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Monde : France

faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Publié à 14:20 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center centerblog france prix sur monde carte pouvoir
faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Blocages des dépôts pétroliers : faut-il craindre des pénuries d'essence à la pompe ?

Les professionnels du BTP bloquent des dépôts pétroliers pour protester contre la fin de l'exonération de taxe dont ils bénéficient sur le gazole non routier. Franceinfo fait le point sur leur revendication et leur mobilisation.

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Kocila MakdecheAnne BrigaudeauFrance Télévisions

Mis à jour le 03/12/2019 | 12:00
publié le 03/12/2019 | 10:40

 

En plus des perturbations provoquées par la grève du 5 décembre, faut-il craindre une pénurie de carburant ? C'est le risque que font planer les professionnels du BTP. Ces artisans et entrepreneurs bloquent depuis le 29 novembre des dépôts pétroliers pour protester contre la fin de l'exonération de taxe dont il bénéficie sur le gazole non routier utilisé pour les appareils de chantier. Mercredi 3 décembre, les gendarmes sont intervenus pour libérer l'accès à un dépôt à Rennes (Ille-et-Vilaine).

 

La veille, les manifestants ont été reçus par Bruno Le Maire. Ils ont obtenu du ministre de l'Economie quelques avancées, mais Bercy leur a refusé un nouveau délai concernant la suppression de l'avantage fiscal pour le gazole non routier (GNR). Que réclament les professionnels du BTP ? Où se trouvent les stations-services fermées ? La pénurie risque-t-elle de perdurer jusqu'au 5 décembre ? Franceinfo fait le point.

Pourquoi les professionnels du BTP bloquent les dépôts pétroliers ?

Depuis le 29 avril, des professionnels du BTP bloquent des dépôts pétroliers avec leurs camions et leurs tracteurs, principalement dans l'ouest de la France. C'est en Bretagne que le mouvement est le plus conséquent, autour de Rennes notamment, où de nombreuses stations-services ne sont pas approvisionnées et sont donc fermées.

 

Les professionnels du BTP protestent contre la suppression d'un avantage fiscal dont ils bénéficiaient jusque-là : l'exonération de taxe sur le gazole non routier. Ce carburant, moins cher que celui que l'on trouve en station-service, est utilisé dans le secteur agricole et dans les travaux publics pour faire fonctionner les engins de chantier.

Dès septembre, la ministre de la Transition écologique et des Transports, Elisabeth Borne, avait dit la volonté du gouvernement de supprimer cette exonération de taxe pour les professionnels du BTP. Pour ces derniers, cette décision représenterait une hausse de 45% du prix au litre et donc une baisse de leur marge. De quoi pénaliser, selon eux, les plus petites entreprises du bâtiment au détriment des géants du secteur. "Cette augmentation va représenter jusqu'à 10% du chiffre d'affaire des entrepreneurs, c'est-à-dire plus que leur marge", explique à franceinfo David Lemaire, secrétaire nationale de la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP).

Concrètement, cela veut dire que de nombreuses entreprises ne seront plus viables.David Lemaireà franceinfo

Que répond le gouvernement ? 

A l'approche de la grève du 5 décembre, lors de laquelle d'importantes perturbations sont attendues sur le réseau ferroviaire et dans les régies de transports de grandes villes de France, les professionnels du BTP souhaitent mettre la pression sur le gouvernement. Ils réclamaient d'être reçus par le Premier ministre, mais ont finalement décroché lundi un rendez-vous à Bercy avec Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie.

A l'issue de cette réunion, la présidente de la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP), Françoise Despret, s'est félicitée de certaines avancées : "Nous avons obtenu un contrôle renforcé confié à la gendarmerie, un carburant spécifique avec une coloration pour le BTP, une liste des engins qui ne pourront employer que ce carburant." "Cette coloration spécifique permettra d'éviter le vol", tandis que la liste d'engins qui seront dans l'obligation d'utiliser le dit carburant "nous évitera la concurrence déloyale" provenant surtout d'agriculteurs, a-t-elle ajouté.

