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Cuivres (musique)

Publié à 15:22 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire tube gif photo air centerblog sur base merci france musique divers
Cuivres (musique)

 

 

La famille des cuivres regroupe des instruments à vent (également appelés aérophones) où le son est produit par vibration des lèvres dans une embouchure.

 

Contrairement à ce que leur nom laisse penser, ce n'est pas la matière qui est déterminante dans cette classification, mais la similarité de technique utilisée par le sonneur pour produire le son : faire vibrer la colonne d'air expirée par la vibration des lèvres, et transmettre cette vibration — la plupart du temps au moyen d'une embouchure — à un corps sonore présentant l'aspect d'un tube qui peut être de longueur variable, .

 

Ainsi, même si la majorité des cuivres modernes sont en laiton — un alliage à base de cuivre et de zinc — certains « cuivres » ne sont pas en métal, mais en bois (comme le cor des Alpes ou le Didgeridoo), en bois recouvert de cuir (cornets à bouquin et serpents), en fibre de verre (certains soubassophones). Les « cuivres » rudimentaires pouvaient être en os, corne ou ivoire (oliphant), terre cuite, coquillage (pù polynésien), roseau, ou toute matière pouvant présenter l'aspect d'un tube. Inversement, certains instruments de musique à vent, fabriqués en métal, voire en alliage de cuivre, ne font pas partie des « cuivres » au sens défini précédemment, car le principe d'émission diffère. C'est le cas du saxophone, qui appartient à la famille des bois bien qu'il soit majoritairement composé de laiton.

 

Cette confusion provient sans doute de l'habitude argotique de désigner l'ensemble des instruments à vent d'un même orchestre de variétés (rock, typique...), sous l'appellation section cuivres. On retrouve ce phénomène en langue anglaise avec le mot horns (cors, au sens littéral). Il est également possible qu'elle provienne de la différenciation existante au sein de l'orchestre classique, où tous les "bois" étaient effectivement en bois (flûte traversière en bois, pas de saxophone...) et tous les "cuivres" en cuivre (ou un alliage constitué de cuivre).

 

Pour bien comprendre le principe de fonctionnement des cuivres, il convient de se référer à la théorie acoustique des harmoniques. En simplifiant à l'extrême, cela revient à dire qu'un tube d'une longueur donnée, peut générer un son fondamental (le plus grave possible sur ce tube), et une série de sons plus aigus, aux intervalles toujours identiques. Dans le cas des cuivres, sur une longueur donnée, on peut faire entendre tel ou tel son de la série en faisant varier les paramètres suivants : tonicité des muscles de la face sur le pourtour de la bouche, volume d'air expulsé, vitesse de l'air expulsé

 

Principe du piston des cuivresLa hauteur du son fondamental (et de sa série d'harmoniques corollaires) est directement liée à la longueur du tube. Un tube long donne un son grave (tuba), un tube court donne un son aigu (trompette). Pour faire varier cette hauteur, la longueur du tube doit être modifiée au moyen de divers mécanismes. La coulisse du trombone, est le mécanisme le plus ancien (Moyen Âge). Certains cuivres ont utilisé des clefs, comme la trompette conçue à la fin du XVIIIe siècle à Vienne pour Anton Weidinger. Le cylindre rotatif des cors d'harmonie et des trompettes à palettes a vraisemblablement été inventé en 1824. Le piston Périnet, ou piston parisien, abouti à sa forme définitive en France en 1839. Ces deux derniers dispositifs permettent de changer le trajet de l'air en vibration dans l'instrument.

 

Harmoniques du claironLes cuivres naturels sont de simples tuyaux, dont la longueur ne peut être variée dans l'instant de jeu. Ne pouvant donc produire que peu de notes (sauf cas particulier du cor naturel et des bugles à clefs), ils ont longtemps été utilisés essentiellement comme moyen de communication, appelés alors instruments d'ordonnance.

 

Les cuivres

Cuivres clairs(à perce cylindrique)

Trompettes

Trompette de cavalerie (trompette naturelle)

Trompette piccolo

Trompettes en si, ut, sol, ré, mi, fa

Trompette de cavalerie basse

Trompette-cor ou cor de cavalerie

Trompette basse

Trombones

Trombone soprano (trompette à coulisse)

Trombone alto

Trombone ténor (à coulisse ou à pistons)

Trombone basse

Trombone contrebasse

Tubas

Euphonium (tuba ténor)

Hélicon

Sousaphone

Tuba en fa

Tuba en ut

Cuivres doux (à perce conique)

Clairon

Cornet à pistons

Cors :

Cor d'harmonie

Cor naturel

Trompe de chasse

Mellophone

Tuba wagnérien, Saxotromba

Saxhorns

Bugle en mi (saxhorn sopranino)

Bugle en si (saxhorn soprano)

Saxhorn alto (ou pichotte)

Saxhorn baryton

Saxhorn basse

Saxhorn contrebasse en mi (Bombardon)

Saxhorn contrebasse en si (Contrebasse à vent)

instruments traditionnels

Didgeridoo

Qarnay ouzbek

Cor des Alpes

instruments anciens

Cornet à bouquin

Ophicléide

Sacqueboute

Serpent

instruments rares

Jazzophone

Bugle

Euphonium

Cornet à pistons

Trombone à coulisse

Qarnays lors d'un mariage ouzbek

 

 

   
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Trompette

Trompette

 

La trompette est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres clairs. Elle est fabriquée dans un tube de 1,50 m de long comme le cornet.

 

Le didgeridoo des aborigènes australiens est considéré comme la première "trompette", il s'agit d'un simple tube de bois avec une embouchure de cire, le mode d'émission du son est le même que tout autre cuivre. Les premières trompettes ont été inventées dans l'Antiquité, elles apparurent en Égypte il y a plus de trois mille ans. Deux trompettes ont été retrouvées dans le tombeau de Toutânkhamon. En Grèce, la trompette alors appelée salpinx était considérée comme un instrument de guerre. On y trouvait trois épreuves : le son le plus fort (avec le plus de décibels), le son portant le plus loin, et le son le plus aigu. À Rome, on utilisait le cornu, le buccin (buccina) et le lituus. Les celtes utilisaient le carnyx.

La crise de la trompette a duré soixante-cinq ans (1750-1815). D'une part, l'art du clarino1 avait atteint un sommet difficile à dépasser et d'autre part, l'apparition de l'idéal bourgeois faisait incarner à la trompette un aspect héroïque démodé. L'époque classique montre un brusque changement dans la fonction des trompettes. Après avoir rempli une fonction héroïque qui donne le ton sous forme mélodique, la trompette se fond maintenant dans les tutti. Pour continuer à jouer son rôle héroïque, elle ne fait que couronner brièvement les crescendo. Elle doit s'adapter à la variété des tonalités, on voit donc apparaître des trompettes en fa, sol, si ou la. Dans le classique, le registre du clarino ne monte plus aussi haut que dans lebaroque : on monte rarement au-dessus du sol (juste au-dessus de la portée), parfois on rencontre un la ou un do mais très rarement.

