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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
L'Est républicain est un quotidien régional français fondé le 5 mai 1889 par Léon Goulette à Nancy. Il est principalement diffusé en Lorraine et en Franche-Comté à travers dix éditions locales. En 2018, il est acheté par 114 212 personnes par jour en moyenne, ce qui le positionne à la douzième place de la presse régionale quotidienne française
Il est le titre phare du groupe Est républicain ou France Est Médias qui rassemble également les Dernières Nouvelles d'Alsace, Le Journal de la Haute-Marne et Vosges Matin. Depuis 2010, le groupe fait partie du groupe EBRA, propriété du Crédit Mutuel Alliance Fédérale
Histoire
L'Est républicain est fondé à Nancy par Léon Goulette le 5 mai 1889, jour de l'inauguration de l'Exposition universelle de Paris pour laquelle a été construite la Tour Eiffel. Le premier numéro est tiré à 1 200 exemplaires sur quatre pages. Le journal est alors le sixième quotidien de la presse nancéienne, aux côtés notamment du Journal de la Meurthe et des Vosges (1799), de L'Espérance (1838) et de L'Impartial. Vendu 5 centimes, le journal se positionne sur une ligne anti-boulangiste et pro-républicaine. Il est porté par de nombreuses personnalités de sensibilité républicaine, comme Jules Méline, Jules Ferry, Émile Gallé, Auguste Daum, Alfred Mézières, ainsi que par des personnalités politiques de Nancy et de Lorraine. Son siège se situe rue de Saint-Dizier dans le centre-ville de Nancy.
En 1911, le tirage est de 21 000 exemplaires répartis en trois éditions. Le journal se modernise : nouvelle présentation, introduction des photographies, nouvelles rubriques sur la mode, l'industrie ou l'agriculture, embauche de jeunes journalistes et de nombreux correspondants. L'Est républicain passe à six éditions en s'étendant aux départements voisins : les Vosges et la Meuse. Le journal se positionne alors plutôt à gauche, tout en dénonçant les pacifistes et les antimilitaristes, et soutient l'action du lorrain Raymond Poincaré, président de la République française.
En 1914, à la suite de la déclaration de la Première Guerre mondiale, le journal perd une bonne partie de son personnel. Situé en zone de combat, il est victime de la censure militaire française. Mais il continue à paraître, parfois sur une simple feuille recto-verso. Le journal contribue à maintenir le moral des Nancéiens, notamment pendant la bataille du Grand-Couronné de septembre 1914, et lorsqu'il est envisagé d'évacuer la ville en 1918. Dans la nuit du 26 au 27 février 1918, l'imprimerie est bombardée, mais le journal parait quand même sur une seule page.
En 1920, le tirage est de 60 000 exemplaires. En 1927, le journal est tiré à 100 000 exemplaires et étend sa diffusion à la Haute-Saône et au Territoire de Belfort. En 1933, L'Est républicain possède des bureaux à Bar-le-Duc, Verdun, Metz, Thionville, Épinal, Saint-Dié et Belfort.
Avant la Seconde Guerre mondiale, L'Est républicain tient une ligne anti-nazi. Les restrictions de papier et les coupures d'électricité rendent la parution du journal difficile. Le 13 juin 1940, le journal parait pour la dernière fois. Le 14 juin, alors que les Allemands entrent dans Paris, le journal se saborde, tout comme son concurrent, L'Éclair de l'Est, le lendemain. Le 18 juin, les Allemands entrent dans Nancy, et le 8 juillet, les autorités réquisitionnent les locaux de L'Est républicain.
La région étant désormais dépourvue d'informations écrites, les rédacteurs de L'Est républicain et de L'Éclair de l'Est créent le bulletin d'information Nancy Presse qui paraîtra jusqu'au 3 août 1940. Le 2 août 1940, le journal collaborationniste L'Écho de Nancy publie son premier numéro. Totalement contrôlé par les Allemands, il défend le nazisme, Adolf Hitler et prône l'antisémitisme. Le dernier numéro imprimé sur les installations de L'Est républicain sort le 1er septembre 1944, mais il continue d'être imprimé en Allemagne jusqu'en février 1945.
À la Libération, L'Est républicain est réquisitionné par la Résistance, qui lui reproche d'avoir collaboré avec l'ennemi. Les résistants impriment la République de l'Est Libéré. Finalement, le 8 octobre 1944, L'Est républicain est de retour avec Jacques Zenner comme rédacteur et plusieurs agences, à Metz, Nancy, Besançon, Pontarlier, etc.
En 1951, le tirage atteint 200 000 exemplaires. Le journal s'est étendu à la Haute-Marne et à la Franche-Comté. De plus, une nouvelle édition a été créée pour le Doubs avec l'ouverture d'un bureau à Besançon.
En 1968, le journal passe un accord de collaboration avec Le Journal de la Haute-Marne. Les services de vente, de rédaction et de production pour la réalisation sont mis en commun, tandis que les résultats sont partagés à 50/50.
En 1977, une enquête du Centre d'étude des supports de publicité (CESP) place le groupe L'Est républicain au quatrième rang de la presse quotidienne française avec 1 356 000 lecteurs. En juin 1979, le journal se fait construire de nouveaux locaux à Houdemont, dans la banlieue de Nancy. En 1985, tous les services, sauf la rédaction locale de Nancy, s'installent dans les nouveaux locaux.
