Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
17.01.2025
18535 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1119)
· A à Z : Sommaire (343)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3012)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1088)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
|
Vedette yé-yé au mitan des années 1960, l’artiste aura évolué au fil d’une carrière à éclipses vers des créations plus exploratrices de sons nouveaux. Il s’est éteint jeudi 16 avril, à l’âge de 74 ans.
A en croire la mythologie que lui-même avait façonnée et entretenue autour de son personnage, il était Le Dernier des Bevilacqua, fonçant à bord d’un « coupé façon Pininfarina » (le designer de Ferrari) entre les Vespa dans les faubourgs de Rome. Et dans un « complet droit », élément d’un vestiaire qui comprend encore une « veste de soie rose » (Les Paradis perdus) ou un « smoking blanc cassé » (La Dolce Vita). Ainsi se présentait Christophe en 1974 dans l’ouverture grandiose, sur fond de piano romantique et de nappes de synthétiseurs, de l’album Les Mots bleus, une de ses plus belles réussites, avec la complicité d’un parolier alors inconnu du nom de Jean-Michel Jarre.
Le chanteur Christophe, que Daniel Bevilacqua – son vrai nom – évoquait à la troisième personne du singulier, est mort, jeudi 16 avril, des suites « d’un emphysème », maladie pulmonaire, a indiqué à l’Agence France-Presse Véronique Bevilacqua, son épouse, dans la nuit de jeudi à vendredi. L’artiste avait été hospitalisé et admis en réanimation le 26 mars dans un hôpital parisien, avant d’être transféré à Brest. « Christophe est parti. Malgré le dévouement sans faille des équipes soignantes, ses forces l’ont abandonné », écrivent dans un communiqué son épouse et sa fille Lucie. Il était âgé de 74 ans.
Son parcours dans le paysage d’une chanson française qu’il aura mâtinée d’italianité et de rock primitif est tout à fait unique : propulsé vedette yé-yé en 1965, alors qu’il n’avait pas encore 20 ans, grâce à un slow larmoyant répondant au doux prénom d’Aline, Christophe aura survécu à deux éclipses pour se réinventer en marginal dont la cote n’a cessé de croître à mesure que s’éloignaient les succès commerciaux. Le chanteur de bluettes se métamorphosa en explorateur sonore, oiseau de nuit haut perché et penché sur ses piscines de champagne.
La jeunesse de Daniel Bevilacqua, né le 13 octobre 1945 à Juvisy-sur-Orge (alors Seine-et-Oise, aujourd’hui Essonne), est caractéristique de ces baby-boomeurs enfants du rock. Héritier d’une famille originaire du Frioul, ce fils d’un chauffagiste et d’une couturière s’évade, comme les rebelles fréquentant le Golf-Drouot (Johnny, Eddy, Jacques et les autres), dans les rêves que procure l’american way of life, westerns et cigarettes blondes, drague et chewing-gums, rock’n’roll. Ses héros sont salués dans la coda des Paradis perdus, dont Christine & the Queens, d’une autre génération, n’a pas tenu compte dans sa reprise en 2014 : débarrassé de sa veste de soie rose et de son humeur morose, Christophe se barde de cuir et s’éraille sur les onomatopées de Little Richard et Gene Vincent.
Sommet du hit-parade
Cet amoureux du blues fait ses gammes au début des années 1960 en tant que vocaliste de Danny Baby et les Hooligans. En préférant aux adaptations en français de standards rock, lot de l’école « Salut les copains, le « yaourt », ce faux anglais qui sacrifie le sens à la sonorité et qu’il n’hésitera pas à graver dans le single Voix sans issue, en 1984. Puis le blondinet débutant publie, en 1964, Reviens Sophie, un blues électrique qui passe inaperçu.
