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Sylvie Vartan : L'amour C'est comme une cigarette

Publié à 09:09 par dessinsagogo55 Tags : google musique centerblog sur merci moi amour monde film
Sylvie Vartan : L'amour C'est comme une cigarette

 

 

 

Paroles

 

Quand tu es dans la lune, les idées en panne
Je me voudrais brune comme une gitane
Me glisser entre tes doigts et puis me brûler
Me consumer pour toi, n'être que fumée

 

Quand tu es dans ce monde où tes rêves t'entraînent
Je me voudrais blonde comme une américaine
Être douce et sage ou sucrée
T'emmener sur mon nuage de fumée

 

L'amour c'est comme une cigarette
Ca brûle et ça monte à la tête
Quand on ne peut plus s'en passer, tout ça s'envole en fumée
L'amour c'est comme une cigarette
Ca flambe comme une allumette
Ca pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée

 

Je peux être française, en robe bleue (bleue)
Anglaise, si tu le veux
Ou être à la menthe, en bague dorée
Ne crois pas que je mente, tout n'est que fumée

 

L'amour c'est comme une cigarette
Ca flambe comme une allumette
Ca pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée

 

On fait tout un tabac quand l'amour s'en vient ou s'en va
On est des cigarettes qu'il roule quand il a envie (quand il a envie)
Et je deviens fumée pour t'intoxiquer de moi
Blonde ou brune, brune ou blonde, je le serai pour toi

 

L'amour c'est comme une cigarette
Ca brûle et ça monte à la tête
Quand on ne peut plus s'en passer, tout ça s'envole en fumée
L'amour c'est comme une cigarette
Ca flambe comme une allumette
Ca pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée

 

L'amour c'est comme une cigarette
Ca flambe comme une allumette
Ca pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée

 

Source : LyricFind

Paroliers : Andre Popp / Gilles Thibaut

Paroles de L'amour c'est comme une cigarette © Universal Music Publishing Group

 

 

Liens externes
   
 

https://youtu.be/MvzeJnlXTCA

 

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Kendji Girac : Andalouse

Kendji Girac : Andalouse

 

Andalouse est une chanson du chanteur français Kendji Girac parue sur son son premier album Kendji. Elle est écrite par Rachid Mir, Christian Dessart et Nazim Khaled, étant produit par The Bionix. Elle est sortie le 18 août 2014 comme deuxième single de l'album.

Le 29 novembre, le titre atteint la quatrième place dans les hits parades en France, où il figure depuis 17 semaines et a atteint la cinquième place en Belgique

 

  Thème des paroles

 

L'amour, la jalousie, le destin (Ils se croisent une nouvelle fois après la soirée en boîte).

 

Clip vidéo

 

Le clip de Andalouse est publié sur YouTube le 25 septembre 2014 et dépasse le cap des 100 millions de vues sur la plateforme Vevo et YouTube.

Kendji est en boîte de nuit avec des amis, dans cette partie on entend son single précédent Color Gitano suivi de Andalouse. Lorsque son regard finit par croiser celui d'une jeune femme, ils ont dès lors du mal à se quitter des yeux. À cause d'une amie qui essaye d'avoir l'attention de Kendji, la demoiselle dont il est amoureux est jalouse. Elle préfère s'en aller laissant par la même occasion ses amies. Le lendemain, Kendji la retrouve en tant que danseuse lorsqu'il est sur le plateau pour son nouveau clip en présence d'autres danseurs. Ils s'échangent des regards intenses. La danseuse au départ se montre distante car elle s'interroge sur lui puis elle se rapproche de lui petit à petit. Ils abordent finalement de nouveau un sourire complice.

On retrouve plusieurs chorégraphies, notamment une dans laquelle les danseuses allongées au sol forment une étoile avec Kendji au centre, ainsi que des effets visuels, par exemple lorsque les danseurs se mettent derrière lui en bougeant leur bras (ce qui fait que Kendji rappelle Shiva).

 

Autres langues

 

La chanson est reprise en 2015 en version roumaine par la chanteuse roumaine Denisa sous le nom de "Zece motive aș vrea" signifiant en français "Je voudrais dix raisons".

Un an plus tard, en 2016, la chanson est reprise par la chanteuse serbe Sanja Đorđević sous le nom de "Zvone Zidovi" signifiant "Le bruit des murs".

 

 

 

Paroles

 

Tu viens le soir, danser sur des airs de guitares
Et puis tu bouges, tes cheveux noirs, tes lèvres rouges
Tu te balances, le reste n'a pas d'importance
Comme un soleil tu me brûles et me réveilles
Tu as dans les yeux, le sud et le feu
Je t'ai dans la peau

 

Baila, baila, oh!

 

Toi, toi ma belle Andalouse, aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête, je perds le nord, je perds la tête
Toi ma belle Espagnole, quand tu bouges tes épaules
Je ne vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour

 

Des airs d'orient, le sourire et le cœur brûlant
Regard ébène, j'aime te voir bouger comme une reine
Ton corps ondule, déjà mes pensées se bousculent
Comme la lumière, il n'y a que toi qui m'éclaires
Tu as dans la voix le chaud et le froid
Je t'ai dans la peau

 

Baila, baila, oh!

 

Toi, toi ma belle Andalouse, aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête, je perds le nord, je perds la tête
Toi, ma belle Espagnole, quand tu bouges tes épaules
Je ne vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour

 

Oh, yé, yé, yé, oh, oh
Oh, yé, yé, yé, oh
Oh, yé, yé, yé, oh, oh (Ma belle Andalouse)
Oh, yé, yé, yé, oh (Un, dos, tres, baila)

 

Toi, toi ma belle Andalouse, aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête, je perds le nord, je perds la tête
Toi, ma belle Espagnole, quand tu bouges tes épaules
Je ne vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour

 

Toi, toi ma belle Andalouse, aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête, je perds le nord, je perds la tête
Toi, ma belle Espagnole, quand tu bouges tes épaules
Je ne vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour

 

Source : LyricFind

Paroliers : Christian Dessart / Nazim Khaled / Rachid Mir

Paroles de Andalouse © Universal Music Publishing Group

 

Liens externes
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Andalouse_(chanson)
  https://youtu.be/FndmvPkI1Ms

 

 

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R. Kelly : If I Could Turn Back The Hands Of Time

Publié à 04:50 par dessinsagogo55 Tags : 2010 video google center pouvoir centerblog sur merci homme musique you platine film blogs
R. Kelly : If I Could Turn Back The Hands Of Time

 

" If I could Turn Back the Hands of Time " est une chanson du chanteur américain R. Kelly , sorti en tant que cinquième single de son album de 1998, R. .  La chanson est une ballade radicale sur un homme souhaitant pouvoir remonter le temps et réparer sa relation avec sa petite amie. La chanson a figuré dans le top 10 des charts pop de plusieurs pays, tandis qu'aux États-Unis, elle a terminé juste en dehors du top 10, culminant au numéro 12.

 

Clip

 

Le clip a été réalisé par F. Gary Gray .

 

Succès et héritage

 

La chanson s'est vendue à 660 000 exemplaires au Royaume-Uni et est l'un de ses plus grands succès dans de nombreux pays. En Belgique, la chanson est l'un des enregistrements les plus vendus et les plus importants, vendant triple platine. La chanson a été certifiée Or aux États-Unis.  La chanson a été reprise par plusieurs artistes, dont Ed Sheeran, et a également été chantée lors de spectacles de talent.  Le rappeur Mims a échantillonné la chanson pour son premier album Music Is My Savior sur la piste "I Did You Wrong". 

