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Monde : France

Mitrailleuse Hotchkiss de 13,2 mm modèle 1929

Publié à 00:12 par dessinsagogo55 Tags : center pouvoir centerblog sur merci france place mode air divers
Mitrailleuse Hotchkiss de 13,2 mm modèle 1929

 

La mitrailleuse Hotchkiss de 13,2 mm modèle 1929 conçue par Hotchkiss est une arme de défense anti-aérienne.

 
Caractéristiques

  Cette arme à refroidissement par air est dotée d'un canon de 76 calibres, ces canons Hotchkiss ont une cadence cyclique de 450 coups par minute, mais la cadence pratique est de 200 / 250 coups par minute pour permettre le rechargement de leurs magasins de 30 balles.

 

Elle fut utilisée par l’Armée de l’air et la Marine nationale.

 

Dans la Marine nationale, elle était montée en bitube et en quadritube, cette dernière disposition étant inventée par Yves Le Prieur, sur la quasi-totalité des navires de guerre construits dans les années 1930, mais elle était également utilisée à terre en défense des côtes.

 

L’Armée de l’air l’utilisait en bitube seulement pour la défense des bases aériennes sous le nom de mitrailleuse de 13,2 mm CA mle 1930.

 

Elle fut également fabriquée sous licence au Japon pour la marine impériale japonaise sous le nom de Type 93.

 

L'Italie en fit une copie sous le nom de Breda Mod. 31 avec, en outre, un mode de chargement différent avec des bandes de munitions souples utilisée par la Regia Marina.

 

Modèle 1930

 

L’Armée de terre refusa le modèle 1929 pour le tir anti-aérien au prétexte que les balles étant trop lourdes, elles risquaient de blesser les troupes en retombant.

 

Elle utilisa la mitrailleuse Hotchkiss de 13,2 mm modèle 1930, strictement identique au modèle 1929, comme arme anti-personnel ou anti-char uniquement dans les casemates des basses Vosges et des berges du Rhin de la ligne Maginot pour tirer sur les moyens de franchissement.

 

Elle était montée sur un chariot suspendu identique à celui qui supportait le canon anti-char de 37 mm afin de pouvoir être retirée du créneau pour la mise en place d’un Jumelage de mitrailleuses Reibel (JM)

 

Cette arme fut montée sur divers véhicules blindés comme l'AMD Laffly 80 AM, l'AMR 35 et la chenillette T13, et fut utilisée en Espagne, en Belgique et en Chine

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mitrailleuse_Hotchkiss_de_13,2_mm_mod%C3%A8le_1929

 
     
     
     
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Citroën 45

Publié à 02:17 par dessinsagogo55 Tags : paris center histoire centerblog sur chevaux merci france
Citroën 45

 

 

Le Type 45 est un modèle de camion de la marque Citroën, fabriqué pendant 20 ans, entre 1934 et 1954. Il sera remplacé par le Type 55.

 

Histoire

 

Après le T 23, le T 29, et le T 32 avec des moteurs dérivés de voitures, type Rosalie où Traction Avant, le T 45 sort en 1933 avec un moteur à essence de 6 cylindres en ligne, et un châssis permettant une charge utile de 3,500 t en version courte. Une version longue de 4,500 t sera ensuite proposée. Un moteur diesel de 12 chevaux fiscaux sera ensuite présenté. Le châssis court ou long sera également employé pour d'autres versions.

 

T 45 S, Autocar 33 places, équipant entre autres le réseau des Transports CITROEN en 1948

T 45 D, tracteur diesel pour semi-remorque

T 45 U, fourgon pompe-tonne d'incendie

 

Toutes sortes de carrosseries pouvaient être adaptées sur le châssis court ou long.

 

Pendant la guerre 39/45, il pourra même est équipé d'un gazomètre en version plateau avec ridelles et fourgeon, livré d'usine - version 45 G.

 

L'armée allemande, ayant saisie à son arrivée à Paris l'usine du Quai de Javel, en possédera plusieurs centaines en version camouflage. Très robuste, il sera d'un grand succès à l'exportation et dans toutes les colonies françaises. Les entreprises de déménagement seront très souvent équipées de ces engins, en fourgon à deux essieux et châssis long ou avec tracteur routier et semi-remorque.  

 

(Références et données techniques, Constructeur)

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Citro%C3%ABn_45

 
     
     
     
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AMC 35

Publié à 17:37 par dessinsagogo55 Tags : homme article png center centerblog prix sur chevaux merci france jeux film
AMC 35

 

L'AMC 35 (de Automitrailleuse de combat Renault modèle 1935), aussi connu sous le nom de Renault ACG-1, était un char moyen français développé dans les années 1930, soit vers la fin de l'entre-deux-guerres. Il servit durant la Seconde Guerre mondiale.

 

Il a été produit dans l'usine Renault d'Issy-les-Moulineaux et a été développé en raison du changement des spécifications qui avaient mené à la conception de l'AMC 34, exigeant un véhicule non seulement bien armé mais également bien blindé.

 

Du fait de problèmes financiers et économiques, la production a été retardée et limitée. La Belgique fut la seule utilisatrice de ce char dans des unités actives avant la guerre. L'AMC 35 était l'un des seuls chars français de l'époque comportant une tourelle pour deux hommes.

 

Développement

 

Renault a développé l'AMC 34 selon les caractéristiques du plan de 1931. Le 26 juin 1934, ceux-ci ont été changés : on exige maintenant que le véhicule atteigne une vitesse maximale de 50 km/h et qu'il soit immunisé contre les armes à feu antichars. Le 7 mars 1936, un nouveau prototype a été fourni par Renault, qui a demandé que le véhicule soit accepté s'il répondait aux nouvelles caractéristiques. Après tout, l'AMC 34 avait été accepté pour la production alors qu'il ne présentait que de légers changements. L'institution faisant alors autorité en la matière, la Commission de Vincennes, s'est montrée méfiante cependant, du fait du changement de l'appellation d'usine, passant de Renault YR à Renault ACG. Quand la commission a inspecté le prototype le 9 mars, les représentants du constructeur précisent que le prototype est d'une conception complètement nouvelle. En conséquence, un programme d'essais est lancé, et il s'achève le 27 novembre. À cette date, la commission a jugé que, en dépit de nombreux changements, le modèle était encore inadapté pour le service à cause de son manque de fiabilité mécanique. Toutefois, au printemps suivant, inquiétée par la remilitarisation de la Rhénanie, la commission passe une première commande de dix-sept véhicules. Plus tard, elle passe à 50 unités. Pour des raisons politiques, la commission n'a pas osé décommander, elle a accepté le modèle ; notant tout de même qu'il serait fortement recommandé d'examiner les modèles et de les tester avant de les recommander. Le premier véhicule de la cavalerie française a été reçu le 1er novembre 1938.

