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Monde : France

Libération de Menton

Publié à 17:04 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog merci center france
Libération de Menton

Les soldats américains se dirigent vers Menton en 1944? • © France 3 Côte d'Azur

 

Les italiens occupent Menton dès le 24 juin et italianisent la ville en Mentone, notamment par le changement des panneaux de signalisation. À partir de septembre 1943, la ville est occupée par les Allemands jusqu’à leur départ le 6 septembre 1944, tout en continuant plusieurs semaines à bombarder les positions adverses. Les troupes américaines et canadiennes ont libérés Menton dès le 8 septembre

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Menton_(Alpes-Maritimes)#Histoire

 
     
     
     
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Jeff Panacloc

Jeff Panacloc

Jeff Panacloc, de son vrai nom Damien Colcanap (qui a donné par anacyclisme le nom de scène Panacloc), est un ventriloque et humoriste français né le 8 septembre 1986 à Nogent-sur-Marne et originaire de Saint-Thibault-des-Vignes en Seine-et-Marne.

 

  Biographie

Enfance et débuts

 

Issu d'une famille de la classe moyenne, Damien Colcanap naît le 8 septembre 1986 à , dans le Val-de-Marne. Son père, Patrick, est chauffeur de bus et sa mère, Brigitte, est secrétaire à la mairie de Vincennes. Ayant arrêté les études avant le bac, il entreprend une formation d'électricien avant de se lancer sur scène en tant que magicien mais à 17 ans, il fait la connaissance du ventriloque français David Michel et de sa marionnette Nestor le pingouin dans un cabaret parisien Le Canotier du pied de la butte. Une véritable révélation qui le pousse à s’intéresser à la ventriloquie. Cette rencontre lui donne envie .

 

À 23 ans, il décide de s'y consacrer entièrement et prend le pseudonyme de Jeff Panacloc, lecture à l'envers de son nom de famille. Sa marionnette Jean-Marc est un singe politiquement incorrect, grossier et dévergondé (« il est content ! » et « salut les trouducs ! », répliques devenues emblématiques de son personnage). Il écrit son premier spectacle intitulé Jeff Panacloc et Jean-Marc qu’il joue au théâtre Le Temple durant quatre mois.

 

Révélation à la télévision (2011-2012)

 

Depuis mars 2011, Jeff, remarqué par Patrick Sébastien, est choisi pour participer à l’émission du Plus Grand Cabaret du monde où il a été un invité régulier. Il quitte l'émission lors de la dernière de la saison 2014-2015 en juin 2015 pour rejoindre TF1 où il est régulièrement invité dans des émissions.

 

Il reçoit des critiques positives : Le Figaroscope affirme que sa « performance vaut le détour », Jeff séduit par son humour corrosif et sa marionnette déjantée. Il écrit par la suite un nouveau spectacle, Jeff Panacloc perd le contrôle, joué depuis avril 2012 à La Comédie des Boulevards.

 

Jeff Panacloc explore l'ensemble de l'actualité et de nombreuses personnalités sont au centre de ses répliques. Il attaque François Hollande, Nicolas Sarkozy, le concours des Miss France, Johnny Hallyday, Claude François, Mike Brant, Michael Jackson et bien d'autres. Son nouveau spectacle est présenté comme « étant porté par un rythme effréné, avec un humour décapant et une interactivité incomparable »

 

Années 2013-2014

 

En juin 2013 et 2014, il participe au Marrakech du rire, organisé par Jamel Debbouze.

 

À partir du 20 mars 2016, il présente son spectacle Jeff Panacloc perd le contrôle au Théâtre des Mathurins à Paris avant d'entamer une tournée en France, en Belgique et en Suisse qui durera jusqu'en avril 2016

 

En septembre 2014, il participe au single inédit Kiss & Love au profit du Sidaction. Il apparaît également dans l'émission Ce soir, on chante, consacrée au Sidaction. Il y fait un sketch aux côtés de Pascal Obispo.

 

Meilleur humoriste (2015)

 

En juin 2015, il sort le clip musical de sa nouvelle chanson, J't'em*****, qu'il interprète en public pour la première fois le 20 mars 2015, pendant l'émission de Patrick Sébastien coprésentée avec Virginie Guilhaume, La Fête de la musique, du soleil et des tubes, en direct de Nice.

 

Le 11 décembre, Jeff remporte le prix du meilleur humoriste 2015 dans l'émission d'Arthur, les Z'awards sur TF1 face à Florence Foresti, Gad Elmaleh, Kev Adams et Claudia Tagbo.

 

Aux États-Unis (2016)

 

En 2016, il intègre la troupe des Enfoirés avec Véronic DiCaire et Soprano. En février 2016, il entame une tournée de plusieurs dates aux États-Unis dans des théâtres à New York, Los Angeles, Miami et San Francisco. En avril, il joue les dernières dates de son spectacle Jeff Panacloc perd le contrôle au Palais des sports de Paris et annonce un nouveau spectacle pour mars 2017. En octobre, il sort un documentaire retraçant sa vie depuis le début. Une projection unique du documentaire a lieu dans tous les CGR de France et avec Jeff au Grand Rex.

 

Jeff Panacloc contre-attaque (2017-2020)

 

Jeff annonce son nouveau spectacle sur les réseaux sociaux : Jeff Panacloc contre-attaque, l'occasion d'agrandir sa famille avec deux nouveaux personnages.

 

Le 2 décembre 2016, il annonce que le spectacle sera mis en scène par Nicolas Nebot, mis en musique par Dumè, et mis en lumière par Erwan Champigné. Tom Villa et Thomas Maurion seront chargés de l'écriture de ce deuxième spectacle.

 

Il a présenté la dernière de son show le 25 janvier 2020 au Zénith de Paris la Villette.

 

Le spectacle est diffusé sur TF1 le 20 juin 2020 en plein confinement. Un "avant show" est présenté par Camille Combal et un faux flash info est diffusé après le journal du 20 heures avec la journaliste Anne-Claire Coudray.

 

Jeff Panacloc Adventure (2021-202?)

 

Jeff annonce son nouveau spectacle sur les réseaux sociaux en faisant croire que ses comptes ont été piratés et en faisant croire à toute la communauté la création d'un parc d'attraction nommé Jeff Panacloc Adventure : En fait, ce n'est que pour annoncer la création de son nouveau spectacle.

 

La première du spectacle sera reportée à cause de la fermeture des spectacles due à l'épidémie de Coronavirus.

 

Ce nouveau show mettra en scène 3 nouveaux personnages : Jean-Louche, Christian et Michel

 

Personnages

Jean-Marc

 

Sa marionnette est nommée Jean-Marc en hommage au patron du magasin de magie que fréquentait Jeff quand il était petit

 

Elle est utilisée depuis 2013 et a été réalisée par Mehdi Garrigues de Puppet Services, qui fabrique l'ensemble des marionnettes du spectacle Jeff Panacloc contre-attaque.

 

Il est ainsi présenté par son créateur : « Tout premier personnage et pilier de la galaxie Jeff Panacloc, Jean-Marc le singe hyperactif est aussi doux à caresser que ses vannes sont piquantes et affutées. Frénétique, obsédé, nerveux, sans limite... là où d'autres risqueraient la prison à perpétuité, lui sera toujours sauvé par son humour féroce mais jamais méchant. Rigolo pour les enfants, cash pour les ados et cauchemar pour les parents, l'auto-proclamé roi de la vanne remporte l'adhésion du public et l'amitié sans faille de Jeff. »

 

Avant l'été 2015, Jeff et Jean-Marc sortent un single, intitulé J't'emmerde, qu'ils chantent lors de l'émission de Patrick Sébastien, Fête de la musique, du soleil et des tubes sur France 2. L'année précédente, Jeff et Jean-Marc avaient fait un single s'intitulant J'suis quand même beau.

 

Nabilouche

 

Nabilouche, nouvelle marionnette de Jeff Panacloc, est la petite amie du singe Jean-Marc. Elle est présentée pour la première fois dans le spectacle Jeff Panacloc contre-attaque et apparait à plusieurs reprises dans l'émission L'étrange Noël de Jeff Panacloc diffusée en décembre 2018 et 2020 sur TF1.

 

Jean-Louche

 

Jean-Louche est le fils de Jean-Marc et Nabilouche. Sans filtre et sans retenue, il nous permet d'en savoir un peu plus sur son père et sa vie de famille, si tant est qu’on puisse appeler ça une famille…

S’il y a une chose que Jean-Marc ne peut pas renier c’est que Jean-Louche a du caractère !

Aurait-on trouvé « pire » que Jean-Marc ?

Jean-Louche est l'un des nouveaux personnages de Jeff Panacloc présenté dans Jeff Panacloc Adventure en 2021

 

Jacky

 

Jacky, marionnette de Jeff Panacloc, âgé de 55 ans, presque 57 selon lui. Il est actuellement le technicien de Jean-Marc et fan de Johnny Hallyday. Les marionnettes de Jacky et Nabilouche sont réalisées par Mehdi Garrigues de Puppet Services. Le personnage de Jacky s'est fait remarquer à plusieurs occasions, notamment lors du mouvement des Gilets Jaunes où on pouvait l'apercevoir avec la fameuse veste, sur le canapé de Michel Drucker par exemple.

 

Michel

 

Michel vient de loin, a priori de Chine. Il a deux passions dans la vie : les clusters et les EHPAD. Même si jusqu'à aujourd'hui, il n’a jamais réussi à contaminer personne, il ne désespère pas d’être celui qui saura lancer la cinquième vague. Et comme il le dit si bien, « Vous avez aimé Pangolin ? Vous allez adorer Pangol Deux ! »

 

Michel est l'un des nouveaux personnages de Jeff Panacloc présenté dans Jeff Panacloc Adventure en 2021. Ce personnage fait lien avec l'épidémie de COVID-19 ayant eu lieu en 2020 et 2021.

 

Christian

 

Christian est fan de Jeff et Jean-Marc mais aussi de films américains de science-fiction, de comédies musicales, de Léna Situations, de Milky-Ways, de Michael Jackson, de cassoulet en boîte, de patinage artistique, d’Isabelle Morini-Bosc et de Capitaine Marleau.

 

Il vit en colocation avec Cyril - qu’il appelle Jojo - son meilleur ami, manchot.

 

À la suite de nombreux problèmes de santé et séjours à l’hôpital en pension complète, Christian n’a qu’un seul précepte : « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent plus ! »

 

Christian est l'un des nouveaux personnages de Jeff Panacloc présenté dans Jeff Panacloc Adventure en 2021.

 

Momo

 

Momo est un personnage créé exclusivement pour l'édition 2014 du Marrakech du Rire. C'est un chameau, agent personnel du singe Jean-Marc. La marionnette a été créée par Mehdi Garrigues de Puppet Services.

