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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
James Abram Garfield, né le 19 novembre 1831 à Orange (Ohio) et mort assassiné le 19 septembre 1881 à Elberon (New Jersey), est un homme d'État américain, 20e président des États-Unis.
Après neuf élections consécutives à la Chambre des représentants des États-Unis dans l'Ohio entre 1863 et 1881, Garfield accède à la présidence sous l'étiquette du Parti républicain. Son mandat, fortement écourté par son assassinat, est marqué par une résurgence controversée de l'autorité présidentielle sur la préséance du Sénat concernant les nominations fédérales, une relance de la puissance navale américaine, l'élimination de la corruption au sein du service postal et la nomination de plusieurs Afro-Américains à de hautes fonctions fédérales.
Garfield grandit dans le milieu modeste d'une ferme de l'Ohio où il est élevé par sa mère veuve et son frère aîné. Pour financer ses études, Garfield exerce de nombreux métiers avant d'être diplômé en 1856 du Williams College dans le Massachusetts. Un an plus tard, il entre en politique au sein du Parti républicain et fait campagne contre l'esclavage dans l'Ohio. Il épouse Lucretia Rudolph en 1858 et est admis deux ans plus tard au barreau tout en étant élu au Sénat de l'Ohio, entre 1859 et 1861. Garfield s'oppose à la sécession des États du Sud et devient major général dans l'armée de l'Union, avec laquelle il participe aux batailles de Shiloh et de Chickamauga. Il est élu au Congrès en 1862 en tant que représentant du 19e district de l'Ohio.
Tout au long de sa longue carrière au Congrès après la guerre de Sécession, il s'oppose avec véhémence aux greenbacks et gagne une réputation d'orateur talentueux. Il est président du comité sur les affaires militaires et de celui sur les affectations du budget ainsi que membre du comité des affaires fiscales. Garfield est initialement proche des vues des républicains-radicaux concernant la Reconstruction puis favorise une approche plus souple sur l'application des droits civiques des esclaves affranchis. En 1880, la législature de l'Ohio l'élit au Sénat des États-Unis ; la même année, les principaux prétendants républicains à l'élection présidentielle, Ulysses S. Grant, James Blaine et John Sherman, ne parviennent pas à rassembler un soutien suffisant lors de la convention. Garfield devient le candidat du compromis pour l'élection présidentielle de 1880 et décline alors la nomination au Sénat fédéral pour entrer dans la course à la présidence dans laquelle il bat le candidat démocrate Winfield Hancock.
La présidence de Garfield dure seulement 200 jours, du 4 mars 1881 jusqu'à sa mort le 19 septembre 1881, après qu'il se soit fait tirer dessus par Charles J. Guiteau le 2 juillet précédent. Seule la présidence de William Henry Harrison, de 31 jours, est plus courte, et Garfield est le deuxième des quatre présidents américains à être assassiné. Il propose une profonde réforme de la fonction publique qui est finalement promulguée en 1883 par son vice-président et successeur Chester A. Arthur sous la forme du Pendleton Civil Service Reform Act.
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Antoine Pinay, né le 30 décembre 1891 à Saint-Symphorien-sur-Coise (Rhône) et mort le 13 décembre 1994 à Saint-Chamond (Loire), est un homme d'État français.
Issu d'un milieu modeste, industriel de profession, il commence sa carrière politique sous la IIIe République, à Saint-Chamond, où il est élu maire puis conseiller général. D'abord favorable au maréchal Pétain, il en devient l'un des opposants et poursuit sa carrière politique en étant l'une des figures de proue du Centre national des indépendants et paysans (CNIP).
Partisan du retour du général de Gaulle au pouvoir, il devient ministre des Finances en 1958 et contribue à l'instauration du « nouveau franc ». Sa mésentente personnelle avec le fondateur de la Ve République et son opposition à la politique menée par le gouvernement en Algérie française le conduisent à démissionner en 1960. Retiré de la vie politique, il est le premier médiateur de la République entre 1973 et 1974.
