Date de création : 09.04.2012
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24.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La Renault Type AI était un des premiers modèles de voitures particulières de Renault . Il s'appelait également 35 CV et à partir de 1909 35/45 CV .
Renault a dévoilé la voiture au Salon de l'Automobile de Paris en décembre 1905. L'autorité de régulation nationale a accordé le 16 juin 1906 son approbation. C'était le premier véhicule de luxe de Renault et n'avait donc aucun prédécesseur. Les types AI (c) et AI (d) étaient des variantes. La production a duré jusqu'en 1910. La Renault Type AO et la voiture de course Renault Type AT ont été modifiées . Le successeur, le Renault Type CF , est apparu en 1911.
A refroidi à l' eau quatre - cylindres avec un 130 mm alésage et 140 mm Course produit 30 à 40 hp à partir d' un déplacement de 7433 cm³ . La puissance du moteur a été fournie à l'essieu arrière via un arbre à cardan . La vitesse maximale était de 73 km / h à 86 km / h ou de 95 km / h à 100 km / h pour les variantes Type AI (c) et AI (d) , en fonction du rapport de transmission
Ce modèle standard était en production tout le temps. Avec un empattement de 335,5 cm et une largeur de voie de 140 cm, le véhicule mesurait 454,5 cm de long et 169 cm de large. En 1910, la longueur passa à 464,5 cm. Le châssis pesait 1000 kg, le véhicule complet 1800 kg. Il y avait un choix de double phaeton , voiture de tourisme , limousine , Phaeton et landaulet . Un châssis légèrement plus grand avec un empattement de 358,5 cm et une largeur de voie de 145 cm assurait une longueur de véhicule de 477,5 cm et une largeur de véhicule de 178,6 cm. Le poids du véhicule était alors de 2000 kg.
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Jean-François Pilâtre de Rozier fut choisi pour les essais suivants, le 15 (montée à 26 mètres, durée 4 minutes et 25 secondes) et le 17. La méthode de chauffage change, la paille sèche est utilisée : elle produit moins de fumée mais est plus efficace. Pilâtre commence à bien manier le ballon, maniement qui consiste à alimenter le feu du foyer avec de la paille pour contrôler la montée ou la descente du ballon.
Le 19 octobre 1783 a lieu le premier vol habité à la Folie Titon, manufacture royale des papiers peints, dans l'actuelle rue de Montreuil à Paris, dans le faubourg Saint-Antoine. Le premier vol s'élève à 81 m, avec Jean-François Pilâtre de Rozier seul, et le deuxième à 105 m, avec deux passagers : Pilâtre et André Giroud de Villette (durée 9 min). Ces deux vols eurent lieu en captif, c'est-à-dire que le ballon est attaché au sol par une corde solide reliée à une masse suffisamment importante pour le retenir. Il faut un équipier, après l'essai de Giroud de Villette, c'est le Marquis d'Arlandes qui sera choisi. Tout est prêt, mais il manque l'autorisation du Roi. Il préfèrerait proposer la vie à deux condamnés à mort volontaires pour l'expérience, mais finalement se laisse fléchir.
Le vol avec humains a lieu le 21 novembre 1783, avec Jean-François Pilâtre de Rozier et le Marquis d'Arlandes. Le « lâcher tout » est donné du château de la Muette à Paris, à la lisière du bois de Boulogne. Le ballon qui pèse dans les 850 kg s'élève sans problème. Il file vers Paris, et c'est au-dessus des Tuileries qu'ils atteignent leur altitude maximale : 1 000 mètres. Puis ils commencent à perdre de l'altitude en quittant Paris par la barrière d'Italie. Ils atterrirent sur la Butte-aux-Cailles, aujourd'hui place Paul-Verlaine, dans le 13e arrondissement. La distance parcourue fut de neuf kilomètres, en vingt-cinq minutes. Le feu fut alimenté uniquement par le marquis, guidé par Pilâtre qui avait cassé sa fourche.
Le 10 décembre 1783, Joseph et Étienne furent nommés membres correspondants de l'Académie des sciences à titre exceptionnel. Le père Pierre reçut des titres de noblesse et sa papeterie devint Manufacture royale, le 15 avril 1784. Les deux frères eurent donc le titre de chevalier, leur devise étant sic itur ad astra, « nous irons ainsi jusqu'aux astres ».
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Marie Harel, née Marie Catherine Fontaine le 28 avril 1761 à Crouttes, près de Vimoutiers en Normandie et morte le 9 novembre 1844 à Vimoutiers, était une agricultrice qui serait, selon la petite histoire, l'inventrice du camembert, avec l'abbé Charles-Jean Bonvoust.
