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22.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Quiconque cherche une nouvelle maison inhabituelle pourrait trouver ce qu'il cherche à An der Meisenburg à Schuir. Il y a l'ancienne Spindler Villa qui, en plus de 1200 mètres carrés de surface habitable, offre l'un des plus grands sous-sols privés de la ville: une immense voûte de bunker de la Seconde Guerre mondiale.
Histoire
En 1817, le baron allemand Karl Drais von Sauerbronn invente sa Laufmaschine ou « machine à courir » qui est présentée à Paris le 5 avril 1818 (Brevet d'importation français déposé par Louis-Joseph Dineur au nom du Baron Drais le 17 février 1818 : sous l'appellation d'une « Machine dite vélocipède. »).
La draisienne (version 1817) possède deux roues alignées, reliées à un cadre en bois par des fourches, la roue avant pouvant pivoter latéralement, et elle est équipée d'un rudimentaire frein à sabot sur la roue arrière. Cet engin connait un certain succès, en particulier en France puis au Royaume-Uni. Dans ce pays, il sera nommé « hobby-horse ».
La première conception visuelle attestée d'un deux-roues de type bicyclette est due à Alexandre Mercier. Elle figure dans son brevet du 8 mai 1843. Le pédalage est alternatif, à l'instar des Lévoyclettes Terrot des années 1910. C'est également le premier exemple probant d'équilibre soutenu sur deux roues, alors que sur la draisienne, l'équilibre n'est que passager. Dans son brevet, Mercier dit avoir essayé sa machine avec succès à Amiens, mais ce n'est pas prouvé.
Si la draisienne fait partie de la préhistoire de la bicyclette, la véritable histoire commence en France avec les vélocipèdes à pédales pendant les années 1860. C'est vers 1867 que sont commercialisés les premiers vélocipèdes à pédales des maisons Sargent, Michaux, Vincent, etc., avec un vrai succès populaire au rendez-vous. Pierre Michaux, serrurier parisien en voiture à façon, aurait inventé le vélocipède à pédales en 1855. La date précise de l'invention et l'identité de l'inventeur sont toutefois très discutées. En 1893, lors d'une controverse avec les frères André et Aimé Olivier, anciens associés qui ont toujours nié le rôle de Michaux dans l'invention, Henry Michaux, fils de Pierre Michaux, avoue que ce serait son frère Ernest qui aurait eu l'idée des pédales, et que l'invention daterait en fait de 1861. Cette date est toutefois mise en doute par certains historiens, qui donnent 1864 comme date plus plausible, et émettent également des doutes sur la paternité de l'invention de la famille Michaux5. Il est vrai que nous n'avons aucune preuve à ce jour. Parallèlement, un autre Français, Pierre Lallement, revendique avoir inventé et expérimenté un système à pédales dès 1862, et obtient en 1866 un brevet américain pour une machine qu'il appelle « bicycle ». Une dizaine d'autres inventeurs revendiquent cette invention. Le plus plausible aujourd’hui, bien que sans preuve également, est Georges Radisson.
Pierre Michaux ne dépose qu'en 1868 un brevet pour son invention, qu'il appelle « pédivelle » (brevet français no 80637 déposé le 24 avril 1868 : « Perfectionnement dans la construction des vélocipèdes. »), auquel il ajoute également un frein. À partir de l'automne 1867, le vélocipède a énormément de succès en France, et les premières courses de vélocipèdes, les clubs et les journaux apparaissent.
Pierre Lallement émigre en 1865 aux États-Unis sans avoir pu trouver de soutien financier à Paris pour sa machine, et obtient le premier brevet au monde sur le vélocipède à pédales en novembre 1866. Il réussit à vendre son brevet à un New-yorkais, Calvin Witty, qui sera le premier à fabriquer des deux-roues aux États-Unis (un seul de ces vélocipèdes semble avoir survécu) et retourne en France en 1868. À la fin de cette année, Witti vendant sa licence à d'autres constructeurs, le succès se produit également aux États-Unis. Quelques-uns surnommèrent la machine boneshaker (« secoueuse d'os »), en raison de la conception des roues, en bois cerclées de fer. Les premières garnitures de roues en caoutchouc dur apparaissent en 1869 et améliorent sensiblement le confort de l'engin.