En revanche, Bercy n'a rien cédé sur leur demande de nouveau délai concernant la suppression de l'avantage fiscal pour le gazole non routier. Les entreprises réclamaient un délai de 10 ans pour pouvoir se tourner vers des engins de chantier plus propres. Mais le gouvernement tient à son calendrier, qui prévoit une disparition progressive de l'avantage fiscal sur le gazole non routier en trois paliers à partir du 1er juillet prochain et jusqu'en 2022.

"C'est vraiment une ligne rouge", indique-t-on à Bercy où on met en avant la nécessité de lutter contre les émissions polluantes. De plus, "on ne peut pas dissocier une entrée en vigueur pour les grandes et les petites entreprises. C'est juridiquement risqué. Par ailleurs, c'est très compliqué à mettre en œuvre", a précisé à l'AFP l'entourage du ministre de l'Economie.

Quelles stations-services sont à sec ?

Le mouvement de blocage a atteint son apogée, juste avant la réunion avec le ministre, avec de nombreuses stations-services à sec. Le 3 décembre, au matin, la pénurie de carburant était surtout en cours en Bretagne et plus ponctuellement dans la région Pays de la Loire, d'après la carte du site participatif Penurie.mon-essence.fr

 
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Fusil Charleville Modèle 1777

Publié à 00:18 par dessinsagogo55 Tags : center chien sur centerblog prix mer base merci saint monde papier pouvoir platine livre
Fusil Charleville Modèle 1777

Le fusil Charleville Modèle 1777 est une arme de guerre française conçue pendant le règne de Louis XVI par l'ingénieur Gribeauval, réputée pour sa production et son emploi massif sur les théâtres militaires européens (Révolution française, Vendée, guerres napoléoniennes) et également américains (Guerre d'indépendance des États-Unis, guerre anglo-américaine de 1812) de la fin du XVIIIe siècle au début du XIXe siècle. Il est progressivement remplacé, au gré des déclassements, par un autre fusil à poudre noire et à silex, le Modèle 1816/1822, mais on trouve le fusil Charleville de 4,6 kg datant de 1777, encore largement en service lors de la prise d'Alger en 1830. Beaucoup d'exemplaires ont été modifiés à partir de 1840 pour devenir des fusils à percussion, et réutilisés comme armes civiles de chasse.

 

Comme pour l'artillerie, l'ingénieur Jean-Baptiste de Gribeauval s'efforça de parvenir à une interchangeabilité des pièces comparables pour le fusil modèle 1777, qui fut adopté par l'armée royale dès 1776. Devenu inspecteur général de l'artillerie et des manufactures royales, il institua même un système dit « de 1777 », comprenant de nombreuses armes destinées aux différentes spécialités de l'armée.

Le fusil modèle 1777 résulte de la longue évolution d'une arme apparue en 1717 à la Manufacture d'armes de Charleville1, destinée à remplacer les fusils de modèles pour le moins variés que les soldats français employaient au combat. Conçu de la manière la plus rationnelle qui soit, de façon à parvenir à une standardisation plus poussée, le fusil modèle 1777 dut être modifié en 1801. Dans l'intervalle, le système 1777, comptant quatorze types d'armes différents, avait été simplifié en étant porté à six modèles seulement.

Pour tirer avec ce fusil à poudre noire, un soldat devait déchirer le papier de la cartouche avec ses dents2, remplir un peu de poudre (de type pulvérin) servant d'amorce le bassinet, petite pièce creuse de la platine (le soldat devant s'assurer que la platine à silex était bien aiguisée), refermer le bassinet, verser le restant de la poudre dans le canon, la tasser avec la baguette de fer avant, pousser le papier ayant contenu la poudre et devenu la bourre, ensuite glisser ou cracher la balle dans le canon et la pousser jusqu'à la bourre, enfin, armer le chien, viser sans point de mire (le tireur se servant de son pouce gauche pour prendre sa visée) et presser la détente

Variantes

Le modèle 1777 a été décliné en pistolets d'infanterie, de cavalerie avec deux modèles (le mécanisme de platine à silex est enfermé dans un coffre en laiton), et de marine, et en mousquetons, avec des variantes de mousquetons de cavalerie, de grosse cavalerie (carabiniers), de hussards (dit modèle 1786, plus court), de dragons, de gendarmerie, mousquetons de marine (garnitures en laiton).

