Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
18683 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)
air amour annonce art article background base belle blogs cadre center centerblog
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Natalité : la Belgique est en plein "baby-bug"
Vous ne connaissez pas le mot "baby-bug" et c’est bien normal. Ce néologisme est tout droit sorti du dernier rapport du bureau du plan sur les perspectives démographiques 2019-2070 en Belgique. Pas besoin d’être un grand linguiste pour comprendre que, du côté des naissances, ce n’est pas vraiment la fête chez nous.
Parmi les causes, la crise de 2008
Depuis 10 ans, le taux de fécondité ne cesse de diminuer. En 2008, une femme avait en moyenne 1,8 enfant. Aujourd’hui, une femme n’a "plus" que 1,6 enfant en moyenne. Pour cette baisse de la fécondité, les experts pointent la crise financière 2008. La chute a en effet commencé juste après celle-ci. Ainsi, l’insécurité en matière d’emploi, la difficulté d’accès à la propriété, les loyers élevés contribuaient à retarder les projets d’enfants de certains (jusqu’à ce que la situation financière et matérielle de la personne soit meilleure). Cette baisse de fécondité se concentre surtout chez les femmes de moins de 30 ans, sans enfant.
Les experts perplexes
En toute logique, la fécondité aurait dû repartir à la hausse avec la fin de la crise et la reprise économique. Et pourtant, ce n’a pas été le cas en Belgique. De quoi laisser les experts plutôt perplexes. Aujourd’hui, par manque de recul, ils ne parviennent pas vraiment à expliquer ce phénomène. Est-ce lié aux questions climatiques qui pousseraient les gens à faire moins d’enfants ? Est-ce dû à l’hyperconnectivité qui rend plus visible les difficultés du monde et... qui pousse les gens à faire moins d'enfants? Ces questions restent ouvertes. Mais une chose est sûre, la natalité n’a toujours pas grimpé.
Amélioration possible à venir
Cela dit, tout n’est pas perdu. Dans les prochaines années, les spécialistes s’attendent tout de même à une légère hausse des naissances. Il s’agit en fait d’un effet de rattrapage. Si depuis plusieurs années les jeunes femmes retardent le moment où elles donneront naissance (à cause de la crise, mais aussi parce qu’elles étudient plus qu’avant ou travaillent plus qu’avant), ce moment devrait bien arriver un jour, ce qui pourrait selon les projections porter le taux de fécondité à 1,7 enfant par femme dès 2030.
Au-delà de ce rattrapage, les démographes pointent aussi un effet possible de l’amélioration de l’égalité homme femme, qui, grâce à un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle, pourrait soutenir la natalité. C’est le cas aussi de l’évolution des techniques d’aide à la procréation.
Mais les experts restent prudents. Comme ils n’arrivent pas tout à fait à expliquer pourquoi la natalité n’a pas repris après la crise, ils ne s’avancent pas trop non plus sur une hausse future de la fécondité. C’est plutôt logique.
De plus en plus de personnes âgées
S’il y a moins de bébés, il y a par contre de plus en plus de personnes âgées en Belgique et l’augmentation des 67 ans et plus va se poursuivre à l’avenir. Aujourd’hui, 17% de la population a l’âge de la retraite, cela représente près d’une personne sur six. Dans 50 ans, en 2070, on sera à une personne sur quatre qui a au moins 67 printemps. La part d’actifs par rapport aux retraités diminuant, cela aura un impact certain en matière de finances (pour payer les pensions), de mobilité, logement, santé ou encore d’environnement. La natalité étant ce qu’elle est, elle ne permet pas d’équilibrer les choses. C’est finalement grâce à l’immigration que la Belgique voit son solde démographique rester positif. Chaque année, la Belgique voit arriver 20.000 nouveaux habitants, parmi lesquels bien sûr des jeunes et des actifs.
Si la tendance se poursuit, entre naissances, décès et immigration, en 2070, il y aura 12.719.189 habitants en Belgique, c’est près de 1, 2 million de plus qu’aujourd’hui.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_natalite-la-belgique-est-en-plein-baby-bug?id=10447553
|
|
L'usage de la force peut être légitimé. La légitime défense est invoquée quand une victime de violences se défend par la force. Un groupe humain (ethnie, classe sociale ou membres d'une religion) peut agir violemment lorsqu'une idéologie, une foi ou une autorité le justifie.
L'usage de la force peut ne pas être légitimé. Néanmoins des causes psychiques internes sont juridiquement invocables pour décharger la responsabilité de l'auteur des violences ; auquel cas un traitement psychiatrique pourrait être requis. Aux crimes et délits de droit commun (vol, kidnapping), une réplique juridique est nécessaire.
