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Dom Pérignon

Dom Pérignon

 

Pierre Pérignon, dit dom Pérignon, né à Sainte-Menehould en décembre 1638 ou janvier 1639 et mort dans l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers le 24 septembre 1715, est un moine bénédictin qui, selon la légende, a importé de Limoux la méthode de la prise de mousse du vin dite méthode champenoise — il est de ce fait considéré comme l'inventeur du champagne. Presque exactement contemporain de Louis XIV, il n'était ni vigneron ni alchimiste. Au monastère d'Hautvillers, près d'Épernay, il assurait le contrôle des vignes et des pressoirs de l'abbaye. Son apport à la méthode était d'assortir avant de les pressurer des raisins de diverses origines

 

Biographie

 

Pierre Pérignon naît en décembre 1638 ou janvier 1639, à Sainte-Menehould dans une famille aisée de sept enfants : son père Pierre Pérignon a la charge du greffe de la Prévôté, sa mère Marguerite Le Roy meurt sept mois après sa naissance, son père se remariant trois ans plus tard avec Catherine Beuvillon, veuve d'un marchand de la ville. Son père et un de ses oncles paternels possèdent des vignes où il a peut-être participé aux vendanges et aux soins des ceps. Si sa date de naissance reste imprécise, son acte de baptême est daté du 5 janvier 1639. Il grandit à Sainte-Menehould avant de devenir enfant de chœur à l'abbaye bénédictine de Moiremont. Admis en octobre 1652 au collège des jésuites de Châlons-en-Champagne, il entre en 1656 au monastère bénédictin de la congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe à Verdun où il prononce ses vœux de moine en 1658 et, fidèle à la règle de saint Benoît, il alterne travail manuel, lecture et prière, acquérant au passage de solides connaissances philosophiques et théologiques. En 1666 ou 1667, il est ordonné prêtre.

 

En 1668, alors âgé de trente ans, il rejoint l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers où, jusqu'à sa mort en 1715, il y tient la charge de procureur (cellérier-intendant), une charge de la plus haute importance à une époque où les monastères possèdent de vastes domaines d'où ils tirent toutes sortes de produits destinés à la vente. Et qui, surtout, lui donne la haute main sur les vignes et les pressoirs de l'abbaye. Selon la légende, Dom Pérignon, lors d'un pèlerinage à l'abbaye de Saint-Hilaire (bénédictine) découvre la méthode de vinification des vins effervescents de Limoux. Il revient dans son abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers et expérimente la méthode sur les vins du vignoble de Champagne. Il enseigne sa technique au savant bénédictin Thierry Ruinart venu lui rendre visite en 1669.

 

Il est enterré devant le chœur de l'église abbatiale de Hautvillers, aux côtés du prieur Dom Royer

 

 
Pierre tombale de Dom Pérignon dans l'église d'Hautvillers.

Travaux

En ce dernier tiers du xviie siècle, l'abbaye Saint-Pierre d'Hautvillers ne jouit guère d'un grand prestige. L'établissement ne compte alors plus qu'une poignée de moines qui tentent de tirer parti des domaines de l'abbaye, pas ou peu exploités. Quant aux celliers, aux caves et aux pressoirs, ils sont à moitié en ruine. Le jeune cellérier s'attache à tout remettre en état afin de redonner à l'abbaye les moyens qui lui font tant défaut, et de restaurer le lustre de la petite communauté religieuse. Dans ce pays de vieille tradition viticole, l'exploitation des vignes dépendant du monastère et le commerce du vin constituent un bon moyen d'y parvenir. Attestée dès 1668, la première innovation de dom Pérignon consiste à assortir systématiquement, avant même de les pressurer, les raisins de diverses origines. Se procurer les grappes ne pose pas de difficultés au jeune moine, car la dîme fait obligation aux vignerons locaux de livrer au monastère une part de leur récolte. Dom Pérignon a ainsi à sa disposition un choix de raisins venus de terroirs très divers dont il fait le mélange lui-même afin d'en harmoniser les qualités et d'en faire oublier les défauts. « C'est la connaissance du bon effet que produisent les raisins de trois ou quatre vignes de différentes qualités qui a porté à la perfection les fameux vins de Sillery, d'Ay et d'Hautvillers. Le père Pérignon, religieux bénédictin d'Hautvillers, est le premier qui se soit appliqué avec succès à assortir ainsi les raisins des différentes vignes » écrit en 1763 l'abbé Noël-Antoine Pluche.

 

Œnologue avant l'heure, dom Pérignon apporte un soin particulier aux vendanges et au choix des raisins, ne laissant à personne d'autre la permission de les goûter. « Le père Pérignon ne goûtait pas les raisins aux vignes quoiqu'il y allât tous les jours à l'approche de la maturité », témoigne le frère Pierre, élève et successeur du « père » du champagne. « Mais il se faisait apporter des raisins des vignes qu'il destinait à composer la première cuvée. Il n'en faisait la dégustation que le lendemain à jeun, après leur avoir fait passer la nuit à l'air sur sa fenêtre, jugeant du goût selon les années. Non seulement il composait les cuvées selon ce goût, mais encore selon la disposition, les années précoces, tardives, froides, pluvieuses, et selon les vignes bien ou médiocrement fournies de feuilles. Tous ces événements lui servaient de règles pour la composition de ses cuvées si distinguées. » Avec dom Pérignon, l'assemblage de crus et de cépages tend vers une science.

 

Le champagne acquiert ainsi une qualité qu'il n'avait pas jusqu'ici et qui fera beaucoup pour sa réputation.

 

Mythe de la découverte de la méthode champenoise

 

 
« La Champagne - Dom Pérignon découvrant la mousse », carte postale d’un tableau d'Armand Guery.
 

La légende veut que dom Pérignon ait, le premier, découvert la méthode contrôlée pour faire mousser le vin de Champagne en bouteille. À l'époque, les bouteilles étaient bouchées avec des chevilles de bois garnies d'étoupe imbibée d'huile. À la recherche d'un procédé plus propre et plus esthétique, dom Pérignon aurait eu l'idée de couler de la cire d'abeille dans le goulot des bouteilles, leur assurant ainsi une parfaite herméticité ; mais au bout de quelques semaines, la plupart des bouteilles auraient explosé, incapables de résister à la pression. En fait le sucre contenu dans la cire, en tombant dans la bouteille provoquait une seconde fermentation, transformant l'acide malique en acide lactique plus carbonique. Un heureux hasard aurait ainsi permis à dom Pérignon de découvrir la fermentation en bouteille. La « méthode champenoise » ou, plus simplement le champagne, serait ainsi née.