Invention du camembert
Elle épouse le 10 mai 1785 à Camembert Jacques Harel, laboureur à Roiville. Le couple s'établit à Roiville, d'où la légende, historiquement peu crédible, de la fabrication du fromage à Camembert.
Il se fabriquait, depuis la fin du XVIIe siècle déjà, un fromage renommé dans le pays de Camembert. Thomas Corneille signale, dans son dictionnaire géographique, publié en 1708 : « Vimonstiers : [...] on y tient tous les lundis un gros marché où l'on apporte les excellents fromages de Livarot et de Camembert ». Pourtant, selon une légende tardive qui apparaît au début du XXe siècle, l'invention du camembert sera attribuée à Marie Harel qui aurait bénéficié des conseils d'un prêtre réfractaire, l'abbé Bonvoust, caché vers 1796-1797 au manoir de Beaumoncel où elle travaillait, qui aurait été originaire de la Brie et lui aurait transmis la recette de préparation du fromage à croûte fleurie qui y est produit (en réalité, l'abbé Bonvoust venait des Marches d’Alençon). Ce récit apocryphe, que rien n'atteste, reste souvent considéré comme véridique dans de nombreux ouvrages qui le transmettent avec de surprenants enrichissements.
Il n'en reste pas moins que Marie Harel a bien existé, et a fabriqué des camemberts selon un savoir-faire local. Son principal mérite fut d'avoir été à l'origine d'une lignée de fromagers entreprenants qui ont développé la fabrication du camembert à une grande échelle, notamment son petit-fils Cyrille Paynel, né en 1817, qui créa une fromagerie dans la commune du Mesnil-Mauger dans le Calvados.
L'essor de la production de camembert dans la première moitié du XIXe siècle est l'œuvre collective des descendants de Marie Harel qui se considéraient comme les seuls détenteurs légitimes de l'appellation camembert. Mais, à partir de 1870, d'autres transformateurs normands contestent cette volonté de monopole familial.
Deux statues de Marie Harel sont visibles à Vimoutiers : l'une située au carrefour des rues du 11-Novembre et du Docteur-Dentu tout près de l'église Notre-Dame, créée par souscription sous l'impulsion d'un médecin new-yorkais, le Dr Joseph Knirim, en 1928, fut brisée par les bombardements américains de juin 1944 et sa tête disparut avant qu'elle ne soit réparée (elle subsiste donc décapitée) et l'autre, située place de Mackau, à l'angle de la rue de Chatelet et de celle du 14-Juin, juste à droite de l'entrée de la mairie, fut offerte à la ville de Vimoutiers par les ouvriers d'une fromagerie de l'Ohio aux États-Unis, en s’excusant pour les dégâts causés par les bombardements. Cela s'est fait dans le cadre de la reconstruction de Vimoutiers après la Seconde Guerre mondiale, alors que sous l'impulsion de Margaret Mitchell, auteur du livre "Autant en emporte le vent", le Pilot Club International adopta Vimoutiers pour aider à sa reconstruction.
La petite histoire veut que l'agricultrice soit morte à Champosoult, mais il s'agit, en fait, de sa fille, également prénommée Marie (1781-1855).
Le 28 avril 2017, l'illustration de Marie Harel est utilisée pour le Google Doodle à l'occasion du 256e anniversaire de sa naissance
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Une machine à coudre est une machine, d'usage domestique ou industrielle, qui exécute mécaniquement les points de couture, généralement en utilisant deux fils, le fil supérieur enfilé dans l'aiguille, et le fil inférieur venant de la canette.
Les premières machines à coudre, apparues au XIXe siècle, étaient mécaniques et mues manuellement ; de nos jours elles sont généralement électriques et font de plus en plus appel à l'électronique, et par exemple à des mémoires permettant de piloter des motifs complexes ou même de broder des suites de lettres.
Les premiers inventeurs d'une « machine à coudre », l'Américain Elias Howe, l'Allemand Balthasar Krems, l'Anglais Thomas Saint et l'Autrichien Joseph Maderspeger sont, aujourd'hui, pratiquement oubliés.
Machine à coudre des années 1930
En 1830 première machine à coudre véritablement pratique attribuée à un tailleur français originaire de la région lyonnaise, Barthélemy Thimonnier. Il dépose le premier brevet d'une machine à coudre à 1 fil continu. Beaucoup d'inventeurs de cette époque misaient sur la reproduction du mouvement de la main, ce qui limitait la couture à une simple aiguille (Madesperger notamment dont la machine s'appelait « La main qui coud »).
En 1834 l'américain Walter Hunt est le premier à utiliser une navette, et donc utilise deux fils. Cette idée sera reprise et améliorée par Elias HOWE en 1846.
