudier le mouvement et l'anatomie humaine, ils ont découvert qu'il pouvait représenter le dynamisme corps humain en sculptant une statue dans laquelle l'une des deux jambes porte le poids du corps, l'autre étant laissée libre et légèrement fléchie, ce qui constitue le contrapposto. L'un des premiers exemples connus de contrapposto est le célèbre éphèbe de Critios, datant d'environ 480 av. J.-C. , exposé au musée de l'Acropole d'Athènes.
Ephèbe de Critios
Le contrapposto est rapidement devenu un élément clé de la sculpture grecque, trouvant son apogées dans le Doryphore du sculpteur Polyclète qui adopte un contrapposto extrêmement dynamique et sophistiqué.
Le Doryphore de Polyclète
La plupart des sculptures de cette période ont été créées en signe de gratitude envers les dieux pour leur avoir apporté la fortune mais aussi pour obtenir les faveurs des dieux. Les temples grecs étaient spécialement aménagés pour accueillir ces grandes statues. Les grecs estimait qu'en plaçant des sanctuaires autour des lieux saints ils s'accorderaient les grâces des dieux. Dans la mesure où les dieux grecs étaient pour la plupart des mythes fondés sur la vie de gens bien réels, les sculptures les représentant étaient très "humaines".
Dionysos allongé, atelier de Phidias, provenant du fronton du Parthénon, vers 447–433 av. J.-C., British Museum
Durant cette période, les sculpteurs ne réalisaient pas seulement des œuvres pour les temples, mais il effectuaient aussi des statues funéraires en hommage aux défunts. Ces sculptures représentaient généralement les personnes décédées dans des poses décontractées. Par ailleurs, des athlètes victorieux et de riches familles commandaient des statues d'eux-mêmes pour des temples dédiés aux dieux. Les portraits sont également devenus populaires et les bustes représentant des généraux, des philosophes et des dirigeants politiques firent leur apparition.
La grande qualité des sculptures grecques attira l'attention des italiens et eut une grande influence sur la sculpture étrusque et plus tard sur l'art romain. L'enthousiasme avec lequel Rome saluaient l'art grec s'est avéré important, non seulement en raison de la transmission du style classique grec, mais aussi parce que la plupart des œuvres grecques existantes ont survécu grâce aux copies en marbre que les romains firent des sculptures grecques en bronze.
La période helléniste
Groupe du Laocoon, attribué à Agésandros, [Athénodore (sculpteur)|] et Polydore, copie d'une œuvre hellénistique datant d'environ 220 av. J.-C., musée Pio-Clementino, Vatican.
La transition de la période classique à la période hellénistique s'est faite au cours du IVe siècle av. J.C. La sculpture est devenue de plus en plus réaliste et naturelle. Les gens ordinaires, les femmes, les enfants, les animaux et des scènes de la vie quotidienne dont devenus des sujets acceptables pour la sculpture et ce genre d'œuvres était généralement commandées par des familles aisées pour décorer et orner leur maisons et jardins.
Jeune Géant terrassé par Athéna, détail de la frise du Grand autel de Pergame, artiste inconnu, IIe siècle av. J.?C., Musée de Pergame, Berlin.
Des portraits réalistes d'hommes et de femmes de tous âges étaient réalisés, et les sculpteurs ne se sentaient plus obligés de représenter la beauté idéale ou la perfection physique. La plupart des hommes grecs étaient sculptés debout, les hanches légèrement sur le côté, révélant ainsi leur musculature.
Le gaulois Ludovisi et sa femme, copie romaine d'après une œuvre hellénistique réalisée pour la victoire d'Attale Ier sur les gaulois, Vers 220 av. J.-C., Palais Altemps, Rome.
La période romaine
Auguste de Prima Porta, statue de l'empereur Auguste, Ier siècle, Musées du Vatican.
La sculpture romaine a débuté par la copie des œuvres grecques. Peu à peu, elle a évolué vers une forme de sculpture qui mettait beaucoup plus l'accent sur l'individu. Ainsi, il existe aujourd'hui encore de très nombreuses sculptures d'empereurs romains.
Buste de l'empereur Hadrien, artiste inconnu, vers 127-128 ap. J.-C., Musée du Louvre.
Même si elle s'inspire de la sculpture grecque, la sculpture romaine a ses particularités comme l'invention du buste, et la démocratisation du portrait. De plus, elle a su produire un métissage des styles dans les régions sous imperium qui avaient déjà leur manière propre, comme l'Égypte ou les provinces orientales.
La sculpture greco-romaine a eu une profonde influence sur l'art occidental, notamment sur le réalisme artistique. En raison de la durabilité relative de la sculpture, elle a réussi à survivre et continuer d'influencer et de renseigner les artistes de diverses cultures et époques, de l'Europe à l'Asie, et aujourd'hui, du monde entier.
