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Monde : France

France Gall : Son père est Robert Gall

France Gall : Son père est Robert Gall



Son père est Robert Gall (1918-1990), ancien élève du conservatoire, chanteur et auteur, entre autres, de La Mamma pour Charles Aznavour. Sa mère, Cécile Berthier, est la fille de Paul Berthier (1884-1953), cofondateur de la Manécanterie des Petits Chanteurs à la croix de bois. Elle est la nièce de Jacques Berthier (1923-1994), compositeur et organiste, cousine du guitariste Denys Lable et de Vincent Berthier de Lioncourt (fils de Jacques), fondateur, en 1987, du Centre de musique baroque de Versailles (CMBV). Elle voit défiler chez ses parents de nombreux artistes comme Hugues Aufray, Marie Laforêt ou Claude Nougaro. Enfant, elle accompagne parfois son père dans les coulisses de l'Olympia. Quelquefois, il lui fait même manquer l'école pour l'emmener voir Piaf, Bécaud ou Aznavour en concert à Bruxelles. Elle commence le piano à cinq ans puis gratte la guitare vers onze ans. À treize-quatorze ans, elle fait de la musique avec ses deux frères, les jumeaux Patrice et Philippe : ils avaient fondé un petit orchestre et jouaient l'été sur les plages et l'hiver à Paris. La petite Isabelle est surnommée « Babou » par sa famille, surnom qu'elle porte encore aujourd'hui. Son père, devant son caractère déjà affirmé, lui octroie le titre de « petit caporal. » Ses violons d'Ingres sont la peinture et les jeux de société.



Pendant les vacances de Pâques 1963, son père l'incite à enregistrer quelques chansons et remet les bandes à un éditeur musical, Denis Bourgeois. Le 11 juillet suivant, l'éditeur lui fait passer une audition au théâtre des Champs-Élysées puis tout s'enchaîne très vite. Comme France est mineure, c'est son père qui signe le contrat chez Philips où Denis Bourgeois est déjà directeur artistique de Serge Gainsbourg. Bourgeois devient donc celui de France et elle enregistre quatre titres avec l'arrangeur Alain Goraguer, jazzman et compositeur qui a notamment travaillé avec Boris Vian. Première contrainte de sa direction artistique : pour ne pas interférer avec Isabelle Aubret, alors grande vedette, elle doit abandonner à regret son prénom d'Isabelle. Elle devient « France » à la scène : « J'ai toujours été contre « France », je trouvais que c'était trop dur. « Isabelle », ça me correspondait, ça me plaisait. Je ne sais pas ce qui s'est passé pour que je me mette à aimer mon nom. Et maintenant c'est « France Gall ». C'est exactement moi. »



Le jour de ses seize ans, le 9 octobre 1963, le cadeau le plus inattendu que France reçoit est sûrement la première diffusion de ses chansons à la radio. C'est le titre phare, Ne sois pas si bête, qui obtient un succès fulgurant. France se place à la 44e place du hit-parade de Salut les copains du mois de novembre (derrière Tu n'y crois pas de Michel Berger et devant La Mamma de Charles Aznavour). Denis Bourgeois a alors une idée géniale. La carrière de son poulain Serge Gainsbourg piétine malgré plusieurs albums à son actif, ainsi que des compositions estimées pour des chanteurs rive gauche comme Michèle Arnaud ou Juliette Gréco. Il propose à Gainsbourg d'écrire pour France. Le compositeur signe N'écoute pas les idoles sur le 2e 45 tours de France, titre qui se place en tête du hit-parade du mois de mars 1964. À son propos, France Gall dira : « C'est quelqu'un que j'avais du plaisir à voir parce que je l'admirais et j'aimais ce qu'il écrivait. Et j'aimais bien sa timidité, son élégance et son éducation. C'était très agréable comme relation. [...] J'étais très impressionnée que cet homme travaille pour moi et s'intéresse à moi... » Avec le succès, elle quitte le lycée Paul-Valéry où elle redoublait sa troisième. Paris Match du 21 mars 1964 lui consacre un article pour la première fois. Elle fait ses premiers pas sur scène le 14 avril en première partie de Sacha Distel à l'Ancienne Belgique de Bruxelles. Elle hérite de l'impresario de ce dernier, Maurice Tézé, qui est également parolier. Sous la houlette de cette équipe composée de vieux loups du métier, France aura énormément de difficultés à défendre le choix de son répertoire (la seule chanson qu'elle a coécrite, avec son père, est Pense à moi sur une musique jazzy de Jacques Datin, un des quatre titres de son premier 45 tours).



Néanmoins, cette équipe va lui permettre de créer un répertoire original, alors que la plupart de ses collègues yéyés recourent systématiquement aux adaptations de succès anglo-saxons. Formée à cette école, elle confiera plus tard : « Une interprète, déjà qu'elle n'écrit pas les paroles et la musique, si en plus elle pique les chansons des autres, si elle ne crée pas la chanson, cela n'a pas un grand intérêt. »



Outre son père et son frère Patrice, elle devra ses succès des années 1960 à la plume des plus grands auteurs et compositeurs français, dont beaucoup d'œuvres s'inscrivent au patrimoine de la chanson populaire : Gérard Bourgeois, Jean-Pierre Bourtayre, Vline Buggy, Pierre Cour, Joe Dassin, Jacques Datin, Pierre Delanoë, Jean Dréjac, Alain Goraguer, Hubert Giraud, Georges Liferman, Guy Magenta, Eddy Marnay, André Popp, Jean-Michel Rivat, Jean-Max Rivière, Gilles Thibaut, Frank Thomas, Maurice Vidalin et Jean Wiener. S'ils donnent à la première femme-enfant de la chanson francophone des textes souvent stéréotypés d'une adolescente vue par des adultes, c'est Serge Gainsbourg qui va apporter la note insolite en la promouvant « Lolita française ». De plus, les orchestrations hautement élaborées du jazzman Alain Goraguer vont harmoniser et unifier le style de celle qui va ainsi indifféremment naviguer entre jazz, chansons enfantines et équivoques. À la scène, elle sera successivement accompagnée par les groupes « Patrick Samson et les Phéniciens » et par « Les Français. »