Il a été produit dans les manufactures royales puis impériales de Saint-Étienne, de Tulle, de Maubeuge, de Versailles, de Chatelleraut, de Mutzig, de Turin,.. et copié dans plusieurs pays comme l'Amérique (Model 1795 Springfield).

 

Les principales transformations apportées à cette arme concernèrent l'embouchoir, la grenadière et la forme de batterie. Le fusil modèle 1777 se révéla d'une robustesse peu commune, même si sa fiabilité fut assez souvent sujette à caution. Il connut beaucoup de problèmes d'amorçage, et son canon qui ne supportait pas la poudre de mauvaise qualité, employée pourtant à l'époque par l'armée française, était régulièrement encrassé (obligeant le canon à être lavé au chiffon puis séché et graissé après 50 ou 60 coups, chose impossible sur le champ de bataille et qui de fait, obligeait la plupart des soldats à y uriner afin de le décrasser et de pouvoir s'en resservir). En outre, l'obturation de la lumière était très fréquente (par des résidus de poudre, de papier, etc.) faisant que seule la poudre contenue dans ce dernier s’enflammait.

En comparaison, le fusil modèle 1777 fut certainement quelque peu inférieur au Brown Bess utilisé par les troupes britanniques, qui sans être le meilleur du monde comme certains le prétendirent en son temps (car beaucoup moins précis, étant même totalement dépourvu de tout organe de visée) s'avérait toutefois plus puissant et davantage dévastateur contre la cavalerie du fait de son calibre (19 mm) et de sa vitesse de tir de 3 à 4 tirs par minute contre seulement 2 à 3 trois pour le fusil français. La portée maximale du Brown Bess est toutefois limitée à 100 mètres, alors que le Charleville atteint 250 mètres.

 

Cependant, la longévité de cette arme en dit long sur ses qualités. Fabriquée jusqu'en 1822, elle fut produite à raison de 2 millions d'exemplaires, équipant tous les fantassins du 1er Empire qui combattirent sur l'ensemble des champs de bataille d'Europe et d'outre-mer.

La Garde Consulaire, puis Impériale, se servit du même fusil d'infanterie modèle 1777 que les autres Corps, mais cette arme se différenciait par un certain nombre de détails importants. La monture et les garnitures avaient été modifiées par rapport au modèle de base et le fusil en question disposait d'une platine de sécurité, destinée à empêcher que l'arme ne se déclenchât accidentellement ou que l'amorce fût atteinte par l'humidité.

Caractéristiques

 
Tableau tiré du Manuel d'infanterie, 1808

Fusil modèle 1777 corrigé an IX :

Poids du fusil : 4,6 kg

Longueur du fusil : 1,529 m

Longueur du canon : 1,1366 m

Calibre du canon : 17,48 mm

Diamètre de la balle : 16,54 mm

Longueur de la baïonnette : 0,4059 m

longueur de la lame de baïonnette : 0,38 m

Poids de la balle : 27,2 g (20 à la livre)

Poids de la charge de poudre : 12,24 g

Poids total de la cartouche : 39,44 g

Lumière : 0,94 mm

Prix du fusil : 25 à 34 francs (selon la manufacture)

 



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Chantal Goya au coeur d'une enquête

Publié à 22:38 par dessinsagogo55 Tags : news article mode center centerblog monde sur base merci france coup coeur
Chantal Goya au coeur d'une enquête

Soupçons d'escroquerie : Chantal Goya au coeur d'une enquête

 

6Medias , publié le lundi 02 décembre 2019 à 19h43

Le journal Sud Ouest révèle que la mythique chanteuse Chantal Goya fait partie d'une longue liste d'individus ayant obtenu un prêt bancaire suspects de la part du Crédit municipal de Bordeaux (CMB).

Chantal Goya se retrouve plongée dans la tourmente à la suite des révélations fracassantes du journal Sud Ouest. Selon les informations du quotidien régional, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Bordeaux pour tentative d'escroquerie sur plusieurs prêts accordés par le Crédit municipal de Bordeaux (CMB), anciennement connu sous le nom de Mont-de-Piété.