Dès la fin du baroque, on a essayé de rendre la trompette chromatique car la plupart des notes à jouer se trouvent maintenant dans la troisième octave des partiels, les notes sont plus écartées donc les possibilités sont plus restreintes. Différentes techniques vont essayer de contrer ce problème.

Une des plus anciennes de ces techniques est le bouchage qui fut inventé en 1775, puis inutilisée à partir de 1840. L'idée vient d'un corniste A.-J. Hampel, qui en 1750 avait remarqué qu'en introduisant la main dans le pavillon, on pouvait faire baisser la note émise d'un demi, voire un ton complet. La technique n'a pas été mise en œuvre tout de suite sur les trompettes car leur forme ne permettait pas à l'instrumentiste de mettre sa main au niveau du pavillon. C'est en 1777 qu'un facteur « enroula » plus la trompette pour lui donner une forme de demi-lune. On bouchait le pavillon avec trois doigts de la main droite. Les partisans de la trompette « bouchable » croyaient que le bouchage n'influençait en rien le timbre de la trompette : ils avaient tort. En France, D. Buhl fut le plus éminent des trompettistes jouant avec ce procédé. Dans sa méthode, il distinguait la trompette d'ordonnance (instrument de cavalerie en mi ) et la trompette d'harmonie (instrument d'orchestre en sol). On pouvait mettre cette dernière dans des tons plus graves à l'aide de coulisses de rechange et on obtenait les demi-tons au-dessous d'une note donnée en bouchant le pavillon. Le gros défaut de cet instrument est l'inégalité sonore entre les notes ouvertes et bouchées.

La deuxième technique est la trompette à clefs. Elle a les mêmes dates d'apparition et de disparition que le bouchage. L'idée commença, encore une fois, à être expérimentée sur le cor. La première trompette à clefs a été construite en 1777 mais ne connut aucun succès car le timbre caractéristique de la trompette disparaissait presque entièrement et était à mi-chemin entre la trompette et le hautbois. Indépendamment les uns des autres, plusieurs inventeurs firent différents essais dans le même sens. C'est en 1793 qu'un amateur nommé Nessman a mis au point une trompette à clefs qui gardait le timbre de la trompette et avec laquelle il pouvait monter une gamme chromatique. L'expérimentateur le plus heureux et en même temps le plus grand virtuose de la trompette à clefs fut A. Wendinger. D'ailleurs pour lui et sa trompette à clefs, J. Haydn, un de ses amis, a composé son fameux concerto en mi bémol majeur, qui fait usage du registre du clarino et ne peut être joué qu'avec trois clefs. Alors que celui de Hummel a un plus grand choix de notes graves et en nécessite une quatrième. Le gros défaut de cet instrument est le même que pour la trompette à boucher : l'inégalité entre les notes où certaines clefs sont ouvertes et ces mêmes notes lorsqu'elles sont toutes fermées.

La troisième technique a été utilisée surtout en Angleterre entre 1790 et 1885 : c'est la trompette à coulisse. Comme son nom l'indique, le moyen utilisé ici pour rendre la trompette chromatique est la coulisse. Cette coulisse, qui est en forme de U comme sur un trombone mais moins longue que sur celui-ci, est plus proche de l'instrument et comporte un mécanisme permettant de revenir à la position initiale. Elle était appréciée grâce à sa sonorité noble et naturelle mais c'était plus un instrument d'orchestre que de solo à cause notamment de sa raideur mécanique. La trompette à coulisse se construisait en fa mais comportait des coulisses pour l'accorder dans des tons inférieurs. Elle a subsisté plus longtemps que la trompette à boucher et celle à clefs grâce à la forte personnalité des personnes qui la défendaient.

 

La grande invention du XIXe pour la trompette est le piston. C'est un des deux grands évènements de l'histoire de la trompette avec l'admission de la trompette dans la musique de concert vers 1600. Le piston a été inventé vers 1815 (mais des ébauches existaient dès 1788), il fut une réponse au vœu de faire devenir la trompette chromatique, dans le registre grave vers 1750. Le système de pistons avait tous les avantages des systèmes antérieurs de « chromatisation » mais sans aucun des inconvénients. De ce fait, le piston est un élément de l'instrument très fragile et qu'une simple chute peut dérégler. Les avantages que les autres systèmes n'avaient pas étaient : l'instrument est entièrement chromatique et toutes les notes présentaient le même timbre (peut-être pas au début, mais des perfectionnements le permirent très vite). Alors que la trompette à clefs raccourcissait le tube en provoquant des pertes de charge — des "fuites" —, la trompette à pistons comme la trompette à coulisse l'allonge. Cependant on ne fait plus intervenir la physique en tirant sur une coulisse mais on agit mécaniquement sur un, deux, voire trois pistons, ce qui permet d'améliorer la dextérité. À la technique traditionnelle, vient maintenant s'ajouter un élément nouveau : l'habileté digitale. Alors que les trompettistes du baroque n'avaient que trois éléments à coordonner (lèvres, souffle et langue), ceux qui utilisèrent une trompette à pistons en avaient quatre : souffle, lèvres, langue et doigts. La trompette à pistons s'imposa rapidement dans la musique militaire mais se heurta à des opposants (surtout par conservatisme) dans le milieu symphonique. L'inconvénient majeur du piston, hormis sa fragilité résolue par l'usage de monel, alliage résistant, est qu'une trompette à perce parfaitement cylindrique et à pistons ne peut pas être juste, pour des raisons physiques. La modulation de la perce de la branche d'embouchure et l'adaptation de la colonne d'air et — un peu — des lèvres permettent de corriger la justesse




Le piston
Année Avancée
1788
Invention d'un mécanisme du genre piston par un Irlandais. Le texte de la demande de brevet n'est pas clair, l'idée n'a pas abouti.
1815
H. Stölzel joue, à Berlin, sur un cor muni de pistons. Mais on ne sait pas sous quelle forme se présentait le mécanisme.
1820
Stölzel fait fabriquer avec Blühmel une trompette munie de pistons à boîte, qui ont extérieurement une forme carrée.
1824
Un Américain construit une trompette mécanisée. Son système est vraisemblablement composé de cylindres à rotation (ancêtre de la trompette à palettes). Il n'a pas eu l'occasion de répandre son invention.
1827
Blühmel tente d'obtenir un brevet pour un mécanisme à boîte tournante, mais n'y parvient pas.
1830
Invention du piston viennois par L. Uhlmann.
1835
Un piston court et épais permettant de ramener les trajets de l'air sur un seul plan est inventé.
1839
Le piston Périnet est inventé : c'est celui utilisé dans la plupart des pays aujourd'hui.
1840
Invention d'un système à plaques tournantes qui n'eut aucun succès.