Cette période voit sortir Jazz à gogo (paroles de Robert Gall et musique de Goraguer), ainsi que Mes premières vraies vacances, œuvre du tandem Datin-Vidalin. L'association Gainsbourg-Gall se démarque durant l'été 1964 avec le tube Laisse tomber les filles renforcé par Christiansen des duettistes Datin-Vidalin. Entre temps, Gainsbourg a capté son rire pour le coller sur Pauvre Lola, l'une des chansons de son album Gainsbourg Percussions qui paraît la même année. Fin 1964, France se plie aux demandes de ses managers en enregistrant un 45 tours destiné aux enfants. Son père lui écrit, sur une musique du compositeur Georges Liferman, le titre qu'elle enregistre à regret, Sacré Charlemagne : « Sacré Charlemagne, j'en étais malade, je me souviens, je n'aimais pas du tout ça. Je ne l'aimais pas et pourtant je l'ai laissé sortir. C'est vous dire à quel point je ne maîtrisais pas la situation. »

 



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France Gall : Sacré Charlemagne

Publié à 00:05 par dessinsagogo55 Tags : center concours anges sommaire musique centerblog prix sur afrique france gain société merci
France Gall : Sacré Charlemagne



Sacré Charlemagne se vend à plus de 2 millions d'exemplaires en franchissant les limites de la France pour faire chanter tous les écoliers du Japon aux États-Unis en passant par l'Afrique.



Cette chanson deviendra même l'hymne du mouvement de la jeunesse algérienne et donnera, à la demande des élèves du Pôle scolaire d'Auvillers-les-Forges (Ardennes), le nom de « Rue du Sacré-Charlemagne» à celle qui passe devant leur école!



France est ensuite sélectionnée pour représenter le Luxembourg au Concours Eurovision de la chanson. C'est elle qui aura gain de cause en choisissant Poupée de cire, poupée de son sur les 10 titres qu'on lui propose



Le 20 mars, l'équipe des « 3 G », Gainsbourg-Gall-Goraguer, est à Naples où se tient le Concours de l'Eurovision. La chanson, huée lors des répétitions, sera alors défendue par France d'une voix mal assurée devant plus de 150 millions de téléspectateurs et comme elle le dit elle-même, « envers et contre tous ».



La singularité de la chanson étonne et elle est élue Grand Prix. Le succès dépasse les frontières européennes et Gall l'enregistre dans pas moins de cinq langues, dont le japonais.



Le public français s'émeut et reproche à Gall et à Gainsbourg d'avoir gagné pour le Luxembourg et non pour leur propre pays. Face à la popularité de cette chanson de France, une société de gadgets fabrique, à la cadence de 15 000 exemplaires par jour, une poupée de vinyle à son effigie sous la forme d'un porte-clés.



France part pour une tournée d'été de plusieurs mois avec un chapiteau sur les routes françaises avec le Cirque de France. Son frère Philippe a remplacé le bassiste de l'orchestre. Elle continue d'engranger des succès écrits par Gainsbourg : il y a Attends ou va-t'en puis, à la fin de l'année, Nous ne sommes pas des anges ainsi que L'Amérique du parolier Eddy Marnay et du compositeur Guy Magenta.

 

 



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France Gall : L'année 1966

France Gall : L'année 1966



L'année 1966 débute avec un nouveau tube de Gainsbourg Baby Pop, un texte que France qualifie de « brutal », mais dont on n'écoutera pas la noirceur des paroles chantées par cette adolescente de dix-huit ans.



En revanche, l'œuvre suivante de Gainsbourg, Les Sucettes, commentée par les propos appuyés de son auteur, va déclencher un vent de scandale grandissant au fil des mois. Ce succès s'accorde mal avec les autres chansons naïves du même disque, telles que Je me marie en blanc, Ça me fait rire et Quand on est ensemble. D'autant plus que, parallèlement, dans le spectacle télévisé Viva Morandi, qui s'inscrit dans la mouvance psychanalytique du dernier film de Fellini, Juliette des esprits (1965), France incarne l'une des deux jeunes filles en fleurs, sorties des bouches d'ombres, qui troublent le yéyé italien Gianni Morandi à la recherche de l'amour. Elle est « La Grâce » qui chante Les Sucettes (précédée d'un écriteau spécifiant « Fantaisie ») aux côtés de Christine Lebail qui est « La Pureté ». Ces interprétations contradictoires des Sucettes déroutent et provoquent un malaise dont France ne sort pas indemne quand elle comprend, bien trop tard, qu'elle a été manipulée dans un but médiatique. Ce qui lui fera dire : « Je n'aime pas susciter le scandale. J'aime qu'on m'aime. »



Désormais, ses prochains disques, même expurgés de la signature gainsbourgienne, sont suspectés de visées bassement mercantiles. Ainsi, elle sera taxée de nécrophilie avec sa chanson dédiée au fils de John Fitzgerald Kennedy, Bonsoir John John :
— France Gall : En France, on m'est encore tombé dessus.
— Philippe Constantin : Ah ! Oui ! Accusée de nécrophilie... Braves ménagères françaises, si elles avaient vu, aux USA, les ravissants coquetiers à l'effigie de Kennedy, avec la trace des balles dessinées en rouge sur le support...



Elle ne fera plus de succès avant longtemps et son association avec Gainsbourg, entachée, ne fonctionnera plus. Même certaines de ses chansons pour enfants enregistrées en 1966 ne lui épargneront pas des jugements peu amènes, car soupçonnées d'être pernicieuses (Les Leçons particulières). Les mises en scène corrosives de Jean-Christophe Averty lui faisant commander un troupeau d'hommes à quatre pattes pour illustrer sa chanson enfantine J'ai retrouvé mon chien dans son émission télévisée Les Raisins verts n'arrangent pas les choses.

 



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France Gall : Au début de l'année 1967

France Gall : Au début de l'année 1967

 

 

Au début de l'année 1967, son duo avec Maurice Biraud, La Petite, évoquant une gamine convoitée par un ami du père, traînera ce disque vers le bas tout en éclipsant la poétique Néfertiti de Gainsbourg.



Son 45 tours suivant sera enregistré avec l'orchestrateur David Whitaker, talentueux compositeur anglais. De nouveaux auteurs, Frank Thomas et Jean-Michel Rivat, associés au compositeur-chanteur Joe Dassin, ont écrit pour France Bébé requin, succès qui occulte tous les autres titres. Teenie Weenie Boppie, chanson avec laquelle Gainsbourg signe une charge contre le LSD, fait un grand flop qui marque la fin de leur collaboration au moment où Gainsbourg diversifie ses productions pour France, notamment avec leur prochain duo consacré à la peine de mort, Qui se souvient de Caryl Chessman ?, qui ne sera pas commercialisé.



