The seaweed is always greener
In somebody else's lake
You dream about going up there
But that is a big mistake
Just look at the world around you
Right here on the ocean floor
Such wonderful things surround you
What more is you lookin' for?
Under the sea
Under the sea
Darling it's better
Down where it's wetter
Take it from me
Up on the shore they work all day
Out in the sun they slave away
While we devotin'
Full time to floatin'
Under the sea
Down here all the fish is happy
As off through the waves they roll
The fish on the land ain't happy
They sad 'cause they in their bowl
But fish in the bowl is lucky
They in for a worser fate
One day when the boss get hungry
Guess who's gon' be on the plate
Under the sea
Under the sea
Nobody beat us
Fry us and eat us
In fricassee
We what the land folks loves to cook
Under the sea we off the hook
We got no troubles
Life is the bubbles
Under the sea
Under the sea
Since life is sweet here
We got the beat here
Naturally
Even the sturgeon an' the ray
They get the urge 'n' start to play
We got the spirit
You got to hear it
Under the sea
The newt play the flute
The carp play the harp
The plaice play the bass
And they soundin' sharp
The bass play the brass
The chub play the tub
The fluke is the duke of soul
(Yeah)
The ray he can play
The lings on the strings
The trout rockin' out
The blackfish she sings
The smelt and the sprat
They know where it's at
An' oh that blowfish blow
Under the sea (under the sea)
Under the sea (under the sea)
When the sardine
Begin the beguine
It's music to me (music is to me)
What do they got? A lot of sand
We got a hot crustacean band
Each little clam here
Know how to jam here
Under the sea
Each little slug here
Cuttin' a rug here
Under the sea
Each little snail here
Know how to wail here
That's why it's hotter
Under the water
Ya we in luck here
Down in the muck here
Under the sea
Source : Musixmatch
Paroliers : Ashman Howard Elliott / Menken Alan Irwin
Paroles de Under the Sea © Walt Disney Music Company, Wonderland Music Co. Inc., Wonderland Music Company Inc., Wonderland Music Company Inc
Les Jeux Olympiques, Athènes 1896, Médaille, Signature ES, 38mm, Avers :
ATHENAI 1896. Remise de couronne. Revers : Les cinq anneaux olympiques dans une
couronne de laurier. Dessous, texte explicatif. Tranche lisse poinçonnée de sept poinçons et
de ARGENT 1ER TITRE / 2890. (Médailles>Françaises>XXème Siècle)
France
Médaillés aux Jeux Olympiques de Athenes 1896
Médailles d'or
Escrime
E. Gravelotte
Fleuret hommes
Médailles d'argent
Athlétisme
A. Tufferi
Triple saut hommes
Médailles de bronze
Athlétisme
A. Lermusiaux
1500m hommes
Cyclisme sur piste
L. Flameng
Vitesse hommes
Tableaux des médailles des Jeux Olympiques Athenes 1896, par pays |
CL | | PAYS | OR | ARGENT | BRONZE | TOTAL |
1 | | Etats-Unis | 11 | 7 | 2 | 20 |
2 | | Grèce | 10 | 17 | 19 | 46 |
3 | | Allemagne | 6 | 5 | 2 | 13 |
4 | | France | 5 | 4 | 2 | 11 |
5 | | Grande-Bretagne | 2 | 3 | 2 | 7 |
6 | | Hongrie | 2 | 1 | 3 | 6 |
7 | | Autriche | 2 | 1 | 2 | 5 |
8 | | Australie | 2 | 0 | 0 | 2 |
9 | | Danemark | 1 | 2 | 3 | 6 |
10 | | Suisse | 1 | 2 | 0 | 3 |
11 | | CIO | 1 | 1 | 1 | 3 |
12 | | Egypte | 0 | 1 | 0 | 1 |
| | | | | | |
| | TOTAL | 43 | 44 | 36 | 123 |
Handicap par une blessure au dos, le décathlonien Kévin Mayer a réussi à conserver son argent de Rio. − ANDREJ ISAKOVIC / AFP
JO de Tokyo : Kevin Mayer, l'argent au bout de l'effort
AVEC LE CŒUR - Arrivé à Tokyo avec l'objectif de ramener l'or olympique, Kevin Mayer doit se contenter de l'argent, comme à Rio en 2016. Le détenteur du record du monde, touché au dos, a toutefois réussi à dépasser la douleur pour accrocher un podium.