À partir de 1982, toutes les éditions de L'Est républicain sont tirées en offset. En 1983, Gérard Lignac, déjà administrateur du journal depuis 1966, en devient le président. En 1989, le journal fête son centenaire en ouvrant ses portes à 15 000 lecteurs.
Le 6 juin 1990, le journal lance une édition quotidienne en braille, la première en Europe et la deuxième au monde.
En avril 1994, L'Est républicain est partenaire avec M6 pour la production du flash local Minutes Nancy, rebaptisé plus tard Le Six' Nancy.
En mai 1997, L'Est républicain devient actionnaire majoritaire des Dernières Nouvelles d'Alsace, basées à Strasbourg, en rachetant pour 250 millions de francs les parts de la Banque Vernes. En parallèle, le groupe vend les journaux L'Est-Éclair et Libération Champagne au groupe France-Antilles, qui détient également 27 % de L'Est républicain.
En octobre 1999, L'Est républicain prend le contrôle de son concurrent La Liberté de l'Est, renforçant ainsi son influence dans l'Est de la France. Le 26 octobre, Christophe de Beco, neveu du PDG Gérard Lignac, est nommé directeur général de L'Est républicain.
En octobre 2002, Le Journal de la Haute-Marne devient une société par actions simplifiée détenue à 50 % par L'Est républicain.
En février 2006, le groupe Est républicain ou France Est Médias rachète pour un montant de 270 millions d'euros le pôle Rhône-Alpes de la Socpresse (Le Progrès, Le Dauphiné libéré, Le Bien public, Le Journal de Saône-et-Loire) avec l'appui financier de la Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM). Le nouvel ensemble formé est le groupe EBRA, détenu à 51 % par le groupe Est républicain et à 49 % par le Crédit mutuel.
Le 23 septembre 2006, L'Est républicain révèle une note classée confidentiel-défense de la DGSE indiquant que les services secrets saoudiens sont convaincus qu'Oussama ben Laden est mort le 23 août 2006 d'une crise de fièvre typhoïde. L'information n'est pas confirmée par la France et les États-Unis.
En juin 2008, le Crédit mutuel acquiert la société France Est, qui détient 18 % du capital du groupe Est républicain, qui lui-même détient 51 % du groupe EBRA. Le Crédit mutuel devient ainsi actionnaire majoritaire du groupe EBRA. Mais le groupe Hersant Média, actionnaire minoritaire du groupe Est républicain, demande l'annulation de cette prise de contrôle qui réduit sa part de 27 % à 17 %, le dépossédant de sa minorité de blocage. Le tribunal de commerce de Nancy lui donne raison le 23 décembre 2008 et la cour d'appel de Nancy confirme le jugement le 17 juin 2009.
Le 2 janvier 2009, La Liberté de l'Est et l'édition vosgienne de L'Est républicain sont remplacées par Vosges Matin.
Le 23 février 2010, L'Est républicain publie une nouvelle formule avec un nouveau logo, un nouveau format (grand format passé de 8 à 7 colonnes), une nouvelle maquette, et un nouveau projet éditorial. Le journal s'articule autour de trois piliers : proximité, décryptage de l'actualité et investigation ; et se déroule en cinq séquences : Ville et locale, Région, Sports, France-Monde, L'Est et vous (vie pratique). Le coût de cette nouvelle formule est de 2 millions d'euros sans compter les futurs investissements pour augmenter le nombre de pages en couleur.
En octobre 2010, la Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM) rachète les 29 % que détient le groupe Hersant Média dans le groupe Est républicain. Déjà possesseur d'une part du capital, il détient ainsi 48 % du groupe Est républicain. Le mois suivant, il rachète les 43 % de parts du PDG Gérard Lignac et prend ainsi le contrôle du groupe qui se voit intégré dans le groupe EBRA. Le 12 juillet 2011, l'Autorité de la concurrence autorise la prise de contrôle du groupe Est républicain par le Crédit mutuel « sous réserve d'engagements » sur « la diversité des contenus, le maintien des rédactions en chef dédiées et la garantie de la diffusion des titres de PQR rachetés dans les zones » où ceux-ci sont en concurrence. En octobre 2011, Pierre Wicker devient ainsi le directeur général commun de L'Est républicain, du Républicain lorrain et de Vosges Matin.
Le 16 novembre 2016, une nouvelle formule au format tabloïd voit le jour. Le journal de 64 pages est divisé en deux cahiers : un général et un local. Cette nouvelle formule a demandé 9 mois de réflexion et coûté 500 000 € d'investissement pour adapter les rotatives. Le journal emploie alors 650 salariés et réalise un chiffre d'affaires de près de 81 millions d'euros. Une nouvelle version du site web est prévu pour janvier 2017
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Est_r%C3%A9publicain | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
L'Est républicain | |||||||||||||||||||||||||||
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Gérard Jugnot, né le 4 mai 1951 à Paris en France, est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur français.
Acteur et auteur à ses débuts dans la troupe du Splendid aux côtés de Thierry Lhermitte, Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Michel Blanc, Josiane Balasko et Bruno Moynot, il a participé aux films à succès qui ont contribué à lancer leurs carrières respectives, Les Bronzés (1978), Les Bronzés font du ski (1979) ou encore Le père Noël est une ordure (1982).
Il est celui qui va mettre le plus de temps à s'individualiser, en continuant à tourner notamment avec Patrice Leconte ou Jean-Marie Poiré dans des films qui mettent souvent en scène des acteurs qui ont gravité autour du Splendid, comme Anémone ou Martin Lamotte. En 2004, il connaît un important succès populaire avec Les Choristes de Christophe Barratier.