La fabrication des machines françaises allait être brillante sous le second empire: Peugeot, Hurtu, Journaux Leblond, Brion, Reimann. La machine à coudre à navette, fonctionnant au pied avec une pédale, fut brevetée le 12 mai 1868 par Pierre Cobet. Brevet et nom furent vendus à la famille Peugeot qui la fabriqua à Audincourt. À l'Exposition universelle de Paris de 1878, la Légion d'honneur fut décernée à Benjamin Peugeot, constructeur de la machine à coudre.
En 1871 l'allemand Kayser imagine un dispositif qui permet de déplacer l'aiguille transversalement afin d'obtenir une couture en zig-zag. En Alsace Caroline Garcin, imagine un moteur à ressort, car, à cette époque, l'électricité ne pouvait encore être produite que par des piles encombrantes et onéreuses.
En 1873, Ward invente l'ancêtre de la machine à bras libre.
En 1937, Pfad ajoute à cette machine un moteur.
La machine à coudre a révolutionné la couture en la rendant plus rapide et moins chère.
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Institué en France en 1975 suite au choc pétrolier de 1973-74, le changement d'heure a pour objectif d'effectuer des économies d'énergie en réduisant les besoins d'éclairage. Il s'agit principalement de faire correspondre au mieux les heures d'activités avec les heures d'ensoleillement pour limiter l'utilisation de l'éclairage artificiel.
Appliqué au Royaume-Uni et en Irlande depuis la première guerre mondiale et en Italie depuis 1966, le régime de l'heure d'été a été introduit dans l'ensemble des pays de l'Union européenne au début des années 1980. Pour faciliter les transports, les communications et les échanges au sein de l'Union européenne, il a été décidé d'harmoniser par directive du Parlement européen et du Conseil, les dates de changement d'heure. Ainsi, depuis 1998, pour l'ensemble des pays de l'Union européenne, le passage à l'heure d'été intervient le dernier dimanche de mars à 2 heures du matin et le passage à l'heure d'hiver intervient le dernier dimanche d'octobre à 3 heures du matin.
En chiffres
Le changement d'heure a permis d'économiser en 440 GWh en éclairage en 2009, soit la consommation d'environ 800.000 ménages. Grâce à ces économies, la France a ainsi évité l'émission de 44.000 tonnes de CO2. En 2030 la réduction globale des émissions due au changement d'heure pourrait être de 70 000 à 100 000 tonnes de CO2.
La directive 2000/84/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 janvier 2001, publiée au Journal officiel des communautés européennes n° L31 du 2 février 2001 précise le régime de l'heure d'été applicable à compter de l'année 2002 dans l'Union européenne. Les dispositions de cette directive ont été transposées en droit français par arrêté du 3 avril 2001, publié au Journal officiel de la République française du 6 avril 2001.
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Les Restaurants du cœur – Les Relais du cœur, connus sous le nom de Les Restos du cœur, sont une association loi de 1901 à but non lucratif et reconnue d'utilité publique, créée en France par Coluche en 1985.
Cette association a pour particularité d'avoir bénéficié du soutien de plusieurs personnalités françaises, dès ses débuts, et d'une vaste médiatisation, ce qui retient l'attention de la classe politique, permet d'établir de nouvelles lois, et attire la participation de nombreux bénévoles.
Les Restos du cœur se composent de 11 antennes nationales, de 117 associations départementales et de 2 013 centres.
L'aide alimentaire permet une aide d'urgence mais représente surtout le point de contact privilégié pour permettre un accompagnement vers l'autonomie.
Fondés par Coluche en 1985, Les Restos du cœur, association reconnue d'utilité publique, « ont pour but d'aider et d'apporter une assistance bénévole aux personnes démunies, notamment dans le domaine alimentaire par l'accès à des repas gratuits, et par la participation à leur insertion sociale et économique, ainsi qu'à toute l'action contre la pauvreté sous toutes ses formes. »
Actuellement, les Restos du Cœur continuent à aider les personnes en difficulté.
La création des Restos du cœur intervient dans le contexte de la fin de l'« utopie de gauche » marquée par le « tournant de la rigueur » pris par le gouvernement Pierre Mauroy tant au niveau économique qu'au niveau sociétal. L'origine des Restos revient à Daniel Balavoine : en octobre 1983 dans des chroniques sur la radio parisienne Ici et Maintenant !, il commence par un billet d'humeur en interpelant le gouvernement et les patrons de la grande distribution pour qu'ils puissent se réunir et qu'ils créent une banque alimentaire. Mais la radio a une faible diffusion et son idée n'est pas suivie. Ce projet est repris deux ans plus tard par Coluche qui crée les Restos du cœur dont le premier parrain est Balavoine.