Yohan ROBLIN - Publié aujourd’hui à 15h46, mis à jour à 16h45
Il est allé au bout de lui-même. Au bout de ce qu'un champion de sa trempe peut donner. Gêné par une douleur au dos, qui l'avait ému aux larmes après les premières épreuves mercredi, Kevin Mayer s'est arraché, jeudi 5 août, pour conserver sa médaille d'argent glanée à Rio. Mal embarqué après une première journée très en-deça de ses espérances, le vice-champion olympique a réussi à se remobiliser pour aller chercher le même métal, cinq ans plus tard, au Stade olympique de Tokyo.
Il a bouclé le décathlon avec un total de 8726 points derrière l'intouchable Damian Warner, le premier homme à dépasser les 9000 points aux Jeux (9018 points, 5e plus gros total de l'histoire). L'Australien Ashley Moloney (8649 points) a remporté la médaille de bronze. Ce résultat est presque héroïque tant le Français, détenteur du record du monde, n'a quasiment jamais été dans ses standards habituels au cours de ses deux jours de labeur. "Le rendez-vous de ma vie est gâché", avait-il confié. Il avait toutefois limité les dégâts à la hauteur, avec un saut à 2,08m, soulagé par la prise d'anti-inflammatoires.
À la traîne à mi-parcours (5e), le champion du monde 2017 a su puiser dans ses ressources mentales et physiques pour ne pas repartir bredouille du Japon. Il a réussi, au courage, à refaire une partie de son retard lors de la deuxième partie du concours. Après avoir dépassé ses peurs à la perche (5,20m), où il n'a plus excellé depuis les Mondiaux de Doha, Mayer a laissé sortir tout ce qu'il avait au fond de lui au javelot. Sur son deuxième lancer, il a claqué un 73,09m, effaçant son record personnel, pour monter sur la deuxième marche du podium. Délivré par cette performance, dont lui seul a le secret, il n'a eu plus qu'à assurer sur le 1500m, échouant finalement à 292 petites unités de la médaille en or qu'il était venue chercher.
Je ne pouvais pas espérer mieux- Kevin Mayer, vice-champion olympique du décathlon
"J'ai fait épreuve après épreuve. Je ne savais pas quand ça allait lâcher et ça n'a pas lâché. Cette hauteur et ce javelot, ce que c'était bon ! Ce sont les deux seules épreuves où il ne faut pas de la vitesse, mais juste un bon placement. C'est celles que j'ai réussies et qui montrent mon vrai potentiel. Sur le javelot, je croyais que j'avais fait 70m et finalement, c'était 73m donc j'ai explosé de bonheur", a savouré le double vice-champion olympique au micro de France 2. "À chaque fois que j'étais dans le dur, j'ai pensé à mes proches qui n'étaient pas là. Réussir ça dans mon état physique. J'ai été vice-champion à Rio en optimisant mon potentiel et là j'ai une nouvelle médaille en pensant abandonner. Je ne pouvais pas espérer mieux."
Car, certes ce n'est pas de l'or, mais c'est de l'argent qui vaut presque autant, vu les circonstances. Avec sa médaille, la 27e de la délégation tricolore au Japon, Kevin Mayer vient aussi ouvrir le compteur de l'équipe de France d'athlétisme dans ces Jeux. Avant lui, ni les hurdleurs sur 110m haies (Pascal Martinot-Lagarde, 5e, et Aurel Manga, 13e) ni le lancer du marteau (Alexandra Tavernier, 4e, et Quentin Bigot, 5e), pas plus que les autres athlètes français engagés, n'étaient parvenus à monter sur les podiums. À Tokyo, sauf surprise de Yohann Diniz sur 50km marche vendredi, il devrait être le seul médaillé. Un fiasco qui fait mauvais genre, cinq ans après les six breloques ramenées de Rio, et surtout à moins de trois ans des JO de Paris.
Le karatéka tricolore Steven Da Costa est devenu le premier champion olympique de karaté. − ALEXANDER NEMENOV / AFP
JO de Tokyo : Steven Da Costa premier champion olympique du karaté
HISTORIQUE - Le karatéka Steven Da Costa a battu le Turc Eray Samdan en finale des -67 kg, jeudi 5 août. Le premier champion olympique de l'histoire du karaté apporte à la France sa 26e médaille, la 7e en or.
Yohan ROBLIN - Publié aujourd’hui à 14h17, mis à jour il y a une heure
"Je ne vise que l'or." Avant d'arriver à Tokyo, Steven Da Costa avait prévenu : tout autre résultat qu'un titre olympique serait un échec. Numéro mondial dans sa catégorie, les -67 kg, le karatéka tricolore a tenu son rang au Nippon Budokan. Le combattant lorrain est parvenu à s'extirper des poules, avec trois victoires en quatre combats, pour s'assurer l'une des deux premières places de sa poule. Assuré a minima du bronze, les deux perdants des demi-finales étant médaillés, le champion du monde 2018 ne s'est pas contenté de cette place sur le podium. Il est allé chercher ce pour quoi il est venu au Japon : l'or olympique.