Après la guerre de 1870, le perfectionnement des vélocipèdes se poursuit surtout en Angleterre. La roue avant se fait plus grande tandis que la roue arrière diminue de taille. Le premier grand-bi, appelé Ordinary, apparait en 1872. Ce genre de bicyclette connait un succès foudroyant auprès de la bourgeoisie qui seule avait les moyens de se l'offrir. En Angleterre, il est surnommé penny farthing (d'après la taille respective de ces deux pièces de monnaie, par analogie avec les roues). En France, il est utilisé de manière ostentatoire par les bourgeois (exemple : culture du plaisir et de l'élégance dans le bois de Boulogne).
Le premier brevet de bicyclette a été déposé en 1871 par Viarengo de Forville, un Italien résidant en France. Dans son brevet français du 30 septembre 1871 sont jointes des photos représentant une bicyclette d'homme et une de femme.
En 1884, John Kemp Starley de la société The Coventry Sewing Machine Company (« société des machines à coudre de Coventry »), qui deviendra Rover, invente la « bicyclette de sécurité » avec des roues de taille raisonnable et un entraînement par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant.
En 1886, Peugeot commercialise ses premières bicyclettes. En 1885, le Bordelais Juzan en construit quelques-unes également, au look plus moderne que les anglaises.
Un engrenage plus grand à l'avant (le plateau) qu'à l'arrière (le pignon) fait tourner la roue arrière plus vite que les pédales ne tournent, ce qui permet à ce type d'engin d'aller vite même sans une roue géante.
En 1888, John Boyd Dunlop invente le pneumatique (brevet français n° 193 281 déposé par John Boyd Dunlop le 1er octobre 1888 : « Garniture de jante applicable aux roues de véhicules. ») qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Édouard Michelin perfectionne cette invention en déposant en 1891 un brevet de « pneu démontable », la chambre à air.
Les bicyclettes de sécurité de 1890 ressemblent déjà beaucoup aux bicyclettes actuelles. Elles ont des pneumatiques de taille comparable à celle d'un vélo moderne, des roues à rayons, un cadre en tubes d'acier et une transmission par chaîne. La seule chose qui leur manque est le changement de vitesses.
Dans les années 1890, ce nouveau modèle de bicyclette élargit la cible des utilisateurs potentiels. De plus, en lien avec la seconde révolution industrielle, les bicyclettes deviennent un produit industriel (en France, les grandes marques sont alors Peugeot, Manufrance, Mercier), réduisant leur prix à un point qui les rend abordables aux ouvriers. Cela conduit à une « folie de la bicyclette », qui est à l'origine d'une évolution sociale importante (passage du vélo loisir au vélo utilitaire).
Dès cette période, la bicyclette s'impose comme un moyen de découvrir le monde. Alors que se développe la mode des tours du monde, le premier tour à vélo se déroule entre 1891 et 1894. La première femme à avoir réalisé cet exploit en solitaire est Annie Cohen Kopchovsky, dite Annie Londonderry, sur un modèle masculin de bicyclette de marque Sterling, en quinze mois.
À ce sujet, le développement de la bicyclette a permis le progrès de l'émancipation des femmes, même si l'accès au vélo pour ces dernières a été semé d'embûches. La féministe Susan B. Anthony a ainsi déclaré en 1896 que l'engin avait accompli davantage pour cette libération que quoi que ce soit d'autre au monde. Malgré le tour du monde à vélo d'Annie Londonderry en 1895, certains médecins et moralistes persistaient à affirmer que la bicyclette présenterait une menace pour la santé physique et mentale des femmes. De plus, elle encouragerait au dévergondage et à l'exhibitionnisme. On pensait par exemple que chevaucher une selle et se mettre en mouvement dans cette position pouvait conduire les femmes à développer des pratiques masturbatoires, absolument immorales à l'époque. De fait, les vêtements féminins du XIXe siècle n'étaient absolument pas adaptés à la pratique sportive, le port du pantalon étant réservé aux hommes. Les femmes se sont alors battues pour porter le bloomer, sorte de short féminin, afin de pouvoir pratiquer la bicyclette. Dès 1868, certaines compétitions ont néanmoins été ouvertes aux femmes. De façon prémonitoire, Jacques Mauprat déclare dans Le Progrès du 21 avril 1895 : « Oui, la faible femme a fait ses preuves sur la bicyclette. Elle est arrivée à des performances très satisfaisantes ; et cela non seulement sans préjudice pour sa santé […]. Cette introduction de la femme dans le monde du sport est une révélation pour elle et sera presque la source d'une révolution dans les mœurs de la société, en commençant par le costume et en finissant par la régénération de bien des qualités perdues par l'inactivité musculaire. »
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Les Messerschmitt KR 175 et KR 200 Kabinenroller sont des véhicules tricycles biplaces en tandem construit par Fritz Fend sous le nom de marque Messerschmitt au début des années 1950. L'abréviation KR est tirée du terme allemand Kabinenroller (scooter à cabine). Le chiffre indique la cylindrée (175 ou 200 cm3).
