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Le Pont de Remagen

Publié à 16:00 par dessinsagogo55 Tags : png center centerblog sur place papier musique maison mort histoire nuit film blogs merci
Le Pont de Remagen

Le Pont de Remagen (titre original : The Bridge at Remagen) est un film américain réalisé par John Guillermin, sorti en 1969.

 

Le film raconte de manière assez libre les évènements autour de la prise, par l'armée américaine le 7 mars 1945, du pont de Remagen. Début mars 1945, les armées alliées progressent rapidement sur la rive occidentale du Rhin. Les ponts sur le Rhin ont été détruits un à un par les Allemands, il ne reste plus que celui de Remagen.

Le général von Brock a reçu l'ordre de détruire le pont, mais il cherche à le maintenir ouvert le plus longtemps possible, afin de faciliter la retraite des 75 000 soldats allemands de la XVe armée piégée sur la rive ouest du fleuve. Il confie le commandement du pont au Major Paul Kruger (Robert Vaughn) qui partage ses vues.

Au départ, l'armée US cherche à piéger la XVe armée en l'empêchant de traverser, et en pensant que le pont sera détruit par les Allemands ou les bombardiers alliés. Ce n'est que plus tard et fortuitement qu'elle s'aperçoit qu'elle peut capturer le pont intact.

Le major Kruger prend le commandement du pont, aidé par le capitaine Baumann (Joachim Hansen) (chargé des explosifs) et le capitaine Schmidt (Hans Christian Blech) chargé de la défense du pont. Il constate que les troupes prévues sur le papier sont inexistantes et que les renforts de panzers promis ont été envoyés ailleurs. Il reçoit les explosifs et fait poser les charges, mais, comme ce sont des explosifs industriels peu fiables,il ordonne de doubler les charges.

Le lieutenant Hartman (George Segal) est un commandant expérimenté d'infanterie mécanisée. Sa compagnie prend la ville de Meckenheim non défendue, et a ordre de poursuivre jusqu'à rencontrer de la résistance. Son chef de bataillon, le Major Barnes (Bradford Dillman), veut plaire à ses supérieurs et fait du zèle.

La compagnie prend ensuite la ville de Remagen et trouve le pont intact. Le général Shinner (E. G. Marshall) ordonne la capture du pont au Major Barnes : « Nous risquons une centaine d'hommes, mais nous pouvons en sauver dix mille ». Il se produit un évènement dramatique quand le jeune apprenti du bourgmestre, fanatisé, tire sur les Américains alors que le bourgmestre avait fait mettre des drapeaux blancs aux fenêtres de sa maison, à l'instar de plusieurs autres bâtiments de la ville.

Incapables de contrer l'attaque, le Major Kruger donne l'ordre de faire sauter la rampe d'accès au pont dans des conditions dramatiques, car un dernier train allemand approche en même temps que les chars américains qui dominent la vallée du fleuve. Le train est détruit.

Le général américain ordonne de cesser de tirer sur le pont et de le prendre intact. Les troupes sont réticentes, car elles craignent que le pont saute à tout moment. Elles s'avancent sur le pont et sont décimées. Les Américains tirent des obus fumigènes pour masquer les troupes qui commencent à arracher les explosifs et les câbles.

Quand le Major Kruger ordonne de faire sauter le pont, rien ne se passe car des conduites ont été sectionnées. Il ordonne à des soldats d'amorcer le dispositif de secours. Le pont saute dans un grand nuage de fumée, mais quand celui-ci se dissipe, on voit que l'essentiel du pont est toujours en place, car les explosifs étaient trop faibles pour détruire complètement le pont.

Le Major Kruger réussit à rejoindre l'État-Major allemand, qui a été repris en main par les SS, pour demander des renforts et une contre-attaque. Mais le général von Brock a été arrêté, et Kruger est arrêté aussi. Accusé de lâcheté et d'avoir tardé à faire sauter le pont contrairement aux ordres, il est fusillé. Peu avant son exécution, alors qu'il observe des avions dans le ciel et demande à quel camp ils appartiennent, l'officier SS qui commande le peloton d'exécution répond : « L'ennemi approche, Herr Major ». « Mais qui sont nos ennemis ? » médite-t-il.

Dans la nuit, les chars américains franchissent le pont. Hartmann recueille la reddition de Baumann et de ce qui reste des quelques défenseurs du pont.

Le 17 mars 1945, dix jours après sa prise, affaibli par les explosions et le trafic incessant, le pont s'effondra dans le Rhin, entrainant la mort de plusieurs soldats Américains du génie qui travaillaient à sa consolidation.

Le film et le Printemps de Prague

Ce film a été tourné en extérieurs en Tchécoslovaquie en 1968 dans la petite ville de Davle le long de la rivière Vltava car l'Allemagne de l'Ouest a refusé le tournage sur le site de Remagen. À cette époque, appelée le Printemps de Prague, la Tchécoslovaquie était regardée par l'URSS comme devenant trop libérale et peu orthodoxe dans ses valeurs politiques. Moscou tira argument de la présence de matériel militaire américain datant de la Deuxième Guerre - chars M24 Chaffee, camions GMC et autres matériels d'époque - utilisées comme accessoires pour la réalisation du film - comme preuve de l'existence d'une aide militaire secrète d'unités américaines et ouest-allemandes pro-tchèque et anti-soviétique, entre autres excuses politiques pour justifier l'invasion de la Tchécoslovaquie par le Pacte de Varsovie que les autorités soviétiques préparaient contre Prague. Par conséquent, alors que le film était encore en cours de réalisation, l'URSS envahit le pays et des MIG survolèrent les sites de tournage tandis que les Russes prétendaient que des espions américains se trouvaient parmi les acteurs et l'équipe dut quitter le pays en taxi.