Le secrétaire et factotum de Coluche, Jean-Michel Vaguelsy, raconte comment l'idée a germé un jour de février 1985. Alors que Coluche vient de signer au fisc un chèque de 3 millions de francs aux impôts, il s'exclame : « Tu te rends compte, avec tout le pognon que je donne, si tous les mecs qu'ont du blé comme moi s'y mettaient, on pourrait régler le problème ». Quand sa cuisinière Anita lui apprend qu'un repas revient à quinze francs, l'humoriste calcule qu'avec l'argent de ses impôts, il peut offrir 200 000 repas
S'étant engagé contre la famine en Éthiopie en interprétant avec d'autres artistes, la chanson SOS Éthiopie, l'humoriste est interpellé par des lettres et un auditeur d'Europe 1 sur la nouvelle pauvreté en France. Le 26 septembre 1985, Coluche, en direct sur Europe 1, se révolte contre les gaspillages alimentaires d’une société de consommation et dénonce la destruction des surplus agricoles en France et en Europe :
« Quand il y a des excédents de nourriture et qu’on les détruit pour maintenir les prix sur le marché, on pourrait les récupérer et on essaiera de faire une grande cantine pour donner à manger à tous ceux qui ont faim (…) J’ai une petite idée comme ça (…) si des fois il y a des marques qui m'entendent, s'il y a des gens qui sont intéressés pour sponsoriser une cantine gratuite qu'on pourrait commencer à faire à Paris et puis qu'on étalerait dans les grandes villes de France, nous on est prêts à aider une entreprise comme ça, qui ferait un resto qui aurait comme ambition au départ de servir 2 000 à 3 000 repas par jour gratuitement. »
L’idée est lancée. L'ami de Coluche, Aldo Martinez, propose pour générique de l'aventure « Les cantines du cœur » mais son imprésario Paul Lederman le trouve trop misérabiliste et choisit « Les restos du cœur ». Dès le 14 octobre, les statuts de l'association sont déposés. La médiatisation et l'organisation des premiers centres régionaux de distribution ainsi que leur approvisionnement sont assurées par des étudiants des écoles de commerce, fédérés par l'un de leurs camarades étudiant à Sup de Co, Alexandre Lederman, fils de l'imprésario de Coluche. Le premier restaurant du cœur ouvre ses portes en France le 21 décembre1985 sous une tente dans un terrain vague du 19e arrondissement de Paris. Quinze jours plus tard, sont mises en place une vingtaine d'antennes régionales qui distribuent 60 000 paniers-repas jusqu'au 21 mars.
La même année, au Parlement européen, le député belge José Happart a pris la parole et dénoncé une situation économique dont sont victimes des millions de personnes :
« N’est-il pas inadmissible que le coût des soins de santé et des charges dues à la pauvreté sera plus important que celui d’une aide alimentaire fournie à la société concernée ? »
Il demande donc que ces surplus chèrement stockés et détruits soient mis à la disposition de ceux qui en ont besoin, invitant Coluche à Strasbourg pour montrer son initiative. Le Programme Européen d’Aide aux plus Démunis (PEAD) sera institué en 1987
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Le Renault GBC 180 est un véhicule cargo tout-terrain militaire français à trois essieux moteurs (6×6) en tout-terrain et pouvant transporter 4 tonnes de charge utile, notamment des abris en dur sur plateau (shelters en anglais) de 15 pieds.
Il résulte d'une modernisation annoncée en 1997 du Berliet GBC 8KT entré en service dans les années 1960 dont un total de 17 000 exemplaires a été mis en service dans l'armée française et dont on a gardé le châssis et les organes de roulement.
En 2009, 8 300 GBC 180 sont en service. 5 386 exemplaires le sont au 31 décembre 2013, contre 5 410 au 31 décembre 2012. Le 31 décembre 2019, il y a 5 077 véhicules en service ayant 68 % de disponibilité, le second plus élevés des engins de l'armée de terre
Le moteur et la cabine ont été changés afin d'offrir de meilleures performances, un confort accru et une réduction des coûts d'entretien. Ce type de rénovation est de 30 % moins onéreux que la création d'un matériel entièrement nouveau.
Sa rampe limite en charge est 50 % et son dévers de 30 %. Le GBC 180 peut franchir un gué de 1,2 mètre de profondeur.
Le moteur type MIDR 602.26 a la particularité d'être polycarburant, fonctionnant aussi bien au gazole qu'au kérosène par exemple
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Le Minitel est un terminal destiné à la connexion au service français de Vidéotex (service baptisé Télétel). Il a été développé par le Ministère des Postes et Télécommunications et utilisé en France, essentiellement dans les années 1980 et 1990, avant d'être supplanté par l'accès à Internet. Par métonymie, le mot Minitel a fini par désigner l'ensemble du service Vidéotex en France ainsi que les éléments de réseau (concentrateurs, points d'accès) destinés à rendre ce service.