 

 

Échantillons ultérieurs

 

" I Did You Wrong " de Mims de l'album Music Is My Savior 

 

Couvertures ultérieures

 

"Hands of Time" de Sanchez de l'album Simply Being Me 

"Si je pouvais retourner les mains du temps" de Deja Vu feat. Tasmin de l'album Handbag Heaven. Contre toute attente 

"Si je pouvais remonter le temps" de Kesse

"Si je pouvais remonter le temps" de Martin Yates 

 

Spectacle en direct 

 

Kelly n'interprète pas très souvent cette chanson, il a interprété cette chanson pour la première fois à la télévision en direct lorsqu'il était en Angleterre dans l'émission Top of the Pops . Il semble interpréter cette chanson davantage lorsqu'il fait un spectacle en Europe qu'aux États-Unis, la raison en est que cette chanson a eu beaucoup de succès là-bas.

 

 

Paroles

How did i ever let you slip away
Never knowing i'd be singing this song some day
And now i'm sinking
Sinking to rise no more
Ever since you
Closed the door

 

If i could turn
Turn back the hands of time
Then my darlin' you'd still be mine
If i could turn
Turn back the hands of time
Then darlin' you, you'd still be mine
Funny

 

Funny how time goes by

 

And blessings are missed
In the wink of an eye
Why oh why oh why
Should one have to go on suffering
When every day i pray
Please come back to me
If... i could turn

 

Turn back the hands of time
Then my darling you

 

You would be mine
If i could turn
Turn back the hands of time
Then my darling you'd still be mine

 

And you had enough love
For the both of us
But i, i, i did you wrong

 

I admit i did
But now
I'm facing the rest of my life alone
Whoa
If i could turn

 

Turn back the hands of time
Then my darling you
You would be mine
Ohoohoh

 

I'd never hurt you (If i could turn back)
Never do you wrong (If I could turn back)
And never leave your side (If i could turn back)
Turn back (the hands) the hands

 

Waooooohhh
If i could just turn back that little clock on the wall
(If i could turn back)
Then i'd come to realize
How much
I love you (If i could turn back...)
Love you (If i could turn back...)
Love you (If i could turn back...)
Love you

 

Source : Musixmatch

Paroliers : R. Kelly

 
 image
Catalogue 0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Rubtique 0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V  W X  Y Z
 

 

Liens externes
  https://en.wikipedia.org/wiki/If_I_Could_Turn_Back_the_Hands_of_Time
   

 

Nicolas Appert

Nicolas Appert

 

Nicolas Appert (appelé par erreur François, Nicolas-François, Charles ou Charles-Nicolas), né le 17 novembre 1749 à Châlons-sur-Marne et mort le 1er juin 1841 à Massy, est un inventeur français.

 

Il est le premier à mettre au point une méthode de conservation des aliments en les soumettant à la chaleur dans des contenants hermétiques et stériles (bouteilles en verre puis boîtes métalliques en fer-blanc). Il crée en France la première usine de conserves au monde.

 

 

Biographie

 

Neuvième enfant d’un couple d’aubergistes de Châlons-sur-Marne (aujourd'hui Châlons-en-Champagne), Nicolas Appert se familiarise dès sa jeunesse avec les métiers de cuisinier et de confiseur, et avec les modes de conservation des denrées alimentaires.

 

En 1772, il entre au service de bouche du duc palatin Christian IV de Deux-Ponts-Birkenfeld au château de Deux-Ponts en Allemagne, puis, à la mort de ce dernier en 1775, il reste comme officier de bouche au service de la comtesse de Forbach Marianne Camasse, veuve de Christian IV, dans son château de Forbach (département de la Moselle) jusqu'en 1784, date à laquelle il quitte Forbach et s’installe à Paris. Il y ouvre, au 47 rue des Lombards, une boutique de confiseur à l'enseigne de la Renommée.

 

Il épouse en 1785 Élisabeth Benoist ; ils auront cinq enfants, un garçon et quatre filles

Dans cette boutique de détaillant, après quelques années, Appert devient grossiste, emploie six employés, et a des correspondants à Rouen et à Marseille. Après s’être engagé dans l’action révolutionnaire dès 1789, et jusqu’en 1794, il devient président de la Section des Lombards et passe alors trois mois en prison. Il ne sera jamais jugé, sans doute grâce à l'intervention de deux amis, Louis-Joseph Charlier et Pierre-Louis Prieur de la Marne, qui avaient soudoyé un greffier. Libéré après Thermidor, il oriente ses travaux sur les solutions à apporter aux faiblesses des moyens de conservation de l’époque. En effet, en cette fin du xviiie siècle, les procédés de conservation des aliments (par le froid, par fumage, par des agents conservateurs tels que le sel, l'alcool, le vinaigre, la graisse, le sucre…) ont une efficacité partielle (quantité limitée d'agents de conservation qui ne stoppent pas complètement la prolifération bactérienne et ne gardent pas les substances dans leur intégralité) et sont onéreux : l'Ancien régime l'a compris en instituant un instrument politique et fiscal très lucratif, la gabelle du sel.

 

Prenant en compte plusieurs critères (modification du goût, coût important et piètres qualités nutritives des produits salés, séchés, fumés et confits), il met au point le procédé qui rend possible la mise en conserve (appelée appertisation) des aliments en 1795, soit soixante ans avant Louis Pasteur et la pasteurisation.

 

Installé à Ivry-sur-Seine, Nicolas Appert améliore sa découverte. La Verrerie de la Gare, créée en 1792 par Jean André Saget, lui fournit des bouteilles à large col pour ses essais de conserves dans des navires (tests sur leur bonne tenue en mer et leur efficacité sur les équipages souvent décimés par le scorbut). En 1802, il crée à Massy la première fabrique de conserves au monde, où il emploie une dizaine, puis une cinquantaine d’ouvrières. En 1806 il présente pour la première fois ses conserves lors de l'exposition des produits de l'industrie française mais le jury ne cite pas la découverte. Les tests sur les navires de la marine française sont concluants : les rapports des préfets maritimes sont favorables et la presse publie divers articles élogieux, si bien qu'il décide d'en informer le gouvernement et de solliciter un prix. Le 15 mai 1809, il adresse au ministre de l'Intérieur, Montalivet, un courrier l'informant de sa découverte. Dans sa réponse du 11 août, le ministre lui laisse le choix : soit prendre un brevet, soit offrir sa découverte à tous et recevoir un prix du gouvernement, à charge pour Appert de publier à ses frais le fruit de ses découvertes. Nicolas Appert opte pour la seconde solution, préférant faire profiter l'humanité de sa découverte plutôt que de s'enrichir. Une commission est alors nommé. Le 30 janvier 1810, le ministre notifie à Nicolas Appert l'avis favorable de la commission et lui accorde un prix de 12 000 francs. En juin, Nicolas Appert publie à 6 000 exemplaires L'Art de conserver pendant plusieurs années toutes les substances animales et végétales. Il doit en remettre 200 exemplaires au Gouvernement impérial ; dès juillet, toutes les préfectures en reçoivent, et diffusent l'information. Trois éditions suivront en 1811, 1813 et 1831.

 

Dès ce moment, sa méthode de conservation très appréciée chez les soldats et les marins, se voit copiée par les conserveurs anglais. Il voyage en 1814 en Angleterre où il constate qu'ils utilisent la technique Appert, reprise dans un brevet déposé par Peter Durand et Bryan Donkin, en conservant les aliments dans des boîtes en fer-blanc plus légères, qui ne cassent pas et supportent mieux la chaleur du bain-marie (leur seul inconvénient étant une ouverture difficile). Les Britanniques ne lui versent aucune compensation financière, et se contentent de l’honorer du titre symbolique de « bienfaiteur de l’humanité .