Historique
Après la capitulation de l'Allemagne à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la population comptait un très grand nombre de blessés handicapés. L'ingénieur Fritz Fend avait travaillé pendant la guerre sur le premier chasseur à réaction Messerschmitt Me 262. Malgré les menaces que représentait le plan Morgenthau (détruire le tissu industriel pour transformer l'Allemagne en un pays uniquement agricole), Fend commença à étudier des véhicules mus par la force musculaire.
Une première série de véhicules spécialement conçus pour les personnes amputées des jambes vit le jour en 1947. Un levier à bras actionnait les roues. La première voiturette carrossée, baptisée "'Flitzer'" (trad. libre : « fend-la-bise ») roulait dans Rosenheim, prouvant qu'il est possible d'aller deux fois plus vite qu'à vélo tout en étant protégé contre les intempéries. En 1948, il monte un moteur Victoria de 38 cm3 et atteint 40 km/h avec 1 ch. Jusqu'en septembre 1950, Fend vend 100 exemplaires du Flitzer. Les roues de vélo avaient entretemps été remplacées par des roues à pneus de brouette. La roue arrière reste une roue de vélo. L'habitacle était transparent, dira Fend, tant à cause de l'étroitesse du véhicule que pour des raisons psychologiques, et réalisé à l'aide de matériel gonflable pour toiture. Par beau temps, il devenait un cabriolet. Jusqu'à fin 1951, le 'Flitzer' de Fend, équipé d'un moteur Riedel de 4,5 ch et refroidissement forcé, fut fabriqué en 150 exemplaires. Il pouvait même gravir la route qui mène au sommet du Grossglockner.
En raison du manque de place, Fend cherche de nouveaux locaux. Grâce au professeur Willy Messerschmitt qui intercède en sa faveur, il peut utiliser les hangars vides de la société de Ratisbonne Stahl- und Metallbau (RSM). La seule condition étant de faire de ce véhicule une voiturette à deux places. Les travaux de développement restent à Rosenheim. Willy Messerschmitt était un partisan fanatique de la construction légère et sa devise était : « tout ce qui ne casse pas est surdimensionné ! »
Le bruit qui courait selon lequel le Kabinenroller, appelé Karo (rappelant la forme abrégée du prénom Karoline), comporterait des éléments du fameux chasseur Me 109, fut un vrai coup de pub. Sa forme aérodynamique, l'accès à bord par basculement de la verrière en plexiglas, la disposition biplace en tandem et la recherche de légèreté sont des points communs avec un avion.
Au salon automobile de Genève de 1953, le KR 175 fit sa première apparition. La production journalière était de 90 exemplaires. Son prix se montait à 2 100 marks. Il fut peu à peu amélioré et équipé d'un embrayage au pied et d'une marche arrière.
Vu la technologie très motocycliste du moteur Sachs 2 temps, la marche arrière est inhabituelle : Un moteur 2 temps ayant un sens de rotation réversible (moyennant une deuxième paire de vis platinées convenablement décalée par rapport au PMH du piston), faire une marche arrière avec le KR impose de stopper le moteur, puis de basculer un commutateur dédié pour mettre en service le second jeu de vis platinées et inverser le sens du démarreur (en fait une Dynastart, hybride de dynamo et de démarreur, directement en prise sur le vilebrequin), avant de remettre le moteur en route. Corollaire de ce montage, il est possible de passer toutes les vitesses en marche arrière, certains conducteurs téméraires s'amusant même à rouler à toute allure dans le mauvais sens...