Elle enregistre, toujours avec Whitaker, un autre 45 tours avec une nouvelle œuvre du trio gagnant Thomas, Rivat et Dassin, Toi que je veux, mais cela ne fonctionne plus. Les arrangements superbes, comme ceux de la Chanson indienne, composée par Whitaker, ne sauvent pas le disque.



Dès 1966, France entame une carrière en Allemagne où elle enregistre régulièrement jusqu'en 1972 avec une équipe spécifique, notamment avec le compositeur et orchestrateur Werner Müller (Komponist) (de). Des vedettes comme l'acteur Horst Buchholz (Les Sept Mercenaires) ou le compositeur de musiques de films Giorgio Moroder (Midnight Express, Top Gun) lui écrivent Love, l'amour und liebe (1967), Hippie, hippie (1968), Ich liebe dich, so wie du bist (1969) et Mein Herz kann man nicht kaufen (1970). Quelques-uns de ses autres succès en allemand : Haifischbaby (Bébé requin), Die schönste Musik, die es gibt, Was will ein Boy (1967), A Banda (Zwei Apfelsinen im Haar), Der Computer Nr 3 (1968), I Like Mozart (1969), Komm mit mir nach Bahia, Miguel (1972).



En France, en 1968, elle retrouve son orchestrateur Goraguer pour son nouveau disque. Les quatre titres, le jazz Le Temps du tempo (paroles de Robert Gall et musique de Goraguer), le pop Dady da da (des paroles de Pierre Delanoë sur la musique composée par Michel Colombier pour l'indicatif du magazine TV Dim, Dam, Dom), le folk La Vieille Fille de Rivat et Dassin et le classique Allo ! Monsieur là-haut du compositeur Gérard Gustin avec des paroles écrites par le comédien Philippe Nicaud, sont balayés par la tourmente de mai 68.



Ses chansons suivantes, malgré la sensuelle et délicate jazzy Y'a du soleil à vendre écrite par Robert Gall sur une musique d'Hubert Giraud ou les jolies compositions de Dassin (24 / 36, Souffler les bougies), ne suscitent pas d'intérêt. France profite, fin 1968, de sa récente majorité, vingt et un ans à l'époque, et de l'échéance de son contrat chez Philips la même année pour voler de ses propres ailes en se séparant de Denis Bourgeois.



Elle enregistre début 1969 pour une toute nouvelle maison de disques, La Compagnie, née de l'association d'artistes comme Hugues Aufray, Nicole Croisille et Michel Colombier.



Avec La Compagnie et Norbert Saada comme producteur de musique et directeur artistique, France commence sa traversée du désert avec des enregistrements où le meilleur va souvent côtoyer le pire, sans qu'elle réussisse jamais à trouver un style cohérent. Elle s'égare dès 1969 avec deux adaptations : l'une originaire d'Italie, L'Orage (La Pioggia), qu'elle défend pourtant avec Gigliola Cinquetti au festival de San Remo 1969, et l'autre créée par la Britannique Barbara Ruskin, Les Années folles (Gentlemen Please). Elle se remémore cette époque lors d'une interview accordée aux journalistes de Platine en 1996 :
— Platine : Vous avez souffert de ce creux de la vague ?
— France Gall : Qu'est-ce que je n'étais pas bien ! C'est assez angoissant à vingt ans de ne pas avoir d'argent quand on en a eu beaucoup à seize.
— Platine : La Compagnie, c'était une galère ?
— France Gall : Galère, c'est le mot ! Hallucinant. Je suis même allée au festival de San Remo défendre L'Orage avec Gigliola Cinquetti. Là, j'ai même chanté avec little Stevie Wonder. Je me souviens avoir été très mauvaise.



Le meilleur est ignoré, tels Les Gens bien élevés de Franck Gérald et Hubert Giraud et La Manille et la Révolution de Boris Bergman et Hubert Giraud et, en 1970, Zozoï, paroles de Robert Gall sur une musique du brésilien Nelson Angelo et Les Éléphants, paroles de Jean Schmitt et musique de Jean Géral. De plus, sa maison de disques La Compagnie fait faillite.


En 1971, elle sera la première artiste à enregistrer en France pour le label américain Atlantic. Mais même avec des prestigieux auteurs comme Jacques Lanzmann et son C'est cela l'amour (sur une musique blues de Paul-Jean Borowsky) ou Étienne Roda-Gil et son Chasse-neige, rien ne fonctionne. France retourne voir Gainsbourg en pensant que lui seul peut quelque chose. Il lui écrit, en 1972, Frankenstein et, sur une musique de Jean-Claude Vannier, Les Petits Ballons qu'elle enregistre pour le label EMI-Pathé, mais cela ne marche pas non plus. Elle travaille alors avec Jean-Michel Rivat comme directeur artistique et, malgré la maturité des textes de celui-ci, c'est toujours le flop avec 5 minutes d'amour (1972) et Par plaisir ou Plus haut que moi (1973).



En 1971, elle participe avec son frère Patrice à un roman-photo que le magazine Télé poche publie en huit épisodes et qu'elle commente ainsi aux journalistes du magazine Platine :
— Pour moi, ce roman-photo, c'était la déchéance. L'étape d'après aurait été de faire un film porno (rires).

 

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/France_Gall

 
     
     
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France Gall : Un jour de 1973

France Gall : Un jour de 1973



C'est en entendant à la radio, un jour de 1973, la chanson Attends-moi interprétée par Michel Berger que France Gall est subjuguée par sa musique. À l'occasion d'une émission de radio, elle lui demande s'il pourrait lui donner son avis à propos des chansons que son producteur voudrait lui faire enregistrer. Bien que déconcerté par la pauvreté des chansons proposées à Gall, il n'est pas question pour lui d'une collaboration entre eux. Ce n'est que six mois plus tard, en 1974, qu'il acceptera d'écrire pour elle, après qu'elle aura fait une voix sur le titre Mon fils rira du rock'n'roll du nouvel album de Berger et après que l'éditeur de Gall le lui aura proposé. La chanteuse a déjà décidé que « Ce sera lui ou ce sera personne. » C'est ainsi que naquit en 1974 La Déclaration d'amour, premier succès d'une longue liste et que la carrière de la chanteuse prit un nouvel essor : « Premier disque, première chanson. J'attendais tellement de cette première fois que quand il m'a joué la chanson au piano, j'ai été... comment dire... un peu déçue. Je rêvais d'une chanson rythmique, et me voilà avec une sensuelle déclaration. Le jour du studio, j'étais un peu tendue. Après une ou deux prises, Michel était content. Dans la foulée, il me demande d'écrire un texte parlé sur l'ad lib de la fin comme si j'avais fait ça toute ma vie, écrire ! Il s'est rendu compte qu'il manquait un solo de guitare à deux heures du matin. Effondré, il ouvre la porte du studio et croise un guitariste qui travaillait à côté et qui rentrait chez lui. En un quart d'heure, la guitare de Jean-Pierre Castelain s'imprimait sur la bande seize-pistes où le piano de Michel, omniprésent, donne à lui seul le balancement bien particulier de cette chanson. Premier cadeau. Le public a été là tout de suite. » Elle ajoutera à propos de cette rencontre décisive : « Ça a transformé mon existence, ma vie. Ça m'a apaisée. »