 

Le déclin de la marine impériale de Napoléon, après la défaite de Trafalgar et le blocus continental, réduisent drastiquement la demande de conserves pour les voyages au long cours et pour les guerres. La concurrence des Britanniques, favorisés par un accès à un fer-blanc de meilleure qualité et moins coûteux, finit par ruiner Appert. En 1814, lors de la première invasion par la Sixième Coalition, sa fabrique de conserves de Massy est saccagée et un an plus tard, elle est transformée en hôpital par les Anglais. Ayant besoin de recréer une usine, en 1817 il obtient du Ministère de l'intérieur gratuitement un local dans l'hospice des Quinze-Vingts où il reprend ses recherches et ses fabrications de conserves en fer-blanc mais l'absence de gisement d'étain en France rend cet acier très cher. Grâce à l'aide de Claude Berthollet, il poursuit d'autres recherches sur la dépuration de la gélatine pour la clarification des vins, sur les tablettes de jus de viande et de bouillons de légumes.

 

Devant faire face à ses dépenses, il cède son affaire en 1840 à son neveu Auguste Prieur, qui poursuivra l'exploitation sous l'enseigne « Prieur-Appert ». Ce dernier révisera, sous le nom de Prieur-Appert, et conjointement avec Gannal, la cinquième édition en 1842 de L'Art de conserver. Prieur-Appert cède à son tour, en 1845, l'affaire à Maurice Chevallier et un procès opposera les deux hommes sur le droit d'utiliser le nom d'Appert.

 

Âgé de quatre-vingt-onze ans, veuf, sans argent pour s’offrir une sépulture, Appert meurt le 1er juin 1841 à Massy, où son corps est déposé dans la fosse commune.

 

Contribution : l’appertisation

 

L’appertisation peut être définie comme un procédé de conservation qui consiste à stériliser par la chaleur des denrées périssables dans des contenants hermétiques (boîtes métalliques, bocaux en verre…)

 

 

 
Bouteille à conserve Appert
 
 
 
Première page du livre de Nicolas Appert : L'art de conserver, pendant plusieurs années, toutes les substances animales et végétales (1810).
 

L’appertisation (ou stérilisation) consiste à faire subir à un aliment un traitement thermique suffisamment intense pour assurer sa stabilité à long terme, à la température ambiante du lieu de son stockage. Ce traitement thermique détruit ou inactive tous les micro-organismes et enzymes susceptibles d’altérer le produit, ou de le rendre impropre à la consommation. Il s’effectue à une température égale ou supérieure à 100 °C, pendant une durée variable selon la nature et la quantité de produit à traiter. En réalité, lors de la stérilisation d’aliments dans les conditions de température et de durée appliquées, la destruction des germes ne peut être totale si on veut conserver le plus possible les qualités organoleptiques de ces aliments. Des micro-organismes vivants ou revivifiables peuvent subsister. Pour cette raison, le traitement thermique de « stérilisation » vise, en pratique, à obtenir un produit qui doit rester stable au cours d’une longue conservation (de 5 à 6 mois, voire plus), c’est-à-dire exempt de germes susceptibles de s’y développer et d’y provoquer des altérations. Parmi ces germes, seuls les non-pathogènes subsistent éventuellement, les plus thermorésistants d’entre eux étant détruits par des combinaisons temps/température très inférieures.

 

La technique de l’appertisation implique l’utilisation de récipients étanches qui empêchent la recontamination du produit alimentaire après le traitement thermique, et assurent la formation d’un vide partiel qui réduit la présence d’oxygène à l’intérieur du contenant, appelé dans le langage courant « conserve ».

 

Le procédé de Nicolas Appert consistait à remplir à ras bord des bouteilles de verre, à les fermer hermétiquement avec des bouchons de liège étanches puis à les faire chauffer au bain-marie. Ces bouteilles étaient identiques à celles qui étaient destinées au champagne mais avaient le goulot élargi. Parce que leur verre était plus épais, elles résistaient beaucoup mieux à la pression intérieure induite par l’augmentation de chaleur provoquée par le bain-marie.

 

Les bouteilles utilisées par Appert étaient produites à la Verrerie de la Gare à Ivry-sur-Seine, fondée en 1792 par Jean André Saget de Maker, qui l'aida dans ses travaux. Après la destruction de son usine de Massy par les troupes prussiennes en 1815 et un voyage en Angleterre, il installe un nouvel atelier à Paris où il substitue aux récipients en verre utilisés d'abord, des boîtes métalliques percées d'un trou sur le couvercle dans lesquelles les aliments sont enfermés. Les boites étaient portées au bain-marie à 100 °C puis les trous fermés par un point de soudure.

 

Avant l’arrivée de Pasteur, la société scientifique n’avait d’ailleurs pu déterminer ce qui (du chauffage ou du maintien en vase hermétiquement clos) était responsable de la conservation. Cette méthode de conservation, en plus du fait qu’elle respectait le goût des aliments, protégeait en bonne partie leur apport nutritionnel, dont celui de la vitamine C, évitant ainsi le scorbut, qui faisait de nombreuses victimes parmi les marins au long cours.

 

C’est à Appert que l’on doit le bouillon en tablettes, les procédés de clarification des boissons fermentées, le lait concentré, et le premier « lait pasteurisé » (deux semaines de conservation en plein été). Il expliquera ces découvertes dans la nouvelle édition revue et augmentée de son ouvrage Le Livre de tous les ménages, publiée en 1831 soit 30 ans avant les expériences et travaux de Pasteur.

 
 


Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Appert  
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Emmanuel Macron giflé par un homme

Emmanuel Macron giflé par un homme
 
 
 
Emmanuel Macron giflé par un homme lors d'un déplacement dans la Drôme
 
 
8 juin 2021
 
 
 
Emmanuel Macron a reçu une gifle de la part d'un homme mardi, alors qu'il était en déplacement dans la Drôme, pour la deuxième étape de son "tour de France des territoires". Emmanuel Macron a été giflé par un homme lors d'un déplacement à Tain-l'Hermitage, dans la Drôme, mardi 8 juin, à la mi-journée, a confirmé l'entourage du chef de l'État, en attestant auprès de l'AFP de l'authenticité d'une vidéo circulant sur les réseaux sociaux. Deux personnes ont été interpellées, a annoncé la préfecture peu après les faits. Dans l'extrait diffusé sur Twitter, Emmanuel Macron est vu s'approchant d'un groupe de personnes massées derrière des barrières, puis échanger brièvement avec un homme. Saisissant l'avant-bras du président, l'individu semble lui porter ensuite un coup sur la joue, l'entourage d'Emmanuel Macron évoquant une "tentative de gifle". Le chef de l'État a poursuivi sa visite, a indiqué l'Élysée. Dans cette même vidéo, juste avant la gifle, est hurlé le cri de guerre royaliste "Montjoie Saint-Denis !", ainsi que "À bas la macronie"
 
 
 
 
 

 

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Dominique-Jean Larrey

Dominique-Jean Larrey

Dominique-Jean Larrey, baron Larrey et de l'Empire, est un médecin et chirurgien militaire français, père de la médecine d'urgence, né le 8 juillet 1766 à Beaudéan et mort à Lyon le 25 juillet 1842. Chirurgien en chef de la Grande Armée, Dominique Larrey suivit Napoléon Ier dans toutes ses campagnes. Il fut un précurseur en matière de secours aux blessés sur les champs de bataille, pratiquant les soins sur le terrain le plus tôt possible, grâce à des ambulances chirurgicales mobiles.

 

 

Origine

Fils de Jean Larrey, maître cordonnier, il est né dans le petit village de Beaudéan dans les hautes-pyrenees. Sa maison natale existe toujours dans la rue principale du village, et elle est devenue un musée. Orphelin à treize ans, Larrey est élevé par son oncle Alexis Larrey, chirurgien-major de l'hôpital de La Grave de Toulouse et fondateur du premier hôpital militaire de cette ville. Après six années d'apprentissage, il se rend à Paris pour y étudier la médecine auprès de Pierre Joseph Desault, chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu. Le 13 ventose de l'an II, il épouse Marie-Élisabeth Laville-Leroux, peintre.