Une affaire qui pourrait concerner plusieurs millions d'euros accordés par celle qui est souvent décrite comme « la banque des pauvres ».

 
 

Dans le cas de l'artiste, l'affaire remonte au mois d'avril 2018. En compagnie de son époux, le compositeur Jean-Jacques Debout, elle serait parvenue à décrocher un prêt à hauteur de 2,2 millions d'euros. Une somme très conséquente quand on sait que le couple s'avère être sous le coup d'un interdit bancaire. Le Crédit municipal de Bordeaux aurait estimé qu'il pourrait le rembourser en se basant sur leurs revenus Sacem (droits d'auteur).

Un premier audit a été lancé durant l'été 2019. Cette transaction intrigue l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).  Elle cherche à comprendre « comment le CMB s'est assuré que les revenus du client Sacem couvriront les charges d'emprunt mensuelles dans la mesure où les revenus disponibles figurant dans le dossier datent de 2016. [...] Sur quelle base le CMB a projeté le remboursement du capital, compte tenu des dettes élevées ? »

Plusieurs prêts suspects

Si le cas du couple Chantal Goya - Jean-Jacques Debout est scruté de près par cet organisme rattaché à la Banque de France, des interrogations subsistent autour d'autres prêts. Sud Ouest évoque le cas d'une princesse persane ayant obtenu 750 000 euros en présentant des biens mis en gage dont la valeur s'élèverait à moins de la moitié du prêt total. Une surévaluation des biens qui concernerait plusieurs cas.

Ayant la tutelle de « la banque des pauvres », le maire de Bordeaux Nicolas Florian ne prendra pas la parole avant de disposer du rapport final de l'ACPR. Contacté par le quotidien, Christophe Leuret, directeur du Crédit municipal, a assuré qu'il « s'inscrivait en faux » contre ces « faits allégués ». Il estime que cette enquête de l'ACPR devait de toute façon arriver un jour. « Cela faisait sept ans qu'ils n'étaient pas venus », explique-t-il. « Nous essayons de prendre toutes les garanties nécessaires. »
 
 
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Son billet en règle, un étudiant reçoit une amende de 111 €

Publié à 12:12 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center centerblog abonnement pouvoir sur france monde chez article centre carte merci
Son billet en règle, un étudiant reçoit une amende de 111 €
Son billet est en règle, un étudiant reçoit pourtant une amende de 111 € dans un train
 
 
 
Publié le 02/12/2019 à 07:57 , mis à jour à 10:06
l'essentiel
 
Eliot, un étudiant de 18 ans, a reçu une amende salée dans un train dans la Meuse. 111 euros. Son billet était bien en règle. Mais il avait perdu sa carte d'identité. Explications.

111 euros dont 50 euros de frais de dossier. La note est salée et elle reste en travers de la gorge d'Eliot, un étudiant de 18 ans, et de sa famille. Alors que son billet était en règle et qu'il n'avait pas fraudé, il a été verbalisé dans un train dans la Meuse.

Étudiant en mathématiques à Nancy, il rentre chez ses parents le vendredi 26 octobre. Il a payé son ticket 9,10 € au lieu du tarif normal de 13 € grâce aux avantages de la carte Avantage jeune. Cette carte, vendue 49 €, destinée aux 12-27 ans, permet des réductions de 30 % en TGV et Intercités et de 25 à 50 % sur les TER.

 
 

Deux minutes avant son arrêt, un contrôleur arrive pour vérifier son billet. Il lui demande sa carte d'identité. Seulement, la veille, Eliot a perdu son portefeuille qui contenait ses papiers d'identité. "Je lui ai proposé de lui montrer la copie de ma carte d'identité sur mon téléphone", explique Eliot à l'Est Républicain. Le contrôleur refuse. "Il m'a dit Je ne fais que mon métier. J'étais prêt à payer la différence et il a un peu rigolé". L'étudiant assure qu'on ne lui avait jamais demandé sa carte d'identité lors des précédents contrôles.

Quand Eliot apprend le montant de l'amende, c'est la douche froide. Son père, lui, est toujours remonté contre la SNCF. "C'est plus que du zèle, c'est de l'abus de pouvoir", confie-t-il à l'Est Républicain. Il contacte le service recouvrement de la SNCF, le médiateur de la SNCF. Peine perdue. Le centre de gestion des PV de la SNCF indique que sa commission a rejeté l'appel d'Eliot. Et menace : si l'amende n'est pas payée le 26 décembre, elle sera majorée.

