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Renault 4L et R5 : bientôt de retour en électrique
PUBLIÉ LE 12 JANVIER 2021 À 13:00
MIS À JOUR LE 12 JANVIER 2021 À 18:01
PAR JULIEN JODRY
Les mythiques Renault 4L et R5 bientôt de retour ? C’est ce qu’affirme l’agence Reuters qui précise qu’il s’agira de modèles 100% électriques.
(Mise à jour à 13h00) Renault 4L et R5 : bientôt de retour en électrique – La « Renaulution » est en marche, selon la formule employée en interne pour affirmer le nouveau plan stratégique du groupe français. Le 14 janvier prochain, Luca de Meo, qui a pris ses fonctions à sa tête l’été dernier, en dévoilera les contours. Selon l’agence de presse Reuters, cette vaste réorganisation impliquerait la renaissance d’icônes telles que la 4L et la R5, sous des silhouettes néo-rétro exclusivement mues par l’électricité.
Depuis l’arrivée de Luca de Meo aux commandes du Losange, l’italien de 53 ans donne le sentiment de jouer la sécurité. Plutôt que d’innover véritablement, il préfère capitaliser sur des recettes éprouvées, et ne s’en cache. Il avait lui-même déclaré vouloir s’inspirer de la stratégie de montée en gamme administrée par Carlos Tavarès à la marque Peugeot, ces dernières années. Renault entend ainsi « premiumiser » ses futurs modèles en vue d’améliorer ses marges et donc sa profitabilité. Pour y parvenir, la firme Alpine sera mise à contribution en devenant la griffe des variantes les plus dynamiques du catalogue Renault, en remplacement des finitions GT Line, récemment rebaptisées RS Line. Ces versions « Alpine Line » pourraient être chapeautées par de véritables sportives badgées Alpine, à l’avenir.
C’est dans les vieilles marmites…
Si la rumeur se vérifie, Luca de Meo a également la volonté de nous resservir une recette concoctée par ses soins, dans les années 2000. En effet, il fut l’homme à l’origine d’un des come-back les plus retentissants de ce début de siècle en réinventant la Fiat 500. Dans quelques années, il souhaite qu’un sort identique soit réservé aux 4L et R5, respectivement disparues en 1992 et 1996.
La particularité de ces nouveaux modèles résidera dans leur mode de propulsion, puisqu’ils tourneraient le dos à des blocs thermiques. Exclusivement électriques, les futures Renault 4L et R5 pourraient reposer sur la plate-forme existante de la Zoe ou s’en remettre au soubassement plus moderne nommé CMF-EV, dont disposera la future Renault Mégane électrique, fin 2021.
Une offre complémentaire
Mais assurément, la future « 4L’ectrique » constituera l’offre la plus populaire de cette nouvelle gamme électrique. Sans afficher la rusticité de la Citroën Ami, elle devrait essentiellement se destiner à l’autopartage, dans les centre-villes. De son côté la R5 électrique offrira une plus grande polyvalence pour rejoindre les valeurs d’autonomie prônées par la Zoe, en approchant les 400 km.
Des Alpine électriques aussi…
Enfin, Reuters affirme également que Renault envisage de lancer trois modèles électriques sous giron Alpine. A terme, il se murmure que l’artisan dieppois renoncerait purement et simplement à l’énergie fossile, au risque de se mettre à dos les nostalgiques de la Berlinette. Rendez-vous le 14 janvier, sur Auto-Moto, pour découvrir si ces informations se vérifient, lors du lever de voile du plan stratégique « Renaulution ».
Décès
-86 : Caius Marius, militaire et homme politique romain (° -157).
703 : Jitō, impératrice du Japon (° 645).
731 : Bertwald, archevêque de Cantorbéry (° v. 650).
858 : Æthelwulf, roi du Wessex (° 795).
888 : Charles III le Gros, empereur d'Occident (° 839).
1138 : Simon Ier, duc de Lorraine (° v. 1076).
1147 / 1149 : Robert de Craon, Grand-Maître de l'Ordre du Temple (° inconnue).
1151 : Suger de Saint-Denis, homme d'Église et homme d'État français (° 1080 ou 1081).
1177 : Henri II, duc d'Autriche (°1107).
1330 : Frédéric le Bel, Roi des Romains (° 1286).
1368 : Marco Cornaro, doge de Venise (° 1285).
1599 : Edmund Spenser, poète anglais (° v. 1552).
1676 : André Graindorge, philosophe français (° 1616).
1691 : George Fox, leader religieux américain (° juillet 1624).
1757 : Francesco Albotto, peintre italien (° vers 1721).
1759 : José de Mascarenhas da Silva, seigneur portugais, brûlé vif à Santa Maria de Belém (° 2 octobre 1708).
1766 : Frédéric V, roi de Danemark et de Norvège (° 31 mars 1723).
1790 : Luc Urbain du Bouëxic de Guichen, militaire français (° 21 juin 1712).
1793 : Nicolas-Jean Hugou de Bassville, révolutionnaire français (° 7 février 1743).
1852 : Fabian Gottlieb von Bellingshausen, militaire de l'Empire russe (° 20 septembre 1778).
1854 : Fructuoso Rivera, militaire et homme politique uruguayen (° 17 octobre 1784).
1864 : Stephen Foster, musicien américain (° 4 juillet 1826).
1906 : Alexandre Popov, physicien russe (° 16 mars 1859).
1907 : Antonio Montes, matador espagnol (° 20 décembre 1876).
1923 : Alexandre Ribot, homme politique français (° 7 février 1842).
1929 : Wyatt Earp, marshal américain (° 19 mars 1848).
1934 :
Jean-Baptiste Marchand, militaire et explorateur français (° 22 novembre 1863).
Paul Villard, physicien français (° 28 septembre 1860).
1941 : James Joyce, romancier et poète irlandais (° 2 février 1882).
1943 : Charles Tate Regan, ichtyologiste britannique (° 1er février 1878).
1953 : Alfred Laliberté, sculpteur québécois (° 19 mai 1878).
1958 : Edna Purviance, actrice américaine (° 21 octobre 1895).
1962 : Ernie Kovacs, acteur et humoriste américain (° 23 janvier 1919).
1963 :
Sonny Clark musicien américain (° 21 juillet 1931).
Sylvanus Olympio, chef d'État togolais (° 6 septembre 1902).
1974 : Raoul Jobin, ténor québécois (° 8 avril 1906).
1976 : Margaret Leighton, actrice anglaise (° 26 février 1922).
1977 : Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française (° 13 novembre 1914).
1978
Maurice Carême, écrivain et poète belge (° 12 mai 1899).
Hubert Humphrey, homme politique américain (° 27 mai 1911).
Joe McCarthy (en), manager du baseball majeur (° 21 avril 1887).
1979 :
Donny Hathaway, auteur-compositeur et interprète américain (° 1er octobre 1945).
Marjorie Lawrence, soprano australienne (° 17 février 1907).
1980 : André Kostelanetz, chef d’orchestre américain de musique légère (° 22 décembre 1901).
1982 : Marcel Camus, réalisateur français (° 21 avril 1912).
1983 : Arthur Space, acteur américain (° 12 octobre 1908).
1988 : Chiang Ching-Kuo, président de Taïwan depuis 1978 (° 27 avril 1910).
1992 : Henri Queffélec, écrivain breton et père d'écrivain et de musicienne (° 29 janvier 1910).
