Brunei ou Brunéi, en forme longue Negara Brunei Darussalam (en malais : Negara Brunei Darussalam, État de Brunei, « demeure de la paix ») est un petit État situé dans le nord de l’île de Bornéo, en Asie du Sud-Est. Il partage l'île avec la Malaisie et l’Indonésie. Son territoire, coupé en deux parties, est bordé par la mer de Chine méridionale et totalement enclavé dans l'État malaisien de Sarawak. Il est dirigé depuis 1968 par le sultan Hassanal Bolkiah.
Ancien protectorat britannique, il est l'un des cinq membres du Commonwealth (avec l'Eswatini, le Lesotho, la Malaisie et les Tonga) qui possède sa propre monarchie.
Étymologie
Depuis l'époque des dynasties du Sud (420-589), les textes chinois mentionnent un lieu nommé tour à tour « Boni », « Funi », « Polo », « Poli », « Wenlai », vraisemblablement situé dans la partie Nord-Ouest de Bornéo. Selon l'historien Robert Nicholl, la plus ancienne mention de ce lieu se trouve dans le Manshu (蠻書) ou Document sur les barbares de Fan Chuo (樊綽, mort à la fin du ixe siècle), publié vers 860 de notre ère. Pour Johannes L. Kurz, la plus ancienne mention de « Boni » (渤泥) se trouve dans la Taiping huanyuji (太平環宇記) ou Géographie universelle de l'ère de la Grande paix de Yue Shi (樂史, 930‐1007).
On ne connaît pas exactement les origines du nom « Brunei ». Une étymologie proposée est le nom de Varuna (devanāgarī वरुण [ʋəruɳə]), le dieu de l'océan dans l'hindouisme, qui au XIVe siècle aurait donné « Barunai ».
Brunei a donné son nom à l'île de Bornéo. Cette confusion entre l’île et un des États qui s’y trouvait vient des Portugais de Malacca (conquise en 1511), qui parlent de « Burney », de « Burneo » ou de « Burne ».
Le nom officiel du pays, « Negara Brunei Darussalam », semble avoir pour origine une expression que l'auteur chinois Huang Sheng-ts'eng traduit dans son Hsi-yang-chao-kunglien-lu (1520) par Chang-ning-chen, c'est-à-dire Marché de la Paix perpétuelle, pour désigner un des quartiers de Boni. En effet Darussalam (بروني دارالسلام) signifie en arabe « demeure de la paix », tandis que negara signifie « État » en malais. Ce dernier terme vient lui-même du sanscrit Nagara (नगर) qui signifie « ville ».
Géographie
Brunei a une superficie de 5 765 km2. Il possède des frontières terrestres de 381 km avec la Malaisie, dont une bande de territoire coupant le pays en deux. Son littoral a une longueur de 161 km. Le point le plus élevé du pays est à une altitude de 1 850 mètres.
Faune
Brunei regorge de singes nasiques, de civettes-loutres, de chat à tête plate, d'ours des cocotiers, de pygargue blagre, d’écureuils géants, de chats marbrés, de cigognes de storm, de chat bai, de varan malais, de calaos, de gibbons, de pangolins, de panthères nébuleuses, de serpents verts… Autant d'espèces en voie de disparition dans les pays voisins. Il existe plus de 3 000 sortes de papillons. Conscientes de ce patrimoine exceptionnel, les autorités songent à multiplier les réserves ou les parcs nationaux.
Histoire
Le sultanat de Brunei est un royaume vieux de plus d'un millénaire. Il était alors un grand port de commerce, ayant des relations commerciales tant avec l'Inde qu'avec la Chine, et cela dès 977. On sait que cette année-là, Brunei envoya une ambassade dans l'Empire du milieu.
On a trouvé à Brunei une tombe chinoise musulmane. Datée de 1264, elle est celle d'un « Maître Pu » et porte la plus ancienne tombe musulmane de Brunei.
En 1363, Awang Lak Betatar devient le premier souverain musulman de Brunei. Il est fondateur de la dynastie royale des Bolkiah.
Le nom de Brunei est attesté dès le xive siècle. Le Nagarakertagama, un poème épique écrit en 1365 dans le royaume javanais de Majapahit, mentionne en effet « Buruneng » parmi les quelque cent « contrées tributaires » du royaume. En réalité, le territoire contrôlé par Majapahit ne s'étendait que sur une partie de l'est et du centre de Java. Les contrées tributaires étaient en fait des comptoirs formant un réseau commercial dont Majapahit était le centre. Majapahit y envoyait des dignitaires dont le rôle était de s'assurer que ces comptoirs ne s'adonnaient pas à un commerce privé qui échapperait au royaume.