 

 
La trompette à pistons (pistons de type "Périnet") en si "plus communément appelée trompette en si bémol" est celle qui est la plus utilisée aujourd'hui dans la plupart des pays. Mais la trompette à valves rotatives (appelée aussi "trompette à palettes") est largement présente en Allemagne et dans les pays de l'est. La trompette en ut est aussi beaucoup utilisée, en particulier en France, dans les orchestres symphoniques et pour certains concerti pour trompette. Elle existe aussi en version à pistons ou à valves rotatives.
À cause d'une attaque trop aléatoire avec une trompette normale en si , certains instrumentistes utilisent la trompette piccolo pour jouer surtout des œuvres baroques dans lesquelles le registre aigu est souvent très utilisé (anciennement appelé clarino). La trompette piccolo ne monte pas plus haut que la trompette normale en si , elle n'est pas plus facile à jouer dans le registre aigu, cependant les traits aigus sont plus stables. Elle existe en version à pistons ou à valves rotatives. La plupart du temps, elle est aussi en si (qui peut être mise en la avec une coulisse additionnelle), parfois en ré.

 

Il existe aussi la trompette de poche qui est surtout utilisée par les jeunes trompettistes débutants. Elle est choisie car sa petite taille est adaptée à celle des enfants et son poids est mieux réparti donc elle n'est pas déséquilibrée vers l'avant. Mais certains trompettistes professionnels l'utilisent. Contrairement aux idées reçues, la trompette de poche a la même longueur de tube que la trompette normale, car celui-ci est simplement plus enroulé.
Il existe d'autres types de trompettes qui sont dans des accords différents mais qui sont beaucoup moins utilisées que celles citées ci-dessus (trompette en sol, ré, mi , fa ou trompette basse). Mais la note et le volume de la trompette peuvent aussi êtres modifiés à l'aide d'une sourdine. Il en existe de nombreux types. Les plus connues sont les sourdines sèche, bol, wah-wah, plunger ou harmon (voir article Sourdine). C'est toujours un instrument à vent qui fait partie de la famille des cuivres.

 

La trompette naturelle est fabriquée dans un tuyau de 1,50 m de long et constituée par l'embouchure, le tube (ou perce) et le pavillon. La perceest cylindrique, ce qui lui donne un son brillant, par comparaison au son plus doux de la famille des saxhorns. Cet instrument est encore employé dans la musique baroque sur des instruments anciens, et dans la musique militaire.
Dans la trompette à pistons, un mécanisme est ajouté qui permet d'accroître la longueur du tube, ce qui permet de jouer des notes plus graves et de combler ainsi les notes faisant défaut dans la série harmonique.

Le doigté est celui des instruments à pistons.
Le registre courant s'étend sur deux octaves et demie, du fa# grave au do au-dessus de la portée (contre-ut). Certaines pièces du répertoire "classique" dépassent cette tessiture (exemple : "2e concerto brandebourgeois" de Jean-Sébastien Bach). Pour ces pièces les instrumentistes utilisent généralement la trompette piccolo. Il est à noter qu'en jazz, il n'est pas rare d'entendre des musiciens monter jusqu'au bi-contre-ut voire plus haut.

 

Les trompettes - sauf la trompette en "ut" - sont en général des instruments transpositeurs qui jouent des sons réels différents des notes écrites. Ainsi par exemple une trompette en si joue un son réel qui est un ton plus bas que la note écrite.

 

La trompette actuelle la plus courante est un instrument soprano, en si . Il existe aussi des trompettes en ut (encore très utilisées par les musiciens "classiques", surtout français, car le son est souvent un peu plus fin, et pour l'enseignement dans les conservatoires, à partir d'un certain niveau), en ré et en mi et la trompette piccolo en si (souvent à 4 pistons) pour un registre plus élevé, largement utilisée dans la musique baroque. Le 4e piston de certaines trompettes piccolos sert à atteindre les notes graves de la tessiture de la trompette en descendant généralement d'une quarte.
Il existe également une multitude de trompettes moins usitées : celles en sol et en fa qui sont assez proches de la trompette piccolo en si .
La "trompette basse" est rarement utilisée en France. Son registre est sensiblement le même que celui du trombone à pistons ou de l'euphonium.

Certains orchestres spécialisés utilisent encore des trompettes baroques pour jouer des pièces de cette époque (par exemple le Messie ou laMusique pour les feux d'artifice royaux, de Haendel). Ces très longues trompettes permettant un certain chromatisme dans le registre de jeu (la première fréquence de résonance de l'instrument étant très basse, les harmoniques correspondant au registre de jeu sont assez rapprochées pour donner un quasi-chromatisme). Cependant, leur usage est assez anecdotique, ne serait-ce qu'à cause de la difficulté de jeu de ces instruments.
Enfin, il existe quelques trompettes atypiques : trompettes à 4 pistons permettant de jouer des quarts de tons (cf. Don Ellis, Ibrahim Maalouf...), ou trompettes combinant pistons et coulisse (la "Firebird" de la marque Holton, etc.)...

 

Quelques trompettistes célèbres :
Johann Ernst Altenburg
Maurice André
Jean-Baptiste Arban
Éric Aubier
Alison Balsom
Otto Sauter
Thierry Caens
Pascal Clarhaut
Antoine Curé
Friz Damrow
François Dauverné
Roger Delmotte
Alexis Demailly
Timofei Dokchitser
Pierre Dutot
Eugène Foveau
Guy Ferber
Merri Franquin
Pierre Gillet
David Guerrier
Håkan Hardenberger
Jouko Harjanne
Tine Thing Helseth
Philip Mark Jones
Marcel Lagorce
Philippe Litzler
Véronique Lucignano
Ibrahim Maalouf
Mauro Maur
 

 

   
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Musette : L'accordéon musette

Publié à 14:04 par dessinsagogo55 Tags : center gif photo musique centerblog sur merci france
Musette : L'accordéon musette

L'accordéon musette

 

Instrument symbole du musette, célébré dans quantité de chansons, l'accordéon utilisé dans ce style se caractérise par des registres spécialement adaptés, dans lesquels les deux ou trois anches métalliques mises en vibration pour chaque note sont légèrement désaccordées. Cela permet d'émettre des harmoniques aigües donnant à l'instrument une sonorité perçante voire un peu criarde (le même principe est appliqué pour accorder un piano bastringue), qui imite approximativement le son des cornemuses et cabrettes d'autrefois, et qui a surtout l'avantage d'assurer une présence sonore bien supérieure, ce qui était essentiel pour se faire entendre dans le brouhaha des salles de bal au temps où il n'y avait pas de sonorisation.

 

L'introduction de l'accordéon dans les bals musette est en grande partie le fait de la diaspora italienne. Dès la fin du xixe siècle, la fabrication d'accordéons est devenue en Italie une grosse industrie fortement exportatrice, et les émigrants italiens contribuent à populariser l'instrument dans les grandes villes de France. L'adoption de l'accordéon dans le style musette fait fleurir dans les premières décennies du xxe siècle tout un secteur d'activité essentiellement tenu par des Italiens : revendeurs, réparateurs, accordeurs, et même fabricants, comme la famille Cavagnolo. Les grandes marques consacrées dans le musette, outre Cavagnolo, sont toutes italiennes : Fratelli Crosio, Piermaria, Crucianelli. La communauté italienne a également donné à la cette musique un grand nombre d'instrumentistes

 

 

   
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Hydroptère

Publié à 06:32 par dessinsagogo55 Tags : cheval center background sur centerblog base merci saint article photos histoire pari air machine
Hydroptère

 

 

Un hydroptère (du préfixe hydro- (du grec ὓδωρ, eau), et du suffixe -ptère (du grec πτερόν, aile)) ou hydrofoil (reprise du mot anglais), est un type de bateau dont la coque s’élève et se maintient en équilibre hors de l’eau à partir d'une certaine vitesse grâce à la portance de plans porteurs immergés ou foils, qui fonctionnent selon le même principe qu’une aile d'avion. En supprimant la traînée de frottement et de vague de la coque, cette technique permet soit d’augmenter la vitesse des bateaux soit de réduire leur consommation.