 

Vie privée

 

Le 28 mai 2016, il se marie à Paris avec son ancienne attachée de presse Charlotte de Hugo.

Il est père de deux filles : Rose, née le 15 février 2018, et Alice, née le 19 mai 2020.

 

Engagements et prises de position

 

Engagé pour la cause animale, il pose en avril 2016 sur une affiche de l'association PETA, argumentant : « Aujourd'hui, on peut très bien se passer de fourrure animale, on n'a pas besoin de massacrer des animaux pour s'habiller. Il faut que les marques et les consommateurs choisissent de ne pas sacrifier des vies animales et adoptent une mode respectueuse des animaux », sans toutefois donner son avis sur le végétarisme et le véganisme.

 

Depuis 2019 il est parrain de l'association Wonder Augustine, luttant contre les cancers pédiatriques.

 

Spectacles

 

2011 - 2012 : Politiquement incorrect

2012 à 2016 : Jeff Panacloc perd le contrôle (sorti en DVD et Blu-Ray)

2017 à 2020 : Jeff Panacloc contre-attaque (sorti en DVD et Blu-Ray en novembre 2019)

2021 à 202? : Jeff Panacloc Adventure

 

Filmographie

 

2018 : Chair de poule 2 : Les Fantômes d'Halloween (Goosebumps 2: Haunted Halloween) d'Ari Sandel : Slappy, la marionnette

2020 : Les Tuche 4 de Olivier Baroux : lui-même (caméo)

 

Télévision

 

mars 2011 à juin 2015 : Le Plus Grand Cabaret du monde,

2016 : Au rendez-vous des Enfoirés (TF1)

2016 : Jeff Panacloc perd le contrôle (TF1)

2016 : Jeff Panacloc perd le contrôle (TMC)

2017 : Mission Enfoirés (TF1)

2018 : L'étrange Noël de Jeff Panacloc (TF1)

20 juin 2020: Jeff Panacloc contre-attaque (TF1)

20 juin 2020: Jeff Panacloc perd le contrôle (TF1)

2021 : Panacloc Comedy Show (TF1)

 

Radio

 

2013 : RTL

2014 : Europe 1

2015 : Rire et chansons

2018 : RFM

2019 : NRJ

 

Bande dessinée

 

2018 : Jeff Panacloc et Jean-Marc : les voyageurs du temps, dessinée par Flantier, sortie le 23 mai 2018

2018 : Jeff Panacloc et Jean-Marc : partent en vadrouille !, sortie le 21 novembre 2018

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeff_Panacloc

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Jeff Panacloc
   
   
   
    Jeff Panacloc et Jean-Marc sur leur 31
    Jeff Panacloc & Jean-Marc avec les frères Taloche
    Jeff Panacloc au Festival du Rire de Liège 2013
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Christiane Lillio : Miss France 1968

Publié à 11:29 par dessinsagogo55 Tags : center 2010 centerblog sur merci vie france saint monde enfants article société
Christiane Lillio : Miss France 1968

 

 

Christiane Lillio, née le 8 septembre 1950, est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Saint-Étienne 1967, puis Miss France 1968, succédant ainsi à Jeanne Beck, Miss France 1967.

 

Elle est, depuis 2011, la présidente du comité Miss Prestige National, renommé Miss Excellence France en 2019.

 

  Biographie

Famille et enfance

 

Christiane Lillio est née au Maroc en 1950. En 1958, sa famille (ses parents, ses 13 frères et sœurs) et elle reviennent en France et s'installent dans la Loire d'où son père est originaire.

 

Son père était responsable d'un magasin en électroménager de la marque Frigidaire, sa mère s'occupait des quatorze enfants.

 

Miss Saint-Étienne

 

Des voisins ont inscrit Christiane à l'élection de Miss Saint-Étienne 1967, sans la prévenir. Elle a alors seize ans et l'allure d'un garçon manqué. Le comité des fêtes l'a prise en main, lui a appris à s'habiller, à se maquiller, à poser

 

Christiane obtient en 1967 le titre de Miss Saint-Étienne qui la qualifie pour l'élection de Miss France 1968.

 

Miss France 1968

Élection

 

Le 31 décembre 1967, Christiane Lillio, dix-sept ans est élue Miss France 1968 au casino d'Uriage, à Grenoble (Isère).

 

Année de Miss France

 

Elle devient l'amie de Monsieur et Madame de Fontenay.

Durant son année de Miss France, elle ne participera ni à Miss Monde, ni à Miss Univers, ni à Miss International, ni à Miss Europe. Elle est remplacée par une autre miss représentant la France dans chaque concours. Sa deuxième dauphine Elisabeth Cadren se classera dans le top 15 de l'élection de Miss Univers 1968 se déroulant aux États-Unis.

 

Le 31 décembre 1968, elle transmet son titre de Miss France à Suzanne Angly, Miss Alsace élue Miss France 1969.

 

Activités post-Miss France

 

 

En 1983, Christiane Lillio, Véronique Fagot (Miss France 1977) et Sabrina Belleval (Miss France 1982) sont interviewées à la télévision. Elles expliquent qu'elles ont refusé les sollicitations de photographes pour poser dans des magazines de charme. Cette archive a été diffusée dans le documentaire Miss France, la soirée d'une vie diffusé après l'élection de Miss France 2012 sur TF1, Il était une fois... Miss France en novembre 2013 et Miss France, le rêve d'une vie après l'élection de Miss France 2016 sur TF1. Elle a également participé à l'émission Vis ma vie (séquence « Vis ma vie de tatoueur ».

 

Participation au comité Miss France

 

Restée proche de Geneviève de Fontenay, Christiane Lillio fait partie du comité Miss France durant plusieurs années. Elle crée un comité régional en 1989 et devient délégué régionale, organisant les galas en régions et les élections des Miss. Le 13 décembre 1998, le magazine de la rédaction de TF1 Reportages consacre un portrait à Christiane Lillio, ainsi qu'à trois autres anciennes Miss France, Christiane Sibellin (Miss France 1965), Jeanne Beck (1967) et Valérie Claisse (1994). Dans ce document intitulé Miss France, et après ? de Tania Faure et Patrick Delporte, Christiane évoque son parcours et ses activités au sein du comité Miss France

 

Présidente du comité Miss Prestige National

 

Christiane Lillio est, depuis novembre 2011, la présidente du comité Miss Prestige National (tout d'abord nommé Miss Nationale, puis devenu Miss Excellence France à partir de 2019, concours concurrent du concours Miss France créé par Geneviève de Fontenay en octobre 2010, à la suite de la démission de celle-ci du comité Miss France en avril 2010. Geneviève de Fontenay ne peut pas être la présidente du comité à cause d'une clause de non-concurrence mais en est toutefois la présidente d'honneur. Christiane Lillio est chargée d'accompagner les délégations régionales et organise l'élection annuelle. En janvier 2016, Geneviève de Fontenay quitte le comité Miss Prestige National, « ne se sentant plus dans son élément dans cette société » et critiquant Christiane Lillio, la présidente du Comité.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christiane_Lillio

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Miss France (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Renault veut prendre un nouveau départ

Publié à 02:25 par dessinsagogo55 Tags : center chez nuit image centerblog sur chevaux merci google article
Renault veut prendre un nouveau départ
  RENAULT VEUT PRENDRE UN NOUVEAU DÉPART AVEC SA NOUVELLE MÉGANE 100% ÉLECTRIQUE
 

 

Au salon de Munich, Renault a présenté sa nouvelle Mégane, une voiture qui ne sera commercialisée qu’en version 100% électrique et la première à intégrer le nouveau logo de la marque au losange. Tout un symbole du renouveau souhaité par le patron du groupe français, Luca de Meo
 
 

La Mégane change de forme pour passer au 100% électrique. Au salon de Munich, Renault a dévoilé ce lundi son nouveau véhicule, qui passe de la berline compacte à un petit SUV, avec la volonté affichée de relancer les ventes de ce modèle en perte de vitesse ces dernières années.

 

Avec une positon de conduite plus haute, cette Mégane se révèle plus courte que l'actuelle: 4,21 mètres (très proche d'un Captur), contre 4,35 mètres pour la Mégane IV qui avait été lancée en 2016. Elle dispose toutefois d'un espace à bord optimisé, avec une empattement (la distance entre les deux essieux) en progression sur cette nouvelle Mégane, à 2,70 mètres.

 

Côté autonomie, point essentiel pour une voiture 100% électrique, Renault commercialisera deux versions différentes. Une première équipée d'une batterie de 40 kWh, offrant environ 300 km d'autonomie selon la norme WLTP, et une deuxième de 60 kWh, permettant d'atteindre 470 km d'autonomie. Des chiffres qui peuvent décevoir ceux qui attendaient un modèle plus endurant mais Renault insiste sur le temps de recharge, en particulier sur autoroute où le véhicule peut encaisser jusqu'à 130 kW de puissance.

 

Renault évoque ainsi "des temps de recharge qui sont parmi les plus efficaces du marché": une batterie chargée en une nuit (8 heures) sur une wallbox de 7,4 kW et 300 km récupérés en 30 minutes sur les bornes les plus rapides.

 

Deux moteurs seront également au choix: un premier de 96 kW (soit 130 chevaux) et un second de 160 kW (218 chevaux), avec un 0 à 100 km/h annoncé en 7,4 secondes.

 

Cette nouvelle Mégane "E-Tech Electric" doit incarner le renouveau du constructeur: c'est le premier modèle conçu sous l'ère Luca de Meo, le nouveau patron du groupe Renault depuis juillet 2020.Le véhicule inaugure ainsi une nouvelle plateforme de l'Alliance Renault-Nissan et optimisée pour le 100% électrique. Les moteurs électriques seront produits sur le site de Cléon et le véhicule sera quant à lui assemblé à Douai, au sein du nouveau pôle ElectriCity.

 

A l'intérieur, la Mégane profite d'un environnement très moderne et qui marque une évolution importante par rapport aux derniers modèles commercialisés. Elle inaugure en effet le système baptisé "OpenR", réunissant les afficheurs du tableau de bord et l’écran central multimédia (12 pouces), le tout formant un "L inversé". On retrouve également des boutons physiques de raccourcis vers des fonctions comme la climatisation, à l'image des touches piano de Peugeot sur ses derniers modèles.


Côté logiciel, Renault mise sur sur sa nouvelle interface "avec Google intégré, pour une expérience connectée intuitive et optimisée", écrit le constructeur. En début d'année, Ford avait aussi annoncé que ses futurs systèmes d'infodivertissement utiliseraient plein pot l'écosystème numérique du géant américain.