A l’inverse, à l’été 1965, de sa deuxième tentative, un slow de plage sur la mort d’un amour que l’arrangeur Jacques Denjean dramatise de chœurs féminins et de cordes lacrymales. Numéro un en France (mais pas seulement) avec un demi-million d’exemplaires écoulés, Aline entre en concurrence frontale avec Capri, c’est fini qu’Hervé Vilard a proposé peu auparavant sur le même sujet, également avec le renfort de Denjean. Un long procès pour plagiat suivra avec un rival malheureux, Jacky Moulière, dont La Romance de 1963 est effectivement très proche, sachant que les progressions d’accords des slows de l’époque ne brillent pas par leur originalité. Christophe gagnera en appel en 1977 et en profitera deux ans plus tard pour relancer son tube sur le marché en trônant à nouveau au sommet du hit-parade.
La nouvelle idole des jeunes confirme avec Les Marionnettes, son deuxième numéro 1, avant que la voix colérique et les violons nerveux d’Excusez-moi, monsieur le Professeur, en 1966, n’indiquent déjà un changement d’attitude. « Si je me tiens debout/Tout au fond de la classe/C’est parce que je n’aime pas/Faire les choses à moitié », s’emporte-t-il. Cette même année, il pose, au côté de Richard Anthony, sur la fameuse « photo du siècle » rassemblant les « Copains » prise par Jean-Marie Périer. Lui, pourtant, ne sera pas un yé-yé de plus, de ceux qui rallieront quatre décennies plus tard la tournée de vedettes déchues « Age tendre et tête de bois ».
Au moment où la jeunesse française commence à préférer les originaux anglo-saxons aux piètres copies françaises, il profite de sa soudaine notoriété pour s’offrir les bolides de ses rêves, flamber en fantasmant sur le destin de James Dean (vivre vite, mourir jeune) et prendre la tangente. Son étoile pâlit, de reprises en italien de ses récents succès en 45-tours vite oubliés. Dans J’ai entendu la mer, il revient sur les lieux du crime d’Aline : « Châteaux de sable sont écroulés/La plage est sale d’amours fanées ».
De nouveaux horizons
Son départ de Disc’AZ, le label de Lucien Morisse, directeur des programmes d’Europe 1, pour Disques Motors, l’enseigne fraîchement créée par Francis Dreyfus, va lui ouvrir de nouveaux horizons. D’abord avec la bande originale de La Route de Salina (1970), film de Georges Lautner, qui lui permet d’assouvir ses envies psychédéliques et néobaroques. Les 45-tours qu’il enregistre alors affichent des ambitions inédites. Ainsi des Jours où rien ne va (1973), étincelante face B avec harpe, cordes et cuivres panoramiques, qui préfigure son retour au premier plan. L’association avec Jean-Michel Jarre et le claviériste Dominique Perrier, concrétisée par le diptyque Les Paradis Perdus/Les Mots Bleus, l’impose comme maître français de la romance à l’italienne, néanmoins capable de basculer dans le rock lourd (Mama). Christophe triomphe à l’automne 1974 lors de deux soirées à l’Olympia parisien – immortalisées par son premier album live. Habillé par Cerruti, il s’accompagne sur un piano blanc à queue qui s’élève de la scène jusqu’à l’apothéose de Drôle de vie.
Il a réapparu tel qu’il sera désormais figé : cheveux longs, moustache gauloise, voix androgyne. Macho et féminin, dandy et beauf, sophistiqué et naïf, précieux et maladroit. Un incurable romantique trimballant son spleen dans des palais aussi condamnés que ses amours, que l’on range dans la catégorie des reclus qui se tiennent à l’écart des modes, Nino Ferrer, l’autre rital tourmenté de nos contrées, ou Gérard Manset.
