Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
13.01.2025
18503 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1119)
· A à Z : Sommaire (343)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (2975)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (236)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1087)
air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Anita Dark, née Anita Perger( Surnom Anita Pansy, Sonia Berger) le 11 avril 1975, en Hongrie, est une actrice porno hongroise.
Elle commença le mannequinat à 19 ans et devint Miss Budapest en 1994.
Au début de sa carrière, elle se fit réduire la poitrine. Elle passa ainsi d'un bonnet DD à un bonnet D et se fit également réduire la taille desaréoles. À cette époque, elle tourna beaucoup avec Anita Blonde.
Plus tard dans sa carrière, Anita est apparue blonde.
Elle débuta dans des productions du label Private, puis travailla pour VMD (où elle a notamment interprété le rôle d'une Hongroise qui succombe aux charmes de Mark Davis dans "Pretty girl" ). Elle tourna par la suite des films très hard (sodomies, doubles pénétrations) avant de partir pour les États-Unis faire une carrière plus sage avec sa compatriote Anita Blonde en 1996. Elle réside actuellement à Boca Raton, luxueuse station balnéaire de Floride, d'où elle mène sa carrière. Ses dernières apparitions sont uniquement lesbiennes.
Récompenses
1997 : Festival international de l'érotisme de Bruxelles Meilleure actrice au festival de l'érotisme de Bruxelles en 1997
1996 : Festival international de l'érotisme de Bruxelles Meilleure actrice au festival de l'érotisme de Bruxelles en 1996
Filmographie
Private Lesbian 6: Girl Girl Studio 7 (2008)
Women Seeking Women 40 (2008)
Women Seeking Women 41 (2008)
Busty Solos (2007)
No Man's Land: Girls in Love (2007)
Screen Dreams 2 (2007)
Lucky Lesbians 1 (2006)
Women Seeking Women 28 (2006)
Every Man's Fantasy 2 (2005)
Carnal Desires (2005)
Anita Dark Exposed (2004)
Captives of Conspiracy (2003)
No Man's Land 39 (2003)
Pussy Foot'n 9 (2003)
Una vita in vendita (2003)
Offertes à tout 10: Fantasmes en été (2000)
Bodyslammin' (1999)
California Calendar Girls (1999)
I racconti immorali di Mario Salieri (1999)
America's 10 Most Wanted 3 (1998)
L'empreinte du vice (Masquerade) (1998)
North Pole #1 (1998)
Pick-Up Lines 23 (1998)
Pick Up Lines: Patio Pleasures (1998)
Video Adventures of Peeping Tom 11 (1998)
Wet Cotton Panties 4 (1998)
Rock and Roll. Rocco Part II (1997)
Concetta Licata 2 (1997)
Exotica Erotica 4 (1997)
Francesca: Sinfonia anale (1997)
Illicit Intimacy (1997) (comme Sonia Bergher)
La ruée vers Laure (Amnesia) (1997)
Le fétichiste (The Panty Thief) (1997)
Le novizie (1997)
Lili (1997)
L'indécente aux enfers (1997)
Private Casting X 7: Anita Dark (1997)
Rocco e le storie tese (1997)
Sarah's Teeny Bitches I (1997)
Sex Files 1 (1997)
Sex Files 2 (1997)
Sodomania 20 (1997)
World Sex Tour 10: France (1997)
Ein geiles Duo (1996)
Mad Sex II (1996)
Angélique (1996)
Duo infernal (1996)
L'obsession de Laure (1996)
Offertes à tout 7: Fantasmes à l'Est (1996) (comme Anita)
Private Stories 6: Fiddlers on the Roof (1996)
Private Stories 9: Blue Girls (1996)
Rock and Roll. Rocco Part I (1996)
Selen video magazine 3: Solo per i tuoi occhi (1996)
Selen video magazine: Violenza paterna (1996)
The Beautiful Girls of Europe 3 (1996)
The Dream (1996)
The Voyeur 8 (1996)
Un tranquillo week end di terrore (1996)
World Sex Tour 6: France (1996)
Bizarre 4: Sklave seiner Herrin (1995) (comme Anita Pansy)
La clinica della vergogna (1995)
L'albergo della paura (Hotel Fear) (1994)
Pretty Girl (1994) (comme Sonia Berger)
***
Taille 1,69 m Poids 47 kg Yeux vert
Cheveux Blondes/brune
Mensurations 34D-22-32 cm
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Liste des actrices pornographiques hongroises | ||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | 1 | 2 | 3 | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Clara Zetkin (prononcé : /ˈklaːʁa ˈt͡sɛtkiːn/), née Clara Eißner (/ˈaɪsnɐ/) le 5 juillet 1857 à Wiederau, en royaume de Saxe, et morte à Arkhangelskoïe, près de Moscou, le 20 juin 1933, est une enseignante, journaliste et femme politique marxiste allemande, figure historique du féminisme, plus précisément du féminisme socialiste.
Après avoir été membre jusqu'en 1917 de l'aile gauche du SPD, elle rejoint l'USPD (pacifistes) pour se retrouver dans le courant révolutionnaire que constitue la Ligue spartakiste. Ce courant donne naissance pendant la révolution allemande au Parti communiste d'Allemagne (KPD), dont Clara Zetkin est députée au Reichstag durant la république de Weimar, de 1920 à 1933. Elle est à l'origine de la journée internationale des droits des femmes.
Clara Eißner naît fille de l'instituteur Gottfried Eißner et de la féministe Joséphine Vitale. À la retraite de Gottfried, la famille s'installe à Leipzig en 1872. Clara intègre l'institut von Steyber pour l'éducation des jeunes filles, ce qui lui donne accès à l'une des plus hautes éducations qu'une jeune femme pouvait espérer obtenir à l'époque, l'accès aux universités leur étant encore fermé. Elle a notamment comme enseignante l'éducatrice et féministe Auguste Schmidt.