 

Autre symbole de ce nouveau départ pour Renault, cette Mégane nouvelle génération sera le premier véhicule de série à arborer le nouveau logo du losange. Une réinterprétation moderne du logo "Vasarely" utilisé de 1972 à 1992. On avait déjà pu découvrir ce logo sur le concept R5, qui préfigure le retour de ce modèle, aussi en version "zéro émission".

Pauline Ducamp et Julien Bonnet
 
 
Liens externes                                                  
 

https://www.bfmtv.com/auto/renault-veut-prendre-un-nouveau-depart-avec-sa-nouvelle-megane-100-electrique_AV-202109060387.html

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Jean-Paul Belmondo est mort à l'âge de 88 ans

Jean-Paul Belmondo est mort à l'âge de 88 ans

Jean-Paul Belmondo, monstre sacré du cinéma français, est mort à l'âge de 88 ans

 

L'acteur laisse un grand vide dans le cinéma après plus de cinquante ans de carrière.

 
Jacky Bornet
France Télévisions  Rédaction Culture
 
Publié  16:27Mis à jour  17:32
 
 
 
Jean-Paul Belmondo dans "L'Homme de Rio" (1964) de&nbsp; Philippe de Broca. (COLLECTION CHRISTOPHEL / DEAR FILM PRODUZIONE / LES FILMS ARIANE / ARTISTES ASSOCIES) Jean-Paul Belmondo dans "L'Homme de Rio" (1964) de  Philippe de Broca. (COLLECTION CHRISTOPHEL / DEAR FILM PRODUZIONE / LES FILMS ARIANE / ARTISTES ASSOCIES)

Jean-Paul Belmondo, l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français, s'est éteint à l'âge de 88 ans, a annoncé son avocat à l'AFP, lundi 6 septembre. Diminué depuis un accident vasculaire cérébral survenu en 2001, "Bebel" n'en était pas moins présent et recevait beaucoup de propositions de tournages. Retour sur l'itinéraire d'un enfant gâté du cinéma, mais aussi du théâtre.

 

 

necro belmondo essai 2
 

 

La "bande du Conservatoire"

 

Ce n'est pas aux plateaux que se destinait Jean-Paul Belmondo, mais à la scène. Né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine d'un père sculpteur de renom, Paul Belmondo, et d'une mère artiste-peintre, Madeleine Rainaud-Richard, Jean-Paul ne s'intéresse guère aux études. Sa passion, c'est le sport : le football, le cyclisme et surtout la boxe, qu'il pratiquera en professionnel avec succès. Cette disposition sportive se vérifiera plus tard dans ses performances physiques au cinéma, où il exécutera ses propres cascades – sa marque de fabrique.

 

 

Daniel Soreno, Jean-Paul Belmondo, Hubert <a class=Noel et Jean Chevrier prenant la pose avec leurs épées dans une diligence à l'occasion des répétitions de la dramatique "Les trois mousquetaires" (Claude Barma, 1959). (Philippe Bataillon / Ina) Daniel Soreno, Jean-Paul Belmondo, Hubert Noel et Jean Chevrier prenant la pose avec leurs épées dans une diligence à l'occasion des répétitions de la dramatique "Les trois mousquetaires" (Claude Barma, 1959). (Philippe Bataillon / Ina)

 

 

En 1946, le jeune Jean-Paul assiste à une représentation des Femmes savantes de Molière à la Comédie-Française. Sa vocation est née, il sera comédien. Elève de Raymond Girard puis de Pierre Dux, Belmondo fait ses classes aux Hôpitaux de Paris en jouant devant les patients. Admis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1952, il y rencontre Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer, Pierre Vernier et Michel Beaune. A cette "bande du Conservatoire" s'ajoutent bientôt Jean-Pierre Mocky, Claude Rich, Annie Girardot, Françoise Fabian et Philippe Noiret. Mais Jean-Paul Belmondo ne convainc pas ses maîtres et se voit refuser l'accès à la Comédie-Française. Cela ne l'empêche pas d'être appelé par Jean Anouilh, ni d'interpréter Feydeau ou George Bernard Shaw.

 

En 1956, Jean-Paul Belmondo tourne son premier film, Les Copains du dimanche, de Jean Astier, qui ne sortira qu'en 1967. Entre-temps, l'acteur est devenu une star. En 1959, il joue D'Artagnan dans Les Trois Mousquetaires, téléfilm réalisé par Claude Barma et diffusé en direct à la télévision le soir de Noël.

 

 

En route pour la gloire

 

En 1958, Marc Allégret lui offre un second rôle dans Sois belle et tais-toi avec Alain Delon, débutant tout comme lui. Ils seront amenés à se revoir… Autre grand cinéaste français, Marcel Carné lui donne un petit rôle dans Les Tricheurs (1958). Sa présence tout au long du film lui permet d'être remarqué auprès de Bourvil, Danielle Darrieux et Arletty. Jean-Luc Godard le compare dans Les Cahiers du cinéma à Jules Berry et Michel Simon.

 

La Nouvelle Vague est prête à déferler et c'est Claude Chabrol, déjà à son troisième film en 1959, qui dame le pion à François Truffaut et Jean-Luc Godard, en faisant appel au jeune acteur dans A double tour. Godard enchaîne en 1960 en lui donnant le premier rôle dans A bout de souffle avec Jean Seberg, film phare de la Nouvelle Vague. Succès critique et public, le film propulse Belmondo au top. Godard fera appel à lui dans trois autres longs métrages.

 

L'Homme de Rio

 

Le charisme de Belmondo est reconnu par les plus grands cinéastes français établis ou en devenir. Parmi ces derniers, Claude Sautet l'emploie dans son premier long métrage, Classe tous risques (1960), excellent polar qu'il interprète au côté de Lino Ventura. La même année, c'est Moderato Cantabile de Peter Brook, d'après Marguerite Duras. Il est Léon Morin prêtre (1961) pour Jean-Pierre Melville. 



Henri Verneuil le confronte au "patron" Jean Gabin dans Un singe en hiver (1962) d'après Antoine Blondin. La rencontre des deux acteurs, d'abord glaciale, deviendra confraternelle, servie par les dialogues de Michel Audiard, dont cette réplique de Gabin à Belmondo : "Môme, t'es mes 20 ans". Un clin d'œil à la relève ?

 

Belmondo passe du film d'auteur à des rôles plus fédérateurs avec une aisance étonnante. Il ne manquait plus qu'une corde à son arc : le film d'aventure. Elle lui est offerte en 1962 par Philippe de Broca avec Cartouche, où il retrouve son camarade du Conservatoire Jean Rochefort et donne la réplique à Claudia Cardinale. Film de cape et d'épée, cette évocation fantaisiste du célèbre bandit de grands chemins du XVIIIe siècle reste un fleuron du genre. Le personnage colle à la fougue de l'acteur, qui lui apporte une dimension physique inédite dans les scènes d'action.

 

C'est la raison pour laquelle Philippe de Broca lui propose dans la foulée L'Homme de Rio en 1964. Il y campe un deuxième classe en permission qui se lance dans une aventure abracadabrante pour retrouver sa fiancée enlevée au Brésil. Dans ce scénario librement inspiré des aventures de Tintin (L'Oreille cassée), Belmondo excelle dans les courses-poursuites et les cascades. 


Ce rôle qui lui colle à la peau est un tournant dans sa carrière. Sa partenaire, Françoise Dorléac, sœur de Catherine Deneuve, verra la sienne interrompue par un accident mortel en 1967. 

 

 

Entre films d'auteur et cinéma populaire

 

Henri Verneuil dirige ensuite Belmondo dans Cent mille dollars au soleil (1964) avec Lino Ventura, puis dans Week-end à Zuydcoote (1964), sur l'évacuation de Dunkerque en 1940. Philippe de Broca le rappelle pour Les Tribulations d'un Chinois en Chine (1965), d'après Jules Verne. Il y retrouve Jean Rochefort et tombe amoureux sur le plateau de sa partenaire Ursula Andress, sacrée à l'époque plus belle femme du monde. Cette liaison provoque la rupture avec sa première épouse. Il renoue en revanche avec Jean-Luc Godard pour une dernière collaboration dans le mythique Pierrot le fou (1965) au côté d'Anna Karina.

 

 

 

 

En 1969, retour à la comédie avec Bourvil et David Niven dans Le Cerveau, première alliance avec Gérard Oury, à la tête de la plus chère production française jamais tournée à l'époque. Succès garanti.

 

Jean-Paul Belmondo s'oriente de plus en plus vers un cinéma de pur divertissement, mais il garde des attaches avec le cinéma d'auteur. Il tourne pour François Truffaut La Sirène du Mississippi en 1969 avec Catherine Deneuve, mais le rôle désarçonne son public et le film fait un flop. Idem pour Un homme qui me plaît (1969) de Claude Lelouch, avec Annie Girardot. Deux films tournés aux Etats-Unis, où l'acteur confie n'être pas à son aise.

 

Au tournant des années 1960-1970, Belmondo devient Bebel, diminutif né de la coquille d'un journaliste qui comparait l'acteur au personnage de Pepel interprété par Jean Gabin dans Les Bas-fonds (Jean Renoir, 1936). Les P devenus des B resteront. 1970 est une grande année pour la star : il forme avec Alain Delon le duo de Borsalino réalisé par Jacques Deray. Devenu un classique, le film est taillé sur mesure pour les deux comédiens au faîte de leur gloire, qui offrent un final d'anthologie. Carton au box-office (4 710 381 entrées), le film fait l'objet d'une suite, Borsalino & Co., mais sans Bebel.

 

Citons aussi le délicieux Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau (1971) avec Marlène Jobert. Ou encore Le Casse en 1971, nouveau virage dans la carrière de Jean-Paul Belmondo. Il retrouve Henri Verneuil, qui l'associe à Omar Sharif, dans un polar musclé qui renouvelle le genre en France.

 

 

Roi du film d'action

 

Le Casse sort la même année que French Connection de William Friedkin, et participe à ce qui va devenir le "polar urbain". Mais il intronise aussi le nouveau Bebel, roi du film d'action. Il est en 1973 Le Magnifique de Philippe de Broca dans une parodie des James Bond où il enquille les cascades à la Jerry Lewis. Succès du Casse oblige, Verneuil enchaîne avec Peur sur la ville en 1974, où Belmondo casse la baraque, mais s'enferre dans le genre. L'intrigue importe peu, l'action domine.

 

Jusqu'à ce que l'acteur se blesse lors de la descente en filin d'un hélicoptère, après avoir enjambé les toits de Paris et parcouru celui d'un métro en marche. Le tandem Verneuil-Belmondo fonctionne toujours : 3 948 746 entrées.

 

La rupture avec la critique

 

La même année (1974), Bebel brise son image en jouant et produisant pour Alain Resnais Stavisky, sur le scandale financier des années 1920. Belmondo est enthousiaste de renouer avec un cinéaste "auteuriste". Mais le film, présenté à Cannes, connaît un accueil critique et public mitigé. La comédie et l'action seront désormais ses seuls objectifs. Il retourne donc vite dans le giron de Verneuil… la routine. Déjà étiqueté "commercial" par la critique, Belmondo perd en crédibilité.