Il cultive le « Beau bizarre », un concept baudelairien, baptisant ainsi, en 1978, l’album qui lui vaudra les faveurs de la critique rock
Appelé à une renommée planétaire, le parolier Jarre passe le relais à Boris Bergman, le futur complice d’Alain Bashung, pour Samouraï (1976), disque kamikaze, éloigné des structures conventionnelles de la chanson, qui n’empêche pas Christophe de revenir aux ballades doucereuses sur 45-tours (La Dolce Vita, Daisy). Il cultive le « Beau bizarre », un concept baudelairien, baptisant ainsi, en 1978, l’album qui lui vaudra les faveurs de la critique rock. Avec un nouveau parolier, Bob Decout, il donne le pouvoir à l’électricité, basse et guitares, riffs et soli pour se glisser dans un univers interlope peuplé de marlous, strip-teaseuses et « actrices pour films danois ». Aussi inquiétant que Le Grand Couteau, monument du disque. La chanson Le Beau bizarre met en scène son nouvel avatar : « Si j’ai ma veste noire/Ce n’est pas par hasard/C’est la couleur que je préfère/Le blanc, c’était hier. »
Reconverti bad boy (ou cattivo ragazzo), Christophe préfère dorénavant la compagnie des bars à flippers à la solitude des loggias. Il persiste en 1980 avec Pas vu pas pris, en collaborant avec son scandaleux beau-frère punk, Alain Kan. Avec trivialité, quand, dans Méchamment rock’n’roll, il s’imagine amant d’une « poupée série-noire au valseur alléchant ». Pour s’extraire de l’impasse, Clichés d’amour (1983) lui offre un rôle de crooner de jazz devant un orchestre de grand hôtel, pour des adaptations en français de standards signées Philippe Paringaux, journaliste du magazine Rock & Folk. Besame Mucho devient Dernier baiser et Cry me a River, Noir est ta couleur.
Entre kitsch et branché
Ces revirements aboutissent à une rechute qui a l’avantage de réveiller l’intérêt des programmateurs radio, au risque de menacer sa crédibilité artistique. Succès fou, titre prémonitoire de sa fortune commerciale, le renvoie, toujours en 1983, à la case départ en l’apparentant davantage à C. Jérôme qu’à son idole Alan Vega, le chanteur électrocuté de Suicide. Ce retour au slow d’antan, plombé par les vilaines orchestrations synthétiques des années 1980, est confirmé par les singles suivants, J’l’ai pas touchée, Ne raccroche pas (une adresse à une princesse Stéphanie qui s’apprête à faire souffler un ouragan), puis Chiqué chiqué (1988), prélude à huit années de silence. Son crédit ne s’améliore pas quand on apprend qu’il est l’auteur de la musique de Boule de flipper, de Corynne Charby.
Mais, dans la musique populaire, la frontière entre le kitsch et le branché est particulièrement poreuse. Nul ne l’aura mieux illustré que l’ancien minet du Drugstore quand il revient en 1996, désormais sous contrat avec Epic, une filiale de Sony. Bevilacqua, qui passera sous les radars, est un déroutant album d’ambiances électroniques, drum’n’bass et jungle, comprenant un hymne à Ferrari (Enzo) ou une partie de poker avec Alan Vega (Rencontre à l’as Vega). Auteur des textes, Christophe s’y affirme comme un songwriter complet. Admirateurs fidèles, le journal Libération et Alain Bashung, qui s’est approprié Les Mots bleus avec superbe en 1992, encensent un génie incompris. Ce sera bientôt la doxa s’agissant de Christophe.
Plus abordable, Comme si la Terre penchait (2001) offre au revenant une exposition médiatique qui met invariablement en valeur une personnalité excentrique et hors du temps, un fétichiste collectionneur de juke-box et de pin-up, donnant des recettes de cocktails et pestant contre le permis à points. Un perfectionniste dont les créations balancent entre fulgurances (La Man, Ces petits luxes, L’enfer commence avec L) et inachèvement. Après plus d’un demi-siècle d’absence des scènes, le revoilà à l’Olympia, juché sur un tabouret, avec une chorégraphie confiée à Marie-Pierre Pietragalla. Le Tout-Paris se presse devant sa loge.
Réalisé par le guitariste Christophe Van Huffel (du groupe Tanger), Aimer ce que nous sommes (2008) justifie pleinement les éloges autour d’un casting disparate mêlant Isabelle Adjani, le trompettiste Erik Truffaz ou Carmine Appice, le batteur américain des groupes Vanilla Fudge et Cactus. Mal Comme et Parle-lui de moi sont de fait des chansons inouïes, surgies d’on ne sait où. La scène, qu’il a si longtemps boudée, devient son jardin. Il donne des concerts-fleuves (dont un, événementiel, le 15 juillet 2009 au bassin de Neptune du château de Versailles) qu’il prolonge par un tour de chant solo, en saluant au passage un autre moustachu célèbre de la chanson, Georges Brassens (La Non-demande en mariage).