 

Description

 

L'AMC 35 a des dimensions à peu près identiques à celles de l'AMC 34. Cependant, la coque est plus longue, atteignant 4 572 mm, ce qui lui permet d'accueillir un moteur V-4 de 11,08 litres développant 180 chevaux, version raccourcie du moteur V-6 équipant le char B1. L'AMC 35 a cinq roues de route. La suspension utilisée est faite de ressorts horizontaux cylindriques en caoutchouc. N'atteignant que 42 km/h, le véhicule était plus lent que la vitesse exigée par le cahier des charges de la Commission de Vincennes. Un réservoir de carburant de 300 L lui permettait de parcourir environ 160 km. Il pouvait franchir un gué n’excédant pas 60 cm, et sa capacité de franchissement est de 2 m. Son blindage, en plaques de tôle rivetées et boulonnées, n'atteint que 25 mm, la protection offerte étant là encore en deçà de l'exigence au cahier des charges.

 

Le prototype avait une tourelle APX2 pour deux hommes, avec le commandant, chargeur du côté gauche, et l'artilleur du côté droit. La tourelle est composée de deux pièces de métal moulé, soudées et rivetées ensemble.

 

La tourelle hébergeait initialement un canon antichar SA de type « région fortifiée » de 25 mm jumelé à une mitrailleuse de 7,5 mm Reibel. Les canons antichars de 25 ayant tous été livrés dans les ouvrages de la ligne Maginot, c'est finalement le canon SA modèle 35 de 47 mm qui est mis en œuvre dans la tourelle1. Le char emporte 120 obus pour le canon et 5 250 coups pour la mitrailleuse. La variante belge emporte un canon FRC de 47 mm

 

Production et exportation

 

L'armée belge passe commande pour vingt-cinq caisses d'AMC 34 à Renault le 13 septembre 1935, à un prix unitaire de 360 000 francs français, et aussi pour des tourelles APX2 à livrer à Batignolles-Châtillon. Le montant total de la commande atteint 18,5 millions de francs belges. Les caisses livrées sont définies comme étant des coques « de deuxième série », c'est-à-dire des caisses d'AMC 35, par opposition à l'AMC 34. Leur livraison était censée débuter en octobre 1935. Cependant, c'est lors de ce mois-ci que Renault a commencé la production de l'AMC 34 d'origine ; jusqu'à présent il ne pouvait pas fabriquer la version améliorée. En décembre 1936, la division militaire de Renault est nationalisée et restructurée, devenant la nouvelle usine AMX. Des problèmes technologiques, financiers et sociaux ont donné lieu à des retards de livraison lors de la même année. Comme les commandes militaires importantes étaient devenus rares, le projet est devenu secondaire. Une seule automitrailleuse est livrée le 4 juin 1937 et est testé par les chasseurs ardennais

 

Ce résultat embarrassait cependant le gouvernement français puisqu'il mettait Renault sous pression afin d'accepter un nouvel arrangement. Au milieu des années 1930, l'usine Renault disposait des matériels nécessaires pour construire 75 chars ; elle en construit d'abord 50. Il a ensuite été accepté le 21 avril 1938 d'achever les 25 véhicules possibles restants, dont 9 sont livrés à la Belgique (en plus de celui déjà livré). La Belgique devait également recevoir cinq jeux de pièces de rechange et huit lots de plaques de blindage. Le nouveau contrat est signé le 15 juin et stipule que les chars seraient livrés avant le 31 juillet

 

Historique opérationne Belgique

 

 
Un des véhicules belges immobilisé en mai 1940 et incendié pour les besoins du film de propagande Sieg im Westen (en).
 
 

Quand chacune des neuf coques est enfin arrivée en Belgique, on a bientôt découvert que l'usage de moteur, de transmission et de suspension était excessif. En janvier 1940 les deux chars qui étaient en plus mauvaise condition ont été sélectionnés pour le transport à l'arsenal d'Etterbeek, afin d'être cannibalisés et garder les autres en fonction; l'un des deux a été employé pour la formation des conducteurs.

 

Les huit autres chars ont été concentrés dans l'Escadron d'Auto Blindés du Corps de Cavalerie qui a été créé le 1er septembre 1939 à Watermael-Boitsfort. Le terme de véhicule blindé lourd ou Zware Pantserwagen, a été employé pour éviter le terme politiquement sensible de char. L'unité s'est ensuite déplacée à Gand pour sa première formation, recevant plus de véhicules de Carels. Plus tard, elle s'est déplacée de nouveau à Bruxelles. L'escadron a eu trois pelotons : un peloton « personnel et services » et deux pelotons de quatre chars chacun. Le personnel était un mélange des soldats du 2e régiment de Lancers et le premier régiment de guide francophone, les deux unités partageant la même caserne (Caserne de Witte-De Haelen) à Etterbeek.

 

Quand la guerre a éclaté le 10 mai, le char de formation des conducteurs a été uni aux sept autres pour rapporter à l'escadron à sa force de huit. Ceux-ci ont lutté contre les forces terrestres de l'Allemagne entre les 17 et 27 mai 1940. Quatre ont été détruits par des canons PAK de 37 mm en contre-attaquant, deux ont été décomposés et deux ont été rendus à l'armée allemande le 28 mai 1940 quand l'armée belge a déposé ses armes.

 

Le musée de l'armée à Bruxelles montre une tourelle simple prise d'une des deux qui ont défendu l'entrée du port de Zeebrugge. La tourelle est propriété de la ville de Bruges qui l'a prêtée au musée de l’armée de Bruxelles pendant 99 ans.

 

 

France

 

 
AMC 35 au musée des Blindés de Saumur.
 