Elle fréquente les mouvements féministes, participant aux discussions de l'Allgemeiner Deutscher Frauenverein (Association générale des femmes allemandes). Une camarade de classe, une jeune Russe nommée Varvara, l'introduit auprès de la communauté narodnik de Leipzig, où elle rencontre son compagnon Ossip Zetkin, révolutionnaire russe en exil. Elle découvre les idées du socialisme révolutionnaire et par son frère Arthur, les publications de la social-démocratie allemande.
Son père décède en 1875. À la suite de l'intervention de sa mère, personnalité influente dans les milieux féministes, l'institut la dispense de payer en 1878, pour sa dernière année, les droits d'inscription qu'elle ne peut pas acquitter. Elle obtient son diplôme de professeur en langues étrangères. Elle s'éloigne de sa famille et du féminisme « bourgeois » et adhère la même année au SAP, ancêtre du Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD), interdit la même année par les premières lois antisocialistes du chancelier impérial Otto von Bismarck.
Malgré les lois antisocialistes, Clara Zetkin (qui a pris le nom de son compagnon sans mariage), participe clandestinement à la diffusion du journal du SPD, Der Sozialdemokrat (de). Ossip Zetkin est arrêté et expulsé d'Allemagne à l'été 1880, elle-même est bientôt expulsée de Saxe. Elle se réfugie à Zurich puis rejoint Ossip Zetkin en 1882 à Paris.
Ossip devient le secrétaire du premier mouvement d'ouvriers immigrés à Paris, majoritairement composé de Russes et de Roumains. Clara devient correspondante de Der Sozialdemokrat. Ils rencontrent Louise Michel, Jules Guesde, Laura Marx et son mari Paul Lafargue. En Suisse, elle influence l'Union suisse des ouvrières par son opposition au féminisme bourgeois, qui n'adhère ainsi pas à l'Alliance des sociétés féminines suisses.
Clara Zetkin a deux enfants avec son compagnon, Maxime (1883) et Constantin (1885). En 1886, elle contracte la tuberculose et retourne quatre mois à Leipzig pour se soigner.
En 1889, l'année du décès d'Ossip Zetkin, se tient à Paris le congrès fondateur de la Deuxième internationale, à la préparation de laquelle elle participe. Alors qu'il est attendu d'elle un rapport sur la situation des travailleuses en Allemagne, elle déclare devant ses camarades qu'elle ne l'effectuera pas, la situation des travailleuses étant « identique à celle des travailleurs », mais qu'elle parlera plutôt du principe même du travail des femmes, et de la place qu'elles doivent prendre dans la lutte des classes.
Les socialistes sont divisés sur la question du travail des femmes : sa massification est accusée de faire baisser les salaires. Certains socialistes ont une vision conservatrice de la place « naturelle » de la femme au foyer, comme le défendaient les partisans de Proudhon lors de la Première Internationale. Son discours à Paris plaide pour une émancipation de la femme en deux temps, le premier étant l'accès au travail.
« Libérée de sa dépendance économique vis-à-vis de l'homme, la femme [qui travaille] est passée sous la domination économique du capitaliste. D'esclave de son mari, elle est devenue l'esclave de son employeur. Elle n'avait fait que changer de maître. Elle a toutefois gagné au change : sur le plan économique, elle n'est plus un être inférieur subordonné à son mari, elle est son égale. »
Elle contrecarre les arguments contre le travail des femmes, dont elle attribue les conséquences néfastes au système capitaliste. Enfin, elle fustige le « féminisme bourgeois » auquel s'opposent traditionnellement les marxistes de l'époque, et dont elle considère que les priorités (accès aux études supérieures, droit de vote des femmes...) ne sont pas celles des travailleuses.
« Les pays dans lesquels existe le suffrage dit universel, libre et direct, nous montrent qu'en réalité il ne vaut pas grand-chose. Le droit de vote sans liberté économique n'est ni plus ni moins qu'un chèque sans provision. Si l'émancipation sociale dépendait des droits politiques, la question sociale n'existerait pas dans les pays où est institué le suffrage universel. L'émancipation de la femme comme celle de tout le genre humain ne deviendra réalité que le jour où le travail s'émancipera du capital. »
Elle plaide enfin pour l'union des travailleurs et travailleuses au sein du mouvement socialiste.
« En marchant main dans la main avec le parti ouvrier socialiste, elles sont prêtes à partager toutes les peines et tous les sacrifices du combat, mais elles sont aussi fermement décidées à exiger après la victoire tous les droits qui leur reviennent. »
— Clara Zetkin, Discours à la Première Conférence de l'Internationale Ouvrière
Il s'agit de l'un de ses premiers discours publics. Celui-ci a un fort impact : ralliant à ses arguments les représentants présents, elle fait inscrire dans la nouvelle ligne politique de l'Internationale la revendication de l'égalité économique, juridique et politique des femmes, le droit d'accéder librement au travail, ainsi que la recommandation pour les socialistes de tous les pays à inviter les femmes dans la lutte des classes.
La même année 1889, de violentes grèves dans toute l'Allemagne aboutissent, en 1890, à l'abolition des lois antisocialistes. En 1891, Clara Zetkin rentre en Allemagne et crée en 1892 le journal Die Gleichheit (l'Égalité), dont elle devient rédactrice-en-chef et qu'elle publie jusqu'en 1917. Le journal se veut un outil d'éducation populaire des femmes ouvrières et d'information sur leurs conditions de travail. Son travail d'agitation participe à la structuration d'un important mouvement social-démocrate féminin.
