Animaux - Aricles divers - Bornéo, animaux volants

Publié à 10:57 par acoeuretacris Tags : divers animaux
Animaux - Aricles divers - Bornéo, animaux volants
A Bornéo, certains animaux volants ne sont pas des oiseaux. Grenouilles, serpents ou écureuils planent dans les forêts tropicales, comme celle du Parc national de Gunung Palung, qui recèlent encore bien des secrets sur la faune animale.


L’extraordinaire diversité des animaux planeurs est unique. Pour pouvoir photographier ces espèces, Tim Laman, un biologiste, a dû escalader des arbres de 45 m de haut et parcourir la jungle jour et nuit.

Bornéo est la plus grande île de l’Insulinde avec une superficie de 750 000 km2. Bornéo est partagé administrativement en plusieurs territoires. Le Sabah et le Sarawak, au N.-O., séparés par le Brunei, indépendant, font partie de la Malaisie ; le reste, c’est-à-dire la plus grande partie de l’île, appartient à l’Indonésie sous le nom de Kalimantan.

Pourquoi autant d’animaux planeurs à Bornéo ?

Les animaux planeurs sont incapables de se propulser dans les airs comme les oiseaux ou les chauves-souris. Ils répartissent subtilement le poids de leur corps ou ajustent leur queue et leurs membres de façon à guider leur vol.

Brunei. Mosquée Omar Ali Saifuddien. Image Azizul Ameir

Bornéo ne possède pas moins de 30 espèces planantes. Pourquoi y en a t-il autant dans cette île, alors que d’autres forêts tropicales n’en abritent aucune, comme en Amazonie ?

Maison sur pilotis dans l'État de Brunei.  Tony From Sydney

D’après le biologiste et photographe Tim Laman, cela tient à une particularité des forêts de Bornéo, partagées par d’autres en Asie du Sud-Est.


Elles sont en effet composées en majeure partie d’arbres diptérocarpes géants, dont la fructification est peu fréquente et imprévisible, et qui empêche les autres arbres de pousser.

Forêt de Bornéo. Image Hnix

Ces conditions, semble t-il, font que la nourriture est moins abondante à Bornéo, obligeant les animaux de la forêt à rayonner davantage.


Planer est donc un excellent moyen. Ils vont d’arbre en arbre sans avoir à faire de longs allers retours sur le sol.

Batracien arboricole de Bornéo. Image Kleinmatt 66

Cela explique aussi, sans doute, que la technique du vol plané a émergé chez des groupes d’animaux aussi variés, chacun développant des structures spécifiques, depuis les énormes pattes palmées des grenouilles volantes aux membranes développées des lémurs.

Gecko volant de Kuhl (Ptychozoon Kuhli)

Prédateur nocturne, le gecko volant de Kuhl attend perché sur une branche que des insectes soient à sa portée.


Lorsqu’il a peur ou qu’il veut changer de terrain de chasse, il s’élance dans les airs.

Gecko volant. Image J.W.Connelly

Au moment où il va atterrir, la tête est levée. Les doigts palmés, les franges de peau sur les pattes et la queue contribuent au camouflage et augmentent l’étendue de la surface lui permettant de planer.

Lors de vols plus longs, la pression de l’air déploie des membranes qui sont normalement repliées sous le corps.

Grenouilles volantes genre Rhacophorus

Des replis de peau longs et souples ainsi que des doigts palmés permettent aux grenouilles volantes de planer.
Des coussinets adhésifs facilitent leurs atterrissages.

Grenouille volante (Racophorus nigropalmatus). Image Blind Boy

De nombreuses espèces de grenouilles arboricoles peuvent étendre leurs membres pour effectuer des descentes sans chuter à travers les airs.

Mais, seules les espèces ayant développé de vastes palmes, comme la grenouille de l’arbre arlequin (Rhacophorus pardalis), sont réellement capables de flotter dans les airs.

Racophorus nigropalmatus. Image Blind Boy

Munies de ces palmures, les grenouilles ne se contentent pas de planer mais opèrent des virages à 180° en plein ciel.


Certaines grenouilles volantes n’ont été découvertes qu’au 20e siècle.

Lémur volant ou colugo (Galeopterus variegatus)

Les lémurs volants ne sont pas des proches parents des lémurs authentiques de Madagascar. Ils constituent une classe distincte appelée dermoptères, ou « ailes de peau ». Le lémur volant de Malaisie est l'une des deux espèces de lémurs volants. L'autre espèce appelée lémur volant des Philippines (Cynocephalus volans) est, comme son nom l'indique, endémique aux Philippines.

Colugo qui plane. Image Wild Singapore

Leur membrane de vol, allant de la mâchoire aux doigts et des orteils à la queue, est la plus grande de tous les mammifères planeurs.

Colugo. Image Lip Kee

Les femelles colugo emmènent leurs petits dans les airs quand elles cherchent leur nourriture. On peut souvent observer une femelle colugo suspendue par les pattes arrières, tandis que son petit, se cramponne à elle.

Les lézards du genre Draco

Les lézards du genre Draco, Draco cornutus ou Draco volans, peuvent sauter d’un tronc, réaliser des loopings et atterrir un peu plus bas sur le même arbre en se présentant la tête levée. Ce sont de petits lézards d'une longueur moyenne de 20 cm.

Draco volant. Image Alfeus Ciman

Il existe environ 30 espèces classées dans le genre Draco.

Draco sp. Image Budak

Leur peau s’ouvre comme un parachute ultrarapide au moment où ils sautent. Ils peuvent effectuer des sauts de 30 m entre les arbres.


Ces planeurs sont actifs le jour et ils chassent les fourmis et les termites.

Lézard planeur. Image Dadly Drawn Dad

Les mâles rivaux se poursuivent dans les airs, sautant d’arbre en arbre, comme des avions de chasse.

Serpent planeur (Chrysopelea paradisi)

Le serpent de l’arbre du paradis est aussi mince qu’un ruban. Il glisse le long des arbres puis il lâche prise, ne tenant plus que par sa queue.

Serpent de l’arbre du paradis. Image Biophilia

Son corps se métamorphose soudain. Ses côtes s’étirent et son corps s’aplatit. Il bondit soudain dans les airs et l’on aperçoit qu’un mince ruban vert planer dans l’atmosphère.

Ce serpent peut mesurer jusqu'à 120 cm. Son aire de répartition comprend le sud de la Thaïlande, la Malaisie, l'Indonesie (Borneo, Sumatra, Java, Sulawesi) et certaines zones des Philippines.

Ecureuil volant roux géant (Petaurista petaurista)

L’écureuil volant roux géant peut atteindre un mètre de long, queue comprise. C’est la plus grande des 14 espèces d’écureuils volants de Bornéo. Il pèse en moyenne 1750 g.

Ecureuil volant roux géant de Borneo. Image Pseudolapiz

C'est un mammifère nocturne dont la reproduction et le mode de vie sont assez méconnus. On sait cependant que la femelle met au monde 2 à 3 jeunes qui sont sevrés au bout de 2,5 mois environ. Pour les protéger, la mère construit un nid dans les arbres. Il semble que la femelle a deux portées par an.

En captivité, l’écureuil volant roux géant peut vivre jusqu'à 16 ans.
Il peut effectuer des vols planés de 75 m en s'élançant des plus hautes branches en étirant ses membranes de vol qui se replient au repos. C'est une espèce herbivore qui se nourrit d'écorce de pin, de bourgeons, de fruits et de feuilles.

Petaurista petaurista. Image Nayne Cheng

Tous ces animaux sont très difficiles à étudier en détail de par leur mode de vie. La plupart nous sont très méconnus.


Si nous ne protégeons pas davantage les forêts de Bornéo, les animaux qui les peuplent, n’auront bientôt plus d’endroit pour planer.

Bonjour à tous...

Publié à 08:47 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour à tous...

 

 

Mon seul refuge

 

Pourquoi donc cette arrogance,
Ces regards sans transparence,
Ces hasards de fortune,
Qui ne font qu'épaissir la brume?




Pourquoi toujours chercher?
Comme si l'on devait chaque fois combler,
Des espaces réinventés,
Qu'on ne peut pas même identifier.




Et ces appels en résonnance,
Ces accrocs de conscience,
Vont-ils régler le sort,
Des histoires moches de remords?




Pourquoi donc sans cesse fuir,
Devant les tournants de l'amour,
Y a-t-il vraiment autre chose à dire,
Que, je te voudrais bien toujours?




Et qui sont ces consciences,
Qui jouent à celles qui s'en balancent?
Et celles qui, s'en rien savoir,
Se font juges de l'auditoire?




Je me fous bien de ce que l'on en pense,
Car ma vie n'a qu'un seul sens,
Et même la nuit dans sa démence,
C'est vers toi qu'elle s'avance.




Rien au monde ne me fera reculer,
Vers les jours sans nom,
Je veux bien toute ma vie être condamnée
À vivre dans une telle prison.




L'amour est mon seul refuge,
Et si l'envie vous prend d'en être juge,
Condamnez-moi à perpétuité
Que toute ma vie je puisse y habiter.




Erika

 

Bonne et douce nuit à tous

Publié à 18:09 par acoeuretacris Tags : bonsoir

 

 

 

Gros bisous à tous....

à demain....

 

Monuments - Le Parthénon d'Athènes

Publié à 17:26 par acoeuretacris Tags : monument parthénon
Monuments - Le Parthénon d'Athènes

 

Athènes, la ville d'où est né l'embryon démocratique en Europe, porte le nom d' Athena, déesse de la sagesse et protectrice de la cité. A la suite des victoires contre les Perses pendant les guerres médiques où les armées " barbares " sont battues à Marathon puis Salamine, la ville va jouir d'une puissance et d'un prestige pendant le Ve siècle. A la tête d'une coalition de cité grecques, insulaires ou continentale, Athènes domine.


C'est dans ce contexte que va s'ériger sur un promontoire rocheux, l'Acropole, un ensemble de douze monuments témoignant de la puissance de la ville. Sur les ruines d'un palais Mycénien et d'un sanctuaire grec des VIIe et VIe siècles, Périclès, qui dirigera la ville pendant trente années, fait bâtir ce centre religieux à partir de 447. Parmi les douze monuments, le Parthénon est de loin le plus célèbre.

Selon les habitants, la victoire contre les Perses est due à Athena. Quoi de plus normal que de manifester sa reconnaissance par la construction d'un temple dédié à la déesse. Le Parthénon s'érige donc en symbole de la puissance d'une civilisation sur l'envahisseur barbare.