 

 

 

Fiche technique

Titre : Le Pont de Remagen

Titre original : The Bridge at Remagen

Réalisation : John Guillermin

Scénario : Roger O. Hirson (histoire), William Roberts, Richard Yates

Photographie : Stanley Cortez

Musique : Elmer Bernstein

Production : David L. Wolper

Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis

Format : Couleurs - cinémascope (2,35:1) - son mono - 35 mm

Genre : Film dramatique, Film d'action, Film de guerre

Durée : 115 minutes

Date de sortie :

13 août 1969 aux Drapeau des États-Unis États-Unis

Distribution

George Segal : Lieutenant Phil Hartman

 

Robert Vaughn : Major Paul Kruger

 

Ben Gazzara  : Sergent Angelo

Bradford Dillman : Major Barnes

E. G. Marshall : Général Shinner

Peter Van Eyck  : Général von Brock

Hans Christian Blech : Capitaine Karl Schmidt

Joachim Hansen : Capitaine Otto Baumann

Bo Hopkins : Caporal Grebs

Steve Sandor : Soldat Slavek

Günter Meisner : Général SS Gerlach

Robert Logan : Soldat Bissell

Matt Clark+ : Caporal Jellicoe

Heinz Reincke : Holzgang

Sonja Ziemann : Greta Holzgang

Anna Gaël : Une polonaise

Vít Olmer : Lieutenant Zimring

Frank Webb : Soldat Glover

Tom Heaton : Lieutenant Pattison

Paul Prokop : Capitaine John Colt

Richard Münch : Général von Sturmer

Rudolf Kalina : Caporal SS

Rudolf Jelínek Soldat Manfred

Fritz Ford : Colonel Dent

Pavel Solty : Rudi

Rolf Jahnke : Wilhelm

Zoanel Braunschlager : Lieutenant allemand

Karel Mares : Lieutenant allemand d'infanterie montée

Václav Neuzil : Sergent Becker

Jan Schánilec : Lieutenant Eckert

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Épiphanie

Épiphanie

 

 

L'Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre le Messie venu et incarné dans le monde et qui reçoit la visite et l'hommage de mages. Elle a lieu le 6 janvier. Depuis 1971, dans les pays où l'Épiphanie n'est pas un jour férié, elle peut se fêter le deuxième dimanche après Noël, c'est-à-dire le premier dimanche qui suit le 1er janvier. En France, c'est le cas depuis 1802, règle qui a été instaurée par un décret du cardinal Caprara, légat du pape Pie VII.

La fête s'appelle aussi - en particulier chez les orthodoxes - « Théophanie », qui signifie également la « manifestation de Dieu ».

Diverses coutumes sont observées à cette occasion. En France, en Suisse et en Belgique, depuis le Moyen Âge, une « galette des rois » ou un « gâteau des rois », pâtisseries contenant une fève, sont partagées ce jour-là ; celui ou celle qui trouve la fève dans sa part est surnommé « roi » ou « reine ».

 
Étymologie

 

 

Le substantif féminin Épiphanie (prononcé [epifani]) est un emprunt, par l'intermédiaire du latin chrétien Epiphania, au grec Ἐπιφάνεια (Epipháneia) qui signifie « manifestation » ou « apparition » du verbe φαίνω (phaínō), « se manifester, apparaître, être évident ». Il est le neutre substantivé de l'adjectif epiphanios, de epiphanês « illustre, éclatant », de épi- « sur » et phainein « briller ».

L'utilisation du terme est antérieure au christianisme. Les « Épiphanes » sont, dans la culture grecque, les douze divinités de l'Olympe apparues aux hommes, avec en premier lieu, Zeus, le dieu de la Justice céleste.

Historique

À l'origine, une fête de la Lumière

À l'origine, l'Épiphanie fait partie du cycle de Noël et tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière. En effet, Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle qui atteint son apogée au jour marquant le solstice d'hiver, le 22 décembre. Cette nuit du solstice — la plus longue de l'année — annonce le rallongement des jours et — par extension — la renaissance de la Lumière censée être à l'origine de toutes choses. Puis la célébration se prolonge après le 25 décembre durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours et 12 nuits.
Le nombre 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 dieux olympiens, 12 tribus d'Israël, 12 apôtres, etc.)
Le cycle prend fin le 6 janvier. C'est à ce moment que les jours commencent à s'allonger de façon sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est tenue, et c'est cette date que choisit le Père de l'Église Épiphane de Salamine, dans son Panarion, comme date de naissance de Jésus, afin de réfuter une date concurrente proposée par la secte gnostique des Alogoi. On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière. Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil. Il est à noter également que c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le calendrier alors en vigueur — le calendrier julien — diffère du nôtre) qu'avait lieu sous la Rome antique la fête des 12 Dieux épiphanes (autrement dit les 12 Olympiens).

La Fête romaine des Saturnales

 

La date de l'Épiphanie correspond aussi à l'origine à une fête païenne : sous l'Antiquité, les Romains fêtent les Saturnales qui durent sept jours pendant lesquels la hiérarchie sociale et la logique des choses peuvent être critiquées sinon brocardées et parodiées.

À cette occasion, par exemple :

les soldats tirent au sort, grâce à une fève, un condamné à mort qui devient « roi » le temps des réjouissances. Une fois les Saturnales achevées, la sentence est exécutée ;

parmi les jeunes soldats, un roi est élu et peut commander tout ce qui lui plait ;

peut être opéré un changement de rôle uniquement durant la fête des Saturnales entre le « maître » et l'« esclave » déterminé ou non par tirage au sort.

Une fête chrétienne

Jusqu'à la fin du ive siècle, l'Épiphanie est la grande et unique fête chrétienne « de la manifestation du Christ dans le monde » (manifestation exprimée, d'abord, par la venue des mages puis par différents épisodes : la Nativité, la voix du Père et la présence d'une colombe lors du baptême sur le Jourdain, le miracle de Cana, etc.). Des pères de l'Église comme Jean Chrysostome ont fixé des traditions pour commémorer le même jour trois événements lors de la fête de la théophanie : l'Adoration des mages, le Baptême dans le Jourdain situé trente ans plus tard et les Noces de Cana trente-et-un ans plus tard. Dès le Moyen Âge, la liturgie chrétienne a rassemblé ces trois événements mais la piété et l'art chrétiens ont privilégié l'Adoration des mages.

Depuis l'introduction d'une fête de la Nativité (Noël) le 25 décembre, la liturgie actuelle de l'Épiphanie met l'accent sur des sens spécifiques selon les confessions et les cultures.

Depuis le xixe siècle on l'appelle aussi le « jour des rois » en référence directe à la venue et à l'Adoration des rois mages.

Sens chrétien de l'Épiphanie

L'Épiphanie chrétienne célèbre, ainsi que le rapportent l'évangile et la tradition, la manifestation publique du fils de Dieu incarné, Jésus, au monde, non pas comme dans la mythologie grecque à partir d'une révélation extérieure à l'humanité et faite sous les apparences de l'humanité, mais sous la forme d'un enfant engendré, en un temps historique donné, au sein du peuple juif (dans la lignée de David). Le Messie, qui, après avoir rencontré les petits et les proches (les bergers), prend place et rencontre le monde dans toute sa diversité, telle qu'elle est symbolisée par des mages, que l'on dit être rois ou savants, dits traditionnellement de toutes origines et venus de pays lointains (bien que le texte évangélique ne donne qu'une indication vague de l'origine des mages, mais parle cela dit « d'Orient », ce qui indique l'Est par rapport à la Terre Sainte). Ainsi est réaffirmée la dimension universelle du message évangélique.