 

Terminologie

Le Larousse définit :

un hydroptère, et son homonyme hydrofoil, comme un « navire rapide muni d'ailes portantes reliées à la coque par des bras et capable, à partir d'une certaine vitesse, de naviguer en position déjaugée » ;

un foil, de l'anglais éponyme, comme un « plan porteur inclinable destiné aux embarcations susceptibles de déjauger ».

 

Un plan porteur désigne une surface portante, profilée ou non, qui avance dans l'air, dans l'eau ou sur l'eau. Une aile d'avion, un ski sont des plans porteurs.

 

Histoire

En 1861, l'anglais Thomas Moy teste sur un canal un modèle équipé de 3 surfaces portantes, note le déjaugeage dynamique et la réduction de la traînée.

 

En 1869 le français Emmanuel Farcot, ingénieur mécanicien titulaire de nombreux brevets, dépose un brevet décrivant une embarcation munie de plans porteurs latéraux, horizontaux au départ, puis inclinés quand la coque commence à monter.

 

À partir de 1894, l'américain William E. Meacham explore le concept d'hydrofoil. Il teste à Chicago en 1897 un modèle remorqué équipé de 5 surfaces portantes. Il publie en 1906 dans Scientific American un article de référence où il expose les principes de base d'un hydroptère.

 

En 1897, le Comte de Lambert expérimente un catamaran équipé de quatre plans transversaux. Avec la vitesse, les coques sortent de l'eau et l'engin est porté par ses surfaces planantes (ou plans porteurs) à la surface. Il s'agit donc d'un hydroplane, fonctionnant en hydroptère seulement pendant la phase d'accélération ; « À une vitesse de 16 km/h, les flotteurs étaient entièrement sortis de l'eau et la machine glissait à la surface sur ses quatre surfaces portantes. »

 

En 1898, le professeur italien Enrico Forlanini, connu pour ses conceptions de dirigeables, invente ce qui sera appelé l'hydroptère. À l'origine, il voulait tester des foils en vue d'une application sur les avions. Il dépose des brevets en Grande-Bretagne et aux États-Unis pour ses idées et ses conceptions. En 1905, il conçoit et construit le premier véritable hydroptère et le teste en 1906 sur le lac Majeur, atteignant 38 nœuds (70 km/h) avec un moteur de 75 ch. Les foils sont du type à échelle, à 4 étages ; la configuration est complexe, avec des plans porteurs fixes et d'autres rétractables à grande vitesse. La propulsion est aérienne.

 

En 1907, A. Crocco et O. Ricaldoni testent un hydroptère de 8 m de long, propulsé par deux hélices aériennes à pas variable disposées sur des bras en V. La configuration est de type trois points (un avant, deux arrières), les foils en acier sont du type en V (perçant la surface). Avec 100 ch, l'engin aurait atteint 43 nœuds (80 km/h).

 

En 1907 également, l'américain Peter Cooper Hewitt construit et teste un hydroptère à propulsion par hélice immergée, présentant toute une série de foils décalés en hauteur et en longueur. La configuration montre des foils latéraux avant et des foils axiaux arrières. L'hélice est sur un pied, en attaque frontale (comme sur un avion). Vitesse 26 nœuds (48 km/h).

 

Fin 1907, le brésilien Alberto Santos-Dumont teste sur la Seine un engin réalisé dans le but d'atteindre 100 km/h pour remporter un pari de 50 000 francs. Présenté parfois comme une hydroplane devant recevoir des ailes par la suite, il s'agirait en fait d'un véritable hydroptère, de configuration trimaran, car il présente un grand foil avant de 4 m d'envergure et un foil arrière (directionnel) d'un mètre. Les essais ne sont pas satisfaisants (problèmes de moteur). Les photos publiées montrent l'engin avec une hélice mais sans moteur.

En 1910, Enrico Forlanini teste un autre modèle équipé de plans porteurs en acier, capable de porter 2 à 4 personnes avec un moteur de 100 ch.

 

En 1919, Alexandre Graham Bell fait l’essai de son hydroptère sur le lac Bras d’Or sur l’Île du Cap-Breton dans le golfe du Saint-Laurent.

 

Dans les années 1950, Gordon Baker tente de concevoir un modèle commercialisable. Son prototype atteint les 35 nœuds, mais ne trouve pas de débouchés commerciaux.

 

En 2008, Alain Thébault atteint les 50 nœuds, soit plus de 90 km/h avec un hydroptère prototype à voile.

 

Types de foils

 

Plusieurs types de foils sont utilisés sur les hydroptères :

 

Les foils à échelle (superposés) ; ils ne sont plus utilisés de nos jours ;

Les foils en V, traversant la surface ;

les foils obliques (à environ 45°), traversants ou immergés ;

Les foils en T, en Y inversé, en U, en J, en L.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hydropt%C3%A8re

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Fruit (alimentation humaine)

Publié à 02:52 par dessinsagogo55 Tags : png center sur centerblog base merci france place cadre
Fruit (alimentation humaine)

 

Dans le langage courant et en cuisine, un fruit est un aliment végétal, à la saveur sucrée, généralement consommé cru.

 

Terminologie

Étymologie

 

Le terme « fruit » provient du latin fructus qui a, dès l'époque latine, les différents sens qu'on lui connaît aujourd’hui. C'était le participe passé de fruor.

 

Relation entre fruits et légumes

Point de vue lexical et botanique

 

Alors que « fruit » possède une double acception (selon qu'on se place dans le cadre de la cuisine ou de la botanique), « légume » est un terme strictement culinaire.

 

Au plan botanique, un fruit, de type charnu ou non, est la structure issue de l'évolution arrivée à maturité de l'ovaire, dont le rôle est de protéger et d'assurer la diffusion des graines. De nombreux fruits botaniques ne sont pas comestibles et peuvent même être toxiques.

 

Au sens culinaire, le terme « fruit » désigne des fruits charnus, mais parfois aussi d'autres parties de plantes, qui sont à la fois comestibles, de goût agréable, que l'on peut généralement consommer crus et qui conviennent à la préparation de plats sucrés et de desserts comme les fraises et les ananas ou encore la rhubarbe.

 

A contrario, nombre de fruits botaniques comestibles, tels que la tomate, l'aubergine ou le poivron, se préparent sans sucre et entrent habituellement dans la confection de recettes salées. Ils sont donc considérés comme des légumes, ou plus précisément comme des légumes-fruits. Ainsi, une partie de plante peut tout à fait être désignée comme fruit dans un contexte scientifique, même si elle se prépare en cuisine comme un légume.