Le monument est remarquable sur bien des éléments. Le nombre de corps de métiers utiles à sa réalisation ne se résume pas aux architectes. Derrière eux il faut voir les sculpteurs, menuisiers, peintres, fondeurs de toute la Grèce dont les plus célèbres, le sculpteur Phidias ou l'architecte Ictinos sont les maîtres d'œuvre. Remarquable encore par l'ingéniosité que les Grecs ont manifester pour amener les blocs de marbre un à un en haut de ce promontoire. Remarquable également sur le plan artistique : construit dans un style dorique pour les colonnades extérieures, le style ionique est également présent, à l'intérieur, ce qui fait de l'édifice l'un des rares à adopter les deux styles grecs. Sa longueur modeste, 70 mètres, tranche avec une largeur exceptionnelle qui permet à la façade d'aligner huit colonnes de plus de dix mètres de haut alors que le chiffre habituel était de six.

En hauteur une frise, dont il reste peu, marque l'opposition nette entre le triomphe de l'ordre incarné par les Dieux contre le chaos représenté par les Centaures. A l'intérieur, une statue d'Athena trônait au centre entourée d'une colonnade. Derrière elle une autre salle servait à déposer les riches offrandes laissées à la déesse. Une autre frise intérieure, réalisée par Phidias, raconte sur 160 mètres une procession d'Athéniens rendant hommage à leur divinité tutélaire : les Panathénées (fête d'Athéna célébrée tout les quatre ans).

Les travaux s'achèvent en 432 et le Parthénon garda longtemps une fonction religieuse que ce soit sous domination grecque, romaine puis Byzantine puisque l'édifice devient une Eglise dédiée à la Vierge au VIe siècle. Plus tard, en 1687, lors de la guerre contre les Turcs, ces derniers ont entreposé de la poudre dans l'édifice. Une canonnade vénitienne provoqua une explosion qui détruit tout le centre du Parthénon. Celui-ci devient une mosquée jusqu'en 1749 avec l'adjonction d'un minaret. Au début du XIXe siècle, Lord Elgin dépèce le Parthénon de la majorité de sa décoration sculptée pour l'envoyer à Londres. Aujourd'hui, il faut aller au Louvre, au musée d'Athénes et au British Museum si l'on veut voir l'ensemble restant de la décoration des frises et frontons de l'un des plus beaux édifices antiques.

Monuments - La Statue de la Liberté -

Publié à 17:23 par acoeuretacris Tags : monument statue liberté
Monuments - La Statue de la Liberté -

 La statue de la Liberté de Bartholdi dans les ateliers Gaget-Gauthier, rue de Chazelles, par Victor DARGAUD, XIX° siècle, musée Carnavalet, Paris.



 L'histoire de la statue de la Liberté commence en août 1834, à Colmar, en Alsace. En effet, c’est à cette date que naquit Frédéric Auguste Bartholdi, fils de Jean Charles Bartholdi, conseiller de préfecture.

Agé de deux ans à la mort de son père, le jeune Auguste et son frère aîné furent élevés par leur mère, Augusta Charlotte. Cette dernière décida alors de quitter Colmar peu de temps après la mort de son époux afin de se rendre à Paris.

Après avoir étudié au lycée Louis le Grand à Paris, Auguste décida d’étudier l’architecture en rentrant à l’Ecole nationale supérieure des beaux arts en 1852.

Le jeune Bartholdi y fréquenta ainsi les cours d’Ary Scheffer, un célèbre peintre français d’origine hollandaise. Ce dernier, proche de la famille royale, fut ainsi mis sur la sellette en 1852, suite à l’instauration de la II° République et l’avènement au pouvoir de Louis Napoléon Bonaparte, neveu (et petit fils.) de l’Empereur Napoléon I°.

Bartholdi, âgé de 18 ans, décida de participa à un concours destiné à la création d’un phare. Cependant, bien que ne remportant pas l’épreuve, le jeune Auguste se vit commander une statue du général Jean Rapp, héros napoléonien de Colmar[1].

Montrant ses ébauches à son ami Jean Léon Gérôme, peintre et sculpteur français, les deux jeunes hommes firent sensation lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1855 : Bartholdi avec sa statue du général Rapp, Gérôme avec sa peinture Le siècle d’auguste et la naissance de Jésus Christ.

Afin de célébrer ce succès, les deux vainqueurs décidèrent de faire un voyage en Egypte. Le jeune Bartholdi fut très impressionné par l’art monumental légué par l’ancienne civilisation égyptienne.

De retour à paris, Auguste assista à l’inauguration de la statue du général Rapp à Colmar.

Mais le jeune homme ne resta pas longtemps dans sa ville natale, devant partir précipitamment pour Bordeaux afin de participer à un concours pour le projet d’une fontaine.

Bartholdi, recevant le premier prix à Bordeaux[2], reçut alors la visite des édiles de Colmar. Ces derniers lui confièrent alors la tâche de construire une statue d’Armand Bruat, un amiral français né à Colmar, commandant en chef de la flotte française pendant la guerre de Crimée[3].

En 1864, Bartholdi fut félicité par Napoléon III pour avoir érigé cette statue, recevant la Légion d’Honneur.

La réputation du jeune sculpteur lui valut de nombreuses commandes. Ainsi, Bartholdi reçut la visite d’Edouard de Laboulaye, juriste et homme politique français.

Combattant la politique autoritaire du II° Empire, Laboulaye était un homme attentif à la vie politique américaine et admirateur de la constitution de ce pays (il commanda alors un buste le représentant à Bartholdi.).

Laboulaye, se déclarant en faveur de l’union lors de la guerre de Sécession, apprit avec soulagement la victoire du Nord en avril 1865. Cependant, les festivités furent écourtées en raison de l’assassinat du président Abraham Lincoln au cours du même mois.

En 1866, alors que bartholdi venait d’achever le buste de Laboulaye, ce dernier confia au jeune sculpteur la tâche d’élaborer un monument marquant l’amitié entre la France et les Etats Unis.

Bartholdi décida alors de se mettre au travail, se préparant pour l’Exposition Universelle de 1867, grande fête du II° Empire.

Au cours de l’évènement, Bartholdi rencontra alors Ismaïl Pacha, Khédive d’Egypte. Ce dernier décida alors de confier au sculpteur l’érection d’un monument à sur l’estuaire du canal de Suez, dont l’inauguration était prévue en fin d’année 1869.

Pendant deux années, Bartholdi travailla à l’élaboration de cette entreprise.

En novembre 1869, toutes les têtes couronnées d’Europe se rendirent en Egypte afin d’assister à l’inauguration du canal de Suez. Bartholdi, invité à participer à la cérémonie, apprit alors avec désarroi que le trésor du Khédive étant à sec, son projet de statue sur l’estuaire ne resterait qu’à l’état de projet.

Rentrant en France, Bartholdi se plongea alors dans l’élaboration d’une statue représentant Vercingétorix, considéré à l’époque comme défenseur de la gaule face aux légions de César.

Cependant, l’Histoire prit un nouveau tournant, suite à la catastrophique guerre de 1870, opposant la France à la Prusse.

Bartholdi, s’enrôlant dans la garde nationale, se retrouva alors sous les ordres de Giuseppe Garibaldi. En septembre 1870, les Français apprirent avec stupeur les nouvelles du front : le 2 septembre, l’armée française, retranchée à Sedan, décida de rendre les armes. Napoléon III, quant à lui, se retrouva contraint de se rendre aux Prussiens, alors qu’il était à la tête d’une armée de 80 000 hommes.

Les Prussiens parvinrent alors à s’emparer sans coup férir de nombreuses villes, démoralisées par l’échec de l’Empereur. Le 4 septembre, les Parisiens décidèrent d’abolir le II° Empire et proclamèrent la III° République.

Le 19 septembre, les Prussiens se retrouvèrent aux portes de paris. La capitale, après un siège de cinq mois, se retrouva finalement contrainte d’ouvrir ses portes aux vainqueurs. Finalement, Français et Prussiens signèrent le traité de Francfort en mai 1871.

La France s’engageait ainsi à rendre à la Prusse les territoires annexés par Louis XIV en 1681 (soit l’Alsace et une partie de la Lorraine[4].), ainsi qu’à payer une forte indemnité de guerre de cinq milliards de francs or[5].

La France, sortant isolée diplomatiquement suite à cet échec, se devait donc de resserrer ses liens avec les Etats Unis.

Laboulaye, plus décidé que jamais à faire don à la jeune Amérique d’un monument marquant l’amitié entre la France et les Etats Unis, décida d’envoyer Bartholdi sur le nouveau continent afin qu’il choisisse l’emplacement du futur édifice.

En juin 1871, Auguste quitta une France ravagée et débarqua peu de temps après à New York. Rencontrant le président américain Ulysses Grant, Bartholdi s’engagea dans une traversée des Etats Unis, visitant les chutes du Niagara, le grand canyon, les forêts des Redwoods, etc. C’est ainsi qu’Auguste en profita plaider la cause de son grand projet, la statue de la Liberté.

Rentrant en France, Bartholdi découvrit un Paris ravagé par la guerre, la commune et la répression qui s’ensuivit.

Mettant de côté son projet de statue pour les Etats Unis, Bartholdi se concentra sur un nouveau projet, le Lion de Belfort : l’œuvre symbolise la résistance héroïque menée par le colonel Denfert-Rochereau au cours du siège de Belfort[6].

La vie reprenant la normale en France, Adolphe Thiers, président de la République, demanda à Bartholdi de reprendre ses travaux sur la statue de la Liberté (février 1873.). Par la suite, au cours de l’été 1874, Bartholdi présenta un plâtre à ses concitoyens.

La III° République étant officiellement proclamée en janvier 1875, Laboulaye et Bartholdi participèrent à la création de l’Union franco-américaine, en novembre de la même année.

Recevant un conséquent financement, Bartholdi décida alors de s’installer au 25, Rue de Chazelles, afin de travailler à l’élaboration de sa statue. Il reçut alors l’aide d’Eugène Viollet le Duc, à qui fut confiée la tâche de choisir les cuivres devant être employés à la construction (il choisit alors la technique du repoussé, consistant à travailler à froid, à l'envers, une fine plaque de métal, de manière à faire ressortir une image ou un ornement.).

Les fonds continuant à entrer, le projet prenait forme mois après mois.

Chaque section définitive est coulée en plâtre. Autour d’elle, on construit un moule en bois, sur lequel s’articulera le revêtement de cuivre. Bartholdi dut ainsi mesurer chacune des 9 000 mesures nécessaires à chaque section.