 

Carrière militaire

 

Larrey commence sa carrière en 1787 comme chirurgien de la marine royale sur la frégate la Vigilante en mer d'Irlande. De retour à Paris dès l'année suivante, il s'y lie avec Corvisart et Bichat, et avec Sabatier, chirurgien en chef des Invalides, hôpital où il obtient sur concours un poste d'aide-major.

Première étape d'une carrière qui le conduira sur tous les champs de bataille d'Europe, de l'Espagne à la Russie, et jusque dans les déserts d'Égypte et de Syrie, il est en 1792 chirurgien aide-major à l'armée du Rhin. Chirurgien de première classe en 1792, dans l'armée du maréchal Luckner, il crée des ambulances volantes à Mayence , à la tête desquelles il court enlever les blessés sous le feu des batteries ennemies. Il est ensuite chirurgien principal à l'armée de Custine, puis chirurgien en chef de la 14e armée républicaine en 1794. Il organise l’École de chirurgie et d'anatomie de Toulon, et devient professeur à l'École militaire de santé du Val-de-Grâce en 1796. Il est chargé de l'inspection des camps et des hôpitaux de l'armée d'Italie (1796), puis nommé chirurgien en chef à l'armée d'Égypte

À la bataille d'Aboukir, il sauve le général Fugière, sous le canon de l'ennemi, d'une blessure à l'épaule. Au siège d'Alexandrie, Larrey trouva le moyen de faire de la chair de cheval une nourriture saine pour les blessés, et fit tuer pour cet usage ses propres chevaux. Il embaume Kléber, assassiné au Caire le 14 juin 1800.

En 1802, il est chirurgien en chef de la Garde des consuls. Il soutient sa thèse de médecine en mai 1803, conformément aux nouvelles dispositions de la réorganisation du monde médical : Dissertation sur les amputations des membres à la suite des coups de feu dédicacée au général de Villemanzy.

En 1804, Larrey reçoit une des premières croix d'officier de la Légion d'honneur de la main du premier consul, qui lui dit : C'est une récompense bien méritée. Inspecteur général du service de santé des armées, en 1805, et chirurgien en chef de la Garde impériale, il est créé baron d'Empire en 1809, sur le champ de la bataille de Wagram, et inspecteur général du service de santé militaire en 1810. Il fait toutes les campagnes du Premier Empire en qualité de chirurgien en chef de la Garde impériale puis de chirurgien en chef de la Grande Armée (12 février 1812). En 1813, il est nommé chirurgien en chef de l'Hôpital militaire du Gros-Caillou, sis 106 rue Saint-Dominique, à Paris. Il prend la défense des conscrits blessés à la main et accusés de se mutiler volontairement, ce qui lui valut une haine farouche de Soult. En août 1814, il est nommé inspecteur général du service de santé des armées et chirurgien en chef de l'hôpital de la Maison militaire du roi.

 

 
Cénotaphe de Larrey au cimetière du Père-Lachaise. En épitaphe, un extrait du testament de Napoléon : A Larrey, l'homme le plus vertueux que j'aie connu.
 

Blessé à la bataille de Waterloo, prisonnier des Prussiens, il est sur le point d'être fusillé à cause de sa ressemblance avec Napoléon, mais est relâché sur ordre de Blücher, dont il avait soigné le fils. La Restauration le tient à l'écart mais il est rappelé par la monarchie de Juillet.

Il fait partie de la première promotion des membres de l'Académie royale de médecine, par ordonnance de Louis XVIII en 1820. Sa statue en marbre blanc, majestueuse et monumentale, sculptée par Pierre-Alfred Robinet, siège toujours dans le hall d'entrée de l'Académie de médecine à Paris, rue Bonaparte. En 1829, il est élu membre de l'Institut, à l'Académie des sciences.

Il a appartenu à la Franc-Maçonnerie.

Dans ses dernières années, membre du Conseil de santé des armées, il sollicite en 1842 une inspection médicale en Algérie. Il tombe malade en Afrique et succombe à Lyon, huit jours plus tard, le 25 juillet 1842. Son corps, transporté à Paris, est inhumé le 6 août au cimetière du Père-Lachaise (37e division).

Plusieurs discours sont prononcés sur sa tombe. Gilbert Breschet, membre de l'Académie des sciences, énumère ses travaux scientifiques en chirurgie, en médecine, en hygiène publique.

Le 15 décembre 1992, ses restes sont transférés de sa tombe du cimetière du Père-Lachaise à l'avant dernière place disponible dans le Caveau des Gouverneurs aux Invalides, et une petite urne contenant un morceau d'intestin déposée dans une vitrine de la salle de la bibliothèque de l'Académie nationale de médecine.

 

Médecin du Premier Empire

 

 
Ambulance volante du modèle Larrey.
 
 
Larrey soignant Rebsomen sur le champ de bataille de Hanau.
 

Il reste la figure médicale la plus célèbre du Premier Empire. À la bataille de la Sierra Negra, il ampute en une journée pas moins de 200 blessés. Il était d'ailleurs considéré comme un bon chirurgien, à une époque où l'anesthésie n'existait pas, car il était capable d'amputer un membre en moins d'une minute. L'amputation était à l'époque la seule asepsie efficace, en l'absence d'antibiotiques, découverts bien plus tard.

Larrey serait à l'origine de la mise en place au sein des armées françaises du système des « ambulances volantes » dans lesquelles il embarquait indifféremment amis et ennemis, afin de les soigner sans faire de distinction ni de nationalité, ni de grade, ce qui lui valut l'estime des officiers et généraux des armées ennemies.

Larrey est aussi connu dans le domaine de l'asticothérapie qu'il a utilisée lors de la campagne égyptienne en Syrie. Cette technique datant de l'antiquité consiste à déposer sur des plaies infectées une certaine espèce d'asticot qui se nourrit des chairs infectées, les assainissant ainsi.

Le 1er octobre 1811, avec l'aide de quatre autres médecins, le baron Larrey réalise une mastectomie sur l'auteure anglaise Frances Burney (épouse du général Alexandre d'Arblay). Cette dernière, consciente pendant l'opération, raconte quelques mois après dans une lettre adressée à sa sœur les différents gestes des médecins lors de sa mastectomie.

Il acquiert en 1830 une propriété à Bièvres, qu'il transmit à son fils Hippolyte (1808-1895), médecin-chef de l'armée et chirurgien de Napoléon III. Il laissa des mémoires d'un très grand intérêt, rarissimes en édition originale et devenus rares en réédition.

Le Val-de-Grâce a fait élever à Larrey une statue dont l'inauguration a eu lieu en août 1850.

Le nom de Larrey est inscrit sur la 30e colonne du pilier sud de l'Arc de Triomphe de l'Étoile à Paris.

Il existe une rue Larrey à Paris, dans le 5e arrondissement, et à Tarbes (Hautes-Pyrénées, son département de naissance) où une statue a aussi été érigée en son honneur. À Toulouse, portent aussi le nom de Larrey deux hôpitaux : l'ancien hôpital militaire, aujourd'hui démoli, situé entre Capitole et Garonne, et le nouvel hôpital militaire Larrey, utilisé aujourd'hui par le CHU.

A Versailles, le Grand Commun abrita à partir de 1843 un hôpital militaire devenu ensuite hôpital militaire d'instruction des armées Dominique Larrey et qui ferma en 1995. Certains de ses descendants conservent dans une propriété familiale poitevine - non ouverte au public - du matériel chirurgical lui ayant appartenu.

 

 
Statue de Larrey dans la cour de l'église du Val-de-Grâce.
 