Comme un cadeau prénuptial, Michel Berger consacre son Numéro 1, diffusé le 22 mai 1976 sur TF1, à l'écriture d'une comédie musicale, Émilie ou La Petite Sirène 76, inspirée du célèbre conte d'Hans Christian Andersen et dont l'héroïne est, bien sûr, France Gall. Il en restera un joli duo du couple, succès de l'été : Ça balance pas mal à Paris. Les deux artistes se marient exactement un mois après, à la mairie du 16e arrondissement de Paris, le 22 juin 1976. Par cette alliance, France Gall devient la belle-fille du professeur Jean Hamburger, membre de l'Académie française, et de la pianiste Annette Haas. De cette union naîtront deux enfants : Pauline Isabelle (Neuilly-sur-Seine, 14 novembre 1978 - Paris, 15 décembre 1997) et Raphaël Michel (Boulogne-Billancourt, 2 avril 1981). Gall partage avec Berger ses années de travail et une vie familiale qu'elle privilégie. Sous l'impulsion de Berger, elle reprend goût à la scène. En 1978, elle monte de nouveau sur les planches, celles du théâtre des Champs-Élysées (où elle avait auditionné quinze ans plus tôt), pour un spectacle intitulé Made in France. Outre le fait que les duettistes travestis brésiliens les Étoiles assurent un intermède (contesté) en milieu de spectacle et que France enchaîne avec eux sur une adaptation brésilienne de son ancienne chanson Plus haut que moi (Maria vai com as outras), une des originalités de ce spectacle est qu'il repose sur une formation exclusivement composée de filles : à l'orchestre, aux chœurs et à la danse.



En 1979, c'est un spectacle inédit auquel France participe dans le rôle de Cristal et qui reste dans toutes les mémoires. L'opéra rock Starmania est présenté pendant un mois au Palais des congrès de Paris. Composé par Michel Berger et écrit par l'auteur québécois Luc Plamondon, c'est la réussite que l'on sait, alors que ce genre musical ne rencontrait pas les faveurs des producteurs en France


En 1982, durant plusieurs semaines à guichet fermé, France Gall investit le Palais des Sports de Paris pour présenter un spectacle novateur sans paillettes et sans strass, mais haut en couleurs et en musiques électriques. C'est Tout pour la musique dont le public reprend en chœur ces titres devenus depuis des standards de la chanson française : Résiste et Il jouait du piano debout.



Les années 1980 sont celles des grandes actions humanitaires dont l'impulsion est donnée par les anglo-saxons et leur Band Aid. France Gall se joindra aux Chanteurs sans frontières, à l'initiative de Valérie Lagrange et sous l'égide de Renaud, pour offrir, en 1985, un SOS Éthiopie au profit du pays en question. Elle prend le relais du même Renaud, au nouveau Zénith de Paris, pour une série de concerts durant trois semaines. Elle y interprète, accompagnée par son public, de nouvelles chansons comme Débranche, Hong-Kong Star, Plus haut, Diego libre dans sa tête et Cézanne peint.


Les années 1985 et 1986 verront France Gall avec Michel Berger, Richard Berry, Daniel Balavoine et Lionel Rotcage, œuvrer notamment pour le Mali grâce à leur association Action Écoles. Ce sont des écoliers volontaires qui récolteront des denrées de première nécessité pour ces pays d'Afrique où sévit la famine et la sécheresse. Ainsi, des tonnes de nourritures et des pompes à eau seront expédiées sous l'œil vigilant des artistes.



Lors d'un voyage en Afrique, Daniel Balavoine trouvera la mort dans un accident d'hélicoptère le 14 janvier 1986. France Gall chantera en 1987 l'émouvant Évidemment écrit par Berger, en hommage à leur ami disparu. Ce titre figure sur l'album Babacar. Suivra un nouveau spectacle qui, du Zénith de Paris, partira en tournée dans toute la France. Ce sera l'éblouissant Tour de France 88 mis en scène par Berger. France Gall qui a déjà songé à arrêter sa carrière, est interviewée à cette occasion par Richard Cannavo :
— Lorsque vous préparez un spectacle, vous vous dites que c'est peut-être le dernier ?
— Non, mais je me dis que je n'en offrirai plus des quantités, ça c'est sûr... Mais ce n'est pas le dernier, parce que le dernier ce sera Michel et moi. En attendant, vous n'imaginez pas combien je vais en profiter, de celui-là. Vous ne pouvez pas vous imaginer ! De chaque soir, de chaque seconde ; il faut que j'amasse un maximum, des émotions, des souvenirs, pour « après »... Parce que le jour où je m'arrêterai, ce sera quelque chose de très douloureux... Mais c'est une chose à laquelle je me prépare depuis des années déjà. Tant que je me sens proche de mon public, ça va. Mais un jour je m'arrêterai, c'est sûr. Je crois que ce qui sera plus fort que ma passion pour ce métier, c'est la crainte de tout gâcher. Parce que ce qui me fait peur surtout, c'est l'idée de ne pas me rendre compte que je vieillis, et que je ne parle plus le même langage. C'est ça qui me fera décrocher : lorsque je ne parlerai plus « leur » langage. Et je veux que ce soit par ma propre volonté, par delà ma tristesse.

 



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France Gall : Le recul

France Gall : Le recul



France Gall prendra du recul et enregistrera peu pendant les années qui suivront. Elle ne consentira à reprendre le chemin des studios qu'à condition d'enregistrer un album avec Berger. Elle s'investira comme jamais dans cette création à deux voix, pas tout à fait un duo : ce Double Jeu surprendra en 1992.


