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Charles Denner

Charles Denner

 

Charles Denner, né le 29 mai 1926 à Tarnów (Pologne) et mort le 10 septembre 1995 à Dreux (Eure-et-Loir), est un acteur français.

Auteur d'une carrière prolifique entre le théâtre et le cinéma, il est notamment connu pour ses rôles dans les films Landru de Claude Chabrol, L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch ou L'Homme qui aimait les femmes de François Truffaut.

 

Biographie

Famille et formation

Charles Denner naît en Galicie dans une famille juive. Il est le fils de Joseph, tailleur de profession, et de Jeanne née Micenmacher. La langue parlée à la maison est le yiddish.

Il a une sœur aînée, Élise (1922-2015), et deux frères : Alfred (1924-2012) et Jacques.

La famille s'installe en France en 1930.

 

Seconde Guerre mondiale

Les Denner se réfugient à Brive-la-Gaillarde, en zone libre. En 1941 a lieu la première apparition de Charles Denner au cinéma dans le rôle d'un valet dans le film Volpone de Maurice Tourneur. Le 20 avril 1942, Alfred Denner est arrêté et incarcéré au château de Ségur. Le rabbin de Brive, David Feuerwerker, alerté par la famille, réussit à obtenir sa libération et à lui sauver la vie.

Charles Denner, âgé de seize ans, et son frère Alfred, entrent alors dans la Résistance française ; Charles, sous le pseudonyme de « Charles Dermat », rejoint le maquis du Vercors où il est chasseur alpin. Il est gravement blessé à la colonne vertébrale lors d'une embuscade tendue par son groupe à un convoi allemand comprenant un camion de SS qu'il fait exploser à la grenade gammon.

Il a reçu la croix de guerre pour ce fait d'armes.

 

Carrière au théâtre

Après la guerre, il s'initie au théâtre en entrant au cours d'art dramatique Charles Dullin. Il y suit des cours le jour, et travaille comme fort des Halles la nuit. Tout en poursuivant ses cours il commence sa carrière de comédien au théâtre dans la jeune compagnie des Compagnons de l'Arche d'André Marcovici. Attaché au renouveau du théâtre yiddish en langue française porté par cette jeune troupe, il joue plusieurs rôles dans quatre pièces, dont Le Dibbouk de An Ski (1946) au théâtre Edouard VII, Le Keroub et le mariage de Rachel (1947) au théâtre La Bruyère, et Tel Haï (1947) aux théâtres Edouard VII et La Bruyère. Ces premières expériences des planches lui procureront les plus grandes satisfactions de sa carrière. Il interprète ensuite un clown dans Les Mamelles de Tirésias de Guillaume Apollinaire, mis en scène par Clément Harari. C'est là que Jean Vilar, qui dirige le Festival d'Avignon, le remarque. Il entre alors au théâtre national de Chaillot dans la troupe du Théâtre national populaire, que Jean Vilar dirigera ensuite. Au Festival d'Avignon, il donnera la réplique à Gérard Philipe en 1951 dans Le Prince de Hombourg (von Kleist). Au TNP encore, il joue avec Jeanne Moreau, François Périer, Michel Galabru et bien d'autres acteurs célèbres de cette génération, qui firent comme lui leurs débuts dans ce haut lieu de l'art dramatique français.

Il interprète la pièce Drame à Toulon - Henri Martin de Claude Martin et Henri Delmas qui relate la vie et le procès de Henri Martin, marin opposé à la guerre d'Indochine et condamné à cinq années de réclusion pour participation à une « entreprise de démoralisation de l'armée et de la nation. » Paul Préboist, René-Louis Lafforgue, José Valverde et Antoine Vitez sont quelques-uns des comédiens de la troupe. Les représentations sont interdites par plusieurs préfets et maires. Mais la censure est souvent déjouée et la pièce est jouée plus de trois cents fois.

Plus tard et toujours au TNP, alors dirigé par Georges Wilson, il donne aussi une belle vision de son talent en incarnant Matti dans Maître Puntila et son valet Matti de Bertolt Brecht, mis en scène et joué par Georges Wilson, avec Judith Magre.

Des années plus tard, en duo avec Philippe Avron, il est un Rogogine magistral dans L'idiot de Dostoïevski, mis en scène par André Barsacq au théâtre de l'Atelier.