Cependant, Auguste dut bientôt se rendre à l’évidence : la statue ne serait pas prête pour le centenaire des Etats Unis, en juillet 1876. Il décida donc de réaliser la partie la plus importante : la torche de la statue de la Liberté.

Manquant de peu les festivités, le flambeau arriva aux Etats Unis en septembre 1876.

Peu de temps après, en décembre 1876, Bartholdi épousa Jeanne Emilie Baheaux de Puysieux, de treize ans son aînée (le mariage, bien que stérile, n’en fut pas moins heureux.).

Début 1877, Bartholdi rentra en France, continuant l’élaboration de sa statue.

Lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1878, Auguste présenta la tête de son œuvre, mais des problèmes, financiers le contraignirent de mettre fin aux travaux peu de temps après.

Bartholdi décida alors d’organiser une loterie afin de réunir les fonds nécessaires à la poursuite des travaux.

Parvenant à empocher une somme conséquente, les travaux reprirent dès le printemps 1880.

Viollet le Duc étant décédé quelques mois auparavant, Bartholdi apprit que Gustave Eiffel acceptait de reprendre la place du défunt. L’architecte décida ainsi de faire reposer la statue sur un pylône (quatre pieux en acier reliés entre eux pour former une tour.), afin que ce dernier reste indépendant de la couverture de cuivre

Les travaux se poursuivirent, mais Bartholdi apprit une mauvaise nouvelle en mars 1883, le congrès américain refusant de financer le piédestal de la statue.

Cependant, le coup du sort continua à poursuivre Auguste, qui assista peu de temps après aux funérailles de son ami Laboulaye, père spirituel de la statue.

A New York, alors qu’étaient inaugurés le pont de Brooklyn et le Metropolitan Opera, l’on ne se souciait plus guère de la statue de la liberté.

C’est alors que Joseph Pulitzer, fondateur du journal le New York World, décida de s’attaquer aux classes aisées qui refusaient de récolter les fonds afin d’élaborer la statue. Finalement, la campagne de Pulitzer porta ses fruits, car de nombreux donneurs privés issus des classes moyennes acceptèrent de participer financièrement à l’élaboration de la statue.

Pendant ce temps là, Bartholdi continuait son ouvrage, qui fut finalement achevé en juillet 1884.

Peu de temps après, en août 1884, les fonds nécessaires à l’élaboration du socle de la statue furent finalement rassemblés. L’architecte Richard Hunt fut alors chargé d’imaginer le socle, de concert avec l’entrepreneur Charles Stone.

Sous une pluie battante, la première pierre du piédestal fut posée en août 1884.

En France, voyant que les travaux du socle étaient en cours, il fut donc décidé d’entreprendre les travaux de démontage de la statue dès janvier 1885. Chaque section, chaque pièce, chaque rivet est numéroté, empaqueté et prêt à être remonté avec la même méticulosité.

De la gare Saint Lazare, la statue fut envoyée en train jusqu’à Rouen, la statue descendit la Seine afin de s’embarquer au Havre (mai 1885.).

Débarquant à New York en juin, les travaux de reconstruction de la statue ne commencèrent toutefois qu’au printemps 1886, lorsque la dernière pierre du piédestal fut mise en place.

En octobre 1886, alors que la statue venait d’être réassemblée, Bartholdi débarque à new York, accompagnée d’officiels français.

Le 28 octobre 1886, la statue de la Liberté, qui avait couté en tout la bagatelle de 2 250 000 francs, fut inaugurée en présence du président Grover Cleveland, devant plusieurs milliers de spectateurs. La taille du monument était colossale pour l'époque : la statue mesurait 46 mètre de haut pour un poids de 204 120 kg, alors que son socle est d’une hauteur de 47 mètre, soit 93 mètres au total (à noter que lors de son inauguration, la statue arborait une teinte brun rouge, en raison du cuivre qui la recouvrait. Cependant, le vert de gris ne tarda guère à recouvrir la statue d’une patine bleu vert.).

Pendant les discours, Bartholdi grimpa au sommet de la torche, et découvrit ainsi le visage de la statue du voile qui la masquait au public.

Aujourd’hui, nous ne devons pas oublier que La statue de la Liberté, ou plus exactement la Liberté éclairant le monde, est un monument offert par la France aux Etats Unis en gage d’amitié entre les deux pays.

Hélas, ne nombreux américains ignore l'histoire mouvementée de la statue de la Liberté : en effet, un sondage organisé lors du centenaire de la statue, en 1986, révéla que seul 2% des américains savaient que la statue avait été offerte aux Etats Unis par la France.


Bartholdi, rentrant en France peu de temps après, commença à travailler sur de nouveaux projets, fort de sa renommée.

Il mourut à Paris quelques années après de la tuberculose, en octobre 1904.

Ce n’est qu’en 1903 qu’une plaque de bronze fut accrochée à la base du monument, sur laquelle est inscrite un poème d’Emma Lazarus, intitulé The New Colossus.

Give me your tired, your poor,
Your huddled masses yearning to breathe free,
The wretched refuse of your teeming shore.
Send these, the homeless, tempest-tost, to me,
I lift my lamp beside the golden door !

Donnez-moi vos pauvres, vos exténués
Qui en rangs serrés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête m'apporte
De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !


En 1983, alors que le centenaire de la statue approchait, il fut décidé de la restaurer. La torche fut démontée et remplacée par un nouveau flambeau ; le fer corrodé en raison de son contact avec le cuivre fut remplacé, le bras qui s’était affaissé fut consolidé par une charpente diagonale.

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[1] Le général Rapp, né à Colmar en avril 1771, participa à de nombreuses campagnes sous le I° Empire. Il combattit au sein de l’armée du Rhin pendant la révolution, prit part à la campagne d’Egypte, et fut aide de camp de Napoléon jusqu’en 1814. Rejoignant le camp de l’Empereur lors des Cent Jours, le général Rapp fut nommé commandant de l’armée du Rhin. Suite à Waterloo, Rapp fut mis à l’écart par les royalistes, et mourut en novembre 1821.

[2] A noter que la fontaine ne fut au final pas construite à Bordeaux mais à Lyon.

[3] La statue de l’amiral Bruat, détruite en 1940, fut remise en place en 1958.

[4] Belfort ayant héroïquement résisté au cours de la guerre, la France parvint à conserver le territoire de Belfort.

[5] A noter que les Prussiens occupèrent une partie de la France jusqu’au paiement intégral de la dette, en septembre 1873.

[6] Le projet, initié en 1872, ne fut achevé qu’en septembre 1879. Cependant, en raison d’un différend entre Bartholdi et la ville de Belfort, le monument ne fut pas inauguré (en effet, le Lion de Belfort ne fut officiellement inauguré qu’en 1989.).

O.V.N.I.S... - La vague d'OVNIS de Dales -

Publié à 17:07 par acoeuretacris Tags : OVNIS
O.V.N.I.S... - La vague d'OVNIS de Dales -

 

Il y eut un nombre très élevé d'observations variées d'OVNIS autour de Dales, Royaume-Uni, à la fin de 2000 et au début de 2001. Cette page énumère une partie des cas.

Le Derbyshire est une région des Midlands en Grande-Bretagne. Une vague impressionante d'OVNIS a produit de nombreuses observations en particulier par des résidants des villes de Matlok, Peak, de Rowsley et de Dales, Royaume-Uni.

Pendant plusieurs mois entre la fin de 2000 et le commencement de 2001, les lecteurs du quotidien régional le "Mercury" ont rapporté avoir vu des soucoupes volantes, des boules du feu, et des engins triangulaires dans les cieux au-dessus de Dales et de Peaks.

LISTE DE CAS:

26eme observation, 1er Juin 2001:

Cette récente rencontre rapprochée aurait eu lieu le Vendredi, le 1er juin par un homme de 62 and de Cromford, qui a demandé à ne pas être nommé.

Il affirme avoir vu le même engin en deux occasions précédentes ces dernier mois.

L'OVNI a été vu au dessus de Slack Hill à Kelstedge à environ 01:30 du matin. L'homme a décrit un objet ayant des nuances oranges semblables à un réverbère, à 1000 mètres de haut.

"Je les ai déjà vu auparavant. Vous pouvez voir ceci trois ou quatre fois par semaine ici."

"Cela change de forme tout le temps, comme s'il était fait d'une pâte lumineuse. C'est comme si cela m'observait, en continuant à se rapprocher, de plus en plus jusqu'à 300 mètres. Je n'étais pas effrayé, juste très curieux, mais j'avais l'intention de rester à bonne distance du lui."

La 21ème observation, 8 Février 2001:

La 21ème observation concerne un couple de Wirksworth qui a vu une grande lumière bleue avec une traînée orange qui a filé à travers le ciel. L'homme, qui a refusé d'être identifié, faisait une promenade avec sa petite amie sur Summer Lane à environ 17:15 le Jeudi 8 Février 2001, quand ils ont vu une lumière brillante. L'événement a été rapporté par le "Mercury" de Matlock le 15 Février 2001.

"D'abord j'ai pensé que c'est un avion qui va s'écraser. C'est la chose la plus étrange que j'ai jamais vue. Il avait une traînée brillante orange à son arrière. Mais il était beaucoup trop rapide pour être un avion. Un de mes amis l'a également vu. Il allait d'Alfreton à Tansley et arrêté sa voiture pour le regarder."

Objet en forme de dôme, 3 Février 2001:

Paul Hannan, 37 ans, de Yeld Close, Bakewell, a vu un objet en forme de dôme à environ 20:00 le Samedi, 3 Février 2001.

Lumières rouges et oranges, 26 Janvier 2001:

26 Janvier 26: Heather Shuttleworth voit des lumières rouges et oranges lumineuses au-dessus de Beeley Moor.

Boule de Feu, 17 Janvier 2001:

17 Janvier: Joan Power voit une "boule de feu" oblongue au-dessus des toits à Matlock, se posant derrière des arbres.

Un engin triangulaire de sépare en deux, 13 Janvier 2001:

13 Janvier: Anne Saunders voit planer un OVNI triangulaire au-dessus de Crich pendant trois minutes avant de se séparer en deux parties qui volent chacune vers le lointain.