Les titres de ses films suivants se limitent à des qualificatifs qui désignent l'acteur : après Le Magnifique (1974), il est L'Incorrigible (1975), L'Animal (1977), Le Guignolo (1980), un carton à 5 millions d'entrées. Suivront Le Professionnel (1981), puis L'As des as de Gérard Oury (5,4 millions d'entrées en 1982 !), Le Marginal (1983). Le public vient voir un Belmondo comme un James Bond. Pour la critique, Bebel est devenu la caricature de Belmondo. La messe est dite.

 

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Bebel en a marre

 

Bebel sent le vent tourner. Les Morfalous (1984) de son fidèle Henri Verneuil touche le fond, le public commence à se lasser, malgré un score au box-office faramineux. Il revient à la pure comédie dans Joyeuses Pâques (1984) de Georges Lautner, d'après la pièce de Jean Poiret, avec Sophie Marceau à 17 ans. Succès moins vertigineux, mais beau score tout de même (3,5 millions d'entrées).



Robert Hossein, qu'il connaît bien, lui propose en 1987 d'interpréter Kean, la pièce de Jean-Paul Sartre d'après Alexandre Dumas. L'accueil critique est morne mais redonne le goût des planches au comédien. C'est alors qu'intervient le succès au cinéma d'Itinéraire d'un enfant gâté (1988) de Claude Lelouch. Bebel décroche le le César du meilleur acteur pour ce rôle à contre-emploi qui le réhabilite. 

 

Finir sur les planches

 

En 1990, Jean-Paul Belmondo interprète Cyrano de Bergerac, toujours mis en scène par Robert Hossein. La pièce joue à guichets fermés et s'exporte à travers le monde. Belmondo tourne L'Inconnu dans la maison (1992) de son ami Georges Lautner, puis la version Lelouch des Misérables (1995) qui ne rencontre pas le succès escompté. 

 

En 1996, alors que Bernard Murat adapte au cinéma la pièce Désiré de Sacha Guitry, Jean-Paul Belmondo se livre à une sévère diatribe contre les distributeurs qui, selon lui, négligent le cinéma français. Se détournant du cinéma, il rachète le Théâtre des Variétés à Paris, joue du Feydeau, du Guitry et du Jean-Michel Ribes. Comme un retour aux sources, ces rôles sont ses derniers triomphes.

 

L'homme est resté accessible jusqu'au bout, tout en préservant sa vie privée. Diminué par la maladie, il resplendissait toujours d'une confiance inaltérable dans la vie, communiquait sa joie d'être au contact du public. Il émanait de lui un charisme solaire, unique dans l'histoire du cinéma français, du cinéma tout court.

 

 

 

Sexe : les Françaises plus insatisfaites au lit

Publié à 12:20 par dessinsagogo55 Tags : société article mode google nuit jeux argent centerblog sur merci vie france femmes
Sexe : les Françaises plus insatisfaites au lit
Sexe : les Françaises plus insatisfaites au lit que leurs voisines européennes © PhotoAlto / Frederic Cirou / Getty Images
 
Sexe : les Françaises plus insatisfaites au lit que leurs voisines européennes
 
 
Publié le 3 septembre 2021 à 06h00
 

Selon un sondage Ifop publié aujourd’hui, elles sont 35% à se déclarer insatisfaites de leur vie sexuelle, le taux le plus élevé des pays européens sondés par l’institut. En cause notamment : les injonctions à la performance, très présentes dans l’Hexagone. 

 

On connaissait déjà le fossé orgasmisque entre hommes et femmes, mais un écart de satisfaction existe aussi entre les femmes françaises et leurs voisines européennes. Selon un sondage Ifop pour The Poken Company publié vendredi, 35% des Françaises sont insatisfaites de leur vie sexuelle, le plus haut taux observé dans l’enquête Ifop, derrière l’Espagne et l’Italie. Réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 5025 femmes vivant dans les cinq plus grands pays européens (Espagne, Italie, France, Allemagne, Royaume-Uni), cette étude cartographie la sexualité des Européennes.  

 
 

Selon François Kraus, directeur de l'expertise « Genre, sexualités et santé sexuelle » à l'Ifop, cette proportion de femmes insatisfaites s’explique par plusieurs facteurs : « La plus forte insatisfaction mesurée en France tient sans doute à des éléments culturels - comme l'injonction à la performance qui pousse à des pratiques qui ne sont pas les plus épanouissantes - mais surtout à une pluralité de facteurs (ex : forte consommation d'antidépresseurs, chômage élevé, stress lié à vie professionnelle, conditions de confinement...) qui s'avèrent défavorables à cet épanouissement sans pour autant relever de leur sexualité stricto sensu », explique-t-il. Corrélé au degré d’insatisfaction sexuelle, le mécontentent de sa vie sentimentale atteint également des sommets en France : 28% contre 16% en Allemagne par exemple.   

 

LES FRANÇAISES SONT CELLES QUI ONT LE PLUS DE PARTENAIRES  

 

Vous vous demandez peut-être dans quelle catégorie la France ne se situe pas au dernier rang. Et bien soyez fières : l’Hexagone est le pays où les femmes ont le plus de partenaires ! 20% des Françaises ont eu plus de 10 partenaires, largement au-dessus de l’Italie (9%) et de l’Espagne (13%).  

 

« Si la transition de la France d'un modèle de sexualité à un autre doit beaucoup aux évolutions sociétales et caractéristiques culturelles propres à l'Hexagone (notamment dans son rapport plus distant à la religion), elle s'inscrit dans un mouvement plus large affectant l'ensemble du continent et dont l'indicateur - la multiplication des partenaires sexuels des femmes au cours d'une vie nous paraît très révélateur, à savoir l'indépendance sexuelle croissante des femmes et le déclin du discours moral ayant longtemps insinué que “la valeur des femmes tient à leur parcimonie avec laquelle elle se donnent” », poursuit François Kraus. Les Françaises ont donc la quantité, reste à obtenir la qualité.  

 

 

AMX-10 P

Publié à 22:04 par dessinsagogo55 Tags : center carte centerblog sur base merci france place png obstacles histoire centre 2010 bleu
AMX-10 P

 

L'AMX-10 P était le véhicule militaire blindé de combat, de transport et d'appui adopté par l'infanterie française en 1973 et construit par GIAT.

 

Son remplacement commença à partir de 2008 par le Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI), jusqu’en 2015, date de son retrait complet.

 

Description

Caisse

 

La caisse blindée est formée de plaques d'aluminium corroyé et soudé. Elle est de forme rectangulaire, avec un glacis incliné et pointu. Un écran pare-vague de forme rectangulaire recouvre la partie avant du glacis.

 

Le poste de pilotage est situé sur la gauche du glacis et comporte trois épiscopes, dont un adapté à la vision nocturne et une trappe d'accès. Le moteur est placé à sa droite, sous des grilles de refroidissement.

 

L'habitacle est situé en arrière et peut accueillir huit combattants ou diverses armes et munitions. L'accès s'effectue par l'arrière de la caisse, à l'aide d'une rampe relevable, percée de deux portes et de meurtrières. Des trappes sont présentes sur le toit du véhicule et permettent le tir pour les passagers.

 

Armement

 

La tourelle Toucan II est située en position centre gauche. Elle est biplace, équipée de deux épiscopes (chef de bord et tireur) adaptés à la vision nocturne, d'une couronne de sept meurtrières d'observation et de deux trappes d'accès. Elle pointe en site de - 8° à + 50° et tourne sur 360°.

 

La tourelle porte un canon modèle F2 de calibre 20 mm à double alimentation (projectiles explosifs et perforants, sur bandes constituées de maillons détachables) produit par Nexter (anciennement GIAT), ainsi qu'une mitrailleuse coaxiale de 7,62 mm modèle AA-52 à canon lourd et quatre lance-pots fumigènes (DREB ou défense rapprochée d'engin blindé). Le canon de 20 mm, d'une cadence de 700 coups/minute, a une portée maximale contre les blindés légers de 1 000 m, contre les aéronefs de 1 500 m, et contre le personnel de 2 000 m

 

Huit-cents coups de 20 mm (dont moins d'une centaine de projectiles perforants) et deux mille cartouches pour la mitrailleuse (sous forme de bandes placées dans des caissettes métalliques) constituent la dotation standard.

 

Motorisation et train de roulement

 

Le moteur est un engin Hispano-Suiza HS 115 Diesel turbocompressé doté de deux réservoirs de carburant de 250 l. Il anime un train de roulement à chenilles, constitué sur chaque côté de la caisse de cinq galets porteurs, trois galets de support, un barbotin à l'avant et une poulie de renvoi à l'arrière. De fines plaques de blindage masquent les galets supports.

 

Mobilité

 

Le véhicule se déplace à une vitesse maximale de 65 km/h sur route, passe des pentes de 60 %, des dévers de 30 %, des obstacles verticaux de 0,7 m et des coupures larges de 1,6 m. Il est amphibie et navigue en rivière à une vitesse maximale de 7 km/h, sous l'action d'hydropropulseurs. Il roule dans l'obscurité à l'aide d'un dispositif de vision nocturne et en ambiance NBC.

 

Histoire

 

 
Vue arrière d'un AMX-10P trappe ouverte. Celle ci dispose de deux portes.
 

Origines et construction

 

L'AMX-10 P est conçu en remplacement de l'AMX-13 VCI, avec la capacité de franchir des coupures humides et de combattre dans un contexte de conflit NBC. Il est doté d'une mobilité comparable à celle du char AMX-30, pour appuyer ses déploiements.

 

Le blindé est développé au milieu des années 1960 par le GIAT, sur le site de l'AMX/APX au plateau de la Minière à Satory (Versailles). Il est fabriqué en série à partir de 1973 par l'Atelier de Construction de Roanne (ARE aujourd'hui Nexter Systems), pour l'armée française, puis avec succès pour l'exportation.

 

Essais

 

Les premiers tests en condition de combat avec un équipage complet ont été réalisés en juillet 1972 sur le terrain de manœuvres de Poigny-la-Forêt, appartenant au 501e régiment de chars de combat basé à l'époque à Rambouillet, aujourd'hui à Mourmelon-le-Grand. L'équipage du char Longumeau (AMX-13) du 5e escadron au 501 a été désigné pour effectuer ces tests. Chaque personnel a été équipé de capteurs cardiaques, pour étudier les réactions de l'organisme humain dans ce blindé.

 

Livraisons

 

Les livraisons à l'armée de terre française commencent en 1973. Un total de 1 810 engins sont produits jusqu’en 1994.