Dans l'Église latine

 
Cathédrale d'Autun

Cette fête célèbre la visite et l'adoration de l'Enfant Jésus par les « mages », relatée dans l'Évangile selon Matthieu. Bien que la Bible ne donne pas leur nombre et ne parle que de « savants venus d'Orient », la tradition a fait qu'ils sont habituellement appelés les trois Rois mages et sont nommés respectivement : Gaspard, Melchior et Balthazar, noms dont les initiales reprennent celles de la bénédiction : « Christus Mansionem Benedicat », « que le Christ bénisse la demeure ».

Elle est la quatrième des cinq grandes fêtes cardinales de l'année liturgique catholique.

Dans certains pays, la célébration liturgique de la fête est reportée à un dimanche, en vertu d'un indult papal. Il s'agit de permettre aux gens de célébrer la fête dans les cas où ils doivent travailler le 6 janvier si ce jour n'est pas férié. Ainsi, en France et en Belgique, cette fête est célébrée le deuxième dimanche après Noël. En Espagne, où la célébration de l'Épiphanie est particulièrement importante, le jour est férié.

Dans les Églises byzantines

La fête commémore le baptême du Christ dans le Jourdain, la descente du Fils de Dieu au milieu de sa création, la stupeur de cette création qui reconnaît son Créateur (le Jourdain retourne en arrière) et la manifestation de la divine Trinité (la voix du Père et la colombe rendent témoignage au Fils).

Dans certains pays de tradition byzantine, en particulier en Grèce, en Bulgarie, en Roumanie, en Serbie, en Ukraine et en Russie, une croix est lancée par l'évêque dans un fleuve ou dans la mer et les jeunes gens rivalisent, en cette saison froide, pour plonger et la rapporter. La fête s'y appelle généralement Théophanie et elle est préparée par un jeûne strict le 6 janvier et célébrée le 7.

À Jérusalem, au mont Athos, en Russie, en Serbie et en Géorgie, la fête est célébrée le 6 janvier selon le calendrier julien qui coïncide actuellement avec le 19 janvier du calendrier grégorien.

Dans l'Église arménienne

Dans l'Église arménienne, la fête est une des plus grandes fêtes de l'année car Noël n'est pas fêté le 25 décembre mais, selon l'usage chrétien ancien, le 6 janvier.

Cela correspond aussi aux anciennes traditions des premières églises chrétiennes (antérieures à la conversion de l’Empire romain) et même aux traditions familiales de l’époque, selon lesquelles un enfant ne devient le fils de son père que le jour de sa présentation à lui et la reconnaissance du fils par son père, et ce jour-là, on rend aussi grâce à la mère pour cet enfant reconnu par son père et qui se soumet à sa volonté.

Le baptême de Jésus dans le Jourdain correspond donc à cette présentation du Fils au Père, c’est aussi l’acte de la soumission de Jésus à la volonté divine et c’est aussi la date où le Père se révèle à lui. La nativité fêtée prend alors une signification plus théologique que dans l’Église catholique romaine, puisque c’est aussi traditionnellement la date par laquelle il reçoit du père la révélation de sa mission prophétique : ce qui est fêté est plus la naissance du « Christ sauveur » et la manifestation de Dieu (théophanie), que celle de l’enfant Jésus, même si cette célébration est directement liée à sa naissance. L'église arménienne procède à la bénédiction des eaux comme dans la tradition byzantine.

L'Épiphanie dans la tradition populaire

Tirer les rois

La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » : une fève et parfois une figurine sont cachées dans les pâtisseries (galette des rois, gâteau des rois) ; le convive qui découvre cette fève devient le roi de la journée.

Cette pratique trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique. Pendant ces fêtes païennes célébrées début janvier, les rôles étaient inversés entre les maîtres et les esclaves qui devenaient les « rois d'un jour».
Ce n'est que vers 1875 que les figurines en porcelaine remplacent les fèves. Les Romains pratiquent déjà l'usage d'une fève dissimulée dans un gâteau pour désigner le roi. Chez les Romains, la tradition conduisait le plus jeune enfant de la famille à se glisser sous la table pour désigner la part revenant à chaque convive.

En France

Depuis le xive siècle, on mange la galette des rois et le gâteau des rois à l'occasion de cette fête. La tradition veut que l'on partage la pâtisserie en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre », est destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis.

Usage actuel

La traditionnelle fève est accompagnée ou remplacée par un petit sujet caché à l'intérieur de la pâte de la pâtisserie. La personne ayant dans sa part la fève est symboliquement couronnée roi ou reine (de plus en plus, entre amis et/où surtout dans le contexte professionnel : le roi se doit d'offrir la prochaine pâtisserie; et lorsqu'il y a un sujet, celui qui l'a, se doit d'offrir la boisson (cidre, mousseux, muscat, ou champagne).

Lorsqu'il y a des enfants, l'un d'entre eux – en général le plus jeune – se place sous la table ; tandis que la personne qui fait le service choisit une part, l'enfant désigne le destinataire de cette portion.

Certaines familles s'arrangent pour que la fève ou la figurine revienne à un des plus jeunes enfants. Il est couronné roi ou reine et il choisit alors son roi ou sa reine (qui est souvent sa mère ou son père).

Fréquemment, les « rois » sont tirés plusieurs fois au cours de la période.

Dans le Sud de la France autour de la Méditerranée, l'usage est de préparer un grand pain au levain sucré et en forme de couronne, (nommée gâteau des rois, couronne des rois, corona dels reis, royaume reiaume), couronne bordelaise, corona bordalesapognecòca) et qui est parfois couverte de sucre . En plus du sucre, elle peut être garnie et/ou couverte de fruits confits.

Dans le Sud-Est, un santon (généralement santon-puce) accompagne généralement la fève.

Ce gâteau des rois est très présent dans le Sud-Ouest, même si le commerce propose de la galette, parfois moins chère (les fruits confits seraient coûteux) mais surtout de fabrication et conservation plus facile (voire de manipulation !), et elle tendrait à diminuer dans le Sud-Est.

À Paris, les boulangers-pâtissiers offrent tous les ans la galette de l'Élysée. Cette galette ne contient pas de fève de façon que le président de la République ne puisse pas être couronné. Cette tradition remonte à l'année 1975, date à laquelle fut offerte à Valéry Giscard d'Estaing une grande galette d'un mètre de diamètre.

En Moselle-Est, des garçons déguisés en rois mages allaient de maison en maison en chantant, tout en faisant tourner une étoile montée sur un bâton : « Es kummen drey Weissen vom Morgenland » (Trois mages sont venus de l'Orient). Ils obtenaient ensuite des friandises ou des piécettes.

