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Bernard Lavilliers

Bernard Lavilliers

 

 

Bernard Lavilliers, de son vrai nom Bernard Oulion, est un auteur-compositeur-interprète français, né le 7 octobre 1946 à Saint-Étienne

 

Biographie

Enfance et formation

 

Bernard Oulion naît le 7 octobre 1946 à Saint-Étienne ou à Firminy. Son père, ancien résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, et syndicaliste plus tard, est directeur des ressources humaines à la manufacture nationale d'armes (MAS) et sa mère est institutrice. Son éducation joue un grand rôle dans son approche de la musique. Il explique que ce sont ses parents qui lui ont donné la passion pour les rythmes tropicaux, le jazz portoricain, la musique classique et la poésie. Il écoute, dès ses quatre ans, beaucoup de musique grâce au tourne-disque qui lui est offert pour son anniversaire. Parmi les événements notables : il est frappé d'une pneumonie pendant son enfance et ses parents déménagent en banlieue pour l'éloigner de la pollution de Saint-Étienne ; il commence la pratique de la boxe à l'âge de 13 ans.

Selon l'historiographie officielle, à quatorze ou quinze ans, il fait un séjour en maison de correction. À sa sortie, il commence à travailler et devient, à la demande de son père, apprenti tourneur sur métaux à la MAS. Il écrit plus tard : « À cette époque de ma vie, je me cherchais : je ne savais pas si je serais gangster, boxeur ou poète… »

En 1963, il adhère au parti communiste français. À ses 18 ans, il participe à Saint-Étienne à Nocturne, un premier montage (textes-chansons) créé par la troupe Duk (dirigée par Pierre-René Massard), aux côtés d'un autre jeune stéphanois, Alain Meilland, futur cofondateur du Printemps de Bourges auquel il participera à de nombreuses reprises.

À 19 ans, il part pour le Brésil, d'où il revient un an plus tard. Il est alors considéré comme insoumis vis-à-vis du service national.

Toute cette période de sa vie, souvent racontée de différentes manières par les médias, fait l'objet de controverses, portant principalement sur la concordance des dates et la véracité des faits.

 

 

Débuts

 

À partir de ses 20 ans, Bernard Oulion vit principalement de la manche, en faisant de la musique pour les passants. Il commence en parallèle à chanter dans les cabarets de la rive gauche à Paris, comme chez Jacky Scala, rue Lacépède. On le retrouve aussi à la Cour des miracles à Bordeaux, en compagnie de Gilles Elbaz, Germinal ou Gérard Ansaloni. Il touche sa première paie en jouant à la pizzeria du Marais à Paris. Il y partage la scène avec Jacques Higelin et Renaud. En 1967, il sort ses premiers 45 tours et obtient le prix de la Rose d'or de la chanson à Montreux avec La Frime.

Son premier album, Chanson pour ma mie, sort en 1968, avec en titre son prénom et un énigmatique « Lavilliers », qui deviendra son nom de scène. Pendant les événements de mai 1968, il chante dans les usines occupées de la région lyonnaise. Sillonnant alors la France, il éprouve des difficultés à percer dans la musique, tout en jouant pendant quelques mois dans des cabarets de province ; au mois de juin 68, il fait la manche en Bretagne. Il exerce plusieurs petits boulots (restaurateur, gérant de boite de nuit à Marseille, etc.) et se marie en 1970 avec Évelyne.

 

En 1970, Bernard Lavilliers sort un 45 tours simple, sous le pseudonyme « Edgar de Lyon », avec les titres Camelia blues et Juliette 70.

Il sort son deuxième album en 1972, Les Poètes et commence à avoir une certaine notoriété, qui se confirme, en 1975, avec Le Stéphanois (et notamment les titres San Salvador et Saint-Étienne). C'est à partir de cette date que le métier de chanteur devient vraiment sérieux pour lui, et qu'il s'y investira vraiment.

La consécration intervient en 1976 avec Les Barbares. Il rencontre alors Eddie Barclay qui prend en charge sa carrière. Il décrit cet album comme le tournant musical de sa carrière. On y découvre en effet un mélange musical allant du rock au funk en passant par les rythmes tropicaux. Cet album a été composé en collaboration avec le groupe de musique "Némo", avec qui il tournera en concert pendant quelques années. Il passe pour la première fois à l'Olympia en octobre 1977. C'est à cette période qu'il rencontre Léo Ferré, un modèle pour lui.

À la faveur d'une tournée commune en 1977 (à laquelle participent aussi les groupes Magma et Gong), les deux hommes se lient d'amitié. Lavilliers invitera d'ailleurs son aîné à chanter avec lui à la fête de l'Humanité en 1992 et fera un concert en hommage à l'œuvre de Ferré en 2006 à Lyon en compagnie de ses musiciens habituels et de l'orchestre national de Lyon. Un DVD de ce concert sortira en 2009 sous le nom de Lavilliers chante Ferré. La fin des années 1970 est une période prolifique pour Lavilliers puisqu'il sort 15e Round en 1977 et Pouvoirs en 1979. Ce dernier se présente comme un album-concept remarquable, presque entièrement consacré au thème du pouvoir. En 1978, son album Live : T'es vivant ? , marquera toute une génération adepte de la chanson rock française.

En avril 1979, Lavilliers s'installe à Saint-Malo, achète un bateau et part pour la Jamaïque, puis New York et le Brésil. Il revient alors en France avec l'album O gringo qui reste aujourd'hui encore un de ses disques les plus célèbres. La légende de Bernard Lavilliers, musculeux voyageur des quartiers louches des Amériques, s'est forgée sur cet album exotique et notamment sur la photo de la pochette où on le voit hilare dans une chambre, une carte de New York et un revolver posés dans une valise. Cet album est celui de la reconnaissance musicale et du succès. Les rythmes reggae, salsa et traditionnels brésiliens (Sertaõ dédié à Lampião, cangaceiro mythique de la libération au Brésil) font de ce disque un album éclectique. Suit une grande série de concerts et il joue notamment dans le cadre du premier Festival international de jazz de Montréal en 1980.

 

Les années 1980 sont des années de gloire pour Lavilliers. En 1981 sort l'album Nuit d'amour qui raconte notamment sa nouvelle vie à Los Angeles et sa rencontre avec Lisa Lyon qui deviendra sa femme. Cet album montre un certain renouveau et explore de nouvelles pistes musicales plus électroniques, notamment avec le titre Night Bird, mais certains titres comme Pigalle la Blanche semblent plus dans la continuité de son album précédent.