 

Le « vin de Champagne », dont l'appellation s'établit entre le début et le milieu du xviie siècle est d'abord un vin tranquille blanc, mais surtout clairet, dit œil-de-perdrix, c'est-à-dire rouge clair, tel que le vin d'Ay situé, en face d'Épernay, au pied des coteaux bordant la Marne, d'où les pourvoyeurs approvisionnaient certains souverains dés le xvie siècle en vin dit de Rivière (de Marne). L'appellation vins de Montagne (de Reims) apparait quant à elle au milieu du xviie siècle, lorsqu'on commence à produire là aussi des « vins gris », c'est-à-dire des vins blancs faits à partir de raisins noirs, à l’imitation de ceux de Rivière, où l'on avait privilégié, comme à Ay et Pierry, l'usage des seuls cépages morillon noir ou taconné, correspondant respectivement aux pinot noir et meunier, ainsi que celui du pressoir champenois, selon des modalités propres à éclaircir le vin. Le vin de Champagne devient alors le vin préféré de Louis XIV ; tandis que des vins de Montagne, comme ceux de Sillery, où le cépage Fromenteau est utilisé pour le vin gris, Mailly et Verzenay, sont promus à Versailles par leur propriétaire, la famille Brulart de Sillery et acquièrent une grande renommée jusqu'à la fin du xviiie siècle, au même titre que les vins de Rivière les plus réputés.

 

Le vin commence à être mis en bouteille en verre dans les années 1660 et vers 1670 en Champagne, afin d'assurer une meilleure conservation des arômes, avec un tirage effectué avant la fin de la première fermentation, grâce à l'invention de la bouteille de vin résistante par les Anglais, qui découvrent parallèlement le bouchon de liège en usage en Espagne et au Portugal, substitué à l'archaïque « broquelet » ou « clavelot » de bois maintenu au goulot par une ficelle de chanvre et le sulfitage des barriques pratiqué par les Hollandais. Mais il devient, en contrepartie, naturellement pétillant, surtout pour les champagnes peu alcoolisés, peu colorés et dont le tirage est fait à l'équinoxe de printemps, particularité que favorisa également le petit âge glaciaire.

 

Ce caractère effervescent cause beaucoup de soucis aux vignerons, à tel point qu’il est surnommé « vin du diable » ou « saute-bouchon » à cause des bouteilles qui explosent ou des bouchons qui sautent sous la pression. Pour ces raisons, si les Anglais n’avaient pas été conquis par ce vin pétillant, le champagne n'aurait peut-être pas connu le même destin, car à cette époque les Anglais achetaient aux Champenois des tonneaux de vin en vrac, qu'ils se chargeaient également de mettre eux-mêmes en bouteilles. Ils avaient aussi observé que la meilleure époque pour provoquer la prise de mousse était le printemps, et rajoutent du sucre de canne issu de leurs colonies des Caraïbes pour développer cette prise de mousse, comme l'atteste un mémoire sur la fabrication des vins mousseux adressé le 17 décembre 1662 à la Royal Society par le naturaliste britannique Christopher Merrett.

 

Dom Pérignon améliore la qualité du vin mais lutte justement contre la prise de mousse qui peut alors entraîner un défaut de fabrication, à cause de l'utilisation de la bouteille en verre dans les années 1660. En 1670, à l'occasion, selon la légende, d'un pèlerinage à l'abbaye bénédictine de Saint-Hilaire en Languedoc, il découvre la « méthode ancestrale » de vinification des vins effervescents de Limoux, due à une mise en bouteille avant la fin de la fermentation, qui existe depuis plus d'un siècle. Revenu dans son abbaye d'Hautvillers, dom Pérignon aurait fait volte-face et expérimenté la méthode sur les vins du vignoble champenois pour répondre à la nouvelle mode de la Cour de France de Louis XIV qui s'était entichée des crus pétillants. Pour maîtriser ce « vin du diable », il préconise l'emploi du bouchon de liège, maintenu sur la bouteille par une ficelle de chanvre imprégnée d'huile, ce qui permet au vin de garder sa fraîcheur et sa mousse. De plus, il aurait fait renforcer la bouteille en adoptant un verre plus épais, pour éviter qu'elle n'explose. Malgré les efforts du moine pour éviter cela, l'effervescence du vin reste empirique et peu contrôlée, jusqu'aux recherches de Louis Pasteur sur la fermentation au milieu du xixe siècle.

 

Par ailleurs, à l'époque de dom Pérignon, le vin effervescent ne peut exister qu'en bouteille bouchée ; tandis qu'avec la loi promulguée en 1691 qui impose la vente en tonneaux pour prévenir de multiples fraudes, seule la vente en fûts est autorisée, jusqu'à l'arrêt du Conseil royal du 25 mai 1728 sous Louis XV permettant le transport du vin en paniers de cinquante ou de cent bouteilles. Néanmoins, cela n'interdit pas une mise en bouteille pour une consommation personnelle et dans son Épître « La Chasse à M. de Rosières » écrit le 14 septembre 1692, Charles Perrault atteste de l'existence à cette date de « pétillant vin de Champagne ». Une autre légende prête alors à Dom Pérignon ces propos lorsqu'il goûte son premier vin qui aurait ensuite été fabriqué vers 1697 selon la méthode champenoise : « Venez mes frères, je bois des étoiles » mais l'apparition de cette citation apocryphe n'est attestée qu'à la fin du XIXe siècle sur de la publicité de champagne.

 

Dom Pérignon n'est donc pas à l'origine de l'usage de la seconde fermentation effervescente du champagne : au contraire, il a toujours cherché à réduire les conséquences de ce défaut du « vin du diable » qui engendre des pertes considérables, sa réussite reposant sur l'élaboration et la commercialisation de vins tranquilles de « la Montagne » et de « la Rivière ». Le processus d'élaboration du champagne effervescent a été une œuvre collective et de longue haleine, où dom Pérignon a joué un rôle majeur, mais essentiellement dans le développement de l'art de l'assemblage. Au début du XVIIIe siècle, le champagne tel que nous le connaissons aujourd'hui fait en tout cas le bonheur des tables aristocratiques et royales (telles celles de Pierre de Montesquiou d'Artagnan, l'un des principaux acheteurs), les seules à pouvoir s'offrir le précieux breuvage.