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique-Jean_Larrey  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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8 juin : Décès

Publié à 16:24 par dessinsagogo55 Tags : vie video centerblog sur roman merci france saint homme femme maison mort 2010
8 juin : Décès

 

Décès


  545 : Médard de Noyon, saint catholique (° vers 456).
  632 : Mahomet, fondateur de l'Islam (° vers 570).
1042 : Knut III de Danemark, roi d'Angleterre et de Danemark (° 1018 ou 1019).
1376 : Édouard de Woodstock (dit « le Prince Noir »), prince de Galles (° 15 juin 1330).
1409 : Guy de Roye, prélat français (° vers 1340).
1675 : John Jonston, médecin polonais (° 3 septembre 1603).
1716 : Jean-Guillaume de Neubourg-Wittelsbach, prince-électeur du Palatinat (° 19 avril 1658).
1768 : Johann Joachim Winckelmann, archéologue, antiquaire et historien de l’art allemand (° 9 décembre 1717).
1794 : Gottfried August Bürger, poète allemand (° 1er janvier 1748).

 


1795 (date officielle) : Louis XVII, duc de Normandie, dauphin de France, puis prince royal de 1791 à 1792 (° 27 mars 1785).


1801 : « Perrucho » (Francisco García, dit), matador espagnol (° 1745).
1831 : Sarah Siddons, actrice britannique (° 5 juillet 1755).
1845 : Andrew Jackson, septième président des États-Unis, ayant exercé de 1829 à 1837 (° 15 mars 1767).
1876 : George Sand, femme de lettres française (° 1er juillet 1804).
1885 : Ignace Bourget, évêque québécois (° 30 octobre 1799).
1896 : Jules Simon, philosophe et homme d'État français, président du Conseil des ministres français et ministre de l'Intérieur de décembre 1876 à mai 1877 (° 27 décembre 1814).
1899 : sœur Marie du Divin Cœur Droste zu Vischering, bienheureuse, noble allemande et religieuse du Bon-Pasteur (° 8 septembre 1863).
1905 : Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen, prince allemand (° 22 septembre 1835).
1911 : Coralie Adélaïde de La Hault, vicomtesse du Toict (° 6 décembre 1829).
1945 : Robert Desnos, poète français (° 4 juillet 1900).
1947 : Amélie Zurcher, femme d'affaires française (° 27 août 1858).
1951 : Eugène Fiset, militaire et homme politique québécois, 18e lieutenant-gouverneur du Québec, ayant exercé de 1939 à 1950 (° 15 mars 1874).
1959 : Jean de La Varende, écrivain français (° 24 mai 1887).
1963 : Gaston Ramon, vétérinaire et biologiste français (° 30 septembre 1886).
1966 : Joseph A. Walker, astronaute américain (° 20 février 1921).
1969 : Robert Taylor, acteur américain (° 5 août 1911).
1970 : Abraham Maslow, psychologue américain (° 1er avril 1908).
1981 : Lydia Lopokova, danseuse étoile russe, veuve de John Maynard Keynes (° 21 octobre 1892).
1982 :
Satchel Paige, joueur de baseball américain (° 7 juillet 1906).
Jean Wiener, compositeur français (° 19 mars 1896).
1986 : Lizette Gervais, animatrice québécoise de radio et de télévision (° 3 juin 1932).
1989 : Albert Spaggiari, malfaiteur français (°14 décembre 1932).
1993 : René Bousquet, haut fonctionnaire français, secrétaire général de la police du régime de Vichy (° 11 mai 1909).
1997 :
André Harris, journaliste, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma français (° 13 juillet 1933).
Amos Tutuola, écrivain nigérian (° 20 juin 1920).
1998 :
Sani Abacha, militaire nigérian, chef d'État de 1993 à sa mort (° 20 septembre 1943).
Jean-Émile Charon, physicien et philosophe français (° 25 février 1920).
Maria Reiche, archéologue allemande (° 15 mai 1903).
Larissa Youdina, journaliste soviétique puis russe (° 22 octobre 1945).
2001 : Lucien Lauk, cycliste sur route français (° 27 juin 1911).
2004 : Mack Jones, joueur de baseball américain (° 6 novembre 1938).
2006 :
Robert Donner, acteur américain (° 27 avril 1931).
Jack Jackson, auteur et éditeur de bandes dessinées américain (° 15 mai 1941).
Matta el Maskine, moine copte (° 20 septembre 1917).
Peter Smithers, homme politique britannique (° 9 décembre 1913).
2007 :
Aden Abdullah Osman Daar, homme d'État somalien (° 9 décembre 1908).
Pierre Jallatte, chef d'entreprise français (° 25 juin 1918).
Hideo Kanze, acteur et metteur en scène japonais (° 3 août 1927).
Tony Roman, chanteur, producteur et scénariste québécois (° 1er août 1942).
Richard Rorty, philosophe américain (° 4 octobre 1931).
2008 : Šaban Bajramović, musicien serbe (° 16 avril 1936).
2009 :
François Ascher, urbaniste et sociologue français (° 26 novembre 1946).
Omar Bongo Ondimba, président du Gabon de 1967 à sa mort (° 30 décembre 1935).
Sheila Finestone, femme politique canadienne (° 28 janvier 1927).
Nathan Marsters, hockeyeur sur glace canadien (° 28 janvier 1980).
2010 : Crispian St. Peters (en), chanteur et compositeur anglais (° 5 avril 1939).
2011 : Franck Fernandel (Franck Gérard Ignace Contandin, dit), acteur et chanteur français (° 10 décembre 1935).
2012 : Frank Cady, acteur américain (° 8 septembre 1915).
2013 : Paul Cellucci, homme politique et diplomate américain (° 24 avril 1948).
2015 :
Chea Sim, homme politique cambodgien, président du Conseil d'État, du Sénat et de l'Assemblée nationale (° 15 novembre 1932).
Carmen de Tommaso, couturière et mécène française, fondatrice de la maison Carven (° 31 août 1909).
2016 :
Pierre Aubert, homme politique suisse (° 3 mars 1927).
Stephen Keshi, footballeur puis entraîneur nigérian (° 31 janvier 1962).
Qahhor Mahkamov, homme politique tadjik, 1er président du Tadjikistan (° 16 avril 1932).
Marina Malfatti, actrice italienne (° 25 avril 1933).
Maurice Pons, écrivain, romancier et nouvelliste français (° 14 septembre 1927).
2017 :
Samir Azar, homme politique libanais (° 10 octobre 1939).
Miguel d'Escoto Brockmann, diplomate et prêtre nicaraguayen (° 5 février 1933).
Lydie Dupuy, femme politique française (° 25 novembre 1924).
Glenne Headly, actrice américaine (° 13 mars 1955).
Ndary Lô, sculpteur-plasticien sénégalais (° 1961).
Sam Panopoulos, cuisinier et homme d'affaires canadien (° 20 août 1934).
Ernesto Puentes, musicien de latin-jazz, de salsa, de variété française cubain (° 7 novembre 1928).
2018 :
Per Ahlmark, écrivain et homme politique suédois (° 15 janvier 1939).
Gérard Boulanger, avocat et homme politique français (° 14 octobre 1948).
Anthony Bourdain, chef cuisinier américain (° 25 juin 1956).
Maria Bueno, joueuse de tennis brésilienne (° 11 octobre 1939).
Jean-Daniel Causse, psychanalyste et professeur d’université français (° 18 juin 1962).
Freddy Eugen, cycliste sur piste et sur route danois (° 4 février 1941).
Eunice Gayson, actrice britannique (° 17 mars 1928).
Danny Kirwan, chanteur et guitariste britannique (° 13 mai 1950).
Gino Santercole, chanteur, compositeur, guitariste et acteur italien (° 21 novembre 1940).
Liu Yichang, écrivain chinois (° 7 décembre 1918).
2019 :
Abdel Basset Sarout, footballeur syrien (° 2 janvier 1992).
Guy Bois, historien français (° 25 décembre 1934).
Jorge Brovetto, homme politique uruguayen (° 14 février 1933).
Justin Edinburgh, footballeur puis entraîneur anglais (° 18 décembre 1969).
Renée Le Calm, dite Madame Renée, actrice française sur le tard, souvent dans des rôles proches de sa propre vie (° 18 septembre 1918).
Andre Matos, chanteur brésilien (° 14 septembre 1971).
2020 : Pierre Nkurunziza, homme politique et enseignant burundais, président de la République du Burundi de 2005 à sa mort (° 18 décembre 1965).