En 1983, sort État d'urgence. Cet album très noir n'est pas forcément le plus célèbre de sa discographie, bien qu'y figure le titre Idées noires pour lequel il forme avec succès un duo avec Nicoletta. Teinté de nostalgie (À suivre, qui raconte son retour à Saint-Malo pour y retrouver un amour perdu), mais surtout d’un profond cynisme sur notre monde (État d’urgence), il aborde aussi sa légende et le mystère qui tourne autour de sa personnalité dans Le Clan mongol et raconte ses passages en prison dans Q.H.S.. Lavilliers traîne son humeur triste sur une musique rock concoctée par ses musiciens fétiches de l'époque : Pascal Arroyo, Jean-Paul Hector Drand et François Bréant.

En 1984, il sort Tout est permis, rien n'est possible, disque semblant être plus dans la lignée de son travail des années 1970 et notamment les albums 15e Round et Pouvoirs. Lavilliers reprend alors les voyages et publie en 1986 un de ses albums les plus célèbres, Voleur de feu. Cet album se présente comme un condensé des styles musicaux parcourus depuis le début de sa carrière. Parmi les titres se trouve le fameux Noir et blanc, qui évoque l'apartheid et auquel N'Zongo Soul prête sa voix. En 1988, sort l'album If... sur lequel se trouve le titre On the Road Again.

 

À l'orée des années 1990, Bernard Lavilliers raconte ses voyages en Asie dans l'album Solo (1991). Il est la vedette de la première de l'émission musicale Taratata en janvier 1993. L'album Champs du possible, sorti en 1994, est marqué par une ambiance fin de millénaire (Troisièmes CouteauxChamps du possible) et par son duo reggae avec Jimmy Cliff, Melody Tempo Harmony, qui reste l'un de ses plus grands succès. En 1997, tout juste quinquagénaire, Lavilliers sort Clair-obscur qui se compose de morceaux aux allures reggae (AuditLe Venin), de musiques tropicales (Romeo MachadoCapitaine des sables), mais aussi de rock (La Machine). Sur cet album, il reprend un texte engagé et cynique de Léo Ferré dans le titre d'ouverture Préface.

En 2001, sort l'album Arrêt sur image dans lequel figure l'hymne ouvrier Les Mains d'or. Toujours inspiré et en constante évolution, Bernard Lavilliers sort en 2004 Carnets de bord, nouvel hymne au voyage. L'une de ses chansons, L'Été, est une adaptation d'un tube brésilien (Morango do Noreste), repris en AfriqueAmour en or. Dans Voyageur, il se définit lui-même comme un « trafiquant de métaphores, insurgé de l´univers, passager du Maldoror, entre la mort et la mer ». Sur cet album figurent aussi un duo reggae avec Tiken Jah Fakoly intitulé Question de peau, et une diatribe écologique, État des lieux.

En 2008, il sort Samedi soir à Beyrouth, un album reggae-soul réalisé à Kingston en Jamaïque et à Memphis (États-Unis), avec des musiciens locaux.

 
Bernard Lavilliers en concert au Festival du Bout du Monde 2011.
 
 

Fin 2010, Lavilliers sort Causes perdues et musiques tropicales. Le titre de cet album vient d'une discussion avec François Mitterrand dans les années 1980. Alors invité au ministère de la Culture en compagnie d'autres artistes, il se voit demander par le président de l'époque ce qu'il fait de ses journées. Il répond à cela « comme toujours, je chante des causes perdues sur des musiques tropicales ». Cet album est une ode à la musique tropicale du monde entier, de la salsa (CafardCauses perdues) à la musique traditionnelle sud-américaine (Coupeurs de cannesLa nuit nous appartient) et comme une invitation au voyage, du Brésil à New York en passant par l'Angola et par Paris. Angola est d'ailleurs le titre d'ouverture du disque ; cette chanson est aussi celle de Bonga Kuenda qui l'accompagne en duo dans cette nouvelle version. Il remporte, avec cet album, la victoire de la musique de l'album de chansons en 2011.

En novembre 2013 sort un nouvel album intitulé Baron Samedi. Ce 20e opus est au format d'un double album. Le premier CD comporte dix titres au travers desquels il évoque son récent voyage en Haïti (il y a tourné un documentaire et écrit trois chansons), ou encore la disparition récente de sa mère à qui il rend hommage avec le titre Sans fleur ni couronne. Sur le second CD, il se fait narrateur d'un poème de Blaise Cendrars écrit en 1913, La Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France. Cet album marque le début d'une collaboration avec Romain Humeau, qui participera dès lors à la réalisation de tous les albums de l'artiste.

Fin septembre 2017, il sort son 22e et dernier album studio en date, intitulé 5 minutes au paradis. Pour construire cet album « à dominante pop-rock », il s'entoure d'artistes avec qui il a déjà collaboré sur des projets précédents comme Romain Humeau (Eiffel) ou Fred Pallem, et sollicite aussi Benjamin Biolay, Florent Marchet ou encore le groupe Feu! Chatterton, qui représentent selon L'Humanité « la nouvelle génération de la chanson française ». C'est le titre Charleroi, créé avec Feu! Chatterton, qui sera le premier single de l'album. Jeanne Cherhal est aussi présente pour chanter L'Espoir, titre qui clôture l'album

 

Vie privée

 

À partir de 1970 et par intermittence, Bernard Lavilliers a eu une longue vie commune avec Évelyne Rossel. Il a été marié de 1982 à 1983 à la bodybuildeuse Lisa Lyon, puis avec Jocelyne, puis avec Melle Li de 1984 à juin 1989. Depuis le 30 juillet 2003, il vit avec Sophie Chevalier.

Il est le père de quatre enfants : Anne-Laure, née d’une première union ; Virginie, née en 1972 d'Évelyne Rossel ; Guillaume en 1975, musicien qui accompagne parfois son père sur scène ; Salomé, née en 1987 d'une rencontre avec Françoise. Il lui a consacré la chanson Salomé et elle est apparue avec lui sur scène, notamment en 1996 au Palais des sports de Paris.

Au tournant des années 1970 et 1980, sa compagne Lisa Lyon, championne du monde de culturisme, l'encourage à travailler son corps, contribuant à son image de chanteur physique. Lisa, également lectrice de scénarios à la MGM, était amie d'Andy Warhol et de Robert Mapplethorpe qui les a photographiés le jour de leur mariage.