Objet triangulaire lumineux rose, 13 Janvier 2001:

13 Janvier: un homme de Matlock voit le m'eme genre d'engin que ci-dessus, de coloration rose, au-dessus de Crich.

Un chapeau melon volant le 6 Janvier 2001:

Un homme de Youlgrave agé de 46 ans, qui a demandé à ne pas être nommé, a dit que l'objet était noir, en forme de chapeau melon, avait un diamètre de 100 pieds, et planait au-dessus de Curbar Gap près de Calver. Lui et un ami ont vu l'OVNI au coucher du soleil le Samedi 6 Janvier. Il était à 300 yards d'eux et à 1.000 pieds d'altitude. Il a déclaré:

"Nous l'avons observé pendant dix minutes, puis il s'est tout simplement évaporé. Ce n'était pas un engin volant normal - il n'y avait aucune aile ou réacteur ou quelque source de propulsion visible. Il était rotation sans bruit à part un faible bourdonnement. Il n'y avait aucune lumière ou ouverture. J'ai été stupéfié. Il n'était comme rien de ce que j'avais jamais vu auparavant - il était énorme. Ce que c'était je n'en sais rien."

Lumieres volantes brillantes Le 5 janvier 2001 :

Le vendredi précédent, Heather Shuttleworth une habitante de Bakewell se rendait à la banque de Haddon quand elle a regardé hors de la fenêtre de sa voiture au-dessus de Beeley Moor à 05:40 du matin. Elle et son mari ont vu deux lumières brillantes, ont arrêtées la voiture et regardé vers le ciel avec des jumelles.

Mrs Shuttleworth raconte:

"Je savais que ce n'était pas des lumières d'avions - ils étaient trop lumineux. Mon mari a utilisé ses jumelles qu'il avait dans la voiture car nous avons souvent vu des lumières étranges ces dernières semaines, bien que nous pensionsencore que c'étaient des avions. Nous ne pouvions pas croire ce que nous voyions. Les lumières étaient la forme des soucoupes volantes que l'ont montre dans des documentaires. Mon mari est revenu dans la voiture et à environ un mille de Friden vers Stanton Moor, il y avait une lumière brillante rouge et une lumière brillante orange venant l'une vers l'autre."

Soucoupe volante, 25 Décembre, 2001:

25 Décembre: Elaine Wachlarz de Youlgrave voit une soucoupe volante illuminée au dessus de la région de Over Haddon.

Une lumière brillante disparaît, 13 Novembre 2001:

13 Novembre: Un homme repère une brillante lumière au-dessus de Hurst Farm Estate à Matlock, puis elle diminue et disparaît.

Probablement un show laser de discothèque, Novembre 2001:

Novembre: Terry Green, pensionnaire de Stanton Lees voit un light show au-dessus de Rowsley... il pense que ce pourrait être des lasers d'une discothèque.

Cercle de lumières vertes et rouges, 21 Octobre 2001:

21 Octobre: Andrew Lynham voit un cercle des lumières clignotantes rouges et vertes dans les nuages au-dessus de Mill Peak.

Jeu de lumières, 21 Octobre 2001:

21 Octobre: Jacky Swift, de Matlock voit un light show pendant 20 minutes, des faisceaux blancs au-dessus de Tissington.

Encore une soucoupe volante, 9 Octobre 2001:

Octobre: L'homme voit la même soucoupe volante que dans la vidéo prise à Bonsall, cette fois au-dessus de Bonsall Moor.

Lumières brillantes variables, 5 Octobre 2000:

5 Octobre à Birchover: Un homme voit une lumière brillante au-dessus de Bakewell vers la route d'Ashbourne. Elle s'est déplacée lentement et a changé du blanc au multicolore.

Soucoupe volante filmée en vidéo, 5 Octobre 2000:

5 Octobre: une mère de famille de Bonsall filme en video six minutes et demie d'évolutions spectaculaires d'une soucoupe volante.

La semaine dernière, l'observation de l'OVNI enregistré en vidéo à Bonsall a été rapporté par le Daily Mail, Channel 5 et les nouvelles de la BBC. Une société allemande de TV voudrait tourner un documentaire. Le "Mercury" a reçu encore un témoignage de rencontre rapprochée, le 20ème qu'il publie depuis le premier en Septembre 2000.

Six lumières clignotantes, 1er Octobre 2000:

1er Octobre à Matlock: Emma Wheeldon, huit ans, voit six lumières clignotantes, une grande et cinq plus petites au-dessus de la ville, du rouge, du jaune et du bleu.

Lumière blanche derrière les nuages, Octobre 2001:

Octobre: un homme de 46 ans voit une lumière blanche brillante derrière les nuages à Rowsley.

Lumière planante, 25 Septembre 2000:

Le 24 Septembre à Curbar, un retraité voit une lumière vive planer au dessus du village, en accompagnée d'un "étrange brouillard".

Nuages étranges, Septembre 2000:

Septembre à Carsington: une grand mère de 65 ans, Josie Stirland voit neuf immenses bancs de nuages verticaux descendre du ciel.

Arc en ciel peu naturels, Septembre 2000:

Le lendemain, un arc en ciel circulaire de la taille apparente du soleil fut vu dans le même secteur.

Phénomène inhabituel, Septembre 2000:

Septembre à Ashbourne: Jo Buckley, 68 an, voit une longue strie de lumière et un arc en ciel circulaire, semblable à celui décrit ci-dessus, couvrant cette fois réellement le soleil.

O.V.N.I.S.... - La moitié de la Chine a pu voir des OVNIS...

Publié à 17:04 par acoeuretacris Tags : OVNIS
O.V.N.I.S.... - La moitié de la Chine a pu voir des OVNIS...

 

O.V.N.I.S.... - La moitié de la Chine a pu voir des OVNIS émettant de la lumière, Juillet 2002:

 

Le 1er juillet, le Huashan Post rapportait "un Objet Volant non identifié survolant Xiaxi." Le même jour différents médias dans tout le pays ont rapporté des nouvelles similaires, à savoir que le 30 juin à 22 h, un mystérieux objet à la forme changeante et émettant de la lumière volait au-dessus de Jiangsu, de Henan, de Xiaxi et de Sichuan.

Selon le Tianfu Morning Post: "certains lecteurs ont indiqué qu’un rayon de lumière orange et blanc est apparu dans le ciel. Il a volé d’Est en Ouest pendant environ 3 minutes. [...] Tout en volant il changeait continuellement de forme, d’un objet en forme de crochet à quelque chose qui ressemblait à un éventail."

Le Henan City Morning Post rapportait également des récits de témoins: "A 22h30, un objet ressemblant à une flèche flamboyante est apparue dans le ciel nocturne. Puis la queue de la flèche s’est ouverte comme un éventail, qui émettait une lumière vive. La section émettant de la lumière s’est alors changée en un croissant. Un éclair en boule irradiait au-dessus du croissant. Cinq minutes plus tard, l’OVNI a disparu dans la nuit."

Le Lanzhou Morning Post a rapporté que Chen Shiwen, un photographe de Linyao, prenait des photos pour des funérailles. Tout à coup les gens ont montré le ciel en disant, "OVNI!" Chen a vite pointé sa caméra vers le ciel. "J’ai vu un objet brillamment éclairé avec une queue volant lentement d’Est en Ouest. Environ 2 minutes plus tard l’objet s’est arrêté et la queue brillante a disparu. Puis l’objet lui-même s’est assombri, et il a lui aussi disparu. Environ une minute plus tard l’OVNI est réapparu, émettant une lumière encore plus intense. Il montait en spirale vers le sud est. Après une dizaine de secondes de mouvement spiralé il a repris la forme d’un yuanbao (un objet chinois doré qui ressemble à une montagne entourée de trois pics) et s’est lentement évanoui dans le ciel nocturne. Tout cela a duré environ 5 minutes."

Le Yangzi Evening Post a même publié une photo. Selon les lecteurs locaux, un objet qui ressemblait au soleil levant a été vu dans le ciel du nord ouest. Il ressemblait à une torche en forme d’éventail. La lumière était vive et continue comme une vague. Après une dizaine de minutes elle a lentement disparu et il n’est resté que des nuages dans le ciel.

Un journal de Sichuan a rapporté qu’un pilote d’un camp de l’armée de l’air avait vole à côté de l’objet et l’avait pris pour un chasseur ennemi. Tian Xianyuan, un témoin et le directeur adjoint du Centre d’Astronomie de la ville de Chingqing, a été capable d’indiquer la situation exacte de l’objet.

Au même moment, des surfeurs web de Jingzhou, province de Hebei et Baotou en Mongolie Intérieure, ainsi que de Daqing et Heilongjiang indiquaient dans différents forums qu’ils avaient aussi assisté au même phénomène.

Les différents reportages s’accordaient sur la forme, la taille, et la durée de l’apparition, et la direction du vol de l’OVNI. Il volait très haut, beaucoup plus haut qu’un avion normal. Il était assez grand. Selon un surfeur web, "il avait la taille de trois pleines lunes ensemble." Il était brillant et changeait de couleur du blanc à l’orange. Il est apparu dans le nord ouest et s’est dirigé lentement d’est en ouest. Il avait la forme d’un éventail, projetant ses lumières vers l’extérieur. La durée de son apparition allait de 2 ou 3 minutes à 10 minutes. Nous pouvons donc conjecturer que la nuit du 30 juin, à environ 22 h, un OVNI a visité presque la moitié de la Chine d’est en ouest. Et que l’objet que tout le monde a vu était un même OVNI.

Cette vue d’OVNI, couvrant plus de territoires que jamais auparavant, était la plus complètement documentée en Chine à ce jour. Mais qu’est-ce que c’était?

Wang Sichao, chercheur au Centre d’Astronomie de Zijinshan a offert l’explication la plus incroyable qui soit. Wang est un astronome fameux et spécialiste de planètes mineures. Il est aussi un chercheur passionné d’OVNI et d’astronomie. Le 1er juillet, le Yangzi Evening Post publiait une interview avec Wang. Wang concluait de l’analyse des descriptions des témoins que c’était une "machine volante dimensionnelle."

M. Wang a dit que ce n’était pas la première apparition de ce genre de phénomène. Lui et quelques collèges du Centre d’Astronomie de Nanjing Zijinshan ont observé, enregistré et rassemblé les informations sur des incidents similaires depuis les premières apparitions en 1971. Le même phénomène s’est manifesté plusieurs dizaines de fois, et Wang a conclu qu’il sont le même genre d’OVNI. Wang a contacté le centre spatial, qui n’a pas pu en confirmer la nature exacte, mais a une notion de plus en plus claire de sa forme.