 

 

Liens externes
  https://fr.wikipedia.org/wiki/8_juin

 

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8 juin : Naissances

Publié à 16:10 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci homme femme
8 juin : Naissances

 

 

Naissances


1625 : Giovanni Domenico Cassini, astronome français († 14 septembre 1712).
1671 : Tomaso Albinoni, compositeur italien († 17 janvier 1751).
1724 : John Smeaton, ingénieur britannique († 28 octobre 1792).
1730 : Dominique Chaix, botaniste et prêtre français († 21 juillet 1799).
1753 : Nicolas Dalayrac, compositeur français († 27 novembre 1809).
1757 : Ercole Consalvi, prélat italien († 24 janvier 1824).
1772 : Robert Stevenson, ingénieur britannique († 12 juillet 1850).
1784 : Marie-Antoine Carême, pâtissier français († 12 janvier 1833).
1800 : Emmanuel Pons de Las Cases, homme politique français († 8 juillet 1854).
1802 : Philémont de Bagenrieux de Lanquesaint, homme politique belge († 25 août 1870).
1810 : Robert Schumann, compositeur allemand († 29 juillet 1856).
1817 : Théodore Ballu, architecte français († 22 mai 1885).
1829 : John Everett Millais, peintre britannique († 13 août 1896).
1851 : Arsène d'Arsonval, physicien et inventeur français († 31 décembre 1940).
1872 :
Jean François De Boever, peintre belge († 23 mai 1949).
Francesco Morano, prélat italien († 12 juillet 1968).
1878 : Yvonne Prévost, joueuse de tennis française († 3 mars 1942).
1893 : Gaby Morlay, actrice française († 4 juillet 1964).
1897 : Médard Bourgault, sculpteur québécois († 21 septembre 1967).
1899 : Eugène Lapierre, compositeur québécois († 21 octobre 1970).
1902 : Jean Marchat, acteur français († 2 octobre 1966).
1903 : Marguerite Yourcenar, femme de lettres française, membre de l'Académie française († 17 décembre 1987).
1912
Maurice Bellemare, homme politique québécois († 15 juin 1989).
Wilhelmina Barns-Graham, artiste britannique († 26 janvier 2004)
Roger Michelot, boxeur français, champion olympique en 1936 († 19 mars 1993)
1913 : Max Guedj, aviateur français, compagnon de la Libération († 15 janvier 1945).
1916 : Luigi Comencini, réalisateur italien († 6 avril 2007).
1917 : Jacques Labrecque, chanteur et folkloriste québécois († 18 mars 1995).
1918 :
Robert Preston, acteur américain († 21 mars 1987).
Lillian Ross (en), journaliste et autrice américaine († 20 septembre 2017).
1921 :
Alexis Smith, actrice canadienne († 9 juin 1993).
Haji Mohammad Suharto, général et homme politique indonésien, président de 1967 à 1998 († 27 janvier 2008).
1925 :
Barbara Pierce, épouse de George H. W. Bush, première dame des États-Unis († 17 avril 2018).
Philippe Castelli, acteur français († 16 avril 2006).
Claude Estier, journaliste et homme politique français († 10 mars 2016).
Jean Renaudie, architecte et urbaniste français († 13 octobre 1981).
1927 : Wiktor Woroszylski, écrivain polonais († 13 septembre 1996).
1928 : Emmanuel Poulle, historien français, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres († 1er août 2011).
1930 :
Marcel Léger, homme politique québécois († 5 février 1993).
Dominique Wilms, actrice belge.
1931 :
James Goldstone, réalisateur et producteur américain († 5 novembre 1999).
Dana Wynter, actrice américaine d’origine allemande († 5 mai 2011).
1932 : Maurice Barrier, acteur et chanteur français († 12 avril 2020).
1933 :
Jeannine Dion-Guérin, femme de lettres, poète, comédienne, conférencière, animatrice de radio française.
Joan Rivers, actrice et animatrice américaine († 4 septembre 2014).
1936 : James Darren, chanteur et acteur américain.
1937 : Bruce McCandless II, astronaute américain († 21 décembre 2017).
1939 :
Herb Adderley, joueur américain de football américain.
Rita Lafontaine, actrice québécoise († 4 avril 2016).
1940 : Nancy Sinatra, chanteuse et actrice américaine.
1941 : George Pell, prélat australien.
1942 : Chuck Negron (en), chanteur et compositeur américain, membre du groupe Three Dog Night.
1943 :
Colin Baker, acteur anglais.
William Calley, officier de l’armée américaine responsable du massacre de Mỹ Lai.
Pierre-André Fournier, évêque catholique québécois († 10 janvier 2015).
1944 :
Mark Belanger, joueur de baseball américain († 6 octobre 1998).
Marc Ouellet, prélat canadien.
Boz Scaggs, chanteur, guitariste et compositeur américain.
1946 :
Daniel Boisserie, homme politique français.
Piotr Fronczewski, chanteur et acteur polonais.
1947 : Julie Driscoll, chanteuse britannique.
1949 : Emanuel Ax, pianiste de concert américain d’origine polonaise.

 


1951 : Bonnie Tyler, chanteuse britannique.


1954 : Valérie Mairesse, comédienne française.
1955 :
Tim Berners-Lee, physicien et informaticien britannique.
Griffin Dunne, acteur, réalisateur et producteur américain.
1958 : Keenen Ivory Wayans, réalisateur, scénariste, producteur et acteur américain.
1960 :
Mick Hucknall, chanteur et compositeur britannique.
Agnès Soral, actrice française.
1962 :
John Gibbons, joueur et gérant de baseball américain.
Nick Rhodes, musicien anglais, membre du groupe Duran Duran.
1963 : Kéti Garbí, chanteuse grecque.
1965 :
Stanley G. Love, astronaute américain.
Rob Pilatus, mannequin et chanteur allemand, membre du groupe Milli Vanilli († 2 avril 1998).
1966 : Julianna Margulies, actrice américaine.
1971 : Elena Bryukhovets, joueuse de tennis ukrainienne.
1973 : Bryant Reeves, basketteur américain.
1974 : Maxim Gaudette, acteur québécois.
1975 : Bryan McCabe, joueur de hockey sur glace canadien.
1976 : Lindsay Davenport, joueuse de tennis américaine.
1977 : Kanye West, chanteur américain.
1979 : Marc Leuenberger, hockeyeur sur glace suisse.
1981 : Alex Band, musicien américain, meneur du groupe The Calling.
1982 :
Mike Cammalleri, joueur de hockey sur glace canadien.
Nadia Petrova, joueuse de tennis russe.
1983 :
Kim Clijsters, joueuse de tennis belge.
Nizar Knioua, basketteur tunisien.
1984 :
Andrea Casiraghi, prince de Monaco.
Torrey DeVitto, actrice américaine.
Javier Mascherano, footballeur argentin.
Maxi Pereira, footballeur uruguayen.
1985 : Alexandre Despatie, plongeur québécois.
1986 : Andrej Sekera, joueur de hockey sur glace slovaque.
1988 :
Lisa Brennauer, cycliste sur route allemande.
Kamil Grosicki, footballeur polonais.
1989 : Timea Bacsinszky, joueuse de tennis suisse.
1995 : Luke et Pat McCormack, boxeurs britanniques.
1997 : Jeļena Ostapenko, joueuse de tennis lettone.
2004 : Francesca Capaldi, actrice américaine.

 

 

 

 

 

Liens externes
  https://fr.wikipedia.org/wiki/8_juin

 

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Bonnie Tyler

Bonnie Tyler

 

Bonnie Tyler, née Gaynor Hopkins le 8 juin 1951 à Skewen (en) (Pays de Galles), est une chanteuse britannique connue pour sa voix rocailleuse.