 

D'autres légendes lui sont associées, comme celles d'être l'origine des caves champenoises ou de la flûte à champagne.

 

C'est l'un des successeurs de dom Pérignon à l'abbaye d'Hautvillers, le procureur Dom Jean-Baptiste Grossard qui, dans une lettre en date du 25 octobre 1821 adressée à M. d'Herbes, maire-adjoint d'Aÿ, fait naître la légende de Dom Pérignon « père du champagne », ce qui accroît le prestige et la vente des vins de sa communauté religieuse

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dom_P%C3%A9rignon

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Monde : France 1638
   
   
    4 août : Événements
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Jean Baptiste Denis

Publié à 23:45 par dessinsagogo55 Tags : article png mort sur center centerblog merci
Jean Baptiste Denis

Jean-Baptiste Denis est un médecin français, né en 1643 et mort en 1704.

 
Biographie
 

Après des études de médecine à Montpellier, il s’installe à Paris en 1665. Il devient le médecin de Louis XIV.

 

Il est notamment l’auteur du Discours sur les comètes (1665) et de Lettres (1667-1668), portant sur la transfusion sanguine.

 

Denis est le premier à tenter une transfusion sanguine d’un agneau à un être humain le 15 juin 1667. Il est convaincu que la transfusion pourrait traiter la folie.

 

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Baptiste_Denis

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Jean Picard

Publié à 23:32 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris voyage png center photo carte centerblog sur merci france place maison mort
Jean Picard

De g. à d. : Picard ? La Hire ? et Cassini.

 

 

Jean-Felix Picard, dit l'abbé Picard, né le 21 juillet 1620 à La Flèche et mort le 12 octobre 1682 à Paris, est un géodésien et un astronome français.

 

Il est considéré comme le fondateur de la géodésie moderne : en effet, il est le premier à mesurer un arc de un degré de méridien terrestre par triangulation avec des instruments munis de lunettes astronomiques à réticule. Il en déduit le rayon de la Terre, supposée sphérique, avec une exactitude jusqu'à là inégalée. Ses travaux portent aussi sur la recherche d'un étalon de longueur universel et le nivellement pour alimenter en eau les fontaines du château de Versailles.

 

En astronomie, il effectue de nombreuses observations et mesures - sur le terrain, pour la géographie et la future carte de France triangulée dont il sera l'initiateur - et à l'Observatoire, en astronomie pure. Il met en place une nouvelle méthode pour déterminer les coordonnées équatoriales des astres par leur passage au méridien, publie des éphémérides ; à ce titre Picard est considéré comme étant à l'origine du développement de l'astronomie de précision.

 

Accessoirement, il s'intéresse aussi à la gnomonique et à la dioptrique.

 
Biographie
 
 
Le collège Henri IV ; au pied de la porte principale, sur la droite, deux boutiques. L'une a abrité la librairie Picard.
 

Né en 1620 à La Flèche où son père est libraire, il effectue des études dites classiques jusqu'au niveau Philosophie au Collège Henri IV des Jésuites de la ville. Là, il a pu être initié à l'astronomie, en classe de Mathématiques, par le père Jean De Riennes ; après le cycle de Philosophie, il y a peut-être aussi suivi des cours de théologie.

 

En 1645, à 25 ans, on le retrouve installé à Paris. Il y observe, avec Gassendi qu'il seconde, l'éclipse de soleil du 25 août ; ils observeront d'autres évènements astronomiques (éclipses de Lune, occultation de Jupiter par la Lune) dans les années 1646-1647. Gassendi dit de son assistant qu'il est « très studieux et très instruit ». Picard suit aussi les cours de Gassendi au Collège royal.

 

En 1650, il est diplômé maître ès arts de l'Université de Paris, et il est probablement ordonné prêtre la même année ; il sera prieur de Rillé, en Indre-et-Loire, à une trentaine de kilomètres de La Flèche où il est né.

 

En 1652, le huit avril, il est le seul à observer, en France, une éclipse de Soleil, au collège de Navarre, avec un grand sextant (en 1667 Picard avait son sextant personnel ; était-ce le même ?).

 

À cette époque, il semble voyager beaucoup : en France, en Europe : Italie, Allemagne, Hollande ; il apprend le flamand et l'italien. Il se confirme aussi qu'il entame une carrière d'astronome d'observation : observation d'une éclipse partielle de Soleil le 30 mars 1661, observation d'une tache solaire le 13 et 14 août de la même année, nombreuses observations entre 1661 et 1665.

 

En 1663, il est le confident du sulfureux « abbé de Richelieu »; en novembre et décembre de cette même année, on retrouve Picard à Bordeaux, il semble être interdit de séjour à Paris, peut-être à cause de sa fréquentation du jeune abbé de Richelieu. François Bonneau, seigneur du Verdus, à qui l'on doit ces informations écrit à propos du caractère de Jean Picard : « c'est un bel esprit, esprit libre et désabusé et profond dans les sciences ». Dans le même sens, trois ans plus tard, en septembre 1666, en visite à l'académie de physique de Caen, une touche de description de notre personnage « dans son visage mélancolique, a un esprit subtil et pénétrant ». « Abbé de cour », toujours d'après le seigneur du Verdus, Picard perçoit des bénéfices - ceux des prieurés de Rillé et Brion (Maine-et-Loire), et ceux de deux petites chapelles vers la Flèche - qui s'élèvent à environ mille livres « qui lui permettent de vivre bien »..

 

 
Visite fictive de Louis XIV à l'Académie des Sciences

En 1666-1667, c'est la fin de la période obscure de Picard. Il devient l'un des vingt-et-un premiers membres de l'Académie royale des Sciences, peu de temps après sa fondation.

 

En 1667-1668, il travaille avec Adrien Auzout à l'application des lunettes aux instruments pour mesurer les angles et à la mise au point du micromètre à fil mobile. Picard sera le premier à mettre en œuvre ces instruments (quart de cercle mobile, secteur, niveau) qui améliorent de beaucoup l'exactitude des mesures.

 

Le 21 juin 1667, M. Auzout, Buot, Frénicle de Bessy, Picard, Richer vont tracer, sur une pierre, une ligne méridienne à l'emplacement du futur « Uranoscope » ou Observatoire de Paris .

 

En 1668-1669, l'Académie le charge de la mesure de l'arc de méridien entre Paris et Amiens. Ses mesures par triangulation le conduiront à un résultat de ≈ 111,1 km pour un degré de latitude, ce qui donne un rayon terrestre de 6 372 km, le rayon actuellement mesuré étant de 6 371 km.