1993 : René Pleven, homme politique français (° 15 avril 1901).
1996 :
Denise Grey, comédienne française (° 18 septembre 1896).
Mark Herron, acteur américain (° 8 juillet 1928).
Dean Kelley, basketteur américain (° 23 septembre 1931).
1998 :
Joseph Bintener, cycliste sur route luxembourgeois (° 1er octobre 1917).
Bob Martin, chanteur autrichien (° 7 juin 1922).
Kurt Weißenfels, footballeur est-allemand puis allemand (° 13 juin 1920).
2002 :
Ted Demme, réalisateur et producteur américain (° 26 octobre 1963).
Pierre Joubert, dessinateur français (° 27 juin 1910).
Frank Shuster, humoriste et scénariste canadien (° 5 septembre 1916).
2003 : Norman Panama, scénariste, réalisateur et producteur américain (° 21 avril 1914).
2004 :
Marcel Cabiddu, homme politique français (° 10 février 1952).
Harold Shipman, médecin et tueur en série britannique (° 14 janvier 1946).
2005 :
Nell Rankin, chanteuse d'opéra américaine (° 3 janvier 1924).
Jacques de Tonnancour, peintre et professeur de peinture canadien (° 3 janvier 1917).
2007 :
Michael Brecker, musicien américain (° 29 mars 1949).
Mostefa Lacheraf, écrivain, historien, sociologue et homme politique algérien (° 7 mars 1917).
Henri-Jean Martin, historien français (° 16 janvier 1924).
Augustin Diamacoune Senghor, prêtre et homme politique sénégalais (° 4 avril 1928).
2008 : Johnny Podres, lanceur de baseball américain (° 30 septembre 1932).
2009 : Patrick McGoohan, acteur, scénariste et réalisateur irlando-américain (° 19 mars 1928).
2010 :
Teddy Pendergrass, chanteur et compositeur américain (° 26 mars 1950).
Ed Thigpen, batteur de jazz américain (° 28 décembre 1930).
2013 : Benny Luke, danseur et acteur franco-américain (° 23 novembre 1942).
2017 :
Antony Armstrong-Jones, designer, photographe et réalisateur britannique, ancien époux de la princesse Margaret du Royaume-Uni (° 7 mars 1930).
Horacio Guarany, écrivain et chanteur argentin (° 15 mai 1925).
Anton Nanut, chef d'orchestre slovène (° 13 septembre 1932).
Arezki Rabah, acteur algérien (° 14 mars 1938).
2020 : Jean Delumeau, historien français, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres (° 18 juin 1923).
https://fr.wikipedia.org/wiki/13_janvier
Naissances
1674 : Prosper Jolyot de Crébillon, dramaturge français († 17 juin 1762).
1698 : Pietro Metastasio, poète et librettiste italien († 12 avril 1782).
1727 : Pierre Laujon, chansonnier français († 13 juillet 1811).
1741 : Joseph Fabre, homme politique français († 29 janvier 1819).
1804 : Paul Gavarni, aquarelliste et dessinateur français († 24 novembre 1866).
1805 : Paquiro, matador espagnol († 4 avril 1851).
1812 : Victor de Laprade, homme de lettres et homme politique français († 13 décembre 1883).
1845 : Félix Tisserand, astronome français († 20 octobre 1896).
1859 : Maurice Paléologue, diplomate et historien français († 18 novembre 1944).
1864 : Wilhelm Wien, physicien prussien, Prix Nobel de physique en 1911 († 30 août 1928).
1865 : Emmanuel Pontremoli, architecte français († 25 juillet 1956).
1866 : Vassili Kalinnikov, compositeur russe († 11 janvier 1901).
1874 : Joseph-Ernest Van Roey, prélat belge († 6 août 1961).
1876 : Erhard Schmidt, mathématicien allemand († 6 décembre 1959).
1877 : Georges Gurdjieff, écrivain français († 29 octobre 1949).
1878 :
Harry Bernard, acteur américain († 4 novembre 1940).
Lionel Groulx, historien canadien († 23 mai 1967).
1886 : Art Ross, joueur et entraîneur canadien de hockey sur glace († 5 août 1964).
1887 :
Georges-Henry Duquet, peintre québécois († 4 septembre 1967).
Gabriel Gabrio, acteur français († 31 octobre 1946).
1895 : Jane Marken, actrice française († 1er décembre 1976).
1902 :
Osvaldo Farrés, compositeur cubain († 22 décembre 1985).
Karl Menger, mathématicien autrichien († 5 octobre 1985).
1904 : Richard Addinsell, compositeur britannique († 14 novembre 1977).
1905 : Kay Francis, actrice américaine († 26 août 1968).
1906 :
Omer Côté, juge et homme politique québécois († 15 juin 1999).
Zhou Youguang, linguiste, économiste, écrivain chinois, devenu supercentenaire (+ 14 janvier 2017).
1909 :
Danny Barker, banjoïste et guitariste américain de jazz († 13 mars 1994).
Marinus van der Lubbe, néerlandais, incendiaire présumé du palais du Reichstag († 10 janvier 1934).
1911 : Guido Del Mestri, prélat italien († 2 août 1993).
1913 : Gilbert Cesbron, écrivain français († 13 août 1979).
1914 : Jijé (Joseph Gillain, dit), dessinateur de bandes dessinées belge († 19 juin 1980).
1915 : Louis Amade, parolier français († 4 octobre 1992).
1918 : Maurice Blondel, footballeur français († 15 novembre 2006).
1919 : Robert Stack, acteur américain († 14 mai 2003).
1922 :
Jeanne Bourin, romancière française († 19 mars 2003)1.
Albert Lamorisse, réalisateur français († 2 juin 1970).
1923 : Jack Watling, acteur américain († 22 mai 2001).
1924 :
Roland Petit, chorégraphe et danseur français († 10 juillet 2011).
Léon Soulier, prélat français († 25 décembre 2016).
1925 : Gwen Verdon, actrice américaine († 18 octobre 2000).
1927 : Sydney Brenner, médecin sud-africain, prix Nobel de médecine en 2002 († 5 avril 2019).
1929 :
Joe Pass, guitariste de jazz américain († 23 mai 1994).
Françoise Prévost, actrice française († 30 novembre 1997).
1932 : Joseph Zen, prélat chinois.
1933 :
Janet Kear, ornithologue britannique († 24 novembre 2004).
Paul Valadier, philosophe français.
1934 :
Nick Clooney, journaliste et présentateur américain.
Jacques Debronckart, compositeur français († 25 mars 1983).
1937 : Christian Darrouy, joueur de rugby français.
1938 :
Richard Anthony, chanteur français († 19 avril 2015).
Charlie Brill, acteur américain.
Cabu (Jean Cabut, dit), dessinateur français († 7 janvier 2015).
William B. Davis, acteur canadien.
Billy Gray, acteur américain.
1939 : Cesare Maniago, gardien de but de hockey sur glace canadien.
1940 :
Ron Brand (en), receveur de baseball professionnel américain.
(ou 1935 ci-avant) : Ahmed Gaïd Salah, général algérien, chef d'État intérimaire post-Boutéflika contesté par le Hirak en cours († 23 décembre 2019).
1941 :
Jean-Claude Guibal, homme politique français.
Serge Laprade, chanteur et animateur québécois de radio et de télévision.
1943 : Richard Moll, acteur américain.