 

Engagements

 

L'AMX-10 P est engagé à plusieurs reprises sur des théâtres extérieurs.

 

Il équipe le bataillon français de la KFOR engagé en 1999 au Kosovo

 

Neuf exemplaires de ce blindé sont déployés en Côte-d'Ivoire en octobre 2005, pour appuyer la Force Licorne dans une démonstration de force

 

À la suite du conflit israélo-libanais de 2006, la FINUL voit ses moyens d'actions renforcés par une résolution de l'ONU. L'armée française envoie en conséquence deux compagnies d'infanterie mécanisée du régiment de marche du Tchad. Les AMX-10 P sont remplacés dans cette mission en septembre 2010 par des VBCI

 

Modernisation et retrait

 

Cent-huit AMX-10 P français ont été revalorisés entre 2006 et octobre 2008 pour un coût de 50 millions d'euros

 

La Délégation Générale pour l'Armement (DGA) a passé contrat en septembre 2005 avec Nexter, et le dernier exemplaire est livré le 23 octobre 2008 au 92e Régiment d'Infanterie de Clermont-Ferrand

 

L' AMX-10 P revalorisé est modernisé au niveau des moyens de commandement et communication avec un système d’information terminal et de navigation (SIT) et des postes radio de dernière génération. La mobilité est augmentée avec l'amélioration de la boîte de vitesses, l'installation d’une assistance au passage de vitesses et le renforcement des suspensions. La protection est revue avec des blindages en acier rapportés sur l'avant, les côtés et le toit, un fumigène large bande (système de défense rapprochée GALIX) et des moyens de détection et d'extinction rapides des incendies et explosions. L'armement reçoit un moyen de visée tout temps. Des kits d’installation sont implantés pour le missile Eryx, le lance-roquette AT4CS et le groupe de combat FÉLIN.

 

Cette version rénovée devait rester en service jusqu'au moins 2020, mais le retrait semble effectif en 2015.

 

Au sein des forces françaises, l'AMX-10 P a été remplacé à partir de 2008 par le Véhicule blindé de combat d'infanterie.

 

Versions

 

AMX 10 P : version de base (P pour personnel)

AMX 10 PH : version modifiée du P dans les années 1980 (place des pots fumigènes)

AMX 10 P Milan : équipé de deux lanceurs Milan

AMX 10 HOT : lance-missiles antichar HOT (appelé aussi AMX Lancelot)

AMX 10 M ou AMX 10 ACRA : projet de chasseur de char armé d'un canon de 142 mm lançant le missile Anti-Char Rapide Autopropulsé qui n'a existé qu'à l'état de prototypes

AMX 10 TM : équipé d'un mortier de 120 mm

AMX 10 PAC 90 : canon antichar GIAT de 90 mm

AMX 10 P Marine : capacités amphibies améliorées

AMX 10 PC : char de commandement

AMX 10 VOA : observateur d'artillerie

AMX 10 ECH : véhicule de dépannage équipé d'une petite grue sur le toit.

AMX 10 SAO : véhicule d'Observation d'artillerie conçu pour l'export.

AMX 10 THS : prototype équipé d'une transmission hydrostatique qui lui donnait une mobilité remarquable, resté à l'état de prototype.

AMX 10 AMB : version ambulance développée pour l'exportation.

AMX 10 TTB : prototype équipé d'une tourelle armée du canon Bofors de 40 mm (Au musée des blindés de Saumur, comme le THS, le SAO et l'AMB).

 

Utilisateurs

 

 
 
Carte des utilisateurs d'AMX-10P actuels en bleu, et les anciens utilisateurs en rouge.


 Arabie saoudite
 Bosnie-Herzégovine : 25 exemplaires livré en 1999 par le Qatar
 Émirats arabes unis
 France : 331 exemplaires en parc en 2011, retrait total en 2015 
1er régiment de tirailleurs (1er RTir) de Épinal, dans la 1re BM
Régiment de marche du Tchad (RMT) de Meyenheim, 2e BB
152e régiment d'infanterie (152e RI) de Colmar, 7e BB
1er régiment d'artillerie de marine
16e bataillon de chasseurs de Sarrebourg (Allemagne), 2e BB
 Grèce
 Indonésie : 100 exemplaires équipant le Corps des fusiliers marins
 Irak : 100 véhicules sont livrés entre 1981 et 1982. Plusieurs AMX-10P font l'objet d'une rénovation en 2015 par les équipes techniques irakiennes
 Maroc
 Mexique
 Qatar
 Singapour

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/AMX-10_P

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
    AMX-13
    AMX-13 : Variantes
    AMX-10 P
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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AMX-13 : Variantes

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AMX-13 : Variantes

 

Le modèle char de combat

Les modèles de châssis

 

Six modèles de châssis sont construits, dans l'ordre chronologique :

 

char AMX-13 (2A) : avec 4 galets de roulement et la poulie de tension au niveau du sol ;

char AMX-13 (2B) : avec 5 galets de roulement et la poulie de tension surélevée ;

char AMX-13 (2C) : avec la tourelle FL-10 et deux rouleaux supports de chenille ;

char AMX-13 (2D) : avec 4 rouleaux supports de chenille ;

char AMX-13 (2E) : avec 3 rouleaux supports de chenille et un canon de 90 mm ;

char AMX-13 (2F) : avec 2 rouleaux supports de chenille et un manchon anti-arcure sur le canon.

 

AMX-13 canon de 75 Modèle 1951

 

 

C'est le premier modèle d'AMX-13 en service. La tourelle FL 10 de l'AMX-13 est armée avec un canon semi-automatique SA 50 de 75 mm (Cn 75 SA 50) inspiré du canon de 75 mm long 7,5 cm KwK 42 L/70 du Pzkw V Panther. Il est doté d'un obus perforant de 75 mm d'une vitesse initiale de 1 000 m/s. Il est alimenté par un système original de barillets rotatifs d'une capacité de six obus chacun. Ce système permet d'économiser un membre d'équipage spécifique pour recharger le canon. En revanche, une fois les douze projectiles tirés, le retour à l'arrière est nécessaire pour compléter les barillets.

 

AMX-13 FL 11

 

En 1954, à la fin de la guerre d'Indochine, les matériels blindés sont tous d'origine américaine ou britannique datant de la Deuxième Guerre mondiale et leur usure se fait passablement sentir. C'est pourquoi, l'armée française envisage d'adopter un AMX-13 avec la tourelle FL 11 doté du canon de 75 mm de l'EBR. Cette tourelle a l'avantage de ne pas posséder le système à barillet. Une commande est passée pour cinq puis vingt exemplaires. Seuls les cinq premiers sont livrés et mis en service au 2e REC à Oujda, puis sont cédés au Maroc à la suite de l'indépendance de ce pays.

 

AMX-13 avec tourelle de M24

 

Chaffee

 

En 1957, pour remplacer les chars M24 Chaffee très usés, l'armée française envisage de monter sur le châssis de l'AMX-13 une tourelle de M24 avec le canon de 75 mm M6 L39, une mitrailleuse coaxiale MAC 31 de 7,5 mm et une mitrailleuse HBM2 de 12,7 mm en barbette sur la tourelle. L'idée est de pouvoir utiliser les obus de 75 mm qui ont été livrés en masse par les États-Unis à la France. Un prototype est essayé en 1957 puis 150 exemplaires sont fabriqués en 1960. Ils servent en Algérie française notamment au 9e régiment de hussards, puis sont rapatriés en 1962. Les canons sont démontés et le bouclier est remplacé par un pare-brise pour placer un instructeur. L'engin reçoit alors le nom d'AMX-13 DTT et les chars sont versés à l'instruction.

 

AMX-13 canon de 90 mm Modèle 1951

 

À partir de la moitié des années 1960, les M47 Patton sont retirés du service et l'AMX-30 n'est pas encore prêt pour les remplacer. Aussi, pour remettre à niveau les AMX-13 par rapport à leurs adversaires du pacte de Varsovie, les tourelles FL 10 sont modifiées à partir de février 1967 par le réalésage du canon SA 50, ajout d'un manchon thermique antiarcure et modification de l'aménagement intérieur. Le tube devient le « Canon de 90 mm modèle F3 » (Cn 90 F3), doté d'un obus empenné à charge creuse (HEATFS- Hight Explosive Anti-Tank Fin Stabilized) et tirant à la vitesse initiale de 750 m/s. Le système à barillets est conservé, la durée du rechargement complet allant de une heure à une heure et demie. Les nouveaux modèles reçoivent un aide à la conduite infra-rouge et une capacité NRBC qui se caractérise à l'extérieur, par l'apposition d'une jupe textile au niveau de la jonction entre la partie mobile et la partie fixe de la tourelle oscillante. Ils sont retirés du service en 1990.

 

 

AMX-13 T75 mm SS-11

 

L'industrie française est très avancée en matière de missiles anti-char et elle les essaye dans de nombreuses configurations et sur de nombreux châssis. Le Centre de Tir des Engins Blindés de Mailly-le-Camp propose une solution avec le montage de missiles SS-11 de part et d'autre du canon de 75 mm sur la tourelle FL-10 D2. Le principe est accepté en avril 1960 et les premiers exemplaires sont livrés en janvier 1963.

 

AMX-13 T75

 

Version avec les missiles SS-11 filoguidés.

 

AMX-13 T75/TCA

 

Version avec les missiles SS-11 guidés électroniquement (TCA = télécommande automatique.)

 

AMX-13 « Ben-Hur »

 

Ce sont des châssis AMX-13 avec la tourelle démontée destinés à l'instruction à la conduite avec une rambarde mise autour de l'orifice de tourelle pour donner à l'instructeur une certaine stabilité.

 

Les modèles destinés à l'infanterie

 

Le modèle transport de troupes d'infanterie donne naissance à toute une série de variantes.

 

Véhicule transport de troupe

 

l'État-major des armées choisit en juillet 1955 l'AMX-13 transport de troupe chenillé modèle 56 (AMX-13 TT 12 CH Mle 56) pour remplacer les half tracks d'origine américaine. Son appellation varie selon les périodes :

 

transport de troupe chenillé modèle 56 (AMX-13 TT 12 CH Mle 56) ;

AMX-13 VTP (Véhicule transport de personnel) ;

AMX-13 VTT (véhicule transport de troupe).

 

Des essais sont menés d'avril à juin 1956 par la section technique de l'armée sur quatre prototypes. En 1957, une présérie de 25 exemplaires est commandée. 230 exemplaires sont construits et livrés en 1960. L'armement initial est assuré par une mitrailleuse Reibel Mle 1931 non protégée. Deux versions de tourelleaux sont adoptées par la suite, le CAFL 38 doté d'une mitrailleuse Browning Mle 1919 de 7,62 mm ou d'une mitrailleuse AA 52 de 7,5 mm et le S470 ( Giat CB 127) avec une mitrailleuse Browning M2 HB de 12,7 mm.