 

Toujours en 1669, désormais connu, il use de son crédit auprès de Colbert pour attirer en France Jean-Dominique Cassini qui deviendra directeur de l'Observatoire de Paris en 1671.

 

En 1671, Picard part au Danemark faire le relèvement de l'observatoire de Tycho Brahe, sur l'île de Hven. Cette mission géodésique doit permettre de localiser Hven par rapport à Paris, et ainsi, d'exploiter les tables astronomiques de Tycho. Sur place il rencontre l'astronome Rømer avec lequel il va travailler, et il l'invite à l'accompagner lors de son retour à Paris ; ce sera son collaborateur pendant dix ans.


 

De 1672 à 1681, suivant ordre du Roi, il effectue - avec parfois La Hire, et en relation avec Cassini - des observations astronomiques en différents ports et villes du royaume. Les résultats de ces observations serviront à La Hire pour établir la célèbre « carte de France corrigée ».

 

En 1673, il vient s'installer à l'Observatoire, mais il se trouve souvent absent : en plus des coordonnées géographiques des villes de France qu'il détermine, il est occupé par des travaux de nivellement autour du château de Versailles. Néanmoins, il effectue des observations régulières à l'Observatoire, puis dans sa maison située à deux pas, et il travaille sans relâche jusqu'en 1681, date à laquelle il n'est plus trop en état d'exécuter par lui-même les grands projets qu'il avait fait agréer à Colbert.

 

En 1682, le 1er mai, le Roi vient visiter l'Observatoire ; le lendemain, Cassini, Picard et La Hire feront leur rapport à l'Académie. Le Roi semble entièrement satisfait des explications, des instruments et des nouvelles observations... Quelque six mois plus tard, l'abbé mourra, laissant à La Hire le soin de poursuivre l'œuvre commune

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Picard

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés

Publié à 21:13 par dessinsagogo55 Tags : center photo article mode société centerblog sur merci france monde
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés
En 2019, les actionnaires n'ont jamais été autant gâtés, la France toujours championne en Europe 
 
Par AFP  |  17/02/2020, 14:51 
 
 
L'an dernier, les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint un nouveau record : 1.430 milliards de dollars. Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale. Sur le Vieux Continent, la France a été le seul pays à battre son record annuel : +1,3% à 63,9 milliards de dollars.

Les dividendes versés aux actionnaires dans le monde ont atteint en 2019 un nouveau record de 1.430 milliards de dollars (+3,5%), mais leur croissance a marqué le pas et devrait se maintenir au même niveau en 2020, selon un rapport publié lundi.

Le taux de croissance enregistré en 2019 ressort "au plus bas depuis 2016, en raison de la complexité de l'environnement économique mondial" et en particulier de la solidité du dollar, précise l'étude de référence de la société de gestion Janus Henderson Investors.

Sur le seul quatrième trimestre, les dividendes ont progressé de 4,6% pour atteindre le montant record de 291,8 milliards de dollars en dépit d'un ralentissement de la croissance des bénéfices en Amérique du Nord.

Si les marchés émergents et le Japon ont tiré la croissance des dividendes à la hausse l'an passé, l'Asie pacifique hors Japon, l'Europe et le Royaume-Uni ont en revanche été à la traîne par rapport à la moyenne mondiale, constate la société de gestion, l'une des principales dans le monde avec 333,9 milliards d'euros d'actifs sous gestion.

Les dividendes versés aux États-Unis ont augmenté de 4,7% à 490,8 milliards de dollars en 2019, un nouveau record, mais ont chuté en Europe de 2% à 251,4 milliards de dollars.

 

 

2020 : vers une nouvelle année record ?

 

En Europe, la France - principal payeur de dividendes sur le Vieux Continent - a été le seul pays à battre son record annuel (+1,3% à 63,9 milliards de dollars) grâce aux importants dividendes extraordinaires de Natixis et d'Engie.

 

Le Japon a de nouveau enregistré la plus forte croissance des dividendes à l'échelle mondiale (+6,3% à 85,7 milliards de dollars) alors que "dans le reste de l'Asie, le ralentissement de la croissance économique mondiale et l'impact des tensions commerciales ont eu un effet négatif", note Janus Henderson.

Par ailleurs, "le secteur pétrolier est celui qui a généré la plus forte croissance, ses dividendes augmentant d'un dixième, alors que le secteur des télécommunications a vu ses dividendes diminuer".

Pour 2020, Janus Henderson estime que la baisse des dividendes extraordinaires, en raison de la croissance modérée des bénéfices attendue, devrait peser, même si la faiblesse du dollar pourrait être un atout.

Il prévoit une hausse de 3,9% des dividendes totaux, à 1.480 milliards de dollars par rapport à 2019, soit une cinquième année consécutive de record.

 

 

 

Liens externes                                                  
   
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James Dormeyer

James Dormeyer

James Dormeyer (à droite) en 1973 en compagnie de Philippe Druilet. 

 

 

 

 

James Dormeyer (11 juillet 1936 à Commercy dans le département de la Meuse en France - ) est un réalisateur canadien de radio, de télévision et de cinéma.

James Dormeyer commence ses études à l'Université de Dijon puis obtient, à l'IDHEC de Paris, son diplôme de fin d’étude en réalisation, prise de vue et montage. Par la suite, il réalise des courts métrages en Afrique (Algérie, Côte d’Ivoire, Niger, Mali, Guinée) et des films publicitaires en Espagne (Estudios Moro, Madrid). En 1965, il s'installe au Canada.

En 1968, la Société Radio-Canada l’engage comme réalisateur. Il œuvre alors dans plusieurs secteurs : variétés, information, émissions pour enfants, émissions dramatiques et musicales. À travers ces diverses expériences, il s’attachera à cerner la spécificité nouvelle du langage de la vidéo, par rapport à la syntaxe déjà connue du langage filmique. À ce sujet, c’est surtout l’extraordinaire pouvoir d’enrichissement collectif offert par la télévision qui nourrit sa recherche. Le but est de rejoindre toujours davantage le grand public, même et surtout à travers des domaines réputés difficiles comme, entre autres, celui de la musique contemporaine.