Au début les chars français n'ont équipé aucune unité ; aucun équipage n'a été formé pour utiliser ce type de char. Après la percée allemande à Sedan, il a été décidé d'envoyer au front toute la réserve de matériel de char. Plusieurs unités ont été formées à la hâte. Douze premiers AMC 35 ont été employés pour équiper le 11e Groupement de Cavalerie; alors cinq Corps-francs motorisés ont été formés, chacun a été équipé de sept chars, mais seulement cinq AMC 35 pourraient d'abord être préparés pour eux ; sept autres ont été livrés plus tard. Les équipages ont rapporté que le matériel était peu fiable, et qu'ils ont extrêmement souffert de leur courte portée en terrain accidenté. Le CFM a livré une bataille retardatrice entre les rivières de la Seine et de la Loire.

 

Dans la littérature anglophone, l'AMC 35 est souvent dépeint comme une occasion manquée importante pour les Français qui auraient pu retourner la situation avec l'Allemagne. La tourelle pour deux hommes de l'AMC 35 était mieux adaptée aux exigences de la guerre moderne de manœuvre. Toutefois, une telle tourelle n'était blindée qu'à 25 mm, alors que la tourelle monoplace du S35 était blindée à plus de 40 mm.

 

Ce type de char peut cependant également être interprété comme un exemple des contraintes de conception de la France.

 

Une épave d'AMC 35 a été récupérée et restaurée au musée des blindés de Saumur, où elle est exposée depuis 2006

 

Allemagne

 

Des véhicules capturés par l'Allemagne pendant la chute de la France ont été employés par la Wehrmacht comme PzKpfw AMC 738 (f), pour la formation des conducteurs.

 

Projets

 

Une caisse d'AMC 35 a été convertie en véhicule d'appui pour les unités de cavalerie. Nommé Renault ACG-2, il était équipé du même canon de 75mm que le Char B1 Bis.

 

Un prototype de véhicule générateur de fumée fut transformé à partir de l'ACG2. Il était équipé de dix-neuf conteneurs, chacun avec 165 litres contenant un liquide produisant une fumée grâce à un compresseur.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/AMC_35

 
     
     
     
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Pistolet automatique modèle 1935A

Publié à 14:56 par dessinsagogo55 Tags : article platine centerblog sur merci france
Pistolet automatique modèle 1935A

 

 

Le pistolet automatique modèle 1935A (« A » pour Alsace) fut réglementaire dans l'Armée française de 1937 à 1962. Ses brevets rachetés par SIG donnèrent naissance au P210.

 

Présentation

 

Conçu par l'ingénieur franco-suisse Charles Petter (capitaine dans la Légion étrangère et chevalier de la Légion d'honneur), le 1935A fut produit par l'usine de Cholet de la SACM (85 000 exemplaires). Son mécanisme est celui du Colt M1911 légèrement modifié. Il tire en simple action. Sa platine est amovible. La production du PA 35A débuta en 1937, mais de façon limitée et, après correction des défauts de jeunesse, les premières armes ne furent livrées que durant l'été 1939. Cela retarda sa mise en service et au jour de l'armistice en juin 1940 seulement 10 000 exemplaires avaient été fabriqués. L'occupant l'adopta également sous le nom de pistole 625 (f) et s'en fit livrer 24 600 entre 1940 et 1944. L'usine de Cholet en livra 50 400 neufs entre 1946 et 1950. L'arme fut également en service dans la gendarmerie nationale, les CRS et la préfecture de police de Paris. Il souffrait uniquement d'une munition "faible".

 

  Données numériques

 

Munition : 7,65 mm Long

Longueur : 19,5 cm

Canon : 11 cm

Masse à vide : 670 g

Chargeur : 8 cartouches

 

Pour en savoir plus

 

Les Armes de Poing de L'Armee française 1858-2004 par J. Huon & E. Medlin, Editions Crepin Leblond, Avril 2005.

Revolvers & pistolets automatiques français par Daniel Casanova, Etai, Septembre 2015.

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pistolet_automatique_mod%C3%A8le_1935A

 
     
     
     
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Panhard

Publié à 01:16 par dessinsagogo55 Tags : france merci centerblog sur center saint
Panhard

 

Panhard & Levassor X19

 

 

Panhard & Levassor est un constructeur automobile français dont l'activité civile a été arrêtée en 1967, après sa reprise par Citroën. L'entreprise poursuit la production des véhicules militaires, essentiellement des blindés légers 4 × 4, produits en France dans deux usines à Marolles-en-Hurepoix (Essonne) et Saint-Germain-Laval (Loire). Prenant le nom de Panhard Defense en 2012, elle est rachetée par Renault Trucks Defense et absorbée par Arquus en 2018.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panhard

 
     
     
     
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Mortier modèle 27/31

Publié à 22:56 par dessinsagogo55 Tags : center france centerblog sur merci fond
Mortier modèle 27/31

 

 

Le mortier Stokes-Brandt de 81 mm Mle 27/31 fut réglementaire dans l'armée de terre française durant la Seconde Guerre mondiale. Conçu par Edgar Brandt, il est une amélioration du mortier britannique Stokes. Bien conçu, il a été construit sous licence et copié par de nombreux pays.

 

Historique

 

Il entra en service en France à partir du début des années 1930 et est tellement bien conçu que tous les mortiers de calibres 3", 8 cm, 81,4 mm, 82 mm de la Seconde Guerre mondiale en sont des copies plus ou moins conformes construites on non sous licence. Les munitions utilisées par les différentes armées étaient souvent compatibles. On trouve notamment les Granatwerfer 34 allemand, l'Ordnance ML 3 inch Mortar britannique[réf. nécessaire], le mortier 82-PM-41 soviétique, le mortier M1 de 81 mm américain, le mortier Type 99 81 mm japonais et le mortier M1935 italien.

 

Des versions pour fortifications avec chargement par l'arrière fut créées, en France, c'est le mortier de 81 mm modèle 1932.

 

Technique

 

Amélioration du mortier britannique Stokes, il est conçu et fabriqué par les Établissements Brandt. C'est une arme simple et efficace, chargé par la bouche, la munition étant mise à feu en tombant sur un percuteur fixe. Il nécessite une équipe de 3 hommes. Il est démontable en 3 fardeaux et muni d'un bipied.