Suivi de cette tradition

En 2014, un sondage réalisé en France révèle que 97 % des Français fêtent l'Épiphanie ; un autre sondage OpinionWay donne quant à lui 85 %. Ils mangent pour :

70 % une galette frangipane ;

11 % un gâteau des rois, principalement dans l'extrême Sud ;

8 % une galette des rois à la pomme.

9 % en consomment plus de cinq. 68 % trichent pour donner la fève aux plus jeunes.

Galette/gâteau des rois et laïcité

Alors qu'en 2014, la présence de crèches dans des lieux publics avait suscité une polémique en France, la galette ou le gâteau n'entraînent, quant à eux, guère de conflits.

Les racines historiques de ces pâtisseries ne sont originellement pas religieuses. Elles peuvent se rattacher, ou non, à la fête de l'épiphanie ; elles peuvent comporter, une ou plusieurs fèves, ou aucune. De même pour les couronnes. Il n'existe pas de décision de justice notable qui concerne la galette ou le gâteau des rois.

Marginalement, par exemple, lors de la préparation des cérémonies des galettes en 2013 à Brest, la mairie a décidé de retirer toutes les couronnes. Les services expliquent que « Cette année, sur la couronne était inscrit le mot « Épiphanie ». À nos yeux, c'était faire rentrer le religieux à l'école, ce qui est interdit par la loi »

Dans les autres pays : coutumes similaires

 
Épiphanie au Royaume-Uni, Isaac Cruikshank, 1794.

En Espagne, au Portugal (Bolo Rei) et dans les pays d'Amérique latine : le Día de los Reyes Magos y est souvent un jour férié et les enfants y reçoivent leurs cadeaux plutôt qu'à Noël.

En Belgique et aux Pays-Bas : on mange également une galette à la pâte d’amande. Le plus jeune se cache sous la table pour désigner les parts et le roi du jour choisit sa reine. Pendant la journée les enfants parcourent les rues en chantant la chanson de l’étoile et font du porte à porte pour recevoir des mandarines et des bonbons. Cette coutume tend à disparaître en Belgique. Dans les campagnes flamandes cela se fait encore. Notons au passage qu’en Wallonie, c’est à ce moment qu’on commence la préparation du Carnaval.

Dans le Sud des États-Unis la tradition de tirer les Rois existe sous le nom de king cake. Ceux-ci sont mangés pendant toute la période qui va de l'Épiphanie jusqu'au carnaval de mardi gras, le 6 janvier.

En Grèce et à Chypre, il n'y a pas de galette « des rois » à proprement parler. La Vassilopita est aujourd'hui une galette en l'honneur de saint Basile de Césarée. Cette galette est préparée la veille du nouvel an et ce n'est qu'au 1er janvier, jour anniversaire de la mort du saint qu'elle est coupée. On y dispose traditionnellement une pièce en or, mimant ainsi une disposition que fit adopter le saint pour répartir de manière égale la rançon non utilisée pour stopper le siège de Césarée. Toutefois, l'origine de la tradition byzantine remonte très certainement aux Kronia de la Grèce antique et aux Saturnales de Rome, comme l'a démontré l'anthropologue Margarett Hasluck.

Fêtes locales

 
 
Danse traditionnelle des hommes en Bulgarie réalisée pour l'Épiphanie, dans l'eau glacée.

Selon les pays, des festivités particulières issues de traditions locales, sont organisées. Ainsi, en Bulgarie, les hommes exécutent une danse traditionnelle, le horo, dans l'eau glacée.

Dans les Flandres, existe la tradition De Drie Keuningen commençant à Noël et finissant à l'Épiphanie.

Au Danemark et dans d'autres pays chrétiens on pratique la bénédiction de la craie.

Au Bénin, à Porto-Novo, l'Épiphanie est fêtée le premier dimanche de l'année (depuis 1923) sous la forme d'une pièce de théâtre représentée dans toutes les paroisses de la ville, puis d'un grand défilé carnavalesque qui rassemble des milliers de personnes. Cette célébration est issue de la collaboration d'un missionnaire, Francis Aupiais, et d'un haut dignitaire du Vaudou, Zounon Medje, qui ont écrit la pièce ensemble au début des années 1920. C'est un exemple exceptionnel de créolisation africaine du catholicisme.

Prénoms fêtés

C'est le jour de l'Épiphanie que l'on fête les Tiphaine (en français), Tifenn (en breton), Tiffany (en anglais) ou Théophano, Théano (en grec). Ce prénom correspond en effet au mot Théophanie, ou manifestation de Dieu, autre nom de la fête. On fête les Jordan et les Jordane. On fête aussi les Noël ... s'ils sont Arméniens.

Durant les quatre premiers siècles de l'histoire chrétienne, l'Église avait l'habitude de fêter le 6 janvier toutes les manifestations de Dieu sur la terre : la Nativité (Noël), l'Adoration des mages, le baptême du Christ et les noces de Cana. Le changement de l'eau en vin et la multiplication des pains (ou Phagiphanie) étaient ainsi commémorés par une même fête avec la Nativité.

Les fêtes ont ensuite été dissociées : pour le 6 janvier, les Latins ont retenu l'Adoration des mages et les Grecs le Baptême du Christ. Les Éthiopiens et les Arméniens ont conservé une fête unique pour la célébration de Noël, le 6 janvier pour les Arméniens et le 6 ou le 7 janvier pour les Éthiopiens en fonction du calendrier.

La Légende de Zorro

Publié à 12:45 par dessinsagogo55 Tags : png center centerblog sur gif france place monde musique femme film merci
La Légende de Zorro

 

La Légende de Zorro (The Legend of Zorro) est un film américain réalisé par Martin Campbell et sorti en 2005.

 

Il s'agit de la suite du film Le Masque de Zorro de Martin Campbell sorti en 1998.

 

Malgré la promesse faite dix ans auparavant à sa femme Elena, Alejandro doit à nouveau enfiler la tenue de Zorro pour combattre un complot des Chevaliers d'Aragon visant à empêcher la Californie d'intégrer les États-Unis en tant qu'État de l'Union.