Menuhin-Prévost, une aventure créatrice lui vaut une mention d’honneur au prestigieux prix Italia 1990. Cette émission de deux heures trente minutes raconte la création, de la composition jusqu'à l’interprétation, d’une œuvre de musique contemporaine, Cantate pour cordes d'André Prévost. En 1993, avec La Suite montréalaise, il commande cinq compositions originales à cinq compositeurs montréalais. Ainsi, il poursuit son projet d’une télévision à la fois éducative, démystificatrice et distrayante, génératrice d’œuvres télévisuelles nouvelles à des heures de grande écoute. Pour cette émission, il se méritera trois Prix Gémeaux : meilleure émission Spéciale des Arts, meilleur montage et meilleur son.

En 2006, il termine son projet le plus ambitieux, Journal d'une création. Dans celui-ci, il raconte, en la filmant presque jour après jour de 1996 à 1998, la composition par André Prévost d’une œuvre symphonique, le Concerto pour violon et orchestre.

Réalisations

1996 à 2006

Journal d'une création, conception, prise de vue et montage d’un document vidéo racontant presque quotidiennement la création par André Prévost de son Concerto pour violon et orchestre dédié à Chantal Juillet et dirigé par Charles Dutoit à l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM).

1996

Invité (le 19 janvier 1996) par la 1996 Conference of International Television Documentary on culture à Taipei, Taïwan, République de Chine, pour présenter La Suite montréalaise

Invité (le 23 octobre 1996) par l’Institut national de l’image et du son (INIS) pour présenter un exposé sur l’esthétique de l’image vidéo.

1995

Une journée dans la vie de Louise Andrée Baril (clip) portrait humoristique en dix minutes d’une journée échevelée de la pianiste, de son lever jusqu’au coucher, dans son bain tourbillon !!!

Un prix pour Yegor (vingt minutes) diffusé à l’émission d’information Le Point : Les émotions d’un jeune virtuose, Yégor Dyachkov, lors du Concours international de violoncelle Max D. Jost à Lausanne et auquel il échouera.

Kenneth Gilbert (clip)Sur l’orgue de l’université McGill, interprétation de deux pièces extraites du Livre d’orgue de Montréal.

Les Saisons de Hayon (57 min 50 s) captation d’un concert donné lors du Festival international de Lanaudière.

1994

Certains cris (27 min 50 s) émission spéciale racontant la dernière journée de travail pour Margie Gillis concevant une chorégraphie originale sur une œuvre d’André Prévost et spectacle final de cette chorégraphie conçue pour la télévision.

Forum 93 (57 min 50 s) émission spéciale sur l’événement Forum-93 qui voit la rencontre de six jeunes compositeurs venus du monde entier dont les œuvres, écrites pour la circonstance, sont répétées et interprétées par le Nouvel ensemble moderne (NEM) sous la direction de Lorraine Vaillancourt.

Yuli Turovsky (clip de 6 min 50 s) évocation par le violoncelliste du drame yougoslave sur des extraits d’une sonate de Kodaly.

Marc-André Hamelin (clip de 3 min 00 s) sur l’esplanade de la Place des Arts de Montréal, le pianiste environné réellement et électroniquement des jeux d’eau qui l’entourent, interprète une sérénade de Strauss-Godowsky.

Denis Brott et Margie Gillis (clip) deux œuvres de Piatigorsky interprétées par le violoncelliste, avec chorégraphie de Margie Gillis sur les toits et sous la verrière du musée des beaux-arts de Montréal.

Événement télévision 94 à Radio-Canada, présentation d’un colloque sur le thème Image et Musique à la télévision.

1993

La Suite montréalaise émission spéciale à l’occasion du 350e anniversaire de la fondation de Montréal.

Prix Gémeaux

meilleure émission Spéciale des Arts

meilleur montage toutes catégories

meilleur son toutes catégories

Plaque de bronze au Colombus International Film and Video Festival 93

Mention spéciale prix Anik 93

Beethovenissimo, conception et réalisation d’une série de neuf émissions de 57 min 50 s portant sur les neuf symphonies de Beethoven

Mention spéciale Prix Anik 93

Angèle, Louise-Andrée, Arthur et les autres… (57 min 50 s) (Un portrait d’Angèle Dubeau, violoniste)

Gilles Tremblay… un univers sonore (57 min 50 s) (Un portrait de ce compositeur canadien)

Vers une étoile, Compostelle II (27 min 50 s), émission spéciale pour une approche visuelle d’une musique contemporaine de Gilles Tremblay

Paris qui dort (57 min 50 s), émission spéciale rendant compte du travail de deux improvisateurs, Michel Donato (contrebasse) et Robert Lepage (clarinette), sur les images du film de René Clair

1988-1990

La flûte enchantée (Opéra de Montréal) captation live

Don Gioanni (Opéra de Montréal) captation live

1987

Menuhin-Prévost, une aventure créatrice (conception et réalisation)

Prix Italia (mention d’honneur)

Rogers Communication Award pour la couverture des Arts

1985-1986

Tristan et Isolde (Opéra de Montréal) captation live

Tosca (Opéra de Montréal) captation live

1984-1985

Année sabbatique, voyage en Union soviétique en rapport avec le projet avorté de Noces de Stravinsky

1983

Le conte de l'Oiseau, conception et réalisation sur un poème symphonique d’André Prévost et Paule Tardif Delorme

Prix Anik

1982

Les Noces de Stravinsky, concept-images qui devait trouver place dans un vaste hommage au compositeur, organisé par WGBH-Boston, du réseau PBS. Le projet ne vit pas le jour en raison des coupures budgétaires du nouveau gouvernement républicain de l’époque, mais le concept fut élaboré au complet et approuvé par le producteur de WGBH

1979-1980

Prévert, Rose ou Bleu ?, conception et réalisation à partir de textes de Jacques Prévert, Prix Anik, Golden «à» Award au Modern Language Film Festival New York 1981, mention d'honneur American Film Festival USA 1982Sélection INPUT 80, Washington

Nous n'irons plus au bois, conception et réalisation à partir de texte de Jacques Prévert et Jules Supervielle (suite de l’émission précédente)

À voix Basse de Gilles Archambault, dramatique pour Les Beaux Dimanches, sélectionné pour le « Prague d’Or »

1975-1978

Dans le cadre d’une série de dramatiques expérimentales intitulée Scénario :

Le Temps devant… de Gilles Archambault (4 épisodes)

La Rose des sables de Roger Fournier (4 épisodes)

Journal en images froides de Marie-Claire Blais (4 épisodes)

1974-1975

La super franco fête (une heure), émission spéciale sur film

La super franco fête, coordonnateur et réalisateur d'une série d'émissions quotidiennes sur cet événement