 

L'appareil de pointage du mortier construit aux États-Unis diffère de celui du mortier français qui est semblable à celui du mortier de 60 mm.

 

Munitions

 

Les différents obus sont amorcés avec deux types de fusées :

 

Les fusées instantanées qui provoquent l'explosion dès que le projectile touche le sol. La nappe d'éclats est par conséquent très rasante et fauche une surface très importante. Cet amorçage convient pour attaquer des épaulements peu enterrés et non couverts ou bien contre de l'infanterie à découvert.

 

Les fusées à retard provoquent l'explosion quand le projectile est déjà enfoncé dans le sol. Ce type d'amorçage convient pour détruire des emplacements enterrés. Mais tout obus qui n'atteint pas l'objectif projette des éclats qui pour la plupart restent au fond de l'excavation. La gerbe dangereuse est donc très limitée.

 

Obus explosifs légers

 

Ils possèdent une charge relativement faible en explosif, leur donnant un effet analogue à celui d'un obus de 75 mm (mais avec une pénétration moindre). Ces projectiles sont employés normalement.

 

Projectiles français :

FA 1924-1927; poids complet: 3,250 kg; portée maximale : 2 000 m.

FA 1932; caractéristiques similaire à l'obus précédent, mais avec 6 ailettes au lieu de 8.

Projectile américain :

HE M43; poids complet: 3,130 kg, portée maximale : 3 200 m.

Obus explosifs à grande capacité

 

Leur forte charge explosive provoque des effets similaires à celui d'un obus de 155 mm. Mais leur poids important diminue fortement leur portée.

 

Projectile français:

M1935, poids complet: 6 kg 900; portée maximum : 1 000 m.

Projectiles américain:

HE M45; poids complet: 6,080 kg ; portée maximale : 1 275 m;

HE M45B1; poids complet: 6,820 kg ; portée maximale : 1 275 m ; projectile amorcé avec retard;

FS M57 (fumigène), poids complet: 5,400 kg ;

WP M57 (phosphore), poids complet: 5,150 kg ;

HS M57 (obus à gaz), poids complet: 4,700 kg .

 

Organigramme

 

Dans l'armée de terre française des années 1930/1940, on trouve un groupe de 2 mortiers au sein de la section d'engin, dans la compagnie d'armes lourdes de chaque bataillon d'infanterie

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortier_mod%C3%A8le_27/31

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Mortiers utilisés (Guerre) : France
   
   
   
   
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Saint-Étienne modèle 1907

Publié à 22:11 par dessinsagogo55 Tags : center pouvoir centerblog sur merci france saint animaux coup société histoire air
Saint-Étienne modèle 1907

 

 

La mitrailleuse Saint-Étienne modèle 1907 est la mitrailleuse lourde standard de l'armée française en 1914.

 

Histoire

 

 
Mitrailleuse Saint Étienne Mle 1907 utilisée par des soldats français au début de la première Guerre mondiale.
 

En 1893, le capitaine baron Adolf Odkolek von Újezd (de), un officier austro-hongrois, invente et construit un modèle de mitrailleuse qui utilise les gaz de propulsion des cartouches pour mouvoir la culasse et lancer le mouvement automatique, système dit « par emprunt des gaz ». Il propose cette invention à la société privée Hotchkiss qui l'adopte et construit le modèle 1897 et 1900.

 

Le gouvernement français achète une série limitée de modèles 1900 mais préfère faire produire ses mitrailleuses par ses arsenaux, pour éviter d'avoir à payer une redevance à une société privée. À sa demande, l'atelier de construction de Puteaux (APX) produit donc le modèle 1905 qui bénéficie de deux innovations : un système de récupération des gaz vers l'avant et un mécanisme qui permet de régler la cadence de tir de 8 à 650 coups par minute. Toutefois, ce modèle souffre de problèmes de refroidissement et s'avère techniquement très compliqué à produire et à entretenir. C'est pourquoi les modèles déjà commandés sont envoyés aux colonies ou équipent les fortifications.

 

Le gouvernement commande alors à la Manufacture d'armes de Saint-Étienne (MAS) une version améliorée et simplifiée, le modèle 1907, qui comprend cependant deux fois plus de pièces que le modèle Hotchkiss concurrent (64 pour 32).

 

En 1916, le modèle 1907 est modifié et devient le modèle 1907 T (T pour "transformé"). Il reçoit notamment un grand régulateur annulaire des gaz, pour modifier la cadence de tir, un système de visée qui compense les effets de la chaleur et un engrenage d'alimentation modifié pour s'adapter aux bandes d'alimentation en tissu de 300 cartouches. Toutes les mitrailleuses sont peu à peu modifiées.

 

Le modèle 1907 est construit par les manufactures d'armes de Saint-Étienne (30 000) et de de Châtellerault (11 000) avec une cadence de production mensuelle maximum de 1 900 armes. Ses problèmes de refroidissement et d'entretien demeurent sur le terrain et en font une arme peu appréciée. Le métal dans lequel il est produit ne résiste pas à la surchauffe. La complexité de son mécanisme est incompatible avec l'environnement boueux et poussiéreux des tranchées. À partir de juillet 1917, il est retiré des unités de première ligne et remplacé par la mitrailleuse Hotchkiss modèle 1914. La production cesse en novembre 1917.

 

Les exemplaires restants sont envoyés aux colonies et 4 720 exemplaires sont destinés à équiper l'armée italienne. L'automitrailleuse Autoblinda Ansaldo-Lancia 1ZM en intègre trois qui seront rapidement remplacées par des Fiat-Revelli Mod. 1914 (it). Certains exemplaires remis à l'armée américaine auraient servi lors de l'opération du Mexique en 1917. En 1917 aussi, pour aider à sa reconstitution, l'armée grecque en reçoit environ 2 000 exemplaires dont un certain nombre sont installés ultérieurement sur la ligne Metaxas et qui sont utilisés jusqu'à l'invasion allemande de 1941. En 1940, elle est toujours en service en petit nombre dans l'armée française, auprès des unités de deuxième catégorie comme arme de fortification ou comme arme antiaérienne

 

Autres caractéristiques

 

Parmi les autres caractéristiques :

rayures : 4 rayures à gauche

refroidissement : par air

pièce de sécurité : le levier d'armement ou la crémaillère du système d'inversion du mouvement.

conditionnement des munitions : barrettes rigides de 25 coups et, à partir de 1916, bandes flexibles en tissus de 300 cartouches (Mle 1907 T)

poids du tripode :

Mle 1907 : 32,7 kg

Mle 1915 : 26,5 kg

 

Principes de fonctionnement

 

 

 
Mitrailleuse
Saint Étienne Mle 1907 prise par la Wehrmacht en 1940.
 