Il faut voyager avec sa carte d'identité

Interrogée par nos confrères, la SNCF explique que "les voyageurs doivent pouvoir justifier leur identité via un document d'identité officiel. Les photocopies et pièces numérisées ne sont pas acceptées pour des raisons évidentes de fraude". L'entreprise ajoute que la fraude coûte 300 millions d'euros par an à SNCF Mobilités.

L'entreprise reste donc ferme malgré le cas particulier d'Eliot qui s'est fait voler ses papiers d'identité. Une SNCF aussi bornée que dans le sketch du "train pour Pau" des humoristes Chevallier et Laspalès ...

 
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Deux députées quittent La République en marche

Publié à 23:21 par dessinsagogo55 Tags : center coup infos sommaire centerblog sur merci france place voyage chez article bleu monde
Deux députées quittent La République en marche
Deux députées quittent La République en marche en moins de 24 heures
 29/11/2019 à 17h42

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E. Philippe veut instaurer la réforme « sans brutalité »

Publié à 16:40 par dessinsagogo55 Tags : center article sommaire centerblog sur merci france place monde enfants travail pouvoir
E. Philippe veut instaurer la réforme « sans brutalité »
Edouard Philippe veut instaurer la réforme des retraites « sans brutalité »

Le premier ministre s’est dit ouvert à un compromis sur l’entrée en vigueur de la réforme, estimant qu’on « ne change pas un contrat social brutalement ».

Le Monde avec AFP et Reuters Publié aujourd’hui à 14h54, mis à jour à 15h59

 

Une réforme des retraites « sans brutalité ». Le gouvernement français ne transigera pas sur l’instauration d’un système universel de retraites, en supprimant notamment les régimes spéciaux, mais est prêt à négocier sur les mécanismes de transition des 42 régimes existants, a déclaré Edouard Philippe mercredi 27 novembre. Le premier ministre s’est dit notamment ouvert à un compromis quant à l’entrée en vigueur de la réforme (théoriquement dès la génération née en 1963), entre « une transition immédiate et brutale » et la « clause du grand-père » qui renverrait l’application de la réforme aux nouveaux entrants sur le marché du travail à compter de l’échéance de 2025. « Entre ces deux extrêmes, on doit pouvoir trouver le bon curseur », a-t-il insisté.

 

« On ne change pas un contrat social brutalement », a-t-il admis. Les discussions avec les syndicats et le patronat « vont encore se poursuivre un peu sous le pilotage du haut-commissaire » aux retraites, Jean-Paul Delevoye, et « devraient s’achever aux alentours des 9 ou 10 décembre », a déclaré M. Philippe à l’issue du conseil des ministres. « Le dialogue social se poursuit », a assuré M. Philippe, qui a énuméré les pistes de compromis possibles : droits familiaux, emploi des seniors, pénibilité, cumul emploi-retraite ou « garanties » pour certains fonctionnaires, comme les enseignants. « On nous a suffisamment reproché la verticalité pour que nous assumions de prendre le temps de discuter », a-t-il insisté, alors que l’opposition accuse l’exécutif de manier volontairement le flou sur son projet.

 

Le premier ministre a cependant réassuré la volonté du gouvernement d’aller au bout de cette réforme. Sinon, « ce qui se produirait, nous le savons tous : nous demanderions à nos enfants de payer, c’est totalement injuste, je m’y refuse », a-t-il déclaré. M. Philippe a aussi évoqué la possibilité de travailler plus longtemps : « Je crois que nos compatriotes savent que dans tous les autres pays un allongement progressif de la durée du travail se met en place, et c’est un élément sur lequel travailler. »

 

En attendant, « certains exprimeront leur opposition dans la rue le 5 décembre », premier jour d’une grève reconductible soutenue par la plupart des syndicats et des partis d’opposition. Cette manifestation, qui s’annonce massive, rassemblera des employés de la SNCF, de la RATP (les transports en commun d’Île-de-France), du transport routier, des hôpitaux, d’EDF, de l’éducation nationale, mais aussi des « gilets jaunes » et des étudiants. Tout en affirmant son « respect pour le droit de grève (et) pour le droit de manifester », M. Philippe a assuré que « le gouvernement mettra tout en œuvre pour accompagner au mieux les Français qui veulent et qui doivent travailler ».