Un volume d’inédits des années Dreyfus, Paradis retrouvé (2013), avait précédé son ultime album de chansons originales, Les Vestiges du chaos (2016), synthèse de sa sinueuse trajectoire et de ses obsessions, entre nocturnes à la chandelle et embardées électro-rock. Entre un hommage à Lou Reed et un nouveau duo avec Alan Vega – qui devait mourir trois mois plus tard –, on y retrouvait Jean-Michel Jarre pour la chanson titre et Boris Bergman. Avec réticence, Christophe avait sacrifié en 2019 à la mode des duos (avec Camille, Etienne Daho, Eddy Mitchell, Pascal Obsipo ou Jeanne Added) pour Christophe, etc, deux volumes devenus prétextes à des jeux de collages autour des temps forts de son répertoire. En laissant à Philippe Katerine le soin de s’occuper d’Aline, il avait prouvé qu’il ne manquait ni d’humour ni d’esprit de sacrilège. Car, contrairement à d’autres, Christophe n’avait jamais renié son succès fou de jeunesse.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
|
La Renault Estafette est une fourgonnette construite par Renault d'octobre 1959 à 1980. Elle fut produite à 533 209 exemplaires. L'Estafette est la première traction lancée par la firme.
Certains détails de sa conception (porte arrière en trois parties, porte latérale coulissante) laissent penser qu'elle fut inspirée par le succès du Type H de Citroën qui régnait en maître absolu dans ce créneau.
Histoire
Les premiers modèles 500/600 kg sont équipés du « moteur Billancourt » à trois paliers de 845 cm3 de la Dauphine, développant 32 ch SAE avec des rapports de BV courts.
En mai 1962, l'Estafette adopte un nouveau « moteur Cléon-Fonte » 1 108 cm3 à cinq paliers (conçu par l'ingénieur René Vuaillat et apparu sur la Renault Floride S et sur la Renault 8) de 45 ch SAE. La plaque de police avant qui était sous la calandre passe sur le pare-chocs.
En avril 1965, le fourgon long 1 000 kg à toit surélevé (7,75 m3) est caractérisé par sa portière battante pour accéder à la cabine côté conducteur (elle est coulissante sur les autres versions).
En septembre 1968, l'Estafette est profondément remodelée : nouveau « moteur Cléon-Fonte » 1 289 cm3 d'origine Renault 12) légèrement moins puissant (43 ch SAE) mais délivrant un couple plus important, la différence étant tout de même beaucoup moins marquée qu'entre le 845 cm3 et le 1 108 cm3, nouveau tableau de bord, nouveaux pare-chocs renforcés gris intégrant les marchepieds à l'avant et porte-phares chromés.
Avec quelques légères modifications, nouveaux feux en décembre 1969, nouvelle calandre en tôle pour 1973), elle continuera jusqu'à son remplacement par le Trafic en 1980.
Proposée en plusieurs versions: tôlée, à plafond surélevé, rallongée, bâchée, elle est déclinée aussi en une variante spécifique, « l'Alouette », entièrement vitrée et disposant de huit places assises qui équipera aussi la Gendarmerie nationale française.
Renault en collaboration avec la Sabem (Société Anonyme Bois et Matériaux) plus connu sous le nom de Star et Autostar (Usine de Trémuson) équipera des plateaux-nu en version camping-car capucine (1978-1979) et en version Studio car (équipement amovible permettant de s'en servir comme utilitaire et en véhicule de loisirs).
Le sens de rotation du « moteur Billancourt » est anti-horaire (côté distribution), tandis que le « moteur Cléon-Fonte » tourne dans le sens horaire, pour obtenir le même sens de rotation aux roues, le différentiel de la boîte de vitesses est retourné sur les versions avec le « moteur Cléon-Fonte ».
Une version diesel à moteur Indenor fut étudiée, mais jamais produite en série.
La société spécialisée en transformation de véhicules de séries Sinpar a produit un modèle à quatre roues motrices baptisé Castor, utilisant une cabine d'Estafette, mais n'ayant, en dehors de l'emploi de cette partie, que peu de pièces communes.