Le principe de fonctionnement de la mitrailleuse modèle 1907 est celui de l'emprunt des gaz vers l'avant.

 

Un orifice (évent) situé à mi-canon capte les gaz de propulsion de la balle qui poussent un piston vers l'avant. Le mouvement se transmet alors à une tige reliée à un système d'axe et de came destiné à transformer le mouvement avant en mouvement arrière afin de déverrouiller la culasse et la faire reculer. Dans la phase de recul de la culasse, l'étui utilisé est éjecté.

 

Dans la phase de retour provoquée par un ressort de rappel le long de la tige de transmission, la cartouche qui est au-dessus de la plaquette rigide d'alimentation est alors introduite sur une rampe par un système d'engrenage. Elle est introduite dans la chambre, la culasse se verrouille puis le percuteur frappe l'amorce pour faire partir la balle.

 

L'arme comprend deux détentes, une détente fixe pour le coup par coup et une détente mobile pour le tir en rafale. Le système de réglage de la cadence intervient au niveau de la quantité de gaz admis dans le tube d'emprunt des gaz grâce à des trous de taille variable mis en correspondance et commandés par un anneau autour du canon.

 

Ce système a pour effet de limiter le recul de la mitrailleuse puisque mouvement vers l'avant et mouvement vers l'arrière se contrarient ce qui donne une stabilité certaine pour le tir.

 

En revanche, il est assez compliqué, s'adapte mal aux conditions des tranchées et la boue le contrarie facilement.

 

De plus, il a des difficultés sérieuses de refroidissement. Pour les limiter, le constructeur a prévu une alimentation par plaquettes rigides, qui limitent la consommation de munitions et permet ainsi, dans les phases de rechargement, de laisser se refroidir le dispositif de manière satisfaisante. En 1916, un système d'alimentation par bande en tissus de 300 cartouches est introduit. Ce système n'est employé que pour les armes de fortification ou à usage antiaérien.

 

Mise en œuvre

 

L'arme est servie par quatre hommes, un caporal chef de pièce, un tireur, un chargeur et un aide chargeur. Deux pièces constituent une section commandée par un lieutenant, secondé par un sergent adjoint auxquels s'ajoutent un télémétreur et un armurier. En 1914, chaque division d'infanterie est ainsi dotée de 24 mitrailleuses (4 fois 6), indifféremment St Étienne Mle 1907, Hotchkiss Mle 1900 ou 1914 voire des mitrailleuses Puteaux Mle 1905 à raison d'une section par bataillon soit trois sections par régiment d'active (3 bataillons) et deux par régiment de réserve (2 bataillons).

 

Unité collective

 

L'unité collective comprend un tripode dénommé « Affut-trépied modèle 1907C » composé d'un trépied stable, d'une partie pivotante, d'une vis pour régler la hausse de la mitrailleuse et d'un petit siège pour le tireur.

 

En 1915, ce tripode est standardisé pour pouvoir servir indifféremment le modèle 1907 et le modèle 1914 Hotchkiss pour laquelle un adaptateur est toutefois nécessaire au niveau de la vis de hausse. Il peut être employé en position « dressé » avec les deux pieds avant déployés ou « à genou » avec les deux pieds avant repliés. Il reçoit le nom de modèle 1915 « omnibus ». À cette occasion, il est allégé de 6,2 kg.

 

Parmi les autres accessoires : un cache flamme, un affut antiaérien et un dispositif de visée avant et arrière, un périscope et des pièces détachées dont un canon de rechange et un kit d'entretien. Il y a aussi, dans chaque deuxième section de la compagnie de mitrailleuses, un télémètre à coïncidence de 80 cm Barr & Stroud ou Bauch & Lomb. La mitrailleuse peut être portée sur un bat. L'arme se divise alors en trois fardeaux.

 

Elle peut être aussi portée sur une voiturette tractée par 2 animaux

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-%C3%89tienne_mod%C3%A8le_1907  
     
     
     
Notes et références                                                    
    Guerre (Sommaire)
   
    Mitrailleuses, Fusils-mitrailleurs utilisés (Guerre): France
   
   
    Première guerre mondiale (Sommaire)
    Seconde guerre mondiale (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Hotchkiss H35

Publié à 03:52 par dessinsagogo55 Tags : chevaux centerblog sur bonne afrique merci france place société
Hotchkiss H35

 

 

Le Hotchkiss H35 ou Char léger modèle 1935 H est un char léger français fabriqué à partir de 1935. Deux autres versions mieux motorisées seront lancés en 1938 et 1939 : les Hotchkiss H38 et Hotchkiss H39. Entrant en service en 1936, il équipe une partie des chars de la cavalerie et de l'infanterie française lors de la bataille de France. Un certain nombre est capturé par les Allemands qui les utilisent à leur tour jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

 

Développement

 

En 1926, l'armée française établit un programme pour un char d'accompagnement d'infanterie d'une masse inférieure à treize tonnes, pour prendre la relève du Renault FT. Ce char devait équiper des bataillons autonomes, chargés de soutenir les divisions d'infanterie ; devant être employé en nombre, il se devait d'être léger et peu coûteux, or le seul char qui fut conçu pour répondre aux spécifications, le Renault D1, n’était ni l'un, ni l'autre. En 1933, la société Hotchkiss présenta alors une maquette, affirmant qu'il lui était possible de produire un char de six tonnes, avec un blindage de trente millimètres. Un nouveau programme fut donc établi, demandant un char de six tonnes, doté d'un blindage de trente millimètres sur tous les angles, et armé d'un canon de 37 millimètres SA 18, en tourelle. Trois prototypes furent commandés à Hotchkiss, mais d'autres sociétés furent conviées à présenter leur modèle, Renault avec le Renault R35, et la FCM, avec son FCM36. Entretemps, le 21 juin 1934, le blindage fut porté à quarante millimètres et la masse à dix tonnes.