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Francine Parks (née le 30 janvier 1951 à Mobile, Alabama ) est une mannequin américaine. Elle était la Playmate du mois du magazine Playboy pour le numéro de février 1974. Sa page centrale a été photographiée par Mario Casilli
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Le Junkers Ju 87 est le plus connu des bombardiers en piqué de la Luftwaffe employé durant la Seconde Guerre mondiale. En allemand, « bombardier en piqué » se traduit par Sturzkampfflugzeug, composé de trois mots : « Sturz » (chute), « Kampf » (combat) et « Flugzeug » (avion) — soit littéralement « avion de combat en piqué ». En abrégé, le mot donne « Stuka », terme qui fut depuis presque invariablement associé au Ju 87, bien que les Stukas soient une catégorie d'avions, et non un terme désignant un unique modèle.
L'intervention de l'Allemagne dans la guerre civile espagnole allait permettre d'évaluer l'avion, avec les autres appareils de la Légion Condor, dans un contexte opérationnel réel. Le chef de la légion, le colonel von Richthofen, qui s'était opposé quelques années plus tôt à la réalisation du Stuka, fut si impressionné par sa précision qu'il alla jusqu'à réclamer davantage d'appareils. L'avion sera ensuite utilisé du premier au dernier jour de la Seconde Guerre mondiale sur tous les fronts où la Luftwaffe fut engagée. D'autres pays alliés de l'Allemagne utiliseront également cet appareil. Environ 5 700 Ju 87 furent produits par la firme aéronautique Junkers.
Genèse
L'idée du bombardier en piqué vient des militaires américains dans les années 1920. Conscients de la montée en puissance de la marine japonaise dans le Pacifique, ils préconisent l'emploi d'attaques de précision pour frapper une cible mobile (tel un navire) plus efficacement que ne le ferait un bombardier classique en vol horizontal. La tactique est indéniablement calquée sur celle du rapace fonçant sur sa proie : frapper vite et fort en ne laissant aucune chance à la cible. Jusque dans les années 1930, des essais et des meetings ont lieu avec succès, ce qui n'échappe pas aux observateurs japonais et allemands. Dès lors, ces deux nations vont s'efforcer de développer leur propre bombardier en piqué .
Les obstacles sont pourtant nombreux : lors du piqué, la machine doit supporter des contraintes aérodynamiques élevées, tout comme le pilote qui doit encaisser des « g » notamment lors de la ressource juste après le largage de la bombe.
En janvier 1930, le RLM lança un appel d'offres pour la conception d'un bombardier en piqué. Répondent présentes les firmes Arado avec son Ar 81, Heinkel avec son He 118, Blom & Voss avec le Ha 137 et Junkers avec le Ju 87 qui possède déjà de l'avance sur l'appel d'offres. Conçu sous l'initiative d'Hermann Pohlmann (en) en 1933 (déjà cofondateur du K 47 (en)), le premier prototype du Ju 87 V1 effectua son premier vol à l'automne 1935, propulsé par un moteur Rolls-Royce Kestrel de 640 ch. Il était entièrement métallique, avec une aile en « W » et possédait une dérive double. Point négatif toutefois, la stabilité du V1 était médiocre et le prototype sera détruit au cours des essais près de Dresde le 21 janvier 1936 en raison de la difficulté à le maîtriser dans les évolutions en lacets.
Le deuxième prototype V2, immatriculé D-UHUH, reçoit une dérive simple et est également doté de plans rapportés à l'intrados, à l'extérieur des pantalons de roues. Ces plans pouvaient pivoter de 90 degrés et constituer de cette façon d'excellents aérofreins, limitant sa vitesse en plongée à environ 600 km/h. La bombe était fixée à un cadre rectangulaire spécial articulé sous le ventre de l'avion, juste à l'arrière du radiateur. Au cours du piqué, ce cadre basculait vers l'avant, afin que la trajectoire de la bombe évite le cercle de l'hélice. Enfin, son moteur était à présent un Jumo 210 de fabrication allemande et développant 610 ch.
Le V2 participe avec ses trois concurrents aux essais à Rechlin en mars 1936. Très vite, l'Ar 81 de configuration biplan s'avéra obsolète par rapport aux standards de la guerre moderne et le He 118 était davantage un chasseur qu'un bombardier en piqué, et ses performances dans ce domaine déçoivent. Le Ha 137 et le Ju 87 sont au contraire massifs et peu esthétiques, mais solidement bâtis et offrent tous deux la même configuration d'aile en « w ». De prime abord similaire, le Ha 137 n'offre pourtant pas de poste de mitrailleur arrière de protection, comme le spécifiait le cahier des charges, à l'inverse du Ju 87 qui, lui, se conforme aux spécifications requises9. On apprécie également sa robustesse et son agilité malgré ses formes ramassées, la bonne ergonomie du poste de pilotage et surtout sa capacité à piquer presque à la verticale. Le Ju 87 V2 finit donc par convaincre et est déclaré vainqueur.