Depuis 2003, il vit avec Sophie, une graphiste et sculptrice

 

 

Engagements politiques et sociétaux

 

Dès 1968, Bernard Lavilliers s'engage auprès des ouvriers en lutte dans les usines. Il apporte notamment son soutien aux sidérurgistes lorrains depuis plus de trente ans. Entre autres choses, il leur dédie en 1978 la chanson Fensch Vallée. Le 17 décembre 1991, il donne un concert symbolique sur le site du haut-fourneau U4 à Uckange, pour les salariés de l’usine Lorfonte menacée de fermeture. Vingt-ans plus tard, en 2011, il est de retour pour soutenir les « métallos » de l'usine ArcelorMittal à Florange. Il leur dédie la chanson Les Mains d'or, extraite de l'album Arrêt sur image (2001).

Il donne plusieurs concerts de soutien à la Fédération anarchiste, en particulier en 1980 à l'hippodrome Jean Richard et en 1983 à l'Olympia.

 
Bernard Lavilliers en concert le 30 juillet 2019 au Festival Jazz en Baie
 

On le voit aussi chanter en 2002 à la fête de Lutte ouvrière.

En 2008 et 2009, il signe des pétitions et s'engage fortement en faveur de la loi Hadopi visant à réprimer le téléchargement illégal de musique sur Internet

En 2011, il soutient officiellement le chef Raoni et les Amérindiens dans leur combat contre le barrage de Belo Monte et continue depuis à accompagner l'association Planète Amazone auprès de laquelle il a contribué à la création de l'Alliance des Gardiens de Mère Nature, mouvement regroupant des représentants indigènes du monde entier et leurs alliés.

La même année, il soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle de 2012, pour lequel il votera également cinq ans plus tard.

Il chante également pour les altermondialistes et, sans être un compagnon de route du Parti communiste français, il dit avoir toujours eu de la tendresse pour lui (son père y ayant milité), mais s'est toujours très clairement revendiqué de l'anarchisme depuis son adolescence.

En 2019, après avoir initialement considéré que le mouvement des Gilets jaunes est « un vrai mouvement social parti de la base », il prend ses distances en estimant que cela « vire au poujadisme » ; dans le même temps, il déclare « plutôt bien aimer Macron, même s’il est entouré d’une bande de stagiaires » car il ne « voi[t] aucune autre alternative ».

Il est le parrain du phare d'Eckmühl à la pointe de Penmarc'h, dans le sud Finistère.

 

Influences et inspiration

 

 

Bernard Lavilliers est influencé par la chanson réaliste, les poètes communistes et la contre-culture gauchiste post-marxiste, qui ont fortement inspiré ses premiers écrits (Les PoètesLe Stéphanois). La dénonciation du (des) système(s) s'amplifie dans une posture contestataire d'affrontement avec les divers tenants du pouvoir dans Les Barbares15e roundT'es Vivant. L'influence de Léo Ferré se fait sentir dans cette vision du monde (exaltation de la marginalité, mêmes refus), dans l'écriture (ré-appropriation de certaines images) et dans l'énonciation (déclamation). Musicalement, il utilise alors les influences post Doors et les ambiances lancinantes du rock progressif.

Il gagne progressivement en audience et en respectabilité et, paradoxalement, développe plutôt la musique au détriment de la contestation, par des textes plus descriptifs, de type récits de voyage (PouvoirsO gringo). Il prend part avec Serge Gainsbourg à l'introduction des influences reggae et, après Claude Nougaro, aux influences brésiliennes et plus tard africaines dans la chanson française.

Avec Nuit d'amour (1981) et État d'urgence (1983), il réalise une alliance de dub et de musique new yorkaise (dans la même veine, Gainsbourg sort Love on the Beat en 1984). Tout est permis, rien n'est possible marque la fin de cette période.

Il réalise des documentaires au Nicaragua et en Afrique du Sud, Voleurs de feuGentilshommes de fortune et If reviennent sur la veine des récits de voyage.

Par la suite, Lavilliers fait des retours à ces différentes périodes successives : Champs du possible marque un retour à la fin des années 1970 et du début des années 1980, la chanson Troisièmes couteaux fait écho à CIA et à Changement de main, changement de vilainClair obscur revisite les thèmes brésiliens. Arrêt sur image marque une volonté de se rapprocher de son public populaire sur des thématiques plus simples avec Les Mains d'or. Enfin, Carnets de bord revisite l'époque des récits de voyage.

Durant sa carrière, le chanteur fait plusieurs références à la drogue, comme dans les chansons Berceuse pour une shootée et Sax'Aphone. Il fait alors allusion à la « dope », à l'héroïne, aux opiacés en général, ainsi qu'aux effets ou à l'ambiance autour de ces substances psychoactives.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lavilliers

 
     
     
     
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Simca 1100

Publié à 18:47 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog sur
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Simca 1100

Publié à 16:35 par dessinsagogo55 Tags : center sport centerblog sur chevaux base merci france histoire
Simca 1100

 

La Simca 1100, qui est la première automobile à traction de la marque Simca, fut fabriquée à plus de deux millions d'exemplaires entre 1967 et 1981 à Poissy. La Simca 1100 est la première compacte française, suivie par la Renault 14. Elle fut la voiture la plus vendue en France en 1972 ; précédemment, la plus vendue était la Peugeot 204 et ensuite ce sera la Renault 12.

  Histoire

 

L'histoire a retenu que la Simca 1100 est le modèle posthume du créateur de la marque, Henri Théodore Pigozzi, séduit par un projet en cours en 1963 dans les bureaux d'études de Fiat à Turin, mais dont la direction italienne retardait la sortie. L'Autobianchi Primula, inspira fortement pour la conception de la Simca 1100, qui deviendra l'archétype de la plupart des voitures compactes françaises actuelles. En effet, dès février 1967, elle propose la traction avant et le moteur transversal tout comme la Peugeot 204 de 1965 mais celle-ci avait la boîte de vitesses sous le moteur comme les Austin et Morris Mini présentées en 1959. La Simca 1100 bénéficie aussi d'une suspension à quatre roues indépendantes couplées par barres de torsion comme les Renault 4 puis 16 mais ici elles sont croisées pour respecter un empattement identique à droite comme à gauche. De plus, à une époque où l'offre se limite à une berline quatre portes et un break, la 1100 est livrable en cinq portes (berline à hayon) comme la Renault 16 sortie en 1965, en trois portes et en break trois puis, à partir les modèles 1969, cinq portes.