Gall et Berger annoncent une série de concerts dans diverses salles parisiennes comme La Cigale et Bercy. Le projet est interrompu par la disparition brutale de l'auteur-compositeur-interprète, mort d'une crise cardiaque foudroyante, le 2 août 1992.



Marquée par cette disparition, par de sérieux problèmes de santé et par le décès de l'aînée de leurs enfants en 1997 de la mucoviscidose, France Gall, si elle a fait depuis de nouvelles apparitions sur la scène musicale (Bercy 1993, Pleyel 1994, Olympia 1996), est moins présente dans l'univers médiatique.



Une émission pour la télévision, réalisée par Jean-Christophe Averty et consacrée aux chansons de France, est distribuée aux États-Unis en 1965.


France est alors pressentie par Walt Disney pour incarner Alice dans une version musicale qu'il souhaite réaliser après avoir déjà fait Alice au pays des merveilles en dessin animé en 1951 et dont il n'est pas satisfait musicalement. C'est le seul projet cinématographique auquel France répond favorablement, alors qu'elle a toujours demandé à son entourage de « l'empêcher de faire du cinéma ». Disney, déjà gravement malade, meurt le 15 décembre 1966 et son idée disparaît avec lui.


Pourtant, en mars 1974, France Gall participe au téléfilm Notre correspondant à Madras réalisé par Jean-Pierre Spiero et diffusé sur la nouvelle troisième chaîne. France incarne la secrétaire lascive de Sacha Pitoëff dans cette courte fiction (25 min) d'une série expérimentale et ambitieuse voulue par la chaîne. Ce téléfilm et cette série ne laisseront pas un souvenir marquant dans l'histoire de la télévision française.
En 1988, France refuse même un projet cinématographique de Michel Berger. C'est ce qu'elle confie à Christophe Nicolas sur Radio Nostalgie :
— Christophe Nicolas : Après l'énorme succès de l'album Babacar en 88. [...] Il voulait faire réaliser un film...


— France Gall : C'était un film musical. [...] J'ai refusé de faire ce film à la grande tristesse de Michel parce que je déteste jouer la comédie. J'aurais dû jouer la comédie, même si je devais chanter c'est quand même jouer la comédie. J'avais déjà du mal à tourner des clips de trois minutes, donc je me suis dit si je pars dans un film ça va être horrible, je vais être malheureuse. Voilà pourquoi ça ne s'est pas fait.
En 1993 commence une collaboration cinématographique avec son amie, la scénariste Telsche Boorman qui s'arrête avec le décès de Telsche en 1996.


Enfin, en 1996, elle contacte Jean-Luc Godard, dont elle a notamment aimé le film Nouvelle Vague (1990), pour qu'il réalise le clip de sa chanson Plus haut suite à la sortie de son album France. Godard, qui, jusque-là, n'avait jamais été sollicité pour tourner un clip, accepte. Ils mettent en boîte, dans les bureaux du cinéaste à Rolle (Suisse), un minifilm, car Godard, après avoir visionné de nombreux clips, lui a dit : « On ne va pas faire ça quand même, vous êtes d'accord. » Cela aboutira au pictural et onirique Plus oh ! qui, après son unique diffusion le 20 avril 1996 sur M6, sera interdit d'antenne, Godard ne s'étant pas acquitté de tous les droits d'auteur (voir l'album France, section « Autour de l'album »).



De 1964 à 1967, elle vit une histoire d'amour passionnelle avec Claude François ; elle a alors 17 ans. En 1967, le couple se sépare. Cette séparation inspirera à Claude François les paroles de Comme d'habitude. Ils ne se reverront pas avant 1973 et de faire un duo ensemble en septembre 1974.


Elle vivra ensuite avec le chanteur Julien Clerc de 1970 à 1974. C'est en 1974 qu'elle rencontre Michel Berger. En 1976 France Gall et Michel Berger se marient. De cette union naîtront Pauline et Raphaël.


En 1969, France Gall découvre l'île de N'Gor près de Dakar au Sénégal, pays dont elle est tombée amoureuse et où elle va régulièrement se ressourcer depuis (elle y fera construire sa « résidence-refuge » en 1990).


Peu encline au culte de la personnalité, France Gall refusera toute création de fan-club et n'encouragera pas l'édition de biographies : « Je n'écrirai jamais d'autobiographie. Mon livre, c'était cet autoportrait26 que j'ai voulu le plus sincère possible. Les chanteurs ne trichent pas. Chanter, ce n'est pas simplement aller chercher de l'air et le ressortir en mots et en notes. C'est donner, se livrer, s'exposer. » Elle précisera : « Qu'il reste quelque chose de moi m'indiffère. Je ne suis pas comme ces personnalités politiques qui éprouvent le besoin de faire bâtir un monument afin de laisser une trace tangible de leur passage : moi, je ne construis que ma vie... »



Énigmes

Claude Dejacques, producteur chez Philips en 1966, conçoit de sortir, pour le 1er avril de la même année, un album-gag dans lequel les plus grands artistes maison échangent leurs tubes respectifs. Ainsi, France Gall reprend Jolie môme, un grand succès de Juliette Gréco en 1961, tandis qu'Anne Sylvestre reprend L'Amérique, un tube de France Gall en 1965. Comme beaucoup d'idées originales, l'album poisson d'avril 1966 restera dans les placards de Philips, on ignore pour quelles raisons


En 2003, Universal sort le CD Volume no 5 (S.O.S. mesdemoiselles) de son anthologie compilée Pop à Paris. C'est avec surprise qu'on découvre et entend France Gall chanter un titre dit « inédit » écrit par Serge Gainsbourg en 1967, Bloody Jack, avec les mêmes musique et arrangements que ceux de sa chanson gainsbourgienne Teenie Weenie Boppie sortie la même année. Le texte de ce Bloody Jack est identique à celui de la chanson du même titre que Gainsbourg interprétera en 1968 sur une musique totalement différente. Pour épaissir le mystère, Zizi Jeanmaire reprend, toujours en 1968, la version de Gainsbourg avec un texte légèrement modifié.