Le constructeur roumain Dacia a produit sous licence une petite série de Renault Estafette, appelée Dacia D6. Ces voitures étaient réservées à la Poșta Română.
Aux États-Unis, elle devait être commercialisée sous le nom de Petit-Panel dans sa version tôlée et Hi-Boy dans sa version surélevée, mais les services d'homologation américains ne délivrèrent jamais l'autorisation de mise sur le marché.
Discographie
Le groupe de rock rémois Les Lionceaux a fait plusieurs tournées françaises avec son Estafette bleue à partir de 1965.
En 2006, le groupe Karlit et Kabok chante La Moustafette, allusion à l'Estafette.
On retrouve également l'Estafette dans le titre électro de Sexy Sushi, Estafette.
En 2008, sort Est-ce ta fête de Ricoune.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Coluche 1-faux est une émission de télévision animée par Coluche du 7 octobre 1985 au 6 février 1986.
Une carte blanche lui est offerte par Philippe Gildas et Pierre Lescure. Elle s'appelle "Un faux". Un quart d'heure, tous les soirs en direct sans décodeur. Coluche: "Je veux faire un journal sans cravate, même de l'intérieur. Si tu veux, ce sera un contrepoint aux journaux de 20 heures. Si ils ne sont pas contents de la concurrence et qu'ils veulent me voir, c'est facile: ils disent les titres jusqu'à 20h15, ils s'arrêtent, et ils recommencent à 20h30": Le Matin: 7 octobre 1985. Lescure: "L'esprit, ce sera un peu Le Café de l'Europe, cette émission du début des années soixante, sur Europe 1, qui réunissait des gens comme Maurice Biraud et Yvan Audouard. Ils commentaient l'actualité à leur manière. Imprévisible": Coluche de Franck Tenaille; pages 173-174, édition "Club des stars" (Seghers) du 29 janvier 1987.
Coluche ne devait pas reprendre l'émission à la rentrée 1986, l'équipe de Canal+ misant sur de jeunes comédiens animateurs dont le nom de scène va rapidement être Les Nuls, menés par Bruno Carette. Globalement, à l'époque, Coluche était jugé trop présent dans les médias par une grande partie du public : il animait déjà une émission sur Europe1 le matin, et ses 15 minutes au journal de Canal+ le soir n'étaient qu'un condensé de ses sketches du matin. Aussi, à partir de septembre 1986, Coluche souhaitait se consacrer à son spectacle, et reprendre sa carrière au cinéma.
Fiche
Année de diffusion : 1985 - 1986
Présentation : Coluche
Genre : Comique
Chaîne TV : Canal+
Autre
Coluche a également animé durant cette même période une émission 'Y'en aura pour tout le monde' de 1985 à 1986 et qui sera un tremplin pour la création de "Les Restos du cœur" (idée initialement suggérée par Daniel Balavoine).
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coluche_1_faux | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
Coluche (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Actualité française
1984 | janvier |
22/01/84 | manifestation à Bordeaux pour la défense de l'enseignement catholique. |
26/01/84 | loi Savary sur l'enseignement supérieur et l'enseignement secondaire, visant à fusionner public et privé. Violente opposition des écoles catholiques. |
1984 | février |
21/02/84 | grève des transporteurs routiers. |
1984 | mars |
04/03/84 | manifestation de plus de 500 000 personnes à Versailles pour la défense de l'enseignement privé. |
05/03/84 | assassinat de l'éditeur et producteur de cinéma Gérard Lebovici à Paris. |
08/03/84 | La journée internationale de la femme |
16/03/84 | le gouvernement fait connaître ses projets de réforme de l'enseignement privé. |
1984 | avril |
13/04/84 | manifestation à Paris des sidérurgistes, surtout lorrains. |
1984 | mai |
24/05/84 | l'Assemblée nationale adopte la réforme Savary sur l'enseignement privé. |
1984 | juin |
14/06/84 | Fernand Braudel est élu à l'académie française au fauteuil d’André Chamson. |
17/06/84 | les élections européennes marquent la percée du Front national (10 élus), et le recul historique du PCF (11,2 %). |
24/06/84 | manifestation énorme (1 million de participants) à Paris contre la réforme de l'enseignement privé. |
27/06/84 | inauguration du nouveau pont des Arts à Paris par Jacques Chirac. |
28/06/84 | mise en règlement judiciaire du groupe industriel Creusot-Loire. |
30/06/84 | le Parti des forces nouvelles s'autodissout, la plupart de ses responsables rejoint le Front national. |