Il a aussi prêté sa voix de basse baryton au timbre puissant et si particulier à l'interprétation de trois chansons du 45 tours Chants Yiddish (Chant du Monde, 1958), recueillis, arrangés, harmonisés et orchestrés par Robert Cornman. Il interprète Dos lid fon'em Tanz Firer (le chant du meneur de danse), Cha Chtil (le Rabbin emmène ses disciples dans la danse), Aroïz iz in Wilna a naeir Bafehl (le nouvel édit de Vilna).

 

Carrière au cinéma

En 1946, il fait de la figuration en soldat allemand dans le court métrage de 28 minutes Rappel à la vie / Der Ruf tsum leben (en yiddish non sous-titré dans sa version originale) réalisé par Maurice Wolf (sous le pseudonyme de Saint Lou) et Élie Davidson. Yves Allégret lui offre ensuite un petit rôle en 1955, dans La Meilleure Part, suivi deux ans plus tard par Louis Malle dans Ascenseur pour l'échafaud.

Claude Chabrol tombe sous le charme de la composition qu’il donne du personnage de Gori (Hermann Göring) dans La Résistible Ascension d'Arturo Ui de Bertolt Brecht monté en 1960 au TNP par Jean Vilar et Georges Wilson. À la suite d'un casting, il lui donne le rôle de Landru qui sort en 1963. Relégué depuis ses débuts dans des rôles de vieillards avec faux nez et perruque, il accepte sans hésiter de se raser le milieu du crâne et de se laisser pousser les favoris pour incarner le personnage. Claude Chabrol parlait alors du mélange de bonhommie et de terreur qui avait contribué au succès de son interprétation en ajoutant qu’il s’était régalé à composer ce personnage de petit bourgeois qui trucide avec une vraie ferveur domestique.

Brillant comédien de composition, il sait incarner une grande variété de personnages qui vont des anarchistes moraux aux petits et grands voyous, des apatrides aux artistes et aux séducteurs. Il incarne ainsi le personnage de Filochard dans la comédie Les Pieds nickelés de Jean-Claude Chambon, déambule à la recherche de ses parents dans la ville de Montréal dans YUL 871 de Jacques Godbout, sombre dans une douce folie dans la fable philosophique La Vie à l'envers d'Alain Jessua, est l'une des victimes de la vengeance de Jeanne Moreau dans le drame policier La mariée était en noir de François Truffaut, adapté d'après le roman du même nom de l'écrivain William Irish, ou apparaît aux côtés d'Yves Montand, Jacques Perrin, Jean-Louis Trintignant, Irène Papas, Bernard Fresson et François Périer dans le thriller politique Z de Costa-Gavras.

À partir de 1970, il joue dans cinq films de Claude Lelouch dont le premier est Le Voyou. Il tient l'un des rôles principaux de L'aventure c'est l'aventure avec Lino Ventura, Jacques Brel, Aldo Maccione Charles Gérard et Johnny Hallyday et dans Si c'était à refaire avec Catherine Deneuve. Il donne la réplique à Jean-Paul Belmondo dans L'Héritier de Philippe Labro en 1973, puis, dans le film policier Un officier de police sans importance de Jean Larriaga, est enlevé par un pathétique trio composé de Marc Porel, Julian Negulesco et Dani. En 1975, il retrouve Belmondo en étant son adjoint dans le film policier Peur sur la ville d'Henri Verneuil. En 1977, il tient le rôle principal de L'homme qui aimait les femmes de François Truffaut, pour lequel il vient supplanter un moment son personnage fétiche d'Antoine Doinel. L'année suivante, il est tête d'affiche, avec Jacques Villeret, de Robert et Robert, aussi de Claude Lelouch. En 1982, il incarne un avocat dans le drame L'Honneur d'un capitaine de Pierre Schoendoerffer. En 1985, pour l'un de ses derniers rôles au cinéma, il campe la caricature d'un puissant producteur lassé par les caprices de sa chanteuse dans L'Unique de Jérôme Diamant-Berger.

 

Dernières années (1986-1995)

Le cancer commence à lui prendre la voix alors qu'il monte pour la dernière fois sur scène pour incarner Le Marionnettiste de Lodz, de Gilles Segal, mis en scène par Jean-Paul Roussillon. Un one-man-show qui signe la fin de sa carrière en 1986.

Après dix années d'épreuves et de traitements, guéri d'un cancer de la gorge, affaibli, il meurt le 10 septembre 1995.

Il est inhumé dans le caveau familial au cimetière parisien de Bagneux (division 107).