 

Caractéristiques

 

La Simca 1100 bénéficia lors de sa conception de choix techniques résolument modernes, alors que les dirigeants américains de Chrysler (actionnaire majoritaire de Simca) auraient souhaité l'étude d'un véhicule plus traditionnel. Un exemplaire de présérie fut présenté à Gabriel Voisin qui montra un vif intérêt pour la nouvelle voiture.

À sa sortie, deux moteurs sont disponibles (« moteurs Poissy »), 944 cm3 de 48 ch (5 chevaux fiscaux) et un 1 118 cm3 de 60 ch (6 chevaux fiscaux). Les « moteurs Poissy » non chemisés peuvent fonctionner à l'essence sans plomb 98 RON à partir de juillet 19733.

La 1100 a été aussi produite en Espagne sous l'appellation 1200 avec des roues spécifiques. En mai 1973, Chrysler España présente sur la base de la 1200 le véhicule tout chemin Campero avec une carrosserie en matière plastique. Il est produit jusqu'à la fin des années 1970

Historique

 

Pour 1970, le tableau de bord à cadrans circulaires est nouveau, le break trois portes (LS) disparaît et les clignotants avant passent de l'orange au blanc jusqu'en 1974. En juin 1970, un moteur 1 204 cm3, monté sur la 1100 Spécial, sera augmenté à 1 294 cm3 sur la version Spécial pour 1972 puis sur la TI pour 1974. Pour 1972, le hayon arrière est modifié et comporte une lunette agrandie. Pour 1975, les 1100 reçoivent une nouvelle planche de bord avec combiné agrandi, des poignées de portes extérieures encastrées, des feux arrière plus grands incluant feux de recul et de brouillard. Choc pétrolier oblige, un moteur 1 118 cm3 54 ch basse compression, acceptant l'essence ordinaire, s'ajoute à la gamme. En 1977, la fourgonnette 1100 VF2 sert de base à la Matra-Simca Rancho. Début 1978, Chrysler songe au remplacement de la 1100 et lance sa « world car » Horizon. Cependant, la 1100 continue jusqu'à l'année-modèle 1981, dès juillet 1979, elle s'appelle Talbot 1100.

 

Modèles

 

LS : 48, 54 ou 60 ch.

LE (mars 1974) /LX (juillet 1974) : 48 ou 54 ch, bandes latérales de décoration sur LX 3 ou 5 portes.

GL : 60 ch, baguettes latérales, joncs de gouttière, entourages de pare-brise et de lunette arrière chromés, version qui disparaît pour 1971 au profit de la LS 6 CV.

GLS/GLX : 60 ch, sièges à dossier inclinables, montre, allume-cigarettes, faux déflecteur arrière chromé, enjoliveurs larges de bas de caisse, joncs de passage de roues et couvre-jantes chromés.

ES (mars 1974) : 60 ch et présentation de type Spécial.

Spécial (juin 1970) : 75 ch, 3 ou 5 portes, appuis-tête, projecteurs à iode encastrés dans la calandre et jantes à voile ajouré. Proposée initialement équipée de deux carburateurs Weber double corps (délicats à régler, notamment pour la synchronisation des ouvertures), elle fut remplacée après une légère augmentation de la cylindrée par une deuxième version à un seul carburateur. Lors de son lancement, c'était la plus rapide des berlines 7 CV.

TI (juillet 1973) : 82 ch, 3 ou 5 portes, nouveaux sièges, volant sport, jantes en alliage léger, 6 projecteurs à iode, déflecteur aérodynamique avant et calandre noir mat.

Commerciale tôlée (septembre 1967) puis Fourgonnette et Fourgonnette VF1.

Fourgonnette surélevée VF2 (février 1973) et pick-up bâché VF2 (décembre 1975).

Fourgonnette VF3 (juillet 1978) à toit rehaussé sur base VF2.

Export

 

Une version fut vendue aux États-Unis de 1969 à 1971 sous le nom de Simca 1204

 

Au Royaume-Uni, les versions commerciales (VF1, VF2 et pick-up) ont été vendues sous la marque Dodge de 1976 à 1979, puis toujours en tant que véhicules Dodge, mais avec des badges Talbot de 1980 à 1982, et enfin uniquement sous l'appellation Talbot à partir de 1983

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Simca_1100

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Simca 1100
    Simca 1100 : dessinsagogo55
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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SCRd Renault K

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SCRd Renault K

 

 
 
 


SCRd Renault K

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SCRd Renault K

 

 

Service national d'incendie de Varsovie

 

Type : SCRd
Marque : Renault
Modèle : K
Carrosserie : Wawrzaszek - Special Cars Engineering
Année : 2015
Nombre de places : 3
Disposition des places : 2 + 1
Moteur : 460 KM
Entraînement : 8x4

Feux :
- Faisceau PW Gamet - PRISM 54 W - 2 pcs
- Lampes directionnelles PW Gamet - Makroled LL4 - 14 pièces

Signalisation sonore :
- Haut-parleurs Federal AS124 - 2 pièces
- Modulateur - Federal Signal Corporation PA300 Series
- Signal pneumatique d'une tonne

Bras de remorquage

Crane Rotator 1060S :
- zone de travail 180 degrés, rotation technique 360 ​​degrés
- capacité de levage maximale 54 t

Treuils :
- 1 treuil avec une sortie à l'arrière du véhicule 50 mètres de câble, 30 tonnes de traction par 1 bobine,
- 2 treuils par bras rotateur, 50 m de câbles, chacun sur la première bobine 20 tonnes
- 2 treuils sur la colonne rotateur, 50 m de câbles chacun sur la première bobine 9,5 tonnes
- 2 treuils sur les supports avant, 50 m cordes chacune sur la première bobine 12,5 tonnes

 

 

 


Bernard Tapie est mort à l'âge de 78 ans

Bernard Tapie est mort à l'âge de 78 ans
BERNARD TAPIE EST MORT À L'ÂGE DE 78 ANS
 
 
L'homme d'affaires et ancien ministre de la Ville de Pierre Bérégovoy souffrait depuis 2017 d'un cancer de l’estomac.
 
Son état de santé s'était à nouveau dégradé ces derniers mois. Atteint d'un cancer de l'estomac depuis 2017, Bernard Tapie est mort ce dimanche à l'âge de 78 ans.
"Dominique Tapie et ses enfants ont l'infinie douleur de faire part du décès de son mari et de leur père,  Bernard Tapie, ce dimanche 3 octobre à 8h40, des suites d'un cancer", a fait savoir sa famille par un communiqué transmis à BFMTV. "Il est parti paisiblement, entouré de sa femme, ses enfants, ses petits-enfants et son frère, présents à son chevet." La famille précise que le défunt "a fait part de son souhait d'être inhumé à Marseille,  sa ville de coeur".
 