L'adhésion à un parti politique étant interdite aux femmes par la loi prussienne, elle crée une structure parallèle au SPD, qui existe à moitié dans la clandestinité, à moitié en contournant la législation. Cette structure se dote d'une ligne politique claire, d'une responsable centrale (Ottilie Baader) salariée par le SPD, et sera rejointe par Rosa Luxemburg, Helene Stöcker, Luise Zietz (de), Anita Augspurg, Minna Cauer, Lily Braun, et bien d'autres. À chaque congrès du SPD, les femmes socialistes envoient des déléguées élues en assemblées non-mixtes. En 1893, une première tentative d'organiser une conférence socialiste des femmes est empêchée par la police. À partir de 1900, la Conférence des femmes réussit à se réunir avant chaque congrès du parti, et ses comptes-rendus sont joints aux procès-verbaux de celui-ci.
Malgré les succès, Clara Zetkin est critiquée en interne pour son autoritarisme, son zèle à régenter et sa rigidité doctrinaire, qui l'oppose à l'aile réformiste du parti qui plaide pour plus de modération et à laquelle appartient Lily Braun. Elle s'oppose également, revendiquant l'égalité de traitement entre hommes et femmes, à la revendication de mesures légales spécifiques pour les travailleuses, excepté les femmes enceintes. De plus, son journal, Die Gleichheit est également critiqué, non pas pour sa qualité mais pour le niveau de langue trop soutenu et le niveau de conceptualisation théorique, mettant la plupart des ouvrières, pour Lily Braun, « hors d'état de le comprendre ».
L'historienne Nicole Gabriel situe la fin de l'« ère Zetkin » vers 1906, alors que s'assouplissent peu à peu les lois interdisant la politique aux femmes, permettant aux femmes d'adhérer officiellement au SPD. Il est alors question de rattacher la section féminine, jusque-là autonome, au parti, voire de la supprimer pour intégrer les femmes comme des travailleurs comme les autres, ce auquel les femmes socialistes s'opposaient fermement.
Des questions de rapport de force entre réformistes et marxistes orthodoxes entrent en jeu : le mouvement des femmes de Clara Zetkin se situe de manière très majoritaire dans la ligne orthodoxe, et cette section autonome, au-delà des droits des femmes, est un atout de l'aile gauche du parti.
C'est dans ce climat qu'en 1907, Clara Zetkin organise à Stuttgart, sa ville de résidence, la Première conférence internationale des femmes socialistes, événement fondateur de l'Internationale socialiste des femmes, pendant féminin de la Deuxième Internationale Socialiste. Pour l'historienne Nicole Gabriel, « on ne peut douter de la sincère volonté internationaliste de Clara Zetkin », même si elle compte, du même coup, « renforcer sa place dans le parti, en tant que femme et représentante de l'aile gauche à qui elle offre une tribune ».
La Première conférence internationale des femmes socialistes, accolée à un congrès de la Deuxième Internationale, est un succès en termes de fréquentation. Elle consacre également Clara Zetkin présidente de l'Internationale socialiste des femmes, élue à l'unanimité sans même avoir eu à présenter officiellement sa candidature. Son journal, Die Gleichheit, devient l'organe officiel de l'internationale des femmes, et le siège de l'organisation est fixé dans ses locaux.
Elle sera réélue par acclamation à la conférence (en) de Copenhague en 1910. Lors de cette conférence d'août 1910, elle propose, avec le soutien de la Russe Alexandra Kollontaï, d’organiser une Journée internationale des femmes, sur le modèle de la Journée nationale des femmes de Theresa Serber Malkiel, militante juive et ouvrière. La conférence, qui réunit des militantes venues de 17 pays, adopte la proposition, qui vient après les manifestations d’ouvrières des États-Unis en 1908 et en 1909. L'objectif principal de l'Internationale des femmes socialistes est l'obtention du droit de vote pour toutes les femmes. Mais la « Journée internationale des femmes » se veut une journée de manifestation annuelle qui permet de militer non seulement pour le droit de vote, mais aussi pour l'égalité entre les sexes et le socialisme. La première Journée, à laquelle participe Clara Zetkin, est fixée le 19 mars 1911. Même si cette initiative n’est pas la première journée de lutte pour le droit des femmes, elle passe à la postérité comme à l’origine de la journée internationale du droit des femmes, organisée depuis chaque 8 mars.
Si la place de Clara Zetkin à la tête du mouvement international est incontestée, elle ne parvient pas à imposer aux différents mouvements nationaux une tactique commune. En effet, dans un certain nombre de pays, le suffrage est masculin et censitaire, donc réservé aux hommes de la bourgeoisie. Dans le but d'obtenir le droit de vote pour les femmes ouvrières, certains mouvements nationaux sont d'avis d'opérer par étapes :
soit en militant pour l'obtention du droit de vote des ouvriers hommes avec les mouvements socialistes, comme l'a fait le mouvement autrichien d'Adelheid Popp,
soit en militant pour l'obtention du droit de vote des femmes « dans les mêmes conditions que les hommes », avec des féministes « bourgeoises » telles que les suffragettes, comme le font la Française Madeleine Pelletier ou les Britanniques du Parti travailliste indépendant (ILP).
Clara Zetkin tente d'imposer une politique d'intransigeance, focalisée sur l'obtention sans étapes intermédiaires du suffrage universel, comme elle l'applique elle-même en Allemagne. Mais les situations locales très diverses rendent cette uniformisation difficile. Clara Zetkin se heurte dès la première conférence, en 1907, à la fronde des déléguées anglaises et autrichiennes.