Lorsque le reporter a demandé à M. Wang si l’OVNI avait une origine extraterrestre, Wang a répondu qu’on ne pouvait pas le confirmer. Wang croit que c’est une machine volante dimensionnelle, cependant, il a rejeté que ce soit un phénomène naturel et affirme qu’il y a derrière une vie intelligente. "On ne sait pas encore s’il est d’origine humaine ou extraterrestre, s’il est contrôlé de l’intérieur où à distance. Peut-être ne serons nous pas capables de découvrir la vérité avant plusieurs années, mais la curiosité humaine nous fera toujours poursuivre nos recherches. Avec les progrés dans le domaine de la technologie, nous avons plus de pouvoir et de capacités pour faire des recherches sur la nature et sur nous-mêmes. Rechercher d’autres formes de vie dans l’espace est aussi mystérieux qu’imaginer notre propre mystère."

 

 

 

O.V.N.I.S.... - OVNI radar/visuel/camera en Malaisie? -

Publié à 16:57 par acoeuretacris Tags : OVNIS
O.V.N.I.S.... - OVNI radar/visuel/camera en Malaisie? -

 

L'article ci-dessous étant daté du Jeudi 10 Octobre 2002 et donnant l'information que la date de l'observation serait "Vendredi dernier," il semblerait donc que l'événement a eu lieu le Vendredi 4 Octobre 2002.

Une vision étrange...
10 Octobre, 2002

Une caméra de surveillance (CCTV) montée au sommet du terminal de l'Aeroport International de Kota Kinabalu a capturé une image plutôt étrange ressemblant à un "cerceuil volant" (image ci-dessous et une vue en plan rapproché ci-dessus) planant au-dessus de la borne deux, dans la nuit de vendredit passé.

Un officier senior de la MAB (Malaysia Airports Berhard) a dit que la caméra était pointée sur le secteur de Terminal Deux à environ 19.06 quand ceux qui surveillait la caméra ont été saisis de surprise par l'objet "volant" à travers la scène en quelques secondes avant de disparaître de l'écran.

Un contrôle immédiat avec la station de radar a montré que l'objet n'est pas apparu sur leur écran, excepté sur celui d'un avion Fokker des Malaysia Airlines (MAS) venant de décoller trois minutes plus tôt.

Le contour de l'engin était clairement visible sur l'écran de leur radar, a dit l'officier.

Un garde de sécurité en service dans le secteur a prétendu avoir voler l'objet à une très grande vitesse au-dessus de la borne deux, montant au début depuis la direction de la mer avant de disparaître au-dessus des collines à côté de la borne du terminal de KKIA. "Il n'y avait aucun bruit du tout," a-t-il.

O.V.N.I. S ...-Un pilote chasse un OVNI et trouve la mort -

Publié à 16:54 par acoeuretacris Tags : OVNIS
O.V.N.I. S ...-Un pilote chasse un OVNI et trouve la mort -

 

L'AFFAIRE MANTELL

Le capitaine Thomas Mantell de l'US Air Force, héros de la seconde guerre mondiale, as du pilotage aux états de service irréprochables se tue en tentant de rattraper un objet volant non identifié qu'il a pour mission d'intercepter.

RESUME DES EVENEMENTS:

Le 7 Janvier 1948 en début d'après-midi, un objet énorme, rond et lumineux est vu au-dessus de Madisonville dans le Kentucky par des dizaines de témoins. Les autorités inquiètes de cette présence dans les environ de Fort Knox, la réserve d'or des Etats-Unis, donnent l'alarme à 13:30.

A 13:45, l'objet est signalé à la verticale de la base aérienne de Godman. Une fois au-dessus des pistes, il s'arrête: les militaires de la base le voient osciller lentement en passant régulièrement du rouge au blanc. Immédiatement, le colonel Hix, commandant de la base, ordonne par radio à une escadrille de 3 Mustangs F-51, en patrouille d'exercice à ce moment-là, de prendre contact avec l'objet.

Les 3 chasseurs se déroutent et se dirigent vers la base, derrière leur leader, le capitaine Thomas Mantell. A 14:45, Mantell envoie un message à la tour de contrôle:

"J'ai vu l'objet. Il est au-dessus de moi. Je vais essayer de m'en approcher pour mieux le voir... Il semble métallique... Il est terriblement grand... Environ 170 m de circonférence. Il prend de la hauteur ; il vole à la même vitesse que moi. Je vais le suivre jusqu'à 6000 mètres."

Au sol, le colonel Hix suit l'incroyable ascension à la jumelle. Il voit l'ovni. Il a la forme d'un parapluie. Sa taille apparente atteint celle de la moitié de la Lune. Il est complètement blanc, sauf une bande colorée rose. A la tour de contrôle, la radio grésille encore: c'est l'un des pilotes qui annonce que l'objet vient de disparaître dans les nuages après selon certaines sources une accélération effarante. Il arrêtent la poursuite, sauf Mantell qui n'est pas encore à 6000 m. Soudain il appelle, déçu:

"Impossible de le rejoindre. J'abandonne immédiatement la poursuite."

Le silence complet qui suit, qui intrigue d'abord, inquiète ensuite. Quelques heures plus tard, à 145 km de la base de Godman, on retrouvera son corps parmi les débris de son appareil, complètement pulvérisé sur une surface de plusieurs kilomètres carrés. Une mort qui soulèvera un émoi considérable dans tous les Etats-Unis.

Pour l'USAF, officiellement, deux possibilités seulement seront envisagées: Mantell s'est tué en poursuivant soit un ballon-sonde, soit la planète Vénus.

LES EVENEMENTS:

Le 7 Janvier 1948 sera un jour tragique pour le Capitaine Thomas F. Mantell de la Garde Nationale de l'Air du Kentucky, et sa famille, amis, et camarades aviateurs. Le cas Mantell sera pour toujours un classique des rapports OVNIS de la fin des années 40 et du début des années 50. Le Capitaine Mantell aura le provilège malheureuse d'être le premier être humain qui a donné sa vie dans la quête continue pour la vérité qui se cache derrière les rapports étranges d'engins volants venus d'autres mondes. A-t-il poursuivi un des Foo-Fighters dont il aurait pu entendre parler lors de la deuxième guerre mondiale? Ou était-ce un tout autre phénomène? Il a en tout cas fait le maximum pour atteindre un engin mystérieux, d'aspect métallique et apparemment intelligemment contrôlé, mais quoi que cela ait été, cela lui a échappé et Thomas Mantell a perdu la vie.

Mantell pilotait un F-51 ce jour fatidique, se rendant à la base aérienne de Standiford, Kentucky. Il était accompagné de trois autres avions de patrouille. Approximativement à 13:30, la police d'état du Kentucky a commencé à recevoir des rapports des citoyens inquiets d'observer un grand objet volant circulaire au-dessus de la ville de Mansville. Le secteur des observation s'est agrandit en quelques minutes, couvrant Irvington et Owensboro. Ce grand, engin volant d'aspect métallique a alors été clairement vu depuis la tour de la base aérienne de Godman. L'objet a été décrit comme étant extrêmement grand, rond, de couleur blanchâtre, avec une lumière rouge vers sa face inférieure, et semblant se déplacer lentement vers le sud. Une heure après les premiers rapports, Mantell et sa patrouille ont été invités à étudier l'bjets de ces rapports. Les transcriptions réelles disent, "Tour de Godman appelle la patrouille vers le Nord de 4 avions au-dessus du terrain de Godman. Me recevez-vous?" [pause] "Tour de Godman appelle la patrouille vers le Nord de 4 avions au-dessus du terrain de Godman. Me recevez-vous?" "Ok, tour de Godman. Ici Garde Nationale 869, chef de vol de la formation. A vous." "Garde Nationale 869 ici tour de Godman. Nous avons un objet au Sud de Godman que nous ne pouvons pas identifier, et nous voudrions savoir si vous avez assez de carburant; et si oui pourriez vous effectuer une recherche. A vous." "Ok, j'ai du carburant et je vais faire cette recherche si vous me donnez le cap correct." Un de ses trois compagnons de vol a reçu la permission de continuer son plan de vol initial, alors que Mantell et les deux avions restants se dirigent aux coordonnées des observations visuelles.

Mantell a mené le chemin dans l'ascension vers 15.000 pieds, et en atteignant cette altitude, il a transmis par radio le rapport suivant à la tour de commande: "l'objet est directement en avant de et au-dessus de moi maintenant, se déplaçant à environ la moitié de ma vitesse... cela semble être un objet métallique ou probablement une réflexion du soleil sur un objet métallique, et il est de taille énorme. Je m'élève toujours. Je vais essayer de me rapprocher pour avoir une meilleure vision." 18.000, 20.000, 22.000 pieds! Trop haut pour un chasseur datant de la deuxième guerre mondiale, sans oxygène! Les deux autres avions sont rentrés, laissant Mantell seul pour poursuivre l'objet géant. Selon toutes les sources Mantell a du perdre connaissance par manque d'oxygène à environ 30.000 pieds; du moins son avion s'est altitude puis a ensuite commencé à piquer vers le sol. Il s'est écrasé quelques moments plus tard vers la ferme de William J. Phillips près de Franklin, dans le Kentucky. La montre de Mantell était arrêtée à 15:16, et son corps était encore sanglé dans son avion, qui devint son cercueil. Il avait passé 45 minutes d'un vol effréné dans le royaume de l'inconnu. Vers 15:50, l'engin géant n'était plus visible depuis Godman, mais d'autres rapports ont continué au Sud dans le Tennessee.

Les récits de l'incident se sont diffusés comme une traînée de poudre. Les théories et les spéculations ont atteint le public par la radio, la télévision, et les journaux. L'histoire dans le New York Times avait ce titre: "Un pilote se tue en poursuivant une soucoupe volante." Un autre récit eut beaucoup de succès avec ce titre "Un avion explose au dessus du Kentucky alors que l'Etat et les Etats voisins rapportent des objets volants étranges." La spéculation commune que Mantell chassait un OVNI a été démentie par l'Armée de l'Air, qui a offert comme conclusion que Mantell et ses accompagnateurs chassaient la planète Venus. Ils ont également annoncé que sa mort a été directement liée au manque d'oxygène. Cette conclusion presque comique a été mise au rencart par un témoin oculaire, Glen May, qui a se trouvait près de Franklin. May a énoncé catégoriquement que l'avion de Mantell a explosé en plein air. "L'avion a fait trois cercles, comme si le pilote ne savait pas ou aller, et s'est alors engagé dans une descente en piqué à partir d'environ 20.000 pieds. A peu près à mi-chemin il y avait eu une explosion terrible." De l'autre côté, il y a le témoignage du commandant de la base de Godman, Guy F. Hix, qui a déclaré aux journalistes qu'il a observé l'engin pendant presque une heure avec ses jumelles. Il n'aurait pas confondu ce qu'il a vu avec la planète Venus.