Hommages

Ses ruptures sentimentales ont inspiré deux chansons :
1967 : Comme d'habitude de Claude François (paroles de Claude François et Gilles Thibaut, musique de Claude François et Jacques Revaux)
1975 : Souffrir par toi n'est pas souffrir de Julien Clerc (paroles d'Étienne Roda-Gil et musique de Julien Clerc).
Michel Berger lui consacre également deux chansons d'amour :
1974 : La Déclaration, (paroles et musique de Michel Berger)
1983 : Lumière du jour (paroles et musique de Michel Berger)

 

 



Liens externes                                                  
 

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Irina Demick

Publié à 00:10 par dessinsagogo55 Tags : center paris jeune film centerblog sur merci coup mode photos fille marne création
Irina Demick

 

 

Irina Demick est une actrice française, naturalisée américaine, née le 16 octobre 1936 à Pommeuse (Seine-et-Marne) et morte le 8 octobre 2004 à Indianapolis (États-Unis).

 

  Biographie

 

D'origine russe, elle fait ses études à Coulommiers (Seine-et-Marne) avant de gagner Paris avec l'ambition de devenir dessinatrice de mode. Sa silhouette la fait remarquer par un couturier qui lui offre un poste de mannequin, ses nombreuses photos de mode attirent l'attention du producteur Darryl Zanuck qui décide de la lancer dans le rôle d'une jeune résistante française dans Le Jour le plus long. Lors du tournage du Clan des Siciliens, en 1969, Darryl Zanuck, patron de la Twentieth Century Fox, impose sa compagne de l'époque, Irina Demick, alors qu'aucun rôle n'avait été écrit pour elle . Mariée avec un industriel suisse, dans les années 1970, elle vit à Rome. Elle a une fille, Marie-Emmanuelle.

 

Filmographie sélective

 

1962 : Le jour le plus long

1963 : OSS 117 se déchaîne de André Hunebelle

1964 : La Rancune de Bernhard Wicki

1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca

1965 : Le Jour d'après de Robert Parrish

1965 : Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines de Ken Annakin

1965 : La Métamorphose des cloportes de Pierre Granier-Deferre

1967 : Coup de force à Berlin de Sergio Grieco (sous le nom Terence Hathaway)

1969 : Le Clan des Siciliens de Henri Verneuil

1972 : Le Manoir aux filles (Ragazza tutta nuda assassinata nel parco) de Alfonso Brescia

1972 : Estratto dagli archivi segreti della polizia di una capitale europea de Riccardo Freda : La mère de Bill

 

 
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Irina Demick

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Julien Duvivier

Julien Duvivier

 

Julien Duvivier, né le 8 octobre 1896 à Lille et mort le 29 octobre 1967 à Paris, est un réalisateurfrançais. Il a marqué le cinéma français de la période 1930-1960. Parmi ses films les plus originaux, figurent notamment Pépé le Moko, Panique et Voici le temps des assassins. Célèbre pour sa noirceur et son pessimisme, il connut cependant l'un de ses plus grands succès publics avec son Don Camillo.

 

Julien Duvivier a fait ses débuts en tant qu'acteur de théâtre en 1916 à l'Odéon, sous la direction d'André Antoine

 

En 1918, il entre dans le domaine du cinéma chez Gaumont en tant que scénariste ou assistant réalisateur, aux côtés de Louis Feuillade, d'André Antoine, et de Marcel L'Herbier. L'année suivante, en 1919, Duvivier réalisera son premier film, Haceldama ou le prix du sang, qui ne connaîtra cependant pas un grand succès.

 

Parmi les films qu’il tourne dans les années 1920, plusieurs traitent de sujets religieux, notamment Credo ou la Tragédie de Lourdes (scénario Georges d'Esparbès), L'Abbé Constantin, ou encore La Vie miraculeuse de Thérèse Martin… Sa filmographie ne restera jamais cantonnée cependant à une thématique ni même à un style particulier et en 1926, il tourne L'Homme à l'Hispano avec Georges Galli.

 

Dans les années 1930, il est engagé par de la société de production Film d'Art fondée par Marcel Vandal et Charles Delac où il pratique le travail d'équipe. Duvivier y restera neuf ans.

 

C’est avec David Golder, réalisé en 1930, que Duvivier connaît un premier succès. C’est aussi son premier film parlant, et la première expérience du parlant pour l’acteur Harry Baur.

 

1934 marque la première collaboration de Julien Duvivier avec l’acteur Jean Gabin, qu’il dirige dans Maria Chapdelaine.

 

En 1935, pour La Bandera, Julien Duvivier s’attache pour l’écriture les talents de Charles Spaak, qui avait jusque-là collaboré avec Feyder, Grémillon, Allégret et L'Herbier. Ils travailleront par la suite souvent ensemble.

 

Après le tournage du Golem (1936), film fantastique, Duvivier entreprend La Belle Équipe avec Jean Gabin, Charles Vanel, Raymond Aimos, une œuvre qui restera un titre phare du réalisateur. Dans ce film, cinq traîne-savates décrochent le gros lot à la loterie et décident d’acheter en commun une guinguette au bord de l’eau ; mais les imprévus se succèdent, et quand la femme s’en mêle, il n’y a plus grand-chose à sauver. La fin originale du film étant jugée trop pessimiste, les producteurs imposent à Duvivier, à son grand dam, de réaliser un dénouement plus heureux. Si ces deux fins existent toujours, c'est la version optimiste qui a été exploitée en salle.

 

Trois films s’enchaînent ensuite : L'Homme du jour (1936), Pépé le Moko et Un carnet de bal (1937). Tandis que le premier, avec Maurice Chevalier dans le rôle principal, est un film mineur dans la carrière du réalisateur, les deux autres sont d'incontestables sommets. Pépé le Moko, qui nous plonge dans le milieu de la pègre, et qui a pour décor exotique la ville d’Alger, est par ailleurs le film qui véritablement propulse Gabin au rang de vedette internationale.

 

En 1938, Duvivier signe un contrat avec la MGM et va tourner aux États-Unis un premier film, une biographie de Johann Strauss, The Great Waltz.

 

L'année suivante, déjà de retour en France, Duvivier met en scène La Fin du jour, dans lequel des acteurs de théâtre à la retraite luttent pour que la maison de repos créée pour les accueillir eux seuls ne ferme pas ses portes ; on retrouve dans ce film Michel Simon en vieil acteur cabotin, et Louis Jouvet en vieux jeune premier psychotique qui croit encore en son pouvoir de séduction. C’est sans doute le film le plus émouvant du réalisateur et il a souvent déclaré que, de tous ses films, celui-ci était son préféré. Duvivier enchaîne ensuite avec La Charrette fantôme, film fantastique adapté d’un roman de Selma Lagerlöf.