Zetkin se rapproche à cette conférence de la Britannique Dora Montefiore, de la Social Democratic Federation et de l’Adult Suffrage Society (en), deux organisations féminines minoritaires en Grande-Bretagne, mais aux idées proches de la ligne de Zetkin. Dora Montefiore deviendra, avec l'assentiment de Clara Zetkin, représentante des femmes socialistes britanniques auprès de l'Internationale des femmes. Elle défendra sa ligne (et celle de Zetkin) au nom de toutes les femmes socialistes britanniques. Pour l'historien John S. Partington, la manœuvre « divisa les femmes socialistes britanniques et empêcha une honnête représentation de la Grande-Bretagne sur la scène internationale. » À l'invitation de Montefiore, Clara Zetkin et Alexandra Kollontai se déplaceront à Londres, pour le Premier mai 1909, donner un discours défendant le suffrage universel sans étapes intermédiaires. Mais, lors de la seconde conférence de l'ISF, en 1910, les déléguées des mouvements britanniques majoritaires, protestant contre l'attribution à Montefiore de la parole britannique, quittèrent la salle en masse. Plus tard dans l'année, elles évinceront Dora Montefiore, qui quittera l'Angleterre pour l'Australie.
L'Internationale des femmes socialistes est également résolument pacifiste, opposée à ce qui sera la Première Guerre mondiale et dont les prémisses se font sentir au début du XXe siècle.
Clara Zetkin participe, avec la Néerlandaise Heleen Ankersmit (nl), à une manifestation pour la paix à Berlin le 21 avril 1914. Elle prononce un discours contre la course aux armements et une guerre « fratricide », en appelant au « sens de la solidarité des prolétaires » et au « sublime message de la paix socialiste ». Après l'échec des mouvements socialistes à empêcher la guerre au nom de l'internationalisme prolétarien et de la fraternité de classe, elle participe avec Rosa Luxemburg et Karl Liebknecht à la création en 1915 du groupe spartakiste puis, en 1917, du Parti social-démocrate indépendant (USPD).
Le début de la guerre, en août 1914, est pour elle un tel choc psychologique que, d'après l'Italienne Angelica Balabanova, son entourage se demanda si elle s'en remettrait. Elle déclare par lettre à Heleen Ankersmit :
« Lorsque la guerre a éclaté, j'ai cru devenir folle ou vouloir me tuer. Je suis restée gravement malade pendant un mois. (...) Mon fils aîné est en Belgique. (...) Je suis presque sans nouvelles. Combien de fois faut-il apprendre que l'un de nos camarades, le plus simple, le plus dévoué, est tombé. Mais que représente tout cela par rapport au glas historique qui vient de tomber, la débâcle de l'Internationale. »
Alors que les différents partis socialistes ont accepté de se considérer ennemis dans la guerre, elle entreprend de réunir malgré tout les femmes de l'Internationale, les appelant à une conférence pour la paix, au nom des valeurs de l'internationalisme prolétarien abandonné par les partis politiques constituant l'Internationale. La Conférence est organisée à Berne, du 16 au 28 mars 1915. Soixante-dix femmes socialistes s'y rendirent de presque tous les pays en guerre (à l'exception de l'Autriche et la Belgique, dont les représentantes ne purent venir). La seule Française à avoir pu effectuer le trajet était Louise Saumoneau.
Clara Zetkin s'oppose à la délégation russe, composée notamment de Zlata Lilina Zinoviev et de Nadejda Kroupskaïa, venue avec son mari, Lénine. D'après Angelica Balabanova :
« Travaillant sous la direction de Lénine, (elles) déposèrent une motion qui n'avait rien à voir avec l'objectif de la réunion et que la majorité ne pouvait approuver. Elles réclamaient la rupture avec la direction des partis socialistes et ouvriers existants et appelaient à la formation d'une nouvelle Internationale. Elles appelaient également à la transformation de la guerre mondiale en guerre civile. »
Si une telle proposition était cohérente avec une motion déposée par Lénine et Rosa Luxemburg et adoptée par l'Internationale ouvrière en 1907, prévoyant la désertion massive, le soulèvement ouvrier et le renversement des républiques bourgeoises en cas de guerre en Europe, elle fut rejetée à Berne. Plus exactement, Clara Zetkin convainquit les bolcheviks, après de longs débats, de retirer leur proposition. C'est avec des accents plus humanistes que les femmes socialistes lancèrent un appel à la paix, resté célèbre, et destiné aux femmes européennes :
« Où sont vos maris, vos fils ? Pourquoi doivent-ils s'entretuer et détruire avec eux tout ce qu'ils ont créé ? Qui bénéficie de ce cauchemar de sang ? Tout juste une poignée de profiteurs de guerre. Puisque les hommes ne peuvent plus parler, c'est à vous de le faire. Travailleuses de tous les pays en guerre, unissez-vous ! »
Cet appel sera diffusé en Europe par les femmes socialistes, malgré l'illégalité du pacifisme dans de nombreux pays. Clara Zetkin sera elle-même emprisonnée à son retour en Allemagne pour la tenue de cette conférence.
L'historienne Nicole Gabriel observe une évolution dans les positions politiques de Clara Zetkin à partir du début de la guerre, qui s'éloignent de son habituelle orthodoxie marxiste. Elle assigne ainsi à l'Internationale des femmes le rôle de "précéder dans le combat pour la paix les femmes de toutes les classes et de tous les pays".
« Au moment de la guerre, la rigidité de la séparation entre "féminisme bourgeois" et "mouvement des femmes prolétaires" devait s'estomper. C'est au sein de l'Internationale que Clara Zetkin semble avoir fait l'expérience de la solidarité féminine : solidarité qui se situe au niveau de l'action. L'unanimité dans l'action pacifiste illégale et courageuse contraste avec la multitude des positions — souvent inconciliables — autour des questions de tactique et d'alliance. [...] L’ambiguïté provient pourtant du fait que cette union des femmes ne s'est réalisée qu'en situation d'urgence. »
— Nicole Gabriel, L'internationale des femmes socialistes
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Monde : Allemagne | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Clara Zetkin | ||||||||||||||||||||||||||
Clara Zetkin : La députée | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
La révolution allemande de novembre 1918 permet au mouvement féministe d'obtenir le droit pour les femmes de voter et d'être élues. Clara Zetkin adhère au Parti communiste d'Allemagne (KPD), créé en décembre 1918 autour de la Ligue spartakiste. Elle est ensuite députée du KPD de 1920 à 1933.