 

 

Fiche technique

 

Titre original : The Legend of Zorro

Titre français : La Légende de Zorro

Réalisation : Martin Campbell

Scénario : Alex Kurtzman et Roberto Orci

Musique : James Horner

Production : Gary Barber, Roger Birnbaum, John Gertz, Amy Lescoe, Laurie MacDonald, Walter F. Parkes, Lloyd Phillips et Steven Spielberg

Sociétés de production : Columbia Pictures, Spyglass Entertainment et Amblin Entertainment

Budget : 75 000 000 $

Pays d'origine : États-Unis

Langue : anglais et espagnol

Format : couleur

Genre : Aventure

Durée : 129 minutes

Dates de sortie :

Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni : 24 octobre 2005

Drapeau de la France France et Drapeau de la Belgique Belgique : 26 octobre 2005

Drapeau des États-Unis États-Unis et Drapeau du Canada Canada : 28 octobre 2005

 

 

Distribution

 

Antonio Banderas : Don Alejandro de la Vega / Zorro

Catherine Zeta-Jones : Elena de la Vega

Rufus Sewell : Armand

Adrian Alonso : Joaquin de la Vega

Alberto Reyes : Frère Ignacio

Julio Oscar Mechoso  : Frey Felipe

Gustavo Sánchez Parra  : Guillermo Cortez

Nick Chinlund  : Jacob McGivens

Giovanna Zacarias  : Blanca Cortez

Carlos Cobos : Tabulateur

Michael Emerson  : Harrigan

Shuler Hensley : Pike

Pedro Armendariz Jr. : Gouverneur Riley

Mary Crosby : Femme du gouverneur

Mauricio Bonet : Don Verdugo

Fernando Becerril : Don Diaz

Xavier Marc : Don Robau

Pepe Olivares : Phineas Gendler

Alexa Benedetti : Lupe

Tony Amendola  : Père Quintero

Brandon Wood : Ricardo

Alejandro Galan : Policier

Leo Burmester : Colonel Beauregard

Tina French : Paysanne

Rayo Rojas : Joueur de polo

Raúl Mendez : Ferrog

Mar Carrera : Marie

Pedro Altamirano : Propriétaire du saloon

Silverio Palacios : Gardien-chef de la prison

Alfredo Ramírez : Garde

Juan Manuel Vilchis : Garde

Antonio Gallegos : Gardien de prison

Philip Meheux : Lord Dillengham

Matthew Stirling : Stoker

Pedro Mira : Abraham Lincoln

 

Bande originale

 

La musique originale du film a été composée par James Horner.

Collecting The Ballots

Stolen Votes

The Governor'S… And Then Elena

This Is Who I Am

Classroom Justice

The Cortez Ranch

A Proposal With Pearls/Perilous Times

Joaquin'S Capture And Zorro'S Rescue

Jailbreak/Reunited

A Dinner Of Pigeon/Setting The Explosives

Mad Dash/Zorro Unmasked

Just Done Drop Of Nitro

The Train

Statehood Proclaimed

My Familly Is My Life

 

Critiques

Sur le site Rotten Tomatoes, le film détient une note de 26 % avec son consensus indiquant, "La Légende de Zorro peut survivre à beaucoup de choses, mais il semble qu'il ne puisse pas survivre au mariage". Il a obtenu une note de 47100 sur Metacritic.

Box-office

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
46 464 023 $ 2 janvier 2006 8
Drapeau de la France France 2 174 876 entrées - 9
Monde Total Monde 142 400 065 $ - -

 

 

Autour du film

 

Ce film est la suite du Masque de Zorro sorti en 1998.

En prison, l'un des agents, en montrant un masque, dit à Zorro en prison que sa place est dans un musée. Et la vôtre aussi ! » Un clin d’œil à Indiana Jones et la Dernière Croisade de Steven Spielberg, producteur exécutif du film.

 



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Da Vinci Code (film)

Da Vinci Code (film)

 

Da Vinci Code ou Le Code Da Vinci au Québec (The Da Vinci Code) est un film policier américain réalisé par Ron Howard, adapté du roman éponyme de l'Américain Dan Brown et compose le premier volet de la trilogie cinématographique de Robert Langdon, mais est en fait le second volet de la pentalogie littéraire, après Anges et Démons.

Le film est sorti le mercredi 17 mai 2006 en France et a fait le jour même l'ouverture du festival de Cannes. La sortie mondiale a eu lieu le 19 mai 2006. Il a connu des critiques mitigées.

Une nuit, le professeur Robert Langdon, éminent spécialiste de l'étude des symboles, est appelé d'urgence en France, au musée du Louvre : le conservateur du musée a été assassiné, mais, avant de mourir, il a laissé derrière lui de mystérieux symboles. Avec l'aide de la cryptologue Sophie Neveu, Langdon va mener l'enquête et découvrir des signes dissimulés dans les œuvres de Léonard de Vinci. Tous les indices convergent vers une organisation religieuse aussi mystérieuse que puissante, prête à tout pour protéger un secret capable d'anéantir un dogme bimillénaire.

De Paris à Londres, puis en Écosse, Robert et Sophie vont tout tenter pour déchiffrer le code et approcher les secrets qui remettent en cause les fondements mêmes du christianisme.

 

 

Fiche technique

 

Titre original : The Da Vinci Code

Titre français : Da Vinci Code

Titre québécois : Le Code Da Vinci

Réalisation : Ron Howard

Scénario : Akiva Goldsman, d'après l'œuvre de Dan Brown

Production : John Calley, Brian Grazer et Ron Howard

Musique originale : Hans Zimmer

Photographie : Salvatore Totino

Montage : Daniel P. Hanley et Mike Hill

Décors : Allan Cameron

Costumes : Daniel Orlandi

Directeur artistique : Giles Masters et Tony Reading

Sociétés de production : Columbia Pictures, Imagine Entertainment
Skylark Productions

Distribution :  Columbia Pictures/Sony Pictures Entertainment,  Gaumont/Columbia TriStar Films

Budget : 125 millions $

Pays :  États-Unis

Langues originales : anglais, français, latin

Durée : 149 minutes (version cinéma), 174 minutes (version longue)

Dates de sortie :

 Belgique : 17 mai 2006

 France : 17 mai 2006

 États-Unis : 19 mai 2006

 

Distribution

 

 Tom HanksPr Robert Langdon

 

Audrey Tautou : Agent Sophie Neveu

 

 Jean Reno : Commissaire Bézu Fache

 

Ian McKellen : Sir Leigh Teabing

Paul Bettany  : Silas

Alfred Molina  : Mgr Manuel Aringarosa

Jürgen Prochnow : Andre Vernet

Jean-Yves Berteloot  : Remy Legaludec

Étienne Chicot  : lieutenant Collet

Jean-Pierre Marielle : Jacques Saunière

Marie-Françoise Audollent  : Sœur Sandrine

Seth Gabel  : Michael

Denis Podalydès  : contrôleur aérien

Xavier de Guillebon : Junkie

Agathe Natanson : prêtre rituel

Tonio Descanvelle : garde de la banque

Hugh Mitchell : Silas, jeune

Garance Mazureck : Sophie Neveu, à 10 ans

Avec ce film, c'est la troisième fois que le réalisateur Ron Howard et l'acteur Tom Hanks travaillent ensemble, ils avaient déjà collaboré sur les films Splash en 1984 et sur Apollo 13 en 1995. Par ailleurs, Russell Crowe, qui avait lui aussi collaboré plusieurs fois avec le réalisateur, était un temps pressenti pour avoir le rôle de Robert Langdon. Concernant le rôle Sophie Neveu, les actrices Judith Godrèche, Virginie Ledoyen ou encore Sophie Marceau ont également été envisagées. On peut aussi apercevoir Dan Brown au début du film, dans la scène où Langdon signe des autographes