1944 : Ferenc Petrovácz, tireur sportif hongrois († 14 août 2020).
1945 :
Pierre Galle, basketteur français.
Thierry Lévy, avocat français († 30 janvier 2017).
1948 : Françoise David, militante et femme politique québécoise.
1949 :
Rakesh Sharma, spationaute indien.
Allan Sharpe, acteur écossais († 5 juin 2004).
1950 :
Christian Gaudin, homme politique français.
John McNaughton, réalisateur américain.
1951 :
Guy Corneau, psychothérapeute et auteur québécois († 5 janvier 2017).
Bernard Loiseau, cuisinier français († 24 février 2003).
1954 :
Céline Monsarrat, actrice et doubleuse vocale francophone.
Mike Palmateer (en), gardien de but de hockey sur glace canadien.
Trevor Rabin, musicien et compositeur sud-africain.
1957 :
Bruno Baronchelli, footballeur français.
Mark O'Meara, golfeur américain.
1958 : Euzhan Palcy, réalisatrice française (antillaise) de cinéma.
1959 : Winnie Byanyima, ingénieur aéronautique, femme politique, et diplomate ougandaise.
1961 : Julia Louis-Dreyfus, actrice américaine.
1962 : Kevin Mitchell, joueur de baseball professionnel américain.
1963 : Daniel Brière, acteur et metteur en scène québécois.
1964 : Penelope Ann Miller, actrice américaine.
1966 : Patrick Dempsey, acteur américain.
1967 : Annie Jones (en), actrice Australienne.
1968 : Gianni Morbidelli, pilote automobile italien.
1969 : Stephen Hendry, joueur de snooker écossais.
1970 :
Keith Coogan, acteur américain.
Marco Pantani, cycliste italien († 14 février 2004).
Shonda Rhimes, réalisatrice et scénariste américaine.
1972 : Nicole Eggert, actrice américaine.
1973 : Nikolai Khabibulin, gardien de but russe de hockey sur glace.
1975 : Marina Granovskaia, dirigeante russo-canadienne de football.
1976 : Tania Vicent, patineuse de vitesse sur courte piste québécoise.
1977 :
Orlando Bloom, acteur britannique.
Cayetano, matador espagnol.
1983 : Ronny Turiaf, basketteur français.
1985 : Ellen Wong, actrice canadienne d'origine cambodgienne.
1986 :
Jessy Moulin, footballeur français.
Joannie Rochette, patineuse artistique québécoise.
1989 :
Julian Perretta, chanteur britannique.
Joel Silva, footballeur paraguayen.
1990 : Liam Hemsworth, acteur australien.
1991 :
Kyle Clifford, hockeyeur professionnel canadien.
1992 : Valentin Bigote, basketteur français.
1995 : Natalia Dyer, actrice américaine.
1997 : Egan Bernal, cycliste colombien.
2000 :
Vladimir Screciu, footballeur roumain.
Joseph Veleno, hockeyeur professionnel canadien.
https://fr.wikipedia.org/wiki/13_janvier
Événements
532 : début de la sédition Nika.
1129 : création de l'Ordre du Temple lors du concile de Troyes.
1129 : ouverture du concile de Troyes, convoqué par le pape Honorius II, pour la reconnaissance de l'Ordre du Temple.
1345 : le pape Eugène IV publie la bulle Sicut dudum.
1547 : Henry Howard est condamné à mort pour haute trahison.
1797 : début de l'engagement naval au cours duquel eut lieu le naufrage du Droits de l'Homme, au retour de l'expédition d'Irlande.
1836 : prise de Tlemcen en Algérie par le général Clauzel.
1842 : victoire de l'Émirat d'Afghanistan à la bataille de Gandamak lors de la première guerre anglo-afghane.
1847 : signature du Traité de Cahuenga qui met fin aux combats de la guerre américano-mexicaine.
1848 : création de la colonie de l'Île de Vancouver.
1895 : bataille de Coatit pendant la première guerre italo-éthiopienne.
1898 : publication de l'article J'accuse…! par Émile Zola, dans le quotidien L'Aurore, lors de l'affaire Dreyfus.
1908 : Henri Farman parcourt un circuit aérien fermé d'un kilomètre au-dessus du terrain d'Issy-les-Moulineaux à bord d'un biplan, établissant ainsi un nouveau record du monde.
1910 : Pagliacci et Cavalleria rusticana, chantés au Metropolitan Opera, sont les premiers opéras diffusés en direct à la radio
1915 : un séisme dans la région d'Avezzano, dans le centre de l'Italie, fait près de 30 000 morts.
1930 : Mickey, déjà célèbre en dessin animé, apparaît en bandes dessinées.
1935 : plébiscite pour le rattachement de la Sarre à l'Allemagne.
1942 : déclaration du palais de Saint-James.
1942 : Helmut Schenk fait la première utilisation d'un siège éjectable, sur le prototype Heinkel He 280.
1953 : dénonciation dans la presse soviétique du « complot des blouses blanches ».
1963 : coup d'État au Togo et assassinat du président Sylvanus Olympio.
1967 : Gnassingbé Eyadema prend le pouvoir au Togo.
1968 : Johnny Cash enregistre l'album live At Folsom Prison dans la Prison d'État de Folsom.
1972 : coup d'État d'Ignatius Kutu Acheampong qui prend le pouvoir au Ghana.
1972 : la sortie au Royaume-Uni du film Orange mécanique de Stanley Kubrick déclenche un tourbillon de polémiques.
1980 : proclamation de la IIIe République au Togo
1988 : Lee Teng-hui devient président de la République de Chine (Taïwan).
1991 : réélection de Mário Soares à la présidence du Portugal.
1993 : signature de la convention sur l'interdiction des armes chimiques.
1998 : auto-immolation d'Alfredo Ormando, comme protestation contre l'homophobie.
2000 : une équipe internationale de chirurgiens, dirigée par le Pr Jean-Michel Dubernard, effectue une double greffe des mains, à l'hôpital Edouard-Herriot de Lyon, sur un peintre en bâtiment de 33 ans. C'est une première mondiale.
2012 : le navire de croisière Costa Concordia touche un récif, s’échoue et fait naufrage, à proximité de l’île de Giglio, au large de Porto Santo Stefano sur le littoral sud de la Toscane.
2018 : en République tchèque, 2e jour du premier tour de l'élection présidentielle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/13_janvier
L'opération Iskra (en russe : Операция Искра, Operatsia Iskra, « opération Étincelle ») est une opération soviétique de la Seconde Guerre mondiale conçue pour briser le siège de Léningrad.
L'opération est menée par la 67e armée (en) du front de Léningrad, les 2e armée de choc et 8e armée du front de Volkhov et la flotte de la Baltique avec pour but de créer une liaison terrestre avec Leningrad. L'opération réussit à ouvrir un corridor terrestre de 8 à 10 km de large pour la ville. Une voie ferrée fut rapidement construite dans le corridor permettant un ravitaillement beaucoup plus important que par la route de la vie et réduisant significativement la possibilité de la prise de la ville par les troupes de l'Axe.
Le succès d'Iskra conduisit la Stavka à lancer une opération beaucoup plus ambitieuse nommée opération Polyarnaya Zvezda (« Étoile polaire ») moins de deux semaines plus tard. Cette opération avait pour but de lever définitivement le siège de Leningrad et vaincre de façon décisive le groupe d'armées Nord.