En décembre 1920 elle participe au congrès de Tours, le 18e congrès de la SFIO, qui voit sa scission entre la majorité décidant de se rallier à la IIIe Internationale en donnant naissance à la SFIC (Section française de l'Internationale communiste, futur PCF), et la minorité restée fidèle à la ligne réformiste autour de Léon Blum. Son arrivée n'était pas prévue (les autorités françaises ayant refusé de lui octroyer un visa), au même titre que celle d'autres délégués étrangers ; sa présence est toutefois en partie décisive sur l'issue du congrès. Ce ne sont pas tant ses discours qui eurent de l'effet mais son action en sous-main, alors qu'elle organise des réunions secrètes. Elle est envoyée par l'Internationale avec Alexandre E. Abramovitch (dit Zalewski) et Ivan Stepanov (dit Stoïan Minev) et doit favoriser son implantation dans le parti (le premier est cependant arrêté peu après et elle conserve l'essentiel de l'influence de la délégation). Les réunions sont organisées le 27 décembre au soir et le lendemain matin, où on s'entretient sur le statut et la dissolution ou non de la IIIe Internationale, les noms des dirigeants du parti qui va naître et son exclusion des trop modérés Jean Longuet et Paul Faure. Son action porte ses fruits.
Proche d'Alexandra Kollontaï au sein de l'Internationale, Clara Zetkin se retrouve néanmoins au cours des années 1920 très isolée politiquement, en particulier après l’exclusion de Paul Levi. Elle reste néanmoins présente dans les instances du KPD, membre du bureau central jusqu'en 1924 puis du comité central de 1927 à 1929. Elle est également membre de la direction du Komintern de 1921 à 1933, et à la tête du secrétariat de l'Internationale communiste des femmes. En août 1932, présidant le Reichstag en tant que doyenne, elle appelle à combattre le nazisme.
Contrainte de fuir l'Allemagne après l'arrivée des nazis au pouvoir et l'interdiction du KPD, Clara Zetkin meurt quelques semaines plus tard en exil à Moscou à 75 ans. La tombe de Clara Zetkin se trouve le long du mur du Kremlin, sur la place Rouge.
Elle est récipiendaire de l'ordre de Lénine (1932) et de l'ordre du Drapeau rouge (1927).
Postérité
L'historienne Nicole Gabriel attribue à Clara Zetkin un « rôle différent » de celui des autres figures féministes du socialisme de l'époque, étant la seule à avoir choisi d'emblée comme domaine d'action « l'agitation féminine » et la défense des droits des femmes.
« Elle possède une personnalité vraiment remarquable. Pleine d'esprit de révolte - passionnément énergique — poussée par son zèle envers la cause — elle a donné une idée de la manière par laquelle elle est devenue une figure majeure du mouvement socialiste international. […] Son discours était bref, émouvant et efficace ; sa présence et ses manières sont inspirantes. »
— Tom Quelch (en), Justice (1909)
« Mais les écrits théoriques témoignent, chez une dirigeante de cette envergure, d’un étonnant manque de confiance en soi ; elle n’avance qu’à l’abri de Marx, de Bebel ou de Lénine, et, dès que celui-ci sourcille, bat en retraite, terrorisée à l’idée de sombrer dans le féminisme. Ainsi la force créative est-elle relativement absente de ce recueil [de ses textes] qui trace le portrait d’une grande organisatrice, d’une femme de parti qui fit beaucoup pour la syndicalisation et la politisation des ouvrières de ce début de siècle, mais qui n’apporta pas grand-chose à l’élaboration d’une théorie de leur libération. Et cela en dépit de son immense expérience de militante et de journaliste circulant sans cesse dans toute l’Europe. »
— Geneviève Brisac, Le Monde Diplomatique (1981)
La RDA a rendu hommage à Clara Zetkin en faisant figurer son portrait sur les billets de 10 marks, en éditant plusieurs timbres à son effigie ou en créant une médaille à son nom.
La place Clara-Zetkin à Berlin-Hellersdorf et le parc Clara-Zetkin à Berlin-Marzahn sont tous deux situés dans l'est de la ville, assez loin du centre.
Au centre-ville à Berlin-Mitte, la partie orientale de la Dorotheenstraße, qui mène au Reichstag a porté son nom de 1951 à 1995. Le sujet continue d'occasionner des polémiques : deux députées des Grünen (Verts), Lisa Paus et Anja Kofbinger (de), ont demandé que la rue reprenne le nom de la personnalité féministe-socialiste.
À Leipzig se trouve un espace vert de 125 ha au cœur de la ville qui, se prolongeant avec la forêt alluviale de Leipzig (Leipziger Auenwald), fait de Leipzig l'une des villes d'importance les plus sylvestres du monde. De 1955 à 2011, tout le parc se nommait parc Clara-Zetkin (Clara-Zetkin-Park).
Depuis 2011 et à la suite d'une pétition, seule une fraction du parc, 39 ha, continue à porter ce nom, tandis que les autres parties du parc ont repris officiellement leur nom d'origine : le parc Johanna (Johannapark) et la palmeraie (Palmengarten). L'ensemble continue pourtant à être désigné de façon informelle par les Lipsiens comme parc Clara-Zetkin.
Elle est évoquée par Louis Aragon dans les derniers chapitres de son roman Les Cloches de Bâle.
À Paris se trouve un jardin Clara-Zetkin dans le 13e arrondissement.
À Rennes, une place Clara-Zetkin se situe dans le quartier Arsenal-Redon, devant le bâtiment du collectif artistique Les Ateliers du Vent.
À Montreuil (Seine-Saint-Denis), un square Clara Zetkin se trouve boulevard Aristide-Bruand dans le quartier de la Boissière.