Il s'impose aussi comme réalisateur : après les comédies sociales Pinot simple flic (1984), Scout toujours... (1985), Une époque formidable… (1991), Casque bleu (1994) et Meilleur espoir féminin (2000), il livre le drame historique Monsieur Batignole (2002), son dernier grand succès comme cinéaste.
Né le 4 mai 1951 à Paris, Gérard Jean Jugnot est le deuxième enfant (sa sœur Martine est de quatre ans son aînée) d'une mère au foyer, Odette Guiblain (1922-2015) et d'un père entrepreneur dans le bâtiment, André Jugnot (1921-2002), installé à Vincennes. La famille déménage à Puteaux où il reçoit un prix d'honneur à l'école, ce qui lui permet d'intégrer le lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine.
C'est sur les bancs de ce lycée que Gérard Jugnot rencontre Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Michel Blanc. Il réalise déjà des petits films pastiches en double 8 mm. Ensemble, ils montent une troupe de théâtre amateur. Voulant apprendre le métier, ils suivent les cours d'art dramatique de Tsilla Chelton en 1970 et montent en 1972 leur premier spectacle intitulé Non Georges, pas ici, au café-théâtre du Poteau. S'inspirant du Café de la Gare de Coluche, ils construisent leur propre café-théâtre et forment en 1974 la troupe comique du Splendid. En parallèle de cette carrière théâtrale, il fait ses débuts sur grand écran dans Les Valseuses (1974) de Bertrand Blier et Le Juge et l'Assassin (1976) de Bertrand Tavernier.
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Jugnot
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Georges Moustaki, né Giuseppe Mustacchi ou Yussef Mustacchi le 3 mai 1934 à Alexandrie (Égypte) et mort le 23 mai 2013 à Nice, est un auteur-compositeur-interprète d'origine italo-grecque naturalisé français en 1985. Il est aussi artiste-peintre, écrivain et acteur.
Né en Égypte, de parents grecs de religion juive romaniote et de langue italienne, originaires de l'île de Corfou, il grandit dans un environnement multiculturel (juif, grec, turc, italien, arabe, français) et se passionne vite pour la littérature et la chanson française ; pour le linguiste Louis-Jean Calvet, « né à Alexandrie d’une famille juive grecque mais de langue italienne, baptisé Giuseppe par ses parents, inscrit à l’état civil égyptien sous le nom de Youssef, appelé à l’école française Joseph, puis Jo, un diminutif qui a fait croire, lorsqu’il est arrivé en France, qu’il s’appelait Georges, ce qu’il a laissé faire par admiration pour Brassens, il symbolise par cette simple succession de prénoms l’univers méditerranéen ».
Il y avait à Alexandrie une très grande famille Mustacchi. Son père, libraire francophone, l'inscrit ainsi que ses deux sœurs au lycée français d'Alexandrie.
Georges vient en 1951 à Paris où il s'installe chez une de ses sœurs et son beau-frère, le poète Jean-Pierre Rosnay, lui aussi libraire et pour qui il fait du porte-à-porte en vendant des livres de poésie.
Il exerce par la suite la profession de journaliste, puis de barman dans un piano-bar, ce qui l'amène à fréquenter des personnalités du monde musical de l'époque, notamment dans le haut lieu de la vie intellectuelle et culturelle parisienne, le quartier Saint-Germain-des-Prés.
Il entend ainsi Georges Brassens se produire un soir ; c'est pour lui une révélation : il n'aura de cesse par la suite de faire référence à ce maître, allant jusqu'à adopter son prénom en guise de pseudonyme. Ils s'entendent très bien, et Brassens lui prodigue des conseils.
En 1958, le guitariste Henri Crolla lui présente Édith Piaf, pour laquelle il écrira quelque temps plus tard une de ses chansons les plus connues, Milord, et avec qui il connaîtra une courte et fougueuse liaison d'un an ; c'est lui qui présentera Georges Brassens à Édith Piaf, quelque peu hermétique aux chanteurs solistes, qui s'accompagnent à la guitare, dits « rive gauche ». Elle incite Moustaki à sortir de ce mouvement.
Tout au long des années 1960, Moustaki se positionne comme un compositeur et parolier pour les grands noms de la chanson française comme Yves Montand, Barbara et Serge Reggiani, avec qui il se lie d'amitié. Sa différence d'âge avec Piaf lui inspire Sarah, qui sera tout d'abord interprétée par Reggiani, avant que lui-même ne l'enregistre à son tour avec son aval.
Il crée alors des chansons qui resteront parmi ses plus grands succès : Ma solitude, Joseph et Ma Liberté ou encore La Longue Dame brune, qu'il interprète alors en duo avec Barbara. Sa devise, tirée d'un écrit d'Antoine Blondin est « l'homme descend du songe ».
En 1968, artiste engagé au moment des événements de mai 68, il écrit, compose et interprète Le Métèque, ballade romantique qui parle d'un étranger un peu éthéré, doux rêveur, sans attache. C'est un grand succès international, qui marque un nouveau début de sa carrière d'artiste. En janvier 1970, il fait son premier grand concert en vedette à Bobino. On découvre alors un artiste qui privilégie une ambiance chaleureuse, de proximité avec son public.