À la fin de 1942, les conditions de Leningrad continuent d'être difficiles. Les troupes du front de Leningrad et la flotte de la Baltique sont toujours isolées du reste du pays.
Courant 1942, l'Armée rouge tenta de percer, à deux reprises, le blocus de Leningrad en lançant cependant, l'opération Liouban puis l'offensive Siniavino qui ne furent pas couronnées de succès. La zone située entre la côte sud du lac Ladoga et la ville de Mga (ru), est la distance la plus courte entre la ligne de front de Leningrad et la ligne de front de Volkhov, appelée le Col de bouteille, elle oscille entre 12 km et 16 km et est toujours fortement occupée par la 18e armée allemande.
La planification de l'opération a débuté peu après l'échec de l'offensive Siniavino. Les défaites allemandes sur le front de Stalingrad à la fin 1942 ayant affaibli le front allemand, le commandement soviétique cherche, fin 1942, à planifier ou à mener des opérations offensives sur l'ensemble du front russe en particulier dans le Sud de la Russie, pour le début de l'année 1943.
En novembre 1942, les commandants du front de Leningrad présentent plusieurs propositions pour la préparation d'une nouvelle offensive en vue de libérer à Leningrad.
L'opération Chlisselbourgskaïa (opération Chlisselbourg) est planifiée pour décembre 1942, avec le but d'effectuer une jonction avec le front de Volkhov puis assurer la construction du chemin de fer le long du lac Ladoga.
L'opération Ouritskaïa est planifiée pour février 1943 afin d'établir une jonction entre Leningrad et la tête de pont d'Oranienbaum (en).
Après avoir examiné les deux opérations, la Stavka décide d'abandonner l'opération Ouritskaïa et approuve l'opération Chlisselbourgskaïa sous le nom de code Iskra. Selon la directive 170 703, l'opération Iskra a pour but de réduire le Col de bouteille, empêchant tout ravitaillement de Leningrad, et de créer un contact terrestre avec la ville.
Directive 170 703
DIRECTIVE
« le 8 décembre 1942 no 170 703
Le commandant des fronts de Volkhov et de Leningrad pour la percée du siège de Leningrad et la préparation de l'offensive de Mga.
8 décembre 1942 22 h 45 min
Le but des efforts conjoints des fronts de Volkhov et de Leningrad est de vaincre le groupe ennemi dans la région de Lipka, Gaïtolovo, Moscou, Doubrovka, Chlisselbourg et ainsi briser le siège de la ville de Leningrad, avant la fin janvier 1943.
Lignes de défense devront être bien établies sur le ??? (une rivière sûrement) Michael, Tortolovo, pour assurer une communication du front de Leningrad, après quoi les troupes pourront se reposer 10 jours.
Dans la première moitié de février 1943, il faudra préparer et mener des opérations pour vaincre l'ennemi dans la région de Mga et nettoyer les alentours du chemin de fer de Kirov et les routes d'accès à la ligne de Raven, Sigolovo, Voïtolovo, Voskresenskoïe.
À la fin de l'offensive de Mga les troupes prendront leurs quartiers d'hiver.
Cet ordre est pour les commandants de régiments, inclusivement.
Confirmez la réception. À transmettre à l'échelon.
Stavka du grand commandement suprême. J. Staline G. Joukov »
Forces en présences
Forces soviétiques
Le total des troupes des deux fronts est de 302 800 officiers et soldats, environ 4 900 pièces d'artillerie et de mortiers (d'un calibre de 76 mm et plus), plus de 600 chars et 809 avions.
Les troupes soviétiques sont environ 5 fois supérieures à celle de l'ennemi en hommes et en matériel.
Front de Léningrad sous le commandement du colonel-général Leonid Govorov
67e armée (en) du lieutenant-général Mikhaïl Pavlovitch Doukhanov (ru)
55e armée du lieutenant-général Vladimir Petrovitch Sviridov (ru)
414 avions de la 13e armée de l'air (en) du colonel-général Stepan Dmitrievitch Rybalchenko (en)
Front de Volkhov sous le commandement des généraux Kirill Meretskov et Ivan Fediouninski
2e armée de choc du lieutenant-général Vladimir Zaharovitch Romanovski (ru)
54e armée (en) du lieutenant-général Alexandr Vassilevitch Soukhomline (ru)
8e armée du lieutenant-général Philipp Nikanorovitch Starikov (ru)
14e armée de l'air (en) du lieutenant-général Ivan Petrovitch Jouravlev (ru)
Soutenu par l'artillerie des navires de la flotte de la Baltique et de la flottille de Ladoga (ru), composé de 1 870 canons et mortiers.
Forces allemandes
La défense de la zone Schlüsselburg-Siniavino est réalisée par six divisions soit environ 60 000 officiers et soldats, soit 10 000-12 000 combattants par division, avec le soutien de 700 canons et mortiers, et d'environ 50 chars et canons d'assaut.
Le soutien aérien de la 18e armée et de l'ensemble du groupe d'armées Nord est réalisé par la Luftflotte 1 forte d'environ 200 avions.
18e armée du général Georg Lindemann
Luftflotte 1 du colonel-général Alfred Keller
Préparation de l'opération
Colonne de chars soviétiques ; photo prise pendant l'hiver 1942 sur le front de Leningrad. La zone sud du lac Ladoga est une région très boisée avec de nombreux milieux humides, notamment des tourbières, des marécages et des marais. Ces deux facteurs entraveront la mobilité de l'artillerie et des véhicules blindés, fournissant un avantage considérable aux forces de défense.
L'un des endroits clés se trouvait sur les hauteurs de Siniavino, un monticule haut de 150 mètres qui domine la plaine et qui est l'une des rares zones sèches et claires de la zone.
Préparatifs allemands
À la suite des difficultés du secteur de Stalingrad et de l'offensive soviétique à Velikie Louki au sud de Leningrad, le groupe d'armées Nord est désormais sur une position défensive vu qu'il a été dépouillé de nombreuses troupes. La 11e armée, qui devait mener l'assaut final sur Leningrad, et qui avait contrecarré la dernière offensive soviétique, a été transférée au groupe d'armées Centre en octobre ainsi que neuf autres divisions qui ont été également réaffectées sur d'autres secteurs.
Au début de l'offensive soviétique, la 18e armée qui est dirigée par Georg Lindemann se compose de 26 divisions réparties sur un front de 450 km. Le rideau défensif de la 18e armée était très mince et très étiré. Ses forces ne lui permettant pas de disposer de réserves de division, chaque division avait une réserve tactique d'un ou deux bataillons, et les réserves de l'armée se composaient d'éléments des 96. ID et 5e division alpine. La Luftflotte 1 fournit le soutien aérien de la 18e armée.
Cinq divisions et une partie d'une autre gardaient l'étroit couloir qui sépare les deux fronts soviétiques : le front de Léningrad et le front de Volkhov. Le couloir large de seulement 16 km fut appelé le Col de bouteille.
Depuis le 8 septembre 1942, la ligne de front avait très peu changé depuis que le blocus a été établi, les forces allemandes avaient construit un réseau dense de points forts défensifs, reliés entre eux par des tranchées et protégés par de nombreux obstacles avec une artillerie de verrouillage et de nombreux mortiers.