À Guyancourt, dans le département des Yvelines (78), une école maternelle Clara Zetkin se situe rue des Droits de l'Homme.
À Montarnaud (commune française de l'Hérault), une rue a été nommée Clara-Zetkin dans la nouvelle ZAC du Pradas.
À Séville en Espagne, une rue porte son nom dans le quartier San Juan de Aznalfarache.
Dans la fiction
1955 : Ernst Thälmann – Sohn seiner Klasse, film de Kurt Maetzig, jouée par Steffie Spira (en)
1984 : Wo andere schweigen (en), film de Ralf Kirsten (en), jouée par Gudrun Okras (de)
1986 : Rosa Luxemburg, film de Margarethe von Trotta, jouée par Doris Schade
1970 : Ein Strauß roter Rosen, téléfilm de Kurt Veth (de), jouée par Erika Dunkelmann (en)
1980 : Les Dossiers de l'écran, épisode « Le Grand Fossé », réalisé par Yves Ciampi, jouée par Andrée Tainsy
1986 : Zerbrochene Brücken, téléfilm de Franz Peter Wirth, jouée par Eleonore Weisgerber
2009 : Le Combat d'une femme, téléfilm de Martin Enlen (de), jouée par Inka Friedrich
2019 : Trois femmes et le vote, téléfilm de Beate Thalberg (de), jouée par Anna Brüggemann
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Monde : Allemagne | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | Clara Zetkin | ||||||||||||||||||||||||||
Clara Zetkin : La députée | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Bernadette Chirac, née Chodron de Courcel le 18 mai 1933 à Paris, est une femme politique française. Elle est l'épouse de Jacques Chirac, président de la République française du 17 mai 1995 au 16 mai 2007.
En tant que conseillère générale de la Corrèze et adjointe au maire de Sarran, elle est une des rares épouses de président de la République française à avoir exercé un mandat électif.
De 1994 à 2019, elle est présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, qui organise chaque année l'opération pièces jaunes. De 2007 à 2019, elle est également présidente de la fondation Claude-Pompidou.
Née le 18 mai 1933 dans le 16e arrondissement de Paris, Bernadette Thérèse Marie Chodron de Courcel est la fille de Jean-Louis Chodron de Courcel (4 août 1907-12 avril 1985), directeur commercial des manufactures « Jean-Félix Bapterosses et Cie », et de Marguerite de Brondeau d'Urtières (20 août 1910-20 octobre 2000). Elle est la sœur aînée de Catherine (1946) et Jérôme (1948).
La famille Chodron, devenue Chodron de Courcel, est une famille bourgeoise originaire des Trois-Évêchés. Elle a donné des militaires, des orfèvres, des notaires, des diplomates (Geoffroy Chodron de Courcel) et des industriels. Deux branches de la famille, par suite d'alliances, font partie des héritiers des manufactures de Gien et de Briare, dans le Loiret, fabriquant, respectivement, les faïences de Gien et les émaux de Briare.
En 1852, un décret de Napoléon III permet à Louis-Jules Chodron (1804-1870), secrétaire de légation, et à ses enfants d'adjoindre à leur nom celui de « Courcel », devenu plus tard « de Courcel » (par un décret de 1866). Louis-Jules avait épousé Henriette Boulay de la Meurthe (1809-1884), fille d'Antoine Jacques Claude Joseph Boulay de la Meurthe. Ils furent les parents d'Alphonse Chodron de Courcel (1835-1919), diplomate, créé baron héréditaire, par lettres patentes du 6 mars 1867 de l'empereur Napoléon III, et de Georges (1840-1904), lieutenant de vaisseau, arrière-grand-père de Bernadette Chirac.
Bernadette Chodron de Courcel est donc apparentée par son père à l'industriel Xavier Chodron de Courcel (son oncle, président-directeur général des Manufactures de Jean-Félix Bapterosses), au diplomate Geoffroy Chodron de Courcel (petit-fils du baron Alphonse Chodron de Courcel) et aide de camp du général de Gaulle, ainsi qu'à son cousin Georges Chodron de Courcel (directeur général délégué de BNP Paribas. Sa tante Geneviève Chodron de Courcel épousa, quant à elle, Bernard de Lasteyrie, fils de l'ancien ministre des Finances de Raymond Poincaré, Charles de Lasteyrie.
Il s'agit d'une famille catholique pratiquante : un de ses oncles, Vincent Chodron de Courcel, est prêtre ; sa tante Anne-Marie Chodron de Courcel, chanoinesse régulière de Saint-Augustin.
Par sa mère, Bernadette Chirac descend de Samuel Bernard, banquier de Louis XIV et du roi Charles VII le Victorieux.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
François Nourissier, né le 18 mai 1927 dans le 9e arrondissement de Paris et mort le 15 février 2011 dans le 16e arrondissement de Paris, est un journaliste et écrivain français qui fut, pendant trente ans, membre de l'Académie Goncourt.
François Nourissier est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (section générale, 1945).
François Nourissier est successivement secrétaire général des éditions Denoël (1952-1955), rédacteur en chef de la revue La Parisienne (1955-1958), et conseiller aux éditions Grasset (1958-1996).
Il est élu à l'Académie Goncourt en 1977 au couvert de Raymond Queneau, en devient le secrétaire général en 1983 et le président de 1996 à 2002. Il démissionne en 2008 pour des raisons de santé.
En février 1978, il fait partie des membres fondateurs du Comité des intellectuels pour l'Europe des libertés.
En 1962, il épouse Hélène Cécile Muhlstein (1936-2007), artiste peintre et apparentée à la famille Rothschild. Il raconte leur relation tumultueuse, marquée par l'alcoolisme, dans le livre pseudo-autobiographique, Eau-de-feu (2008).