 

Dans certains cas, la distinction entre fruit et légume devient délicate, certains fruits pouvant être consommés comme légumes, le melon par exemple, fruit couramment consommé en entrée, ou certains fruits cuisinés en accompagnement de plats de viande, comme l'orange pour le canard à l'orange, et inversement certains légumes, parfois naturellement sucrés, peuvent s'accommoder en dessert, comme la patate douce par exemple.

 

Point de vue juridique

 

La question de savoir si la tomate est un fruit ou un légume a été portée en 1893 devant la Cour suprême des États-Unis avec l'affaire Nix v. Hedden. La Cour décida à l'unanimité que, dans le cadre de la loi de 1883 sur les droits de douane applicables aux produits importés, la tomate devait être assimilée à un légume et taxée comme tel. La Cour reconnut toutefois le caractère de fruit botanique de la tomate.

 

Par ailleurs, la Commission européenne a décidé de considérer certains légumes comme des fruits, la tomate, la carotte et la patate douce notamment, lorsqu'ils entrent dans la composition de confitures, carotte et patate douce n'étant en rien des fruits botaniques. Il s'agit en réalité de se conformer à la Directive 2001/113/CE du 20 décembre 2001, qui définit la confiture comme un mélange à base de sucre et de fruit, mais qui se veut de préserver certaines traditions locales de production de confitures à base de légumes. C'est notamment le cas de la doce de cenoura, confiture de carottes produite au Portugal.

 

En France, le décret n° 85-872 du 14 août 1985, portant application de la loi du 1er août 1905 sur les fraudes et falsifications en matière de produits ou de services, assimile aux fruits botaniques, autorisés pour la fabrication de confitures, les tomates, les parties comestibles des bâtons de rhubarbe, les carottes, les citrouilles, les concombres, les melons, les pastèques et les patates douces

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fruit_(alimentation_humaine)

Notes et références                                                    
   
   
   
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    Fruit (alimentation humaine) : Conservation...
    Fruit (alimentation humaine) : Économie
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Fruit (alimentation humaine) : Conservation...

Publié à 02:42 par dessinsagogo55 Tags : center bienvenue article png monde centerblog sur merci france place
Fruit (alimentation humaine) : Conservation...

 

Conservation

 

Les fruits frais étaient autrefois usuellement conservés plusieurs mois dans un cellier, une cave ou un grenier (parfois sur un lit de mousse végétale).

 

Les fruits (dénoyautés ou non) pouvaient aussi être séchés (abricots, pruneaux, etc.), transformés en confiture, fruit confit, ou en pâte de fruits, ou encore conservés dans du vinaigre (olives, poires au vinaigre…), une huile végétale ou une saumure (olives).

 

Au xixe siècle la stérilisation et conservation en bocaux de verre s'est également fortement développée.

 

De nos jours des cires et pesticides sont aussi abondamment utilisés pour augmenter la conservation des fruits. Ces derniers sont aussi conservés en chambre froide ou sous atmosphère contrôlée et parfois congelés ou déshydratés (pour être par exemple intégrés dans le Muesli ou des aliments préparés de type barres de céréales et fruits).

 

Cuisine

 

Dans la cuisine occidentale, un fruit, au sens large, est un aliment végétal sucré et est considéré essentiel à l'alimentation en apportant certaines vitamines et des fibres. On y distingue généralement:

les agrumes : citron, orange, pamplemousse, lime

les baies : fraise, groseille, raisin

les fruits à pépins : pomme, poire

les fruits à noyau : abricot, cerise, pêche

les fruits à coque : noisette, noix

 

En Europe ou en Amérique du Nord, on appelle également fruits exotiques les fruits de certaines des plantes qui ont été apportées ou acclimatées à la suite des Grandes découvertes : ananas, banane, kiwi, mangue, etc.

 

Le concept culinaire de fruit recouvre en grande partie le concept botanique, mais de nombreux fruits botaniques sont considérés en cuisine comme des légumes (aubergine, concombre, haricot, maïs, tomate, olive, avocat…), d'autres encore comme des épices (noix de muscade, poivre, vanille, piment…). Avec les grains des graminées (blé, riz), qui sont d'ailleurs un type de fruit particulier, le caryopse, ils forment une partie essentielle de l'alimentation.

 

A contrario, certains fruits au sens culinaire sont en botanique des faux-fruits, qui résultent de l'évolution non de l'ovaire mais d'autres organes, notamment du réceptacle floral : fraise, figue, ananas, pomme, etc.

 

La salade de fruits (de l'italien insalata di frutta ou macedonia) est appréciée par sa haute teneur en vitamine C.

 

Goût Nutrition

Composition nutritionnelle

Intérêt pour la santé humaine

 

Au même titre que les légumes, les fruits sont bénéfiques pour la santé. La consommation d'« au moins cinq fruits et légumes par jour » est recommandée par le Programme national nutrition santé.

 

Éviter le surpoids

 

Les fruits évitent le surpoids. Avec une moyenne de 50 kcal pour 100 g, les fruits sont peu caloriques tout en étant rassasiants, grâce aux fibres alimentaires qu'ils contiennent, par exemple les pommes. Ils constituent aussi une mine de vitamines et de sels minéraux. Ils tiennent une place de choix dans tous les menus équilibrés afin de lutter contre la surcharge pondérale et l'obésité.

 

Rôle général de prévention des maladies

 

Les fruits, comme les légumes, protègent contre de nombreuses maladies, notamment diabète, maladies cardiovasculaires et cancers. En particulier, les apports en antioxydants des fruits renforcent les défenses immunitaires.

 

Protection cardiovasculaire

 

Les fruits protègent le cœur et les vaisseaux sanguins. Grâce à leur richesse en antioxydants et en fibres alimentaires, les fruits, comme les légumes, préviennent l'oxydation du cholestérol afin d'empêcher l'apparition de maladies cardio-vasculaires, premières causes de mortalité dans de nombreux pays développés. Selon l'étude scientifique internationale Interheart publiée le 20 octobre 2008, les personnes ayant une alimentation riche en fruits (et en légumes) « ont 30 % de risque en moins de subir une crise cardiaque que celles en consommant pas ou peu. ».

 

Protection contre le diabète

 

Les fruits, comme les légumes, entrent dans les régimes des diabétiques pour leurs glucides lents et leurs fibres qui favorisent le contrôle de la glycémie. Le diabète de type gras est l'une des complications de l'obésité, et le nombre de cas a été multiplié par six en quinze ans dans les pays développés. Tous les fruits ne sont cependant pas équivalents : les myrtilles, le raisin, les prunes seraient protecteurs mais pas le melon, les fraises ou les jus de fruit.