Richard T. Miller, qui était dans la salle d'opérations de la base aérienne de Scott dans Belleville, l'Illinois a également fait plusieurs rapports détaillés concernant l'accident. Il surveillait la communication par radio entre la tour de contrôle de Godman et Mantell, aurait dit avoir entendu cette phrase très clairement: "mon Dieu, je vois des personnes dans cette chose!" Miller a ajouté que le matin après que l'accident, à un briefing, les investigateurs aient déclaré que Mantell est mort en "poursuivant un objet volant non identifié dont le vol était commandé par une intelligence." En conclusion, Miller a fait ce récit: "ce soit là, des officiers du centre du renseignement technique (ATIC) de Wright-Patterson AFB sont arrivé et ont ordonné à tout le personnel de restituer tous les matériaux concernant l'accident. Ensuite, après exécution, ils ont dit qu'ils avaient déjà terminé leur enquête. Je n'étais plus un sceptique. Je l'avais été jusqu'à ce moment. Maintenant je me demande pourquoi le gouvernement s'était donné tant de mal pour tout dissimuler, pour écarter la presse et le public."

Dans les années plus récentes, des informations additionnelles ont été mise en avant. Le Capitaine James F. Duesler, qui était l'un des gradés de la base de Godman, était en retraite et habitait l'Angleterre. En 1997, il a déclaré que lui-même et plusieurs autres officiers ont vu réellement l'OVNI colossal planer au-dessus du terrain de jour. Duesler, qui était un pilote et un enquêteur sur les accidents d'avions a déclaré "l'OVNI était un objet gris clair étrange qui ressemblait à un cône de crème glacée renversé." Peu de temps après l'accident, Duesler a visité l'emplacement du crash, et a fait ces observations: "les ailes et la section de queue avaient été perdus lors de l'impact avec le sol et se trouvaient à courte distance de l'avion, il n'y avait aucun dommage aux arbres environnants et il était évident qu'il n'y a eu aucun mouvement vers l'avant ou de côté quand l'avion était descendu. Il semblait s'être simplement posé sur le ventre à la verticale dans une clairière. Le fuselage était très peu a endommagé, il était en une seule pièce, et il n'y avait aucun signes d'effusion de sang du tout dans l'habitacle. Il n'y avait aucune éraflure sur le corps du fuselage qui indiquerait quelque mouvement vers l'avant que ce soit et l'absence de marques dur les pales de l'hélice montre qu'elle ne tournait pas au moment de l'impact, une pale étant enfoncée dans le sol. Le type des dommages n'était pas conforme à celui d'un avion de ce type s'écrasant à grande vitesse dans le sol. En raison du lourd moteur dans le nez de l'avion, il descendrait le nez en avant et frapperait le sol par l'avant. Même si il était parvenu à planer, il se serait taillé un chemin à travers les arbres et aurait creusé une tranchée dans le sol. Aucun de ces signes n'était présent. Tout les indices montraient qu'il s'était écrasé à plat juste dans la clairière. Je dois admettre que j'avais trouvé ceci très étrange."

Pour éliminer davantage la théorie de "Venus", les données astronomiques indiquent que la planète était à seulement 33 degrés au-dessus de l'horizon à l'heure de l'incident, de ce fait cette pseudo explication ne tient pas du tout.

L'Armée de l'Air, embarrassée par la théorie de "Venus" tombant à plat, a alors recherché une autre explication prosaique pour l'objet observé ce jour. Après avoir découvert que la recherche navale envoyait dans les cieux d'énormes ballons "Skyhook", l'Armée de l'Air a trouvé sa solution. Cette théorie a ensuite également avortée après la découverte qu'aucun ballon n'avait été lancé, ou ne pouvait avoir été dans les cieux ce jour. La théorie de l'OVNI a reçu encore d'autres arguments après la mort de Mantell. Le 8 Janvier les résidants de Clinton, en Caroline du Nord, ont rendu compte d'un objet en forme de cône se déplaçant dans le ciel à une vitesse incroyable, et le 1 Février un grand OVNI métallique a été vu, illuminant légèrement le sol en orange à Circleville, dans l'Ohio. Quoi que ce soit qui se soit produit le jour ou Thomas Mantell s'est écrasé en avion, il est au moins tout à fait certain que ce n'ait pas été un ballon météo, ni Venus, ou aucune autre planète.

LA PRESSE:

Source: un journal, le 21 août 1952.

Le Dernier Message D’un Pilote Américain Chassant Un Objet Non Identifié:

Washington, 21 (AP) - L’aviation américaine a révélé les détails, hier, sur la conversation qu’a tenue un pilote de chasse avec la tour de contrôle d’un aéroport quelques minutes avant qu’il s’écrase en donnant la chasse à un objet non identifié.

Cet incident s’est produit le 7 janvier 1948, près de la base aérienne de Godman, Fort-Knox, Kentucky.

L’aviation révèle que le capitaine Thomas Mantell, 25 ans, "a perdu connaissance à cause d’un manque d’oxygène et que son avion s’écrasa en tentant d’intercepter à une haute altitude un objet volant non identifié".

Le rapport ajoute qu’aucune transcription officielle de la conversation n’a été enregistrée. Cependant, plus tard, les aviateurs présents dans la tour de contrôle au moment de l’incident ont été interrogés.

Leurs déclarations mises ensemble donnent cette version de l’envolée qui coûta la vie au capitaine. À environ 2 h 45 de l’après-midi, le capitaine Mantell déclara voir un objet non identifié "directement en avant et au-dessus de moi et filant à une vitesse deux fois moindre que la mienne". Il continua: "Cela semble en métal et terriblement gros... cela me fait penser à la réflexion du soleil sur le toit transparent d’un avion".

Quelques minutes plus tard, Mantell annonça que l’objet filait à une vitesse égale à la sienne... environ 360 milles à l’heure... et que "c’est brillant et montant au-dessus de moi" à 15,000 pieds.

Mantell annonça alors qu’il allait monter jusqu’à 20,000 pieds et que, s’il ne réussissait pas à approcher de l’objet, il abandonnerait la chasse. Ce fut son dernier message.

L’aviation n’a pas annoncé avoir identifié l’objet...

Source: Franklin Newspaper du 8 Janvier 1948.

Un avion explose en plein vol, s’écrase sur la terre de Joe Phillips et tue le pilote.

Un avion de combat P-51 de l’armée a explosé en plein ciel et s’est écrasé sur la ferme de Joe Phillips à environ 5 miles au sud de Franklin hier après-midi vers 3:30 pm, tuant le pilote identifié comme étant Thomas F. Mantell, 3533 River Park Drive, Louisville. L’avion portait le numéro Ky. NG 869.

Mme Joe Phillips dit qu’elle était assise près du feu quand elle a entendu l’avion, avec le moteur apparemment en difficulté, voler près de la maison. Presque aussitôt il y a eut une grande explosion. Surprise, elle a regardé par la fenêtre et a vu l’avion désintégré frapper le sol dans un boisée à environ 200 verges de la maison.

Des morceaux de l’avion ont été retrouvés à un quart de mile du point de chute. Plusieurs personnes à Franklin ont rapporté qu’ils avaient entendu l’explosion.

Une colonne de vapeur flottait encore dans le ciel une heure après l’accident.

Un autre témoin oculaire, Barbara Mayes, une étudiante de Franklin a dit qu’elle a vu l’avion exploser alors qu’il était haut dans le ciel. Elle attendait, à l’école Lake Springs, pour monter dans l’autobus qui la ramènerait chez elle quand elle a vu l’explosion.

Cet accident d’avion est le second en peu de mois. Le lieu de l’explosion se trouve à environ trois miles à vol d’oiseau du lieu de l’accident qui a prit la vie de Ed Snow et de Richard M. Thomason le 29 avril 1947.

Mme Joe Phillips dit qu’elle a appelé l’opératrice et a demandé qu’une ambulance et de l’aide soit envoyé au site de l’écrasement.

Les restes de l’aviateur mort ont été enlevés de la scène par les ambulanciers et transportés au Booker Funeral Home en attendant les instructions de la famille, qui devait être informé de la tragédie par les autorités de Fort Knox.

Vétéran de la Deuxième Guerre Mondiale, le Capitaine Mantell avait participé au débarquement de Normandie (6 juin 1944), et s’était mérité la Distinguished Flying Cross entre autres décorations. Il y a un an, il a reçu son congé de l’armée (1946). Sa femme et deux enfants lui survivent.

Il était parti de Louisville hier matin, pour un vol de formation, pour Atlanta et était sur le chemin du retour quand l’accident est arrivé. Les responsables à Fort Knox ont rapporté qu’il était parti d’Atlanta à 2 pm hier.

L’assistant du Chef de Police, Reed Shoulders, a dit que le policier Bill Horn avait monté la garde sur les débris, en attendant que les autorités concernées prennent la relève.

L’avion était opéré par la Garde Nationale du Kentucky.

Source: Dayton Journal-Herald.(extrait)

"... basé sur des rapports non publiés assemblés à la base aérienne de Wright-Patterson. Les recherches de l'Armée de l'Air ont montré que les soucoupes volantes "ne sont pas une plaisanterie." Elle ne sont pas non plus une raison pour alarmer la population."

"un rapport sur de nouveaux dossiers de la base de Wright-Patterson Air Force Base liste 240 incidents domestiques et à 30 comptes rendus étrangers de disques volant ayant été étudiés. De ceux-ci, 30 pour cent semblent avoir été des ballons météo et assimilés, et 30 autres pour cent peuvent être explicables de manière conventionnelle, ce qui laisse 40 pour cent de cas non expliqué."

"L'Armée de l'Air a récemment déclaré qu'il n'y a aucune indication que ces disques soient des missiles guidés lancés depuis un autre pays, mais que d'autre part il n'était pas impossible qu'ils le soient. Plus tard l'Armée de l'Air a annoncée qu'elle ne faisait pas d'autres commentaires sur les disques: "Nous ne pouvons pas prouver ou nier l'existence de certains des objets non identifiés restants comme étant des avions de conception peu usuelle. La possibilité que les soucoupes (le reste est illisible)..."