Le royaume de Brunei se développe rapidement après la chute de Majapahit, s'étendant à Bornéo et dans l'archipel philippin.
C'est à cette période de son apogée historique, dans les années 1520, que le royaume de Brunei, islamisé, devient un sultanat. Il s'affaiblit ensuite peu à peu alors que les régions voisines sont colonisées par les grandes puissances occidentales (Portugal, Royaume-Uni et Espagne) qui y établissent également des comptoirs commerciaux. Le pays perd peu à peu ses possessions, puis devient en 1906 un protectorat britannique.
Du pétrole y est découvert en 1903 et commence à être exploité en 1929, le premier puits de pétrole est installé à Séria. À l'époque de la décolonisation (deuxième moitié du XXe siècle), le pays change de nombreuses fois de statut. En 1959, toujours sous protectorat britannique, il accède à l'autonomie interne. Un mouvement nationaliste et démocratique se développe à cette période : il aboutit en 1962 à une violente rébellion, rapidement écrasée par les Britanniques. C'est alors que l'état d'urgence est décrété, et la Constitution abolie : depuis, le sultan gouverne seul et par décret. Conformément à un accord avec le Royaume-Uni, le sultanat accède à l'indépendance le 1er janvier 1984. Le sultan actuel est Hassanal Bolkiah. La doctrine Melayu Islam Beraja (MIB) qui définit l'identité brunéienne comme « malaise, musulmane et monarchique », est érigée en idéologie d'État.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brunei
Publié à 21:40 par dessinsagogo55
Tags : homme chien
Qu'est-ce qu'un homme et un chien ont en commun ?
Ils pensent juste a jouer avec leur queue.
Le Musée d'Antigua-et-Barbuda est un musée situé à Saint John's, à Antigua-et-Barbuda.
Historique
Fondé en 1985, il est situé dans le palais de justice colonial, construit en 1747 sur le site du premier marché de la ville, et constitue le plus vieil édifice encore utilisé de la ville.
Expositions
Le musée présente à la fois des artefacts Arawak et coloniaux récupérés lors de fouilles archéologiques sur les îles. Il conserve également une réplique grandeur nature d'une maison arawak, des modèles de plantations de canne à sucre, ainsi qu'une histoire de l'île et la batte de cricket de Viv Richards. Sa collection de locomotives transportant la canne à sucre comprend une Hudson-Hunslet, un Motor Rail Simplex « blindé », une Kerr Stuart de classe « Brésil » et une Plymouth de fabrication américaine
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_d%27Antigua-et-Barbuda
Publié à 19:11 par dessinsagogo55
Tags : saint
Saint John’s est la capitale d’Antigua-et-Barbuda. C'est le centre commercial du pays et le principal port de l’île d’Antigua.
Saint John’s est restée le centre administratif d’Antigua-et-Barbuda depuis la colonisation du pays en 1632 et devint le siège du gouvernement lorsque celui-ci prit son indépendance, en 1981.
Saint John's possède un aéroport, l'aéroport international V. C. Bird
Économie
À St John's il y a le centre commercial de l'État, ainsi que le port principal de l'île d'Antigua. La ville est un centre d'exportation pour le sucre, le rhum et coton, ainsi que pour la production d'artisanat, produits de fibre, poterie et les textiles. Elle est également intéressée dans le tourisme. La société de logiciels SlySoft vend ses programmes de copie de St John's
Culture
Plusieurs musées, notamment le Musée d'Antigua et Barbuda et le Musée d'Art maritime, une petite unité de roche fossilisée, pierres volcaniques, une collection de plus de 10 000 obus et des artefacts provenant de plusieurs épaves de navires anglais.
Éducation
St John's abrite une école médicale appelée Université américaine d'Antigua.
Sport
L'aéroport international V. C. Bird est situé à 8 km au nord-est de Saint John's.
Tourisme
Le fort James, construit au XVIIIe siècle pour protéger l'île en cas d'invasion par les Français.
Le Musée d'Antigua-et-Barbuda, construit en 1985.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_John%27s
Antigua-et-Barbuda ou Antigue-et-Barbude est un État des Antilles ayant pour capitale Saint John's, situé à une cinquantaine de kilomètres au nord de la Guadeloupe et au nord-est de l'île des Antilles britanniques de Montserrat, dans les Caraïbes. Cet État est composé de deux îles principales, Antigua, et Barbuda, ainsi que de quelques îles plus petites.
Antigua-et-Barbuda est membre de l'Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA) depuis 2009.