Malgré la supériorité significative de l'Armée soviétique, le commandement allemand compte garder ses positions, principalement grâce à la puissance de ses positions défensives. La majorité des points d'appui étaient des forteresses qui étaient protégées par une première ligne doublée d'une défense en profondeur composée de champs de mines, de barbelés et de bunkers fortifiés.
Face à la 67e armée soviétique, la défense est tenue par un régiment de la 227e ID, la totalité de la 170e division d'infanterie et un régiment de la 5e division alpine. Ces troupes sont chargées de défendre Schlisselbourg, les cités ouvrières de Nazia no 1, 5 et 6, la gare Podgornaïa, Siniavino, et la cité Saint-Michel. En outre la 61e ID se trouve à la cité ouvrière no 5 au centre du dispositif.
Dans la zone de la 2e armée de choc et de la 8e armée soviétique la défense est tenue par la 227e division d'infanterie, moins un régiment, la 1re division d'infanterieet un régiment de la 223e division d'infanterie et de la sécurité 207e division de sécurité5. Les principaux points de résistance étaient Lipka, la cité ouvrière no 8, Krouglaïa Grove et les villages de Gaïtolovo et Tortolovo.
Les réserves, qui sont positionnées dans la région Mga, sont composées de la 96. ID, de la 5e division alpine moins un régiment, ainsi que le 502e bataillon de chars lourds composé de 23 chars (16 Panzer III, 6 Panzer IV et 1 befehlspanzer
.
Préparatifs soviétiques
La Directive 170 703 indiquait que les troupes des front de Volkhov et de Léningrad, devaient attaquer conjointement dans les régions de Lipka, Gaïtolovo, Doubrovka, Schlisselbourg, afin de reprendre le Col de bouteille pour créer un couloir de ravitaillement terrestre pour Leningrad, indiquant que l'opération devait être terminée pour la fin janvier 1943.
La grande différence d'avec l'offensive Siniavino est principalement le lieu et la méthode de l'attaque principale.
Lors de l'offensive de Siniavino, les forces soviétiques ont attaqué au sud de la commune urbaine de Siniavino, ce qui leur a permis de cerner plusieurs divisions allemandes, mais en s'offrant aux contre-attaques de flanc. C'est d'ailleurs les contre-attaques qui ont finalement provoqué l'échec de l'offensive.
L'offensive Iskra sera menée au nord de Siniavino, plus près de la rive du lac Ladoga, éliminant les menaces d'attaques de flanc et augmentant la probabilité de succès. Toutefois, les Soviétiques ont alors abandonné l'idée d'encercler la plupart des forces allemandes dans le Col de bouteille.
L'objectif de la 67e armée est de traverser le fleuve Neva, entre le museau Nevski et Schlüsselburg, de percer les premières lignes ennemies, situées à 12 kilomètres, et se dirigeant dans la direction de Siniavino, prendre les cités ouvrières des tourbières de Nazia7 no 6 et no 1 ainsi que Siniavino et Schlüsselburg. Dans un second temps, après avoir rejoint les forces du front de Volkhov elle devait développer une offensive en direction du sud-est pour atteindre la rivière Moïka.
Du côté du front de Volkhov, l'objectif des différentes composantes de la 2e armée de choc est de percer les défenses ennemies sur une largeur de 12 km, entre Gaïtolova et Lipka, de réduire les points d'appui de la colonie de travailleurs no 8, de la forêt de Krouglaïa Grove puis dans un second temps, se diriger vers l'ouest en direction de Siniavino en se rendant maîtres des colonies de travailleurs nos 1, 5, 7 et de la ville de Siniavino. Dans un troisième temps, une autre partie des troupes de la 2e choc, après avoir fait sa jonction avec les troupes du front de Leningrad, devait prendre la colonie de travailleurs no 2 puis se dirigeant vers le sud capturer la colonie de travailleurs no 6.
L'objectif de la 8e armée était de percer les défenses à Gaïtolovo et d'avancer dans la direction de Tortolovo et Saint-Michel.
Du côté soviétique, le commandement avait une image assez détaillée de la défense ennemie grâce aux efforts du renseignement. Il réussit également à cacher à l'ennemi la direction de l'attaque principale.
Les deux fronts ont reçu plusieurs divisions d'infanterie supplémentaires ainsi que des brigades. Mais elles ont également reçu comme renforts de l'artillerie, du génie, et des unités d'hiver spécialisée comprenant 3 brigades de ski et 4 bataillons d'aérosans (aerosleigh en anglais) qui étaient vitales pour percer les lourdes défenses allemandes. Afin de s'assurer de la supériorité aérienne, qu'ils n'avaient pas eu lors de l'offensive précédente, la force aérienne comporte désormais plus de 800 avions. Les forces blindées lourdes ne pouvant pas bien être utilisées dans les terrains marécageux, elles seront principalement comme bataillons de renfort et d'appoint pour les divisions ou brigades.
Le 10 janvier, la Stavka envoie Joukov pour coordonner la bataille.
Initialement prévue pour le mois de décembre 1942, l'opération est reportée car la glace sur la Neva, le lac Ladoga et les marais n'était pas assez robuste. Un nouveau report a lieu le 1er janvier en raison du manque d'épaisseur de glace sur la Neva. L'opération débute donc le 12 janvier 1943, toutefois la glace n'est pas assez épaisse pour soutenir les véhicules lourds.
La bataille
12 janvier
Avance soviétique au 12 janvier. Dans la nuit du 11 au 12 janvier, les bombardiers de nuit soviétiques attaquent le quartier général de la division, les positions d'artillerie, les aérodromes allemands, les centres de communication et les nœuds ferroviaires afin de perturber l'organisation des défenseurs.
L'opération débute le 12 janvier à 9 h 30, après une préparation d'artillerie de 2 h 20 sur le côté ouest, 1 h 40 sur le côté est du Col de bouteille, et un tir de barrage de Katiouchas.
À 11 h 50, sur le front de Léningrad, les 136e et 268e divisions d'infanterie soviétique commencent à traverser la Neva. Chaque division a été renforcée par quatre ou cinq régiments d'artillerie et de mortier, d'un régiment de canons anti-chars et d'un ou deux bataillons de génie. L'attaque qui s'effectue sur 3 points, est également soutenue par 147 chars légers et des véhicules blindés que la Neva gelée pouvait supporter.
Les forces du front de Léningrad progressent fortement entre Schlüsselburg et Gorodok 2. Le secteur nord, est composé de la 136e division et d'un bataillon de la 61e brigade blindée. Le secteur central est composé de la 268e division et du 86e bataillon de chars.
À la fin de la journée, les troupes soviétiques qui ont brisé la défense de la 170. ID établissent une tête de pont d'environ 5 km de large sur 3 km de profondeur. À 18 h les sapeurs construisent des ponts près de Mar'ino pour permettre aux troupes de deuxième échelon et aux chars moyens et lourds d'avancer.
Toutefois les attaques plus au sud, près de Gorodok, effectuées par la 45e division infanterie de la garde (ru) et le 118e bataillon de chars ont seulement abouti à la capture de la première ligne de tranchées allemandes. L'attaque plus au nord, contre Schlisselbourg effectuée par la 86e division d'infanterie et la 61e brigade blindée a échoué, ces unités n'ayant pas réussi à traverser la Neva en raison d'une défense acharnée. En soirée, le commandement du front décide d'exploiter la tête de pont, et y transporte ces unités afin d'attaquer Schlisselbourg à partir du sud. Toutefois les diverses attaques et bombardements ont anéanti deux régiments 61e DI.