Frappé par la maladie de Parkinson au début des années 2000, il se compare avec pudeur à un caméléon et désigne la maladie dont il souffre sous le nom de « Miss P. »
Il est critique littéraire au Figaro Magazine, fonction où Frédéric Beigbeder lui succède.
Il meurt le 15 février 2011, à 83 ans.
En raison de son style sec, de sa sensibilité de droite et de sa participation à La Parisienne de Jacques Laurent, il a été parfois rattaché au mouvement des Hussards.
Commandeur de la Légion d'honneur
Commandeur de l'ordre national du Mérite
Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres
1951 : L'Eau grise – Prix Paul-Flat de l’Académie française 1952
1952 : La Vie parfaite, Plon
1955 : Seize ans – sous le pseudo. de « France Norrit »
1956 : Les Orphelins d'Auteuil
1957 : Le Corps de Diane, René Julliard
1958 : Portrait d'un indifférent, Fasquelle (collection Libelles)
1958 : Bleu comme la nuit, Bernard Grasset (collection La Galerie). Tome 1 du cycle Un malaise général : Chroniques.
1964 : Un petit bourgeois, Bernard Grasset (collection Les cahiers verts). Tome 2 du cycle Un malaise général : Chroniques.
1965 : Une histoire française, Bernard Grasset. Grand prix du roman de l'Académie française 1966. Tome 3 du cycle Un malaise général : Chroniques.
1968 : Le Maître de maison, Bernard Grasset.
1970 : La Crève, Bernard Grasset. prix Femina 1970.
1973 : Allemande, Bernard Grasset.
1978 : Le musée de l'homme, Bernard Grasset.
1981 : L'Empire des nuages, Bernard Grasset.
1987 : En avant, calme et droit, Bernard Grasset.
1985 : La Fête des pères, Bernard Grasset.
1990 : Bratislava, Bernard Grasset.
1992 : Le Gardien des ruines, Bernard Grasset.
1996 : Roman volé, Bernard Grasset.
1997 : Le Bar de l'escadrille, Bernard Grasset.
2003 : Prince des berlingots, Gallimard.
2008 : Eau-de-feu, Gallimard.
Essais, pamphlets, mémoires et autres
1950 : L'homme humilié; sort des réfugiés et « personnes déplacées », 1912-1950. Préface de Louis Massignon.
1951 : Enracinement des immigrés. Co-écrit avec Alain Pillepich, sur l'intégration des immigrés nord-africains en France.
1955 : Garcia Lorca : dramaturge, L'Arche.
1956 : Les chiens à fouetter : sur quelques maux de la société littéraire et sur les jeunes gens qui s'apprêtent à en souffrir, René Julliard. Pamphlet.
1960 : Brigitte Bardot. Pamphlet.
1962 : Les Hébrides, pays de l'herbe sous le vent. Avec le photographe Paul Strand.
1963 : Un malaise général : Chroniques
1967 : De la mort. Illustrations de Pierre Alechinsky.
1975 : Lettre à mon chien, Gallimard.
1976 : Du bois dont on fait les Vosges
1977 : Lettre ouverte à Jacques Chirac, Albin Michel.
1978 : Le Musée de l'Homme, Bernard Grasset.
1981 : Le voyage de Lou. Illustré par Pierre Cornuel.
1982 : Notre ami le temps. Aquarelles de Etienne Delessert.
1994 : Mauvais genre, Quai Voltaire. Entretiens réalisés par Frédéric Badré et Arnaud Guillon.
1999 : Provence, terre d'Azur
2000 : Un siècle NRF : iconographie commentée. Paru dans les albums de la Pléiade, dans la bibliothèque de la Pléiade.
2000 : À défaut de génie, Gallimard.
2005 : La Maison Mélancolie, Gallimard.
2012 : Le cycliste du lundi, La Grande Ourse. Recueil d'essais en critique littéraire publié à titre posthume où est rassemblée une centaine d’articles sur 88 auteurs, livrés à la presse entre 1962 et 1978.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Personnalités liées à la commune | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Palmarès des Miss Univers depuis 1952 Année | Participantes | Nom de la gagnante | Territoire gagnant |
1952 | 30 | Armi Kuusela | Finlande |
1953 | 26 | Christiane Martel | France |
1954 | 33 | Miriam Stevenson | Etats Unis |
1955 | 33 | Hillevi Rombin (†) | Suède |
1956 | 30 | Carol Morris | Etats Unis |
1957 | 33 | Gladys Zender | Pérou |
1958 | 36 | Luz Marina Zuluaga (†) | Colombie |
1959 | 34 | Akiko Kojima | Japon |
1960 | 43 | Linda Bement (†) | Etats Unis |
1961 | 48 | Marlene Schmidt | Allemagne |
1962 | 51 | Norma Nolan | Argentine |
1963 | 50 | Iêda Maria Vargas | Brésil |
1964 | 59 | Corinna Tsopei | Grèce |
1965 | 57 | Apasra Hongsakula | Thaïlande |
1966 | 58 | Margareta Arvidsson | Suède |
1967 | 56 | Sylvia Hitchcock (†) | Etats Unis |
1968 | 65 | Martha Vasconcellos | Brésil |
1969 | 61 | Gloria Diaz | Philippines |
1970 | 64 | Marisol Malaret | Porto Rico |
1971 | 60 | Georgina Rizk | Liban |
1972 | 61 | Kerry Anne Wells | Australie |
1973 | 61 | Margarita Moran | Philippines |
1974 | 65 | Amparo Muñoz (†) | Espagne |
1975 | 71 | Anne Marie Pohtamo | Finlande |
1976 | 72 | Rina Messinger | Israël |
1977 | 80 | Janelle Commissiong | Trinité-et-Tobago |
1978 | 75 | Margaret Gardiner | Afrique du Sud |
1979 | 75 | Maritza Sayalero Fernández | Venezuela |
1980 | 69 | Shawn Weatherly | Etats Unis |
1981 | 77 | Irene Sáez | Venezuela |
1982 | 77 | Karen Diane Baldwin | Canada |
1983 | 80 | Lorraine Downes | Nouvelle-Zélande |
1984 | 81 | Yvonne Ryding | Suède |
1985 | 79 | Deborah Carthy-Deu | Porto Rico |
1986 | 77 | Bárbara Palacios | Venezuela |
1987 | 68 | Cecilia Bolocco | Chili |
1988 | 66 | Porntip Nakhirunkanok | Thaïlande |
1989 | 76 | Angela Visser | Pays-Bas |
1990 | 71 | Mona Grudt | Norvège |
1991 | 73 | Lupita Jones | Mexique |