 

Véhicule de combat d'infanterie AMX-13 VCI

 

Les dernières versions du VTT sont équipées du tourelleau T20-13 doté d'un canon de 20 mm à tir rapide ce qui peut lui donner les caractéristiques d'un véhicule de combat d'infanterie sans vraiment en avoir les qualités de protection. Il est supplanté progressivement dès 1975 par l'AMX-10.

 

Poste de commandement chenillés

 

AMX-13 Poste de commandement chenillé Mle 1956 (AMX-13 PC CH Mle 56)

 

Véhicules de tir mortier AMX-13 Mortier

 

Mortier de 81 mm : modèle destiné à l'armée belge et appelé AMX-VPCM (véhicule chenillé porte-mortier), il est armé avec un mortier de 81 mm Brandt qui tire de la partie avant du toit. Le mortier peut tirer sous un angle compris entre 43 et 80° avec un débattement latéral de 40°. L'équipage est de six hommes et l'engin porte un total de 128 roquettes de mortier. Une embase est portée devant la coque pour que le mortier puisse être mis en œuvre hors du véhicule si nécessaire.

 

Mortier de 120 mm : toujours dénommé AMX-VPCM (véhicule chenillé porte-mortier), il porte un mortier de 120 mm Brandt et une équipe de pièce de 5 hommes. Il peut transporter 60 coups. Le mortier peut tirer sous un angle compris entre 43 et 80° selon un débattement latéral de 46°.

 

Les modèles destinés à l'artillerie sol-sol

AMX-13 Obusier de 105 mm automoteur Modèle 1950 (105 AU 50)

 

Le projet d'un canon automoteur de 105 date de 1946 dans le cadre du renouveau de l'industrie de défense française. Le châssis AMX-13 est choisi parmi trois concurrents. Une longue phase d'expérimentation a lieu entre 1950 et 1954. En 1955, vingt exemplaires de pré-série sont construits par les ARE. 425 sont produits au total. 337 sont livrés à l'armée française avec le tube de 23 calibres, 92 sont exportés aux Pays-Bas avec le tube de 30 calibres. La masse artillerie est composée d'un obusier tracté de 105 OB 105 Mle 50 TF développé dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale mais qui n'est pas produit en masse. Le véhicule est un châssis AMX-13 renforcé et sa description est sensiblement la même que celle de la version char. Deux versions sont développées.

 

AMX-105 A ou M 61
 

Casemate fixe. L'obusier peut tirer sous un angle positif de 70° et négatif de -4° 30". Le débattement horizontal du canon est de 20° à gauche et 20° à droite. L'ensemble du pointage se fait à la main. Le canon a une portée maximum de 15 km. L'obus a une vitesse initiale comprise entre 220 et 670 m/s. Le tube qui peut avoir deux longueurs, 25 ou 30 calibre est terminé par un frein de bouche à deux volets. Sa capacité d'emport est de 56 obus de 105 mm dont 6 antichar. Il est équipé d'un télescope à grossissement 6 pour les tirs antichar et d'un goniomètre de grossissement 4 pour le tir d'artillerie. Une mitrailleuse de 7,5 mm AA 52 ou de 7,62 mm ANF1 est transportée à l'intérieur de la casemate. Une autre mitrailleuse du même type est montée sur le kiosque du chef de char à droite du compartiment de combat. Le compartiment de combat est couvert par deux plaques de blindage est il est accessible par deux portes à l'arrière.

 

AMX-105 B
 

Tourelle rotative. La tourelle rotative est un projet d'étude qui aboutit à la construction de quatre exemplaires pour la Suisse mais qui n'aboutit pas à une production. Les caractéristiques de la masse artillerie et du châssis sont sensiblement les mêmes que celles du modèle A mais il reçoit au-dessus de la tourelle, un tourelleau CAFL 38 avec une mitrailleuse MAC 31 de 7,5 mm pour la sécurité rapprochée de la pièce.

 

AMX-13 obusier de 155 mm auto-mouvant Modèle F3 (155 AMF3)

 

Un prototype est présenté en 1959. Le modèle est développé au début des années 1960 et consiste en un obusier de 155 mm monté à l'arrière d'un châssis AMX-13. L'obusier lui-même est construit par les Ateliers de construction de Tarbes (ATS) et il est dérivé du tube du l'obusier TR Mle 50 avec un frein de bouche différent. Le châssis est fabriqué par les Ateliers de construction de Roanne (ARE) à l'origine puis, à partir de 1965, la fabrication est transférée auprès de Creusot-Loire pour laisser la place aux chaines de montage de l'AMX-30. Les essais sont conduits par les Établissements d’études et de fabrication d'armement de Bourges (EFAB).

 

AMX-13 Véhicule de commandement d'artillerie

 

Version de l'AMX-13 VTT qui accompagne les batteries de 105 AU 50 ou de 155 AMF3 et qui contient tout le matériel pour la préparation des tirs sur le côté droit à l'arrière (planches de graphiquage et de tenue de la situation tactiques) et les transmissions avec à l'avant un ensemble de postes radio AN-GRC 9 (un poste pour les ordres, un poste pour le renseignement et un poste pour le réglage des tirs en liaison avec les observateurs avancés), un haut parleur et à l'arrière, un faisceau destiné à recevoir les fils téléphoniques en direction des pièces. L'équipage est de neuf personnels. Il peut tirer une remorque de ravitaillement en munitions ARE (Ateliers de Roanne) 2T F2.

 

AMX-13 VCA (Véhicule à chenille d'accompagnement)

 

Fait pour accompagner l'AMX-13 AMF3, il transporte le conducteur et l'équipe de pièce de sept hommes. Il peut transporter 25 coups complets (obus et gargousses), 39 fusées, et il peut tracter une remorque de ravitaillement en munition ARE (Ateliers de Roanne) 2T F2 qui contient 30 coups complets dont 26 gargousses à propulsion lente, 4 à propulsion rapide et 6 fusées. Il est armé avec un tourelleau standard. Dans la plupart des régiments d'artillerie, il est remplacé par un camion 3t GBC 8 KT d'accompagnement armé d'une mitrailleuse Browning HB de 12,7 mm sur affût circulaire pour la lutte antiaérienne.

 

AMX-13 RATAC (radar de tir de l'artillerie de campagne)

 

Version de l'AMX-13 VTT doté d'un radar Doppler RATAC qui permet de détecter et de distinguer les mouvements et régler les tirs.

 

Les modèles destinés à l'artillerie sol-air

 

Dès l'après-guerre, l'armée française cherche à améliorer ses capacités antiaériennes qui ne sont composées alors que de quadritubes de 12,7 mm montés sur half-track du modèle M16 Multiple Gun Motor Carriage et des canons tractés de Bofors 40 mm. Une tourelle quadritube composée de canons de Flak allemands MG-151/20 Vierling est essayée sur une plateforme AMX-13 mais la portée utile du système d'arme, 1 200 m, n'est pas satisfaisante.

 

AMX-13 défense contre-avion (DCA) monotube de 40 mm

 

Parmi les essais, un Bofors Mk.3 L.70 produit sous licence est monté sur une tourelle blindée SAMM (Société pour les applications des machines motrices) S-980. Le système d'arme destiné principalement à la marine est équipé un radar COTAM de détection, acquisition, poursuite et tir, d'un poste de conduite de tir avec un calculateur PHF 40 et d'une binoculaire L879. Les études cessent à partir de 1957 car la batterie s'avère trop lourde, la cadence de tir de 120 coups par minute est insuffisante et les missiles antiaériens semblent proposer une alternative plus prometteuse. Deux prototypes sont construits, mais aucune suite n'est donnée au projet.

 

AMX-13 défense contre-avion (DCA) bitube de 30 mm

 

À la suite de l'échec du modèle précédent, l'armée française se tourne au début des années 1960 sur un affût bitube de 30 mm Hispano-Suiza HS 831.A, inspiré du canon allemand de 30 mm MK 103, monté sous une tourelle blindée SAMM S 401.A et doté d'un radar de veille et de contrôle du tir Thomson-CSF Œil Noir.

 

Le système d'arme permet une défense antiaérienne du corps de bataille à basse altitude dans la zone des 1 000 m. Soixante exemplaires sont produits. Les premiers sont livrés en 1969 et quittent le service à la fin de la guerre froide.

 

Le châssis est du modèle renforcé de l'OB AU 50 qui permet d'avoir une plateforme horizontale sur laquelle la tourelle peut pivoter. Le bitube est contrôlé par des détentes électriques et la vitesse initiale du projectile est de 1 000 m/s.

 

Le tir peut être au coup par coup ou par rafales de 5 ou de 20 coups pouvant atteindre une cadence de tir de 600 coups/minutes pour les deux tubes.

 

Chaque tube dispose de 300 obus en réserve. Le système de pointage électrico-hydraulique n'est pas stabilisé. La tourelle peut pivoter à raison de 80° par seconde, avec un pointage en hauteur maximum de 85° atteint au rythme de 45° par seconde.

 

Le radar Doppler à vagues cohérentes Œil Noir développé par Électronique Marcel Dassault (EMD) peut détecter tout type d'aéronef dans un rayon de 12 km et jusqu'à une altitude de 3 000 m. Il permet au système d'arme d'atteindre un portée utile de 5 000 m.

 

Le système d'arme a aussi une capacité auxiliaire anti-char pour laquelle il est doté d'un viseur APX M 250. La tourelle reçoit un réceptacle arrière destiné à récupérer les douilles des obus tirés. Elle reçoit aussi des barres soudées pour accrocher des sacs de stockage textiles.

 

La tourelle étant un peu lourde pour le châssis AMX-13, une version montée sur le châssis AMX-30 est étudiée à partir de 1965, version qui n'est pas adoptée par l'armée française mais qui est proposée à l'export.

 

AMX-13 Roland

 

Le châssis de l'AMX-13 a été initialement envisagé pour soutenir le système de missile antiaérien franco-allemand Roland mais aucune production ne s'en est suivie et tous les exemplaires, prototypes et productions ont été montés sur un châssis de char AMX-30.

 

Les modèles destinés au génie

AMX-13 VCG (véhicule de combat du génie)

 

Introduit en 1964, il est destiné au génie « combat ». Il est dérivé de la version VTT de l'AMX-13. Il transporte dix hommes dont un chef de char, un conducteur et sept hommes. Il pèse 17,6 t. Il permet à ces personnels de faire des opérations de déblaiement, de destructions, de levage et de terrassement. Il est équipé d'une lame de bulldozer, d'une bigue démontable pouvant soulever 4 500 kg, et d'un treuil hydraulique (3,5 t - 4,5 t) commandés depuis l'intérieur du véhicule et d'outils de pionnier : détecteurs de mines, scies mécaniques, marteau perforateur automoteur, etc. Il peut tracter une remorque à deux essieux tous terrains d'une charge utile de 2 t. Il est armé d'une mitrailleuse Browning HB M2 de 12,7 mm sans tourelleau.