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Dirigeant d'entreprises, propriétaire d'Adidas, de l'Olympique de Marseille, député des Bouches-du-Rhône, député européen, patron de presse mais aussi animateur télé, chanteur et acteur, Bernard Tapie aura connu plusieurs vies et de nombreux rebondissements, et un passage par la prison. Impliqué dans plusieurs scandales judiciaires, il a été condamné pour corruption, subornation de témoins et fraude fiscale. Et aura ainsi passé 165 jours derrière les barreaux.

En 2016, sa fortune est estimée à 150 millions d'euros, classant ainsi l'homme d'affaires au rang de la 400e richesse française. Pourtant, Bernard Tapie est parti de rien. Petit-fils de cheminot, fils d'un ouvrier et d'une aide-soignante, il est né en 1943 à Paris.

Après une brève carrière de chanteur - "Je ne crois plus les filles avec leurs beaux serments, je ne crois plus les filles ce n'est plus comme avant, je ne crois plus les filles avec leurs sentiments, je ne crois plus les filles mais je les aime quand même" chante-t-il en 1966 sur le 45 tours Passeport pour le soleil d'un certain "Bernard Tapy" - et de pilote de Formule 3, il se lance à 24 ans dans la vente de télévisions. Il ouvre un premier magasin, le revend puis s'embarque dans la création et le rachat d'entreprises.

 

Les châteaux de Bokassa

 

Il fait parler de lui pour la première fois en 1979 en rachetant les châteaux du dictateur de la République centrafricaine, Jean-Bedel Bokassa, après lui avoir fait croire qu'ils allaient être saisis par la justice française - châteaux qu'il a par la suite dû rendre à son propriétaire. Dès le début des années 1980, il rachète de nombreuses entreprises, parfois pour un franc symbolique. Comme Terraillon, un des leaders du pèse-personne revendu 33 millions de francs, ou Look, fabricant de fixations de ski, revendu 260 millions.

Bernard Tapie n'hésite pas à se mettre en scène, comme dans une publicité pour les piles Wonder, entreprise achetée pour 30 millions de francs et revendue quatre ans plus tard 470 millions. Dans ce clip, alors que tous les hommes et femmes en costumes qui l'entourent s'effondrent d'épuisement les uns après les autres, il fonce d'un pas assuré et clame le slogan:

"Je marche à la Wonder."

Dans les années 1980, il est incontournable. Il figure dans les vingt premières fortunes de France. Il fonde plusieurs écoles de commerce réservées aux jeunes au chômage ou sans formation - qui fermeront lorsqu'il sera déclaré en faillite - et devient l'une des personnalités préférées des Français. Il fréquente les stars, apparaît régulièrement dans les médias. Son style direct et son franc-parler plaisent. Bernard Tapie est invité dans de nombreuses émissions télévisées, comme Gym tonic.

À la même époque, il reprend le micro avec Réussir sa vie, chanson écrite par Didier Barbelivien. "Réussir sa vie, c'est traverser un océan, sans savoir pourquoi ni pour qui, à l'aventure tout simplement. C'est d'être un président, ou bien n'importe qui, et de prendre le temps d'aider un ami", chante-t-il alors.

 

Tour de France et recordman

 

Souvent, les sociétés qu'il rachète sont mal en point. "Redresser des entreprises, j'ai fait ça pendant vingt ans", clamait-il il y a quelques années. En 2012, il affirme avoir racheté 41 entreprises en dépôt de bilan. Mais en réalité, le résultat est plus contrasté. Comme le prouvent les échecs de Manufrance, articles de chasse et de pêche, ou encore Testut, une entreprise de pesage qui l'a conduit à être condamné à deux ans de prison avec sursis pour abus de biens sociaux, rappelle L'Express.

Bernard Tapie s'est aussi passionné pour le sport. Au début des années 1980, il monte une équipe cycliste - La Vie claire, du nom de l'entreprise de magasins biologiques qu'il a rachetée - avec Bernard Hinault et gagne le Tour de France. Quelques années plus tard, il bat le record de la traversée de l'Atlantique nord avec son yatch de luxe, le Phocéa, qu'il vendra ensuite pour solder ses dettes.

Il se tourne aussi vers le ballon rond. À la tête de l'OM entre 1986 et 1993, il fait briller l'équipe marseillaise. Il remporte quatre titres de champion de France, gagne une finale de Coupe de France et décroche la Ligue des champions. Mais l'ère Tapie s'arrête brusquement lorsqu'un joueur de Valenciennes révèle l'existence d'une tentative de corruption.

 

Plusieurs condamnations

 

Les affaires judiciaires, un autre aspect de la vie tumultueuse de Bernard Tapie. En 1995, l'affaire du match truqué contre Valenciennes lui vaut d’être condamné à deux ans d'emprisonnement dont huit mois ferme et trois ans d'inéligibilité. Alors patron du club de football de la cité phocéenne, il est reconnu coupable de complicité de corruption et subornation de témoins - il a toujours clamé son innocence. Il passe près de six mois en prison.

Deux ans plus tard, il est à nouveau condamné, cette fois pour fraude fiscale. Au cœur de cette affaire: un navire de luxe appartenant à une filiale de la Financière immobilière Bernard Tapie. En 1998, nouvelle condamnation pour ses pratiques financières lorsqu'il était à la tête de l'OM. Les détournements sont évalués à plus de 15 millions d'euros. Il écope de trois ans d'emprisonnement avec sursis, un peu plus de 45.000 euros d'amende et cinq ans de privation de ses droits civils et civiques.

Autre affaire et pas des moindres: Adidas. Bernard Tapie disait lui-même que c'était "l'affaire de (s)a vie". En 1990, il rachète la marque sportive pour 1,6 milliard de francs. Deux ans plus tard, alors qu'il est ministre, il en confie la vente à une filiale du Crédit lyonnais. La marque aux trois bandes est revendue 4,4 milliards de francs à Robert Louis-Dreyfus. Mais Tapie estime qu'il s'est fait flouer. Il attaque le Crédit lyonnais, qui a réalisé une plus-value sur la vente. Il obtient réparation en 2008 après douze années de procédure: quelque 404 millions d'euros lui sont versés. Mais en mai 2017, nouveau revers pour l’homme d’affaires, qui est définitivement condamné à rembourser cette somme.