 

Le 18 janvier 1935, Hotchkiss présenta son prototype à la Commission d’expérience du matériel automobile, à Vincennes. Il fut ensuite essayé à Mourmelon, jusqu'au 4 mars, où le deuxième prit sa place jusqu'au 6 juin. Ces deux chars présentés sans tourelle, simplement armés d'une mitrailleuse, furent rejetés le 27 juin, car ils ne répondaient pas à la nouvelle spécification de blindage de 1934. Le prototype fut cependant accepté, sous réserve que les modifications nécessaires soit effectuées. Le 19 août, le troisième prototype, pourvu d'une tourelle APX en acier coulé, fut présenté et, après des essais jusqu'au 20 septembre, fut accepté. Le 6 novembre, une première commande de deux-cents exemplaires fut passée, le premier devant être livré au 12 septembre 1936. Avant cette date, deux autres ordres avaient été passés, respectivement de 92 et 108 véhicules.

 

Les premiers chars de série furent testés sur le terrain, jusqu'au 4 décembre 1936. Ces manœuvres montrèrent que le Hotchkiss était très difficile à diriger en tout-terrain : en particulier, il virait assez mal, ce qui le rendait dangereux pour l'infanterie qu'il accompagnait. La direction de l'infanterie, donnant sa préférence au char de Renault, décida donc de ne confirmer que les cent premiers exemplaires, pour équiper seulement deux bataillons : les 13e et 28e bataillons de chars de combat. Les trois exemplaires restants furent proposés à la cavalerie, qui les accepta, car elle n'avait pas de budget pour des chars, et de plus avait moins besoin de qualités tout-terrain, car elle combattait plus sur route et avec de l'infanterie portée. Le Hotchkiss H35 avait aussi un petit avantage de vitesse pure sur le Renault, avec 28 km/h contre 20 km/h. Cependant dans la pratique, du fait de l'infériorité de sa transmission, sa vitesse moyenne était plutôt inférieure.

 

Description

 

 
Vue latérale (d'un char H39) montrant, entre autres, les ressorts horizontaux en haut des boggies.
 

Le Hotchkiss H35 est un petit véhicule de 4,22 m de long, 1,95 m de large et 2,15 m de haut. Sa caisse est constituée de six parties en acier coulé, boulonnées ensemble. On a ainsi le plancher moteur et celui du compartiment de combat qui forment le bas du véhicule, et quatre pièces pour le dessus : une à l’avant, une à l’arrière et deux latérales. L'emploi d’acier coulé permet d'avoir un blindage incliné évitant les pièges à obus, et de maximiser les chances de déflexion d'un projectile. Bien que bonne pour l'époque, la protection ne satisfaisait pas les responsables de l'infanterie, l'épaisseur maximale étant de 34 millimètres au lieu des 40 mm demandés. L'acier lui-même était sujet à des problèmes de qualité, dus notamment à l'importance de la sous-traitance. D'abord trop mou, l'acier fut ensuite durci, mais il devint friable et chargé de bulles qui constituaient autant de points faibles.

 

L'équipage était constitué de deux hommes. Le conducteur s’asseyait à l'avant droit de la caisse, derrière une large trappe à deux battants coulés. La conduite est difficile : le char n'ayant pas le différentiel de son concurrent de Renault, il répondait de façon imprévisible à tout changement de direction ; les freins trop faibles, particulièrement en descente, n'amélioraient pas vraiment la situation. Autre difficulté, le cinquième rapport de la boîte de vitesses était très dur à engager, si bien qu'on atteignait rarement les 28 km/h de la vitesse théorique. Le char était aussi sous-motorisé avec seulement 78 chevaux pour ses 11 370 kg, soit 6,9 chevaux par tonne. Ce déficit de puissance et la conduite forcément brusque du pilote nuisaient fortement à la fiabilité mécanique : de ce fait, les pannes était fréquentes. Le char avait cependant certaines qualités : la suspension était constituée de trois bogies ressemblant à ceux du R35, mais employant des ressorts horizontaux plutôt que des cylindres de caoutchouc, et son réservoir de 180 litres lui donnait une autonomie de 129 kilomètres ou 8 heures en tout-terrain.

 

 
Vue arrière (d'un char H39) montrant la trappe sur laquelle le chef de char était obligé de se hisser pour l'observation
 

Le chef de char, lui, prenait place seul dans une tourelle APX-R, sûrement le plus gros défaut du char, mais commun à tous les chars légers français de l'époque. En effet, le chef de véhicule se retrouve seul pour servir et approvisionner l'armement, observer le champ de bataille, repérer les objectifs potentiels et diriger le pilote. Cependant, la tourelle monoplace permettait de limiter le nombre de conscrits nécessaires au maniement d'un blindé et était beaucoup plus facile à fabriquer qu'une spacieuse et lourde tourelle biplace

 

Autre défaut important du char, son canon SA 18 (SA pour semi-automatique en référence à sa culasse), une pièce de 37 mm datant de la Première Guerre mondiale, à la vitesse initiale très faible, était incapable de pénétrer plus de 15 millimètres de blindage, ce qui la rendait impropre au combat contre les autres chars. Le char léger était en effet, dans l'esprit de l'Armée, destiné à attaquer les points de résistance ennemis à l'obus explosif et non à combattre d'autres chars3. En 1940, les H35 en service dans les DCR (infanterie) et les DLM (cavalerie) sont réarmés par un canon SA 38 de 37 mm, à raison d'un sur quatre, tout comme quelques chars en réserve. Plus long et plus moderne, le SA 38 donnait une réelle capacité antichar au char. La version réarmée du H35 était désignée H38 par Hotchkiss bien que cette désignation n'ait jamais été utilisée par l'Armée française

 

Le canon de 37 était jumelé avec une mitrailleuse de 7,5 mm MAC modèle 1931. L'emport de munitions était de cent obus : obus de rupture modèle 1892/1924 (de type APHE : perforant explosif), ou modèle 1935 (de type APCR : sous calibré et explosifs) et de deux mille quatre-cents cartouches de mitrailleuse.