 

A l’approche de cette date fatidique, l’exécutif enchaîne les réunions : après un déjeuner à l’Elysée et une réunion de la majorité mardi, un nouveau rendez-vous « de calage » est prévu vendredi à Matignon, selon une source gouvernementale. L’ensemble des ministres participera ensuite à un séminaire dimanche afin de « caler la feuille de route » et « fixer le calendrier au-delà du 5 décembre », mais aussi « revoir le plan pour limiter au maximum l’impact de la grève », en particulier dans les transports.

 
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Après la grève du 5, Emmanuel Macron redoute (aussi) le 7

Publié à 15:17 par dessinsagogo55 Tags : france center merci annonce centerblog sur monde presse article coeur
Après la grève du 5, Emmanuel Macron redoute (aussi) le 7
"Gilets jaunes" : après la grève du 5, Emmanuel Macron redoute (aussi) le 7 décembre
 
 
 
VU DANS LA PRESSE - "Le Canard Enchaîné" révèle que le Président ne serait pas rassuré par les événements du 7 décembre, notamment à cause de la participation des "gilets jaunes".
 

Plus la grève du 5 décembre approche, plus la mobilisation s'annonce massive. Étudiants, salariés du privés, cheminots, personnel aérien, les syndicats espèrent réunir le plus de monde possible

 

C'est une journée noire qui s'annonce pour les usagers des transports, mais aussi pour le gouvernement, qui fait face à une fronde massive contre son projet de réforme des retraites. Le Canard Enchaîné relève ce mercredi 26 novembre qu'Emmanuel Macron "lui-même" n'est pas "rassuré par la tournure que pourraient prendre les événements". Le Président a confié à un dîner datant du 19 novembre que la situation pouvait être "très dure". 

Outre la grève interprofessionnelle, le samedi 7 décembre est aussi au coeur de ses inquiétudes puisque le mouvement des "gilets jaunes" devraient, à nouveau, manifester. Emmanuel Macron craint que des "groupes violents, qui ont définitivement squatté la cause des "gilets jaunes" ne se saisissent "de cette manifestation". 

Castaner doit veiller au maintien de l'ordre public

Toujours selon les informations de l'hebdomadaire, le président a demandé à son ministre de l'Intérieur Christophe Castaner de "veiller à ce que tout soit fait pour que l'ordre public soit maintenu".

En attendant la grève du 5 décembre, le Premier ministre a poussé les parlementaires de la majorité à être "à fond" et à afficher une grande détermination lorsqu'ils défendent la réforme devant le public et les médias.

 
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Dons de corps à la science : un charnier au coeur de Paris

Publié à 14:13 par dessinsagogo55 Tags : france paris center sommaire voiture centerblog monde sur merci chez travail coeur centre automne
Dons de corps à la science : un charnier au coeur de Paris

Dons de corps à la science : un charnier au coeur de Paris

Des milliers de corps étaient livrés à la pourriture et aux rongeurs en raison de la vétusté des lieux, ou vendus à des entreprises privées, selon L'Express.

Par Le Figaro
Publié il y a 46 min
 

 

Les révélations font froid dans le dos : en plein coeur de Paris, à la prestigieuse faculté de médecine Paris-Descartes, le Centre du don des corps (CDC) s'est transformé en véritable charnier pendant «des décennies», et ce au moins jusqu'en 2018, révèle une enquête de L'Express mardi 26 novembre.

Des milliers de corps «démembrés» étaient livrés à la pourriture, aux vers et aux rongeurs, en raison de la vétusté des lieux : chambres froides non hermétiques, absence de ventilation et pannes à répétition. Mais un autre scandale s'ajoute au scandale : des corps ou des «pièces anatomiques» - membres ou organes - ont été monnayés, en violation de toutes les règles d'éthiques à des entreprises privées. Un ancien directeur du CDC évoque en outre un «trafic» auprès de chirurgiens désireux de faire des recherches.