 

  Acteur et animateur

 

Obligé de se reconvertir à la fin des années 1990, étant inéligible et en faillite personnelle, Bernard Tapie s'essaie à la scène. Il joue l'un des deux rôles principaux dans le film de Claude Lelouch Hommes, femmes, mode d'emploi. Il brûle ensuite les planches dans plusieurs pièces de théâtre, dont Vol au-dessus d'un nid de coucou, Oscar ou plus récemment Les Montagnes Russes. Il écrit aussi plusieurs livres, dont Gagner ou encore un roman qui se déroule dans le milieu du football.

En 1998, il enregistre son dernier single avec Doc Gynéco, C'est beau la vie. Bernard Tapie passe aussi par le petit écran. Il anime plusieurs émissions, à la télévision et à la radio, et tient le rôle principal de téléfilms et d’une série policière, Commissaire Valence, diffusée entre 2003 et 2008.

 

  Député, ministre et président?

 

Parmi les multiples vies de Bernard Tapie: sa carrière d'homme politique. Il s'est illustré à de nombreuses reprises dans sa bataille contre le Front national. Il lui est notamment arrivé d'insulter Jean-Marie Le Pen ainsi que des militants frontistes lors d'un meeting à Orange. En 1989, il devient député des Bouches-du-Rhône sous l'étiquette de la majorité présidentielle de François Mitterrand. Trois ans plus tard, il prend la tête du ministère de la Ville dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy. Mais une mise en examen l'oblige à démissionner. Quelques années plus tard, en 1994, il est élu au Parlement européen. Sa peine d'inéligibilité entrave ses ambitions, il est déchu de son mandat.

Après avoir racheté les titres du groupe Hersant médias, dont La Provence et Nice Matin, on lui prête en 2012 des velléités à la mairie de Marseille. "C'est pas une mauvaise idée", jugeait l'ancien ministre Bernard Kouchner. Son éventuel retour en politique fait alors grand bruit: 40% des Marseillais se disent même favorables à sa candidature. Rumeurs qu'il douche rapidement.

Dernier coup d'éclat en 2015, lorsqu'il envisage de postuler aux plus hautes fonctions de l'État: se présenter à l'élection présidentielle. Si aucun des prétendants dans la course à l'Élysée ne lui convient, "j'y vais moi", assure-t-il sur France 2. Il ne sera finalement pas candidat. Mais il concédait alors: "La vie m'a gâté."

Céline Hussonnois-Alaya
 

 

 


La Vache et le Prisonnier

La Vache et le Prisonnier

 

 

La Vache et le Prisonnier est un film franco-italien réalisé par Henri Verneuil en 1959.

 

Synopsis

 

 
Un char fleuri inspiré du film à Cosne-Cours-sur-Loire en 2015
 

En 1943, Charles Bailly (Fernandel), un Français prisonnier de guerre en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, décide de s'évader de la ferme où il est employé. Sa ruse, grossière et folle en apparence, consiste à traverser le pays, la vache Marguerite tenue au licol et un seau de lait dans l'autre main.

Ayant presque réussi, il se sépare de l'animal, non sans lui avoir promis de ne plus jamais « manger de veau ». Il se dissimule sous un train pour franchir la frontière germano-française.

Alors qu'il se retrouve à la gare de Lunéville, il prend la fuite devant deux policiers français, et saute dans un train qui, à son insu, est en partance pour… l'Allemagne. Ce n'est que deux ans plus tard que cet héroïque anti-héros reviendra de captivité « comme tout le monde ».

 

 

Fiche technique

 

Titre : La Vache et le Prisonnier

Réalisation : Henri Verneuil

Scénario : d'après le récit de Jacques Antoine Une histoire vraie (histoire originale publiée en 1945 dans le livre de Maurice Dekobra La Perruche Bleuep. 211-215, Édition Brentano's.)

Adaptation : Henri Verneuil, Henri Jeanson, Jean Manse

Dialogue : Henri Jeanson

Assistant réalisateur : Ulrich Picard

Images : Roger Hubert

Opérateur : Adolphe Charlet

Montage : Jacques Cuenet

Décors : Franz Bi, Max Seefelder, Jacques Chauvet

Musique : Paul Durand

Son : Antoine Petitjean

Photographe de plateau : Fred Rotzinger

Script-girl : Lucile Costa

Régisseur général : Harry Dettman

Production : Da-Ma Cinematografica (Rome), Les films du Cyclope (Paris)

Chef de production : Roland Girard

Directeur de production : Walter Rupp, René G. Vuattoux

Distribution : Pathé Consortium

Format : 35 mm, noir et blanc

Tournage du 8 juin au 15 août 1959 en Allemagne, dans le Bade-Wurtemberg et en Bavière, et en Ardèche dans le village d'Alboussière

Genre : Comédie dramatique

Durée : 119 minutes

Date de sortie :

France - 16 décembre 1959

 

Distribution

 

Fernandel : Charles Bailly

René Havard : Bussière

Bernard Musson : Pommier

Maurice Nasil : Bertoux

Ellen Schwiers : Josépha dite Marlène, la fermière

Ingeborg Schöner : Helga

Albert Rémy : Collinet, le prisonnier du stalag

Pierre Louis : Hauptmann Müller, un évadé déguisé en SS

Richard Winckler : Hauptmann Rupp, l'autre évadé

Franziska Kinz : la mère d'Helga

Benno Hoffmann : le garde du camp

Heinrich Gretler : Bockmann, le fermier à la camionnette

Til Kiwe : l'officier qui traduit

Hugo Lindinger : le soldat qui compte les prisonniers

Marcel Rouzé

Franz Muxeneder (coupé au montage)

Marguerite : la vache

 

Accueil critique

 

Plus gros succès au box-office de 1959 avec 8 844 199 entrées.

À sa sortie, Jean de Baroncelli dans l'édition du quotidien Le Monde datée du 1er janvier 1960 est indulgent :

 

 

« Un bon point de départ ne suffit pas toujours à faire un bon film. En l'occurrence, il s'agissait de meubler d'anecdotes et de gags le long voyage du prisonnier. Responsables de l'adaptation, Henri Jeanson, Henri Verneuil et Jean Manse ont exploité avec ingéniosité la situation initiale. Travaillant pour Fernandel, ils ont naturellement tiré le sujet vers la farce, non sans ménager ici ou là quelques moments d'émotion. Tout n'est pas de qualité égale dans ce qu'ils ont trouvé, et certains sketches de la seconde partie du film languissent un peu, mais à deux ou trois reprises ils ont, comme on dit, mis dans le mille. La visite de Fernandel au stalag des « tire-au-flanc », le gag du voisin charitable, et surtout l'épisode où le prisonnier et sa vache défilent devant une compagnie de soldats allemands rangés au garde-à-vous sur un pont pour les laisser passer, sont d'excellents morceaux comiques.