 

Vie privée

Charles Denner a été marié deux fois, d'abord avec Simone Jaquier, puis avec Monique Voirriot (1932 - 2015), dite Maryse (marraine du fils de l'acteur Marie-Pierre de Gérando, dont Charles Denner était un grand ami). Du premier mariage sont nés Charlet et Ethel.

 

 

   
   
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Denner

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Robert Schumann

Publié à 17:31 par dessinsagogo55 Tags : center coup musique mort centerblog background sur merci
Robert Schumann

 

Robert Schumann (/ˈʁoː.bɛʁt ˈʃcoup ».">uː.man/), né le 8 juin 1810 à Zwickau et mort le 29 juillet 1856 à Endenich (aujourd'hui un quartier de Bonn), est un compositeur et pianiste allemand. Sa musique s'inscrit dans le mouvement romantique, qui domine au début du XIXe siècle une Europe en pleine mutation. Compositeur littéraire par excellence, Schumann et sa musique illustrent une composante du romantique passionné. Il est le mari de Clara Schumann, pianiste et également compositrice.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Schumann

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BPM (battement par minute)

Publié à 17:10 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog sur monde musique background merci
BPM (battement par minute)

Le BPM (battement par minute), couramment abrégé par le sigle bpm, est une unité de mesure utilisée pour exprimer le tempo de la musique ou le rythme cardiaque, quantifié par le nombre de battements se produisant en une minute.
Sur une partition de musique classique, des termes italiens (comme « allegro » ou « presto ») servent à indiquer le tempo. La mention « a tempo » suivi de la vitesse en BPM peut aussi apparaître pour spécifier le rythme exact (exemple : « a tempo 128 »). Dans les partitions de musiques actuelles comme le Rock ou le Blues, il est très rare de voir les appellations italiennes de tempo, le rythme est habituellement spécifié en bpm.

Qualificatif Tempo
Largo 40-60 bpm
Larghetto 60-66 bpm
Adagio 66-76 bpm
Andante 76-108 bpm
Moderato 108-120 bpm
Allegro 120-168 bpm
Presto 168-200 bpm
Prestissimo 200-208 bpm
A tempo tempo spécifié

Styles, tempo et bpm

Le rythme semble aussi très important dans le domaine de la musique électronique où l'on peut distinguer de nombreux styles par la rapidité de leur tempo.
Tango: 50-56 bpm
Trip hop: 60-120 bpm
Cumbia: 70-80 bpm
Crunk: 80 bpm
Hip hop: 80-90 bpm
Reggaeton: 80-90 bpm
Salsa: 80-100 bpm
Norteña: 110-120 bpm
New beat: 110-120 bpm
Minimal: 120-135 bpm
Doomcore: 120-150 bpm
Terrorcore: 120-600 bpm
House: 124-130 bpm
Techno: 125-145 bpm
Eurodance: 126-132 bpm
Electro: 126-135 bpm
Funky house: 128-136 bpm
Trance: 128-140 bpm
Goa trance: 130-146 bpm
Grime / Dubstep: 135-145 bpm
Kuduro: 135-145 bpm
Psytrance: 140-145 bpm
Hardstyle: 140-160 bpm
Ghettotech: 150-170 bpm
Schranz: 150-170 bpm
Drum'n'bass: 160-190 bpm
Hardcore / Gabber: 165-220 bpm
Happy Hardcore: 180-200 bpm
Speedcore: 200-500 bpm
Splittercore: 500-1000 bpm
Extratone: Au-delà de 1000 bpm


Calcul de BPM

Délai entre chaque temps en millisecondes = (60000 / bpm).
Délai pour 1/16e de mesure = (60000 / bpm) / 4.


Record

Le morceau reconnu comme morceau au bpm le plus élevé du monde est Thousand de Moby, qui comme son nom l'indique (« mille » en anglais) oscille jusqu'à 1 000 bpm. Il est d'ailleurs inscrit au Guinness Books of Records. Il s'agit d'un record discutable puisqu'au dessus d'un certain seuil l'auditeur ne peut plus vraisemblablement ressentir ce tempo et a plutôt le sentiment d'une masse sonore arythmique.
L'album avec le bpm moyen le plus élevé est attribué a Sunhiausa, et son EP Extreme Symphonia, dont la plupart des morceaux tournent autour de 2000-3000 bpm.
Le morceau commercialisé sur les plus grandes platformes de telechargement le plus rapide du monde est The Lost Temple de Aekhloria, sorti le 18 avril 2011, qui oscille jusqu'à 400 000 bpm. On entend durant ce passage un "bip" continu ressemblant a un ultrason . La vitesse moyenne de cette musique est d'environ 800 bpm, ce qui donne une impression de très grande vitesse, voir même de précipitation. Toutefois, la mélodie principale de la musique,à la flute, est parfaitement audible. Mais ce record n'a pas encore été reconnu par le Guinness Books of Records.