Histoire
Les Ciboneys habitaient Antigua-et-Barbuda depuis -2400. Ensuite arrivèrent les Arawaks et les Caraïbes. Christophe Colomb y débarqua en 1493, lors de son second voyage. Elles furent d'abord colonisées par les Espagnols et les Français, ensuite par les Anglais. En 1674, Christopher Codrington fonda la première grande plantation de sucre sur l'île d'Antigua. Le seul village de Barbuda prit son nom. Codrington et les autres propriétaires y firent amener des esclaves de la côte ouest de l'Afrique.
Au XVIIIe siècle, English Harbour, sur la côte sud d'Antigua, abrita une part importante de la flotte britannique, sous le commandement, un temps, de l'Amiral Nelson. Ce site bien encaissé et à peine visible du large, était connu comme un « trou à cyclone », un abri sûr.
L'esclavage fut aboli en 1834. Contrairement aux autres colonies britanniques qui choisissent une abolition immédiate suivie d'une période d'apprentissage, période pendant laquelle les esclaves restent au service de leurs anciens maîtres (jusqu'en 1838), les colons d'Antigues choisissent l'abolition immédiate sans apprentissage.
En 1981, Antigua-et-Barbuda devint indépendante en tant que Royaume du Commonwealth. Elle adhéra le 18 juin 1981 à l'Organisation des États de la Caraïbe orientale (OECO).
Politique
Antigua-et-Barbuda est un royaume du Commonwealth, le chef d'État est la reine Élisabeth II, qui est représentée à Antigua-et-Barbuda par un gouverneur général, sir Rodney Williams depuis le 14 août 2014. Le pouvoir exécutif est assuré par le premier ministre, qui est aussi le chef du gouvernement. Le premier ministre est généralement le chef du parti gagnant des élections de la Chambre des Représentants (17 membres), tenues tous les cinq ans. L'autre chambre du parlement, le Sénat, est constituée de 17 membres qui sont nommés par le gouverneur général. L'actuel premier ministre, Gaston Browne, de l'ABLP, a été élu le 13 juin 2014.
Pays indépendant, Antigua-et-Barbuda est membre de plein droit de la Communauté caribéenne et de l'Alliance bolivarienne pour les Amériques depuis 2009.
Géographie
Le pays, situé en mer des Caraïbes, est constitué d'un archipel dont Antigua est la plus grande île, et la plus peuplée. Barbuda, juste au nord d'Antigua, est l'autre île principale. La capitale, Saint John's, se trouve à 48 km au nord-est des côtes septentrionales de Montserrat et à 95 km à l'est-sud-est de Basseterre, la capitale de Saint-Christophe-et-Niévès. Les îles ont un climat chaud et tropical, avec des températures agréables et constantes toute l'année.
Les îles sont dans l'ensemble peu élevées : leur point le plus haut est le mont Obama à 402 m. La ville principale de ce petit pays est la capitale Saint John's sur Antigua ; la ville la plus grande de Barbuda est Codrington.
Démographie
La population était estimée à 95 882 habitants en 2018. La plupart des habitants sont des descendants d'esclaves africains employés dans les habitations-sucreries, mais il existe aussi des communautés européennes, notablement britannique et portugaise. La langue officielle est l'anglais, mais la plupart des habitants parlent un créole.
Selon le Pew Research Center, en 2010, 93 % des Antiguayens sont chrétiens, principalement protestants (81,2 %) et dans une bien moindre mesure catholiques (10,5 %). De plus, 3,6 % de la population pratique une religion populaire
Codes
Antigua-et-Barbuda ont pour codes :
AC, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2 ;
AG, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2 ;
AG, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques ;
ANT, selon la liste des codes pays du CIO ;
ATG, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-3 ;
ATG, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3 ;
V2, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs.
Transport
Aéroport international V. C. Bird.
Patrimoine civil
Monuments
Le fort James, construit au XVIIIe siècle pour protéger l'île en cas d'invasion par les Français.
Musées
Le Musée d'Antigua-et-Barbuda à Saint John's, construit en 1985.
Musée des chantiers navals
Betty's Hope (en)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antigua-et-Barbuda
Publié à 15:18 par dessinsagogo55
Tags : center art
La Ligue de football professionnel (LFP) a suivi les injonctions sanitaires du gouvernement français en actant l'arrêt définitif de la saison.
«Désinfox coronavirus» : le nouveau faux pas de com du gouvernement
Par Lilian Alemagna — 1 mai 2020 à 19:58
L'initiative du gouvernement, recensant des sites de vérification d'information de plusieurs grands médias, provoque malaise et critiques, de la profession et des oppositions.
«Désinfox coronavirus» : le nouveau faux pas de com du gouvernement
Cela aurait pu être vu comme la simple recension des différents articles de fact-checking publiés par différents médias sur l’épidémie de Covid-19. Mais en un tweet de la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, voilà l’exécutif accusé de rétablir un «ministère de l’Information» et de vouloir «certifier» la «vérité», comme dans 1984 de George Orwell…
De quoi parle-t-on ?