En 1973, son album Déclaration, prend ses racines dans la musique populaire brésilienne (MPB). On y trouve la chanson Les Eaux de Mars, traduite de la chanson Águas de Março paroles de Vinícius de Moraes sur une musique du fameux compositeur, Antônio Carlos Jobim. Il est aussi proche des mouvements trotskistes comme le montre sa chanson Sans la nommer où il personnifie la révolution permanente, une des théories principales de Trotski. Pendant les trois décennies suivantes, il parcourt le monde pour se produire, mais surtout trouver de nouvelles inspirations ; il écrit entre autres La Vieillesse à 50 ans.
Le 8 janvier 2009, Georges Moustaki monte sur scène, à Barcelone, et explique au public que ses problèmes respiratoires ne lui permettent pas d'assurer le concert. Le 14 octobre 2011, le chanteur annonce à la presse qu'il est définitivement incapable de chanter.
Grand amateur de la guitare, son instrument de prédilection, auquel il rend hommage dans plusieurs de ses chansons, il avait noué des liens d'amitié avec le guitariste virtuose Alexandre Lagoya, comme lui né à Alexandrie, et d'origine familiale gréco-italienne.
Lors de l'élection présidentielle française de 2012, il donne son soutien au candidat du NPA Philippe Poutou.
Georges Moustaki meurt le 23 mai 2013 à Nice des suites d'une maladie pulmonaire, un emphysème. Il était hospitalisé à la clinique Maison du Mineur à Vence (Alpes-Maritimes).
Il est inhumé dans l'après-midi du lundi 27 mai 2013 dans un caveau provisoire au cimetière parisien du Père-Lachaise avant d'y être transféré dans sa sépulture définitive (95e division).
Georges Moustaki a une fille, Pia, née en 1954 de son union avec Annick Cozannec, surnommée « Yannick », femme de cinq ans son aînée, la seule qu'il ait épousée, lorsqu'il avait vingt ans. Il mentionne brièvement l'existence de son enfant dans sa chanson Il est trop tard.
Il a eu une liaison avec l'actrice Jeanne Moreau.
Dans les années 1970, il a eu pour compagne Catherine Le Forestier, la sœur de Maxime, avec qui il a chanté en duo.
Il a également eu une liaison avec la journaliste Sophie Delassein, qui le raconte dans son livre La Vie avec Moustaki (Éditions du Moment)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Moustaki
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Première version connue
Une version manuscrite du poème existe, plus ancienne que la version finale imprimée en 1887. Elle a été publiée en 1990 par Robert Brécy:
Couplet 1 : |
Version finale
Couplet 1 : |
|
L'acteur Yves Rénier, qui a incarné entre 1976 et 2006 le commissaire Moulin sur TF1, est mort, a annoncé sa famille ce samedi. Âgé de 78 ans, le comédien a succombé dans la nuit à un malaise cardiaque à son domicile de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), a confirmé son épouse à l'AFP.
Toujours prolifique malgré son âge avancé, Yves Rénier continuait à jouer à la télévision. Les téléspectateurs avaient pu le voir jeudi dernier une ultime fois dans un épisode de Léo Mattei, la série de TF1 avec Jean-Luc Reichmann.
Fils de l'acteur Max Régnier, Yves Rénier avait commencé sa carrière dans les années 1960, en jouant dans une adaptation cinématographique du Comte de Monte-Cristo. Après cette première expérience, il avait enchaîné péniblement plusieurs films sans connaître de véritable succès.
Yves Rénier était depuis apparu au cinéma dans Diabolo menthe (1977) de Diane Kurys, Frantic (1988) de Roman Polanski, Merci la vie (1990) de Bertrand Blier ou encore Les Anges gardiens (1995) de Jean-Marie Poiré. Toujours des petits rôles.
Réalisateur ces dernières années
A la télévision, Yves Rénier avait joué dans Belphégor ou le Fantôme du Louvre, le feuilleton de 1965 avec Juliette Gréco. Son premier succès. Il avait ensuite obtenu le rôle principal de la série d'aventures Les Globe-trotters (1966), avant de décrocher dix ans plus tard le rôle de sa vie, celui du commissaire Jean-Paul Moulin.
Créée en 1976 par Paul Andréota et Claude Boissol, la série télévisée avait été interrompue en 1982 avant d'être reprise en 1989 par Yves Rénier et Georges Moréas, auteur de romans policiers et ex-commissaire à la retraite. "Il fallait que le personnage sonne juste", confiait-t-il au journal Le Monde en 1994.
Le comédien était passé à la réalisation ces dernières années avec un certain succès, avec une série de fictions inspirées d'affaires policières récentes. On lui doit notamment plusieurs épisodes de Commissaire Moulin, mais aussi Flic tout simplement (2016, 6,1 millions de téléspectateurs), sur l'affaire Guy Georges, Je voulais juste rentrer chez moi (2017, 3,9 millions), sur l'affaire Patrick Dils, et Jacqueline Sauvage: C'était lui ou moi (2018, 7,91 millions), avec Muriel Robin.
Yves Rénier venait de réaliser son dernier téléfilm, La Traque (2021), avec Philippe Torreton dans le rôle du tueur en série Michel Fourniret. La diffusion, le 15 mars, avait suscité l'indignation des familles des victimes, qui avaient dénoncé "une utilisation commerciale" de cette histoire.
Anne-Henriette de France ou Henriette Anne, née le 14 août 1727 à Versailles et morte le 10 février 1752 à Versailles, est une des nombreuses filles du roi Louis XV de France et de la reine née Marie Leszczynska. Elle est la sœur jumelle d'Élisabeth (1727-1759), qui, étant considérée comme l'aînée, épousa l'infant Philippe d'Espagne, futur duc de Parme. Elle se signala par sa douceur et ses qualités de cœur.