 

 

Mouches, vers, putréfaction

Selon L'Express, le Pr Richard Douard, président du CDC de 2014 en 2017, aurait alerté Frédéric Dardel, président de Paris Descartes et aujourd'hui conseiller de la ministre de la recherche, Frédérique vidal, un document de 27 pages avec photographies à l’appui, et ce fin 2016.

 

Face à «l'inertie des pouvoirs publics», Richard Douard démissionne en octobre 2017. Sa démission est suivie de celle de Xavier de Bonnaventure, chargé d'enseignement en droit public et alors membre du comité d'éthique du CDC, puis de celle du Pr Brigitte Mauroy, urologue à Lille et présidente dudit comité d'éthique.

Des travaux de rénovation de 8 millions d'euros sont alors votés, mais ils ne seront effectifs qu'au premier trimestre... 2020. Depuis, un «grand nettoyage» (sic) aurait eu lieu avec des incinérations massives. Certains corps n'auront alors jamais servi à la science.

 

Mais selon L'Express, les dysfonctionnements auraient perdurés par la suite au CDC, et ce jusqu'à très récemment. Outre les graves problèmes éthiques liés au respect dus aux morts, la vétusté des lieux a ainsi posé la question des conditions de travail déplorables des médecins.

 

 

Commerce et trafic de corps humain

Mais le scandale ne s'arrête donc pas là. En violation de toutes les règles d’éthique, les « pièces anatomiques », membres ou organes, sont monnayées à des industriels, laboratoires ou entreprises privées, par exemple pour faire des crash tests de voiture, selon Alex Kahn, ex-président de Paris-Descartes.

 

Un corps entier pouvait ainsi être vendu 900 euros, un membre 400 eurosUne tarification votée en 2011 par le conseil d'administration de l'université. Frédéric Dardel, interrogé par L'Express, défend cette vente de dépouilles votée sous sa présidence : «Les corps représentent un coût marginal, il est normal que ceux qui les utilisent payent». Selon un audit de KPMG, les organismes privés auraient ainsi contribué à 75% du chiffre d'affaire du CDC en 2013.

Les chirurgiens, professeurs d'université parisiens désireux d'élaborer des recherches, doivent également payer pour avoir accès aux corps. Certains repartent alors chez eux avec des «pièces anatomiques» dans leur sac. « Oui, il y avait du trafic, confie à L'Express le Pr Guy Vallancien, directeur du CDC de 2014 à 2018. «Les préparateurs revendaient des pièces le samedi matin à des chirurgiens, qui les emportaient», dit-il.

Le Pr Bertrand Ludes, qui a pris les rennes du CDC à l'automne 2018, certifie vouloir mettre fin aux démembrements des corps, instaurer la prise en charge financière des dissections par l'université, et résilier les partenariats avec les entreprise privées.

Mercredi 27 novembre, scandalisé par ces révélations, un syndicat de médecins, l'Union française pour une médecine libre (UFML) a annoncé, auprès de Franceinfo, son intention de porter plainte.

 

 
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Les agriculteurs bloquent partiellement les Champs-Elysées

Les agriculteurs bloquent partiellement les Champs-Elysées
    Les agriculteurs bloquent partiellement les Champs-Elysées

Plus d’un millier d’agriculteurs roulent sur Paris avec leurs tracteurs afin d’interpeller l’exécutif et la grande distribution, alors que commencent les négociations commerciales qui fixent les prix pour un an.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 08h47, mis à jour à 12h34

 

Sur l’avenue des Champs-Elysée, dans la matinée de mercredi 27 novembre. Sur l’avenue des Champs-Elysée, dans la matinée de mercredi 27 novembre. PHILIPPE LOPEZ / AFP

 

 

Une fois parvenus dans la capitale avec leurs tracteurs et après avoir bloqué le boulevard périphérique, des centaines d’agriculteurs sont arrivés sur les Champs-Elysées pour faire pression sur les négociations commerciales avec la grande distribution.