 

Protection contre les cancers

 

Les fruits ont un effet protecteur contre le cancer en général, mais surtout contre les cancers des voies aérodigestives supérieures, de l'estomac, du poumon, du côlon et du rectum. Depuis trente ans, 350 études menées dans le monde ont porté sur la relation entre la consommation de fruits et de légumes et le risque de cancer. Manger au moins cinq fruits ou légumes différents par jour permet de diminuer de 50 % les risques de cancer, ceci grâce à l'ensemble des composants protecteurs qu'ils contiennent et qui agissent en synergie : fibres alimentaires, vitamines, sels minéraux, polyphénols et autres micro-nutriments.

 

Fortifiant des os

 

Les fruits fortifient les os, car ils constituent une source non négligeable de calcium, inférieure cependant aux produits laitiers, mais leurs antioxydants (phytoœstrogènes et potassium) permettent à l'organisme de lutter contre la déminéralisation osseuse et donc contre l'ostéoporose.

 

Le développement de la mâchoire

 

Mâcher des aliments croquants et difficile à mâcher, comme des fruits crus, dans la jeunesse, lorsque les os se développent encore, est nécessaire pour le développement des os de la mâchoire car il stimule le croissance de la machoire et donc pour éviter les dents de travers et des dents enclavées, qui sont les résultats d'une manque de l'espace pour l'éruption juste dans la bouche des dents

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fruit_(alimentation_humaine)

Notes et références                                                    
   
   
   
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Fruit (alimentation humaine) : Économie

Publié à 02:24 par dessinsagogo55 Tags : afrique center prix france bienvenue png image centerblog sur merci monde
Fruit (alimentation humaine) : Économie

 

 

Économie

 

Selon un rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), la production mondiale de fruits est de 465 millions de tonnes en 2003 soit une augmentation d'environ 30 % en 10 ans.

 

 

Fruits les plus cultivés dans le monde

 

Chiffres de l'année 2000

 

Fruit en millions de tonnes Pourcentage Principaux pays producteurs
Agrumes 100 21,5 % (dont 58 % d'oranges principalement
utilisés pour faire du jus d'orange).
Brésil - États-Unis - Maroc
Raisin 68 14,6 % Italie - France - Espagne
Banane 64 13,8 % Inde - Brésil - Chine.
Pomme 59 12,7 % Canada - Chine - États-Unis - Turquie
Mangue 25 5,4 % Inde - Chine - Mexique
Ananas 17 3,7 % Thaïlande - Philippines - Chine
Pêche et nectarine 13 2,8 % Chine - Italie - États-Unis
Poire 13 2,8 % Chine - Italie - États-Unis
Prune 9 1,9 % Chine - États-Unis - Serbie
Datte 5 1,1 % Égypte - Iran - Arabie saoudite - Tunisie - Maroc - Algérie
Papaye 5 1,1 % Brésil - Nigéria - Inde
Abricot 3 0,6 % Turquie - Iran - Italie - Canada
Fraise 3 0,6 % États-Unis - Espagne - Japon
Avocat 2 0,4 % Mexique - Indonésie - États-Unis
Autres fruits 79 17 % (dont une part croissante de fruits tropicaux tels que noix de coco, goyave...)
Total 465 100 %  

À titre de comparaison, 692 millions de tonnes de légumes ont été produites la même année.

 

 

Production par pays

 

par continent :

42 % de la production mondiale de fruits provient d'Asie contre 14 % d'Europe, 13 % d'Amérique du Sud, 12,5 % d'Amérique du Nord, 12,5 % d'Afrique et 6 % d'Océanie.

par pays, en 2004 :

 Chine - 19 % (avec une production augmentant d'environ 6 % chaque année entre 1996 et 2003)

 Inde - 12 % (2,7 % d'augmentation annuelle)

 Brésil

 États-Unis – 1er pays exportateur avec presque 3 millions de tonnes exportées (principalement raisins, oranges et pommes) dont 47 % vers le Canada

 Mexique – 4e exportateur

 Chili – 3e exportateur

 Afrique du Sud – 5e exportateur

 Canada – 6e exportateur

 Ouzbékistan – 7e exportateur

 

 

Consommation par pays

Continent - Consommation annuelle par habitant en kg

Amérique du Sud - 120,2

Amérique du Nord - 118,6

Océanie - 109,1

Europe - 82,8

Afrique - 53,9

Asie - 45,6

Moyenne mondiale - 61,6

Parmi les fruits à croquer, les agrumes sont les plus consommés au monde devant les bananes et les pommes.

 

 

Production française

 

Surfaces et volumes des principales productions de fruits en 2012
Fruits Superficie (ha) Production (tonnes)
Pommes 40 921 1 378 741
Pêches-nectarines 12 328 280 317
Poires de table 5 968 124 778
Abricots 13 931 186 158
Prunes (pruneau) 12 739 152 542
Autres prunes 5 899 57 713
Kiwis 3 952 67 563
Raisin de table 5 453 52 098
Fraises 3 257 55 195
Cerises de table et d'industrie 9 534 30 310

(d'après les données SCEES 2012)

 

 

Filière de vente

Un système d’identification des fruits et légumes a été défini pour faciliter la vente au détail : le PLU ou Price-Look Up (code d’appel prix).

 

En France, les trois-quarts des fruits consommés contiennent des pesticides.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fruit_(alimentation_humaine)

Notes et références                                                    
   
   
   
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Ksar (fortification)

Publié à 15:43 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog center nuit place afrique sur
Ksar (fortification)

 

Un ksar, ou ighrem (en arabe : قصر [qasr], berbère : ⵉⵖⵔⵎ [iɣrem]), au pluriel respectivement kosour (قصور [qoṣūr]), et igherman (ⵉⵖⵔⵎⴰⵏ [iɣerman]), est un village fortifié d'architecture berbère que l'on trouve en Afrique du Nord

.

Au pluriel, on trouve aussi les formes « ksars », "ksours" ou « kosours »

.

Description

 

Forteresse, elle est toujours située dans un emplacement spectaculaire, soit perchée sur un promontoire escarpé accroché à une paroi rocheuse soit dressée au-dessus d'une oasis.

 

Combinant généralement des greniers et des habitations, les ksour se rencontrent communément sur des contreforts proches d'oasis afin de se protéger d'attaques venant de tribus nomades.

 

Un ksar est composé de cellules, appelées ghorfas (« chambres » en arabe), qui servent à entreposer les denrées en prévision de plusieurs années successives de sécheresse.

 

Certains ksours comme le ksar de Tissergate (Zagora, Maroc) n'ont qu'une seule porte d'entrée permettant ainsi de surveiller les entrées - sorties et de fermer le ksar la nuit.

 

Étymologie

 

Le mot ksar est emprunté à l'arabe qasr (« château », « village fortifié »), qui vient lui-même du latin castrum (« fort » ou « place forte »). Il a donné le mot alcázar en espagnol. Le mot d'origine désignant ce type d'architecture, qui est utilisé en berbère, est ighrem

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ksar_(fortification)

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Badminton

Publié à 05:53 par dessinsagogo55 Tags : center png sur centerblog base merci france monde jeux sport chez histoire femmes
Badminton

 

 

Le badminton est un sport de raquette nommé d'après le château anglais de Badminton House où il a été codifié à la fin du xixe siècle, sur la base de pratiques plus anciennes en Europe et en Asie.