 

 

   
   
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Marlène Jobert

Marlène Jobert



Marlène Jobert est une actrice, romancière et conteuse pour enfants française, née le 4 novembre 1943 à Alger, alors en Algérie française.



Comme Edwige Feuillère et Claude Jade, Marlène Jobert fait des études au Conservatoire de Dijon. Elle étudie ensuite le drame et l'art au Conservatoire de Paris, gagnant sa vie comme modèle pour photos et figurante dans des productions cinématographiques. Après quelques engagements au théâtre - en particulier Des clowns par milliers, avec Yves Montand - et à la télévision, elle est découverte dans les années 1960 comme actrice de cinéma.



Elle a fait ses débuts à la scène en 1963 et à l'écran en 1966 dans un rôle important avec Masculin, féminin de Jean-Luc Godard, où elle joue aux côtés de Jean-Pierre Léaud et Chantal Goya qu'elle retrouvera par ailleurs dans Les Dossiers de l'agence O en 1968. En 1967, elle joue au côté de Jean-Paul Belmondo et de Geneviève Bujold dans Le Voleur de Louis Malle.



Le grand public la découvre véritablement en 1968, dans le rôle de Rita dans Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages que lui confie Michel Audiard ; dans ce film, elle campe, au côté de Bernard Blier, Françoise Rosay ou encore André Pousse, un personnage de jeune femme mutine, dévorée par l'ambition . Guy Casaril lui propose ensuite le rôle principal de son film L'astragale qui connait lui aussi un très grand succès au Box-Office.



Elle connaît deux de ses plus grands succès au cinéma en 1970, comme policière dans Dernier domicile connu de José Giovanni (avec Lino Ventura) et comme meurtrière angoissée dans le thriller de René Clément Le Passager de la pluie (avec Charles Bronson).
Les metteurs en scène de Marlène Jobert sont alors entre autres Philippe de Broca, Claude Chabrol, Robert Enrico et Claude Lelouch. Dans les années 1970, elle participe avec sa propre entreprise, MJ, à la production de quelques-uns de ses films, comme en 1974 les comédies Juliette et Juliette (avec Annie Girardot) et Pas si méchant que ça (avec Gérard Depardieu). Dans un registre plus dramatique, Maurice Pialat la fait jouer avec Jean Yanne dans Nous ne vieillirons pas ensemble où elle a été particulièrement remarquée.
Actrice rousse le plus souvent aux cheveux courts, elle joue des rôles dans lesquels ses actions courageuses et la virilité de ses partenaires masculins contrastent avec son apparence extérieure fragile et apeurée, comme dans Folle à tuer d'Yves Boisset où son personnage est la proie d'une machination.



Parallèlement à sa carrière au cinéma, Marlène Jobert ne cesse de connaître également des succès à la télévision. Elle est ainsi devenue l'une des actrices françaises les plus populaires jusqu'à maintenant, bien que depuis les années 1980 elle ne joue plus que de temps en temps devant la caméra. Son dernier grand rôle est, au milieu des années 1990, dans la série télévisée Avocat d'office. En 2002, elle refuse un rôle dans le film 8 femmes qui fut joué avec succès par Isabelle Huppert. En 2007, elle reçoit le prix d'honneur lors de l'attribution des Césars.
Au cours des dernières années, elle a enregistré des livres parlés pour enfants et a écrit des livres sur la musique.
Marlène Jobert est la mère de l'actrice Eva Green (née en 1980 et connue pour avoir joué dans Casino Royale) et de sa sœur jumelle Joy. Elle a également deux nièces : la chanteuse Elsa, fille de sa sœur Christiane Jobert, et l'actrice Joséphine Jobert, fille de son frère Charles Jobert.

 

 

   
   
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Marl%C3%A8ne_Jobert

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Jacques Offenbach

Jacques Offenbach

Jacques Offenbach /ʒak ɔfɛnbak/ (de l'allemand Jakob Offenbach /ˈjaːkɔp ˈɔfˌbax/), né le 20 juin 1819 à Cologne et mort le 5 octobre 1880 à Paris est un compositeur et violoncelliste allemand naturalisé français.