Production

Les droits du livre ont été achetés à 6 millions de dollars par Sony Pictures pour en faire l'adaptation. Dan Brown avait précédemment refusé une offre de Joel Surnow, qui voulait utiliser la trame du roman pour en faire une saison, probablement la troisième, de la série 24 heures chrono. On remarqua par coïncidence que le photographe de Dan Brown est un certain J. Bauer, la tonalité étant proche de Jack Bauer, le héros de 24 heures chronos

 

Équipe

 
Rosslyn Chapel

C'est le producteur Brian Grazer qui a été choisi par Sony pour la production de ce film.

Le scénario du film est écrit pour le grand écran par Akiva Goldsman, célèbre auteur de films à succès comme I, Robot ou Un homme d'exception, pour lequel il a déjà travaillé avec Ron Howard.

La musique est composée par Hans Zimmer, qui venait d'achever les compositions de Batman Begins et de Pirates des Caraïbes : Le Secret du coffre maudit. Au départ, Ron Howard avait désigné son collaborateur de longue date, James Horner, mais comme il travaillait sur Le Nouveau Monde de Terrence Malick, il ne pouvait entreprendre la musique d'une autre œuvre.

 

Lieux de tournage

 
Musée du Louvre

Le ministère français de la Culture a accepté que le tournage se déroule de nuit à l'intérieur du Louvre, où les prises de vues ont commencé le 30 juin 2005 pour s'achever le 19 octobre 2005 en Angleterre. Le dernier tournage à avoir eu lieu au Louvre remontait à 2002, pour le film Innocents: The Dreamers (The Dreamers) de Bernardo Bertolucci, essentiellement pour refaire la célèbre course dans les couloirs du musée de Bande à part, de Jean-Luc Godard. Par ailleurs, l'autorisation de filmer à l'intérieur de l'église parisienne Saint-Sulpice n'a pas été demandée : l'intérieur de l'église et celui de la chambre d'hôtel ont été reconstitués et tournés en studio à Londres.

Les scènes censées se passer au Château de Villette ont été tournées à Burghley House dans le Lincolnshire, l'Abbaye de Westminster est en fait la cathédrale de Lincoln, les vues de Castel Gandolfo sont en fait prises au château de Belvoir (en) (Leicestershire).

Une grande partie des scènes d'intérieurs ont été tournées dans les studios de Pinewood.

 

Réception

La polémique religieuse

Début mai 2006, à l'approche de la sortie du film en France, des associations catholiques commencent une campagne contre le film, notamment en collant des placards sur les affiches dans les rues.

Bien que des responsables religieux condamnent le film, les Églises condamnent tout boycottage et toute action contre ce film :

« Le rôle de l'Église dans cette affaire est de donner des éléments de compréhension et d'analyse. Nous désapprouvons toute action violente qui viserait à empêcher des projections ou des gens de s'y rendre. Ce n'est qu'un film, il y a des choses plus graves qui se passent dans le monde. »

— Jean-Michel di Falco, Président du Conseil pour la communication de la Conférence des Évêques de France

Plus étonnant, en Azerbaïdjan, des responsables politiques musulmans se sont prononcés contre ce film. De même, en Thaïlande, pays à majorité bouddhiste, la Commission nationale de censure a recommandé de supprimer les dix minutes qui sont importantes pour la compréhension du film. Sony Pictures a contesté cette décision. Finalement, un compromis a été trouvé à l'issue des négociations. Aucune partie du film n'a été censurée mais une indication, suivant laquelle le film était construit à partir de faits purement fictifs, est affichée de manière bien visible avant le générique du début du film.

Aux Samoa, pays à très forte tradition chrétienne, la diffusion du film fut interdite par le Comité de Censure, à la requête du Conseil des Églises samoan. Le même Comité allait censurer la diffusion du film Harvey Milk trois ans plus tard, le déclarant « contraire aux croyances chrétiennes. »

L'Opus Dei a longtemps demandé avant la sortie du film que son nom ne soit pas cité dans le film par crainte pour son image. La production a minimisé les amalgames en diffusant un bandeau au début du film indiquant : « Toute similitude avec des faits réels ne serait que pure coïncidence ».

Festival de Cannes

Le film a fait l'ouverture du 59e Festival de Cannes le 17 mai 2006 en étant présenté hors-compétition. Les principaux acteurs étaient présents pour cette première, avec Tom Hanks, Audrey Tautou, Jean Reno, Paul Bettany, Ian McKellen et Alfred Molina de même que l'auteur du livre Dan Brown1. Lors de la première, le film ne génère pas vraiment d'engouement chez les critiques qui estiment le plus souvent qu'il s'agit d'une bonne adaptation mais sans être un chef-d'œuvre. Bien que lors de la projection de presse, on pointa un accueil frais, voir ricanant

Box-office

Lors de sa sortie, le public abonda dans les salles de cinéma du monde entier, générant plus de 217 millions de dollars seulement aux États-Unis pour un budget de 125 millions de dollars. Diffusé dans quelque 90 pays, il totalise 540 millions de dollars dans le reste de la planète, donnant un total de 757 millions de dollars, un des plus gros succès dans l'industrie du cinéma. En France, ce sont 4 189 465 spectateurs qui sont allés voir le film.

Dans la culture populaire

Le succès du film comme de l'ouvrage a eu un certain impact dans la culture populaire, trois Français sur dix sont convaincus que les faits exposés sont réels, le tout dans un contexte d'attirance du public pour les questions ésotériques.

Le film a été parodié dans l'épisode Le Fantastique Mystère de Pâques, de la série américaine South Park, dans l'épisode Maggie s'éclipse, de la série américaine Les Simpson, dans le film Big Movie ainsi que dans un épisode de la série American Dad.

Analyse

Différences entre le livre et le film

 

À la banque zurichoise, Robert et Sophie se trompent une première fois de code en inscrivant la séquence de Fibonacci dans le désordre (telle qu'elle a été donnée par Jacques Saunière avant sa mort). Dans le film, la séquence est entrée correctement du premier coup.

Dans le livre, le Cryptex est plus complexe qu'il n'y parait. Il est assemblé comme des poupées russes. En effet ce dernier s'ouvre avec le mot "sofia" et montre qu'il en cachait un autre plus petit. Dans le film, le Cryptex s'ouvre après une seule énigme.