Succédant à son arrière-grand-père Louis XIV dont le règne brillant fut un des plus longs que l'histoire ait connus, le roi Louis XV, orphelin de bonne heure, était âgé de 5 ans et six mois lors de son avènement. Son oncle et plus proche parent mâle étant le roi d'Espagne, Philippe V qui avait renoncé à contre-cœur pour lui et ses descendants à la couronne de France, la régence fut assumée par le prince du sang Français le plus proche de la couronne, Philippe, duc d'Orléans, neveu et gendre du défunt roi.
Sacré en octobre 1722 à Reims, le jeune roi Louis XV fut déclaré majeur en février 1723. Il confia le pouvoir à l'ex-régent qui mourut en décembre de la même année. A peine âgé de 13 ans, le roi orphelin confia le pouvoir à un autre membre de sa famille, Louis-Henri, duc de Bourbon. Celui-ci, gouverné par sa mère et surtout sa maîtresse, se posait en rival des Orléans et chaque maladie du jeune roi - qui risquait de mettre un Orléans sur le trône - le mettait en transe. En 1724, la duchesse douairière d'Orléans, dans l'expectative de la mort du roi adolescent et convoitant le trône pour son propre fils maria ce dernier prestement. En février 1725, le roi qui venait de fêter son quinzième anniversaire, se trouva une fois encore malade. La puberté le tourmentait. Le duc de Bourbon n'hésita plus.
Il voulut marier le roi afin de contrecarrer les partisans du jeune duc d'Orléans qui avait trouvé en son épouse l'amour de sa vie. Le but était de donner au plus vite une descendance à la branche aînée de la maison de Bourbon décimée par les maladies et les accidents entre 1711 et 1715.
Cependant, le duc de Bourbon n'élit pas une princesse issue des grandes dynasties catholiques européennes régnantes. Sa maîtresse, craignant l'influence que pourrait prendre sur le jeune souverain une épouse digne de son rang, choisit une princesse en exil, fille d'un roi de Pologne fantoche imposé par la Suède puis chassé par les Russes et les Autrichiens quinze ans plus tôt et vivant au fin fond de l'Alsace des quelques subsides que lui octroyait la monarchie française : Marie Leszczyńska, qui avait sept ans de plus que son futur époux, pouvait être considérée comme une vieille fille de province, princesse inoffensive, ne connaissant rien à la vie de cour. La maîtresse du duc calculait que, par reconnaissance, la nouvelle reine lui serait totalement soumise. Cependant, dès l'année suivante, le duc, particulièrement impopulaire, perdait la confiance du roi, se trouvait disgracié, séparé de sa maîtresse - exilée par ailleurs - et reclus dans un de ses châteaux tandis que sa maîtresse trouvait une mort prématurée. La jeune reine, qui avait voulu s'entremettre, s'y prit si mal qu'elle perdit à jamais l'influence politique qu'elle aurait pu avoir sur son mari. Néanmoins, le roi gardait son affection à son épouse qui conservait sa mission de devenir la mère du futur héritier.
Le premier accouchement de la reine était donc très attendu. Mais à la place du dauphin espéré, ce furent deux princesses qui virent le jour. La surprise et la déception furent grandes et les ragots commençaient à fuser quand le roi, heureux père de 17 ans, s'exclama joyeusement « on me disait impuissant et j'ai fait coup double » et il demanda à haute voix à la reine de donner rendez-vous à son accoucheur pour l'année suivante.
Venue au jour après sa sœur, Madame Henriette fut considérée comme fille puinée nommée Madame Seconde avant son baptême à Versailles le 27 avril 1737 puis Madame Henriette puis uniquement Madame pour souligner le fait qu'après le mariage de sa sœur jumelle, elle était l'aînée des filles du roi (1739) encore célibataire. Son parrain fut le prince de Condé et sa marraine Mademoiselle de Charolais.
D'un caractère réservé et doux, elle fut la fille préférée du couple royal.
L'année suivante, une autre fille vint au monde (qui ne vécut que 5 ans) mais en 1729 naquit enfin le dauphin tant espéré. Cela faisait 68 ans qu'un Dauphin n'était pas né en France et la naissance de l'héritier du trône fut célébrée avec faste. En 1730, un petit duc d'Anjou prit le second rang dans la succession royale mais le rendit après trois ans d'existence. De 1732 à 1737 cinq filles se succédèrent.
En 1738, une fausse-couche obligea les médecins à déclarer à la reine qu'une onzième grossesse lui serait fatale. Sans rien oser dire et encore moins prévenir son mari, la reine, qui s'était parfois plainte de ses nombreuses grossesses, ferma sa porte au roi qui, toujours jeune homme tandis que la reine devenait une vieille femme, commença la carrière d'adultère qui le rendit si impopulaire.
Peut-être pour des raisons d'économie, le cardinal de Fleury qui tenait les fonctions de premier ministre convainquit alors le roi qui l'aimait comme un père de confier l'éducation de ses filles au plus prestigieux couvent de France, l'abbaye de Fontevrault dont l'abbesse était toujours une dame de la plus haute noblesse : si les jumelles étaient dispensées du voyage (on songeait déjà à marier l'aînée), la pétillante Madame Adélaïde, du haut de ses six ans, sut au dernier moment attendrir son père et resta à Versailles avec ses aînées et son frère tandis que les cadettes, Victoire, 5 ans, Sophie-Philippine, 4 ans, Thérèse, 2 ans et Louise, 1 ans, quittèrent la cour pour un lieu moins corrompu.