 

400 H35 sont produits de 1936 à 1937, livrés de juillet 1936 à 1938 puis la production est arrêté à cause des défauts mécaniques du H35

 

Le char léger modèle 35H modifié 39

 

La cavalerie demandant une vitesse supérieure, le montage d'un moteur plus puissant fut tenté à partir d'octobre 1936, donnant naissance à un prototype l'année suivante. La caisse fut agrandie pour loger le nouveau moteur de cent vingt chevaux, forçant les ingénieurs à revoir en conséquence la suspension et les chenilles : la masse atteignait alors 12,1 tonnes. Le nouveau modèle, bien plus rapide, était capable d'atteindre 36 km/h, mais il était aussi plus facile à conduire. Présenté à la Commission d’Expérimentation de l’Infanterie le 31 janvier, il est accepté comme char léger modèle 35H modifié 39, dit H39, et une commande de deux cents exemplaires est passée, étendue par la suite à neuf cents. Les nouvelles chenilles rallongées, bien qu'améliorant la répartition de la pression au sol, retardèrent la production, car l'outillage d'usinage des patins des premières versions dut être changé. Malgré tout, deux-cent-quarante H39 étaient prêts en septembre 1939 (en plus des 400 H35 déjà mentionnés), et environ sept-cent dix à la fin juin 1940. En 1940, le char H39 reçut, à partir du 380e exemplaire produit, le canon SA 38. Le char H39 doté de l'ancien canon court est parfois appelé H38, par dérivation de la désignation du fabriquant « modèle 1938 série D »

 

À l'entrée de la guerre, les Alliés cherchèrent à concentrer la production de chars légers sur un seul modèle : pour sa grande mobilité, c'est le Hotchkiss qui fut choisi. Il était prévu d’en équiper les nombreuses divisions blindées qui devaient être mises sur pied pour une hypothétique offensive décisive pendant l'été 1941. On espérait pousser la production à trois cents exemplaires mensuels, et dans ce but, les industries britannique et portugaise furent mises à contribution pour fournir des éléments de caisse coulés. En échange de leur aide, les Britanniques devaient recevoir neuf Renault B1bis par mois. Ces plans ambitieux sont rapidement oubliés avec la bataille de France, en mai 1940

 

Usage opérationnel

 

Trois chars H39 furent vendus à la Pologne en juillet 1939 et combattirent en septembre 1939, au sein d'unités de circonstance. Deux autres furent exportés en Turquie en février 1940.

 

Au 10 mai 1940, 360 Hotchkiss équipaient huit bataillons de chars de combat : quatre d'active, les 14e, 25e, 26e et 27e BCC, et quatre de réserve en formation, les 13e, 38e, 42e et 45e. Six bataillons furent utilisés au sein des trois nouvelles divisions cuirassées, où ils appuyèrent les puissants chars B1. Dans la cavalerie, 450 étaient en service. Chaque division légère de cavalerie, en possédait quatorze, qui équipaient un escadron de son régiment d'automitrailleuses. Dans les divisions légères mécaniques, il complétait l'effectif insuffisant de Somua S35, il équipait deux escadrons sur quatre de chaque régiment d'automitrailleuses de combat, soit un total de quatre-vingts chars par division. La 3e DLM, vit de plus ses trois escadrons d'automitrailleuses de reconnaissance équipés de Hotchkiss, plutôt que de Renault ZT. Autres unités à l'utiliser, les 2e et 5e groupes de reconnaissance de division d'infanterie, qui en utilisaient quinze fournis par le COMAM de Montlhéry. Quinze H39 furent envoyés au sein de la 342e compagnie autonome de chars de combat, pour appuyer l'expédition de Narvik et trente-deux (seize H35 et seize H39) au 1er RCA en Afrique française du Nord

.

Environ 1000 H35 et H39 seront engagés dans la bataille de France. À la fin de la campagne, au 25 juin 1940, l'Armée française ne possède plus que 16 chars Hotchkiss en service

.

 
Un Hotchkiss H39 utilisé par la Wehrmacht dans les Balkans (1941 ou 1942).
 

Après l'armistice, environ 600 exemplaires furent récupérés par la Wehrmacht et la Waffen-SS, qui les utilisèrent comme Beutepanzer dans les unités chargées des tâches d'occupation ou à l'entraînement. Une unité indépendante, le 211e Panzerabteilung en fut néanmoins équipée, lors des premières phases de l'opération Barbarossa, en Finlande. Les Allemands réalisèrent par la suite une série de conversions en canons automoteurs et véhicules spécialisés. Les Français de Vichy continuèrent d'utiliser le modèle en Afrique française du Nord

 

 
La 1re compagnie de chars de combat de la France Libre durant la campagne du Gabon.
 

Douze de ces chars, revenus en Grande-Bretagne après la campagne de Norvège, furent récupérés par les Forces françaises libres naissantes et équipèrent leur compagnie de chars. Ils furent envoyés à Dakar puis débarqués au Cameroun et participèrent à la campagne du Gabon. Puis ils participèrent à la campagne de Syrie où ils furent presque tous détruits par les canons anti-char de l'armée de Vichy ou mis hors de combat pour des problèmes mécaniques

 

Des chars H39 français furent revendus clandestinement après-guerre à la toute nouvelle armée israélienne, qui en fit usage pendant la guerre israélo-arabe de 1948-1949

 

Unités ayant utilisé le H35 ou le H39 en 1940

 

Cavalerie

 

Dans les divisions légères de cavalerie :

1re DLC, 1er régiment d'automitrailleuses - 16 chars

2e DLC, 2e RAM - 16 chars

3e DLC, 3e RAM - 16 chars

4e DLC, 4e RAM - 16 chars

5e DLC, 5e RAM - 16 chars

6e DLC, 1er RCA - 32 chars

 

Dans les groupes de reconnaissance des divisions d’infanterie :

2e GRDI, rattaché à la 9e DIM - 23 chars

5e GRDI, rattaché à la 25e DIM - 23 chars

 

Dans les divisions légères mécaniques :

1re DLM, 4e régiment de cuirassiers et 18e régiment de dragons - 47 chars chacun

2e DLM, 13e régiment de dragons et 29e régiment de dragons - 47 chars chacun

3e DLM,1er régiment de cuirassiers et 2e régiment de cuirassiers - 47 chars chacun (tous avec canon SA38), 11e régiment de dragons portés 69 chars

4e DLM (créée le 10 juin 1940 avec les restes de 1re DLC), Groupe d'escadrons de la Roche (10 chars), 1er RAM

7e DLM (créée le 5 juin 1940 avec les restes de la 4e DLC), 8e régiment de dragons - 40 chars (dont 20 avec SA38).