L'histoire ne se prêtait pas aux fioritures techniques : Henri Verneuil a eu raison de la raconter avec simplicité et bonhomie. Je ne lui reprocherai guère que de n'avoir pas suffisamment resserré sa fin. Sans la pirouette finale, qui est amusante, on partirait sur une impression de longueur. Dans un rôle taillé à sa mesure, Fernandel s'efforce visiblement de rester sobre. Et il sait émouvoir quand il veut. Dialogue efficace d'Henri Jeanson (« Toutes les mères se ressemblent ; dommage que les pères soient si bêtes ! »etc.).

Bref, un film qui est très exactement ce que les auteurs ont voulu qu'il soit. Un spectacle familial certainement promis au succès. »

 

Pierre Murat, de la revue Télérama, confirmait en 2017 :

 

« Pendant une bonne décennie, cette comédie fut le plus gros succès public du cinéma français. C'est aussi l'un des films les plus diffusés à la télévision. Sans doute parce qu'on y retrouve tous les ingrédients du film populaire à la française. Fernandel, qui, en pleine guerre, s'évade d'une ferme allemande avec une vache (prénommée Marguerite) et un seau en fer-blanc, c'est le Français type, opiniâtre, débrouillard et humain.

 

La mise en scène est extrêmement soignée : Verneuil a été honni — à tort — par la Nouvelle Vague. Moins audacieux que Des gens sans importance, avec Jean Gabin et Françoise Arnoul, c'est un divertissement dont nul, même aujourd'hui, ne se lasse. »

 

 

À noter

 

Le trajet de Charles Bailly part vraisemblablement de Bavière (« on décidait de passer notre première nuit, sous ces beaux arbres, tout près du lac de Tegernsee, ou peut-être Würmsee ou A

mmersee, je ne me souviens plus très bien. » (33-34 min)). Le lieu suivant explicitement mentionné est le Danube, sur lequel un pont a été détruit par des bombardements Alliés. Le prisonnier passe ensuite à Esslingen (« Esslingen était la seule ville qui fît partie de mon itinéraire » (90 min)), avant de rejoindre la gare de Stuttgart, d'où il prend un train pour Paris.

Pour égayer leurs soirées, le prisonnier Bertoux déclame des poèmes érotiques : Les Bijoux de Charles Baudelaire et Chansons pour elle, X de Paul Verlaine.

Lors du tournage du film, Fernandel est âgé de 56 ans, alors que les mobilisés en 1940 étaient âgés de 20 à 45 ans légalement. Mais au vu de son interprétation, le public ne portera pas attention à ce détail. Le général de Gaulle dira lui-même qu'en 1940, il avait bien plus que 45 ans, comme tant d'autres personnes qui participèrent au conflit.

Les rapports entre Henri Verneuil et Fernandel furent difficiles, les exigences de l'acteur exaspérant le réalisateur à ce point que ce dernier regretta de ne pas avoir confié le rôle à Bourvil.

Il s'agit du premier long métrage français qui a été colorisé et diffusé le 23 septembre 1990 sur TF1

Après le tournage, la vache devait être rendue et envoyée à l'abattoir. Henri Verneuil s’y opposa farouchement et lui trouva un pré en Normandie où elle put finir sa vie tranquillement.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vache_et_le_Prisonnier

Notes et références                                                    
   
   
   
    La Vache et le Prisonnier
   
   
   
   
   
CREATION   La vache et le prisonnier
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Renault TN

Publié à 02:39 par dessinsagogo55 Tags : cheval png center société centerblog sur chevaux merci france création
Renault TN

 

 

Les Renault TN sont des autobus dont les châssis fabriqués par Renault à partir de 1931 ont été livrés à différentes villes de France, dont Paris surtout, mais aussi Lyon et Marseille.

À Paris, ils étaient carrossés par les ateliers de la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP). Les caisses étaient constituées d'une ossature en bois et d'un habillage en tôle d'aluminium.

Le moteur des Renault TN est placé à l'avant du véhicule en porte à faux de l'essieu avant : les TN4 ont un moteur à 4 cylindres et les TN6 un moteur à 6 cylindres. Tous avaient des roues arrière jumelées.

Durant la Seconde Guerre mondiale, en raison de la pénurie de carburant, ils furent équipés d'un gazogène ou, plus souvent, d'un vaste ballon souple logé dans une énorme carène fixée sur le toit pour l'utilisation du gaz de ville non comprimé.

 

 

Les premiers TN4

 
Un TN à l'arrêt, en 1950.
 
 

TN4A

 

 

 
Autobus Renault TN4A, avec le capot et la calandre d'origine, 1931.
 
 

La série TN4A est mise en service à partir d'août 1931, à raison de 320 exemplaires à deux agents (un conducteur et un receveur) et 150 exemplaires destinés à la banlieue, à un seul agent assurant la double fonction de conducteur et de receveur.

Ces autobus apparaissent d'emblée beaucoup plus confortables que les Schneider H et Renault PN qui les ont précédés. Ils sont les premiers à abandonner d'origine les bandages pleins en caoutchouc, au profit de pneumatiques à haute pression, une révolution dans le confort des voyageurs. Le conducteur, lui, doit se contenter d'un classique poste de conduite sous auvent, qui ne comporte toujours ni pare-brise ni portières. Les modèles à plate-forme ouverte, destinés à la ville, n'avaient pas de phares à l'origine, mais de simples feux de position fixés sur le tablier. Ceux à un seul agent, destinés au service de banlieue, entièrement fermés, étaient surnommés « cages à poules ».

La boîte était à quatre rapports non synchronisés. Le moteur d'origine, à quatre cylindres, qui développait 58 ch à 1 640 tr/min, se révéla fragile à l'usage. Tous les TN4A furent modernisés en 1936 pour devenir la série TN4B, abandonnant le capot et la calandre d'origine. Sauf reconstitution, il n'existe donc plus d'autobus TN4A ailleurs que sur des photographies

 

Les TN6

1932 : Renault TN6

1934 : Renault TN6C

Dans les années 1930, pour compenser la disparition progressive des tramways urbains parisiens, la STCRP procède à un développement de sa flotte d'autobus. Entre 1932 et 1934, elle commande aux usines Renault 1 020 châssis et moteurs sur lesquels elle monte diverses caisses à plate-forme ouverte ou fermée.