Les motivations de la violence sont l'objet de débats dans les champs scientifique, juridique, philosophique et politique. Dans l'approche de beaucoup de praticiens[Qui ?] de la psychologie, de l'aide sociale ou du droit (côté défense), la plupart des personnes adoptant des comportements de prédation et/ou de violence relèvent de la sociopathie ou d'une problématique sociale et/ou économique. D'autres approches, notamment en éthologie appliquée à l'espèce humaine, et certains chercheurs (dont Konrad Lorenz, ainsi que beaucoup de behavioristes) estiment que les personnes adoptant des comportements de prédation et/ou de violence ne le font pas forcément par manque de ressources, d'éducation, d'émotion ou d'empathie (les séducteurs et les manipulateurs n'en manquent souvent pas, soulignent-ils) mais par choix narcissique, en vertu du principe du plus grand plaisir et/ou de la plus grande facilité/rentabilité. Les points de vue les plus extrêmes (qui ressurgissent régulièrement malgré la réprobation de la communauté scientifique) vont jusqu'à affirmer que ces comportements seraient génétiquement inscrits et héréditaires. D'autres spécialistes de l'éthologie humaine, tels Boris Cyrulnik et les cognitivistes, nuancent ces points de vue et récusent tout héritage génétique de la violence. Plusieurs spécialistes de la psychologie développementale tels Richard Tremblay et Daniel Schechter soulignent l'importance de multiples facteurs de risque pour le développement de la violence, surtout les interactions entre la biologie en incluant les gènes et l'environnement familial.
Une partie des prescriptions religieuses vise à maintenir la paix interne, la cohésion dans la communauté, en prévenant ou en ritualisant sa violence. Les prêtres entrent en scène lorsque la violence ou le désordre menacent, soit sur le plan interne (discorde civile) soit sur le plan externe (agression ou menace extérieure). Pour apaiser le « courroux de la divinité », la réponse sera la mise en œuvre d'une violence rituelle : le sacrifice, humain ou animal, ou le recours à la guerre extérieure. Dans les deux cas, le recours à la violence est perçu comme défensif, comme un moyen de se protéger d'une autre violence pouvant détruire la communauté. René Girard a montré que l'évolution culturelle conduisant vers les religions monothéistes à vocation universelle, s'est accompagnée d'une évolution des rites sacrificiels du concret vers l'abstrait, qui deviennent de plus en plus symboliques, sans disparaître. Le christianisme, dans certains de ses textes originels, n'abolit pas le sacrifice, mais il préconise le « sacrifice de soi » comme alternative au sacrifice de l'autre.
|
Gandhi et Martin Luther King ont critiqué la violence et ont mis en pratique la non-violence, qui est tout même une force, émotionnelle selon Gandhi : donc communicationnelle.
D'autres critiquèrent cette tactique : Léon Trotski, Frantz Fanon, Reinhold Niebuhr, Subhas Chandra Bose, George Orwell, Ward Churchill et Malcolm X étaient de fervents critiques de la non-violence, soutenant de maintes façons que la non violence et le pacifisme sont des tentatives d'imposer au prolétariat la morale de la bourgeoisie, que la violence est un accompagnement nécessaire au changement révolutionnaire, ou que le droit à la légitime défense est fondamental.
Selon la définition classique de Max Weber dans Le Savant et le politique (1919), « l'État revendique le monopole de la violence légitime ». Historiquement, l'État moderne s'est construit en défaisant les autres groupes (féodaux, etc.) du droit d'utiliser la violence pour leur propre compte (pour se faire justice, etc.). Ce monopole peut être contesté (par la mafia, des groupes révolutionnaires ou des guérillas, ou encore par des « justiciers » ou « vigilantes »).
Selon les points de vue, ces différentes formes de violences peuvent être légitimes ou non, « bonnes » ou « mauvaises » : on pourra ainsi justifier la contrainte étatique (police, armée) comme nécessaire face au crime ; inversement, on justifiera la « violence révolutionnaire » (Walter Benjamin, « Thèses sur le concept d'histoire ») des opprimés contre l'État, considéré par Marx et Engels comme le « bras armé de la bourgeoisie », ou encore contre la violence structurelle et symbolique (racisme institutionnel qui justifiait, selon les Black Panthers, la constitution de milices d'auto-défense). Dans la sphère privée, certains justifieront la violence comme moyen légitime d'exercer une autorité (fessée pour les enfants, violence conjugale ou violence contre les femmes : on tentera alors de justifier la violence en distinguant différents seuils : une gifle serait acceptable mais pas une bastonnade, etc.) ; d'autres critiqueront au contraire ces comportements comme sexistes ou autoritaires, conduisant à terroriser les sujets afin de les contraindre à la soumission. La définition même de ce qui constitue une violence, a fortiori une violence « légitime », fait ainsi l'objet de débats politiques et philosophiques. Ce débat entre violence, force et justice est ramassé par Pascal dans un aphorisme célèbre des Pensées :
« Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force et pour cela faire en sorte que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.
La justice est sujette à dispute, la force est très reconnaissable et sans dispute. Ainsi on n'a pu donner la force à la justice, parce que la force a contredit la justice et a dit qu'elle était injuste, et a dit que c'était elle qui était juste. Et ainsi ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste...
Ne pouvant faire qu'il soit forcé d'obéir à la justice, on a fait qu'il soit juste d'obéir à la force. Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force, afin que le juste et le fort fussent ensemble, et que la paix fût, qui est le souverain bien. »
Selon Howard Bloom, la violence est l'outil de la nature pour améliorer notre comportement social.