Participation comme délégué de Radio-Canada à différents colloques de l’UER (l'Union européenne de radio-télévision) sur les programmes pour enfants, à Toronto, Copenhague et Montréal

Connexion, conception et réalisation d’un magazine en direct pour jeunes (série de 39 heures)

1971-1974

TELECHROME (série de trente neuf heures par année) conception et réalisation, création en direct, et par des jeunes en studio, d’images de bandes dessinées, accompagnées de leur texte, suggérées à distance par d’autres jeunes au téléphone sur tout le réseau

1970-1971

Le franbecois, conception et réalisation, série éducative sur la langue française

Femmes d'aujourd'hui, conception et réalisation, deux émissions consacrées aux relations hommes femmes de races différentes

On jour à vivre, conception et réalisation, trois émissions consacrées aux comportements d’enfants en classe de pré-maternelle

1968-1970

À compter du mois d'août 1968, il devient réalisateur à Radio-Canada. Il participe à des émissions hebdomadaires pour enfants, trente-neuf demi-heure par année :

Grujot et Délicat ;

Sol et Gobelet ;

La Ribouldingue.

1965-1968

Durant ces années, il réalise divers documentaires tournés pour Hydro-Québec, réalisation, prises de vues, montage :

Manic 2 ;

Complexe Manicouagan-Outarde ;

Films publicitaires conçus et tournés pour Hydro-Québec et la Société Radio-Canada.

1964-1965

Concepteur et réalisateur de films publicitaires aux Estudios Moro à Madrid, dont un sélectionné pour le Festival du film publicitaire de Cannes 1964

1962-1963

Correspondant des Actualités françaises pour l’Ouest africain (Niger, Côte d’Ivoire, Guinée), images et textes des reportages présentés chaque semaine dans les salles de cinéma de ces pays

Divers : documentaires éducatifs et industriels

Le voyage du président Houphouët-Boigny en Guinée (prises de vues et montage), prix Targa Leone di San Marco (Festival de Venise 1963)

Formation

1956-1959 : formation universitaire et professionnelle à l’Institut des hautes études cinématographiques(IDHEC XIIIème promotion) Paris, diplôme en réalisation, prises de vues et montage)

Stage de fin d’études aux studios Africa à Alger. Au cours de ce stage, conception et réalisation d’une campagne de sécurité sur les forages pétroliers d’Hassi-Messaoud (Algérie) et de Lacq (France).

Prix

Prix « prévention et sécurité » au Festival des films techniques de Rouen (1960)

Film américain : 1987

Film américain : 1987

Film américain

 

0–9 Joyride (film)
4 Little Girls K
8 Têtes dans un sac Kull le Conquérant
187 code meurtre Kundun (film)
A L
À armes égales (film, 1997) L.A. Confidential (film)
À couteaux tirés (film, 1997) Larry Flynt (film)
A Smile Like Yours Leprechaun 4 : Destination cosmos
A Story of Healing Lolita (film, 1997)
Addicted to Love (film) The Long Way Home (film, 1997)
ADN (film, 1997) Lost Highway (film)
Affliction (film) Le Loup-garou de Paris (film, 1997)
Les Ailes de l'enfer Love in Paris
Les Ailes de la colombe (film, 1997) Lucky Three
Les Ailes de la nuit (film) M
Air Bud : Buddy star des paniers Mad City
Air Force One (film) Magic Warriors
Alien, la résurrection Le Maître du jeu (film, 1997)
All Over Me Maman, je m'occupe des méchants !
Allyson Is Watching Le Mariage de mon meilleur ami (film)
Américain impekable Mean Guns
Amistad Mémoires suspectes
Amityville : La Maison de poupées Men (film, 1997)
L'Amour de ma vie (film) Men in Black (film, 1997)
L'Amour... et après Men with Guns
Anaconda, le prédateur Menace toxique
Anastasia (film, 1997) Menteur, menteur
The Anchor Hotel Méprise multiple
Les Années rebelles Meurtre à la Maison-Blanche
Another Day in Paradise (film, 1998) Meurtre à Tulsa
Après la pluie... Mighty Ducks, le film
Argent comptant Mimic (film)
The Arrival Minuit dans le jardin du bien et du mal (film)
L'Associé du diable Mister Cool
Asteroïde : Points d'impact Le Monde perdu : Jurassic Park
Au cœur de la tourmente Mortal Kombat : Destruction finale
Austin Powers Mr. Jealousy
B Mr. Magoo
Back Home (film, 1997) Mrs Dalloway (film)
Baggage Mulligans !
Batman et Robin (film, 1997) Le Mystère des fées : Une histoire vraie
Bean (film) N
La Belle et la Bête 2 Naked Highway
Best Men Niagara, Niagara
Bienvenue à Gattaca The Night That Never Happened
The Big One (film, 1998) Le Ninja de Beverly Hills
The Blackout (film) No Man's Land (série pornographique)
Blanche-Neige : Le Plus Horrible des contes Le Nouvel Espion aux pattes de velours
Bloodsport 3 Nowhere (film, 1997)
Bloodsuckers (film) La Nuit des Démons 3
(Blooper) Bunny O
Bobo et ses amis L'Ombre du passé (film, 1997)
Bongwater Once We Were Strangers
Bonjour les vacances : Viva Las Vegas L'Or de la vie
Boogie Nights Oscar et Lucinda
Booty Call P
The Boxer (film) Le Pacificateur
The Brave Palmetto (film)
Breakdown (film, 1997) Paradise Road
Butterscotch - Passe-temps inavouables The Parasite
C Pêche Party
Capitaine Orgazmo Perdita Durango
Casper, l'apprenti fantôme Péril en mer
Le chacal  Le Petit Chaperon rouge (film, 1997)
Chaude journée à L.A. Le Petit Dinosaure : L'Île mystérieuse
Chérie, nous avons été rétrécis Le Petit Grille-pain courageux : À la rescousse
Chicago Cab Le Petit Monde des Borrowers
Chinese Box Petit Poucet l'espiègle
City of Crime Le Pic de Dante
Le Club des ex (film) Piège dans l'espace
Le Collectionneur (film, 1997) Pink as the Day She Was Born
Commandements La Piste du tueur
Complots Pleins feux sur le président
Conquest (film, 1997) Les Pleins Pouvoirs
Contact (film, 1997) Le Plus Fou des deux
Copland (film) Postman
Coup de foudre et conséquences Pour l'amour de Roseanna
Créatures féroces Pour le pire et pour le meilleur
The Creeps (film) Pour une nuit
Cremaster (série de films) Power Rangers Turbo, le film
Critical Care Prefontaine
La Croisière aventureuse Prise d'otages à Atlanta
Le Cygne et la Princesse 2 La Prisonnière espagnole
D Parties intimes (film)
La Dame de Windsor La Proie et l'Ombre (film)
Le Damné (film, 1997) Public Housing
D'amour et de courage Q
Dangerous Ground Quatre jours en septembre
Dans l'ombre de Manhattan R
Dany, le chat superstar Red Corner
Dark Planet Redux Riding Hood
The Dark Side of the Sun Relic (film)
Darkdrive Rétroaction (film)
Demain ne meurt jamais Rien à perdre (film, 1997)
La Dernière Cavale RocketMan
Des hommes d'influence Romy et Michelle, 10 ans après
Destination Anywhere (film) Rosewood (film)
Digging to China S
Do me a favor Le Saint (film, 1997)
Donnie Brasco Sauvez Willy 3
Double Frappe Schizopolis
Double Take (film, 1997) Scream 2
Double Team Secrets (film, 1997)
DoubleCross sur l'île de Costa Les Seigneurs de Harlem
Drôles de pères Selena (film)
E Sept Ans au Tibet
Eating Las Vegas Seule face au danger
Emma, l'entremetteuse She's So Lovely
En compagnie des hommes Sick: The Life & Death of Bob Flanagan, Supermasochist
The End of Violence Slaves to the Underground
Ennemis rapprochés Sling Blade
L'Entremetteur Soul Food (film)
État d'urgence (film) La Souris
Event Horizon, le vaisseau de l'au-delà Sous pression (film de 1997)
The Ex (film, 1997) Souviens-toi... l'été dernier
Excess Baggage Space Truckers
The Exotic House of Wax Spawn (film)
F Speed 2 : Cap sur le danger
Fast, Cheap and Out of Control Starship Troopers (film)
Le Flic de San Francisco Steel (film)
Flics sans scrupules Strays (film, 1997)
Flubber Suicide Kings
Future War Sunday (film, 1997)
G Le Suspect idéal
The Game (film) T
Le Garçon boucher Telling Lies in America
George de la jungle (film) Tender Flesh
Glam (film) Tennessee Valley
Good Burger Titanic (film, 1997)
The Good Life Total Reality
Gray's Anatomy (film) Touch (film)
Gridlock'd Trait pour trait (film)
La Guerre des fées (film) Trekkies (documentaire)
H Trojan War
Harry à tout prix Les Truands (film, 1997)
Harry dans tous ses états Tueurs à gages (film, 1997)
Haute Trahison (film, 1997) Turbulences à 30 000 pieds
Hav Plenty U
Hémoglobine (film) Un Indien à New York
Henry Fool Uncle Sam (film)
Hercule (film, 1997) Une vie moins ordinaire
Hideous! U-Turn (film)
Highball V
L'Homme qui en savait trop... peu Le Veilleur de nuit (film, 1997)
The House of Yes The Violation of…
I Visas and Virtue
I Think I Do Voisine de cœur
Ice Storm Volcano (film)
L'Idéaliste (film) Volte-face (film, 1997)
I'm Watching You W
L'Impitoyable Lune de miel ! Wanted, recherché mort ou vif
In and Out (film) Washington Square (film)
It's in the Water Where the Boys Aren't
J Will Hunting
Jack Frost (film, 1997) Winnie l'ourson 2
Jackie Brown Wishmaster (film)
Le Joueur d'échecs (court-métrage) Y
  Year of the Horse (documentaire)