Madame Henriette passa les dernières années de son enfance à la cour de Versailles avec sa sœur jumelle Élisabeth, leur cadette Adélaïde et leur unique frère, le dauphin Louis.
L'année suivante, Élisabeth, "Madame", fut mariée à l'infant Philippe d'Espagne, troisième fils du roi Philippe V d'Espagne. Il s'agissait de consolider l'union entre les branches française et espagnole de la maison de Bourbon. Les souverains Espagnols avaient été humiliés par la rupture des fiançailles de Louis XV avec l'infante Marie-Anne en 1725. En signe de réconciliation, le dauphin était promis à l'infante Marie-Thérèse et "Madame" devait épouser l'infant Philippe, troisième fils du roi. Le mariage n'était guère brillant pour la fille aînée du plus puissant roi d'Europe l'infant, troisième dans l'ordre de succession n'était pas appelé à ceindre la couronne. La princesse devrait laisser la pas à ses belle-sœurs, une infante de Portugal et une duchesse de Saxe, princesses issues de dynasties moins prestigieuses sans parler de sa belle-mère, née princesse de Parme. Fière de son sang, la toute jeune princesse - à peine 12 ans - vécut douloureusement cette relégation.
La séparation des trois enfants aînés du roi fut déchirante. "Hélas, c'est pour toujours !" se lamentait le Dauphin. En 1741, la jeune infante d'Espagne donna une fille à son mari qui combattait en Italie pendant la Guerre de succession d'Autriche. Louis XV devenait grand-père. Il avait 31 ans.
Histoires de famille
Devenue la fille aînée du roi résidant à la cour, Madame Henriette ne fut plus appelée désormais selon le protocole que "Madame".
À la différence de sa sœur, elle ne fut jamais mariée, ni même fiancée.
On lui prêta une idylle avec son cousin le duc de Chartres. Le roi, qui posa d'abord sur cette idylle un regard bienveillant, dut finalement, pour des raisons diplomatiques, s'opposer à ce mariage qui aurait trop élevé le futur chef de cette branche cadette de la maison de France et aurait indisposé le roi d'Espagne, plus proche successeur du roi au cas où le dauphin Louis mourût sans descendance mâle survivante (1743).
Comme son frère et ses sœurs (qui revinrent à la cour entre 1748 et 1750, une fois leur éducation terminée), Madame Henriette se passionna pour la musique. En témoigne le célèbre portrait de Jean-Marc Nattier, Madame Henriette jouant de la basse de viole, instrument qu'elle étudia avec Jean-Baptiste Forqueray
On célébra en 1745 le mariage convenu du Dauphin âgé de 15 ans avec l'infante d'Espagne qui en avait 18. Au cours des fêtes qui suivirent le rencontra la châtelaine d'Etiolles. Charmante jeune femme du monde de la finance. Le roi en fit sa maîtresse et, pour qu'elle pût être présentée à la cour et y tenir une charge la titra marquise de Pompadour. La reine se résigna à la présence de cette quatrième favorite royale qui, à la différence des trois premières issues de la Haute Noblesse, la traitait avec respect et ménagement.
Madame, son frère le dauphin Louis, sa belle-sœur la Dauphine et leur sœur cadette Madame Adélaïde, dans la fougue de leur jeunesse, formait un groupe uni qui, par amour pour leur mère, s'opposa à Madame de Pompadour qu'ils appelaient en privé « Maman Putain ».
Marié à 16 ans, père et veuf à 17, le dauphin, inconsolable de la mort de sa première épouse morte en couches à l'âge de 20 ans en 1746, fut pourtant remarié au plus tôt.
Après une Espagnole, on choisit pour des raisons toutes diplomatiques une princesse de la lointaine Allemagne orientale dont le père régnait sur la Pologne, Marie-Josèphe de Saxe. Le dauphin fut si contristé de cette union qui lui était imposée que l'on compara la nuit de noces à un sacrifice. Il battit froid à sa jeune épouse qui faisait tout son possible pour lui plaire et se morfondait dans son impuissance. Quant à la reine, elle ne considérait pas d'un œil favorable, cette jeune princesse issue de la Maison qui avait chassé son père de son trône et de son pays.
Jeune et intelligente, pieuse et généreuse, la nouvelle Dauphine sut rapidement conquérir les cœurs de cette famille royale meurtrie et divisée par l'adultère de son chef.
En 1748 mourut la petite princesse que le dauphin avait eue de sa première épouse et Marie-Josèphe pleura sincèrement la fille de sa rivale d'outre-tombe.
Madame, qui ne se consolait pas de son histoire d'amour avortée, se prit d'affection pour cette jeune belle-sœur intelligente et pleine de tact et, avec succès, s'employa à faire changer les sentiments de son frère. Le couple delphinal fut un des couples princiers les plus unis de l'histoire de France et eut une nombreuse descendance et après la naissance d'une fille en 1750, la dauphine conforta la continuité de la dynastie en mettant au monde un petit duc de Bourgogne en 1751.