Le Minitel 1, sorti en 1982
En février 2009, selon le Groupe France Télécom, le réseau de Minitel enregistre encore 10 millions de connexions mensuelles sur 4 000 codes de services Vidéotex, dont 1 million sur le 3611 (annuaire électronique). France Télécom fermera le service le 30 juin 2012, bien que 2 millions de personnes l'utilisent encore en 2010, pour 200000 euros de chiffre d'affaires.
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Dictionnaire des girouettes-1815
ou Nos contemporains peints d'après eux-mêmes ; ouvrage dans lequel sont rapportés les discours, proclamations, chansons, extraits d'ouvrages écrits sous les gouvernemens qui ont eu lieu en France depuis vingt-cinq ans; et les places, faveurs et titres qu'ont obtenus dans les différentes circonstances les hommes d'Etat, gens de lettres, généraux, artistes, sénateurs, chansonniers, évêques, préfets, journalistes, ministres, etc. etc. etc. ; par une Société de girouettes. Seconde édition, revue, corrigée, et considérablement augmentée ; ornée d'une gravure allégorique
En juillet 1815, avec le retour de LOUIS XVIII et le départ en exil de NAPOLÉON Ier, la France met un terme à l’une des périodes les plus mouvementées de son histoire. En un quart de siècle, de la Révolution à la chute définitive de l’Empire, le pays a changé plusieurs fois de régime, subi la guerre civile, l’invasion étrangère et les guerres de conquête. Elle aura connu une vie politique, sociale et religieuse constamment agitée.
Dans ce contexte de bouleversement permanent, la constance d’opinion et la fidélité des responsables politiques, des fonctionnaires, des militaires, des artistes, des journalistes et des intellectuels auront été mises à rude épreuve. Les retournements, les reniements et les trahisons se sont multipliés au cours de la période. Si beaucoup y ont laissé leur vie, nombre de personnalités publiques ont réussi à traverser les épreuves, à continuer à occuper des hauts postes tout en bénéficiant des faveurs du nouveau pouvoir.
L’épisode des Cent-Jours a été particulièrement marquant par la rapidité de changements de camp, souvent spectaculaires et inattendus dans une période aussi courte. C’est d’ailleurs au cours de cette période que le journal satyrique le Nain jaune inventera le terme de girouette. Dans ses mémoires, CHATEAUBRIAND témoigne de la lassitude et de la méfiance, sinon du dégoût, d’une partie de l’opinion publique vis-à-vis de ses élites : « Cette époque, où la franchise manque à tous, serre le cœur. Chacun jetait en avant une profession de foi, comme une passerelle pour traverser la difficulté du jour ; quitte à changer de direction la difficulté franchie… À cette impossibilité de vérité dans les sentiments, à ce désaccord entre les paroles et les actions, on se sent saisi de dégoût pour l’espèce humaine. »
Alors que, face à la résignation et à l’attentisme d’une majorité de la population, une nouvelle restauration monarchique se met en place, un petit livre vient jeter un pavé dans la mare et remuer un passé dont beaucoup de personnages revenus sur le devant de la scène souhaiteraient faire abstraction et même voir sombrer dans l’oubli. C’est le Dictionnaire des girouettes sorti le 24 juillet 1815, soit le jour même où LOUIS XVIII promulgue une ordonnance rédigée par Joseph FOUCHÉ, un archétype de girouette, stigmatisant 57 personnalités qui ont rallié NAPOLÉON pendant les Cent-Jours et qui sont placés sous le coup d’un mandat d’arrêt.
Publié par le libraire parisien Alexis EYMERY, ce livre est une œuvre collective dont les auteurs prennent soin de se cacher prudemment sous l’appellation anonyme d’“Une société de girouettes”. Pour rédiger ce livre, EYMERY a bénéficié des notes de plusieurs contributeurs : le chansonnier et poète Pierre-Joseph CHARRIN, l’imprimeur Joseph TASTU, l’écrivain René PERIN, qui niera par la suite avoir participé à l’entreprise, et surtout le comte César PROISY d’EPPE à qui a été attribuée un temps la paternité de l’ouvrage. La première édition est un immense succès qui appellera une seconde édition. Celle-ci sort peu de temps après, enrichie d’augmentations et de nouvelles entrées, dont celle du terrible FOUCHÉ entre-temps tombé en disgrâce et écarté du pouvoir.
Dès l’introduction le ton est donné, ironique et impitoyable : « Le point d’où sont partis tant d’hommes-girouettes, les avantages incontestables que leur système de conduite leur a procurés, ne sont-ils pas, pour la génération naissante, les girouettes en espérances, un encouragement et un gage de prospérité ? » Dans ce que Pierre SERNA appelle le « Who’s Who de la médiocrité civique », ce ne sont pas moins de 777 personnages qui ont droit à l’analyse grinçante de leur fidélité “élastique” et de leurs convictions fluctuantes. Portons quand même au crédit des auteurs qu’ils tentent de faire un tri entre les girouettes occasionnelles, parfois contraintes, et les vraies girouettes professionnelles.