La STCRP, réunie à la CMP en 1943, puis la RATP à partir de 1949, exploitent trois modèles de TN6, le premier alimenté en essence, les deux autres en carburant ternaire. Certains seront diésélisés au cours des années 1950, portant la puissance du moteur à 90 ch.

 

TN6A

 

En 1932, la STCRP commande aux usines Renault 770 châssis équipés d'un moteur à essence six cylindres développant 67 ch à 1 470 tr/min

Les ateliers de la STCRP conçoivent une caisse en trois parties. Le poste de conduite est séparé du reste de l'autobus ; dépourvu de portières, il laisse le conducteur exposé aux intempéries. Le compartiment voyageur est divisé en deux classes comprenant 16 places en seconde classe et 17 places en première. La plate-forme arrière est prévue pour accueillir 17 personnes, pour un total de 50 passagers.

L'exploitation est assurée par deux agents, les voyageurs montant par la plate-forme arrière, fermée par une chaîne, sur laquelle se tient le receveur, qui vend et oblitère les billets, et donne le départ grâce à une chaîne reliée au poste de conduite. Au cours des années 1948-1950, le poste de conduite est « vestibulé » : il reçoit un pare-brise et des portières.

À la création de la RATP, en 1949, ces véhicules continuent leur service, jusqu'à la réforme des derniers modèles en 1969.

 

 

TN6C

 

La STCRP, satisfaite de la première série en exploitation, passe commande en 1934 de 250 châssis TN6C, très proches du châssis des TN6A.

La différence touche principalement la motorisation des véhicules qui accueillent un moteur Renault 6 cylindres développant 67 chevaux à 1 600 tr/min, alimenté par un carburant ternaire fait d'un mélange d'un tiers d'alcool, un tiers de benzol et un tiers d'essence.

Les caisses sont toujours réalisées dans les ateliers de la STCRP

 

TN6C1

Sur les 250 nouveaux châssis TN6C, 90 reçoivent un aménagement pour la banlieue et service à agent seul. La nouveauté réside dans la caisse qui est intégralement fermée à l'époque où les premiers TN6A ont un poste de conduite exposé aux intempéries et une plate-forme arrière ouverte. Cette conception leur vaudra le surnom de « cage à poules ». La montée et la descente des voyageurs se fait par une porte latérale à l'avant sur le côté droit du véhicule pour permettre une exploitation à agent seul, où le conducteur est aussi receveur. La plate-forme arrière est vestibulée et dispose d'une simple porte de secours.

Ces véhicules offrent 54 places : 20 assises et 34 debout (strapontins relevés), la classe unique ayant été instaurée depuis 1932.

Les TN6C1 sont réformés en 1959

 

TN6C2

160 des 250 châssis TN6C reçoivent une caisse similaire à celle de la première génération avec plate-forme arrière et service à 2 agents. Ces véhicules accueillent 51 passagers (classe unique), offrant 34 places assises et 17 debout.

La différence avec la première génération est surtout esthétique, avec des roues « artillerie » à branches en étoile et un pare-brise agrandi.

Les TN6C2 sont réformés en 1969 en même temps que les TN6A.

 

 

Les TN4 plus récents

TN4C

 

La petite série des TN4C, fabriquée en seulement 50 exemplaires, est contemporaine des TN6C, dont elle reprend la calandre dépourvue de barreaux, laissant visibles les ailettes du radiateur. Les roues de cette série sont de type artillerie.

 

 

TN4F

 

 
Autobus Renault TN4F, 1935.
 

La série TN4F est mise en service en 1935, en 334 exemplaires. BV 4 rapports non synchronisées, 4 freins à tambour à commande mécanique, 45 km/h. Reconnaissable extérieurement à sa calandre à barreaux verticaux et ses roues « artillerie » en fonte, à jante démontable, elle bénéficie d'un moteur plus résistant que celui de la série A, qui connaissait beaucoup d'avaries.

Ces autobus, longs de 9,14 m et larges de 2,42 m, ont une masse à vide de 6,1 t et en charge 9,50 t.

Leur moteur à 4 cylindres de 58 ch à 1 600 tr/min fonctionnait au carburant ternaire, (1/3 alcool, 1/3 benzol, 1/3 essence).

 

TN4B

 

Dans la lancée, en 1936, la série TN4A reçoit de nouveaux moteurs semblables à ceux des TN4F et prend le nom de TN4B, avec la calandre à barreaux verticaux des TN4F. Les TN4B sont reconnaissables à leurs roues en tôle d'acier emboutie.

 

 
Renault TN4H, 1936.
 
 
 
Renault TN4H équipé pour l'utilisation au gaz de ville non comprimé, durant la Seconde Guerre mondiale.
 
 

TN4H

 

La série TN4H est livrée à partir de 1936, en 970 exemplaires, dont 410 à plate-forme arrière ouverte, destinés à Paris, les autres à plate-forme fermée et ouverture latérale ou arrière, destinés à la banlieue. La caisse pouvait être réalisée par la STCRP, ou bien par des ateliers indépendants, comme MGT (Millon-Guiet-Tubauto) ou CIV (Carrosserie industrielle de Versailles).

La série TN4H se distingue des précédentes par sa cabine avancée et ses cinq fenêtres latérales dont les coins supérieurs sont arrondis. L'espace réservé aux voyageurs est plus vaste et la suspension plus souple. Leur longueur est de 9,76 m et leur masse à vide de 7,4 t.

Le moteur à 4 cylindres de 58 ch à 1 600 tr/min fonctionnant au carburant ternaire (1/3 alcool, 1/3 benzol, 1/3 essence) est le même que celui des TN4F, ainsi que la boîte à 4 rapports.

Ces autobus offraient plus de places assises que les précédents, mais le nombre de voyageurs, fixé à 50, restait inchangé.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la plupart d'entre eux furent équipés de ballons pour l'utilisation au gaz de ville. Ils furent vestibulés, comme tous les autres TN, juste après la guerre, lorsque la RATP remplaça la CMP. Les derniers TN4H sont restés en service jusqu'en 1971

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_TN

 
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
   
   
   
   
    Première guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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