Dans le livre, pour comprendre où se trouve la vraie tombe de Isaac Newton, Robert Langdon et Sophie Neveu se rendent dans une bibliothèque publique. Dans le film, nos deux héros trouvent la solution grâce à un portable connecté à internet.

L'histoire se termine dans la Chapelle Rosslyn. Dans le livre, les deux héros trouvent de nombreux documents sur le Saint-Graal conservés par les membres du Prieuré. Sophie découvre alors qu'elle a un frère et qu'ils forment à eux-deux les descendants de Jésus Christ et de Marie-Madeleine. Dans le film, Sophie est la seule survivante de la lignée.

 

 

 
 
   
   
   
   

 

   
 
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Un taxi pour Tobrouk

Un taxi pour Tobrouk

 

 

Un taxi pour Tobrouk est un film français réalisé par Denys de La Patellière, sorti en 1961.

Le film commence par une présentation de la nuit du réveillon de Noël 1941 et comment les divers personnages du film la fêtent :

le capitaine Ludwig von Stegel quitte sa famille dans son château de Poméranie ;

le brigadier Théo Dumas est accueilli par une famille anglaise à Londres tout en pensant à son bistrot du faubourg Montmartre ;

François Jonsac quitte sa grand-mère à Ablis pour rejoindre Londres après « s'être toujours ennuyé » ;

Samuel Goldmann quitte la France à bord d'un bateau pour éviter les persécutions antisémites ;

Paolo Ramirez, condamné à mort, prépare son évasion de prison.

 

Un taxi pour Tobrouk

 

Le film se poursuit en octobre 1942 à Tobrouk dans la Libye occupée par les Allemands. On retrouve un commando du LRDG des FFL qui vient de perpétrer une attaque contre une position allemande. Le lieutenant qui les commandait a été tué : les quatre hommes restants se retrouvent livrés à eux-mêmes.

 

À bord de leur véhicule, le commando se dégage de Tobrouk en direction d’El-Alamein, mais se perd dans le désert. Il est survolé par un avion allemand et décide de masquer sa nationalité, sachant que les Allemands ont capturé beaucoup de véhicules anglais. L'appareil, pourtant allemand, n'attaque pas le véhicule et ses occupants. C'est alors que Ramirez tire sur l'avion à la mitrailleuse. Il le touche, mais l'avion a le temps d'incendier le véhicule. Le commando essaie de sauver « la radio, la flotte », mais en vain.

 

Dès lors, c'est la fin. Sans vivres, ni eau, ni radio. Le commando se sépare : les durs (Dumas et Ramirez) décidés à marcher pour tout tenter ; les intellectuels (Jonsac et Goldmann) décidés à attendre la mort sur place. Finalement, ils partent tous les quatre sans but précis à la recherche de ce qui pourrait les sauver.

 

Après une longue marche, ils découvrent les traces d'un véhicule. Ils les suivent et surprennent une patrouille allemande. Bien embusqués, ils abattent les quatre soldats allemands, se dirigent vers la voiture. C'est alors qu'ils découvrent un officier allemand (von Stegel) qui a échappé au massacre. Après avoir enterré les soldats allemands, ils partent pour rallier les lignes anglaises avec leur prisonnier.

 

Le capitaine von Stegel prévient le commando qu'ils se dirigent vers une zone de sables mouvants,; ceux-ci ne l'écoutent pas et s'ensablent. À court d'essence, ils se rapprochent des lignes allemandes. Réussissant à s'intégrer à un convoi ennemi pour se ravitailler et ayant au préalable assommé von Stegel, ils échappent à la menace d'un prisonnier français qui, reconnaissant Goldmann, crie instinctivement son nom.

 

Les Français quittent la colonne allemande et poursuivent leur route. Lors d'un nouvel ensablement, le capitaine von Stegel s'empare du véhicule, fait prisonniers les quatre Français et retourne vers Tobrouk. À présent au volant, le brigadier ensable volontairement le véhicule et les quatre Français refusent de le dégager. Il s'ensuit une très longue période d'observation. Le capitaine seul contre quatre finit par s'endormir et les quatre Français reprennent le contrôle de la situation.

 

Par hasard, ils se retrouvent à devoir traverser un champ de mines et de barbelés en plein désert. Une fois engagés, ils hésitent à poursuivre et reculent sur leurs traces. Descendus tous deux du véhicule, l'Allemand évite alors à Dumas de sauter lui aussi sur une mine, puis Jonsac, descendu à son tour pour aider Dumas, est victime de l'explosion de l'un de ces engins, se trouvant de la sorte grièvement blessé.

 

À proximité d'El Alamein, ils s'arrêtent pour faire une piqûre à François. Le brigadier en arrive à ne plus vouloir remettre l'officier allemand aux autorités et réfléchit un peu à l'écart du groupe aux moyens de le laisser s'enfuir. Pendant ce temps, non loin, un blindé allié repère le véhicule allemand, qu'il détruit par un coup au but, tuant les quatre rescapés. Dumas est seul survivant.

 

Le film se termine avec le défilé de la victoire, où le brigadier Dumas, ému au souvenir de l'équipée, se fait vertement reprendre par un spectateur pour avoir gardé sa casquette au passage des troupes. « Excusez-moi, je pensais à autre chose », répond-il.

 

 

 

 

Fiche technique

Titre : Un taxi pour Tobrouk

Réalisation : Denys de La Patellière

Scénario : Denys de La Patellière et René Havard, adapté du roman de ce dernier

Dialogues : Michel Audiard

Assistant réalisateur: Pierre Granier-Deferre

Photographie : Marcel Grignon

Décors : Paul-Louis Boutié

Montage : Jacqueline Thiédot

Musique : Georges Garvarentz et Charles Aznavour (pour « La Marche des Anges » sur la mélodie de Les Anges dans nos campagnes)

Affichiste : Clément Hurel

Société de production : Gaumont

Pays d'origine : France, Grande-Bretagne, Allemagne, Espagne

Langue : français, anglais, allemand

Format : noir et blanc procédé Dialyscope - Format 35 mm - 2,35:1 - mono

Genre : drame

Durée : 95 minutes

Lieu de tournage : désert de Tabernas, Province d'Almería (Andalousie, Espagne)

Date de sortie :

Drapeau de la France France : 10 mai 1961

 

Distribution

Lino Ventura: brigadier Théo Dumas

Charles Aznavour: Samuel Goldmann

Hardy Krüger : capitaine Ludwig von Stegel

Maurice Biraud : François Jonsac

Germán Cobos : Paolo Ramirez

Roland Ménard : le narrateur

 

Autour du film

Commentaires

Dialogué par Michel Audiard, ce film montre l'absurdité des situations qui se créent pendant une guerre dès que les soldats discutent, et que la guerre ne règle évidemment pas. Pour certains critiques, l'antimilitarisme est le fil conducteur du film.