À 11 h 15, la 2e armée de choc passe à l'offensive et à 11 h 30 c'est au tour de la 8e armée. À cause des lourdes défenses et de la région marécageuse et tourbeuse même gelée, la progression des troupes soviétiques est difficile. Sur les zones nord et centrale, les 128e, 372e et 256e divisions d'infanterie soviétique réussissent à percer les défenses de la 227e division d'infanterie allemande sur 2 km mais sans parvenir à détruire les points d'appui allemands de Lipka ainsi que le point d'appui de la cité ouvrière no 8. Ce dernier a été une position défensive avec une garnison de 700 hommes et 16 bunkers.
Plus au sud, entre le point d'appui no 8 et Krouglaïa Grove, l'avance de la 327e division d'infanterie soviétique est de 1 km à 2 km seulement, tandis que plus au sud encore, les attaques effectuées par les 80e et 256e divisions d'infanterie et la 73e brigade d'infanterie navale ont seulement réussi à capturer la première ligne de tranchées allemandes défendue par la 1re division d'infanterie allemande.
Le commandement allemand a été contraint à renforcer ses défenses en déployant ses réserves dans la région toute la nuit. Un groupement tactique improvisé composée de cinq bataillons de la 96e division d'infanterie, appuyée par l'artillerie et quatre chars Tigre, s'installe à Gorodok no 2 pour renforcer la 170e division d'infanterie à l'ouest. Un autre groupe de combat de bataillons de la 96e division d'infanterie, est envoyé à Gorodok no 1 pour soutenir la 227e division d'infanterie.
13 au 17 janvier
Avance soviétique au 17 janvier. Les cinq jours de combat suivants sont féroces et acharnés. L'ennemi offre une résistance acharnée, grâce à ses nombreux points d'appui défensifs. Pour cette deuxième journée, le commandement soviétique décide d'engager les troupes de deuxième échelon. L'avance soviétique est toutefois très lente en raison des lourdes défenses allemandes et de la vaillance des défenseurs. Les Soviétiques sont obligés de repousser des contre-attaques qui perturbent la conquête.
Le 13 janvier, en raison du mauvais temps l'aviation soviétique reste clouée au sol. Pour ces raisons, les Soviétiques subissent de lourdes pertes sans gain de terrain significatif. La 45e division de la garde et la 268e division d'infanterie s'élancent sur la Neva gelée. La défense allemande brise leurs assauts, mais un peu plus loin, la 61e brigade blindée et la 136e division d'infanterie réussissent à installer une tête de pont sur la rive est de la Neva, malgré la défense de fer de la 227 ID et se dirigent en direction de la cité ouvrière no 5. Pour assurer les flancs la 123e brigade d'infanterie est envoyée en direction de la cité ouvrière no 5 et la 123e division d'infanterie accompagnée de la 152e brigade blindée se dirigent en direction de Siniavino et de la cité no 6.
Sur le front de Volkhov, la 2e armée de choc lance ses forces dans la bataille. La 18e division d'infanterie et de la 98e brigade blindée attaquent en direction de la cité no 5, la 71e division d'infanterie en direction de Krouglaïa Grove sans avance significative.
Côté allemand, les défenseurs luttent avec acharnement. Les contre-attaques n'ayant pas réussi, les renforts sont constitués de Kampfgruppen. Ces groupes de combat sont formés principalement à partir des 1re et 61e de la 5e division alpine et de la SS Polizei Division.
Le 14 janvier, la météo s'améliore suffisamment pour permettre un soutien aérien et l'avance soviétique reprend, mais à un rythme lent en concentrant ses attaques à partir du front de Volkhov. Pour accélérer l'encerclement des points d'appui de Lipka, les Soviétiques utilisent, en appui de la 128e DI, la 12e brigade de ski, qui traverse le lac Ladoga, gelé, et attaque les lignes allemandes par l'arrière. Plus au sud, trois divisions d'infanterie et la 98e brigade blindée de la 2e armée de choc attaquent en direction du point d'appui no 5 où s'accrochent les Allemands du 284e régiment d'infanterie de la 96. ID venu renforcer les défenseurs. Dans le secteur de Gaïtolovo la 2e armée de choc lance les 11e, 191e, 239e divisions d'infanterie accompagnées de la 13e brigade de ski et de la 122e brigade blindée qui n'arrivent pas à percer et élargir le front au sud. Le seul succès est obtenu par la 256e division d'infanterie qui réussit à prendre la cité ouvrière no 7.
Du côté du front de Leningrad, les quatre chars restant de la 1.Kompanie de la Schwere Panzer Abteilung 502 repoussent l'assaut, à travers la Neva gelée, d'une trentaine de chars T-34. Dans le secteur de Schlisselbourg, les combats sont féroces. La 86e DI soviétique accompagnée d'un bataillon de la 61e brigade blindée attaquent par le sud pendant que la 34e brigade de ski et la 55e brigade d'infanterie, attaquent par le nord à travers le lac Ladoga gelé.
À la fin de la journée, les forces allemandes situées dans les zones de Lipka et de Schlisselbourg sont presque totalement coupées du reste de l'armée allemande.
Le 15 janvier, les Soviétiques se sont battus particulièrement contre les points d'appui 3, 4, 7 et 814 et la poche de Schlisselbourg. Les assauts répétés des forces soviétiques font craquer les défenses allemandes.
Sur le côté ouest, en fin de journée, la cité ouvrière no 3 est enfin prise par la 123e brigade d'infanterie.
Sur le côté est, la 372e division d’infanterie prend les cités ouvrières nos 8 et 4.
La 136e division d'infanterie (ru) et la 61e brigade blindée de la 55e armée venant de l'ouest et la 18e DI et la 16e brigade blindée de la 2e armée de choc venant de l'est font leur jonction au nord du point d'appui no 5, encerclant ainsi la 227. ID et deux bataillons de la 96. ID dans Schlisselbourg. Les Soviétiques concentrent alors tous leurs efforts pour réduire la poche. Leonid Govorov est promu colonel général.
Toutefois une contre-attaque de la 61. ID parvient à rompre l'encerclement et deux régiments rejoignent les troupes assiégées, mais les Soviétiques contre-attaquant également referment l'ouverture. Le général Werner Hühner, commandant la 61e division prenant le commandement des forces de la poche Schlisselbourg, organise la défense avec des Kampfgruppen. Les combats autour de Poselok no 513 font rage entre les défenseurs et la 136e division d'infanterie soviétique.
Le 16 janvier, la 18e division d'infanterie soviétique lance trois assauts sur Poselok no 5 qui sont tous repoussés.
Le 17 janvier, la 18e division d'infanterie soviétique appuyée par la 61e brigade blindée, encerclent le point d'appui après des combats d'une violence inouïe, mais les défenseurs tiennent toujours bon. Les troupes soviétiques sont à 1,5 km-2 km des points d'appui nos 1 et 5.
En fin de journée la 372e division d’infanterie prend la cité no 1.
18 au 20 janvier
Avance soviétique au 21 janvier. Le 18 janvier, les combats reprennent avec la même intensité. La 123e division d'infanterie de la 67e armée soviétique et la 372e division d'infanterie de la 2e armée de choc font leur jonction à proximité du point d'appui no 1. La 136e division d'infanterie soviétique appuyée par la 61e brigade blindée entrent enfin dans le point d'appui no 5. Le blocus de Leningrad est brisé.