 

 

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Diane Venora

Publié à 11:45 par dessinsagogo55 Tags : center mort centerblog course prix vie monde amour homme histoire 2010 nuit art film coupable
Diane Venora

Diane Venora est une actrice américaine née le 10 août 1952 à Hartford, Connecticut (États-Unis).

 

Filmographie

Télévision

Téléfilms

1982 : Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream) d'Emile Ardolino : Hippolyta

1983 : La Course vers le pôle (Cook & Peary: The Race to the Pole) de Robert Day : Marie Fidele Hunt

1996 : Special Report: Journey to Mars de Robert Mandel : Lieutenant Tanya Sadavoy

2000 : L'Homme traqué (Race Against Time) de Geoff Murphy : Dr Helen Steele

2004 : Class Actions de Charles Haid : Justine Harrison

2005 : C.S. Lewis: Beyond Narnia (documentaire) de Norman Stone : Joy Davidman

2010 : Un amour plus que parfait (The Wish List) de Kevin Connor : Brenda

Séries télévisées

1980 : Getting There (programme court) : Melanie

1981 : Nurse (saison 2, épisode 03 : Rivals) : Ellen Brill

1985 : A.D. (mini-série) : Corinna

1990 : Hamlet (Great Performances) (saison, épisode : Hamlet) : Ophelia

1993 : New York, police judiciaire (Law and Order) (saison 3, épisode 13 : Souvenirs d'Auschwitz) : Mara Feder

1994 : Une rue du tonnerre (en) (Thunder Alley) (8 épisodes) : Roberta "Bobbi" Turner

1994 - 1995 : Chicago Hope : La Vie à tout prix (11 épisodes) : Dr Geri Infante

2000 : The Practice : Bobby Donnell et Associés (The Practice) (saison 5, épisode 04 : Le Revers de la médaille) : Margaret Wakefield

2004 : New York, unité spéciale (Law and Order: Special Victims Unit) (saison 5, épisode 16 : Coupés du monde) : Marilyn Nesbit

2005 : Threshold : Premier Contact (Threshold) :

(saison 1, épisode 01 : Les Arbres de verre [1/2]) : Angela Hatten

(saison 1, épisode 02 : Les Arbres de verre [2/2]) : Angela Hatten

(saison 1, épisode 05 : Réaction en chaîne) : Andrea Hatten

(saison 1, épisode 07 : Haute trahison) : Andrea Hatten

2006 : Esprits criminels (Criminal Minds) (saison 1, épisode 22 : La Quête, 1re partie) : Doris

2007 : Médium (Medium) (saison 3, épisode 10 : La Poupée) : Sarah Jane Levitt

2008 : Eleventh Hour (saison 1, épisode 01 : Résurrection) : Lea Muller

2009 : NCIS : Enquêtes spéciales (NCIS) (saison 7, épisode 06 : Une affaire de famille) : Shada Shakarji