Alors que l'art classique tomba progressivement en disgrâce en Europe après la chute de l'Empire romain d'Occident, il a été redécouvert au début de la renaissance italienne au XIVe siècle, avec un impact décisif. L'un des sculpteurs les plus importants dans ce renouveau du classicisme était Donatello.
Beaucoup d'autres sculpteurs tels que Michel-Ange ont aussi réalisés des tableaux qui peuvent être considérés comme classique. Le classicisme moderne contraste à bien des égards avec la sculpture classique du XIXe siècle marquée par le naturalisme (Antoine-Louis Barye), le mélodrame (François Rude), la sentimentalité (Jean-Baptiste Carpeaux ) ou une sorte de grandeur majestueuse (Frederic Leighton). La tradition classique a pris plusieurs directions et orientations différentes à la fin du XIXe siècle mais, même pour les artistes modernes, la sculpture classique reste fondamentale.
En autant que nous le savons, nous ne passons sur cette terre
qu'une seule fois et si nos vies sont frustrées, nos espoirs déraillées
et nos rêves rendus impossibles, alors nous faisons face à une tragédie.
Il faut sourire à la Vie et la Vie nous sourira.
Il y a une chose pire que la solitude et c'est de ne plus avoir le
désir de vivre et avoir perdu l'espoir dans la Vie. Il serait peut-être
important de savoir ce qu'on fuit, ce qui nous fait peur et vers quoi nous
courrons. Il faut être conscient de nos actes et de notre façon de penser
pour devenir responsable de sa vie. Dans la vie, nous ne sommes pas coupable
mais bien responsable de sa vie.
Pour y parvenir, il faut être maître de sa vie, il faut se connaître
intérieurement. C'est-à-dire dans sa vie personnelle et changer sa façon
de voir la vie pour rétablir un meilleur contact avec la vie qui est là
pour nous. Devant les épreuves, les difficultés, il faut toujours se référer
à soi pour trouver la cause et les moyens de s'en sortir.
Il serait important
de se poser des questions:
Qu'est-ce que je fais moi ici maintenant pour continuer ma route
sur la terre? Qu'est-ce que je fais pour enlever les barrières qui
m'empêchent de trouver mon droit de passage? Qu'est-ce qui
m'empêche d'être une personne heureuse et de sourire à la vie ?
Il serait bon de penser que chaque journée est un privilège et une
journée importante pour la vie qui m'appartient. Il faut toujours être
ravi à la perspective d'une journée nouvelle, un nouveau départ et un
nouvel effort. Avec un peu de magie et d'imagination nous parvenons à
découvrir des joies nouvelles.
Quand on ne fait rien dans le temps qui passe pour nous, il ne faut
pas penser que demain nous apportera la joie de vivre. Il ne faut pas
vieillir prématurément car c'est si long vieillir, ce n'est pas le nombre
des années qui nous fait vieillir mais bien d'avoir mal vécu, d'avoir déserté
son idéal de vie, d'avoir renoncé à la Vie et d'avoir négligé de se bâtir au
jour le jour.
L'essentiel, c'est d'aimer la vie que Dieu nous a donnée, d'apprécier
tout ce que nous avons pour survivre et de croire dans la vie. Il faut
aller à la recherche de la vie dans toute sa grandeur, ses richesses et
ses beautés avec notre intelligence et notre capacité de bien vivre ses
émotions qui nous rattachent à la vie et à la réalité.
Avec un peu de créativité, d'imagination et d'estime de soi, cela nous permettra d'emprunter le chemin de l'inconnu avec confiance pour se rendre la vie agréable et intéressante.
L'un des projets les plus importants que nous avons à réaliser sur
terre c'est d'arriver à
vivre et s'adapter pour survivre.
Pour cela, il ne faut pas nourrir nos misères, nos chagrins, il ne faut pas vivre dans le passé pour se faire souffrir, parce que tout cela nous sépare de la vie et détruit nos énergies, nous rend insécure et dépendant des autres.
Si le passé nous fait souffrir, il ne faut pas lui donner du pouvoir, sinon ça pourrait nous détruire physiquement, moralement et spirituellement.
En décidant de vivre le présent avec ses bons et mauvais côtés, nous allons développer des pouvoirs d'agir, un regain d'énergie et sentirons que la vie veut servir. Non
seulement cela pourra enrichir nos vies mais aussi celles des autres.
Alors, acceptons de vieillir en toute sécurité.