La seconde édition, celle ici présentée, est marquée par une petite innovation. À côté du nom de chaque personne figure une série, plus ou moins étoffée, de petits fanions témoins de leurs revirements successifs. Personnalités de premier plan ou “seconds couteaux”, certains brillent par le nombre d’oriflammes qui leur sont attribués. Ainsi Louis de FONTANES, Laurent TRUGUET, Laurent-Étienne TESTU et le chevalier de PIIS, aujourd’hui bien oubliés, sanctionnés de 12 fanions, se retrouvent à égalité avec FOUCHÉ, l’inévitable TALLEYRAND-PÉRIGORD et même Napoléon BONAPARTE. D’autres girouettes notoires manquent à l’appel, telles Jean-Lambert TALLIEN, Jean-Jacques Régis de CAMBACÉRÈS ou Paul BARRAS.
À noter qu’à côté de ces attaques ad hominem une quinzaine d’institutions et de corps sont également visés, comme l’Académie des jeux floraux, les bureaux de l’Université, l’École de médecine de Paris ou le ministère des finances. Le Sénat fait l’objet d’un article particulièrement fielleux : « Fut-il jamais un corps plus adulateur, plus vil, plus rampant, et plus ingrat ? Institué pour balancer le pouvoir souverain, il devint l’esclave du monarque. » SERNA a pu établir quelques statistiques éloquentes tirées du livre. Celui-ci inclut 348 titulaires de la Légion d’honneur, dont beaucoup seront confirmés par le roi, 121 membres de l’ordre de Saint-Louis et 112 personnalités cumulant les deux distinctions. On y recense 28 % d’élus, 18 % de militaires, 8,5 % de savants et d’universitaires et enfin 8 % de fonctionnaires du ministère de l’intérieur et du corps préfectoral.
Paradoxalement, la longueur et le détail des articles ne sont pas toujours proportionnels au nombre de “girouettes” ni même à la “gravité” des trahisons et des revirements. Si le général AUGEREAU (8 fanions) et le maréchal NEY (4 fanions) sont longuement épinglés pour leurs changements de camp à répétition en 1814 et en 1815, le général MASSÉNA(6 fanions) ne mérite qu’une vingtaine de lignes, le maréchal MARMONT (4 fanions) 9 lignes et l’abbé SIÉYÈS (4 fanions) 12 lignes, alors que les turpitudes du peintre Louis DAVID (2 fanions) sont détaillées sur une cinquantaine de lignes. Benjamin CONSTANT, dont on peut dire qu’il n’a pas mérité son patronyme entre 1814 et 1815, est gratifié de 2 pages et de 3 fanions. L’abbé Jean-Sifrein MAURY, quant à lui, hérite de 11 pages et de 6 fanions, bien qu’il n’ait occupé aucune fonction politique importante, contrairement aux deux précédents. À la lecture de ce dictionnaire, il apparaît que les auteurs se sont particulièrement acharnés sur les polémistes, écrivains et journalistes dont les écrits sont utilisés comme autant de preuves à charge. Ainsi toute une cohorte de littérateurs a-t-elle droit à de longues citations et à des articles plus développés que ceux réservés à des militaires ou à des fonctionnaires plus illustres mais surtout dont les responsabilités étaient autrement plus grandes. Citons pour exemple Pierre-Ange VIEILLARD (6 fanions), Étienne VIGÉE(6 fanions), ou Joseph TRENEUIL (3 fanions).
Quelques semaines seulement après la parution du dictionnaire, un essai est publié sous le titre de Censeur des girouettes, ou les honnêtes gens vengés. L’auteur, un certain DORIS de BOURGE, tente de justifier l’opportunisme de cette période par l’intérêt supérieur de la patrie et pense voir dans le dictionnaire des girouettes une menace contre la paix civile et la réconciliation nécessaire entre tous les Français : « Si ces auteurs, étrangers au bonheur de leur patrie, n’ont pas réfléchi aux dangers de leur compilation dans un moment de tout ce qui existe en France a besoin de tout oublier ; s’ils n’ont point calculé que la haine de tel individu n’attend souvent qu’un léger signal pour se venger d’une injure personnelle ; ces auteurs dis-je d’imprudens Français que seule l’ineptie de leur ouvrage peut seule excuser. » Cette contre-attaque se révèle totalement inefficace ; au contraire, des livres inspirés du dictionnaire des girouettes sont édités, tel le Dictionnaire des immobiles, par un homme qui jusqu’à présent n’a rien juré et n’ose jurer de rien, par Adrien BEUCHOT.