Un troisième prototype fut testé le même mois avec un Jumo 210 Da de 680 ch. La dérive avait été agrandie et la canopée quelque peu modifiée. L'appareil avait une envergure de 14 mètres et pouvait atteindre une vitesse maximale de 320 km/h à une altitude de 4 000 m. L'armement comprenait une mitrailleuse fixe dans l'aile droite en plus de celle à l'arrière du poste de pilotage. Il fut tenu en réserve pendant que le V2 concourait face à ses adversaires.
Le quatrième prototype possédait un meilleur aérodynamisme du bâti-moteur à la queue, ainsi qu'une verrière revisitée. Il donnera naissance à la série A « Anton » dont dix avions de pré-production nommés A-01 à A-11 sont construits durant l'été 1936 (voir série Anton).
Prototypes :
Ju 87 V1 : W.Nr 4921 - testé le 17 septembre 1935
Ju 87 V2 : W.Nr 4922 - testé le 25 février 1936
Ju 87 V3 : W.Nr 4923 - testé le 27 mars 1936
Ju 87 V4 : W.Nr 4924 - testé le 20 juin 1936
Outre la forme particulière de ses ailes en « W », ce bombardier monomoteur se caractérisait par des éléments disproportionnés, comme le radiateur sous le nez et le train d'atterrissage principal fixe.
Malgré sa taille, le Ju 87 était souple aux commandes mais la masse du moteur requérait de solliciter les freins en douceur en fin d'atterrissage. Si le pilote freinait trop brusquement, l'avion avait tendance à se mettre en pylône. Un système innovant de redressement automatique équipait également l'appareil, afin de le récupérer systématiquement après l'attaque en piqué. L'équipage évitait ainsi le crash si le pilote devait perdre connaissance au moment de la ressource (apparition d'un voile noir).
Le terme Stuka désigne en allemand tout appareil de bombardement en piqué. Cependant, la légende du Ju 87 et son exclusivité dans ce rôle au sein de la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale eut comme conséquence que ce nom lui soit maintenant spécifiquement (mais non exclusivement) attribué.
Également appelée « trompette de Jéricho », la sirène mécanique était fixée sur chaque train d'atterrissage, voire sur un seul. Elle possédait une petite hélice qui, en tournant, produisait un son strident lors des attaques en piqué qui s'amplifiait proportionnellement à la vitesse de l'air s'écoulant autour de l'avion. Le pilote pouvait l'activer à l'aide d'une commande située à l'intérieur du cockpit. Elle se déconnectait ensuite automatiquement lorsque les freins de piqué se rétractaient.
Ce son aigu, rapidement associé au bombardement en piqué, avait pour objectif de terroriser les populations et démoraliser les militaires à son approche. Il a également parfois été dit qu'elles permettaient au pilote de l'avion de deviner la vitesse atteinte en piqué, celui-ci n'ayant qu'à écouter le son pour le savoir, et pouvant ainsi rester concentré sur son attaque.
De nombreuses photos attestent de la présence des sirènes sur certains Ju 87 en France en 1940, mais aussi pendant la campagne des Balkans de 1941, tout comme sur le front russe jusqu'en 1943. Elles furent du reste montées en série à partir de la version B1, à l'exception des premiers appareils livrés, ainsi que sur d'autres, postérieures, jusqu'en 1943. Cependant, les sirènes étaient probablement démontées sur beaucoup de Ju 87 en opération, et ce dès l'année 1940. Elles freinaient en effet un avion déjà assez lent et leur bruit alertait l'ennemi de sa présence. Un capot de protection conique était alors fixé à leur place. Finalement et mis à part au tout début de la guerre, les sirènes furent très peu employées mais le bruit caractéristique qu'elles produisaient demeura associé au Ju 87 dans l'imaginaire.
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