 

Biographie

Origines

Jacques ou Jakob Offenbach est né en 1819 dans une famille juive ashkénaze, à Cologne dans la province de Juliers-Clèves-Berg, qui à cette époque faisait partie de la Prusse. Sa maison natale se trouve sur le Großer Griechenmarkt, proche de la place qui porte maintenant son nom, l'Offenbachplatz. Il est le deuxième fils des dix enfants d'Isaac Juda Offenbach né Eberst (1779-1850) et de son épouse Marianne, née Rindskopf (vers 1783-1840).

La rive gauche du Rhin étant devenue française par le traité de Bâle, Isaac, issu d'une famille de musiciens, abandonne son métier de relieur et gagne sa vie itinérante comme chantre dans les synagogues et violoniste dans les cafés. Il est connu sous le nom de 'der Offenbacher' (le musicien d'Offenbach) d'après sa ville natale, Offenbach-sur-le-Main, près de Francfort-sur-le-Main.

En 1808, en vertu du décret de Bayonne, il adopte Offenbach comme patronyme. En 1816, la rive gauche du Rhin ayant été donnée au royaume de Prusse par le congrès de Vienne, il s'établit à Cologne, où il devient professeur, donnant des leçons de chant, de violon, de flûte et de guitare, ainsi que de composition musicale.

 

Les jeunes années

Lorsque Jakob a six ans, son père lui apprend à jouer du violon. En l'espace de deux ans, le garçon surdoué compose des chansons et des danses. À neuf ans, il commence l'étude du violoncelle. Isaac est à ce moment le chantre permanent de la synagogue locale. Il peut se permettre de payer à son fils des leçons auprès du célèbre violoncelliste Bernhard Breuer. Trois ans plus tard, Jakob interprète ses propres compositions, dont les difficultés techniques impressionnent son maître. Avec son frère Julius (violon) et sa sœur Isabella (piano), Jakob joue en trio dans des salles de bal locales, des auberges et des cafés. Ils y interprètent de la musique de danse populaire et des arrangements d'opéras.

En 1833, Isaac décide que les deux plus talentueux de ses enfants, Julius (alors âgé de 18 ans) et Jakob (14 ans), quitteront la scène musicale provinciale de Cologne pour aller étudier à Paris. Avec le soutien généreux des mélomanes locaux et de l'orchestre municipal, avec qui ils ont donné un concert d'adieu le 9 octobre, les deux jeunes musiciens, accompagnés de leur père, font un voyage de quatre jours à Paris, en novembre 1833.

Isaac parvient à persuader le directeur du conservatoire de Paris, Luigi Cherubini, de faire passer une audition à Jakob. Mais l'âge et la nationalité du garçon étaient deux obstacles à l'admission. Cherubini avait déjà refusé plusieurs années auparavant l'admission de Franz Liszt, âgé de 12 ans, pour des motifs similaires, mais il accepte finalement d'entendre le jeune Offenbach. Il écoute son jeu et l'arrête en disant : « Assez, jeune homme, vous êtes maintenant un élève de ce Conservatoire ». Julius est également admis. Les deux frères adoptent des formes françaises de leurs prénoms, Julius devenant Jules et Jakob devenant Jacques.

Isaac espère obtenir un emploi permanent à Paris. Cela ne se réalise pas, et il retourne à Cologne. Avant de partir, il trouve un certain nombre d'élèves pour Jules. Les revenus modestes de ces leçons, complétés par les honoraires gagnés par les deux frères en tant que membres des chœurs de la synagogue, leur permettent de poursuivre leurs études. Au conservatoire, Jules est un étudiant assidu. Il est diplômé et devient professeur de violon et chef d'orchestre connu. Il dirigera l'orchestre de son jeune frère pendant plusieurs années. En revanche, Jacques s'ennuie et part après un an, le 2 décembre 1834.

 

Le violoncelliste virtuose

 