Quoi qu’il en soit, ce dictionnaire de la versatilité politique inaugure un genre promis à un bel avenir. Publié la même année, un Almanach des girouettes proclame en introduction : « Si l’on faisait une liste nominative des personnes qui ont changé d’opinion depuis vingt-cinq ans, il faudrait citer les trois-quarts et demi de la France. » En 1831, un auteur qui se qualifie lui-même de “girouette inamovible”, sans doute de nouveau EYMERY, édite un Nouveau dictionnaire des girouettes, ou nos grands hommes peints par eux-mêmes. En 1842, Napoléon LANDAIS, républicain militant, publie à son tour le Petit dictionnaire de nos grandes girouettes.
Le concept de girouette s’est perpétué jusqu’au XXe siècle où, en 1948, Jean MAZÉ publie, sous le pseudonyme d’ORION, le Nouveau dictionnaire des girouettes, précédé de l’Oubli en politique ; et, plus près de nous, les journalistes Sophie COIGNARD et Michel RICHARD sont les auteurs en 1993 du Nouveau dictionnaire des girouettes, de la volte-face en politique considérée comme un des beaux-arts.
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Les Grosses Têtes est une émission humoristique et culturelle diffusée sur RTL, créée par Roger Krecher et Jean Farran, directeur des programmes de RTL en 1977.
L'émission est diffusée quotidiennement sur les stations de radio RTL et Bel RTL, et en reprise à la télévision sur Paris Première. Émission phare de la station RTL, elle a été animée pendant 37 ans par Philippe Bouvard (de 1977 à 2014), et par Christophe Dechavanne pendant quelques mois entre fin août et décembre 2000. L'émission est animée par Laurent Ruquier depuis la rentrée 2014.
L'émission Les Grosses Têtes provient d'une ancienne émission de radio d'avant et d'après-guerre appelée Les Incollables, animée par Robert Beauvais. Elle consiste à poser des questions de culture générale à un petit groupe d'invités, choisis pour leur humour et leur sens de la répartie. Les invités interrogent l'animateur pour s'orienter.
Le concept premier de l'émission contient des questions posées par les auditeurs, parmi lesquels plusieurs fidèles : Mme Laure Leprieur d'Agon-Coutainville, M. Willy Latré de Sart-lez-Spa1, l'abbé Pierlot de Méaulte, M. Mikolajek de Reims, M. Desfossés de Gagny, ainsi que M. Schraen de Dunkerque, qui envoient le plus de questions pouvant leur rapporter 300 € — d'abord 500 F puis 1 000 F pour finir par 2 000 F avant l'arrivée de l'euro — si la réponse n'est pas trouvée par les invités dans le temps imparti.
D'autres questions sont composées par des assistants de l'émission, et posées comme si elles provenaient d'auditeurs affublés de noms fantaisistes, tels que Mme Bellepaire de Loches, M. Sapan d'Houilles, M. Legrand d'Angers, M. Givet de Spa, Mme Boileau d'Évian, M. Epert du Mans, M. Jules d'Orange, Mme Pleine de Grasse, Mme Lafille de Garches, Mme Touffu de Lamotte, Mme Mauri de Sète, Mme Lenvie de Béziers (qui déménage à Gagny depuis avant de revenir à Béziers à la rentrée 2009).
L'émission est enregistrée le matin en semaine et traite assez souvent des questions d'actualité. Les émissions sont enregistrées deux par deux, les lundis, mardis et mercredis, ou les lundis et mercredis depuis 2006. Pendant quelques années, les Grosses Têtes quittent Paris pour des émissions en région. Les enregistrements ont lieu dans les studios de RTL — situés rue Bayard jusqu'en 2018 — puis en 1985 ils migrent dans le salon Vendôme de l'Hôtel George-V et au théâtre de la Porte-Saint-Martin. Depuis avril 2018, l'émission est enregistrée dans les nouveaux locaux de RTL, à Neuilly-sur-Seine.
Jusqu'en 2006, l'émission est diffusée du lundi au vendredi de 16 h 30 à 18 h pour les émissions inédites et le week-end aux mêmes heures pour les best-of.
De septembre 2006 à décembre 2019, elle est diffusée les mêmes jours mais est allongée d'une demi-heure (16 h-18 h).
De 2008 à 2014, l'émission de la veille est rediffusée de 3 h à 4 h du matin et en bonus, RTL ajoute une demi-heure de Grosses Têtes « dans la nuit des temps » de 4 h à 4 h 30, rediffusions de la genèse de l'émission (depuis 1980).