Sur sa route vers le titre, il a retrouvé deux adversaires, qui évoluent habituellement chez les moins de 60kg, les deux catégories ayant été réunies pour les JO. Après avoir sorti, avec autorité, le Kazakh Darkan Assadilov (5-2), en demi-finale, le "Petit Prince" s'est hissé sur le toit de l'Olympe en surclassant le Turc Eray Samdan (5-0) sur ippon en finale, pour devenir le premier champion olympique de karaté de l'histoire. Sa médaille est la 7e en or pour la délégation tricolore et la 26e depuis le début des Jeux de Tokyo.
"Je ne réalise pas. Il avait tellement poids sur mes épaules pendant tant d'années. On se prépare pendant des années pour une journée, parfois une minute. C'est un soulagement. Ça a été très dur, mais j'y ai toujours cru. Je me disais que c'était mon jour et que je n'avais pas fait tout ça pour rien. Je suis sur un nuage, je ne vais pas redescendre tout de suite", a-t-il savouré au micro de France 2. "Je l'ai fait !"
Un titre de champion olympique qu'il va garder au moins jusqu'en 2028. Le karaté, qui figure pour la première fois à Tokyo au programme des Jeux, disparaîtra en 2024 à Paris. "J'espère qu'en voyant des choses comme ça, ils peuvent faire changer la décision", a-t-il émis pour souhait. En attendant une réponse, Steven Da Costa n'a pas manqué sa chance. L'occasion était trop belle, peut-être même unique.
PETER PARKS / AFP
JO de Tokyo : la réclamation de Lecointre et Retornaz rejetée, les voileuses restent en bronze
BRONZE CONTESTÉ - Deuxièmes avant la course à la médaille, Camille Lecointre et Aloïse Retornaz se sont faites souffler l'argent par la Pologne, mercredi 4 août. Le duo tricolore, débouté de sa réclamation contre l'attitude des Britanniques, titrées en 470 et suspectées d'avoir laissé passer les Polonaises, se console avec le bronze. La voile française égale son nombre de médailles à Rio.
Yohan ROBLIN - Publié aujourd’hui à 10h12, mis à jour à 11h03
Du bronze, à défaut d'argent. Deuxièmes avant l'ultime régate olympique de 470, Camille Lecointre et Aloïse Retornaz ont finalement rétrogradé d'une place sur le podium, à l'issue de la course à la médaille, mercredi 4 août. Une place que le duo tricolore a contesté, suspectant les Britanniques, titrées dans la catégorie, d'avoir volontairement laissé passer les Polonaises, sur une dernière manœuvre à la bouée, pour empêcher les Bleues de conserver l'argent. Après de longues minutes de délibérations avec le jury de course, leur réclamation pour récupérer le médaille de la Pologne n'a toutefois pas abouti.
"On a eu le sentiment d'avoir été un petit peu lésées par les Anglaises. On avait un doute, on avait l'impression que ça s'était fait contre nous. Le jury s'est réuni et a pris la décision de laisser le classement tel qu'il était. Ça ne joue pas en notre faveur. On a tout donné, ce qu'on a donné nous apporte le bronze. On en est quand même hyper contentes", a réagi Aloïse Retornaz au micro de France 2.
"On a posé cette réclamation pour avoir accès au tracking et à la vidéo", a justifié sa partenaire Camille Lecointre. "On a eu un doute sur la manière dont les Anglaises ont perdu des places. On a voulu éclaircir ce doute. Maintenant, on ne remet pas du tout en cause la décision du jury. C'est un droit de porter réclamation. Quand on joue une médaille et que c'est serré comme ça, on prend ce droit."
Retornaz a été l'élève de Lecointre
Malgré cette requête vaine, les voileuses tricolores ne repartent pas bredouille de Tokyo, puisqu'elles montent sur le podium des Jeux. Après avoir ramené le bronze de Rio en 2016 avec une autre équipière, Hélène Defrance, Camille Lecointre glane une breloque du même métal au Japon, avec Aloïse Retornaz, qui était son élève lors d'un stage de voile en Optimist, il y a quelques années, du côté de la Bretagne.
Par ailleurs, il s'agit de la troisième médaille de la voile française dans ces Jeux de Tokyo, après l'argent de Charline Picon et de Thomas Goyard, tous deux médaillés en planche à voile RS:X sur le plan d'eau d'Enoshima. Les marins tricolores égalent leur nombre de médailles à Rio en 2016, où ils étaient revenus avec le titre olympique de Charline Picon en RS:X et deux médailles de bronze.