Les troupes allemandes situées au nord de ces jonctions, dont les plus nombreuses sont à Schlisselbourg, se retrouvent donc encerclées. Toutefois les troupes soviétiques occupant WS no 5 sont délogées par un barrage d'artillerie allemand qui permet au Kampfgruppe Hühner d'abandonner la poche de Schlisselbourg, en abandonnant son artillerie et les équipements lourds, et après de terribles combats au corps à corps, à travers la région boisée vers Siniavino, de rejoindre, les lignes allemandes plus au sud.
En début d'après-midi, les forces soviétiques nettoient Schlisselbourg et Lipka des forces allemandes et commencent à liquider le reste des forces réfugiées dans les forêts du sud du lac Ladoga.
Les 19 et 20 janvier, les débris du Kampfgruppe Hühner atteignent dans les premières lignes allemandes. L'évasion a été coûteuse pour les deux parties.
Les forces soviétiques, ayant éliminé les forces allemandes encerclées qui n'avaient pu s'échapper, continuent leur offensive vers le sud en direction de Siniavino. Cependant, la 18e armée qui avait renforcé ses positions défensives dans le secteur avec la SS Polizei Division, les 21e et 11e DI et la 28e division alpine les forces soviétiques parviennent à capturer le WS no 5, mais sont incapables d'avancer plus loin.
21 au 30 janvier
Le 21 janvier, incapables d'avancer plus loin, les Soviétiques commencent à fortifier très fortement la région pour contrecarrer toute tentative allemande d'une contre-attaque et d'un rétablissement du blocus de Leningrad.
Le 22 janvier, la construction de la ligne ferroviaire reliant Leningrad au reste du pays à travers le couloir capturé commence, conformément au plan du Comité de Défense ordonnant que la construction soit terminée dans les 20 jours. Les travaux ont été achevés en avance sur le calendrier et les trains commencent à livrer du matériel à partir du 6 février 1943.
Le 30 janvier, l'opération Iskra est officiellement terminée.
Bilan
L'opération Iskra est une victoire stratégique pour les forces soviétiques. Du point de vue militaire, l'opération a éliminé la possibilité de la capture de la ville. D'autre part le front de Leningrad sera désormais très bien ravitaillé, renforcé et capable de coopérer plus étroitement avec le front de Volkhov. Pour la population civile, l'opération Iskra permet le ravitaillement en nourriture ainsi que la possibilité d'évacuer plus de civils de la ville. La fin du blocus a également eu un effet stratégique, bien qu'il ait été éclipsé par la reddition de la 6e armée allemande à Stalingrad quelques jours plus tard. En effet, le char Tigre, capturé intact par les Soviétiques lors de cette bataille, est évacué par les forces soviétiques pour être étudié.
Cette victoire conduit à des promotions pour Leonid Govorov, qui est promu, le 15 janvier, au grade de colonel-général et Joukov, qui est promu, le 18 janvier, maréchal de l'Union soviétique. En outre Govorov et Meretskov sont décorés, le 28 janvier, de l'ordre de Souvorov 1re classe. Les 136e et 327e divisions d'infanterie sont promues et deviennent les 63e et 64e divisions de la garde, alors que la 61e brigade blindée devient la 30e brigade blindée de la garde.
Du côté allemand, faute de renforts suffisants, le commandement du groupe d'armées Nord prit la décision de raccourcir la ligne de front, en évacuant les saillants de Demiansk et de Rjev. Le saillant de Demiansk qui resta tout au long 1942, malgré son encerclement pendant quelques mois, était une importante tête de pont stratégique. Ce saillant avec celui de Rjev, également évacué au printemps 1943, pouvaient potentiellement être utilisés pour encercler un grand nombre de forces soviétiques. Cependant, dans la situation qui s'était développée, leur conservation n'était plus possible.
Malgré ces conditions, la Stavka savait que l'opération Iskra était incomplète, car le couloir qui avait été ouvert était étroit et il était encore à portée de l'artillerie allemande ; les hauteurs stratégiques de Siniavino qui étaient ainsi encore sous contrôle allemand. Joukov planifia une opération beaucoup plus ambitieuse nommée offensive Polyarnaya Zvezda (« Étoile polaire »). L'opération avait pour but de vaincre de façon décisive de groupe d'armées Nord, mais elle échoua dès le début. Les forces soviétiques réalisèrent, en 1943, plusieurs autres offensives dans la région, élargissant lentement le couloir, avant de capturer Siniavino en septembre. Toutefois, la ville était encore soumise à un siège partiel. Les bombardements aériens et d'artillerie durèrent jusqu'en janvier 1944, lorsque les lignes allemandes furent percées par l'offensive Leningrad–Novgorod, levant totalement le siège.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Iskra
En tant que réalisateur
Années | Titres | Notes | Box-office France |
1962 | Le Poulet (Court-métrage) | Film sorti en 1965 Récompensé de l'Oscar du meilleur court-métrage de fiction en 1966 Également producteur | - |
1964 | Les Baisers (segment « Baiser de 16 ans ») | Film à sketches | - |
La Chance et l'amour (segment « La Chance du guerrier ») | Film à sketches | 181 471 entrées |
1966 | Le Vieil homme et l'enfant | Également scénariste | 2 728 049 entrées |
1968 | Mazel Tov ou le Mariage | Également scénariste, acteur et producteur | 411 586 entrées |
1969 | Le Pistonné | Également scénariste et producteur | 1 918 622 entrées |
1970 | Le Cinéma de papa | Également scénariste et acteurN 1 | 167 132 entrées |
1972 | Sex-shop | Également scénariste et acteur | 1 465 092 entrées |
1975 | Le Mâle du siècle | Également scénariste, acteur et producteur | 136 124 entrées |
1976 | La Première fois | Également scénariste | 1 180 831 entrées |
1977 | Un moment d'égarement | Également scénariste | 911 534 entrées |
1980 | Je vous aime | Également scénariste | 1 350 035 entrées |
1981 | Le Maître d'école | Également scénariste | 3 015 596 entrées |
1983 | Tchao Pantin | Également scénariste. | 3 829 139 entrées |
1986 | Jean de Florette | Également adaptation | 7 223 781 entrées |
Manon des sources | Également adaptation | 6 645 177 entrées |
1990 | Uranus | Également scénariste | 2 545 412 entrées |
1993 | Germinal | Également scénariste et producteur | 6 161 776 entrées |
1996 | Lucie Aubrac | Également scénariste | 1 708 050 entrées |
1999 | La débandade | Également scénariste et acteur | 197 721 entrées |
2001 | Une femme de ménage | Également scénariste et producteur | 875 351 entrées |
2004 | L'Un reste, l'autre part | Également scénariste et producteur | 865 516 entrées |
2006 | Ensemble, c'est tout | Également scénariste et producteur | 2 312 431 entrées |
2009 | Trésor | Également scénariste et producteur | 655 437 entrées |