 

Duvivier tourne en 1940 Untel père et fils, avec Raimu, Michèle Morgan, et Louis Jouvet ; le film, une chronique familiale, ne pourra, à cause de la tournure prise par les événements politiques, être projeté qu’à la fin de guerre, du moins en France. Ce film, en dépit d'une distribution excellente, est généralement considéré comme un film mineur, voire raté, de Duvivier.

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, contrairement à Marcel Carné notamment, qui malgré les circonstances poursuit sa carrière en France, Julien Duvivier part de nouveau travailler aux États-Unis, où il réalise cinq films : Lydia (1941), 2 films à sketches : Six destins, avec Charles Boyer, Rita Hayworth entre autres stars (1942) et Obsessions, avec Edward G. Robinson, Charles Boyer et Barbara Stanwyck (1943), ensuite L'Imposteur, avec Gabin (1943) et Destiny (1944).

 

À son retour en France, Duvivier éprouve quelques difficultés à renouer avec son succès des années 1930. En 1946, sort Panique. Condensé exhaustif des instincts les plus vils et les plus bas de la nature humaine, l’œuvre, adaptée du roman Les Fiançailles de monsieur Hire de Georges Simenon, reste le film le plus personnel, le plus noir et le plus nihiliste de son auteur. Ce sera un échec cuisant, tant critique que public. La critique lui reprocha une volonté de retour au réalisme poétique d’avant-guerre. Duvivier continuera cependant, après un court détour en Grande-Bretagne en 1948 pour le tournage d'Anna Karénine et un tournage en Espagne pour Black Jack en 1950, à travailler en France jusqu’à la fin de sa vie.

 

En 1951, il réalise Sous le ciel de Paris, un film d’une très grande originalité d’un point de vue du découpage scénaristique : au cours d’une journée à Paris, on suit des gens dont les destins vont finir par se croiser. La même année, Duvivier tourne le premier volet des Don Camillo : Le Petit Monde de don Camillo qui rencontre un succès populaire immédiat et auquel il donne lui-même une suite Le Retour de don Camillo, qui sort en 1953. La série se prolongera sous la direction d’autres réalisateurs. En 1952 il tourne La Fête à Henriette film racontant un film en train de se construire au niveau du scénario, dans lequel il s'autoparodie en compagnie d'Henri Jeanson

 

Dans Voici le temps des assassins (1956), on retrouve Jean Gabin dans le rôle d’un brave restaurateur qui se fait gruger par une jeune femme cynique et sans scrupules, jouée par Danièle Delorme. Un film très noir, et un portrait de femme démoniaque marquant. Duvivier tourne un autre grand film en 1958 : Marie-Octobre, avec Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Serge Reggiani et Bernard Blier, entre autres. Un exercice de style : 11 personnages (neuf hommes, deux femmes — la reine et l'ouvrière pourrait-on dire —), unité de lieu, de temps, d'action, et une mise en scène omniprésente, inquisitrice, presque menaçante, avec un souci constant et presque maniaque du cadrage et de la composition de l'image. La même année, le metteur en scène est invité à faire partie du jury au Festival de Cannes.

 

En 1962, il se livre une dernière fois à l’exercice du film à sketches, avec Le Diable et les Dix Commandements. L’année suivante, sort Chair de poule, dont le scénario est l'adaptation du roman Tirez la chevillette (Come Easy, Go Easy, 1960) de James Hadley Chase et dont l'intrigue présente bien des similitudes avec celle du Facteur sonne toujours deux fois. Une fois de plus Duvivier présente un personnage de garce sans scrupules.

 

En 1967, alors que la production de Diaboliquement vôtre vient de s’achever, film dans lequel il est question d’un homme rendu amnésique à la suite d’un accident de voiture, Duvivier est lui-même victime d’un accident de la circulation, provoqué par une crise cardiaque qui lui coûte la vie. Il est âgé de 71 ans et laisse derrière lui une filmographie riche de près de 70 titres, parmi lesquels on compte d’incontournables classiques du cinéma mondial.

 

Il est enterré au cimetière ancien de Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine. Son épouse Olga est décédée en 1955.

 

Thèmes récurrents

 

La bande, le groupe, la microsociété et la façon dont les individus peuvent évoluer ou pas au sein de leur environnement humain est un thème fréquent : La Belle Équipe qui donne son titre au film, la petite ville de Panique, le village italien des Don Camillo, le groupe d'acteurs retraités de La Fin du jour, le groupe d'anciens résistants dans Marie-Octobre, la gigantesque microsociété qu'est Paris dépeinte de façon impressionniste dans Sous le ciel…, les films de Duvivier sont comme des bouts de vie tissés. À côté de cela on y trouve des personnages à la solitude d'autant plus pesante, déchirante, qu'un monde grouille de vie autour d'eux : le Saint-Clair de La Fin du jour, le Monsieur Hire de Panique, l'assassin et la vieille dame aux chats de Sous le ciel…, le traître aux abois une fois dévoilé dans Marie-Octobre…

 

On trouve des portraits de femmes particulièrement cyniques dans La Belle Équipe, Panique, Voici le temps des assassins, Chair de poule…

 

On trouve des scènes se passant sur ou sous les toits dans La Belle Équipe, Panique (extraordinaire scène finale). Sous le ciel de Paris commence, après quelques vues aériennes de Paris, par un plan où l'on voit un chat de gouttière marcher sur un toit ; et l'assassin du film s'est aménagé un atelier de sculpteur dans une mansarde. C'est dans une mansarde également qu'habite le jeune homme de Boulevard — à qui il arrive de temps à autre de fuguer par la lucarne —, ainsi que le cambrioleur, joué par de Funès, du sketch Tu ne déroberas point dans Le Diable et les Dix Commandements…

 

La voix off : de celle de Dieu (Jean Debucourt) dans les Don Camillo à celle du diable (Claude Rich) dans Le Diable et les Dix Commandements. Une voix off (François Périer) est omniprésente dans Sous le ciel de Paris.

 

Héritage

 

Jean Renoir a dit au sujet de Duvivier : « Si j'étais architecte et devais construire un monument du cinéma, je placerais une statue de Duvivier au-dessus de l'entrée. Ce grand technicien, ce rigoriste, était un poète. » Outre Jean Renoir, notamment Ingmar Bergman et Orson Welles tenaient Duvivier en haute estime

 

Duvivier est l'inventeur d’un univers d’images où le réalisme le plus cru et souvent très noir est pénétré d’une fantaisie insolite. Après la Seconde Guerre mondiale, il donne une représentation tout aussi pessimiste de la société française, qu'il montre dominée par l'hypocrisie, le cléricalisme étroit, la mesquinerie et la rouerie féminine.