Elle rencontre le succès avec la sortie de son premier album The World Start Tonight et ses singles Lost In France et More Than A Lover. Son single It's a Heartache datant de 1978 est numéro un en France, mais également numéro quatre au Royaume-Uni et numéro trois aux États-Unis.

Dans les années 1980, Bonnie Tyler s'oriente vers un style de musique rock, avec le producteur et compositeur Jim Steinman, qui lui écrit son plus grand tube, Total Eclipse of the Heart, extrait de l'album Faster Than the Speed of Night. Ce titre est numéro un dans de nombreux pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni. Steinman produit également pour Bonnie Tyler deux de ses tubes majeurs des années 1980 : Holding Out for a Hero et If You Were a Woman (And I Was a Man).

Bonnie Tyler connaît toujours un important succès durant les années 1990, particulièrement dans les pays germaniques et scandinaves, collaborant avec Dieter Bohlen qui lui écrit et produit le titre Bitterblue. En 2003, Bonnie Tyler réenregistre Total Eclipse Of The Heart avec la chanteuse Kareen Antonn : le duo bilingue, qui se nomme Si demain... (Turn Around), devient rapidement numéro un dans les charts français.

Rocks And Honey, album réalisé en 2013, contient le single Believe in Me, une chanson qu'elle interprète lors du Concours Eurovision de la chanson 2013 à Malmö, en Suède.

 

Origines et jeunesse

 

Bonnie Tyler (née Gaynor Hopkins) naît le 8 juin 1951 à Skewen, au Pays de Galles, d'un père mineur de charbon nommé Glyndwr et d'une mère nommée Elsie. Elle grandit dans une maison HLM de quatre pièces avec trois sœurs et deux frères. Sa famille est protestante et pieuse. La première performance publique de Gaynor Hopkins se déroule dans une chapelle. Alors encore enfant, elle chante un hymne anglican traditionnel : All Things Bright And Beautiful

Quittant l'école sans obtenir aucun diplôme, Gaynor Hopkins commence à travailler dans une épicerie. En 1969, après s'être inscrite à un concours local, elle obtient la seconde place et décide de débuter une carrière dans la chanson. Suite à une annonce dans un journal, elle trouve du travail en tant que choriste pour le groupe Bobbie Wayne & The Dixies, avant de former son propre groupe nommé Imagination. C'est à partir de ce moment qu'elle change son nom pour Sherene Davis, pour ne pas être confondue avec la chanteuse galloise Mary Hopkin.

 

 

 
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Louis XVII

Publié à 12:01 par dessinsagogo55 Tags : musique centerblog sur merci vie moi france amour homme enfants belle femme maison mort histoire dieu nuit
Louis XVII

 

 

Louis-Charles de France, plus connu sous le nom de Louis XVII, né à Versailles le 27 mars 1785 et mort à Paris le 8 juin 1795, est le second fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Titré duc de Normandie à sa naissance, il devient dauphin de France à partir de 1789, puis prince royal aux termes de la Constitution de 1791 à 1792.

Durant la Révolution française, la famille royale est emprisonnée le 10 août 1792 à la Tour du Temple, puis Louis XVI est exécuté le 21 janvier 1793. Louis-Charles est alors reconnu par les gouvernement des puissances coalisées contre la France et par son oncle, le futur Louis XVIII, comme le titulaire de la couronne de France, sous le nom de « Louis XVII ». Il meurt en captivité en 1795, à l’âge de dix ans.

L'éventualité de sa survie a longtemps suscité la curiosité de certains auteurs.

 

 

Biographie

Naissance et baptême

 

Louis-Charles de France est né au château de Versailles le 27 mars 1785. Il est baptisé le même jour dans la chapelle du château de Versailles par Louis René Édouard de Rohan, grand aumônier de France, en présence d'Honoré Nicolas Brocquevielle, curé de l'église Notre-Dame de Versailles : son parrain est Louis Stanislas Xavier de France, futur Louis XVIII, et sa marraine est Marie-Caroline de Lorraine, archiduchesse d'Autriche, reine des Deux-Siciles, représentée par Madame Élisabeth.

Titré duc de Normandie avant la mort de son frère aîné, il a pour armes un écartelé de France et de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur qui est de Normandie

Des rumeurs de l'époque se sont répandues à la naissance de l'enfant, selon lesquelles il ne serait pas le fils de Louis XVI mais d'Axel de Fersen (aucune étude scientifique ne valide ou n'invalide cette thèse) gentilhomme suédois qui nourrissait un profond amour pour la reine. Dès mai 1784, Mercy note dans une lettre à l'empereur Joseph II que « les habitudes du roi ne donnent guère d'espérance à lui voir une nombreuse postérité ». Et Evelyn Farr remarque que chaque fois que Marie-Antoinette est tombée enceinte, en 1783, 1784 et 1785, Fersen était présent à Versailles. Au baptême de Louis-Charles de France, le comte d'Artois est absent et il n'y a « ni compliment, ni révérences ». En novembre 1790, La Fayette et à sa suite l'Assemblée nationale menaceront Marie-Antoinette d'un procès en adultère et de faire déclarer bâtards ses enfants (bien que Fersen ne puisse être impliqué dans la naissance de Madame Royale), ce qui montre la persistance de ces rumeurs. Il n'en sera cependant plus question lors du procès de la reine

Louis-Charles est surnommé « Chou d'amour » par sa mère et Gabrielle de Polignac, gouvernante des Enfants de France depuis le 24 octobre 1782. Marie-Antoinette le rappellera à Gabrielle dans une lettre qu'elle lui écrira alors que cette dernière est partie en exil.

 

 

Enfance (jusqu'en août 1792)

 

Il passe sa première enfance dans l'insouciance, sa vie parmi les enfants de la Cour se déroulant entre les escaliers du château de Versailles et la terrasse du Midi où a été aménagé un petit jardin qui fait le bonheur de l'héritier du trône. Faisant preuve d'une certaine maturité et d'une grande sensibilité malgré son jeune âge, il cultive un petit jardin et offre fréquemment des fleurs à la reine ou à sa sœur car il « [veut] les faire croître [lui]-même, pour qu’elles soient plus agréables à maman qui les aime beaucoup » est entouré d'une nombreuse Maison, comprenant de très nombreux serviteurs attachés à sa personne, parmi lesquels Agathe de Rambaud, sa berceuse, Louise-Elisabeth de Croÿ de Tourzel comme gouvernanteNote 4 et Jean-Baptiste Cant Hanet dit Cléry, son valet

Second fils de Louis XVI, Louis-Charles de France n'est pas destiné, au départ, à succéder à son père ; la mort de son frère Louis-Joseph le 4 juin 1789 fait cependant de lui le dauphin de France.

En 1791, la Constitution du Royaume de France remplace ce titre par celui de « prince royal » : ce changement est la conséquence logique du remplacement du titre de Roi de France par celui de Roi des Français

 

 
Louis-Charles de France dauphin, vers 1790 attribué à Élisabeth Vigée Le Brun

 

 

Prisonnier au Temple

 

Après la journée du 10 août 1792, Louis-Charles qui a perdu son titre de prince royal est transféré avec ses parents au couvent des Feuillants puis le 13 août emprisonné à la Prison du Temple. Le 29 septembre, Louis XVI est séparé de sa famille et conduit au deuxième étage tandis que le troisième étage est réservé à Marie-Antoinette, ses deux enfants et sa belle-sœur. À partir du 25 octobre, l'« enfant Capet » est confié à la garde de son père, qui poursuit son éducation avec le valet de chambre Jean-Baptiste Cléry. Séparé de sa mère qu'il peut retrouver à l'occasion de promenades, le dauphin est à nouveau confié à elle le 11 décembre lorsque commence le procès de Louis XVI. Il ne revoit son père que le 20 janvier, pour un ultime adieu, avant l'exécution de ce dernier le matin du 21 janvier 1793.