(auteur inconnu)
BONJOUR AUJOURD'HUI C'EST MON ANNIVERSAIRE 46 ANS
VOICI UN KADO POUR VOUS REMERCIER DE VOTRE AMITIE
QUI CONTENTE BEAUCOUP POUR MOI
http://plumemetissa.centerblog.net/
Merci de nous faire partager
cette journée qui est la tienne...
Je te souhaite un bon anniversaire...
Plein de bonheur pour les jours
et les semaines à venir...
gros bisous..
De l'amitié
[...] S'il est rare de trouver des amis, n'est-il pas à peu
près aussi rare qu'on en cherche réellement.
Je vois l'intérêt ou le plaisir rompre des noeuds légers, formés pour un seul jour, et j'entends accuser l'amitié,
qui, cependant, leur était étrangère !
On aime son ami sans intérêt vulgaire, on l'aime pour
en être aimé ; il fait partie de notre famille :
un ami est un frère que nous avons choisi. [...]
Tous les échanges sont avantageux avec un être
qu'on aime et dont on est aimé.
S'il souffre, on partage ses peines ; mais la douleur
qu'on ressent est adoucie par la certitude
d'alléger la sienne,
et par cette émotion qui naît dans notre âme
aussitôt que nous remplissons un devoir.
Lorsqu'à son tour on éprouve un revers,
au lieu de se trouver seul avec le malheur, on reçoit
des consolations si tendres, si touchantes
qu'on cesse d'accuser le sort pour bénir l'amitié. [...]
Un ami est d'une autre nature que le reste des hommes. Ceux-ci nous dissimulent nos défauts, ou nous
en font apercevoir avec malignité ;
un ami nous en parle sans nous blesser ;
il nous reproche nos fautes, et,
dans le monde, il sait les excuser.
On ne sent à quel point il peut être cher qu'après
avoir été longtemps le compagnon fidèle
de sa bonne et de sa mauvaise fortune.
Que d'émotions on éprouve en se livrant au souvenir
des périls communs, si l'on a traversé avec lui
les orages d'une longue révolution !
Ce n'est jamais sans attendrissement qu'on se dit :
Nous avions mêmes pensées et mêmes espérances ;
tel événement nous pénétra de joie,
tel autre nous fit gémir.
Unissant nos efforts, un jour nous parvînmes à sauver
un infortuné ;
il nous pressa tous deux ensemble dans ses bras.
Bientôt des dangers nous menacèrent : il fallut fuir,
le sort, nous sépara ; mais nous étions toujours
présents l'un à l'autre.
Il craignait pour moi, je craignais pour lui.
Je lisais encore dans son âme ; je disais :
Telle frayeur l'agite, il forme tel projet, il conçoit
telle espérance. Enfin, nos peines ont disparu ;
et combien le repos a de charmes !
nous le goûtons ensemble.
C'est une absurdité que de s'enorgueillir de la réputation
d'un homme à qui l'on est uni par les liens du sang ;
mais on peut être fier des rares qualités de son ami.
Les noeuds qu'il a formés ne sont point l'ouvrage
du hasard ; et, puisqu'on a mérité son estime,
on lui ressemble au moins par les qualités du coeur.
Je prends une haute opinion de l'homme à qui j'entends exagérer ou les talents ou les vertus de ses amis.
Il possède les qualités dont il parle, puisqu'il a
besoin de les supposer à ceux qu'il aime. [...]
En révérant l'amitié, ne craignons point d'assigner
le rang qu'elle doit occuper dans nos coeurs.
Une femme est la véritable compagne de notre destinée,
et l'amitié ne doit être que l'auxiliaire de l'amour. [...]
On ne profane point le nom d'ami en le donnant
à plusieurs hommes, s'ils inspirent une haute estime,
un tendre intérêt, si l'on ressent toutes leurs peines,
tous leurs plaisirs, et si l'on est capable
de dévouement envers eux. [...]
Oh ! pourquoi l'amour et l'amitié peuvent-ils
cesser d'exister ?
Pourquoi ne sont-ils pas éternels dans tous les coeurs ?
Si l'on est trompé dans ses affections,
le plus sûr moyen d'adoucir sa douleur est de former
encore des résolutions généreuses pour conserver,
pour exalter l'estime de soi-même.
Si ton ami t'abandonne, si ta femme se rend indigne
de ton amour, n'ajoute pas au poids de tes chagrins
le fardeau de la haine ; qu'elle ne prenne jamais la place
des sentiments qui faisaient ton bonheur :
pardonne aux êtres dont tu fus aimé les peines
qu'ils te causent, en te souvenant des jours
qu'ils ont embellis pour toi. [...]
Joseph Droz, Essai sur l'art d'être heureux
Merci Mumu de nous offrir
le rêve avec ces magnifiques
tableaux...