Chronologie de la journée

7 Janvier 1948

13:15 CST (Fort Knox, Kentucky) Plusieurs centaines de personnes ont observé un avion ou un objet inhabituel au-dessus du Kentucky, circulaires et de 250 à 300 pieds de diamètre. La police d'état l'a rapporté à la police militaire de Fort Knox. Les MPs, à leur tour, ont rapporté l'objet à la base aérienne voisine de Godman. L'objet a été alors aperçu au-dessus d'Irvington et puis Owensboro, Kentucky, alors qu'il se déplaçait lentement vers le sud.

13:45CST (Tour de contrôle de Godman AFB) Le Sergent Technicien Quinton A. Blackwell, opérateur en chef à la tour de contrôle de Godman AFB, voit l'objet et le signale au PFC Stanley Oliver. Oliver dit: "... pour moi il a l'aspect d'un cône de crème glacée complété avec du rouge."

14:07CST (Tour de contrôle de Godman AFB) Le personnel de la tour appelle l'officier en opération, le Capitaine Gary W. Carter, qui a écrit plus tard: "le Lieutenant Orner a précisé que l'objet est au Sud-Ouest, facilement discernable à l'oeil nu. L'objet semblait rond et blanc et a pu être vu en travers de nuages de type cirrus." Carter a observé l'objet pendant quelques minutes à travers des lunettes de campagne.

14:20 CST (Tour de contrôle de Godman AFB) Le Capitaine Carter a appelé le Colonel Guy F. Hix, officier en commandement, qui s'est rendu à la tour de contrôle.

14:40CST (Tour de contrôle de Godman AFB) Quatre avions F-51D appartenant au 165ème escadron de chasse de la Garde Nationale de l'Air du Kentucky et en route de Marietta AFB à Marietta en la Géorgie vers Standiford AFB, dans le Kentucky, approchent au Sud. Le chef de ce vol d'entraînement à la navigation à faible altitude était le Capitaine Thomas F. Mantell, un pilote avec 2867 heures de vol. La tour de Godman a demandé au Capitaine Mantell s'il pouvait aller étudier l'objet. Mantell a indiqué qu'il le pouvait, et a commencé à prendre de l'altitude en montant en spirales à 15.000 pieds. Il a été rejoint par le Lieutenant Clements et le Lieutenant Hammond. Le quatrième pilote, le Lieutenant Hendricks, a continué son vol vers Standiford AFB.

14:45 CST Le P-51 de Mantell A environ 14.000 pieds, Mantell a transmis par radio qu'il avait l'objet en vue. A 15.000 pieds, Mantell rapporte: "l'objet est directement en avant de moi et au-dessus de moi maintenant, se déplaçant à environ la moitié de ma vitesse."

15:15CST Le P-51 de Mantell Mantell annonce par radio: "Cela semble être un objet métallique ou des réflexions possibles du soleil sur un objet métallique, et il est de taille énorme. Je m'élève toujours, l'objet est au-dessus et en avant de moi se déplaçant à ma vitesse ou plus rapidement. J'essaye de me rapprocher pour avoir une meilleur vue." Les trois avions ont atteint 22.000 pieds, Clements et Hammond ont interrompu la poursuite par manque d'oxygène. Les avions n'avaient pas été ravitaillés en oxygène à Marietta AFB. Mantell a dit qu'il continuerait jusqu'à 25.000 pieds pendant 10 minutes. Les transmissions suivantes étaient inaudibles et Mantell n'a pas répondu aux tentatives de le contacter. Le Colonel Hix a envoyé deux autres avions de chasses à sa suite mais ils ne l'ont pas localisé.

15:40 Les deux autres P-51 Les deux autres pilotes, Clements et Hammond, avaient continué vers Standiford AFB, s'étaient réapprovisionné en combustible et ont fait remplir leurs réservoirs d'oxygène, et sont repartis vers les lieux. Alors qu'ils s'approchaient de Godman AFB, le Lieutenant Clements a dit que l'objet "... apparaît comme la réflexion de la lumière du soleil sur une verrière d'avion."

15:50CST (Tour de contrôle de Godman AFB) La tour de Godman a perdu l'objet de vue et les rapports ont commencé à parvenir du Sud du Kentucky et du Nord du Tennessee.

16:00 CST (Madisonville, Elizabethtown, Lexington) L'objet a été vu à Madisonville, à Elizabethtown, et à Lexington, dans le Kentucky.

16:30CST (Nashville, Tennessee) Un astronome de l'université Vanderbilt observe un objet dans le sud-sud-est de ciel de Nashville.

17:00 CST (Franklin, Kentucky) Les débris de l'avion de Mantell ont été trouvés près d'une ferme près de Franklin. La ceinture de sécurité qui tenait son corps brisé était déchiqueté. Sa montre s'était arrêtée à 15:18. Les positions des instruments de bord ont indiqué qu'il avait probablement perdu connaissance à cause du manque de l'oxygène à environ 25.000 pieds, l'avion s'étant élevé jusqu'à 30.000 pieds, puis avaient volé horizontalement avant l'entrée dans un piqué à grande vitesse. La position de l'indicateur de puissance a indiqué que Mantell avait repris conscience quand l'avion a atteint une basse altitude et qu'il avait sans succès tenté de ralentir l'avion de sortir du piqué.

Des heures plus tard au coucher du soleil (Terrains d'aviation du Midwest) Un objet flamboyant a été vu juste au-dessus de l'horizon de Sud-Ouest par les tours de contrôle d'une douzaine de terrains d'aviation, une dans le Midwest.

O.V.N.I.S....Les Foo Fighters

Publié à 16:52 par acoeuretacris Tags : ovnis
O.V.N.I.S....Les Foo Fighters

 

Bien que les rapports d'observations sur ce que l'on a par la suite appelé les OVNIS puissent être tracés loin dans l'histoire, beaucoup de gens font débuter l'histoire des OVNIS au milieu des années 40 à la suite de l'apparition d'OVNIS au-dessus des théâtres Européens et Pacifiques de la deuxième guerre mondiale. Ces OVNIS reçurent toutes sortes de noms, qui indiquent le manque de compréhension de leur nature et de leur origine. Pour les alliés, ils étaient les "kraut fireballs" ou les "foo fighters", cette dernière appellation ayant fait long feu. On pense maintenant que les Allemands et les Japonais les observaient également en imaginant qu'il s'agissait d'une arme secrète des alliés.

Les rapports sur des "boules transparentes, métalliques et rougeoyantes inexplicables" ont commencé en grand nombre en juin, 1944, à peu près au moment du débarquement des alliés en Normandie, et au moment ou l'Allemagne Nazie se mettait é envoyer ses fusées V-1 vers Londres, inaugurant par ce fait l'ère des missiles sans pilotes. Les rapports se sont intensifiés en novembre 1944, peu de temps après que les premières fusées V-2 balistiques Allemandes aient été tirées vers Londres et Paris.

Les pilotes et leurs équipages ont rapporté que "des choses étranges" volaient en formation avec leurs avions, en "se jouant" d'eux, et en se comportant généralement comme s'ils étaient sous le contrôle d'une intelligence. A aucun moment, ils n'ont noté de comportement agressif. Néanmoins, la plupart des gens ont supposé qu'elles étaient un dispositif ennemi expérimental étant expérimenté pour un usage opérationnel. Des rumeurs d'armes fortement avancées étaient communes à cette période, alimenté par l'impressionnante réalité des armes V1 et V2. Ce qui suit est typique des nombreux rapports de "foo fighters" ayant été enregistrés. Il y a des rumeurs persistantes selon lesquelles la Huitième Armée de l'Air des États-Unis en Angleterre a commissionné une étude sur ces rapports, mais aucun trace documentaire n'a pu être trouvée jusqu'à présent.

LES OBSERVATIONS DE FOO FIGHTERS:

Océan Indien, août 1944:

Le 10 août 1944 au-dessus de l'Océan Indien, les co-pilotes d'un bombardier lourd B-29 Superfortress des forces aériennes de l'Armée Américaine Ont rédigé ce compte rendu:

"Un objet étrange nous suivait à environ 500 yards [475 m.] au large de l'aile droite. A cette distance il apparaissait comme un objet sphérique, probablement de cinq ou six pieds [1 à 2 m.] de diamètre, d'un rouge ou d'un orange très lumineux et intense... il semblait avoir un effet de halo.

"Mon mitrailleur a rapporté qu'il est arrivé depuis une position à 5 heures (arrière droite) à notre niveau. Il semblait palpiter ou vibrer constamment. Supposant que c'était quelque objet radio-commandé envoyé pour nous repérer, j'ai effectué des manoeuvres évasives, changeant constamment de direction, de jusqu'à 90 degrés et d'une altitude d'environ 2.000 pieds [600 m.]. Il a suivi chacune de nos manoeuvres pendant environ huit minutes, tenant toujours une position à environ 500 yards [475 m.] et à environ 2 heures (avant droit) par rapport à l'avion. Quand il est parti, il a fait un virage brusque de 90 degrés, accélérant rapidement, et a disparu dans la couverture nuageuse."

(Clark, Jerome, and Farish, Lucius, "The Mysterious 'Foo Fighters' of World War II," dans '1977 UFO Annual'.

Hagenau, Allemagne, décembre 1944:

Le 22 décembre 1944 au-dessus de Hagenau, en Allemagne, le pilote et l'opérateur de radar d'un chasseur de nuit Américain ont rencontré deux "grandes lueurs oranges" qui se sont élevées rapidement vers eux. Quand le pilote a plongé en piqué rapide et a viré brusquement, les objets sont restés avec eux. Le pilote a indiqué:

"Au moment ou ils ont rejoint notre altitude, ils se sont stabilisés et sont restés à notre suite... Après deux minutes, ils ont filé au loin en volant de manière parfaitement contrôlée."

(Clark, Jerome, et Farish, Lucius, "The Mysterious 'Foo Fighters' of World War II," dans '1977 UFO Annual'.

Atoll de Truk, le Pacifique, mai 1945:

Les archives de la 7e armée aérienne de bomardement de lUS Army Air Force au NARA ont ce rapport, source primaire pour cet incident [usa].

Le rapport indique:

QUARTIERS GENERAU XVII Commandement du Bombardement
APO #244
MISSION REPORT NO. 11-327
DATE: 2 MAY 1945 (GCT).