 

Il oppose soit deux joueurs en simple, soit deux paires, en double et en mixte, placés de part et d'autre d'un filet. Les joueurs frappent un volant avec une raquette, le contact du volant avec le corps d'un joueur étant une faute. Le point peut se terminer par une faute, si le volant touche autre chose que le filet ou la raquette d'un joueur, ou s'il touche le filet mais qu'il ne passe pas du côté adverse. Il peut aussi se terminer par sortie (ou "out", qui veut dire "dehors" en anglais), quand le volant touche le sol en dehors du terrain correspondant à la discipline (simple hommes, simple dames, double hommes, double dames, ou double mixte). Le badminton se joue en intérieur : le volant pesant entre 4,74 et 5,5 grammes, sa trajectoire est déviée au moindre vent.

 

Le volant est un projectile aux propriétés aérodynamiques uniques qui lui donnent une trajectoire très différente de celle des balles utilisées dans la plupart des sports de raquette. En particulier, les plumes créent une traînée bien plus importante, causant une décélération plus rapide.

 

Depuis 1992, le badminton est un sport olympique qui se décline en 5 disciplines : simple hommes, simple dames, double hommes, double dames et double mixte.

 

La popularité de ce sport a fortement augmenté au xxie siècle, notamment en Asie, avec 339 millions de pratiquants actifs (jouant au moins une fois par semaine) dans le monde en 2019 selon une étude menée par Nielsen Sports, qui a estimé que ce sport était populaire auprès de plus d'un demi-milliard de personnes dans une autre étude le classant en 2021 au 9e rang des sports les plus populaires au monde.

 

À haut niveau, il nécessite une excellente condition physique ainsi que de très bonnes qualités techniques et tactiques.

 

C'est le sport de raquette le plus rapide du monde, il est fréquent de voir une douzaine d'échanges en double en moins de 10 secondes, même si, à haut niveau, l'échange est très court et les frappes très rapides. Le record de vitesse pour un volant en compétition est détenu depuis le 11 janvier 2017 par Mads Pieler Kolding, joueur danois de double hommes, qui a frappé le volant à la vitesse de 426 km/h. Le Malaisien Tan Boon Heong, également joueur de double hommes, a, pour sa part, propulsé un volant à 493 km/h en sortie de raquette en conditions optimales, établissant ainsi le record Guinness actuel, battant ainsi l'ancien record de 421 km/h qu'il avait également établi. Ces records de vitesse ne sont pas établis en match mais lors d'événements organisés dans cet objectif.

 

Histoire du badminton

 

Les ancêtres du badminton sont multiples. L'échange de volants frappés avec une partie du corps ou un instrument remonte à plus de deux millénaires en Chine. Au Japon, on pratiquait le hanetsuki vers la fin de l'époque médiévale. En Europe, l’un des ancêtres du badminton est le battledore and shuttlecock pratiqué en Angleterre dès le Moyen Âge, l’objectif du jeu étant de maintenir en l’air un shuttlecock (volant) à l’aide d’une battledore (raquette ou palette). On trouve des images du jeu de volant dans les peintures d'artistes du xviie siècle (voir par exemple La Fillette au Volant de Chardin).

 

La pratique féminine du jeu de volant, ancêtre du badminton, remonte au moins au xviiie siècle, où des peintres comme Fragonard et Chardin ont témoigné de cette activité chez les jeunes filles de bonnes familles.

 

Quant aux règles du badminton actuel, elles furent élaborées en 1873 : des officiers anglais revenus des Indes, se trouvant réunis dans le château du Duc de Beaufort à Badminton (ville anglaise du Gloucestershire), en vinrent à évoquer le jeu indien du « poona », qui se pratiquait avec une raquette et une balle légère. Ils se mirent alors en tête d’y jouer. Mais n’ayant pas de balle sous la main, ils décidèrent d’utiliser un bouchon de champagne, auquel ils attachèrent quelques plumes. Amusés et séduits par leur trouvaille, ils décidèrent de faire connaître ce jeu, sous le nom du château où il était né : Badminton. Le nom commun badminton est donc un onomastisme. Quatre ans plus tard, les premières règles du jeu étaient publiées.

 

Les premiers championnats s'organisent en France le 27 novembre 1908 à Dieppe (Seine-Maritime), plus vieille cité balnéaire de France et où beaucoup d'Anglais résident en villégiature.

 

La première championne du monde officieuse est Elisabeth Thomson en 1900 lors du All England Championship. Les Internationaux de France sont marqués par C. Radeglia qui remporte l'épreuve à cinq reprises.

 

En 1934, la fédération internationale de badminton (BWF) est créée.

 

À partir de 1957, la meilleure équipe féminine est désignée par l'Uber Cup.

 

Le comité olympique a décidé d’inscrire cette discipline aux Jeux olympiques de Barcelone en 1992, à la suite d’une démonstration à Séoul, quatre années auparavant. Le simple et double hommes, le simple et double dames ainsi que le double mixte sont les 5 épreuves présentées aux JO. Sa pratique en mixte est particulièrement reconnue au niveau Olympique.

 

Avant 2006 et le passage aux sets de 21 points, les sets étaient en 11 points pour les femmes alors qu'ils étaient de 15 points pour les hommes.

 

Actuellement, les meilleurs joueurs mondiaux sont originaires d'Asie (Chine, Indonésie, Corée, Japon, Malaisie). En Europe, seuls rivalisent avec les Asiatiques quelques joueurs du Danemark principalement, et dans une moindre mesure de la France et de l’Allemagne. Depuis 2015, certains joueurs français (Brice Leverdez, Christo Popov) parviennent à réaliser des bonnes performances en simple, mais ne parviennent toujours pas à remporter de tournois majeurs.

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Badminton

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Basket-ball

Basket-ball

 

 

Le basket-ball ou basketball, fréquemment désigné par son abréviation basket, est un sport collectif de balle opposant deux équipes de cinq joueurs sur un terrain de forme rectangulaire. L'objectif de chaque équipe est de faire passer un ballon au sein d'un arceau de 45 cm de diamètre, fixé à un panneau et placé à 3,05 m du sol : le panier. Chaque panier inscrit rapporte deux points à son équipe, à l'exception des tirs effectués au-delà de la ligne des trois points (qui rapportent trois points) et des lancers francs accordés à la suite d'une faute (qui rapportent un point). L'équipe avec le nombre de points le plus important remporte la partie.

 

Le basket-ball se pratique exclusivement à la main, et les joueurs peuvent se déplacer balle en main en dribblant sur le sol ou en effectuant deux pas maximum sans dribbler. L'équipe en possession du ballon (l’équipe qui attaque) tente d'inscrire des points en réalisant des tirs, des double-pas ou des dunks, tandis que l'équipe en défense essaie de les en empêcher en réalisant des interceptions de balle ou des contres. Si le tir échoue, les joueurs des deux équipes tentent d'attraper la balle au rebond.