Au printemps 1955, ce fut le tour du KR 200 de voir le jour. Les ventes de cette année-là atteignirent 12 000 véhicules pour un prix unitaire de 2 500 marks. Ce fut aussi l'apogée. En l'espace de 24 h, il établit pas moins de 25 records du monde sur la piste du circuit d'Hockenheim. Équipé d'un moteur de 13 ch, il poussait des pointes à 130 km/h !
Le 15 janvier 1957, Messerschmitt abandonne toutes les activités non reliées à l'aéronautique afin de pouvoir bénéficier des aides gouvernementales destinées à soutenir la reconstruction d'une industrie aéronautique en Allemagne. La société Fahrzeug- und Maschinenbau Regensburg (de) (FMR) reprend la production.
Septembre 1957 : essais d'un véhicule à 4 roues appelé Tiger conçu comme successeur « sport » du modèle tricycle. Le Tgr 500 est souvent nommé Tiger (tigre) mais cette appellation est semi-officielle pour des raisons de paternité de marque : en effet Krupp produit un modèle de camion nommé Tiger et Panhard a déposé le nom « Tigre » pour toutes les versions "gonflées" de son moteur bicylindre à plat équipant les Dyna Z , PL 17 et 24 Ct. Le moteur est cette fois un bicylindre 2T de 500 cm3 toujours fourni par Fichtel und Sachs, installé en porte-à-faux arrière, il propulse le Tgr 500 de série à 130 km/h, bien plus qu'une voiture populaire contemporaine comme les 2CV Citroën ou 4CV Renault de l'époque et quasiment autant que la petite voiture de sport anglaise Austin-Healey Sprite. Le passage en 4 roues impose la présence d'un différentiel qui fait carter commun avec la boîte de vitesses. La marche arrière est cette fois mécanique (sans inversion de la rotation du moteur). La carrosserie reste très voisine du modèle 3 roues, une stricte 2 places en tandem, façon moto ou cockpit d'avion de chasse, alors que par exemple la Vespa 400 , comparable mais plus automobile d'aspect offre deux mini places arrière pour des enfants. Le carénage de la poupe est élargi et incorpore un logement de roue de secours disposée à la façon du "continental kit" de certaines voitures américaines.
2 mai 1958 : présentation du Tg 500. Son prix de 3 650 marks rebute la clientèle.
Début 1964 : arrêt de la production pour cause de non-rentabilité.
Une Messerschmitt au cinéma
La KR 175 est visible dans le film Brazil de Terry Gilliam, ainsi que dans le film La Famille Addams dans lequel la voiturette est conduite par le cousin itt.
Caractéristiques techniques KR 175 / 200
Dimensions hors tout : 2 820 × 1 220 × 1 200 mm
Empattement : 2030 mm
Voie (écartement des roues avant) : 920 / 1080 mm
Moteur Fichtel & Sachs, monocylindre deux temps
Alésage x course : 62 × 58 / 65 × 58 mm
Cylindrée : 173 / 191 cm³
Puissance : 9 / 10.2 ch à 5250 tr/min
Compression : 6,5:1
Carburateur : 1 (marque Bing)
Refroidissement par air forcé (soufflante)
Lubrification par mélange 1:25
Transmission
transmission primaire par chaîne
Embrayage : 3 / 4 disques en bain d'huile
Boîte de vitesses : 4 rapports
marche arrière : absente sur le kr 175, par inversion de sens de rotation du moteur sur le KR 200
Transmission secondaire à la roue arrière par chaîne sous carter étanche
Train roulant
train avant : demi bras (essieu brisé)
train arrière : bras oscillant
Suspensions par blocs caoutchouc
Amortissement hydraulique sur le KR 200 seulement
Pneumatiques : 4,00" × 8" puis 4.40 × 8" (KR 200)
Direction
quasi directe avec guidon type moto
Rayon de braquage : 8 m
Électricité
générateur 45 / 90 W
Batterie : 6 V 7Ah / 12 V 14 Ah
phares 25 / 35 W
Poids à vide : 220 / 240 kg
Poids total : 360 / 420 kg
Vitesse maxi. : env. 80 / 98 km/h
Consommation : env. 4.0 / 4.5 l/100 km
Réservoir : 11,5 / 12.5 litres (situé au-dessus du moteur)
Fabrication : de mars 1953 à mars 1955 pour le KR 175), de 1955 à 1964 pour le KR 200
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