En quittant le conservatoire, Offenbach se libère de l'académisme sévère du programme de Cherubini, mais, comme l'écrit son biographe James Harding, « il était libre, lui aussi, de mourir de faim ». Il obtient quelques emplois temporaires dans des orchestres de théâtre avant d'occuper en 1835 un poste permanent de violoncelliste à l'Opéra-Comique. Il n'y est pas plus sérieux qu'il l'avait été au conservatoire, et se voit privé régulièrement de sa paye, pour avoir fait des farces pendant les représentations. À une occasion, lui et le violoncelliste principal ont joué des notes alternées de la partition imprimée. Une autre fois, ils sabotent certains pupitres de leurs collègues pour les faire s'effondrer à mi-représentation. Néanmoins, les revenus de son travail d'orchestre lui permettent de prendre des leçons avec le célèbre violoncelliste Louis Norblin. Il fait une impression favorable sur le compositeur et chef d'orchestre Fromental Halévy, qui lui donne des leçons de composition et d'orchestration. Certaines des premières compositions d'Offenbach sont programmées par le chef à la mode Louis-Antoine Jullien. Offenbach et un autre jeune compositeur, Friedrich von Flotow, collaborent sur une série d'œuvres pour violoncelle et piano. Mais l'ambition d'Offenbach est de composer pour la scène. Or, il n'est pas programmé par les théâtres parisiens. Avec l'aide de Flotow, il se bâtit une réputation pour composer et jouer dans les salons à la mode.

Parmi les salons qu'il fréquente, il y a celui de la comtesse de Vaux. Il y rencontre Herminie d'Alcain (1827-1887), fille d'un général carliste. Ils tombent amoureux, mais il n'est pas encore dans une position financière assez brillante pour proposer le mariage. Pour étendre sa renommée et se faire connaître ailleurs qu'à Paris, il entreprend des tournées en France et en Allemagne. Il y interprète des œuvres d'Anton Rubinstein et, dans un concert dans sa Cologne natale, de Liszt. En 1844, probablement soutenu par des parents anglais d'Hérminie, il entreprend une tournée en Angleterre. Il est immédiatement engagé pour se produire avec certains des musiciens les plus célèbres de l'époque, y compris Mendelssohn, Joseph Joachim, Michele Costa et Julius Benedict. La presse britannique relate un concert prestigieux. L'Illustrated London News écrit : « Herr Jacques Offenbach, l'étonnant violoncelliste, s'est produit jeudi soir à Windsor devant l'empereur de Russie, le roi de Saxe, la reine Victoria et le prince Albert avec un grand succès ». L'utilisation de « Herr » plutôt que « Monsieur » reflète le fait qu'Offenbach reste un citoyen prussien. L'ambiguïté de sa nationalité lui causera plus tard des difficultés dans la vie.

Jacques Offenbach rentre à Paris avec une réputation et un compte en banque améliorés. Le dernier obstacle à son mariage avec Hérminie est d'ordre religieux. Il se convertit au catholicisme, avec la comtesse de Vaux comme marraine. On ne connaît pas la réaction de son père Isaac sur la conversion de son fils et l'abandon du judaïsme. Le mariage a lieu le 14 août 1844, la fiancée a 17 ans et lui 25. Le mariage durera toute leur vie et sera heureux, malgré quelques aventures extra-conjugales du mari. Après la mort d'Offenbach, un ami a dit qu'Hérminie « lui a donné du courage, a partagé ses épreuves et l'a réconforté toujours avec tendresse et dévotion ».

Revenant à Paris, Offenbach fréquente à nouveau les salons à la mode, mais il compose aussi de plus en plus. Il publie beaucoup de partitions, et certaines d'entre elles se vendent bien. Il écrit, joue et produit des burlesques musicaux pour les présenter dans les salons. Il amuse ainsi les 200 invités de la comtesse de Vaux avec une parodie du Désert de Félicien David. En avril 1846, il donne un concert où sept pièces d'opéra de sa propre composition sont créées devant un public comportant des critiques musicaux. Après quelques encouragements et quelques déceptions, il semble sur le point de se consacrer entièrement à la composition théâtrale, quand Paris subit la révolution de 1848, qui renverse Louis-Philippe dans une effusion de sang. Offenbach emmène précipitamment Herminie et leur fille récemment née, pour rejoindre sa famille à Cologne.

De retour à Paris en février 1849, Offenbach trouve les grands salons fermés. Il reprend son travail de violoncelliste et de chef occasionnel à l'Opéra-Comique. Il est cependant remarqué par le directeur de la Comédie-Française, Arsène Houssaye, qui le nomme directeur musical du théâtre, avec un mandat pour agrandir et améliorer l'orchestre. Début 1850, Offenbach compose des chansons et de la musique de scène pour onze drames classiques et modernes. Certaines de ses chansons sont devenues très populaires, et il acquiert une expérience précieuse dans l'écriture pour le théâtre. Houssaye écrira plus tard qu'Offenbach avait fait des merveilles pour son théâtre. Mais la direction de l'Opéra-Comique, cependant, ne lui commande rien.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Offenbach

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Gustave III

Publié à 16:38 par dessinsagogo55 Tags : sur monde presse mort pouvoir center centerblog background merci
Gustave III

 

Gustave III de Suède (en suédois : Gustav III av Sverige), né le 24 janvier 1746 à Stockholm (Suède) et mort assassiné le 29 mars 1792 dans la même ville, fut roi de Suède et grand-duc de Finlande du 12 février 1771 jusqu'à son assassinat.