À partir du 6 janvier 2020, l'émission est à nouveau allongée de 30 minutes pour commencer ainsi dès 15 h 30. Le but est de profiter des excellentes audiences de l'émission pour redynamiser l'audience globale de la station qui est en baisse
L'équipe est composée de quatre sociétaires, parfois cinq de 1977 à 2000. Lors du retour de Philippe Bouvard le 26 février 2001, l'émission innove en accueillant un invité d'honneur. Depuis 2014, les sociétaires sont au nombre de six à chaque émission.
Diffusée de 16 h à 18 h, l'émission est, entre juillet 2006 et 2014, divisée en un quart d'actualité chaude, un quart de questions culturelles ou assimilées (souvent difficiles), un quart d'éléments extérieurs avec des coups de téléphone et un quart d'invités d'honneur assaisonné de blagues grivoises.
L'émission commence et se termine par une citation dont il faut deviner l'auteur (souvent Alphonse Allais, Tristan Bernard, Sacha Guitry, Woody Allen, Pierre Desproges, Jean Yanne, Michel Audiard, Oscar Wilde, etc.).
Depuis la rentrée 2010, jusqu'en 2014, l'émission du mercredi Les Grosses têtes en folie, est une émission sans invité d'honneur au cours de laquelle les sociétaires discutent librement autour d'un sujet donné tout en répondant aux questions de culture générale.
Parmi les rubriques récurrentes, il y a jusqu'en 2010 l'auditeur du bout du monde où Philippe Bouvard donne la parole à un auditeur installé dans un pays étranger, la honte de l'invité d'honneur, le premier baiser ou encore la visite médicale (à la rentrée 2011). L'interview de l'invité d'honneur se déroule lors de la garde à ouïe (jusqu'en 2009), la visite chez le dentiste (2009-2010), la partie de tennis (2010-2012), la visite médicale (2011), et à la rentrée 2012, les questions sont tirées au sort par les sociétaires dans la baraque foraine. De novembre 2012 à 2014 ces formules sont soumises au choix de l'invité. Une autre rubrique importante est l'invité surprise au cours de laquelle intervient une personnalité par téléphone ou sur le plateau.
En 2012-2013, chaque émission accueille un « auditeur d'honneur » qui se voit remettre un diplôme du même nom. L'année suivante apparaît la Grosse Tête d'honneur, ancien sociétaire ou invité d'honneur revenant dans l'émission pour une pige.
Depuis 2014, plusieurs rubriques interviennent dans l'émission :
Les auditeurs face aux Grosses Têtes (16 h 20 et 17 h 20, de septembre 2014 à décembre 2019) : pour remporter un cadeau, un auditeur au téléphone doit répondre à une question d'actualité avant les Grosses Têtes. Il dispose d'une dizaine de secondes d'avance. À partir de septembre 2019, le jeu n'est plus joué qu'à 17 h 20 avant de disparaître à partir de janvier 2020.
La Valise RTL (16 h 50, depuis septembre 2014) : le jeu emblématique de la station revient, avec, cette fois-ci, en plus de la somme initiale aux alentours de 1 000 €, des cadeaux qui sont ajoutés jour après jour. Un auditeur inscrit et pioché au hasard est appelé au téléphone et doit pouvoir redonner l'intégralité du contenu pour tout remporter.
L'invité mystère (17 h 40, depuis septembre 2014) : une personnalité (chanteur, acteur, écrivain, etc.) est en coulisses avec la voix masquée. Les sociétaires doivent découvrir son identité grâce à des questions qu'ils peuvent lui poser et grâce à des indices sonores et musicaux.
Mais qu'est-ce que vous nous chantez là ? (16 h 20, depuis septembre 2019) : un auditeur au téléphone chante une chanson, peu connue, le plus souvent drôle ou avec un interprète inattendu, et dont les Grosses Têtes doivent retrouver l'interprète. Si les Grosses Têtes ne retrouvent pas l'interprète avant la fin de la chanson, l'auditeur gagne un cadeau.
Grosses Têtes, cinq fake news (15 h 50 et 17 h 20, depuis janvier 2020) : l'auditeur doit identifier laquelle des six informations, en principe grivoises ou inattendues, livrées par chacune des Grosses Têtes est vraie.
Qui est qui, qui fait quoi, c'est à vous de parier sur votre Grosse Tête (17 h 30, depuis mars 2020) : le présentateur demande aux sociétaires quelle est la profession d'une personne dont le nom fait l'actualité. Le jeu continue jusqu'à ce qu'il n'y ait qu'une personne n'ayant pas répondu de façon incorrecte. L'auditeur doit parier sur la victoire d'un sociétaire, il gagne un cadeau si celle-ci se réalise.
L'émission est en partenariat pendant quelques années avec le magazine Télé 7 jours, puis avec Télé Star (1993-1997).
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