Infanterie

Dans les divisions cuirassées :

1re DCR, 25e et 26e bataillons de chars de combat

2e DCR, 14e et 27e BCC

3e DCR, 42e BCC et 45e BCG.

 

Les bataillons de chars de combat attachés aux armées :

Ire Armée : 13e et 38e BCC - 45 chars chacun

La 342e compagnie autonome de chars de combat - 15 chars

 

Variantes

 

La désignation d'usine du modèle 35H modifié 39, était le char léger Hotchkiss modèle 38 série D, ce qui causa beaucoup de confusion, car bien que la désignation officielle soit toujours char léger modèle 35H, beaucoup commencèrent à l'appeler 38H ou 39H. Après guerre, on considéra longtemps, à tort, que la désignation du modèle avec le moteur de 120 chevaux avait été H38 et celle avec le canon SA38, H39.

 

Char léger modèle 1935 H désignation officielle du modèle avec moteur de 78 chevaux.

Char léger modèle 1935 H modifié 39 désignation officielle du modèle avec moteur de 120 chevaux.

Hotchkiss H35 désignation officieuse du Char léger modèle 1935 H.

Hotchkiss H38 désignation officieuse du Char léger modèle 1935 H modifié 39.

Hotchkiss H39 désignation officieuse du Char léger modèle 1935 H modifié 39 avec le canon SA38.

 

Emploi dans la Wehrmacht

Panzerkampfwagen 35H 734(f) désignation allemande du Char léger modèle 1935 H.

Panzerkampfwagen 38H 735(f) désignation allemande du Char léger modèle 1935 H modifié 39.

Artillerieschlepper 38H(f) conversion en ravitailleur d'artillerie, par suppression de la tourelle.

Panzerkampfwagen 35H(f) mit 28/32 cm Wurfrahmen véhicule lance-roquettes.

Panzerkampfwagen 38H(f) mit 28/32 cm Wurfrahmen véhicule lance-roquettes.

7,5 cm PaK40(Sf) auf Geschützwagen 39H(f) conversion en chasseur de chars, communément appelé SdKfz. 135 Marder I, 24 réalisés.

10,5-cm leFH 18 (Sf.) auf Geschützwagen 39H(f), conversion en canon automoteur de 105 mm après le montage d'un obusier de 105 mm par le Baukommando Becker, 12 pièces en septembre 1943 pour la Sturmabteilung 220 équipées du 10,5-cm leichte Feldhaubitze 16 (en), puis 12 autres en février 1944, cette fois-ci équipées du 10,5-cm-leichte Feldhaubitze 18 plus moderne

Panzerbeobachtungswagen 38H (f) conversion en véhicule d'observation d'artillerie.

 

Véhicules survivants

 

Un Hotchkiss H35 et neuf Hotchkiss H35s modifié 39 existent toujours, tous les modifié 39 survivants ont été transformés et utilisés par les allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale. Un Hotchkiss H39 se trouve sur le parvis du Mémorial Charles de Gaulle à Colombey les Deux Églises

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hotchkiss_H35

 
     
     
     
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Renault TRM 10000

Publié à 01:25 par dessinsagogo55 Tags : merci sur centerblog base gif center film
Renault TRM 10000

 

 

Le Renault TRM 10000 est un camion militaire français en service depuis 1987. Il est conçu pour le transport logistique (VTL) et les systèmes d'armes.

 

Historique

 

La production du TRM 10000 a commencé en 1985. Il a été développé à partir du TRM 9000, qui était destiné principalement à l'exportation. Il en diffère par un empattement plus long, une meilleure transmission et un moteur plus puissant.

 

Initialement prévu pour les forces armées françaises pour une production de 5 000 camions, il y a eu finalement moins de 2 000 véhicules commandés. Le TRM 10000 a été produit en plusieurs versions.

 

1 322 camions sont en service en 2015 contre 1 137 en 2014. Leur âge moyen en 2015 est de 24 ans. Leur taux de disponibilité en 2014 est de 59 %, et en 2015 de 39 %. Le coût unitaire de leur maintien en conditions opérationnelles (MCO) en 2015 est de 50 439 euros. Au 31 décembre 2019, le parc est de 946 camions d'un âge moyen de 27 ans, de 46 % de disponibilité et ayant coûté 11 422 euros en MCO

 

Caractéristiques

 

Le TRM 10000 possède trois essieux moteurs (6x6) pour une utilisation sur routes, pistes et en tout-terrains. La garde au sol est de 0,63 mètre.

 

Il peut transporter entre 10 et 16 tonnes de charge utile, notamment des abris en dur montés sur plateau (shelters) de 15 ou 20 pieds, ou 24 soldats sur des bancs à l'arrière. Il existe une version spéciale avec une cabine agrandie de tracteur pour l'obusier français canon 155 TRF1, le Pont Flottant Motorisé et la Semi-Remorque Porte Travures.

 

Le moteur est un 6-cylindres diesel MIDR 06.20.45. La consommation est de 50 l aux 100 km pour une autonomie de 1 200 km.

 

 
Renault TRM 10000 du génie.
 

Culture populaire

Cinéma

 

Les Chevaliers du ciel : le capitaine Sébastien Vallois (interprété par Clovis Cornillac) parvient à s'échapper de la base des terroristes à l'aide d'un TRM 10000.

 

Jeu vidéo

 

007: Nightfire : James Bond se fait percuter en moto-neige par un TRM 10000 de transport lors d'une mission dans les Alpes.

Operation Flashpoint: Cold War Crisis (add-on)

ARMA II (add-on)

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_TRM_10000

 
     
     
     
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Johnny Hallyday

Publié à 23:48 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog sur
Johnny Hallyday

 

 
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