 

Pendant ce temps, il devint l'un des principaux partisans d'une politique connue sous le nom d'« absolutisme éclairé », où il épousa les idéaux des Lumières tout en augmentant sa propre puissance et autocratie. À cette fin, il devint un mécène des arts suédois, réduisit le pouvoir et la corruption de la noblesse et introduisit des réformes pour libéraliser l'économie. Dans le même temps, il accumula un énorme pouvoir personnel et sévit contre la liberté de la presse.

 

La Suède avait perdu ses possessions baltes pendant la grande guerre du Nord avec la Russie au début du XVIIIe siècle, et bien qu'il ait eu un certain succès militaire, Gustave III ne réussit pas à reprendre les territoires dans une guerre avec la Russie en 1788-90. Dans d'autres domaines de la politique étrangère, Gustave III fut le premier chef d'État neutre au monde à reconnaître l'indépendance des États-Unis en 1782 et assista militairement les rebelles. Il tenta également de former des alliances visant à restaurer Louis XVI sur le trône français après la Révolution française en 1789.

 

Alors qu'il réduisait le pouvoir des nobles et imposait son absolutisme, de nombreux nobles en Suède commencèrent à mépriser le roi et complotèrent activement contre lui. Le 16 mars 1792, alors que le roi assistait à un bal masqué à l'opéra royal de Stockholm, l'assassin Jacob Johan Anckarström tira sur le roi dans le dos. Gustave III mourut treize jours plus tard d'une septicémie.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gustave_III

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Danièle Lebrun

Publié à 16:27 par dessinsagogo55 Tags : prix vie saint amour fille film center centerblog background sur merci
Danièle Lebrun

 

 

Danièle Lebrun (parfois créditée Danielle Lebrun), née le 24 juillet 1937 au Cheylard (Ardèche), est une actrice française, sociétaire de la Comédie-Française. Elle est la sœur du philosophe Gérard Lebrun

 

Biographie

Carrière

Fille d'un professeur d'université, elle est présentée par son frère, Gérard Lebrun, à Claude Autant-Lara pour le rôle principal dans le film Le Blé en herbe en 1953, mais elle n'est pas retenue en raison de son trop jeune âge. Toutefois, le réalisateur l'incite à devenir comédienne et elle s'inscrit au Conservatoire où elle rencontre François de Closets, son futur mari. Inscrite dans la classe de Robert Manuel, elle y obtient un premier prix de conservatoire grâce à son interprétation dans George Dandin ou le Mari confondu ; elle passe deux ans à la Comédie-Française.

Sa carrière alterne le comico-dramatique, le burlesque et parfois le tragique. Un de ses premiers rôles au cinéma est la Grouchenka dans Les Frères Karamazov en 1969 aux côtés de Bernard Fresson et Pierre Brasseur.

Danièle Lebrun a aussi beaucoup joué au théâtre, mais le grand public la connaît surtout par les adaptations à la télévision de pièces de théâtre (comme Bérénice de Jean Racine, Lulu de Frank Wedekind, Le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux dans des réalisations de son époux Marcel Bluwal).

Au cinéma, elle a joué — entre autres — dans Ça n'arrive qu'aux autres, Camille Claudel et Uranus.

À la télévision, elle est la troublante Roxane, baronne de Saint-Gély aux côtés de Claude Brasseur dans Les Nouvelles Aventures de Vidocq, ainsi que Cécily dans la série Chéri-Bibi et plus récemment, Yvonne de Gaulle dans Le Grand Charles donnant la réplique à Bernard Farcy.

Au théâtre, elle joue pendant des années dans l'adaptation des Exercices de style de Raymond Queneau mis en scène par Jacques Seiler, et dans Domino de Marcel Achard.

En avril 2011, cinquante-trois ans après son premier passage, elle est réengagée en tant que pensionnaire de la Comédie-Française. Elle est nommée sociétaire le 1er janvier 2025 (543e sociétaire).