1748 vit aussi la fin de la Guerre de succession d'Autriche, le roi de France, dont les armées avaient conquis les Pays-Bas autrichiens, préféra "traiter en prince plutôt qu'en marchand" et rendit les conquêtes ce qui ne fit qu'augmenter son impopularité. En revanche, la diplomatie Française s'était alliée avec celle du roi d'Espagne pour obtenir les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla qui furent donnés à l'infant Philippe, gendre du roi de France. La nouvelle duchesse de Parme, qui s'ennuyant fort en Espagne ne voulut pas rejoindre ses états sans remercier d'abord son père. C'était un prétexte salutaire pour passer par Versailles, où la princesse, que les Français surnommèrent "Madame Infante" et sa fille, demeurèrent près d'une année à la grande joie de la famille royale, notamment du Dauphin et de "Madame" qui retrouvait leur sœur. Cependant, la duchesse de Parme n'était plus tout à fait l'enfant qui avait quitté la France en larmes. Devenu épouse, mère et souveraine, elle se garda bien de s'opposer aux puissants du jour et entretint des liens cordiaux avec la favorite royale.
De santé délicate, Madame décéda prématurément le 10 février 1752, à seulement 24 ans, suite à une course en traîneau avec son père sur un canal gelé. La fièvre emporta la fille favorite de Louis XV, après une existence solitaire et effacée.
La famille royale fut très affectée par la mort de la princesse. Madame Adélaïde, la sœur suivante, fut à son tour appelée Madame par le protocole.
Le roi commençait à être impopulaire et le peuple prétendit que la mort de sa fille préférée était un châtiment que le Ciel envoyait au roi adultère.
La chambre de Madame
La chambre de Madame Henriette était un peu inspirée comme celle de sa grande sœur Elisabeth mais le rouge est plus clair et il n'y a pas de cercle en or sur le haut. Il y avait aussi un grand tapis coloré.
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L'hôpital Cochin est un hôpital de l'Assistance publique - hôpitaux de Paris (AP-HP) dans le 14e arrondissement de Paris. Il dépend de la faculté de médecine de l'Université de Paris. Il est situé 27 rue du Faubourg-Saint-Jacques (RER B, Station Port Royal ; Bus : 83, 71, 38).
Créé en 1780 par Jean-Denis Cochin, curé de la paroisse Saint-Jacques-du-Haut-Pas, l’hospice Jacques est à l’origine destiné aux pauvres et aux ouvriers du quartier. Le curé Cochin fait alors construire un petit établissement d’une quarantaine de lits, grâce à sa fortune personnelle et à la charité de ses paroissiens. Il ne cessera de s’agrandir au cours du xixe siècle. En 1784, après la fermeture du noviciat de Capucins, la partie de l'établissement située à l'angle de la rue des Capucins (devenue boulevard de Port-Royal) et de la rue du Faubourg-Saint-Jacques est utilisé comme hôpital pour les adultes atteints de maladies vénériennes sous le nom d'hôpital des Capucins puis d'hôpital du Midi en raison de sa situation dans le sud de Paris.
Les deux établissements fusionnent en 1902 avec leur voisin, l'hôpital Ricord, établissement pour vénériens créé en 1792, puis annexent successivement la maternité Port-Royal créée en 1795, la clinique Baudelocque créée en 1890 et l'hôpital Tarnier inauguré en 1881. Les bâtiments sont reconstruits entre 1908 et 1926 pour donner naissance à l’hôpital actuel, caractérisé par son modèle pavillonnaire en briques
Le groupe hospitalier Cochin comporte à ce jour 1 483 lits ; il emploie 6 700 professionnels de santé dont plus de 1 000 médecins.
Associé à l'hôpital depuis les années 1980, il existe un institut de recherches biomédicales, l'Institut Cochin réorganisé en 2002 en une structure mixte de recherche en génétique, biologie moléculaire, et biologie cellulaire. Cet institut regroupe environ 600 personnes et dépend à la fois de l'INSERM et du CNRS, tout en étant intégré à l'université Paris Descartes.
Depuis les années 1990, l'hôpital Cochin est associé à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul au sein du groupe hospitalier Cochin – Saint-Vincent-de-Paul, qui fait partie du groupement hospitalier universitaire ouest. En 2011, compte tenu de la réorganisation de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) en douze groupes hospitaliers, l'hôpital Cochin s'associe à l'hôpital Broca, l'hôpital La Rochefoucauld, l'hôpital de la Collégiale et l'Hôtel-Dieu de Paris afin de constituer le Groupe hospitalier hôpitaux universitaires Paris-Centre. À partir de 2019 et la réforme des universités parisienne, l'hôpital intègre la nouvelle université de Paris.
Dans cet hôpital se trouvait le centre des Grands brûlés de Paris. En 2004, une maison des adolescents, appelée Maison de Solenn en souvenir de Solenn Poivre d'Arvor, a été ouverte au sein de l'hôpital avec le soutien actif de Bernadette Chirac.
Jacques Chirac, victime le 26 novembre 1978 d'un accident de la route en Corrèze, avait été transporté à l'hôpital Cochin pour y recevoir les soins nécessités par ses blessures. Le 6 décembre il communique un texte dénonçant l'UDF du président Valéry Giscard d'Estaing comme « parti de l'étranger », texte qui a été surnommé Appel de Cochin.
Les bâtiments de l'hôpital bénéficient de multiples protections au titre des monuments historiques : un classement le 4 février 1942 pour la porte Ricord située au 111 boulevard de Port-Royal, un classement le 8 juin 1990 pour la fontaine des capucins, une inscription le 26 janvier 1999 pour divers sous-sols et une inscription le 12 juillet 2004 pour le puits des capucins.
https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4pital_Cochin
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Jeanne Julie Louise Le Brun, épouse Nigris, dite Julie Le Brun, née à Paris le 12 février 1780 et morte dans la même ville le 8 décembre 1819, est une artiste peintre française.