1984 | juillet |
Juillet : la Cour européenne de justice décide que la vignette sur les tabacs est contraire au traité de Rome. | |
11/07/84 | le prix de l'essence augmente d'une nouvelle taxe de 22 centimes pour financer la Caisse nationale de l'énergie. Dès 1986, cette taxe sera intégrée dans la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP). Le ministère du redéploiement industriel assure que cette nouvelle taxe servira à financer les économies d'énergie et non pas le déficit du budget de l'État. Le nouvel impôt devrait rapporter, selon le ministère des finances environ 17 milliards de francs de recettes fiscales supplémentaires. |
13/07/84 | inauguration du musée de la Révolution française. |
14/07/84 | le Président Mitterrand demande au gouvernement de retirer son projet sur l’enseignement privé. |
16/07/84 | loi Avice. |
17/07/84 | démission de Alain Savary, ministre de l'éducation nationale, puis de tout le gouvernement Mauroy ; |
17/07/84 | loi sur la carte de séjour de 10 ans pour les étrangers. |
18/07/84 | le gouvernement du premier ministre Laurent Fabius ne comporte pas de ministres communistes. |
1984 | août |
01/08/84 | la taxe de base des communications téléphoniques augmente de 10 cts et passe à 75 cts. C'est la troisième hausse en seulement un an (+25 cts). Le sénateur Jean-François Poncet, se référant à l'article R.53 du code des PTT, déclare : Le gouvernement transforme la taxe du téléphone en un impôt alors qu'elle devait être la contrepartie d'un service. |
Hausse de 8 milliards de francs des tarifs publics des PTT | |
09/08/84 | François Dalle, dans son rapport sur l'industrie automobile commandé par Pierre Mauroy ,estime que l'industrie automobile est condamnée à perdre 50 000 emplois sur 240 000 d'ici cinq ans. |
15/08/84 | baisse du taux du livret A et du Codevi. |
1984 | septembre |
06/09/84 | le PCF quitte la majorité. |
1984 | octobre |
16/10/84 | décès de Grégory Villemin par assassinat. |
1984 | novembre |
04/11/84 | naissance de Canal+ et 1er Top 50. |
16/11/84 | le nombre de chômeurs dépasse 2,5 millions. |
1984 | décembre |
05/12/84 | tuerie de Hienghène en Nouvelle-Calédonie: 10 kanaks tués dans une embuscade, en représailles au meurtre de fermiers caldoches. |
20/12/84 | les députés communistes votent contre le budget. |
Les objectifs budgétaires fixés par le gouvernement ne sont pas atteints. | |
Aggravation du déficit à 3,4 % du PIB. | |
Légère hausse de la pression fiscale (prélèvements obligatoires à 45,5 % du PIB). | |
Les dépenses publiques représentent en poids 52,5 % de la richesse du pays. Record historique. | |
L'inflation reste élevée malgré les prévisions gouvernementales. |
Économie & société | |
Le ministre des Finances Pierre Bérégovoy (1984-1986 et 1988-1992) mène une politique de « désinflation compétitive ». | |
La législation sur les changes est assouplie. Par personne, 5 000 francs en devises sont autorisés, plus 2 000 francs par voyage. Les cartes de crédit sont à nouveau autorisées. | |
2,4 % du PIB est affecté à la défense. | |
Forte hausse du chômage (8,6 % de la population active). | |
Les administrations publiques prélèvent environ la moitié de la richesse produite annuellement par le pays. | |
7,2 % d'inflation. |
Naissances | Décès | Identité | Profession | N |
21 août 1984 | Alizée | chanteuse | fr | |
16 octobre 1984 | Mélissa Lauren | actrice et réalisatrice de films pornographiques | fr |
Retour à : Monde : France (Sommaire)
Retour à : Monde (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Retour à :
Direct sur la rubrique : Monde : France actualité
Mise à jour :
Les Renault 15 et 17 sont deux modèles d'automobiles Renault dérivées de la berline Renault 12 produits à partir de juillet 1971 jusqu'en 1979. Les Renault 15 et 17 furent à leur débuts assemblées à Sandouville (Seine-Maritime) aux côtés des R16, puis, à l'hiver 1973, elles furent transférées à l'usine Chausson (devenue MCA) de Maubeuge (Nord) car Sandouville avait plus donné la priorité aux Renault 20 et 30 pour préparer la succession de la R16. La Renault 15 fut désignée ain
Historique
Ces automobiles sont des tractions avant dotées d'un essieu arrière rigide, avec un moteur en porte-à-faux avant. Le double circuit de freinage est novateur.