 

Vie privée

 

D'un premier mariage avec le journaliste François de Closets, elle a un fils, Serge de Closets (1964-2014). De son second mariage avec Marcel Bluwal elle a une fille, Emmanuelle Bluwal (née en 1971)

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dani%C3%A8le_Lebrun

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Communes de la Meuse : T U Page 2

Publié à 05:43 par dessinsagogo55 Tags : carte centerblog background sur gif merci france saint monde coup photos histoire blogs
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Roland Crancée

Publié à 02:15 par dessinsagogo55 Tags : coup monde centre mort saint france merci sur background centerblog blogs
Roland Crancée

 

Roland Crancée, né le 24 septembre 1932 à Tréveray dans la Meuse et mort le 18 septembre 2012 à Tarbes, est un joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France en 1960 et 1961, évoluant au poste de troisième ligne centre.

 

Biographie

 

Roland Crancée joue successivement pour le Stade bagnérais lors de la saison 1958-1959, le FC Lourdes de 1959 à 1964 et le FC Saint-Claude de 1964 à 1975. Avec le FC Lourdes, il devient champion de France en 1960 grâce à la victoire 14 à 11 contre l'AS Béziers en finale. Il dispute son premier test-match le 17 août 1960 à Buenos Aires contre l'Argentine (victoire 29 à 6). Sa deuxième et dernière sélection est contre l'Écosse le 7 janvier 1961 à Colombes lors du Tournoi des Cinq Nations (victoire 11 à 0). Lors de son passage au FC Saint-Claude, il devient l'entraîneur du club. Il pratique le rugby à XV jusqu'à l'âge de 43 ans en jouant quelques matchs avec le RC Châteaurenard. Il exerce la profession de gérant de bar

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roland_Cranc%C3%A9e

Notes et références                                                    
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Joseph Oury

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Joseph Oury

 

Joseph-Marie Oury est un organiste, compositeur et pédagogue français né à Treveray, Meuse, le 27 mars 1852 et mort à Toul le 3 août 1949.

 

Éléments biographiques

 

Joseph-Marie Oury nait au sein d'une famille de huit enfants dans le petit village de Tréveray où son père Alexandre, instituteur, tient l'harmonium de l'église du village. Son père Alexandre meurt en 1860. Il est recueilli par son oncle paternel qui enseigne sous le nom de frère Allison à l'institut des frères des écoles chrétiennes de Caen.

En Normandie Joseph Oury suit de solides études classiques et musicales au cours desquelles il fait la connaissance et se lie d'amitié avec Pierre Daru (1843 - 1872) fils de Napoléon Daru. C'est par le biais de cette relation amicale qu'à l'âge de 16 ans environ il approche la famille impériale. Son oncle frère Allison le pousse à entrer au service des écoles chrétienne et c'est sous statut religieux qu'il enseigne au Havre. Cette situation ne lui plaisant guère il abandonne sa fonction et s'engage dans l'armée à l'aube du conflit franco-prussien. Il sert comme secrétaire d'un officier basé à Varangéville.

Il épouse une veuve après 1871 et après un court séjour à Saint-Nicolas-de-Port, il part avec sa femme à Paris où il convoite un poste de professeur au conservatoire. Sa vie parisienne, ses relations passées lui permettent de côtoyer des musiciens et personnalités tels que Vincent d'Indy, Saint-Saëns, Dom Pothier.

En 1878 au cours d'un séjour dans sa Meuse natale le facteur d'orgue Nicolas-Théodore Jaquot lui apprend que le poste d'organiste de la cathédrale de Toul est vacant. Oury, plus par curiosité de découvrir l'orgue de la cathédrale, se rend à Toul, joue diverses pièces de Bach devant les membres du chapitre qui à l'unanimité l'engagent aussitôt. L'orgue, le site, l'impressionnent; malgré tout il hésite puis accepte le poste temporairement. Mais Ambroise Thomas ne lui a toujours pas donné de réponse pour le poste de professeur, et ce qui devait n'être qu'une étape du retour vers Paris, se mue en un séjour de 71 années dans la cité Lorraine.

 

Annexes

Bibliographie

Chanoine Gustave Clanché, Maitre Joseph Oury, Imprimerie Wagner, Nancy 1949.

Charles Hoffmann, « Joseph-Marie Oury, compositeur et musicien toulois » , dans Le Pays Lorrain46e année, 1965, p. 48-54

Marie Royer, « Les grandes heures musicales de Toul », Études Touloises, 1983, no 28, p. 2-10

Marie Royer, « Maitre Joseph Oury, compositeur et organiste Toulois », Études touloises, 1983, no 28, p. 11è30 

 

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Oury

Notes et références                                                    
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