Ils sont déjà plus de 200 à proximité de l’Arc de triomphe, où ils ont déversé du foin devant le restaurant Le Fouquet’s et bloquent en partie l’avenue. Un important dispositif de sécurité était en place depuis le petit matin dans ce secteur proche du palais de l’Elysée. D’autres groupes sont toujours en route pour l’avenue.

 

« Je soutiens leur colère et leur manifestation, je comprends leur ras-le-bol », a déclaré le ministre de l’agriculture, Didier Guillaume, au micro d’Europe 1 mercredi matin« On les aide dans toute la transition agroécologique. il y en a assez de ce dénigrement. »

L’arrivée du millier de tracteurs par les axes autour de la capitale n’a finalement pas provoqué plus de bouchons que d’habitude, selon le site d’information du trafic autoroutier francilien Sytadin.


« On est pris dans un effet ciseau »

Mathieu Garnotel, qui exploite 130 hectares dans la Marne, est venu avec une vingtaine d’autres agriculteurs rejoindre les convois parisiens, mercredi matin à Coutevroult, en Seine-et-Marne, près du péage sur l’A4.

« Actuellement, dans la Marne, un exploitant sur trois est à zéro ou en déficit, et l’année précédente nos revenus avaient baissé de 75 % par rapport à la moyenne 2010-2014, à cause de la chute des prix, de la suppression des quotas [sucriers] et de l’augmentation des charges (matériel et intrants plus chers, augmentation de la redevance pour pollution diffuse et de la taxe sur l’azote), on est pris dans un effet ciseau. »

« Mon salaire a baissé de 40 % en cinq ans », explique Guillaume Moret, 49 ans, agriculteur du Val-d’Oise, en route depuis Roissy, dans le nord de Paris. « On se demande combien de temps on va pouvoir tenir, et si on sera là demain. » « Les citoyens, dit-il, ne cherchent pas à comprendre ce qu’il se passe, ils veulent qu’on produise sans pesticides, mais eux ne s’interdisent pas cette consommation. »

« Dans mon groupe, nous sommes 15 agriculteurs, soit 30 % des effectifs de mon syndicat local du Val-d’Oise, a-t-il ajouté, ce qui est énorme comme mobilisation chez nous. »

 

« C’est la première fois que je monte à Paris en tracteur », témoigne à l’Agence France-Presse (AFP) Alix Heurtaut, agricultrice près d’Etampes (Essonne), qui s’est jointe à un groupe de 25 autres tracteurs. « Ça se passe bien, nous recevons beaucoup de signes de soutien des automobilistes, ça fait plaisir de voir des gens qui ne sont pas contre nous. »

La loi dite Egalim, issue des Etats généraux de l’alimentation et mise en place en début d’année, était censée ramener du revenu aux exploitants en rééquilibrant les relations commerciales, mais jusqu’ici les agriculteurs disent ne pas vraiment voir de différence.

 

 

Sur la route de Paris, mercredi 27 novembre. Sur la route de Paris, mercredi 27 novembre. PASCAL ROSSIGNOL / REUTERS D’autres blocages autour de Lyon

 

 

Les manifestants veulent donc mettre la pression sur la grande distribution et ses fournisseurs, alors que viennent de commencer les négociations commerciales annuelles qui fixent les prix pour un an. « Nous voulons que les distributeurs jouent le jeu et ne fassent pas comme a fait Lidl il y a dix jours, du steak haché à 6,75 euros le kilo, ce qui est un profond scandale », a expliqué à l’Agence France-Presse Christiane Lambert, présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), principal syndicat agricole qui appelle, avec les Jeunes agriculteurs (JA), à la mobilisation de mercredi.

 

En Rhône-Alpes, la préfecture a annoncé que les agriculteurs avaient bloqué partiellement trois autoroutes (A466, A6 et A47) autour de Lyon. Benoît Claret, le président de la FDSEA Ardèche, est venu pour protester contre « un double discours, un double langage qui fait que notre agriculture est malmenée par la société alors qu’elle est de plus en plus vertueuse ».

« Nous voulons que le gouvernement prenne ses responsabilités en nous accompagnant dans les négociations commerciales », qui ont jusqu’ici échoué à redresser les prix fixés aux agriculteurs, a-t-il expliqué.

Nathan Cocquempot (avec AFP)

 
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