Aux yeux des royalistes, le dauphin Louis-Charles succède à son père en vertu du principe selon lequel la continuité dynastique est automatique en France (un nouveau roi succède au roi précédent dès l'instant de la mort de ce dernier). Il est reconnu sous le nom de Louis XVII par le comte de Provence, frère cadet de Louis XVI et futur Louis XVIII, alors émigré à Hamm, près de Dortmund, en Westphalie. Les Vendéens et les Chouans, ainsi que les royalistes d'autres provinces, vont se battre en son nom. Leurs étendards portent l'inscription : « Vive Louis XVII ».
À l'époque, la Première République Française n'étant pas encore reconnue comme légitime par les puissances étrangères, Louis-Charles est internationalement reconnu comme Roi de
France et de Navarre sous le nom de Louis XVII. Il ne régna jamais de manière effective mais est qualifié par l'Histoire comme étant le « dernier roi légitime ».

Louis-Charles est confié à sa mère au troisième étage du Temple, jusqu'au 3 juillet 1793. Les captifs bénéficient à cette époque d'un confort incontestable (baignoire, garde-robe, nourriture abondante). Plusieurs tentatives d'évasion sont fomentées par des royalistes afin de délivrer Marie-Antoinette et ses enfants

Par arrêté du Comité de salut public du 1er juillet 1793, Louis est enlevé à sa mère et mis sous la garde du cordonnier Antoine Simon (« l'instituteur » désigné, qui sait pourtant à peine écrire) et de sa femme, qui résident au Temple. Enfermé au deuxième étage, le but est alors d'en faire un petit citoyen ordinaire et de lui faire oublier sa condition royale. Il est impliqué, ainsi que sa sœur, dans le procès de sa mère, Marie-Antoinette. On lui fait signer une déclaration de reconnaissance d'inceste, pour ajouter un chef d'accusation contre cette dernière.

Selon Georges Bordonove, c'est l'épouse de Simon, attachée à l'enfant, qui prend soin de le nourrir correctement. Cependant, Simon, rappelé à ses fonctions municipales, quitte le Temple le 19 janvier 1794. Sa femme, malade, quitte également la prison. Louis-Charles est alors enfermé au secret dans une chambre obscure, sans hygiène ni secours, pendant six mois, jusqu'au 28 juillet 1794. Son état de santé se dégrade, il est rongé par la gale et surtout la tuberculose. Il vit accroupi. Sa nourriture lui est servie à travers un guichet et peu de personnes lui parlent ou lui rendent visite. Ces conditions de vie entraînent une rapide dégradation de son état de santé. L'isolement total dans lequel il est placé laisse planer un certain mystère et donne l'occasion à l'imagination populaire de soulever l'hypothèse de substitution de l'enfant et de son exfiltration, donnant naissance au « mythe évasionniste et survivantiste »

Le député Barras découvre ainsi un enfant mutique, brisé psychologiquement. Le 28 juillet 1794, les comités de salut public et de sûreté générale nomment Laurent, membre du comité révolutionnaire de la section du Temple, pour le garder, lui et sa sœur. Son sort s'améliore relativement, mais le prisonnier de la tour du Temple est rongé par la tuberculose, ce qu'omet de signaler Laurent lorsqu'il écrit, sur le bulletin de la tour du Temple, que les prisonniers « se portent bien ». Le 31 mars 1795, Laurent démissionne. Il est remplacé par Étienne Lasne (1757-1841) de la section des Droits de l'homme.

 

 

Dégradation de sa santé (mai 1795)

 

Le 3 mai 1795 (14 floréal an III), les gardiens Gomin et Lasne inscrivent sur les registres du Temple : « Le petit Capet est indisposé ».

Le 6 mai (17 floréal an III), la tuberculose prend un tour critique, caractérisé par l'apparition d'une péritonite, si bien que dans les derniers jours de mai, les gardiens signalent au comité de Sûreté générale que l'enfant Capet manifeste « une indisposition et des infirmités qui paraissent prendre un caractère grave ». Le Comité « arrête que le premier officier de santé de l'hospice de l'Humanité (Hôtel-Dieu de Paris) visiterait le malade en présence de ses gardiens et administrerait des remèdes ». Le docteur Pierre Joseph Desault passe à cette époque pour être le premier praticien de Paris. Le 29 mai, Desault fait sa dernière visite au malade, car il meurt le 1er juin, à l'âge de 57 ans.

Le 6 juin 1795, lui succède Philippe-Jean Pelletan, 48 ans, chirurgien en chef de l'Hospice de l'Humanité. Ne voulant pas prendre seul la responsabilité de soigner l'enfant, le Comité de sûreté générale lui adjoint le docteur Jean-Baptiste Dumangin, 51 ans, médecin chef de l'hospice de l'Unité (Hôpital de la Charité de Paris). Dans la nuit du 7 au 8, Gomin et Lasne, alarmés par l'état de santé de l'enfant, ont envoyé chercher en urgence le docteur Pelletan. Il répond qu'il viendra le lendemain matin avec le docteur Dumangin.

Le lundi 8 juin 1795 (20 prairial an III), les docteurs Dumangin et Pelletan arrivent ensemble à 11 heures du matin au Temple, l'état de l'enfant s'était aggravé

 

Mort

 
 

Témoignage de Damont commissaire civil au Temple : « Le sieur Lasne gardien et moi, nous prêtions nos soins au petit dauphin, et enfin à 3 heures (de l'après-midi) lorsque le sieur Gomin fut revenu, l'enfant venoit de mourir ». Pelletan arrivé à 4 heures confirme la mort. Le docteur Dumangin arrive à 8 heures, il apprend le décès du fils Capet.

Louis XVII meurt dans sa prison, probablement d'une péritonite ulcéro-caséeuse venue compliquer la tuberculose (le « vice scrofuleux » qui a déjà coûté la vie à son frère aîné), le 8 juin 1795, à l'âge de dix ans et après presque trois ans de captivité.

Le lendemain 9 juin 1795, le chirurgien Philippe-Jean Pelletan réalise son autopsie qui confirme le diagnostic de tuberculose. Il est secondé par trois médecins, voici l'extrait de la lettre du docteur Dumangin adressé au docteur Pelletan sous la Restauration en 1817 : « Vous m'aviez à la vérité proposé d'autres adjoints ; et sur mon observation que, d'après les qualités personnelles et les rapports qu'avaient eus M. Pierre Lassus (1741-1807) avec Mesdames de France et Nicolas Dieudonné Jeanroy (1750- 1816) dans la Maison de Lorraine, leurs signatures seraient d'un tout autre poids, vous aviez agréé ce choix ». Le docteur Jean-Baptiste Dumangin rédige le procès-verbal d'autopsie, recopié en quatre exemplaires : un pour le Comité de sûreté générale et un pour chaque médecin. L'exemplaire présent aux Archives nationales depuis 1891 a été restitué par un libraire de la ville d'Alger. Ce procès-verbal d'autopsie avait été mis en gage par M. Grasset qui l'avait dérobé avant 1848 à Théophile Dumangin, fils du docteur Dumangin, à Vielmanay ou à Narcy dans la Nièvre

Il est officiellement enterré le 12 juin 1795 dans le cimetière Sainte-Marguerite. Sous la Seconde Restauration, Louis XVIII fait rechercher la sépulture de son neveu : l'énigme de « l'enfant du Temple » se développe alors avec les témoignages contradictoires de ceux qui ont assisté à l'enterrement le 10 juin (fossoyeur, concierge du cimetière, abbé…) qui évoquent une inhumation en fosse commune (le corps ne pouvant dès lors plus être identifié), une ré-inhumation dans une fosse particulière près de la Chapelle de la Communion de l’église, voire dans le cimetière de Clamart.

 



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVII  
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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