 

AMX-13 PDP (poseur de pont)

 

En 1955, le projet d'un véhicule poseur de pont est lancé. Un prototype est commandé en 1959 et il est testé en avril-mai 1962. Entre-temps, une série de 18 engins est commandée en janvier 1961 et une autre de 12 engins en septembre 1961. Il est construit autour du châssis de l'AMX-13 Mle 1955 Dépannage. Il est capable de franchir des coupures de 12 à 13 m.

 

AMX-13 poseur de pont Mle F1

 

Autre appellation du 13 PDP

 

AMX-13 poseur de mines Minotaur

 

Le Minotaur est un système entièrement automatique pour créer rapidement un champ de mines antichar sur une surface ajustable en portée, en densité et en durée. Un champ de mines d'une longueur de 2,4 km peut être créé en moins de 5 minutes sur les cotés à une distance de 300 m quand le véhicule est en mouvement, et vers l'arrière à 185 mètres lorsque le véhicule est en position statique. Montable sur divers châssis, l'AMX-13 TT était une option proposée par le GIAT mais qui n'a pas donné de suite.

 

Les modèles destinés au service de santé des armées

 

AMX-13 Sanitaire VCBT

 

Les modèles destinés au dépannage et au matériel

 

L' AMX-13 Mle 1955 Dépannage est conçu pour le dépannage, le remorquage et l'entretien du matériel blindé immobilisé. Il permet la manutention de moteurs et de tourelles. Il est équipé de :

 

1 treuil principal (force de traction : 15 t ; longueur de câble : 50 m) ;

1 treuil auxiliaire (force de traction : 1 t ; longueur de câble : 120 m) ;

1 grue (force de levage : 5 t) ;

1 groupe électrogène ;

1 projecteur orientable de grande puissance ;

1 mitrailleuse de 7,5 mm en tourelleau.

 

Longueur : 5,50 m. Largeur : 2,60 m. Hauteur : 1,38 m. Vitesse : 60 km/h. Poids 14 t. Équipage : 3 hommes.

 

Les modèles spécifiques à l'étranger ou prototypes destinés à l'export

 

Dès 1950, de par son originalité, l'engin connait un très grand succès à l'export, succès qu'il connait jusqu'à la fin de son service dans l'armée française et même au-delà.

 

AMX-13 canon de 105 Modèle 1958 : en juillet 1957, une nouvelle tourelle FL 12 équipée d'un canon de 105 mm Mle 1957 (Cn 75 SA 57 (F1)) L 44, est essayée aux Ateliers de Bourges (ABS). Une présérie est livrée à l'armée française mais elle n'est pas suivie de production. En revanche, cette version intéresse les pays étrangers comme les Pays-Bas, le Liban, le Pérou et l'Équateur. La tourelle FL 12 sans le châssis est vendue à l'Autriche pour être montée sur le chasseurs de char SK-105 Kürassier.

 

AMX-13 FL 15 : version néerlandaise avec une tourelle FL 15 similaire à la FL 12 mais avec un équipement de vision comprenant sept épiscopes M554 et des jumelles de vision nocturne OB 44 pour le chef de char et deux épiscopes M552 pour le tireur, un périscope/télescope M212 avec un grossissement de 1,6 à 6,5 fois pour le chef de char et un télescope à grossissement 8 de jour et 6 de nuit pour le tireur. Un système de contrôle de tir facilite l'acquisition de la cible, réduit le temps d'engagement et augmente la probabilité d'atteinte au premier coup.

AMX 13-105 : version destinée à l'export avec un canon de 105 à manchon anti-arcure et l'avant de la coque renforcé.

LAR-16  : version vénézuélienne retrofitté par Israël avec un lanceur de roquettes multiples (MBRL) avec 26 tubes de 160 mm LAR pour projectiles explosifs (HE). 25 exemplaires ont été mis en service. Les châssis ont été rétrofittés selon la norme NIMDA.

AMX-13V CLI : AMX-13/90 amélioré pour l'armée vénézuélienne.

AMX-13 VCPC : AMX-13 VCI amélioré pour l'armée vénézuélienne.

AMX-13 AD : version antiaérienne vénézuélienne avec une tourelle bitube américaine de 40 mm M42 Duster.

AMX 13 VTT avec missile ENTAC : modèle développé pour la Belgique.

AMX 13 Obusier de 105 mm automoteur Modèle 1950 avec tourelle rotative : version du 105 AU 50 achetée par la Suisse à quatre exemplaires qui restent à l'état de prototypes.

AMX-13 GTI : version semi-expérimentale d'essai avec une nouvelle suspension construite par GLS, une succursale de Krauss-Maffei.

AMX-13 HOT : prototype avec missiles antichar HOT.

AMX 13 modèle 1987 : ultime version proposée à l'export par la France avec un moteur Baudouin 6F 11 SRY, diesel de 280 CV ou un Detroit Diesel Model 6V-53T, diesel de 280cv un transmission automatique Rockford Powertrain ZF 5WG-180 et une suspension hydropneumatique qui permet un plus grand confort de l'équipage et une capacité à tirer en roulant plus importante.

AMX-13 SM1 (Singapore Modernised 1) : version améliorée pour l'armée singapourienne fondée sur les caractéristiques de l'AMX-13 modèle 1987 avec le moteur Detroit.

AMX-13 THS : prototype avec une nouvelle transmission hydraulique.

AMX-40 DCA : système antiaérien avec un canon de 40 mm Bofors.

AMX-113 : version améliorée destinée à l'Argentine.

AMX-13 PRA (PantserRups Artillerie) : version hollandaise de l'obusier AU 50.

AMX-13 PRI (PantserRups Infanterie) : version hollandaise de l'AMX-13 VTT.

AMX-13 PRB : (PantserRups Berging) : version néerlandaise de l'AMX-13 dépannage.

AMX-13 PRCO (PantserRups Commando) : version néerlandaise de l'AMX-13 VTT PC.

AMX-13 PRVR : version néerlandaise de l'AMX-13 Cargo.

AMX-13 PRGWT (PantserRups Gewondentransport) : version néerlandaise de l'AMX-13 VCTB ambulance.

AMX-13 PRAT : version néerlandaise de l'AMX-13 VTT avec missiles antichar TOW.

AMX-VTT Cargo : version du VTT destiné au ravitaillement et au transport logistique construits pour la Belgique et les Pays-Bas avec une capacité d'emport de 3 tonnes.

AMX-VTT PADTA (poste avancé de direction tactique air) : version du VTT équipé d'un radar de veille aérienne.

AMX-VTT Modèle 1987 : ultime version du VTT modernisée avec une mobilité et un système de tir améliorés.

AMX-13 57L/100 : prototype avec un canon britannique L7 de 100 mm monté sur une tourelle FL (1957).

AMX13/Cockerill : version rétrofittée par Cockerill avec un canon de 90mm Mk IVA3.

DNC-1 : nom des AMX-13 livrés au Mexique, surplus de l'armée belge remis à niveau par l'industrie belge SABIEX pour le châssis et SEBENA pour le canon.

DNC-1 Grua : version de l'AMX dépannage Mle 1955 améliorée localement par l'armée mexicaine.

Char léger 51 / Leichter Panzer Lpz 51 : nom de la version suisse du Modèle 51. Dans l'attente de la livraison de chars Centurion par les Britanniques, l'armée suisse adopte l'AMX-13 Mle 51. Ces chars restent en service jusqu'en 1980.

NIMDA Upgrade : pack de modernisation proposé par la compagnie israélienne NIMDA. Il comprend un moteur diesel Detroit Model 6V-53T de 275 ch à 2 800 tours par minute avec une transmission automatique NIMDA N303, un nouvel armement, un système informatisé de contrôle des tirs, du blindage additionnel réactif.

AMX-13 Yonkav 2 : AMX 13/105 complètement revu et modernisé pour l'Indonésie. En cours de développement depuis 2014. Il comprend notamment un nouveau canon de 105 mm et un nouveau blindage et un moteur Navistar de 320 CV.

 

AMX-13RA5 Escorpion 1 : version péruvienne de l'AMX-13 équipé d'une tourelle FL-12 avec un canon de 105 mm et de missiles antichars russes Malyutka 9M14 (Code OTAN AT3 Sagger).

AMX-13PA8 Escorpion-2 : version péruvienne d'AMX-13 équipé d'une tourelle FL-12 avec un canon de 105 mm et deux missiles antichars ukrainiens Bar'er R 2S.

AMX-13 Alacrán : version péruvienne sans canon équipé d'une poste lance-missiles antichars avec deux ou trois missiles antichar russes 9M133 Kornet (Code OTAN AT14 Spriggan) prêt à l’emploi en service depuis 2010.

AMX-D30 Vulcano : obusier automouvant sur la base d'un AMX-13-105 péruvien sur lequel est monté un obusier D-30 de 122 mm russe à partir de 2018. Construction de 30 à 40 exemplaires prévue.

 

Pays utilisateurs

 

Les nations ayant utilisé ou utilisant encore l'AMX-13 et ses variantes sont nombreuses.

 Algérie : 44 AMX-13/75
 Argentine : 58 AMX-13/105 Mod. 58 - acquis en 1968. 30 construits en
France et 28 acquis en pièces, pour assemblage en Argentine par la firme Astilleros Argentinos Rio de la Plata S.A. (ASTARSA), sous licence, avec l’assistance technique et la supervision du fabricant français.
 Autriche : 72 AMX-13/75
 Belgique : 555 AMX-13 dont 305 VTT, 72 PC, 58 Cargo, 90 Mortier, 86 MILAN et 30 ENTAC
 Cambodge : 20 AMX-13/75
 Chili : 87 AMX-13 AMF3
 Côte d'Ivoire : 5 AMX-13/75
 Djibouti : 60 AMX-13/90
 République dominicaine : 15 AMX-13/75
 Égypte : 20 AMX-13/75
 Équateur : 195 AMX-13 dont 108 AMX-13/75 et 87 AMX-13 VCI en 1975
 France :
 Guatemala : 8 AMX-13/75
 Inde : 164 AMX-13/75
 Indonésie : 175 AMX-13/75
 Israël : 100 AMX-13/75
 Koweït :
 Liban : 75AMX 13 dont 42 AMX-13/75, 13 AMX-13/90, et 22 AMX-13/105
 Maroc : 120 AMX-13/75
 Pays-Bas : 846 AMX-13 dont 131 AMX-13/75, 345 VTT, 82 105AU50, 162 VTT-PC, 34 dépannage, 46 VTT-cargo, 46 VTT-transport de blessés. Les derniers quittent le service en 1983
 Népal : 56 AMX-13/75 acheté en deuxième main à Singapour
 Pérou : 108 dont 30 AMX-13/75 et 78 AMX-13/105 qui en 2018 utilise des versions nationales antichars et veut convertir ses obusiers de 105 mm en mettant des D-30 de 122 mm à la place des canons d'origine
 Singapour : 300 AMX-13/75; acheté en deuxième main à la Suisse et à Israël
 Suisse, Armée suisse : 200 x Blindés léger 51 et 4 105 AU 50 B
 Tunisie : 30 AMX-13/75
 Venezuela : 67 AMX-13 dont 36 AMX-13/75 et 31 AMX-13/90

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/AMX-13#Variantes[7]

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
    AMX-13
    AMX-13 : Variantes
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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AMX-13

AMX-13

 

L'AMX-13 est un char léger français produit à 7 700 exemplaires (dont 3 400 exportés dans 35 pays) entre 1953 et 1985. Son châssis est décliné en plusieurs versions : char de combat, lance-missile antichars, transport de troupes (AMX-13 VCI), canon automoteur de 105 ou 155 mm, postes de commandement, engins du génie, ambulance, etc.