1992 | 78 | Michelle McLean | Namibie |
1993 | 79 | Dayanara Torres | Porto Rico |
1994 | 77 | Sushmita Sen | Inde |
1995 | 82 | Chelsi Smith (†) | Etats Unis |
1996 | 79 | Alicia Machado | Venezuela |
1997 | 74 | Brook Mahealani Lee | Etats Unis |
1998 | 81 | Wendy Fitzwilliam | Trinité-et-Tobago |
1999 | 84 | Mpule Kwelagobe | Botswana |
2000 | 79 | Lara Dutta | Inde |
2001 | 77 | Denise Quiñones | Porto Rico |
2002 | 75 | Oksana Fiodorova (détrônée) | Russie |
Justine Pasek (1re dauphine) (remplaçante) | Panama | ||
2003 | 71 | Amelia Vega | République dominicaine |
2004 | 80 | Jennifer Hawkins | Australie |
2005 | 81 | Natalie Glebova | Canada |
2006 | 86 | Zuleyka Rivera | Porto Rico |
2007 | 77 | Riyo Mori | Japon |
2008 | 80 | Dayana Mendoza | Venezuela |
2009 | 84 | Stefanía Fernández | |
2010 | 83 | Ximena Navarrete | Mexique |
2011 | 89 | Leila Lopes | Angola |
2012 | 89 | Olivia Culpo | Etats Unis |
2013 | 86 | María Gabriela Isler | Venezuela |
2014 | 88 | Paulina Vega | Colombie |
2015 | 80 | Pia Wurtzbach | Philippines |
2016 | 86 | Iris Mittenaere | France |
2017 | 92 | Demi-Leigh Nel-Peters | Afrique du Sud |
2018 | 94 | Catriona Gray | Philippines |
2019 | 90 | Zozibini Tunzi | Afrique du Sud |
2020 | 74 | Andrea Meza | Mexique |
2021 | 80 | Harnaaz Sandhu | Inde |
2022 | 83 | R'Bonney Gabriel | États-Unis |
2023 | 84 | Sheynnis Palacios | Nicaragua |
2024 | 125 | Victoria Kjær Theilvig | Danemark |
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Yvonne Ryding, née le 14 décembre 1962 à Eskilstuna en Suède, est une animatrice de télévision suédoise, qui a été couronnée Miss Univers 1984. Elle est, à ce jour, la dernière suédoise à avoir remporté le concours de Miss Univers.
Yvonne Ryding est infirmière et aide-soignante. Pendant ses loisirs, elle joue au football comme milieu de terrain dans un club de à Hällbybrunns.
En 1984, Yvonne Ryding est couronnée Miss Univers 1984.
En 1997, elle lance sa propre ligne de soin appelé Y, vendue en Suède, Finlande, Pays-Bas, en Allemagne.
Au début de 2007, elle participe au spectacle de danse Strictly Come Dancing sur la chaine TV 4, puis la même année, elle fait ses débuts aussi comme écrivain avec l'ouvrage Yvonne Ryding skönhetsbok qu'elle coécrit avec Margaret Hägglund.
À l'automne 2009 et au printemps de 2010, elle est l'un des présentateurs du programme Förkväll sur TV4. En 2013, Yvonne Ryding travaille en tant que présentatrice sur la chaine de télévision Fyrstad.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | Miss Univers (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||
BIOGRAPHIE | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Visitez la Meuse
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
François Nourrissier
François Nourissier, dont la famille paternelle est originaire d'Avocourt. La Place François Nourrissier porte son nom.
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | Avocourt | ||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Urbanisme | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Histoire | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Politique et administration | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Démographie | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Lieux et monuments | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Personnalités liées à la commune | |||||||||||||||||||||||||||
François Nourissier | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||
Église Saint-Blaise
Église Saint-Blaise d'Avocourt, reconstruite en 1926 dans les mêmes dimensions que la première construite en 1750, après sa destruction, comme le village, durant la Première Guerre mondiale en particulier durant la bataille de Verdun.
Monument aux morts.
Le Mémorial des volontaires 1944.
Nécropole nationale d'Avocourt.
Borne du Front située entre Avocourt et Malancourt, matérialisant l’extrême avance allemande au 18 juillet 1918.
Statue Avocourt.
Fontaine.
Pont-balance.
Meuse | ||||||||||||||||
Département de la Meuse : Communes | ||||||||||||||||
A | B | C | D | E | F | G | H | I J K | L | M | N O | P Q | R | S | T U | V W X |
Visitez la Meuse
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
RUBRIQUE | |||||||||||||||||||||||||||
DESCRIPTION | Avocourt | ||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Urbanisme | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Histoire | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Politique et administration | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Démographie | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Lieux et monuments | |||||||||||||||||||||||||||
Avocourt : Personnalités liées à la commune | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
NAISSANCE | |||||||||||||||||||||||||||
DECES | |||||||||||||||||||||||||||
MISE A JOUR : | 2024 | ||||||||||||||||||||||||||
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | |
SOMMAIRE | |||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | |||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | |||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | |||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | |||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub | ||||||||||||||||||||||||||