 

James Naismith, un professeur d'éducation sportive originaire du Canada, invente le basket-ball en 1891 dans l'État du Massachusetts (États-Unis) pour maintenir la condition physique de ses élèves durant l'hiver. Le sport devient rapidement populaire et se développe dans les universités et écoles secondaires en Amérique du Nord au début du siècle. La Fédération internationale de basket-ball (FIBA) est créée en 1932 et le sport est inscrit au programme des Jeux olympiques en 1936. La principale ligue professionnelle masculine des États-Unis, la National Basketball Association (NBA), est fondée en 1946 et voit émerger de grands joueurs qui contribuent à l'accroissement de la popularité du basket-ball : Wilt Chamberlain et Bill Russell dans les années 1960, puis Kareem Abdul-Jabbar, Moses Malone, Larry Bird, Magic Johnson, et surtout Michael Jordan, fréquemment considéré comme le plus grand basketteur de l'histoire, puis Kobe Bryant et LeBron James.

 

Le basket-ball est aujourd'hui l'un des sports les plus pratiqués au monde, avec plus de 450 millions de pratiquants en 2013. De nombreux championnats ont été créés sur les cinq continents, notamment en Europe et en Asie, où le sport est en plein essor depuis les années 2000. Les femmes représentent une bonne partie des pratiquants, malgré une plus faible exposition médiatique du basket-ball féminin. De nombreuses variantes du basket-ball se sont développées, comme le basket-ball en fauteuil roulant (aussi appelé « handibasket »), le streetball (« basket-ball de rue ») ou le basket-ball à trois contre trois. Enfin, une culture s’est peu à peu développée autour du sport et a pris forme dans la musique, la littérature, le cinéma et le jeu vidéo.

 

Nom

 

En français, ce sport est appelé « basket-ball » (orthographe traditionnelle) ou « basketball » (orthographe de 1990), prononcé [baskɛtbol], ou encore sous la forme abrégée « basket ». Ce nom est un emprunt à l'anglais américain basket-ball, constitué de basket, « panier », et ball, « balle, ballon ». Les termes « ballon-panier » (Canada) et « balle au panier » (Afrique) ont été proposés comme équivalents français de « basketball », mais ils ne se sont jamais implantés dans l'usage.

 

Un joueur de basket est un basketteur au masculin et une joueuse une basketteuse au féminin.

 

Histoire

 

« Le basket-ball n'a pas été inventé par accident. Il s'est développé pour répondre au besoin. »

— James Naismith

 

Création

Un jeu similaire au basket-ball est décrit dans un livre de 1591 publié à Francfort-sur-le-Main qui rend compte des modes de vie et des coutumes des résidents côtiers d'Amérique du Nord, Wahrhafftige Abconterfaytung der Wilden. Un jeu d'adresse est décrit dans lequel des balles doivent être lancées contre une cible tissée à partir de brindilles, montée en hauteur sur un poteau. Il y a une petite récompense si la cible est atteinte.

Le basket-ball est inventé en décembre 1891 par James Naismith, professeur d'éducation physique canado-américain au Springfield College, dans l'État du Massachusetts (États-Unis). Lors d'une journée de pluie, Naismith tente d'assurer malgré tout son cours de sport, et essaie de développer un sport d'intérieur pour maintenir la condition physique de ses élèves entre les saisons de football américain et de baseball, pendant les longs hivers de la Nouvelle-Angleterre. Il souhaite leur trouver une activité où les contacts physiques sont restreints, afin d'éviter les risques de blessure.

 

Après avoir écarté certains jeux trop violents ou peu appropriés à une pratique en salle, il reprend l'idée d'un ancien jeu de balle maya (le Pok-ta-pok) et place deux caisses de pêches sur les rampes du gymnase, à 3,05 mètres de hauteur (dix pieds). Le but du jeu est de faire pénétrer un ballon dans ces caisses en bois pour marquer un « panier ». Contrairement aux paniers actuels, la caisse de pêches dispose d'un fond : la balle devait donc être récupérée manuellement après chaque « panier » inscrit. Afin d'éviter d'avoir à rechercher systématiquement la balle, le fond du panier est évidé pour pouvoir l'extraire avec une longue perche. Naismith établit rapidement treize règles principales (les Treize règles originelles) pour rendre le jeu praticable ; la majorité sont encore en vigueur. Ces règles comportent notamment l'interdiction de courir en tenant la balle (marcher) et de « donner des coups d'épaule, de tenir, de pousser ou de faire tomber de quelconque manière » l'adversaire. Elles définissent en outre la durée d'une partie : deux mi-temps de quinze minutes, avec une pause de cinq minutes entre elles.

Ce sport est baptisé basket-ball, ce qui signifie littéralement en anglais « ballon panier ». Il est d'abord pratiqué avec un ballon de football, puis avec des balles de couleur brune. Le tout premier match public de basket-ball est joué le 11 mars 1892 entre des élèves d'une classe d'étudiants de la Springfield Christian Training Association et leurs enseignants. Les étudiants gagnent 5-1 ; le seul panier marqué par les enseignants est celui du célèbre entraîneur de football américain Amos Alonzo Stagg. La même année, le jeu est adapté pour être joué par des femmes. Le premier match féminin se déroule en 1893 au Smith College de Northampton, dans le Massachusetts. Dès 1897-1898, le nombre de joueurs par équipe est fixé à cinq. À l'occasion d'une démonstration au Y.M.C.A. de New York en avril 1892, la discipline gagne une première mention dans The New York Times. Il est présenté comme « un nouveau sport de balle, un substitut du football sans ses aspects brutaux ». Les premiers articles sur ce sport en France datent de 1897. Dans ce dernier pays, il est d'abord plutôt considéré comme un sport féminin et se fait encore appeler « balle au panier ».

 

En 1906, les caisses en bois sont finalement remplacées par des anneaux en métal fixés à des panneaux. La balle passe ainsi à travers un arceau et retombe au sol lorsqu'un panier est inscrit. Le panneau sert quant à lui à éviter que la balle n'atterrisse dans les tribunes, et permet d'effectuer des tirs avec rebond. Dans son journal, découvert en 2006 par sa petite-fille, James Naismith fait part de ses appréhensions quant au jeu qu'il a inventé, et indique qu'il y a introduit certaines règles d'un jeu enfantin médiéval, le Duck on a Rock.

 

Au début de son histoire, le basket-ball est surtout porté sur le jeu offensif et la défense est reléguée au second plan. La défense est alors la phase passive du basket-ball, où les joueurs attendent l'échec de l'adversaire ; elle a depuis acquis un rôle comparable à celui de l'attaque. Par ailleurs, la passe et le tir étaient les seules manières de déplacer la balle vers le panier. En effet, le dribble n'existait pas dans le basket-ball originel, hormis lors d'une éventuelle passe à un coéquipier avec rebond au sol : il était rendu difficile par la forme asymétrique des premiers ballons. Il est devenu essentiel dans le jeu à partir des années 1950, lorsque les ballons manufacturés eurent une forme régulière et les qualités de rebond nécessaires.

 

Le sport prend diverses appellations en fonction des pays. En espagnol, il est nommé baloncesto (Espagne) ou básquetbol (Argentine) ; en italien pallacanestro ; et en tchèque košíková.

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Basket-ball

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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