 

Sa conception est très avancée notamment grâce à sa tourelle oscillante FL 10 qui permet de monter sur un châssis de char léger des canons longs à grande vitesse initiale de calibre 75, puis 90, et même 105 mm. Elle permet notamment de concilier, légèreté, petite taille, rapidité et puissance de feu.

 

Historique

 

 
Un char léger AMX-13 équipé de missiles antichar Nord SS.11. Un total de 4 300 de ces engins furent perçus par l'armée française entre 1952 et leur retrait dans les années 1980.
 

Dès l'automne 1944, l'état-major des armées françaises relance un programme de rééquipement de l'armée avec du matériel français. Une réunion décisive a lieu en février 1945 pour définir les spécifications de nouveaux chars, et demande aux structures de production d'armement d'envisager trois types de matériels : un char principal de combat (Main Battle Tank - MBT); un char léger; un véhicule blindé de reconnaissance.

 

En septembre 1946 un avant-projet est émis par la direction des études et fabrications d'armement (DEFA) pour un char léger destiné à la reconnaissance et à la mission antichar. Peu à peu, le cahier des charges s'affine et s'avère être à contresens des développements des autres puissances qui alourdissent leurs nouveaux chars (T-10 en URSS, M 48 aux États-Unis, Centurion en Grande-Bretagne) dans le sens d'une protection renforcée et d'une puissance de feu accrue. Il se tourne délibérément vers un engin léger qui doit avoir :

 

une forte puissance de feu ;

un poids inférieur ou égal à 12 t pour être aérotransportable ;

une très bonne mobilité ;

une grande autonomie ;

le châssis doit être polyvalent et doit pouvoir accueillir une gamme complète d'armement.

 

Le principe d'une tourelle oscillante est adopté et validé par la section technique de l'armée (STA), et en avril 1947 quatre constructeurs sont mis en compétition : AMX, Renault, les Forges et chantiers de la Méditerranée (FCM), la Compagnie générale de construction de locomotives (Batignolles-Chatillon). La tourelle FL 4 de chez Fives-Lille équipée d'un canon long de 75 mm à haute vitesse initiale est adoptée.

 

En décembre 1949, la société AMX remporte le marché. Cinq prototypes sont construits, mais fin 1949 l'exigence d'aérotransportabilité est abandonnée.

 

De février à avril 1950 les prototypes sont essayés en corps de troupe avec des tourelles FL 4 ou FL 5. 135 blindés de pré-série avec tourelle FL 10 sont commandés.

 

En octobre 1950, le prototype no 2 est envoyé aux États-Unis pour concourir aux financements ouverts dans le cadre des offshore procurement programs, qu'il obtient.

 

Début 1951, le char est adopté sous le nom de « char de 13 tonnes modèle 1951 » ou « char AMX-13 ». Au premier semestre 1952 les premiers exemplaires de série sont livrés au 8e régiment de hussards à Epernay. Des tests sont, par ailleurs, poursuivis en Afrique du Nord.

 

La firme Mathis est déclarée en faillite alors que son moteur, choisi à l'origine pour le blindé, demande encore une longue mise au point. Est alors adopté un moteur fabriqué par la Sofam (Société de fabrication d'armements et de moteurs), qui sera finalement produit par SAVIEM.

 

Les dernières mises au point et expérimentations durent jusqu'en 1955. Les modèles de série sortent des ateliers de Roanne (ARE) jusqu'en 1964, puis de chez Creusot-Loire à Chalon-sur-Saône. Une troisième ligne de montage est ouverte aux Forges et chantiers de la Méditerranée à la Seyne-sur-Mer. La fabrication se termine en 1985.

 

Description

 

Très original dans son concept, la coque de l'AMX-13 est entièrement soudée. Le conducteur est assis à l'avant gauche et dispose de trois épiscopes qui lui donnent une visibilité panoramique, et d'une trappe blindée d'une seule pièce qui s'écarte du côté gauche. Le moteur est placé à droite du conducteur. Il est à l'origine un moteur d'avion Mathis 8GB.20 à essence de 8 cylindres horizontaux, développant 250 ch à 3 000 tr/min, et qui équipe notamment le Morane-Saulnier MS-733 Alcyon et l'hydravion SCAN 30. Mais, avec la faillite de Mathis, il est remplacé par un 8GXB de 8 cylindres à plat, développant 270 ch à 3 200 tr/min. Le rapport poids-puissance est de 15 ch par tonne.

 

La tourelle oscillante FL-10 est placée à l'arrière du conducteur et du bloc moteur. Elle comprend une pièce longue de calibre 75 mm.

 

Les suspensions sont à barre de torsion, avec un total de cinq galets de roulement, la poulie de tension étant à l'arrière et le barbotin à l'avant, trois rouleaux supportent la chenille sur le dessus. La suspension du premier et du cinquième galet de roulement est renforcée par un amortisseur hydraulique. La boite de vitesses est manuelle et possède cinq vitesses avant et une marche arrière. Une boite automatique a été développée. Le différentiel est du type Cleveland. La direction et le freinage sont assurés par un système de bandes sèches et de bandes humides mise en œuvre par quatre leviers en fonction de l'effet à obtenir. Le système électrique est alimenté par 4 batteries de 12 volts (100 Ah) et un générateur de 4,5 kW.

 

L'AMX-13 n'a pas de capacité amphibie, ni de franchissement en eau profonde, ni de protection NBC

.

Participations aux opérations

Guerre d'Algérie

 

L'armée française utilise des AMX-13 de manière limitée pendant la guerre d'Algérie : en mars 1958, 114 sont déployés.

 

Suez

 

Le 2e escadron du 2e régiment étranger de cavalerie en renforcement du 1er régiment étranger de parachutistes met en œuvre des AMX-13 lors de la crise de Suez en 1956.

 

L'armée israélienne l'emploie durant la même campagne au sein de la 7e brigade blindée. L'AMX-13 est le premier char moderne de l'après-guerre qu'elle reçoit, la France étant le seul pays qui s'autorise à lui fournir des armes pour contrebalancer le poids de l'accord d'armement entre les Tchécoslovaques et les Égyptiens. En 1956 elle en possède 180, et les emploie comme chars de bataille faute de chars plus lourds.

 

République dominicaine

 

L'AMX-13 est aussi utilisé lors de la guerre civile dominicaine aussi bien du coté loyaliste que du coté rebelle. Deux AMX-13 saisis par les rebelles sont détruits par les M50 Ontos de l'United States Marine Corps à la suite de l'intervention des États-Unis.

 

Guerre des Six Jours

 

En 1967 lors de la guerre des Six Jours, Israël en possède environ 400 qui sont articulés en trois bataillons :

 

le premier est employé contre les Jordaniens vers le sud en Cisjordanie dans la région de Taluzi, de Tubas et de Naplouse ;

 

le deuxième est employé contre les Égyptiens et capture les points fortifiés qui protègent la bande de Gaza et la route côtière dans le nord de la péninsule du Sinaï ;

le troisième est employé contre les Syriens et participe à l'attaque du plateau du Golan.

 

La leçon qui en est tirée est que l'AMX-13 n'est pas assez blindé et que son canon est trop faible. Des pertes importantes sont subies à Rafah et sur le col de Jiradi. Les israéliens décident alors de retirer leurs AMX-13 et de les vendre à Singapour en 1969.

 

Guerre indo-pakistanaise

 

Lors de la deuxième guerre indo-pakistanaise en 1965, la 1re division blindée pakistanaise dotée de 264 M47 et M48 Patton américains est défaite lors de la bataille d'Asal Uttar (en), le 10 septembre. Elle est opposée à trois régiments de l'armée indienne, dont l'un, le 8e régiment de cavalerie, est équipé d'AMX-13. Cette bataille fut le plus grand engagement de chars depuis la Seconde Guerre mondiale.

 

Guerre civile libanaise

 

Les AMX-13 sont très actifs dans et autour de Beyrouth pendant la guerre du Liban, de 1975 à 1990, aussi bien entre les mains de l'armée libanaise que dans celles des groupes armés belligérants : la plupart des AMX-13 de l'armée régulière libanaise tombent entre les mains des milices chrétiennes du Front Libanais, entre celles des musulmans du Mouvement national libanais (LNM), et entre celles de factions rebelles dissidentes telles l'Armée arabe libanaise (LAA), l'Armée du Liban libre (AFL), la milice Kataeb (KRF), les milices Tigre, les Forces libanaises (LF), l'Armée du Sud-Liban (SLA), le mouvement Amal, l'Armée populaire de libération.

 

Entre 1979 et 1981, la France livre à nouveau des AMX-13 à l'armée libanaise, et la plupart de ceux saisis par les factions sont restitués à l'armée libanaise entre 1990 et 1993. En juillet 2018, six d'entre eux servent à la constitution d'un brise-lames au large de Sidon avec d'autres véhicules militaires.

 

Sahara Occidental

 

Le Maroc utilise ses AMX-13 pendant la guerre des Sables en 1963. Lors de la guerre du Sahara occidental contre le Polisario, il les utilise concurremment avec des SK-105 Kürassier, chars autrichiens également équipés d'une tourelle oscillante.

 

Fin de service en France

 

En France, au début des années 1980, environ 1 010 chars sont en parc dans l'armée de terre française, et sont alors en cours de remplacement dans les régiments mécanisés par les AMX-30. Un escadron de 16 AMX-13/90 et des AMX-VCI restent en service jusqu'en 1990 au 30e groupe de chasseurs de la 7e division blindée et au 5e RIAOM à Djibouti.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/AMX-13

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
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