Les échanges entre l'officier et les hommes du rang, entre l'Allemand et les Français, se teintent finalement d'une camaraderie sincère. Cette dernière est facilitée par leur commune étoffe de soldats et par un destin commun. Elle les place à égalité face aux risques de la guerre, comme le montre le dénouement de l'histoire.

Lino Ventura et Charles Aznavour sont entourés de trois seconds rôles aussi bons acteurs. Savoir qui va finalement l'emporter, de l'Allemand ou des Français, reste délicieux à voir : ce huis clos en plein désert sera vraiment une révélation pour ces hommes.

L'œuvre, qualifiée d'antimilitariste, est en partie inspirée par une histoire vraie : celle vécue par deux soldats allemands et danois, ennemis s’associant pour survivre en 1943 au cœur du Groenland où ils s’étaient égarés

 

Sources d'inspiration

Le film est une adaptation du roman éponyme de René Havard, qui s'est sans doute inspiré de plusieurs éléments réels de la guerre du désert :

Après une mission réussie contre le fort italien de Mourzouk, des patrouilles du Long Range Desert Group sont prises en embuscade. Quatre soldats britanniques, leur véhicule ayant été détruit, décident de rejoindre une base française située au sud de leur position, à plus de 320 km. Ils passent dix journées à pieds dans le désert

D'après Pierre Bellemare, Un taxi pour Tobrouk serait la version fortement modifiée d'une histoire réelle de deux soldats danois et allemand s'étant perdus lors d'une poursuite au Groenland en 1943 puis ayant fait le chemin de retour, à demi-morts, ensemble

Les actions des parachutistes des forces françaises libres incorporés dans le Special Air Service britannique (Bataillons d'Infanterie de l'Air) qui furent chargés d'effectuer des sabotages sur les arrières de l'Afrika Korps, commandé par le général Rommel jusqu'en août 1942 (le film se déroule en octobre 1942), durant la dernière phase de la guerre du désert en 1942-1943. Ils neutralisèrent notamment des bases aériennes allemandes en détruisant des avions au sol ; ces raids de commandos se faisaient en parcourant des centaines de kilomètres en jeeps à travers le désert.

Théo Dumas, le personnage joué par Lino Ventura informe ses trois compagnons que le vœu du lieutenant qui vient d'être tué au combat était d'aller à Ploërmel, Morbihan, il ajoute : « On n'y est pas encore ! » Un hommage probable au parachutage, en juin 1944, d'un bataillon de SAS français sur le maquis de Saint-Marcel près de Ploërmel, dans le cadre du débarquement en Normandie

Tournage

Le film n'a pas pu être tourné en Afrique du Nord en raison du refus des compagnies d'assurance face à l'instabilité qui régnait avant l'indépendance algérienne. Il a donc été réalisé dans une région désertique du sud-est de l'Espagne près d'Almeria.

Dans l'impossibilité de disposer de matériel militaire, les camions allemands ont été reconstitués à partir de transporteurs de légumes. Quant aux chars, il s'agit de tracteurs recouverts de décors en placoplâtre.

Remarque

Le personnage de Lino Ventura est appelé par le grade de « brigadier » alors qu'en tant que fusilier marin il devrait être normalement appelé « quartier-maître ». Cette confusion pourrait provenir du fait que ses trois autres camarades viennent de l'Armée de terre, notamment Jonsac, issu des Hussards, qui utilisent cette appellation de grade comme le font les soldats des armes dites « à cheval ».

Lors d'une séquence, Jonsac, le personnage joué par Maurice Biraud, parle à Goldmann, celui joué par Charles Aznavour, de la rue Monsieur-le-Prince à Paris, faisant ainsi référence à la rue où le chanteur français a vu le jour le 22 mai 1924.

Distinction

Le film a été vu par 4 946 000 spectateurs, et a reçu le Grand prix du cinéma français 1961.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_taxi_pour_Tobrouk

 
  https://youtu.be/i5I2m5NiIE4  
     
     
     
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Actualité française : 1921

Publié à 18:38 par dessinsagogo55 Tags : création mort femmes centerblog 2010
Actualité française : 1921

Actualité française

 

 

  août
  création de la Compagnie des Machines Bull (mécanographie).

 

  novembre
07/11/21 ouverture du procès de Henri Désiré Landru, tueur en série.

 

  décembre
01/12/21 Henri Désiré Landru, accusé du meurtre de huit femmes, est condamné à mort.
27/12/21 scission de la CGT. Création de la CGTU par les partisans de l’Internationale communiste, minoritaires.
25/12/21-31/12/21 Ier congrès du PCF à Marseille

 

 

  Économie
  Le PIB recule de 4,4 %.
  PIB à 305 milliards de francs. Retour au niveau d'avant-guerre.
  Chômage à 5 %.
  Déflation de 13,2 %.
  Déficit public de 33,5 milliards de francs (11 % du PIB).
  Dette à 270 % du revenu national.

 

 

 

 

Naissances Décès Identité Profession N
20 avril 1921   Janine Sutto actrice fr
5 août 1921   Guy Brouty, verbicruciste. fr
16 octobre 1921 3 février 2010 Georges Wilson acteur et metteur en scène fr
22 octobre 1921 29 septembre 1981 Georges Brassens  auteur-compositeur-interprète fr

 

 

Georges Brassens (Sommaire)

Publié à 17:44 par dessinsagogo55 Tags : sommaire centerblog musique background sur cheval merci
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Georges Brassens

Publié à 17:25 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog prix sur cheval merci saint musique mort
Georges Brassens

Georges Brassens, né à Sète (Hérault) le 22 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault) le 29 octobre 1981, est un poète auteur-compositeur-interprète français.

Auteur de plus de deux cents chansons populaires françaises — parmi lesquelles : Chanson pour l'AuvergnatLa Mauvaise RéputationLe GorilleLes Amoureux des bancs publicsLes Copains d'abordSupplique pour être enterré à la plage de SèteLes Trompettes de la renommée… —, il met en musique et interprète ses poèmes en s’accompagnant à la guitare. Outre ses propres textes, il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Paul Fort, Antoine Pol, Théodore de Banville, ou encore Louis Aragon.

Il reçoit le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1967

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Brassens

 
 

 

 
     
     
     
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Joyeuses fêtes

Publié à 01:00 par dessinsagogo55 Tags : center
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Publié à 00:10 par dessinsagogo55 Tags : monde background article histoire centerblog sur merci
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