OBSERVATIONS:
L'équipage de l'avion #616 au-dessus de l'île de FALA, atoll de TRUK, à 021802Z a observé 2 objets aéroportés à leur altitude de 11.000 pieds changeant d'un rouge de cerise en orange, et en une lumière blanche qui s'éteignait et devenat alors de nouveau rouge cerise. Ces objets étaient dehors du côté de chaque de l'une et l'autre aile et pas dans la portée de tir des miltrailleuses de calibre 50. Toutes les deux ont suivi le B-24 à travers tous les types d'action évasive. Un B-24 a pris le caprt vers GUAM et un des poursuivant s'est laissé tomber au loin à 021900Z après avoir accompagné le B-24 pendant une heure. L'autre a continué à suivre, n'approchant jamais de plus près que 1000 mètres et accélérant quand le B-24 est passé à atrvers des nuages pour émerger de l'autre côté en avant du B-24. Dans la lumière du jour on l'a vu comme étant de couleur argentée brillante. Pendant que les B-24 descendaient vers GUAM, le poursuivant a pris un cours de 330 degrés à 15.000 pieds à 20.000 pieds d'altitude à 022130Z. Un B-24 a a rencontré huit flammes intenses de couleurs vert clair, dont une a éclaté et est rsté suspendu à 5.000 pieds à 021013Z. Il n'y avait aucune traînée ou signe préalable jusqu'à l'éclatement effectif. Un B-24 a rapporté 9 à 10 traînées de type traçantes rouge feu jusqu'à 5.000 pieds. Elles sont arrivées par paires et l'une des paires a l'une des paires s'est approchée jusqu'à 50 ou 100 mètres de la queue du B-24 à 021010Z. La source de chaque paire était à un endroit différent."

Jo Chamberlin, dans un article de 1945 sur les Foo Fighters publié dans le magasine American Legion, fournit ce qui est la première source secondaire

... Loin au sud, un B-24 Liberator était à 11.000 pieds au-dessus de lagune de Truk, quand deux lumières rouges sont montées rapidement d'en dessous, et ont suivi le B-24. Après une heure, une lumière est revenue. L'autre a continué à les suivre, parfois derrière, parfois bord à bord, parfois en avant à environ 1.000 mètres, jusqu'à un point du jour où il s'est élevé à 15.000 pieds et est resté au soleil, comme un chasseu Japonais en guêt, mais n'est jamais descendu. Pendant le vol, la lumière a changé de rouge en orange, puis blanc, et de nouveau à l'orange, et a semblé être de la taille d'un ballon de basket. On n'a observé aucune aile ou fuselage. Le B-24 a contacté par radio les stations de radar de l'île pour voir s' il y avait des avions ennemis dans le ciel. La réponse était: "aucun." De curieuses affaires, pour lesquelles beaucoup de solutions ont été avancées, avant que la guerre ne soit finie, et depuis. Aucune d'elles ne d'impose. Le point important est: Aucun B-29 n'a eu de dommage à cause des boules de feu, bien que personne ne savait ce que l'avenir réservait. Les Japonais essayaient désespérément de soutenir leur défense de toutes les manières possible contre les attaques aériennes, mais sans succès. Nos B-29 ont continué à faire pleuvoir la destruction sur les cibles militaires japonaises, et a finalement laissé tomber la bombe atomique. Naturellement, les autorités de l'armée américain au Japon ont essayé de trouver le secret - mais il peut être caché tout comme il semble l'être en Europe.

Speyer, Allemagne, novembre 1944:

Le cas:
La source primaire semble être l'article célèbre de 1945 par Jo Chamberlin sur les foo fighters, qui dit:

"Mais quelques nuits plus tard [fin novembre 1944], le Lieutenant Henry Giblin, de Santa Rosa, Californie, pilote, et le Lieutenant Walter Cleary, de Worcester, Massachusetts, observateur radar, volaient à 1.000 pieds d'altitude quand ils ont vu une lumière rouge énorme à 1.000 pieds au-dessus d'eux, se déplaçant à 200 miles par heure. Comme l'observation était faite une soirée de début d'hiver, ces hommes ont décidé qu'ils avaient peut-être mangé quelque chose qui n'était pas pas très bon et ne se sont pas précipités pour rapporter leur expérience."

Cette version de l'histoire a été republiée de nombreuse fois ensuite, comme par exemple dans les "Fortean Studies" N.7.

Pendant la deuxième guerre mondiale, Renato Vesco était un très jeune ingénieur en aéronautique, et après la guerre il a écrit des articles et des livres concernant les armes secrètes allemandes [ves]. Selon un texte qui paraît sur plusieurs sites Internet, il indique:

"Le 27 novembre 1944, un B-27 de l'US Air Force [sic], retournant d'une incursion sur Speyer, Allemagne de l'ouest, a rencontré une lumière colorée énorme et orange se déplaçant vers le haut à une vitesse estimée de 500 miles par heure. Quand les pilotes l'ont rapporté, le radar du secteur avait fait un rapport négatif, parce que rien ne s'était enregistré sur l'écran."

La même histoire a été apparemment rapportée dans le magasine d'ufologie français "Phenomena" [phe], le bulletin du groupe disparu "SOS-OVNIS" avec les détails additionnels que c'était à 08:26, que c'était un sphère orange énorme, à une altitude de 450 mètres et l'équipage est décrit en tant que "un équipage de chasse" plutôt qu'un équipage d'un bombardier.

Dans le catalogue de Dominique Weinstein [wei], le cas apparaît avec la même date et lieu, comme celui d'une sphère orange énorme vue à minuit par un chasseur P-70 du 415e escadron de chasse de nuit de l'USAAF.

W.A. Harbinson [har] fournit d'autres détails, indiquant que les témoins étaient les pilotes Henry Giblin et Walter Cleary, qui ont déclaré que dans la nuit du 27 novembre 1944, ils avait été harcelé à proximité de Speyer par "une énorme lumière brûlante" qui volait au-dessus de leur avion à environ 250 miles par heure.

Un site Internet anonyme indique que le 27 novembre 1944 à Speyer, Allemagne, "un grande boule de feu rouge a volé parallèlement à l'avion de chasse des Lieutenants Henry Giblin et Walter Cleary. Ils ont tenté des manoeuvres évasives, mais l'engin pouvait suivre leurs mouvements. Après un moment, l'engin a accéléré au loin au-dessus de l'altitude maximale de l'avion de chasse."

Un site Internet britannique indique que le 27 novembre 1944 tandis qu'à proximité de Speyer, à une altitude de 1.000 pieds, le Lieutenant H. Giblin et l'observateur W. Cleary étaient poursuivis par une énorme lumière brûlante qui a volé au-dessus de l'avion à une vitesse de plus de 200 miles par heure.

Commentaires:
L'avion ne pouvait pas avoir été Martin B-27 puisque cet avion était seulement un projet et a été abandonné en 1940, aucun prototype n'étant construit. Ceci jette le doute sur la version de Renato Vesco, qui se rapporte également inexactement à "l'Armée de l'Air des Etats-Unis" (USAF) qui a été formée réellement en 1947 tandis que les forces aériennes américaines étaient les Armées de l'Air de l'Armée des USA (USAAF) à ce moment. Tandis qu'il y a beaucoup de cas bien mieux documentées de foo fighters, celui-ci pourrait être inventé, ou plus probablement, un mélange d'autres cas. Renato Vesco est devenu sans qu'il n'y puisse grand chose un héros des cultistes des "soucoupes volantes nazi", et est prétendu être un "expert" qui a travaillé sur de tels projets, mais en réalité il était trop jeune alors pour tenir une telle position, il n'a pas travaillé pour les Allemands, et il fait ici une erreur flagrante ici en disant que l'avion était Martin B-27.

Au contraire, la version de Jo Chamberlin est très probablement totalement correcte. Chamberlin énumère d'autres observations de foo fighters par le 415e escadron de chasse de nuit, et j'ai découvert qu'ils sont généralement confirmés par les rapports officiels.

D'autres sources mentionnent comme avion de chasse de nuit le P-70, un bombardier et un entraîneur converti de façon assez inefficace, qui avait une batterie de canons tirant vers l'avant, et une mitrailleuse manuelle unique en position dorsale qui a plus tard a été remplacée par une tourelle Martin de deux mitrailleuses. Mais le P-70 était très inefficace, et avait été remplacé par des Bristol Beaufighters britanniques au 415th NFS au début de 1944. L'avion pourrait donc avoir été un Beaufighter. Les Beaufighters se sont montrés seulement modérément efficace dans ce rôle, et d'ici l'été de 1944, ils étaient partiellement remplacés le bien plus efficace Northrop P-61 Black Widow.

Donc, les événements réels ont très probablement été:

Vers la fin novembre 1944, le Lieutenant Henry Giblin, de Santa Rosa, Californie, pilote, et le Lieutenant Walter Cleary, de Worcester, Massachusetts, observateur radar, pilotaient un P-70 en mission d'entraînement ou un Beaufighter ou un P-61 en mission de combat à 1.000 pieds d'altitude près de Speyer en Allemagne quand ils ont vu une lumière rouge énorme à 1.000 pieds au-dessus d'eux, se déplaçant à 200 miles par heure. Les hommes ont pensé qu'ils ont eu des visions ou n'ont pas osé passer pour des farfelus et ont rapporté l'observation seulement après que d'autres pilotes de cette même unité aient rapporté plusieurs autres observations de foo fighters, et c'est pourquoi leur récit n'apparaît pas sur les journaux de combat du 415e NFS.

Ce que la lumière rouge énorme au-dessus d'eux pourrait avoir été est impossible à dire car dans l'état des choses maintenant il y a un manque de données. La chose n'a de toute évidence pas volé plus rapidement qu'un avion ne le peut, aucune manoeuvre exotique n'est rapporté, aucune poursuite, aucun combat, aucune forme exotique.

FOO FIGHTERS DANS LA PRESSE:
Current Science and Aviation USA, 22 janvier 1945 "Foo-Fighters".
Newsweek USA, 15 janvier 1945 "Foo-Fighters", différents types.
The Era USA, 2 janvier 1945 "Un "Foo-Fighter" se joint à un étrange combat dans les cieux".
The New York Times USA, 14 décembre 1944 "Floating mystery ball is new german weapon" les Foo Fighters "expliqués" comme étant une nouvelle arme allemande.


UNE CONCLUSION:

Pour accepter les explications ci-dessus, il faut nier les talents d'observation de centaines de pilotes de combat expérimentés et de leurs équipages dont la survie dépend de leur capacité d'identifier un objet dans les airs et d'y réagir. Dans certain cas il faut évidemment aussi admettre que les radars détectent des objets qui n'existeraient pas vraiment.