Les 15 et 17 sont des voitures jumelles. Leur design, dû au styliste Gaston Juchet, est original. La calandre se caractérise par le pare-chocs qui entoure sa partie inférieure.
La 17 se distingue extérieurement de la 15 par ses quatre projecteurs ronds au lieu des deux optiques simples et par ses grilles de custode qui engendrent des vitres latérales arrière descendantes plus petites que sur la 15 où elles s'entrebâillent.
Quatre versions sont proposées : 15 TL, 15 TS, 17 TL et 17 TS. La 15 TL est la plus vendue.
Le moteur de la 15 TL est dérivé de celui de la 12 ; celui des 15 TS et 17 TL, de la 16 TS ; et celui de la 17 TS, de la 12 Gordini. Sur les 15 TL, TS et 17 TL, la puissance est légèrement augmentée par rapport à la 12, en revanche, elle est abaissée sur la 17 TS (R1313/R1323). Celle-ci est équipée, pour la première fois chez Renault, d'un moteur à injection électronique Bosch D Jetronic qui lui permet d'atteindre 185 km/h. Pour les modèles 1974, la 17 TS (R1317/R1327) reçoit un « moteur Cléon-Alu » de 1 605 cm3 sans changement de puissance et pour 1975, la 17 TS sera rebaptisée 17 Gordini sans modification mécanique.
La 17 en version découvrable est livrée avec un toit ouvrant en toile à commande électrique et hard-top.
En février 1976, les 15 et 17 sont modifiées : la planche de bord, la calandre, les boucliers, les feux arrière élargis (avec feu de brouillard) reliés par un bandeau rouge, le becquet arrière (sauf 15 TL) et les roues sans enjoliveur chromé sont nouveaux. Les sièges sont de type « pétales » (sauf 15 TL). La 15 TS est remplacée par la 15 GTL à moteur 1 289 cm3. La 17 TS (R1318/R1328) réapparaît avec le moteur de 1 647 cm3 développant 98 ch DIN (170 km/h) issu de la 16 TX. Pour 1978, la 17 Gordini est supprimée et la 17 TS continue uniquement en version découvrable.
Les 15 et 17 furent produites jusqu'en 1979 puis remplacées par la Fuego.
Versions en 1971
Coach 15 TL (plus de 150 km/h, pas de bossage de capot) : « Moteur Cléon-Fonte » 1 289 cm3, 7 CV fiscaux, 60 ch DIN, boîte de vitesses automatique en option pour 1974.
Coach 15 TS (170 km/h, compte-tours, lève-vitres électriques, enjoliveurs de roue de style) : « Moteur Cléon-Alu » 1 565 cm3, 9 CV, 90 ch DIN, boîte de vitesses automatique en option depuis mars 1972.
Coupé ou découvrable 17 TL (170 km/h, compte-tours, lève-vitres électriques, console centrale avec montre, enjoliveurs de roue de style) : 1 565 cm3, 9 CV, 90 ch DIN, boîte de vitesses automatique en option depuis mars 1972.
Coupé ou découvrable 17 TS (plus de 180 km/h, compte-tours, lève-vitres électriques, console centrale avec montre, vitres teintées avec pare-brise feuilleté, jantes larges de style Gordini) : 1 565 cm3, 9 CV, 108 ch DIN, boîte de vitesses à cinq rapports, quatre freins à disques.
|
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
|