Biographie
Jeanne-Julie-Louise Le Brun est la fille du peintre et marchand d'art Jean-Baptiste-Pierre Le Brunet de l'artiste peintre Élisabeth Vigée Le Brun, dont elle fut le modèle de beaucoup de ses tableaux
.
Pour fuir la Révolution française, sa mère quitte Paris avec elle, sa gouvernante et 100 louis dans la nuit du 5 au 6 octobre 1789 en direction de l'Italie.. Elles vivront d'abord à Turin, puis Parme, Florence et Rome. Elles restent pour une période prolongée à Vienne et Saint-Pétersbourg.
Au début de sa vie, Julie Le Brun produit un certain nombre de pastels, dont un inspiré d'une œuvre du peintre Jakob Orth. Sa mère fait référence à « ses heureuses dispositions pour la peinture » dans ses Souvenirs et y parle de sa fille comme étant « le bonheur de sa vie ».
La rupture entre la mère et le fille se fera en Russie. Ses parents souhaitaient la marier au peintre néo-classique Pierre-Narcisse Guérin. Cependant, Julie Le Brun rencontre Gaëtan-Bernard Nigris (vers 1766-vers 1831) à Saint-Pétersbourg. Il était le secrétaire du comte Grigori Ivanovitch Tchernyshev, directeur du théâtre impérial de Saint-Pétersbourg. Ils se marient dans cette ville le 31 août 1799 contre l'avis de sa mère. Elles ne se réconcilieront jamais complètement.
. Ses parents divorceront en 1794
En 1804, Julie Le Brun rentre à Paris. Le couple se séparera au bout de huit ans de mariage.
Le Brun tente de subvenir à ses besoins avec son art, apparaissant en 1811 sous le nom de « Mlle Nigris » dans une exposition de la rue Saint-Lazare.
Elle meurt le 8 décembre 1819, dans la quasi-pauvreté ayant hérité des dettes de son père.
Ces portraits reflètent la forte affection de la mèrepour sa fille et leur succès
dans les salons témoignent de l'importance de l’opinion de l'Europe à cette époque de la fin du xviiie siècle que l'enfance est un moment unique, distinct de l'âge adulte.
Julie Le Brun peinte par Élisabeth Vigée Le Brun
Élisabeth Vigée Le Brun, Madame Vigée-Le Brun et sa fille (1786), Paris, musée du Louvre.
Madame Vigée-Le Brun et sa fille (vers 1789), Paris, musée du Louvre.
Portrait de Julie Le Brun (1792), galerie nationale de Parme.
Julie Le Brun en baigneuse (1792), collection particulière.
Julie en Flore, déesse romaine des fleurs (1799), St. Petersburg, Museum of Fine Arts.
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Portrait de la baronne Pichon,
par François Gérard.
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Marie-Gabrielle Capet, née le 6 septembre 1761 à Lyon, morte le 1er novembre 1818 à Paris, est une peintre française de l’École néo-classique.
Fille d’un domestique, Marie-Gabrielle Capet monte, en 1781, âgée de vingt ans, à Paris pour apprendre la peinture sous la direction d’Adélaïde Labille-Guiard. Parmi ses camarades d'études, elle compte, entre autres, Marie-Victoire d'Avril et Marie-Marguerite Carraux de Rosemond. La jeune femme est encore une inconnue lorsque ses premiers dessins et pastels sont exposés au Salon de la Jeunesse en 1781. Deux ans plus tard, sa maîtrise de la peinture à l'huile lui permet de présenter ses premiers Autoportraits peints à l'huile (1783 et 1784). Ses grandes œuvres sont exposées au Salon de la Jeunesse à partir de 1785, année au cours de laquelle elle envoie deux portraits d'officiers au Salon de la Correspondance, avec un tel succès qu'en 1786 l'un de ses pastels y est même accepté. Les critiques encourageantes ainsi que le fait qu'elle est l’élève de Madame Labille-Guiard sont à l'origine des premières commandes qu'on lui passe.
Elle comptait entre autres clients Madame Longrois, femme de l'intendant de Fontainebleau, le Père Moisset, Général de l’Oratoire, ainsi que plusieurs membres de la famille royale parmi lesquels, en 1787, les tantes du roi, Mesdames Adélaïde et Victoire, dont Adélaïde Labille-Guiard avait également fait le portrait.
À partir de 1791, elle expose ses premières miniatures au Salon, qui lui assurèrent la célébrité jusqu'à la fin de sa carrière. Plusieurs de ses portraits au pastel, comme celui d’Étienne Elias, de l'avocat Pierre-Nicolas Berryer, de Rémy Clément Gosse, et du dramaturge et membre du Tribunat Marie-Joseph Chénier, étaient des commandes privées. Capet rencontrait fréquemment d'autres artistes, comme Joseph-Marie Vien, Joseph-Benoît Suvée, Houdon, Étienne Pallière, Charles Meynier ainsi que François-André Vincent et, bien sûr, Labille-Guiard. Lorsque sa professeur et logeuse Adélaïde Labille-Guiard tomba malade, Marie Capet prit soin d'elle jusqu'à sa mort en 1803.
En 1814 elle se tourna à son tour vers la peinture historique, avec une représentation mythologique d’Hygie, déesse de la santé, qu'elle vendit au docteur Moreau de la Sarthe. Elle peignit sa dernière composition à l'huile, Portrait de Madame Demetz, en 1815, puis abandonna la peinture et mourut en 1818 à Paris. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise à Paris (11e division, chemin Méhul)
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