2009 : Private Practice (saison 2, épisode 14 : Seconde chance) : Sharon

2010 : Grey's Anatomy (saison 6, épisode 17 : L'Art et la Manière) : Audrey Taylor

Cinéma

Courts métrages

1997 : Seed: A Love Story : Julia

2009 : Silver Street

Longs métrages

1981 : Wolfen de Michael Wadleigh : Rebecca Neff

1984 : Cotton Club (The Cotton Club) de Francis Ford Coppola : Gloria Swanson

1985 : Mort par ordinateur (Terminal Choice) de Sheldon Larry : Anna Lang

1986 : F/X, effets de choc (F/X) de Robert Mandel : Ellen

1987 : Ironweed d'Héctor Babenco : Margaret "Peg" Phelan

1988 : Bird de Clint Eastwood : Chan Parker

1995 : Trois vœux (Three Wishes) de Martha Coolidge : Joyce

1995 : Heat de Michael Mann : Justine Hanna

1996 : The Substitute de Robert Mandel : Jane Hetzko

1996 : Surviving Picasso de James Ivory : Jacqueline

1996 : Roméo + Juliette (William Shakespeare's Romeo + Juliet) de Baz Luhrmann : Gloria Capulet

1997 : Le chacal (The Jackal) de Michael Caton-Jones : Major Valentina Koslova

1999 : Jugé coupable (True Crime) de Clint Eastwood : Barbara Everett

1999 : Le 13e Guerrier (The 13th Warrior) de John McTiernan : Reine Weilew

1999 : The Joyriders (en) de Bradley Battersby : Celeste

1999 : The Young Girl and the Monsoon (en) de James Ryan : Giovanna

1999 : Révélations (The Insider) de Michael Mann : Liane Wigand

2000 : Hamlet de Michael Almereyda : Gertrude

2000 : Les Légendes de Brooklyn (Looking for an Echo) de Martin Davidson : Joanne Delgado

2001 : La Prophétie des ténèbres II (en) (Megiddo: The Omega Code 2) de Brian Trenchard-Smith et Paul J. Lombardi : Gabriella Francini

2002 : Heartbreak Hospital de Ruedi Gerber : Sunday Tyler / Andrea Harmon

2004 : L'Histoire (Stateside) de Reverge Anselmo : Mme Hengen

2004 : Breaking Dawn de Mark Edwin Robinson : mère

2005 : Le Cœur en sommeil (Touched) de Timothy Scott Bogart : Carole Davis

2005 : Self Medicated (en) de Monty Lapica : Louise Eriksen

2008 : Childless de Charlie Levi : Mary

2008 : Stiletto (en) de Nick Vallelonga : Sylvia Vadalos

2009 : The Ministers de Franc. Reyes : Gina Santana

2009 : Little Hercules in 3-D de Mohamed Khashoggi : Hera

2009 : Follow the Prophet (en) de Drew Ann Rosenberg : Red

2010 : Love and Secrets (All Good Things) d'Andrew Jarecki : Janice Rizzo

 

 

 

 

 

 

Mort de Graeme Allwright

Mort de Graeme Allwright

Mort de Graeme Allwright : cette comédienne pour laquelle il avait choisi de vivre en France

 

 

Dimanche 16 février, le monde de la folk a perdu l'une de ses références : Graeme Allwright est mort à l'âge de 93 ans. Dans les années 1940, il était venu s'installer en France par amour pour une actrice.

Les protest songs sont orphelines. Dimanche 16 février, la famille de Graeme Allwright a annoncé une triste nouvelle : le chanteur français est mort à l'âge de 93 ans. Né en Nouvelle-Zélande en 1926, il a déménagé à Londres pour intégrer la troupe du théâtre Old Vic de Londres. Là-bas, il a fait la rencontre d'une jeune comédienne, Catherine Dasté. "Dans mon groupe, il y avait un jeune Néo-Zélandais, qui avait été mousse pour payer son voyage en Angleterre... C'était Graeme Allwright", se souvenait le livre Entretien avec Catherine Dasté celle qui a baigné dans l'univers du théâtre depuis sa plus tendre enfance. Il faut dire que la comédienne ne vient pas de n'importe quelle famille. Son père, Jean Dasté, est une référence du 6e Art qu'il a révolutionné, sa mère, Marie-Hélène Dasté, était elle-même comédienne et son grand-père, Jacques Copeau, a marqué l'histoire de cet art en fondant notamment le théâtre du Vieux-Colombier.

 

Très amoureux, Graeme Allwright a quitté l'Angleterre en 1948 pour s'installer en France par amour pour Catherine Dasté. "J'y ai rencontré la fille de Copeau, Catherine Dasté, que j'ai épousée en 1951 en Bourgogne. L'amour, en somme, a décidé de mon destin", confiait le chanteur à La Croix en 2014. Après le mariage, les deux ont rapidement agrandi leur famille en accueillant Nicolas, Jacques et Christophe. "J'ai arrêté de jouer lorsque j'ai eu mon premier enfant à 22 ans. A 28 ans, j'en avais trois. J'ai voulu m'occuper d'eux", confiait Catherine Dasté. Graeme Allwright a lui aussi abandonné sa carrière pour sa famille. "On avait très peu d'argent. Je lavais mon linge au lavoir, je plantais des pommes de terre. C'était dur, mais pour moi, il n'était pas question de quitter Graeme", se souvenait la comédienne. Mais malheureux dans le show-business, le chanteur a fini par partir en Inde. Séparés quelques années plus tard, les deux n'ont pas divorcé tout de suite.

Divorcés, mais toujours en très bons termes

"Nous avons divorcé à sa demande, il a payé le divorce et il s'est remarié avec Claire (Bataille, sa deuxième épouse qui était au départ son agent, NDLR)", racontait Catherine Dasté dans Graeme Allwright par lui-même. Bien que séparés depuis des années, la comédienne devenue référence du théâtre pour enfant et le chanteur engagé ont toujours gardé de bonnes relations. Ces dernières années, avant que sa santé ne l'oblige à se retirer de la scène, les deux partageaient même encore des moments privilégiés. Ils se retrouvaient souvent devant un public pour chanter ou jouer du théâtre en compagnie de leurs trois garçons, eux aussi comédiens. Notamment Christophe Allwright, qui lui a rendu un tendre hommage : "C'était un chanteur engagé pour la justice sociale, un chanteur un peu hippie en marge du show-business qui a refusé des télés. Il a chanté jusqu'au bout, il a adoré être sur scène".

 

 

 

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