 

Anecdotes

 

Julien Duvivier a écrit ou collaboré aux scénarios de pratiquement tous ses films.

 

Julien Duvivier avait la réputation d’être un véritable despote sur les tournages, surtout avec les techniciens.

 

Il eut des acteurs fétiches : Harry Baur, Jean Gabin — et des collaborateurs fidèles, comme Charles Spaak, Henri Jeanson, René Barjavel, pour l’écriture

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Duvivier

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
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Julien Duvivier

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Julien Duvivier

 

 

Période 1919-1930 : les films muets
Année Film Acteurs principaux
1919 Haceldama ou le Prix du sang  
1920 L'Agonie des aigles Gaby Morlay
La Réincarnation de Serge Renaudier  
1921 Crépuscule d’épouvante  
1922 Les Roquevillard  
L'Ouragan sur la montagne  
Der Unheimliche Gast Jeanne Helbling
1923 Le Reflet de Claude Mercœur  
1924 Credo ou la Tragédie de Lourdes  
Cœurs farouches  
La Machine à refaire la vie  
L'Œuvre immortelle  
1925 L'Abbé Constantin  
La Nuit de la revanche  
Poil de carotte  
1926 L'Homme à l'Hispano  
1927 L'Agonie de Jérusalem  
Le Mariage de mademoiselle Beulemans  
1928 Le Tourbillon de Paris  
Le Mystère de la Tour Eiffel  
1929 La Divine Croisière  
La Vie miraculeuse de Thérèse Martin Janine Borelli
Maman Colibri Jeanne Dax
1930 Au Bonheur des Dames Dita Parlo
Période 1931-1940 : les parlants d'avant-guerre
Année Film Acteurs principaux
1931 David Golder Harry Baur
Les Cinq Gentlemen maudits Harry Baur, Robert Le Vigan
Die Fünf verfluchten Gentlemen Anton Walbrook
1932 Poil de carotte Harry Baur, Robert Lynen
La Vénus du collège  
Allô Berlin ? Ici Paris ! Josette Day
1933 La Tête d'un homme Harry Baur
Le Petit Roi Robert Lynen
La Machine à refaire la vie  
1934 Le Paquebot Tenacity Albert Préjean
Maria Chapdelaine Madeleine Renaud, Jean Gabin, Jean-Pierre Aumont
1935 Golgotha Robert Le Vigan, Harry Baur, Jean Gabin, Edwige Feuillère
La Bandera Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan, Raymond Aimos, Pierre Renoir, Gaston Modot
Bout de chou  
1936 La Belle Équipe Jean Gabin, Charles Vanel, Viviane Romance, Raymond Aimos
Le Golem Harry Baur, Charles Dorat
1937 L'Homme du jour Maurice Chevalier, Elvire Popesco
Pépé le Moko Jean Gabin, Mireille Balin, Marcel Dalio, Fernand Charpin, Gabriel Gabrio, Saturnin Fabre, Gaston Modot
Un carnet de bal Marie Bell, Pierre Richard-Willm, Louis Jouvet, Raimu, Fernandel, Pierre Blanchar, Harry Baur
1938 Toute la ville danse (The Great Waltz) Fernand Gravey, Luise Rainer, Miliza Korjus
1939 La Fin du jour Victor Francen, Louis Jouvet, Michel Simon, Madeleine Ozeray
La Charrette fantôme Pierre Fresnay, Louis Jouvet, Marie Bell
1940 Untel père et fils Raimu, Michèle Morgan, Louis Jouvet
Période 1941-1944 : l'intermède américain
Année Film Acteurs principaux
1941 Lydia Merle Oberon, Joseph Cotten
1942 Tales of Manhattan Charles Boyer, Rita Hayworth, Ginger Rogers, Henry Fonda, Charles Laughton, Edward G. Robinson
1943 Flesh and Fantasy Edward G. Robinson, Charles Boyer, Barbara Stanwyck
1944 L'Imposteur Jean Gabin
Destiny Alan Curtis

 

Période 1946-1959 : les films d'après-guerre

 

Année Film Acteurs principaux
1947 Panique Michel Simon, Viviane Romance, Paul Bernard
1948 Anna Karénine Vivien Leigh, Ralph Richardson
1949 Au royaume des cieux Serge Reggiani, Jean Davy
1950 Black Jack George Sanders, Agnes Moorehead
1951 Sous le ciel de Paris Paul Frankeur, Sylvie, François Périer, Brigitte Auber
1952

Le petit monde de Don Camillo

Fernandel, Gino Cervi
La Fête à Henriette Dany Robin, Michel Auclair
1953 Le Retour de don Camillo Fernandel, Gino Cervi
1954 L'Affaire Maurizius Madeleine Robinson, Daniel Gélin, Charles Vanel, Anton Walbrook, Eleonora Rossi Drago
1955 Marianne de ma jeunesse Marianne Hold, Pierre Vaneck
Marianne Marianne Hold, Horst Buchholz
1956 Voici le temps des assassins Jean Gabin, Danièle Delorme
1957 Pot-Bouille Gérard Philipe, Danielle Darrieux, Dany Carrel
L'Homme à l'imperméable Fernandel, Bernard Blier
1959 La Femme et le Pantin Brigitte Bardot, Antonio Vilar, Lila Kedrova
Marie-Octobre Danielle Darrieux, Paul Meurisse, Bernard Blier, Serge Reggiani, Lino Ventura, Paul Frankeur, Paul Guers, Daniel Ivernel, Robert Dalban

 

Période 1960-1967 : derniers films

 

Année Film Acteurs principaux
1960 La Grande Vie Giulietta Masina, Gert Fröbe
Boulevard Jean-Pierre Léaud, Pierre Mondy
1962 La Chambre ardente Jean-Claude Brialy, Édith Scob, Claude Rich
Le Diable et les Dix Commandements Michel Simon, Micheline Presle, Françoise Arnoul, Mel Ferrer, Claude Dauphin, Charles Aznavour, Lino Ventura
, Fernandel, Alain Delon, Danielle Darrieux, Madeleine Robinson, Louis de Funès, Jean-Claude Brialy
1963 Chair de poule Robert Hossein, Jean Sorel, Catherine Rouvel
1967 Diaboliquement vôtre Alain Delon, Senta Berger
     

 

 



Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Duvivier

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
    Julien Duvivier
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