Total au Box-office | - | - | 47 171 777 entrées |
Titres | Années | Box-office France |
Jean de Florette | 1986 | 7 223 657 entrées |
Manon des sources | 1986 | 6 645 117 entrées |
Germinal | 1993 | 6 161 776 entrées |
Tchao Pantin | 1983 | 3 829 139 entrées |
Le Maître d'école | 1981 | 3 105 596 entrées |
Le Vieil Homme et l'Enfant | 1967 | 2 728 049 entrées |
Uranus | 1990 | 2 542 412 entrées |
Ensemble, c'est tout | 2007 | 2 312 638 entrées |
En tant que scénariste ou adaptateur
1962 : Janine (court métrage) de Maurice Pialat (scénariste, dialoguiste et acteur)
1972 : L'Œuf de Jean Herman (adaptateur)
1985 : Le Fou de guerre de Dino Risi (adaptateur français du scénario et producteur)
En tant que producteur
1962 : Le Poulet de Claude Berri
1967 : Marie pour mémoire de Philippe Garrel - producteur associé
1968 : Oratorio for Prague court-métrage documentaire de Jan Němec
1969 : L'Enfance nue de Maurice Pialat
1970 : Le Pistonné de Claude Berri
1970 : La Maison de Gérard Brach
1972 : L'Œuf de Jean Herman
1973 : Pleure pas la bouche pleine de Pascal Thomas
1975 : Le Mâle du siècle de Claude Berri
1976 : Je t'aime moi non plus de Serge Gainsbourg - (coproducteur)
1978 : Vas-y maman de Nicole de Buron (non crédité)
1979 : Tess de Roman Polanski
1980 : Inspecteur la Bavure de Claude Zidi
1982 : Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne
1983 : L'Africain de Philippe de Broca
1983 : Banzaï de Claude Zidi
1983 : L'Homme blessé de Patrice Chéreau
1983 : La Femme de mon pote de Bertrand Blier
1983 : Garçon ! de Claude Sautet
1985 : Les Enragés de Pierre-William Glenn
1985 : Le Fou de guerre de Dino Risi (également adaptation française)
1987 : Hôtel de France de Patrice Chéreau
1988 : À gauche en sortant de l'ascenseur d'Édouard Molinaro
1988 : L'Ours de Jean-Jacques Annaud
1988 : Trois places pour le 26 de Jacques Demy
1988 : La Petite Voleuse de Claude Miller
1989 : Valmont de Miloš Forman
1992 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud
1993 : Une journée chez ma mèrede Dominique Cheminal
1994 : La Reine Margot de Patrice Chéreau
1994 : La Séparation de Christian Vincent
1995 : Les Trois frères de Didier Bourdon et Bernard Campan(également acteur)
1995 : Gazon maudit de Josiane Balasko - (producteur exécutif)
1996 : Le Roi des aulnes (Der Unhold) de Volker Schlöndorff - (producteur exécutif)
1997 : Didier d'Alain Chabat
1997 : Arlette de Claude Zidi
1997 : Le Pari de Didier Bourdon et Bernard Campan
1998 : Mookie d'Hervé Palud - (producteur associé)
1999 : Astérix et Obélix contre César de Claude Zidi
1999 : Mauvaise passe de Michel Blanc
2001 : La Boîte de Claude Zidi
2001 : Ma femme est une actrice d'Yvan Attal
2002 : Amen. de Costa-Gavras
2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat
2003 : Le Bison (et sa voisine Dorine) d'Isabelle Nanty
2003 : Une femme de ménage de Claude Berri
2003 : Les Sentiments de Noémie Lvovsky
2004 : San-Antonio de Frederic Auburtin
2004 : Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants d'Yvan Attal
2005 : L'Un reste, l'autre part de Claude Berri
2005 : Les Enfants de Christian Vincent
2005 : Le Démon de midi de Marie-Pascale Osterrieth
2005 : La Maison du bonheur de Dany Boon
2007 : Ensemble, c'est tout de Claude Berri
2007 : La Graine et le Muletd' Abdellatif Kechiche
2008 : Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon
Claude Berri acteur
Théâtre
1958 : Procès à Jésus de Diego Fabbri, mise en scène Marcelle Tassencourt, théâtre Hébertot
1959 : Tchin-Tchin de François Billetdoux, mise en scène François Darbon, Poche Montparnasse
1962 : Les Petits Renards de Lillian Hellman, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Sarah-Bernhardt
Cinéma et Télévision
1953 : Rue de l'Estrapade de Jacques Becker (silhouette, non crédité)
1953 : Le Bon Dieu sans confession de Claude Autant-Lara : Thierry (non crédité)
1954 : Le Blé en herbe de Claude Autant-Lara : le fils du forain (non crédité)
1955 : French Cancan de Jean Renoir : un jeune homme à l'inauguration (non crédité)
1958 : Les Jeux dangereux de Pierre Chenal : Un jeune
1958 : Les Cinq Dernières Minutes : Réactions en chaîne (téléfilm) de Claude Loursais : le steward
1959 : Asphalte de Hervé Bromberger (non-crédité)
1959 : J'irai cracher sur vos tombes de Michel Gast : David
1959 : Cristobal de Lugo (téléfilm) de Jean-Paul Carrière
1960 : Les Bonnes Femmes de Claude Chabrol : un copain de Jane
1960 : La Vérité de Henri-Georges Clouzot : Georges
1960 : Un beau dimanche de septembre de Marcel Cravenne : Michel
1961 : Janine (court-métrage) de Maurice Pialat Claude
1961 : La Bride sur le cou de Roger Vadim : Bernard
1961 : Les lâches vivent d'espoir de Claude Bernard-Aubert
1962 : Les Sept Péchés capitaux (film à sketches) de Claude Chabrol : André (segment « L'Avarice »)
1964 : Et vint le jour de la vengeance (Behold a Pale Horse) de Fred Zinnemann
1964 : Les Cinq Dernières Minutes : 45 tours... et puis s'en vont (téléfilm) de Claude Loursais : Marcel Limonest
1965 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras : un porteur (non crédité)
1965 : Le Temps d'apprendre à vivre (court métrage) de Henri Graziani : Simon
1966 : La Ligne de démarcation de Claude Chabrol : le chef de famille juif (non crédité)
1969 : Mazel Tov ou le Mariage de Claude Berri : Claude
1970 : Le Cinéma de papa de Claude Berri : Claude
1972 : Sex-shop de Claude Berri : Claude
1975 : Le Mâle du siècle de Claude Berri : Claude
1981 : Le Roi des cons de Claude Confortès : l'agent de police
1982 : Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne : le psychanalyste de César (scène coupée)
1983 : L'Homme blessé de Patrice Chéreau : le client
1990 : Stan the Flasher Serge Gainsbourg : Stan Goldberg
1994 : La Machine François Dupeyron : Hughes
1995 : Les Trois Frères de Didier Bourdon et Bernard Campan : le président du tribunal
1997 : Didier Alain Chabat : type à l'aéroport
1998 : Un grand cri d'amour Josiane Balasko : Maillard
1999 : La Débandade de Claude Berri : Claude Langmann
2001 : Les Rois mages Didier Bourdon et Bernard Campan : un passant (non crédité)
2001 : Va savoir Jacques Rivette : le libraire
2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre Alain Chabat : le peintre de Cléopâtre
2003 : Les Clefs de bagnole Laurent Baffie : lui-même
2004 : Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants Yvan Attal : le père de Vincent
2007 : Jacquou le Croquant de Laurent Boutonnat : un villageois
Apparitions documentaires
1995 : L'Univers de Jacques Demy d'Agnès Varda : lui-même
2003 : Claude Berri, le dernier nabab (téléfilm) de Mathias Ledoux : lui-même
2004 : Le Fantôme d'Henri Langlois de Jacques Richard : lui-même