Depuis la mi-avril, il est possible de trouver sur le site du gouvernement une recension de différents articles publiés par des médias dotés de services spécialisés dans la «vérification d’information» : AFP Factuel, les Décodeurs du Monde, la plate-forme «Vrai ou Fake» de France Info, ou encore l’équipe CheckNews de Libération. «Depuis le début de l’épidémie, le caractère inédit de la situation favorise la prolifération de fausses informations, peut-on lire sur la page «Désinfox coronavirus» à laquelle Sibeth Ndiaye fait référence dans son tweet. Plus que jamais, se fier ou partager des informations non vérifiées peut induire des erreurs et engendrer des comportements à risque. Pour se protéger et protéger les autres, il est nécessaire de se référer à des sources d’information sûres et vérifiées.» Au sein de l’exécutif, on précise que cette rubrique est le fruit d’un travail du Service d’information du gouvernement (SIG), «donc de l’administration» et non du porte-parolat. «Cette page est à visée informationnelle. Il n’y a aucune visée politique», jure-t-on.
Pourquoi cela peut poser problème ?
Parce que mélanger sur un site de communication du gouvernement des éléments d’information venant des médias peut créer une sérieuse confusion, même avec la meilleure des intentions comme lutter contre la propagation de fausses informations. «C’est franchement la chose la plus inutile que le gouvernement pouvait faire, estime Christian Delporte, historien spécialisé notamment dans les médias et la communication. Le rôle du gouvernement est de communiquer pas de trier ce qu’il considère comme être de la bonne ou de la mauvaise information. C’est le rôle des journalistes.»
D’abord, les sources : certes solides, elles ne sont que partielles. Pourquoi le Monde, Libé, 20 Minutes, l’AFP, France Info et non le Figaro, les Echos, Mediapart, l’Humanité ou les journaux de la presse quotidienne régionale ? «Evidemment il n’est pas question de censure mais ce gouvernement invente la certification, critique Boris Vallaud, porte-parole du Parti socialiste. Ce qui interroge c’est d’ailleurs moins ceux qui y sont que ceux qui n’y sont pas et les raisons pour lesquelles ils n’y sont pas.»
Mais il n’y a pas que le choix des médias qui peut générer du malaise : mettre des éléments d’information écrits par des journalistes sur un site dédié à la communication du gouvernement risque, en ces temps de défiance des pouvoirs politiques et médiatiques, d’affaiblir deux paroles censées aider à la manifestation de la «vérité» justement. D’autant plus que, victime de fake news durant la campagne présidentielle de 2017, la majorité a fait adopter en 2018 une loi «contre la manipulation de l’information» très critiquée par les oppositions. «Comme la communication du gouvernement est calamiteuse depuis le début de la crise, ça donne l’impression qu’il essaie de se rattraper aux branches. C’est hallucinant», déplore Delporte. «Quel est l’enjeu du monde de l’information ? La crédibilité, rappelle Patrick Bloche, ancien président (PS) de la commission des affaires culturelles à l’Assemblée nationale. Or laisser entendre qu’il faudrait aller sur un site du gouvernement pour trouver cette crédibilité, ça ne peut pas marcher.»
Que répond le gouvernement ?
D’abord, qu’il n’a jamais été question «de classer les médias ou de donner des bons points à des rédactions». Si on retrouve des articles publiés sur les sites de Libé, du Monde ou encore de France Info, c’est parce que les services du SIG ont déterminé, nous dit-on, «trois critères» pour mettre ces articles en lien : des médias disposant d’une rubrique de fact-checking depuis au moins deux ans, d’une équipe spécialisée et diffusant ces contenus en gratuit. Et par ailleurs, si on dit «comprendre» les «critiques» qui peuvent être formulées, on explique au sein de l’exécutif que «l’enjeu sanitaire» est bien plus important. «Quand des gens se retrouvent à l’hôpital parce qu’ils ont lu quelque part que l’eau de javel pouvait les protéger du coronavirus, nous préférons nous appuyer sur les médias, qui sont des tiers de confiance, pour lutter contre les fausses informations», dit-on au sein du gouvernement. Quitte, parfois, à accepter de relayer un article critique sur la gestion de crise par l’exécutif ? Parce qu’elles ne sont pas classées dans les rubriques «fact-checking», les enquêtes sur ces sujets menés par ces mêmes médias (comme celle de Libération sur les masques) ne sont pas recensées par les services du gouvernement. Ce qui ne les a pas empêché de renvoyer vers ce podcast de CheckNews mettant en cause les informations données par le directeur général de la santé, Jérôme Salomon.